travail, emploi

 

 

Affichage par année

157 affiches :

 

    [Projection « Des corps en chaine » au Centre culturel libertaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Projection « Des corps en chaine » au Centre culturel libertaire]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; santé  ; travail, emploi
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    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo solarisée (deux mains tenant une clé plate) ]

    texte :

    Samedi 17 novembre
    18 h
    Centre Culturel Libertaire
    4, rue de Colmar, Lille

    Entrée libre

    Projection Des corps en chaine

    « C’est pas simple de décrire une chaine.… Ce qui est dur en fin de compte, c’est d’avoir un métier dans les mains. Moi je vois, je suis ajusteur, j’ai fait trois ans d’ajustage, pendant trois ans, j’ai été premier à l’école… Et puis, qu’est-ce que j’en ai fait ? Au bout de cinq ans, je ne peux plus me servir de mes mains. J’ai un doigt, le gros, j’ai du mal à le bouger, j’ai du mal à toucher Dominique le soir. Ça me fait mal aux mains. La gamine, quand je la change, je peux pas lui dégrafer ses boutons. Tu sais, t’as envie de pleurer dans ces coups-là. Ils ont bouffé mes mains. J’ai envie de faire un tas de chose et puis, je me vois maintenant avec un marteau, je sais à peine m’en servir. C’est tout ça tu comprends. T’as du mal à écrire, j’ai du mal à écrire, j’ai de plus en plus de mal à m’exprimer. Ça aussi, c’est la chaine »


    sources :

    http://lille.cybertaria.org/?article2232




    [Work is wage slavery Property is theft]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Work is wage slavery Property is theft]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Canada
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    notes :
    descriptif :


    text

    photo (travail en usine de conserverie de poissson ?)

    texte :

    Work is wage slavery

    Property is theft

    The history of the economy is the history of theft.
    Look at the piece of land you’re standing on. It was once tended by people who knew how to provide for themselves and their communities without destroying the environment. The possibility of dignified life and work was killed by the governments and land owners who organized colonizing armies and brought over labour gangs of indebted European immigrants and kidnapped African slaves.

    In both cases, we see the pattern of forced dependence. People who were actually working in a dignified way – which is to say, for themselves, for their communities, at their own pace – were prevented from doing so through the organized violence of colonisation. Land that had belonged to everyone was divided up and usurped by the elite, the ancestors of many of those who are still wealthy today. Even after colonization, labour was little more than a tax. Give up a certain amount, more if you were black and less if you were white, and keep the rest to feed yourself. You could at least still see the product of your labour, and nourish yourself with it.

    But then something happened. Slavery gradually ended – not in a sudden moment of liberation, as the history books tell it, but through a gradual shift towards the more profitable system of wage slavery. While no longer forced to work at gunpoint, the end

    result is the same with all of the means of survival out of reach without money ; people are forced to work, spending their time in the service of capital. Prisons and police await those who disobey. No one was liberated. Rather, black and white were transformed into machines.

    Where’s the use in outright slavery when the bank can own your house, the boss can own your time, the collection agency contracted by the credit card company or the National Student Loans Centre can own your future, fashion companies can own your insecurities, Hollywood producers can own your heart, and the newspapers can own your mind ? The daily life of a worker-consumer only consists of scrambling around to appease her owner’s needs.

    The factory system makes workers a part of the process. The service sector jobs of today go even further, making demands of our very moods. No longer do we owe our bosses merely a certain amount of product, or even a certain amount of time, but a measured quantity of enthusiasm. Service with a smile. Who can imagine a more intimate form of violence ? We’re not even allowed to be depressed by our total lack of power over our own lives. Already by the age of five, the sullen and the impatient ones are screened out for Prozac and Ritalin prescriptions. Kids diagnosed with disorders are often suddenly “cured” when they are allowed to organize their own lives, or determine their own rhythms. But once the needs of the economy send them back to work, back to school, suddenly they relapse and have to go back on pills.

