prison
331 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (prison derrière des barbelés) ]
- texte :
Εκδήλωση - Συζήτηση
Οι φυλακές σήμερα.
Το κίνημα των κρατουμένων
& το νόημα πι ΑλληλεγγύηςΟμιλητές.
•Κώστας Παπαδάκης
Δικηγόρος, Εναλλακτική Παρέμβαση
•Βασίλης Καρύδης
Εγκληματολόγος, Καθηγητής Πανεπιστημίου
•Κωνσταντίνα Κάτσια
Δικηγόρος, Αντιεξουσιαστική ΚίνησηΠαΜακ (παν. Μακεδονίας)
Παρασκευή 21/11 7.00μμ
τηλ. παρέμβαση κρατουμένων φυλακώνΑντιεξουσιαστική Κίνηση Θεσσαλονίκης
www.resistance2003.gr
traduction :Événement - Discussion
Les prisons aujourd’hui.
Le mouvement des prisonniers & le sens de la solidaritéIntervenants.
• Costas Papadakis
Avocat, intervention alternative
• Vassilis Karydis
Criminologue, professeur d’université
• Konstantina Katsia
Avocat, Mouvement anti-autoritairePaMak (Université de Macédoine)
Vendredi 21/11 7.00PM
intervention téléphonique des détenusMouvement anti-autoritaire de Thessalonique
2005 / 2011 ?
kdílosi - Syzítisi
Oi fylakés símera.To kínima ton kratouménon
& to nóima pi AllilengýisOmilités.
•Kóstas Papadákis
Dikigóros, Enallaktikí Parémvasi
•Vasílis Karýdis
Enklimatológos, Kathigitís Panepistimíou
•Konstantína Kátsia
Dikigóros, Antiexousiastikí KínisiPaMak (pan. Makedonías)
Paraskeví 21/11 7.OOmm
til. parémvasi kratouménon fylakónAntiexousiastikí Kínisi Thessaloníkis
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (enfants jouant dans la rue) ]
- texte :
Rébellion
contre toutes les prisons
contre tous les matons
liberté pour toutes et tousLes prisons mises en émoi…
Ittre, 7 mars 2006
Les prisonniers occupent le préau et se défendent contre l’intervention de la police.Mons, 28 avril 2008
Les prisonniers occupent la prison et incendient la porte d’entrée. Armés avec des barres de fer et des pierres ils se battent pendant des heures contre la police.Nivelles, 16 mai 2008 Comme réponse à une nouvelle gréve des matons, les prisonniers incendient une aile de la prison. L’aile part presque complètement en flammes.
Bruges, 21 juin 2006
Des cocktails molotovs sont jetés contre la maison d’un maton de la prison de Bruges et contre la maison d’un maton du centre rare, de Bruges.Bruxelles, 2 juillet 2006
Une 150-taine de gens descendent dans les rues de Bruxelles en solidarité avec tous les prisonniers en lutte.Termonde, 19 aout 2006
Quelques prisonniers forcent la porte de leur cellule et obligent les matons à ouvrir toutes les portes des cellules. 28 détenus s ’évadent. 15 sont encore toujours en cavale.Tournai, 8 septembre 2008 Pendant la promenade du matin, les prisonniers attaquent un maton, ce qui est suivi par une petite émeute.
Forest, 24 septembre 2008
Dans la cellule d’isolement Fayçal est assassiné avec trois injections anti-psychotiques d’Haldol.Bruxelles, 25 septembre 2006
Après le meurtre de Fayçal, ça part en émeute dans le quartier des Marolles et ailleurs. Pendant plusieurs jours il y a des affrontements avec la police. On peu partout des vitres des magasins sont cassées. Quelques voitures et bâtiments des autorités partent en flammes.Forest, 5 octobre 2006
La police intervient pour obliger des dizaines de détenus, armé s avec des barres de fer, qui occupent le préau de retourner à leurs cellules.Lantin, 18 octobre 2006
Quelques dizaines de prisonniers de l’aile d’haute sécurité occupent le préau. Ils s’arment avec des barres de fer et détruisent une aile complète. Ce n’est qu’après plusieurs heures que la police sait rétablir l’ordre.Ittre, 29 octobre 2006
Le soir, plus d’une centaine de prisonniers se révoltent. Ils incendient plusieurs cellules, des matelas, des poubelles et un local des matons. La police et les matons sont attaqués avec des barres de fer et des projectiles. Les bâtiments de la prison sont gravement endommagés. Cinq matons sont blessés. Ce n’est qu’après minuit que les prisonniers décident de retourner à leurs cellules.Vignette parue dans La Cavale : correspondance de la lutte contre la prison n° 5 (novembre-décembre 2006) : « Affiche trouvée sur Bruxelles début novembre ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (silhouette d’homme assis tête dans les mains ; portrait d’Aeguste Blanqui sur le mur de prison) par Tardi ]
- texte :
20 ans dedans !
