Paris

 

 
 

Affichage par année

2011 affiches :

 


    [Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire] / Quentin Sirvin. — Paris : Éditions libertaires, (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 56 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Chomsky, Noam (1928-....)  ; Youlountas, Yannis
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; couverture de livre ; photo (« Cheval de Troie contemporain » couvert d’affiches anarchistes) par Quentin Sirvin ]

    texte :

    Φοβού τους Δαναούς
    Laocoon à Priam, roi de Troie,
    cité par Homère dans l’Iliade (-800)

    Timeo Danaos
    Virgile dans l’Énéide (-26)

    Yunan dikkat
    Seyyid Ali Pasha
    Grand Vizir de l’Empire Ottoman à son sultan Mamhud II (1821)

    « Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire » Noam Chomsky

    Hüte dich vor Griechen
    Hitler à Mussolini (1940)

    Beware greeks
    Churchill à Truman (1946)

    Méfie-toi des Grecs
    Merkel à Sarkozy (2011)

    [couverture de livre]
    Paroles de murs athéniens Yannis Youlountas
    125×220 mm, 64 pages en quadrichromie sur papier glacé recyclé 170 g
    Yannis Youlountas, Les Éditions libertaires, Collection Paroles, 13 euros

    [photo]
    Conception du « Cheval de Troie contemporain »
    d’après les photos de Yannis Youlountas : Quentin Sirvin

    2008-2012 : la Grèce vue (pour une fois) du côté de ceux qui luttent

    Imprimé par la Société Coopérative Ouvrière de Production Imprimerie 34 à Toulouse


    sources :
     












    [Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne  ; Allemagne : histoire : 1945-1989 (Est )
    • Noms cités (± liste positive)  : Gauger, Christian (ca1941-....)  ; Suder, Sonja (ca1932-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos (banderoles)

    texte :

    Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger

    Le 14 septembre 2011, Sonja Suder et Christian Gauger, dont l’extradition avait été refusée par la France en 2001, ont pourtant été extradés vers l’Allemagne. Cette véritable forfaiture a été permise par la signature de nouveaux accords franco allemands… à effet rétroactif !

    Accusés d’avoir appartenu, il y a 35 ans, aux RZ (Cellules Révolutionnaires), ils ont été emprisonnés dès leur arrivée à Francfort, dans l’attente d’un procès. L’accusation tente d’établir leur participation à des actions contre l’armement nucléaire de l’Afrique du Sud de l’apartheid, la gentrification des quartiers populaires et le mondial de foot dans l’Argentine de la dictature militaire.

    Christian a été libéré, son état de santé ayant été reconnu incompatible avec une détention, mais Sonja reste emprisonnée, sa mise en liberté provisoire ayant été refusée par deux fois.

    Après ce deuxième refus, Sonja avait engagé contre ses juges une requête en récusation.

    Dans leur argumentaire pour refuser sa mise en liberté provisoire, ses juges manifestaient en effet un manquement évident à leur « devoir d’impartialité », pourtant la plus importante des règles formelles d’un « procès équitable », règles qui sont censées être les leurs ...

    Au centre des accusations qu’ils font peser sur Sonja, celle d’une implication dans la logistique de la prise d’otages dite « des ministres de l’OPEP » à Vienne, en 1975. Pour étayer leur « conviction », ils s’appuient exclusivement sur le témoignage de Hans Joachim Klein, qu’ils évaluent, avant même le procès, comme vrais !

    Pourtant sa parole a déjà été reconnue non probante par le tribunal de Francfort : en 2001, à son procès, il a mis en cause un autre militant par le même témoignage qui concerne aussi Sonja, et ce dernier a été acquitté, les juges reconnaissant la "non fiabilité" de la mémoire de celui qu’ils qualifient de « témoin de bonne volonté » Klein bénéficiera, à l’issue de son procès, allègement et d’aménagements de peine, suivis d’une grâce officielle.

    La requête en récusation de ses juges par Sonja a été repoussée par une décision du 29 février.

    Cet acharnement judiciaire, même pas dissimulé, montre bien une volonté d’Etat de punir Sonja pour le fait d’avoir, il y a 35 ans, choisi la liberté et de ne pas vouloir, aujourd’hui, participer à un simulacre de rite processuel : Sonja et Christian ont décidé de répondre aux inquisitions des juges par leur silence. Ils s’opposent ainsi à la volonté d’intimidation et de criminalisation des derniers « témoins » des mouvements des années 70.