    The disorder is the society that sends bodies through a meat grinder, that demands we become interchangeable parts. The blackmail is the society that demands everything from us – not just our time, our obedience, and our energies, but also our friendliness and good faith – and gives us nothing in return but the means to participate in it more fully, on its terms, spending our meager wages on resources stolen from across the entire planet ; the right wardrobe, the right diet, the right music collection. In fact, this careful assemblage of mass-produced goods is the only legal way we have to express our individuality.

    At the base, those who extol the virtues of work are the same old blackmailers : work for us or starve in the gutters. But once we begin negotiating those who call themselves leaders, they only start to make more demands of us. Let’s not negotiate with the world of work and misery that we desire only the end of, but attack it in order to destroy it…

    While misery exists, we choose rebellion.

    mtlcounter-info.org — sabotage.anarkhia.org


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/work/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/work.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/le-travail/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/travail.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées




    [Le travail est un crime]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail est un crime]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
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    descriptif :


    texte

    photo (émeutier ? dans une rue vide)

    texte :

    Le travail est le plus grand affront et la plus grande humiliation que l’humanité ait commis contre elle-même.

    Le travail est la grande malédiction. Il produit des hommes sans esprit et sans âme.

    Quand nous cesserons de travailler, enfin la vie commencera pour nous.

    Le travail est un crime

    Je ne prétends pas qu’il faut tout simplement quitter son patron demain et voir ensuite comment bouffer sans travailler, en étant convaincu que la vie commence. Si on est contraint de vivre dans la dèche, c’est déjà assez malheureux, le fait de ne pas travailler aboutissant dès lors, dans la plupart des cas, à vivre sur le dos des camarades qui ont du travail. Si tu es capable de gagner ta vie en pillant et en volant - comme disent les honnêtes citoyens - sans te faire exploiter par un patron, eh bien, vas-y ; mais ne crois pas pour autant que le grand problème soit résolu. Le travail est un mal social. Cette société est ennemie de la vie et c’est seulement en la détruisant, puis toutes les sociétés de labeur qui suivront - c’est-à-dire en faisant révolution sur révolution - que le travail disparaîtra.

    C’est alors seulement que viendra la vie - la vie pleine et riche - où chacun sera amené, par ses purs instincts, à créer.

    Créer est une joie intense, travailler est une souffrance intense.

    Tout travail est criminel.

    Travailler c’est collaborer à faire des bénéfices et à exploiter ; c’est collaborer à la falsification, à la fourberie, à l’empoisonnement ; c’est collaborer aux préparatifs de guerre ; c’est collaborer à l’assassinat de toute l’humanité.

    Le travail détruit la vie.

    Voilà pourquoi nous allons saboter consciemment chaque entreprise capitaliste. Chaque patron essuiera des pertes par notre fait. Là, où nous, jeunes révoltés, sommes obligés de travailler, les matières premières, les machines et les produits seront obligatoirement mis hors d’usage. À chaque instant les dents sauteront de l’engrenage, les couteaux et les ciseaux casseront, les outils les plus indispensables disparaîtront - et nous nous communiquerons nos recettes et nos moyens.

    Nous ne voulons pas crever à cause du capitalisme : voilà pourquoi le capitalisme doit crever à cause de nous.


    sources :
     















    [Non à la désintégration du Code du travail !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la désintégration du Code du travail !]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : grève  ; travail, emploi
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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (affiche aux poissons vue en plongée : « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! ») ]

    texte :

    « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! — www.cnt-f.org »

    Non à la désintégration du Code du travail !

    Malgré les quelques miettes concédées aux syndicats réformistes pour acheter leur adhésion, rien n’a changé, l’objectif reste le même I Ce projet de loi est une véritable régression historique en matière de droits sociaux : de nombreux acquis des travailleurs pourront être renégociés à l’échelle des entreprises où le rapport de force sera systématiquement défavorable aux salariés.