Après Auguste Blanqui, Régis Schleicher, prisonnier politique militant d’Action directe subit la plus longue peine dans les prisons de France.
Liberté pour Régis Schleicher et ses compagnons !
Liberté pour tous les militants révolutionnaires !
Défense active — 80, rue de Ménilmontant — 75020 Paris
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin de mur ]
- texte :
Ils luttaient pour la justice et l’égalité,
Ils refusaient l’exploitation des travailleurs, le pillage des richesses du Tiers Monde, la misère des peuples…
donc
ils sont en prison !
Certains depuis 20 ans…
Liberté pour les militants d’Action directe
Défense active — 80, rue de Ménilmontant — 75020 Paris
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (5 militant·e·s d’« Action directe » expulsés de prison par un gardien à képi) par Tardi ]
- texte :
Les militants d’Action Directe squattent les prisons de France depuis trop longtemps,
sortez-les !
Défense active — 80, rue de Ménilmontant — 75020 Paris
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo couleur (camp de rétention vu depuis des champs) ]
- texte :
Nul ne pourra dire : « on ne savait pas… »
Concentration d’immigrés, France, 2007. Centre de rétention de Cornebarrieu, aéroport de Toulouse Blagnac.
AAEL - Association pour l’Art et l’Expression Libre - Toulouse, novembre 2007
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte : dessin (main avec clés fermant une porte de prison avec deux mains aux barreaux) ]
- texte :
Solidarité avec les 5 antifascistes toulousains incarcéréEs
CSATI Comité de Soutien aux Antifascistes Toulousains IncarcéréEs
5 antifascistes ont été condamnéEs à des peines de prison ferme allant de 3 mois à 9 mois. Leurs crimes ? s’être opposé aux idées de Le Pen près du lieu de son meeting. un comité de soutien s’est créé pour les aider matériellement et moralement. Rejoignez nous !
CSATI : 18, avenue de la Gloire 31500 Toulouse W : http://soutienantifascistetoulousain.hautetfort.com
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (prisonnier face à une mur— « A.D. 20 ans » sur le dos et le mur —, mur d’où sortent des bras pour l’aider) par Tardi ]
- texte :
Sortons-les !
A.D. 20 ans
26 février 1987 - 26 février 2007
Liberté pour les prisonniers d’Action directe
Abolition de la peine de mort lente !
Collectif Sud-Ouest – Défense active – Libérez-les – Nlpf
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (nouveau procès de Marco Camenisch) ; dessin (mains enchainés) ]
- texte :
Widerstand verwahren ?
>Nix da !
★ Für eine Gesellschaft ohne Knäste
Weil sich der politische Gefangene Marco Camenisch im Knast nicht brechen liess und weiterkämpft, will ihn die bürgerliche Rachejustiz zwangspsychiatrisieren und verwahren lassen — wehren wir uns gemeinsam gegen diesen Angriff, der uns allen gift !
>Internationaler Aktionstag : 9.3.07
>Prozess gegen Marco : 12./13.3.07,
7:45 Obergericht Zureich (Hirschengraben 15)Freedom and sunshine for Marco — Schweine ins Weltall !
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — barbelés — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal /B_tout>
[ texte ; dessin (enfant au pied d’un mur frontière couvert de barbelés) ]
- texte :
Donderdag 22 februari breekt er een opstand in het deportatiekamp van Vottem (Luik). De infrastructuur van de eet- en “ontspanning” ruimte wordt vernield. De politie valt het centrum binnen om de orde te herstellen. Achteraf worden enkele personen in isolatie geplaatst en in elkaar geslagen door cipiers. Twee nachten later worden zij overgeplaatst naar het deportatiekamp van Merksplas. Tot en niet dinsdag bevonden zij zich in een isolatieregime.
In de deportatiekampen worden mensen opgesloten die niet wenselijk in de blanke westerse maatschappij. Europa heeft maar een beperkt aantal mensen zonder papieren nodig om de vuile klusjes aan een slavenloon op te knappen. De anderen worden opgespoord met razzia’s, opgesloten in kampen en gedeporteerd naar hun “eigen land”. De racistische samenleving aanvaardt dit en zorgt et zo voor dat dit systeem standhoudt.