    Sonja est emprisonnée depuis 6 mois, durée maximale "normale" de l’incarcération préventive en Allemagne. Une troisième demande de mise en liberté provisoire a été faite.

    En cas de refus, Sonja, risque une longue incarcération : le procès est prévu en Juin et la longueur traditionnelle des jugements en Allemagne, les conditions particulières liées à l’état de santé de Christian, le calendrier de l’année judiciaire, se conjuguent pour rendre possible cette punition préventive aberrante et intolérable.

    Samedi prochain 21 Avril à 16 h 30
    à l’Espace Louise Michel, 42 ter rue des Cascades Paris 20e Projection de films témoignages
    Débat en présence de l’avocat de Sonja suivis d’une soirée amicale à la maison ouverte,
    67 rue de la Mare Paris 20e


    sources :

    www.stopextraditions.org


    2011
    Affiche liée




    [Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , rose , jaune , papier blanc ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (silhouette de manifestation, mats de hauts-parleurs et de sirènes ?, feux d’artifices)

    photo (pavage de rue, barbelés)

    texte :

    Vers le centre de rétention de Vincennes

    manifestation sonore et nocturne

    Les centres de rétention comme les autres lieux d’enfermement sont un des moyens répressifs pour l’État d’asseoir son pouvoir et d’étendre le contrôle sur la société. Ils sont banalisés et admis comme faisant partie d’un système qui fonctionne du mieux qu’il peut. De toute évidence, la machine rodée de la politique migratoire fait face à des individus qui ne veulent pas subir leur exploitation et leur enfermement.
    Des révoltes ont lieu dans les prisons pour étrangers en Europe et ailleurs.
    S’organiser pour lutter contre les centres de rétention et les fronti !res, c’est s’opposer aux outils de contrôle et de répression qui vont avec.

    Nous refusions de nous laisser contrôler et enfermer dans des prisons et des frontières.
    Attaquons les lieux d’enfermement et le système qui les produit.

    liberté pour toutes et tous, avec ou sans papiers

    Vendredi 16 novembre à 18 h à l’heure !
    à la gare de Joinville-le-Pont (RER A)


    sources :
     




    [10e Critérium sauvage des Cascades, 29 septembre 2013]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    10e Critérium sauvage des Cascades, 29 septembre 2013]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 64 × 46 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : sport
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (café, lieu d’arrivée, avec skate et vélos garés)

    texte :

    Commune de Bellevill’Montant

    Avis à la populasse !

    Dimanche 29 septembre 1913 - 14 h

    10e Critérium sauvage des Cascades

    Déroulement et parcours officieux du critérium sauvage des Cascades :
    La participation au critérium sauvage des Cascades est ouverte à tous les gonzes et gonzesses sans discrimination de quartiers d’origine (banlieue, province, et étranger compris). Les inscriptions se feront de 14 h a 14 h 30 juste avant le départ au bistroquet dit « La Fontaine d’Henry IV » sis au 42 bis rue des Cascades à Ménilmontant. Le critérium se fait en 10 tours du parcours suivant (hors trichailleries de bon alois) : départ vers 14 h 30 rue des Cascades, devant l’trocson - descente rue des Savies - remontée rue d’la Mare - descente rue des Couronnes - descente rue Henri Chevreau - remontée rue de l’a Mare (en entière c’coup ci I) - sprint de fin de tour par la rue des Cascades, et on r’commence… Jusqu’à la fin, mais on a le droit d’abandonner.

    Règlement non officiel du critérium sauvage des Cascades :
    Le matériel vélocipédique devra être composé d’au moins une roue mue par la force mécanique, intellectuelle ou pataphysique des concurrent-es. Engins à 3 roues ou plus ainsi que les variantes manufacturées (tandems par exemple) ou bricolées (caisses à savon et autres machines infernales) sont bien sûr autorisés (pas de rollers bien sur). Le dopage est laissé à l’appréciation de chaque participant-es… 3ème mi-temps aura lieu dès la fin de la course. Il faut tout de même effectuer au moins un tour du quartier pour accéder au tableau de classement de l’héroïsme local. Il n’y aucune récompense ni gain à espérer, la casquette Number one étant remise en jeu chaque année, mais on la recherche car les rigolos vainqueurs du 8e criterium ne l’ont pas rapporté, tsss…

    Animation musicale toute l’aprèm avec :

    Le Zoubir Orchestra, Riton la Manivelle, et la fanfare Vent de panique


    sources :
     


    [À bas la France]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    À bas la France]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (merles noir et rouges face à face) ]

    texte :

    À bas la France

    Parce que nous n’oublions aucune de ses horreurs, parce que ses massacres et ses bombardements qu’ils soient humanitaires, colonialistes, nationalistes, pour du pétrole ou pour son honneur nous ont exterminés, nous ont fait croire qu’il n’était plus possible de choisir la rébellion. Nous lui crachons dessus, nous nous essuyons avec son drapeaux, nous dégueulons sa marseillaise, nous brûlons ses postes-frontières et nous profanons ses sanctuaires et ses idoles tachées du sang de nos frères et sœurs apatrides.