    Décryptage :
    les principes fondamentaux du code du travail remis en cause

    1- L’inversion de la hiérarchie des normes, c’est livrer les pleins pouvoirs au patronat
    Un accord d’entreprise est un accord conclu entre un employeur et une ou plusieurs organisations syndicales en vue de fixer des règles relatives aux conditions de travail, à l’emploi ou aux garanties sociales des salariés. Jusqu’ici la loi primait sur l’accord de branche qui primait sur l’accord d’entreprise, sauf si l’accord de branche ou d’entreprise étaient plus favorables. Avec le projet de loi, c’est l’accord d’entreprise qui prévaut sur l’accord de branche, même si celui-ci est moins favorable aux salariés.

    2- Recours au référendum pour bâillonner les syndicats de lutte
    Les règles de la négociation collective ont été également modifiées pour recourir au référendum afin de contourner la discussion syndicale. Cette pratique, qui veut faire croire à plus de démocratie, prendra en réalité la forme d’un chantage pour les salariés en leur proposant de renoncer à une part plus ou moins importante de leurs acquis sociaux en échange du maintien de leur activité. La démocratie ne fonctionne qu’entre égaux, or dans une entreprise, il n’y a pas d’égalité entre le salarié et son patron, donc pas de démocratie réelle possible. De plus, le référendum d’entreprise sera également un outil formidablement pratique pour repérer et isoler les éléments contestataires puis briser l’action collective.

    3- Temps de travail et salaires modulables en fonction des besoins de l’entreprise
    Sur simple accord d’entreprise, les congés et les heures supplémentaires pourront être modifiés, assouplis, imposés. De plus désormais, refuser une modification de son contrat de travail (salaire, temps et lieux de travail) pourra mener à un licenciement pour faute grave sans contestation possible. Combien de salariés oseront encore s’opposer à leur employeur ? Combien de salariés oseront encore lutter pour de nouveaux droits ?

    4- Légalisation des licenciements abusifs
    Ce projet de loi a prévu de redéfinir le licenciement économique. Une entreprise pourra faire un plan social sans avoir de difficultés économiques. Une baisse ponctuelle des commandes ou du chiffre d’affaires permettra d’effectuer des licenciements. L’introduction à titre indicatif d’un barème des indemnités prud’homales en cas de licenciement illégal permettra à l’employeur de prévoir à l’avance les dépenses d’un licenciement sans motif réel, lui permettant ainsi de limiter les risques financiers. Combien de salariés oseront encore saisir les prud’hommes ?

    Confédération nationale du travail Nord Pas-de-Calais

    [logo « chat cerclé »] CNT


    sources :

    http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche-cnt-decryptage-loi-travail.pdf













    [Nouvelle assurance chômage : une guerre ouverte contre les travailleurs !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nouvelle assurance chômage : une guerre ouverte contre les travailleurs !]. — Toulouse : CLASSE (Collectif de Liaison pour l’Autodéfense et la Solidarité de clasSE), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; économie : chômage  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (façade « Pôle emploi » cachant une usine dépeçant les chômeur·euse·s : « Les gens, je crois que là, ça serait bien qu’on la joue collectif… ») ]

    texte :

    nouvelle assurance chômage : une guerre ouverte contre les travailleurs !

    Restriction des conditions d’accès aux indemnités chômage
    Il faudra avoir travaillé 6 mois sur les 24 derniers mois, au lieu de 4 sur 28.

    Fin des droits rechargeables
    Il faudra travailler au moins 910 heures pour une « recharge », soit autant que pour ouvrir des droits.
    le nouveau calcul du salaire journalier tous les jours sur une période donnée seront pris en compte pour calculer les indemnités journalières, y compris les jours non travaillés, ce qui a pour effet de réduire violemment leur montant.

    Introduction de la dégressivité des indemnités
    Après 6 mois d’indemnités touchées, celles ci diminueront de 30 %. Cela ne concerne – pour l’instant – que les gros salaires (supérieurs à 4500 euros).

    Derrière cette réforme, l’État nous pousse à travailler à n’importe quel prix, sous n’importe quelle condition, jouant ainsi son rôle de commissaire de l’exploitation. Plus d’un million de personnes sont directement touchées par la réforme et ce n’est qu’un début. La réforme du chômage et celle des retraites nous donnent un goût de l’avenir que les patrons et l’État nous promettent : notre misère pour leurs profits.