Deportatiekampen en andere gevangenissen worden gebouwd om mensen te isoleren en ze kapot te maken, zowel fysisch als mentaal. Hoge muren, prikkeldraad en tralies houden mensen gevangen en leveren hen over aan de constante controle van camera’s en bewakers met matrak. De directie en cipiers bepalen alles wat je doet, je kan er geen moment aan ontsnappen.
Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving.
Voor een vrije wereld zonder grenzen en gevangenissen, tegen deze staat zijn we allemaal schuldig, zijn we allemaal illegaal.
traduction :Jeudi 22 février, un soulèvement éclate dans le camp de déportation de Vottem (Liège). L’infrastructure de l’espace de restauration et de « détente » est en train d’être détruite. La police fait une descente dans le centre pour rétablir l’ordre. Par la suite, certaines personnes sont placées en isolement et battues par des gardiens. Deux nuits plus tard, ils sont transférés au camp d’expulsion de Merksplas. Jusqu’à mardi, ils étaient dans un régime d’isolement.
Dans les camps de déportation, des personnes sont enfermées, ce qui n’est pas souhaitable dans la société occidentale blanche. L’Europe n’a besoin que d’un nombre limité de migrants sans papiers pour faire les sales boulots avec un salaire d’esclave. Les autres sont traqués par des raids, enfermés dans des camps et déportés dans leur « propre pays ». La société raciste l’accepte et s’assure ainsi que ce système est maintenu.
Les camps de déportation et autres prisons sont construits pour isoler et détruire les gens, à la fois physiquement et mentalement. De hauts murs, des barbelés et des barreaux emprisonnent les gens et les soumettent au contrôle constant des caméras et des gardes avec matraque. La direction et les gardiens déterminent tout ce que vous faites, vous ne pouvez pas y échapper un instant.
Nous sommes solidaires de ceux qui refusent de perdre leur dignité et se rebellent contre leur privation de liberté.
Pour un monde libre sans frontières et sans prisons, nous sommes tous coupables contre cet état, nous sommes tous illégaux.
Vignette parue dans La Cavale : correspondance de la lutte contre la prison n° 7 (avril-mai 2007) : « Affiche de solidarité avec le mutinerie dans le centre fermé de Vottem ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (personnage en cellule métallique [de garde à vue ?], vue de dessus, avec enveloppe timbrée [?]) ]
- texte :
Au moins 100 suicides par an en prison ; 40 % des prisonniè-res souffrent de problèmes psychologiques ; en moyenne 2 à 3 personnes pour 9 m2
La prison ne règle aucun problème : elle en crée !
À bas toutes les prisons !!
Groupe d’anarchistes de Lille et environs
L’affiche utilise la même photo que Refusons ce monde techno-carceral (Collectif libertaire Marius-Jacob, 2010). Elle sera réédité, vers 2009, après l’adhésion du GDALE à la CGA. Cette photo est parue sur le site http://bellaciao.org/fr.
Remarque : l’affiche n’a été retrouvée que sous forme de fichier numérique ; il est possible qu’elle n’est été qu’une maquette de l’affiche citée comme réédition.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]
- texte :
Beau comme des centres de rétention qui flambent
Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.
En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.
Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.
La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.
Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.
Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.
Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.
Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.
Sabotons la machine à expulser !
Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]
- texte :
Beau comme des centres de rétention qui flambent
Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.
En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.
Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.
La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.
Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.
Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.
Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.
Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.
Sabotons la machine à expulser !
Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (personnage en cellule métallique [de garde à vue ?], vue de dessus, avec enveloppe timbrée [?]) ]
- texte :
Au moins 100 suicides par an en prison ; 40 % des prisonniè-res souffrent de problèmes psychologiques ; en moyenne 2 à 3 personnes pour 9 m2
La prison ne règle aucun problème : elle en crée !
À bas toutes les prisons !!
Groupe d’anarchistes de Lille et environs CGA
1groupeanarlille@no-log.org - http://lille.cybertaria.org/gdale
Première édition en 2008 ?, avant l’adhésion du GDALE à la CGA. L’affiche utilise la même photo que Refusons ce monde techno-carceral (Collectif libertaire Marius-Jacob, 2010). Cette photo est parue sur le site http://bellaciao.org/fr.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Three years of mutineries in Belgian prisons
About the destruction of the isolation unit in Brugge
The prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. A society that resembles a great prison in which the majority of the population are locked up because of the necessity to find money, because of the lack of perspective in life, because of roles of submission and servitude that are being imposed by the ruling values. Just like in the street there are people in the prisons, psychiatric institutions, detention centres who do not come to peace with this, that do not burry a certain taste for freedom, for a better life, because the judge imposes that. People that refuse the humiliation every day to obey the guards and chiefs. For whom the walls and the barbwire of the prisons are not yet marked in their brains, and rather observe them as obstacles that have to be overcome. Because the punishment society gave them, through its judges, only is a consequence of a world that is based on the exploitation and obedience.