    À bas toutes les nations et les frontières

    Parce que la prétendue appartenance nationale n’est pas innée, mais enseignée à coup de servitude, parce que c’est un concept religieux, on est français, tunisien, portugais ou malien exactement comme on est chrétien, musulman ou juif, et on vote exactement comme on va à la messe. Parce que c’est au nom des nations que riches et puissants d’endroits différents mais tous de la même puanteur, se font la guerre à coup de chair à canon. À bas toutes les frontières, parce que, comme toutes les autres normes, elles définissent les indésirables et elles séparent les bonnes des mauvaises graines, français ou immigré, avec ou sans papiers, barbare ou civilisé. C’est en leur nom que chaque jour, l’ordure étatique et policière et les collaborateurs de la machine à expulser raflent, enferment, expulsent et tirent à vue le long des lignes de démarcations étatiques.

    À bas tous les politiciens

    Parce ce sont eux qui administrent la si banale apocalypse permanente dans laquelle nous vivons depuis des siècles, passant des mains des maîtres à celles des curés puis des propriétaires pour finir sous la coupe de la marchandise et du contrôle diffus. Car que ce soit à coup de frappes chirurgicales, de matraque, de justice, de guerres propres ou de paix sale, de prison et de turbin, de camps humanitaires, de concentration ou d’extermination, de référendum, de beaux discours ou de bombes atomiques, les politiciens n’ont pour seul but que de maintenir leur pouvoir et de l’étendre, se concurrençant les uns les autres pour la mainmise sur le bétail du parc humain.

    À bas la résignation

    Parce que la liberté n’apparaîtra pas miraculeusement, parce que le capitalisme ne s’effondrera pas tout seul, parce que ceux qui tombent sur les lignes de front de la guerre sociale ne doivent pas rester seuls face aux juges et autres croque-morts de ce monde, parce qu’il ne sert à rien de se plaindre et que nous ne voulons plus être des victimes, parce qu’il n’y a qu’une seule entité réelle, la terre, et que dans les conditions qui nous y sont faites, il n’y a qu’une seule façon d’y vivre : à couteaux tirés avec ce monde de fric, de prison, de pouvoir, de contrôle, de médiocrité et d’ennui.

    Parce qu’on ne peut entrer dans un monde meilleur autrement que par effraction.

    Dans cette guerre sociale, n’écoutons plus les sirènes nationalistes et politiques, car comme les feuilles, les promesses tomberont l’automne venu. Dans un monde où toute liberté est désordre sauf celle de consommer et de choisir son maître, il n’y a rien à défendre, mais tout un ordre à attaquer partout où il se trouve.

    Pour un monde sans États, ni patries, ni frontières, ni prisons, ni nations.

    Que nos passions détruites se transforment en passions destructrices.


    sources :

    « Affiche trouvée sur les murs de Paris, avril 2013. » sur : http://www.socialisme-libertaire.fr/2020/09/a-bas-la-france.html





    [Cultures et luttes sociales… pimentez votre week-end !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Cultures et luttes sociales… pimentez votre week-end !]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; édition  ; guerre (généralités)  ; lutte des classes  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Castel, Nicolas  ; Friot, Bernard (1946-....)  ; Gravagna, Sylvie
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos ]

    texte :

    [logo chat cerclé CNT] Plus d’infos sur : http://www.cnt-f.org/urp — CNT — RP - 33, rue des Vignoles - 75020 Paris - Téléphone : 01 43 72 95 34 - mail br.rp@cnt-f.org
    Confédération nationale du travail

    Cultures et luttes sociales… pimentez votre week-end !