    Ce qu’on peut leur promettre, c’est une résistance acharnée contre notre écrasement. entre amis, au sein de collectifs d’autodéfense de classe ou dans le cadre des mouvements de lutte qui existent ou s’annoncent (gilets jaunes, retraites), nous pouvons la jouer collectif et imposer un rapport de force. rien ne se fera sans nous.

    www.classeenlutte.org — [CLASSE] — classe@riseup.net — f:collectifclasse


    sources :

    http://www.classeenlutte.org/2019/11/13/nouvelle-assurance-chomage-une-guerre-ouverte-contre-les-travailleurs/
    https://i2.wp.com/www.classeenlutte.org/wp-content/uploads/2019/11/Affiche-PE-NB.png


















    [Mort aux chefs !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mort aux chefs !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : lutte des classes  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte long, dactylographié ]

    texte :

    Mort aux chefs !

    Le chef a tort

    Le chef a toujours tort, c’est une crapule.

    Même s’il a raison, il a encore tort, car le tort du chef est qu’il soit chef. Son rôle et sa position sociale font qu’il ne peut avoir que tort dans ses décisions, tort dans sa réalité, tort dans sa raison d’existence, tort dans sa vie. Donc les articles 1 et 2 s’appliquent inévitablement.

    Le chef ne boit pas, il nous pompe l’air et nous suce le sang.

    Le chef ne mange pas, il nous bouffe notre vie, notre temps, notre espace, avec sa misérable parcelle de pouvoir sur les hommes et sur les têtes. Pouvoir qu’il croit ridiculement immuable.

    Le chef se repose sur nous. Son rôle n’est pas de travailler lui-même, mais avant tout de faire travailler les autres. Et cet ustensile est encore satisfait de son rôle de clébard.

    Le chef n’est jamais en retard, il est retenu. Qu’importe ! il n’est et ne sera jamais à l’heure. Quoi qu’il fasse, seule l’heure de sa disparition approche, sans aucune retenue et avec aucun retard. Nous saurons être à l’heure quand il le faudra.

    Le chef "n’existe pas", seule la pesante réalité du travail existe ! Il n’est là que pour faire respecter cette réalité. Il faudra bien commencer à s’en prendre au travail lui-même.

    L’idée qu’il y a de bons et de mauvais chefs est une de ces conneries qu’il faut foutre aux poubelles. Il n’y a que "des" chefs. Il faut démasquer cette pseudo-sympathie derrière laquelle se cache le chef.

    Le chef n’a pas d’idées, amusante évidence ! Lui qui croit penser ce qu’il dit, il le vomit. Sa tête n’est qu’une image, sa bouche, la chambre d’échos de mille et un pets. Pets hiérarchiques, hiérarchisés, supérieurs, pets frénétiques et incontrôlés ; il a la parole, elle ne lui appartient pas. On rentre dans le bureau du chef avec les idées du chef, on en ressort avec ses idées personnelles. On n’a vu personne, sinon un presse-papier, un presse-temps, un presse-sang.

    Le chef n’a aucune relation humaine. Bien sûr, ce misérable s’imagine qu’il peut faire travailler plus encore et reproduire, justifier et perpétuer son rôle avec son charme personnel. Et quand il essaie lamentablement d’être autre chose que la chose qu’il est, il ne trouve rien d’autre que sa plus basse vulgarité ; il ne cherche qu’une bête à baiser.

    Plus on critique le chef, plus il se dégonfle comme une vieille baudruche et une vieille trique en papier. Plus apparait derrière le chef la vieille crapule lamentable, sans intelligence, sans humanité.

    Ne dites plus "Monsieur le chef", mais dites "Crève salope".

    Le chef est un emmerdeur. Il n’est en fait qu’un triste pion. Ses règles de jeux sont à détruire. Pour quelques chefs à perdre, nous avons un monde à gagner.

    L’humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier capitaliste aura été étranglé avec les tripes du dernier chef.


    sources :
     

    [ca  1980]

    [s.d.]
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