Since three years a small storm of revolt blows through the tens of Belgian prisons and detention centres. By rising up, by burning the prisons infrastructure, by attacking guards, by escaping, some prisoners found back what the system tried to take from them period : courage, a desire for freedom, a rebellion that dreams of finishing with at least a part of the mess this society brings.
Answering to this, the State opened two new isolation units in Brugge and Lantin, real prisons inside the prison, to be able to better isolate and break the ‘unruly’. But even in these cages, some haven’t lost the taste of combat. On the 2nd of April 2009, prisoners in Brugge have flooded the cells of this unit after which they smashed the unit almost completely. On the moment that the government is announcing its plans to construct seven new prisons, they are obliged to close down their showpiece, the isolation unit in Brugge. The prison machine isn’t that well oiled as it seems.
Strength and courage for all those who fight for freedom, inside and outside !
Let us, we as well, attack everything which is locking us up, exploiting us and oppressing us up !
traduction :Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (pompiers éteignant une voiture de police qui brule) ]
- texte :
Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics. Nous n’avons que trop de raisons de nous révolter. Ce n’est pas la répression qui nous les enlèvera.
En taule comme dans la rue, que la lutte continue avec rage et joie !
http://infokiosques.net/mauvaises_intentions
Affiche présentée sur Indymedia Grenoble : http://grenoble.indymedia.org/2009-03-03-Affiche-La-lutte-continue-avec (3 mars 2009)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin individu en chaines ]
- texte :
Elk individu telt
racism has always relied on the conflation of the individual and the group - Angela Y. Davis
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos (maillons de chaines) ]
- texte :
“Il faut que tout ça serve à quelque chose”
Christophe Khider, évadé de la prison de Moulins le 15 février 2009
blessé par balles lors de son arrestation après deux jours de cavalez,à son avocate, seule autorisée à le visiter a l’hôpital.Pour en finir avec toutes les prisons
Une évasion ou une tentative d’évasion, ce n’est pas un fait divers, c’est le geste de survie d’un enfermé que l’on tente de faire mourir à petit feu en prison.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un jeu, c’est l’acte de prisonniers qui mettent leur vie dans la balance même s’ils savent que de toutes façons, dans la plupart des cas, il y a un mur ou une balle devant eux ; car les agents de l’administration pénitentiaire et les policiers ont ordre de tuer les candidats à la belle. Lors d’un procès, un directeur de prison a affirmé qu’il préférait dix « suicidés » à un évadé ; à l’inverse, aucun blessé chez les surveillants lors de l’évasion d’Antonio Ferrara de la prison de Fresnes en 2003. Aucun blessé, aucune violence pendant l’évasion et la courte cavale de Christophe Khider et Omar Top El Hadj : dans les deux évasions, les seuls blessés sont des évadés ou leurs amis.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un mauvais film balancé à des millions de téléspectateurs pour les faire frémir, c’est le refus de l’hypocrisie d’une justice qui condamne à des peines sans limite, à des peines de mort à peine déguisées. Il y a peu, dix prisonniers longues peines de la centrale de Clairvaux ont même réclamé qu’on rétablisse pour eux la peine de mort parce qu’ils préféraient l’« euthanasie » à une agonie infinie. Avant son évasion de la prison de Moulins, Christophe Khider était libérable en 2045.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas une provocation : c’est des années d’isolement, de transferts aux quatre coins de l’hexagone et un traitement « spécial » pour les prisonniers repris ; cela fait plus de six ans qu’Antonio Ferrara supporte l’isolement dans l’isolement sans jamais voir la lumière du jour, menotté et entravé pour le moindre de ses déplacements, privé de tout contact physique si ce n’est avec vingt-huit surveillants lourdement armés.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un coup pour rire, c’est de lourdes peines infligées aux familles et aux proches même lorsqu’ils ne sont pas déclarés complices. C’est le début d’un calvaire carcéral et judiciaire pour ceux qui ont cherché à arracher un emmuré de son tombeau. Comment ne pas comprendre qu’une mère, un frère, des amis, une compagne refusent de laisser crever un proche ?