    11-12-13 octobre 2013

    au local de la CNT, 33 rue des Vignoles, Paris XXe, M° Avron/Buzenval

    Vendredi 11 octobre à 19 h

    Débat avec Nicolas Castel autour du livre La Retraite des syndicats

    Nicolas Castel, sociologue, est chercheur à l’Université de Lorraine et à l’Institut européen du salariat (notamment avec Bernard Friot). Il étudie dans ce livre l’évolution et les limites du discours des grandes centrales syndicales sur le système de sécurité sociale et face aux différentes réformes des retraites.

    Samedi 12 octobre de 10 h à 19 h

    Salon du livre, neuf et occasion

    Dimanche 13 octobre à 15 h

    Théâtre avec Victoire, la fille du soldat inconnu de Sylvie Gravagna

    Victoire, la fille du soldat inconnu (Sylvie Gravagna/Un Pas de Côté) : à travers les aventures très ordinaires de Victoire Bayart, dite « Chourinette », Sylvie Gravagna redonne vie aux oublié(e)s de l’histoire. Les ficelles du théâtre et du cabaret crochètent un récit alerte traversé d’émouvantes figures féminines. Léger comme une comédie musicale, sérieux comme du théâtre historique, un spectacle à l’humour caustique, sensible et documenté.


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche-oct2013.jpg



    [De la lutte en milieu urbain]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De la lutte en milieu urbain]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [41 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : architecture  ; art : cinéma  ; contrôle social  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Clerval, Anne  ; Debry, Jean-Luc (1954-....)  ; Fibre, La  ; Garnier, Jean-Pierre (1940-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (barbelés) ; dessin (esquisse de ville moderne forteresse) ; empreinte de patte de chat avec griffes ]

    texte :

    De la lutte en milieu urbain

    Quelles stratégie pour la reconquête du « droit à la ville » ?

    Venez participer à cet après-midi d’échanges et de réflexions entre militant-es, étudiant-es, universitaires et habitant-es, sur les résistances et alternatives aux politiques urbaines fondées sur la marchandisation, la privatisation et la remise en cause des solidarités de classe. Quatre débats seront organisés autour des questions de gentrification, de contrôle sécuritaire, d’étalement urbain et de résistances. Chaque débat commencera par une courte intervention d’un-e militant-e ou d’un-e universitaire, suivie par un débat avec les personnes présentes.

    Après-midi de rencontre et de débat autour des questions urbaines

    samedi 16 novembre 2013 à partir de 14 h

    à la CNT-F au 33 rue des Vignoles - Paris 75020
    Contact : cnt.esa@gmail.com
    entrée : prix libre

    Introduction de la journée par les membres de la section syndicale CNT de l’école spéciale d’architecture

    14h-15h : Le sens politique de la gentrification
    Débat introduit par Anne Clerval, géographe

    15h-16h : La ville sous contrôle sécuritaire
    Débat introduit par Jean-Pierre Garnier, sociologue

    16h-17h : L’étalement urbain
    Débat introduit par Jean-Luc Debry

    17h30-18h15 : Projection du film Marseille, capitale de la rupture
    Réalisation et production LA RABIA DEL PUEBLO (20’13) ©

    18h15-18h30 : Le 33, au cœur du droit à la ville…

    19h-20h : Les stratégies de lutte pour le droit a la ville

    21h00 : Concert de soutien - La Fibre
    (Cegi, Dayer, Gangrène, Sticky Snake) - Rap Rouge & Noir – Aveyron
    http://lafibre.bandcamp.com/album/s-t

    Table de presse assurée par la librairie Quilombo
    23 rue voltaire, 75011 Paris - www.librairie-quilombo.org

    Cet après-midi d’échanges et de débats est proposé par la section syndicale cnt-ste75 de l’École spéciale d’architecture.

    la journée se terminera par une soirée-concert avec petite restauration et bar autogéré.

    CNT ESA


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/pdf/affiche_lutte_final_bd.pdf


    2014
    Affiche liée





    [Fête des éditions Noir et rouge, samedi 2 février 2013]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête des éditions Noir et rouge, samedi 2 février 2013]. — Paris : Noir et rouge éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Creagh, Ronald (1929-2023)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; image (homme, accroché à un tronc de palmier à visage de femme, lisant un livre d’où s’échappe une lune et des étoiles, mais et caractères) ; vignette (couverture d’un livre de Ronald Creagh) ]

    texte :

    Fête des éditions Noir et rouge

    À l’occasion de la sortie de son premier livre Élisée Reclus et les États-Unis, l’équipe des éditions Noir et rouge souhaite réunir tous et toutes ses ami-e-s.
    Ce sera un moment privilégié pour vous présenter notre projet éditorial, pour rencontrer notre projet éditorial, pour rencontrer Ronald Creagh, notre premier auteur, et pour écouter vos critiques et vos suggestions.

