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Affichage par année

735 affiches :

 




    [Luxus für alle !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Luxus für alle !]. — Basel [fr]Bâle [ca]Basilea [de] [el]Βασιλεία [en] [eo]Bazelo [es]Basilea [it]Basilea [nl]Bazel [pt]Basileia <  ; Freiburg im Breisgau Fribourg-en-Brisgau : Anne[freiburg] : Plätze.Häuser.Alles (PHA), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (bleu et jaune) ; photo couleur (personnage dans déguisement de vache) ]

    texte :

    Luxus für alle !

    Aus der Krise hilft nur :

    Besetzen. Kollektivieren. Selbstverwalten

    [logo] PHA Plätze.Häuser.Alles — Die Libertären

    www.annefreiburg.blogsport.de


    sources :

    < 2018





    [Quelques charognards qui vivent de l’enfermement : …]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Quelques charognards qui vivent de l’enfermement : …]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    logos d’entreprises

    texte :

    Quelques charognards qui vivent de l’enfermement :

    Sodexo
    […]

    La Compagnie des Bateaux Parisiens
    […]

    Lenôtre
    […]

    Altys
    […]

    Lido
    […]
    Les restaurants de la tour Eiffel, de Roland-Garros, des hippodromes de Longchamp et de Vincennes

    Société Générale
    […]

    Natixis
    […]

    JCDecaux

    Vélib’
    […]

    Bouygues
    […]

    Eiffage
    […]

    Vinci
    […]

    La CGT pénitentiaire
    […]

    SNP-FO personnels de surveillance

    Les prisons en feu ! Les collabos au milieu !


    sources :
     




    [Qu’est-ce que tu regardes ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Qu’est-ce que tu regardes ?]. — Lille : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (vignettes de femmes avec phylactères : « Je suis pas ta jolie », « J’ai pas envie de te eourire », « J’ai pas besoin qu’on me ramène », « Tes compliments ne me font pas plasie », « Laisse-moi tranquille ! », « Mes vêtements ne sont pas une invitation »)

    texte :

    j’en ai marre de regarder ailleurs. de faire semblant de ne pas entendre de changer de trottoir.

    j’en ai marre d’éviter les rues désertes. les wagons trop vides ou trop bondés.

    j’en ai marre de ne pas pouvoir rentrer seule le soir. de respecter le couvre-feu ou d’en assumer les conséquences.

    en rue, dans les transport. au boulot, chaque commentaire, chaque compliment participe au contrôle généralisé des corps et des individues.

    non seulement les femmes doivent correspondre à une norme (hétéro, féminine, mince, belle, souriante, sympa avec les mecs) et celles qui ne s’y soumettent pas sont sanctionnées ; mais même celles qui s’y plient sont condamnées au rappel constant de leur infériorité, leur soumission et leur disponibilité pour les hommes.

    l’espace public reste un des lieux du pouvoir masculin, où les femmes sont en minorité, des étrangères qui ne font que passer par nécessité.

    Qu’est-ce que tu regardes ?

    je ne me laisserai pas exclure par la peur.

    je ne me laisserai pas enfermer dans des endroits qui « me conviennent mieux ».

    si le risque de subir la violence sexiste est la condition de ma liberté,

    alors tous ceux qui l’entretiennent deviennent des ennemis …

    je veux voir des nanas dehors sans leur père leur mari ou leur frèe.

    je veux être traitée comme une personne pas comme un sexe.

    je veux être a l’aise partout et toute heure .


    sources :
     


    [SCALP]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    SCALP]. — Paris : No Pasaran (réseau) : SCALP (Section carrément anti Le Pen), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 80 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : fascisme et antifascisme  ; propagande
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte : dessins (tagueur masqué et "Scalp" peint sur mur de briques) ]

    texte :

    À nous d’agir pour que l’extrême droite ne se sente nulle part chez elle…

    SCALP

    [dessins et divers textes sur le mur]

    Rejoins la lute antifasciste radicale :

    organiser la solidarité et la résistance sociale ; défendre nos libertés

    Réseau No pasaran - 11 ter, rue Voltaire, 75011 Paris


    sources :
     

    2015
    Affiche liée
















    [Plutôt squatteur et mauvais payeur qu’expulseur et spéculateur]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plutôt squatteur et mauvais payeur qu’expulseur et spéculateur]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; solidarité  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    vignettes (gravures de maisons sur des échelles)

    texte :

    Plutôt squatteur et mauvais payeur qu’expulseur et spéculateur

    C’est la merde. Tous les prix augmentent, beaucoup de gens galèrent de plus en plus à payer les factures, les courses… et aussi le loyer. Avoir un toit sur la tête ne devrait pas être un luxe. Mais vu que ç’en est devenu un, certain-es par choix ou par nécessité arrêtent de payer leur loyer, ou squattent des maisons vides.

    Alors ces dernières années l’État a mis en place plusieurs nouvelles lois qui protègent les rentier-e-s et propriétaires, rendant de plus en plus difficile le fait de squatter et pénalisent celleux qui essaient. La dernière loi en date a pour but affiché de mettre en prison les squatteur-ses, ainsi que d’expulser les locataires au bout d’un mois d’impayé.

    Et pour rendre tout ça acceptable, les médias et la bourgeoisie créent des mythes : les malheureux-ses petit-es proprios qui, chassé-e-s de leurs maisons alors qu’iels étaient juste parti-e-s en vacances, se retrouveraient à la rue. Ces histoires mensongères et larmoyantes créent de l’empathie chez plein de gens qui ont peur de travailler toute leur vie pour finir par se faire "voler" leur maison par des méchantes squatteuses.

    Mais si t’as une maison que t’as galéré a te payer, ben t’habites dedans, non ?

    La réalité est loin du mythe. les bâtiments ou maisons squattées sont en grande majorité des lieux abandonnés depuis des années ! Souvent c’est des multi proprios qui les laissent vides car ça prend de la valeur avec le temps et qu’iels pourront revendre plus cher plus tard : ça s’appelle la spéculation.

    Squatter ou ne pas payer son loyer c’est ne pas respecter les règles du jeu de ce monde de merde qui est basé sur la thune, la propriété privée, la compétition…

    Alors ça serait tricher, ça serait injuste : si certains galèrent et travaillent autant, pourquoi d’autres pourraient avoir un toit sans payer ?

    Parce que les seul.es qui gagnent à ce petit jeu c’est les riches et toutes celles qui ont un intérêt à maintenir l’ordre existant. Bien content-e-s que la colère soit dirigée sur ceux qui trichent plutôt que sur eux. Parce ce que ce jeu dégueulasse bousille les corps et les cœurs. On veut essayer de faire autrement, on a pas envie de perdre notre vie à la gagner !

    Parce que squatter ça permet de vivre dans des baraques qu’on pourrait jamais se payer ni même louer Parce qu’on galère à payer un logement ou juste à l’obtenir, qu’on a pas d’alternative ou pas les bons papiers Parce qu’on a besoin d’espaces où l’on peut s’organiser contre ce monde et se rencontrer Parce qu’il y a plein de maisons vides (3,5 millions en france), alors pourquoi se gêner … !

    Et même si ça devient plus difficile et que ça fait peur, on cherchera toujours des ruses pour refuser de jouer selon leurs règles ! On continuera à s’entraider et a créer des solidarité au quotidien et face a la répression ! On se laissera pas faire et que ceux qui profitent de la propriété privée et la défendent sachent que ça ne sera pas sans conséquences !

    Face à la répression et aux expulsions, la solidarité est une arme


    sources :
     









    [La lune brille pour nous : soutenez-nous le jour de l’expulsion]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La lune brille pour nous : soutenez-nous le jour de l’expulsion]. — Lille : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    peinture (petite maison squattée)

    texte :

    La lune brille pour nous

    Il y a mille et une manières de vivre la galère dans cette foutue ville. Pour notre part, nous avons décidé de nous organiser en occupant une baraque laissée à l’abandon, le Klub, rue Anatole de la Forge à Fives, pour vivre à la mesure de nos désirs.

    Pour les habitants et habitantes de cette maison, il parait essentiel que ce lieu permette de créer du lien et soit accessible à toutes et tous, en essayant autant que possible d’échapper aux rapports marchands et aux différentes formes d’oppression et d’exclusion.

    Nous avons à cœur de partager cet espace en accueillant ou en initiant pas mal d’activités dont des ateliers gratuits de taiso (lundi à 18h00), de yoga (mercredi à midi) et de boxe libre (mercredi à 18h00), et des cantines végétaliennes (pour que tout le monde puisse manger) à prix libre (tu donnes ce que tu veux, ce que tu peux, même rien), tous les jeudis à partir de 19h00.

    Pour les autres activités (soirées et concerts à prix libre), c’est affiché sur la porte quelques jours avant, n’hésitez pas à passer voir ou à sonner.

    Soutenez-nous le jour de l’expulsion


    sources :