Une évasion ou une tentative d’évasion c’est des êtres humains enfermés qui veulent retrouver un peu de liberté. Et si on les présente comme des « monstres dangereux et sanguinaires » lâchés dans la nature, c’est pour essayer de faire accepter à tous la prison comme remède aux maux d’une société fondée sur le profit et la soumission. ils construisent dans l’urgence de nouvelles prisons comme hier ils bâtissaient les barres des cités de banlieue : des prisons-école pour les enfants, des prisons-hospice pour les grabataires, des prisons-hôpital pour les « malades mentaux », des prisons-bunker pour les prisonniers dits « dangereux »…
Fin des longues peines
Fermeture des quartiers d’isolement
Solidarité avec les évadés leurs familles et leurs proches
contact : envoleejournall@yahoo.fr
Avant 2018
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte (blanc, jaune, rouge) ; photo couleurs en fond (jeunes courant près d’une voiture en flammes) ]
- texte :
Les feux de la révolte
Les fins de mois sont de plus en plus difficiles. On se fait de plus en plus exploiter au boulot pour toujours moins de fric, sucrer les allocs et emmerder sans fin au RMI. Des milliers de personnes sont licenciées, l’âge de la retraite est encore reculé… et pendant ce temps-là l’État arrose les banques et les patrons à coups de milliards.
Le pouvoir lâche ses cow-boys en uniforme qui se croient tout permis à coups de flash-ball, de rafles, d’expulsions, de rackets et de contrôles… tandis que toujours plus de personnes se retrouvent enfermées, que ce soit en hôpital psychiatrique, en centre de rétention ou en prison. Le système impose sa paix sociale en nous vidant le cerveau à l’aide de Prozac, de télévision et de crédits… bref, tout ce qui constitue la violence du quotidien.
Les tensions sociales s’exacerbent et rien n’indique que cela va aller en s’amenuisant.
Les actes de révoltes collectives et individuelles se multiplient aussi :
En mai 2007 par exemple, lors du joyeux bordel des élections présidentielles, un véhicule de police a bien failli être incendié dans le 18e. Trois personnes suspectées dans cette affaire croupissent encore en prison sous l’accusation d’ « association terroriste ».
De même, en juillet dernier après plusieurs mois de révoltes collectives, de mutineries et d’affrontements, des prisonniers ont détruit par le feu le centre de rétention de Vincennes. Sept sans-papiers (peut-être plus) sont inculpés et incarcérés.
Depuis décembre en Grèce, après l’assassinat d’un jeune par les flics, des milliers de révoltés attaquent banques, commerces et commissariats. Occupations, pillages et destructions, manifestations et affrontements se poursuivent.
Solidarité avec les révoltés incarcérés.
Que les feux de la révolte se propagent partout.Manifestation samedi 24 janvier 2009, 15 h à Barbès
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Les-feux-de-la-revolte (8 janvier 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]
- texte :
Pour des cendres de rétention
La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.
Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.
Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .
Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.
Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.
...Feu à toutes les prisons
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]
- texte :
Pour des cendres de rétention
La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.
Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.
Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .
Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.
Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.
...Feu à toutes les prisons
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).
Version « lilloise » grand format.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (cadeau empaqueté offert sur fond de flammes et d’émeute) ]
- texte :
Resto Trottoir — collectif Food not bombs, Besançon
blog : restotrottoir.blogspot.com
Dim. 20 décembre 2009
Repas gratuit pour tous et toutes !
de 12 h 30 à 15 h 30, place Marulaz
+ zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
+ infokiosque : tracts et brochures…
+ discussions, échanges…
+ parfois une surprise : débat, musique, animation, etc.En cas de pluie, cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes
Non à la politique d’exclusion et de répressions !
Nous voulons :
de la bouffe, pas des bombes,
des maisons, pas des prisons…[dessin :]
Brisons l’économie marchande
Parce que nous refusons la commercialisation d’un acte solidaire et humain, ce dimanche, apportons et offrons des trucs et des bidules fait « maison » ou de récupération pour pas un rond !
Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à l’installation (11 h 30) et au repas…
Rejoignez-nous ou contactez-nous :
• à la réunion d’organisation, le premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz
• par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2009/12/prochain-rt-ce-20-decembre-2009.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; dessin (prison forteresse : « Et voilà ! Le problème des logements des précaires est résolu ! ») par Titom ]
- texte :
Resto Trottoir
collectif Food not bombs, Besançon
Repas gratuit pour toutes et tous !
blog : restotrottoir.blogspot.comDiscussion — Débat
Les politiques préfèrent utiliser notre argent pour construire des prisons plutôt que des logements décents pour toutes et tous.Échangeons, ce dimanche, nos points de vue et essayons de trouver des solutions en compagnie de La Buanderie de St Ferjeux, accueil de jour.