    Samedi 2 février, 12 h à 18 h
    au centre culturel la Clef
    34, rue Daubenton - 75005 Paris
    M° Censier-Daubenton

    14 heures : présentation du projet éditorial
    14 heures 30 : rencontre avec Ronald Creagh

    Vente de livres d’occasion.
    À partir de midi un buffet et une buvette seront à votre disposition afin de vous restaurer.


    sources :

    Affiche ou tract.

    http://cnt-so76.org/actualites/fete-des-editions-noir-et-rouge-le-2-fevrier/






    [Halte à la répression en Égypte ! Manifestation]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Halte à la répression en Égypte ! Manifestation]. — Paris : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Égypte
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin ]

    texte :

    Halte à la répression en Égypte !

    Solidarité avec le Mouvement socialiste libertaire et le peuple égyptien !

    [اش رة ضش ة ?]

    Manifestation

    Place du Trocadéro — Dimanche 24 février à 15 h 00

    Alternative libertaire — Fédération anarchiste — Coordination des groupes anarchistes


    sources :

    Extrait du communiqué des organisateurs (20 février 2013) : « Dimanche 21 janvier dernier, plusieurs militants politiques ont été arrêtés après les émeutes provoquées par la police devant le tribunal d’Alexandrie. Parmi eux, on trouve quatre membres du Mouvement Socialiste Libertaire, un militant membre de l’organisation Socialistes Révolutionnaires (trotskyste) et 16 autres sans affiliation. Tous sont des activistes qui se battent contre le régime réactionnaire issu des Frères musulmans. Après le 21 janvier les inculpés ont été emprisonnés abusivement pendant une vingtaine de jours. Aujourd’hui, ils sont libérés sous caution, sauf le militant trotskyste et ils attendent tous encore leur jugement. […] 
    Signataires : Alternative Libertaire, Fédération Anarchiste, Coordination des Groupes Anarchistes, Mouvement Désobéissance (Tunisie). ».

















    [Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]. — Paris : CNT_F (France), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (avec argumentaires d’exemples façon texte manuscrit scolaire) ; photo (montage : ouvrier mi-blanc mi-noir, avec casque de chantier, sur fond de chantier de construction) ; filigrane (poing levé) ]

    texte :

    Rythmes scolaires

    Rythme des enfants

    Dans les communes où la réforme a été mise en place, les enfants restent plus longtemps à l’école : autant d’heures de classe, plus d’heures d’école !

    Les enfants n’ont plus de coupure en milieu de semaine, parents et enseignant-e-s constatent une fatigue accrue pour les enfants après seulement quelques semaines de classe.

    Les journées sont tellement fragmentées que les élèves sont désorienté-e-s, particulièrement en maternelle.

    À Paris, les enfants de petite section sont réveillé-e-s de la sieste, ils sont pris en charge par trois adultes différent-e-s dans la même journée. Difficile dans ces conditions de structurer l’espace et le temps.

    On prétend prendre en compte le rythme de vie des enfants mais ce sont surtout les intérêts économiques qui priment : pour ne pas froisser l’industrie touristique, on ne touche pas au système des zones pour les petites vacances, ce qui crée des périodes travaillées qui varient de 5 à 12 semaines.

    Conditions de travail des adultes

    Pendant le temps périscolaire, les disparités de salaires et de statuts entre : l’enseignant, l’animateur titulaire, l’animateur précaire, l’ATSEM, bénévoles associatifs... sont aggravées. Ils font pourtant le même travail avec les mêmes enfants.

    En raison du manque de locaux disponibles, le lieu de travail des enseignant-e-s leur échappe, tandis que les animateur-rice-s ne peuvent s’approprier leur espace de travail.

    L’augmentation du nombre maximum d’enfants par adulte a été décidée pour faire des économies. Les activités sont donc plus difficiles à mettre en place et la sécurité des enfants en pâtit.

    Malgré l’avis du Conseil Constitutionnel, on est passé de 10 à 14 enfants pour un adulte en maternelle, et de 14 à 18 en élémentaire.

    Les difficultés de recrutement ainsi que le non-remplacement aggravent la situation du taux d’encadrement et génèrent des sureffectifs parfois hallucinants.

    À Paris, il n’est pas rare qu’un animateur se retrouve seul avec 50 enfants dans la cour.