Dim. 29 nov. 2009
12 h 30, place Marulaz
zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres…
infokiosque : tracts, brochures, discussions, échanges…En cas de pluie, cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes
Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à la distribution, à l’installation (11 h 30) et au repas…
Rejoignez-nous ou contactez-nous :
• à la réunion d’organisation, lee 1ers mercredis du mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte, 5, place Marulaz
• par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2009/11/rendez-vous-en-novembre.html
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; image ]
- texte :
Mardi 17 novembre 2009
à 20 h 30 Salle Montaigne
Odyssée (NTP) Périgueux
[dessin]
Débat : l’action anti-carcérale dans un système sécuritaire
Avec Nadia Menenger auteure de l’ouvrage « À ceux qui se croient libres » chez l’Insomniaque
Collectif libertaire Marius Lacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
IPNS — Organisateur : CRACS
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo : portrait de Jacob en chapeau-melon ]
- texte :
Soirée projection-débat
Vendredi 18 décembre 2009 à 20 h 30
Alexandre Marius Jacob
film documentaire de Thomas Turner et Laurent Termignon
Engagement, répression, enfermement
Anarchiste illégaliste, partisan de la « reprise individuelle », Alexandre Marius Jacob, membre des Travailleurs de la Nuit, devait payer cher plus de 150 cambriolages spectaculaires, reconnus. Riches et oppresseurs étaient la cible. Lui et ses compagnons avaient déclaré la guerre au monde capitaliste. Une partie des « recettes » était reversée à « La Cause ». 25 ans, 8 mois et 23 jours après son arrestation, la bagnard en Guyane, matricule 34 777, soutenu sans relâche par sa mère, recouvrait la liberté mais n’était toujours pas vaincu…
Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions
Collectif libertaire Marius Jacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
Imprimé par nos soins
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos (mutins ; barbelés) ]
- texte :
Le centre de rétention administratif de Vincennes était la plus grande prison pour sains-papiers de France. Le 21 juin 2008, un détenu qui avait réclamé en vain des médicaments y est mort. Le lendemain, le 22 juin, au cours d’une révolte collective, le centre est parti en fumée. 10 personnes sont inculpées pour cette révolte. Être solidaire des inculpés de l’incendie de Vincennes, c’est être solidaire de toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, se révoltent contre un monde où des millions de vies sont suspendues à des bouts de papiers.
Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes
Procès
du 25 au 27 janvier
13 h 30 au TGI de Paris, Mº CitéSemaine de solidarité
du 17 au 24 janvier
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
A spectre is haunting us
Time and time again we read about people who attack buildings, cars or the infrastructure of certain institutions in different ways. In the chorus of the media, loyal to the state, they are often considered as „vandals" or „chaots" and if that is not sufficient, then the construct of the terrorist serves to suffocate in advance any possible reasoning behind. That is exactly what happened to the 3 anarchists, who were arrested on 15th of April in Langnau am Albis (Switzerland). Allegedly on the way to attack a research center of IBM. A place among many at which, far from our everyday lives, the deepening of control on the life on this planet is researched at : genetic engineering, surveillance, nanotechnologies…
Why should this be blown up ?
We have been drowned in an technological ’high gloss-nightmare’, in which dead matter weighs more than our lives. The new god that is ruling over everything is the economy. „Economy has to be well" goes the saying, „so that we can feel well also." But behind this basic attitude, that any type of progress would be anyway good, veils the fact, that only few are profiting from that progress. Those who let themselves be exploited day after day, will have noticed by now, that despite all the incredible ongoing research, we are not working less, but simply more efficient. And we are not living more qualitative, but we consume more. With each novelty we are promised a better and simpler life, whereas the following disappointment is compensated by the promising of even more novelties. We crave for fata morganas like someone dying of thirst in a desert.
What is developed in the mentioned IBM center is advancing a level deeper. Because genetically manipulated organisms and nanoparticles, as well as radioactivity of nuclear waste, are incraving themselves irrevocably into this world which we inhabit. It doesn’t need much understanding to see that also these efforts are serving purely
the logic of progress of capitalism. Since the whole planet is under its domination, capitalism is now trying to deepen it - and that to the last detail.Since centuries industrial technology is the essential factor for the reformation of society, and therefore of the economy and the state. Again and again it is supposed to bring alleged solutions for social problems. Social problems that it helped creating. By now it managed to make itself indispensable. Without technology the immense accumulation of commodities and the therefore necessary generalized submission and control of the working mass would be impossible. It didn’t just make the people more alienated towards the world, but also towards themselves. The social order in which we live, functions only by the more and more absurd specialization of our occupations, the more and more extensive control over all living beings, the more and more efficient exploitation of our work capacity and a generalized impoverishment of human relations.
The apparently untouchable justification for that is purely the maintenance of the prevailing. The question for the living conditions is not raised. After all it could persuade us to the realization, that it is not us as individuals who are reason for our sorrow, but the social order and that there has to disappear quite a lot, in order for us to finally breathe freely. We think that social existence doesn’t gain value by technological progress, but by common ethical and social considerations. The development which we strive for, goes towards a life, that lies with us to decide about, without to serve and without to rule. And this development starts with the revolt against everything, which keeps us from doing so.
Therefore we recognize us in the three anarchists, who are now spread out in Swiss prisons. We feel solidarity for each attempt to cast off the shackles in order to stand up against the ongoing annihilation of life and the (self-)enslavement of the human kind. And one of the first shackles that we therefore cast off, is the one of our heads, which makes us believe, that we anyway cannot do anything and which keeps us trapped in lethargy.
Therefore for everyone who - for what reason whatsoever - is fed up with all the social constraints and control, fed up with all the lifeless products and senseless works, the hate that is sown, in order to fight among us, instead of together against the misery. To all those whos hearts is beting faster, when people attack what they think is the origin of their discontent : come out and make visible through the diversity of your forms o sabotage, that something completely different is possible.
Freedom for the three anarchists Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : Ein Schreckgespenst geht um (original German poster)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image (silhouette d’homme avançant contre le vent, parapluie retourné) ]
- texte :
Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison
Il arrive qu’une bourrasque réchauffe l’atmosphère glacée de la résignation quotidienne. Depuis des années, en Belgique comme ailleurs, le temps est à l’orage dans les prisons et les centres fermés pour migrants : mutineries, évasions, incendies…
De l’autre côté des murs, des luttes cherchent à se frayer des chemins dans la rue, des grains de sable tentent d’enrayer les rouages de la machine à expulser.
En mai dernier, des détenus du centre fermé 127bis mettent une nouvelle fois le feu à leurs cellules.Pour garder la température en dessous de zéro, l’État fait construire un nouveau centre fermé spécialement conçu pour les détenus trop chauds. Il viendra s’ajouter aux 6 centres déjà en fonctionnement en Belgique.
Dans le même temps, 10 nouvelles prisons sont en projet de construction, la présence policière augmente dans les rues, les dispositifs de prévention et de contrôle sont perfectionnés pour éviter tout pic de chaleur à l’intérieur comme à l’extérieur des murs.Nous, nous préférons la chaleur d’une révolte à celle d’une couette où nous cacher à jamais pour oublier la froideur du monde.
Nous nous reconnaissons dans l’embrasement d’un quartier quand la police assassine ; dans une grève des écoliers qui refusent d’être formatés ; dans un « Soyons ingouvernables » tagué sur un mur ; dans l’attaque d’un portillon de la STIB ; dans une auto-réduction d’un supermarché où le contenu des caisses est brûlé ; dans le sabotage d’un chantier d’une entreprise qui construit le nouveau centre fermé…
Autant d’actes issus d’histoires, de contextes différents qui peuvent prendre des formes diverses mais qui partagent des désirs en contradiction totale avec ce monde glacé.
Ce sont des coups de vent chauds qui dégagent l’espace pour reparler d’un vieux désir : la liberté. La liberté partagée, celle qui se construit en refusant d’écraser l’autre.
Pour qu’ici, là-bas ces actes de révolte se multiplient et se diffusent,
Pour qu’ici, là-bas, on reprenne l’espace d’expérimenter et de reprendre goût à cette liberté.Que souffle le vent de la révolte !
Paru vers le mois d’août 2010. Même papier que Un camp No Border à Calais (2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos du film ]
- texte :
Mardi 08 juin 2010
Café libertaire exceptionnel
Charlie Bauer rouge bandit
de Fred K. Nicolas - Sycomore Films
À 20 h 30 - Film-débat en présence de Charlie Bauer
[photo « Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent. »]
Né en 1943, Charlie Bauer, enfant des quartiers Nord de Marseille, fut militant aux Jeunesses communistes dans les années cinquante. Il a rompu les amarres quand le PCF a voté les crédits militaires pour mener une guerre coloniale en Algérie. En toute logique, il soutiendra le combat du FLN algérien. Armes au poing, Charlie, adepte de la « propagande par le fait », va aussi attaquer des trains, des banques et des bijouteries pour redistribuer à des gens dans la dèche.
Arrêté en 1962, Charlie Bauer va ronger son frein pendant vingt-cinq ans en prison, dont neuf en Quartier de haute sécurité (QHS). C’est là qu’il rencontra Jacques Mesrine, « l’ennemi public n° 1 », avec qui il luttera contre le système carcéral. Une action qu’il mena de front avec des études supérieures. En prison, Charlie a passé une licence en psychologie, une autre en philosophie et un doctorat d’anthropologie sociale. Libéré en 1988, l’insoumis a publié deux ans plus tard une ardente autobiographie, Fractures d’une vie, rééditée chez Agone. Le réalisateur Fred K. Nicolas a fait son portrait dans Rouge Bandit (2009, 54 mn).
Si les mots ont remplacé les balles, Charlie Bauer reste fidèle à ses combats révolutionnaires et à sa haine des prisons.
Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions
Collectif libertaire Marius Jacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux
Imprimé par nos soins
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Εκδήλωση - Συζήτηση Οι φυλακές σήμερα.]
[Εκδήλωση - Συζήτηση Οι φυλακές σήμερα.]. — Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Rébellion contre toutes les prisons, contre tous les matons, liberté pour toutes et tous]
[Rébellion contre toutes les prisons, contre tous les matons, liberté pour toutes et tous]. — Antwerpen Anvers ; Gent Gand : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[20 ans dedans !]
[20 ans dedans !] / Jacques (1946-....) Tardi. — Paris : Défense active, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Ils luttaient pour la justice et l’égalité : liberté pour les militants d’Action directe]
[Ils luttaient pour la justice et l’égalité : liberté pour les militants d’Action directe]. — Paris : Défense active, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Les militants d’Action Directe squattent les prisons de France depuis trop longtemps, sortez-les !]
[Les militants d’Action Directe squattent les prisons de France depuis trop longtemps, sortez-les !] / Jacques (1946-....) Tardi. — Paris : Défense active, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Nul ne pourra dire : « on ne savait pas… »]
[Nul ne pourra dire : « on ne savait pas… »]. — Toulouse : AAEL (Association pour l’art et l’expression libre : 1973-....), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 40 × 60 cm.
sources :
[Solidarité avec les 5 antifascistes toulousains incarcéréEs]
[Solidarité avec les 5 antifascistes toulousains incarcéréEs]. — Toulouse : CSATI (Comité de Soutien aux Antifascistes Toulousains IncarcéréEs), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Sortons-les ! : Liberté pour les prisonniers d’Action directe]
[Sortons-les ! : Liberté pour les prisonniers d’Action directe] / Jacques (1946-....) Tardi. — Paris : Défense active : Ne Laissons Pas Faire ! (NLPF), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Widerstand verwahren ? Nix da !]
[Widerstand verwahren ? Nix da !]. — Zürich Zurich : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (trois ) ; 30 × 42 cm.
sources :
[Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving]
[Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving]. — Antwerpen Anvers ; Gent Gand : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[À bas toutes les prisons !!]
[À bas toutes les prisons !!] / Mathieu M.. — Lille : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() [ 2009 ?] |
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 2008 |
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2008 |
[À bas toutes les prisons !!]
[À bas toutes les prisons !!] / Mathieu M.. — Lille : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), [ ?]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2008 |
![]() 2010 |
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[About the destruction of the isolation unit in Brugge]
[About the destruction of the isolation unit in Brugge]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics…]
[Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics…]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Elk individu telt]
[Elk individu telt] / Pier. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Il faut que tout ça serve à quelque chose]
[Il faut que tout ça serve à quelque chose]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Envolée (l’), [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Les feux de la révolte]
[Les feux de la révolte]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : noir , brun ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2011 |
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2011 |
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 20 décembre 2009]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 20 décembre 2009]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 novembre 2009]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 novembre 2009] / Titom. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soirée anticarcérale, 17 novembre 2009]
[Soirée anticarcérale, 17 novembre 2009]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[A spectre is haunting us]
[A spectre is haunting us]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 60 cm.
sources :
![]() [ca 2012] |
[Café libertaire exceptionnel, Charlie Bauer Rouge Bandit]
[Café libertaire exceptionnel, Charlie Bauer Rouge Bandit]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Combattons le racisme d’État]
[Combattons le racisme d’État]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 40 × 60 cm.