    Ces conditions de travail et d’encadrement engendrent du stress, de la fatigue, des tensions, des démissions... ce qui a des conséquences sur la qualité des activités proposées aux enfants sur les temps scolaires et périscolaires.

    Aggravation des inégalités

    Les activités périscolaires sont financées par les communes, or elles n’ont pas ou ne se donneront pas toutes les mêmes moyens pour les mettre en place.

    Selon les communes, voire les quartiers, le tissu associatif, les activités disponibles et les équipements culturels et sportifs varient considérablement.

    Si la seule association du village est l’Amicale des chasseurs, Doudou Lapin a peut-être de quoi s’inquiéter

    Le contenu des activités peut varier selon la couleur et les choix politiques de la mairie. Celles-ci ont un pouvoir réel sur le contenu du périscolaire, dans le cadre du Plan Éducatif Territorial.

    Avec cette réforme, c’est la porte ouverte au clientélisme et aux fondations privées à visées mercantiles.

    Le 9 juin 2013, le ministère de la Jeunesse et des Sports a signé une convention de trois ans avec la Fondation Total pour financer les « activités culturelles en dehors du temps scolaire notamment en accompagnant la réforme des rythmes éducatifs ». Total promet 4 millions d’euros pour pallier les difficultés financières des communes.

    Pour des raisons financières ou politiques, les communes peuvent être amenées à faire payer les activités, certaines le font déjà.

    À Cours-sur-Marne, la mairie fait payer toutes les activités aux familles, 4 euro de l’heure, quels que soient leurs revenus. À Grenelle, la garderie, pompeusement rebaptisée « récréative », est gratuite mais les activités culturelles ou sportives sont payantes.

    Ainsi selon le lieu de scolarisation des enfants, ils n’auront ni les mêmes activités, ni les mêmes moyens, ni les mêmes rythmes : où est l’égalité dans tout ça ?

    Retrait de la réforme !

    Nos besoins :
    • L’école a besoin de personnels pour assurer les remplacements et réduire les effectifs dans les classes, accompagner les élèves en situation de handicap, assurer l’entretien de locaux,...
    • Elle a besoin de financements et de programmes qui permettent la mise en place, sur le temps scolaire, d’activités pédagogiques ouvertes sur le monde.
    • Le périscolaire doit être un vrai projet avec des vrais moyens et des personnels formés et respectés.

    Cette réforme est-elle vraiment la priorité ?

    Fédération CNT des travailleurs-euses de l’Éducation
    fede-educ@cnt-f.org — 06 26 50 01 36 — http://www ;cnt-f.org/fte


    sources :

    http://www.cnt-f.org/ud57/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf
    https://web.archive.org/web/20150505221013/http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf



    [Semaine anticoloniale et antiraciste 2013, 8e édition]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Semaine anticoloniale et antiraciste 2013, 8e édition]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) ; Paris : La Parole errante ; [et al.], (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 59 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : colonialisme  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    texte
    dessin (visage de « tirailleur sénégalais » tel qu’utilisé dans la publicité commerciale pour la marque Banania avec le slogan déformé : « Y’a bon colonisation ! »)
    photo (main gantée de blanc apportant un globe terrestre (à l’image inversée))

    texte :

    Semaine anticoloniale et antiraciste

    16 février - 3 mars 2013 / 8e édition

    16-17 février 2013
    Salon anticolonial à la Bellevilloise
    21, rue Boyer, Paris 20e

    Crimes coloniaux — Fahrat Ached — Amilcar Cabral… — Esclavage et réparations — Contrôle au faciès, sans-papiers — Égalité des droits — Peuples sans État — Syndicalisme et colonisation — Colonial Tour — Festival du film anticolonial

    Palestine — Kurdistan — Sahara occidental — Roms — Haïti — Tamil Eelam — Françafrique…

    1er mars 2013
    Concert Zep+ Skalpel 1re ligne
    La Parole errante, Montreuil

    2 mars 2013
    marche contre le racisme et le colonialisme
    départ 14 h Barbès

    programme complet sur www.anticolonial.org

    [logos] Médiapart - SaphirNews.com - D’ailleurs nous sommes d’ici - ??? - ??? - basta ! - Maison de l’Afrique - africultures - Nova - L’Humanité - Tout est à nous ! - Institut des cultures d’ ??? - Région Ile-de-France - macmag.??? - Politis - Paris 2e - Salam news- La Bellevilloise - Beur FM - Respect - Afriscope

    [Imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :