[ca aaaa] date approchée
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735 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (adulte [parent] menotté emporté par deux policiers caqués devant jeune élève [fils ou fille]) ]
- texte :
À la sortie de nos écoles ou dans nos quartiers…
Stop aux rafles !
[logo « chat noir cerclé » CNT] CNT-FTE Fédération des travailleurs-euses de l’Éducation
Bourse du travail - 11, rue Génin - 92300 St-Denis
fede-educ@cnt-f.org - www.cnt-org/ftehttp://www.cnt-f.org/fte/?Affiche-contre-les-rafles-de-sans (Affiche contre les rafles de sans-papiers)
http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/Rafles.pdf« Affiches à copier et diffuser sans modération ! » (à imprimer en format libre).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
dessin (deux cosmonautes-archéologues autour d’une urne électorale, près d’une fusée type Hergé « Objectif Lune » sur un satellite)
- texte :
— Bon dieu, John !… Mais qu’est-ce que c’est ? … Et à quoi ça peut bien servir ?…
— Et bien, Mike !… Selon mon portable, c’est un piège à pigeons !!
— Fascinant !
— … Aussi appelé un attrape-couillons !
— Ouf !!
— Ou bien urne électorale !
— … Daté fin du 2ème millénaire !
StrollⒶd Lochu
Strollad Lochu@no-log.org- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
BD inspirée des Shadoks de Jacques Rouxel
- texte :
Aéroport Notre Dame des Landes : un projet qui nous pompe l’air !
— Depuis trop longtemps, les shadoks pompaient, pompainet, pompaient …— En 2018, les pompeuses, ivre de pomper ont expmosé et recouvert Shadokville de détritus, de dégoulinures de pompage— Pour faire face à cette catastrophe, le rois Shadok a décidé que les shadoks devaient pomper encore plus— Mais plus les shadoks pompaient, plus leurs conditions de vie se détérioraient. Plus ils pompaient plus la terre des shadoks se dégradait.-- Pour permettre aux shadoks de pomper toujours plus, le roi Shadok imagina d’installer une gigantesque aéropompeuse à Notre Dame des landes. Anti-écologique, anti-social, coûteux et inutile, ce projet pompeux allait faire disparaître des milliers d’hectares d’agriculture de proximité.— Alors les shadoks descendirent dans la rue : « Gardons la terre » « Stoppons le productivisme destructeur ! »— Et posèrent la question : pourquoi et pour qui pompons-nous ?— Ils refusèrent l’aéropompeuse. Ils voulaient organiser la société shadok autrement.— Contre les ravages du pompage, une seule solution, la révolution écologique, égalitaire, émancipatrice et solidaire !— Pomper toujours plus, produire toujours plus, détruire toujours plus pour le profit de quelques-uns contre le bien commun est l’idéal des gouvernants. Il n’y a pas de capitalisme à visage humain !-- Nous voulons une vie riche, pas une vie de riche !Soutien aux habitan-e-s qui résistent, aux expulsé-e-s de la ZAD et aux inculpés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : chaines — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal /B_tout>
[ texte : dessin en ombre chinoise : personnage maillon d’une chaine brisée au dessus d’un globe ]
- texte :
Aucun être humain n’est illégal !
régularisation des sans papiers !
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
CGA c/o CES BP 40233, 66002 Perpignan Cedex - http://www.c-g-a.org
Cette affiche sera rééditée [fichiers perdus ?] ou simplement remaquettée en 2010.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (en défonce) ; photo (une fillette blanche et un garçonnet noir jouent dans la rue) ]
- texte :
Brisons la routine macabre de la machine à expulser !
Dans le monde entier, la guerre et la misère sont utilisées pour renforcer la domination et maintenir le règne de la marchandise. Des millions d’hommes et de femmes tentent alors de fuir leur condition et atterrissent dans les métropoles occidentales… quand elles ne meurent pas devant les fils barbelés des frontières, noyées en méditerranée, asphyxiées dans des avions, ou encore abandonnées dans le désert par des trafiquants d’êtres humains ou par la police.
Ceux qui parviennent jusqu’ici sont alors accueillis par la terreur quotidienne des rafles et des contrôles dans la rue, par des conditions de vie qui rappellent souvent celles qu’ils ont fuies, par des centres fermés et le racisme qui fait d’eux un ennemi social. Ces indésirables ne servent pas seulement à alimenter la machinerie capitaliste à la recherche d’une exploitation sans frontières, mais aussi à faire figure d’étranger pour canaliser le mécontentement des prolétaires vers leurs semblables.
L’intégration dans des communautés autoritaires fondées principalement sur la religion et le nationalisme empêche qu’ils ne s’attaquent à ce qui les opprime. Alors que désormais, il n’y a que dans la révolte que les indésirables, d’ici et d’ailleurs, pourront se reconnaître et forger des complicités pour affronter ce monde.
En effet, la machine n’est pas si bien huilée que ça. Dans les aéroports, chaque jour, des sans-papiers résistent contre leur expulsion. Dans les centres fermés, comme dans les prisons, les enfermés se mutinent, s’évadent et brisent ainsi la routine macabre de la ma-chine à expulser. Dans les rues, où règnent la police et le racisme, des contrôles tournent parfois au vinaigre, peu à peu les indésirables sortent de l’ombre et rompent la cadence de la résignation.
Les gérants et les collaborateurs de la machine à expulser ne sont pas anonymes : l’Office des Étrangers, Fedasil, la police, les contrôleurs dans les transports en commun, tous les partis politiques, les entreprises comme Sodexho, la Banque de la Poste, ISS Cleaning, Horeservi, SN Brussels Airlines, et des institutions comme Caritas et la Croix Rouge participent à la gestion de ces véritables camps de déportation.
Diffusons la révolte...
Détruisons les centres fermés et les prisons
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (foule manifestante poing levé) ]
- texte :
Droit dans l’mur !
journal du Groupe anarchiste Bordelais
nº 3
Tout petit rempart contre les abus du patronat, le Code du travail, construit sur 130 ans de rapports de force, est aujourd’hui éclaté et réécrit à l’avantage du capital.
Code du travail, 100 ans de luttes perdues !
Diviser les salariés
Désormais, il n’existera plus un Code du travail mais des codes spécifiques : Code rural, Code de l’action sociale et des familles, Code des mineurs, du transport, des marins, de la fonction publique, etc. Ce sont ainsi 9 millions de salariés qui seront exclus du Code du travail. Chaque branche professionnelle pourra évoluer séparément sans qu’un minimum légal ne vienne empêcher la dégradation des conditions de travail. Les travailleurs divisés seront dressés les uns contre les autres (comme c’est déjà la cas entre public et privé) et les luttes communes rendues plus difficiles encore.
Ces nouveaux codes ne sont pas encore tout à fait prêts, ils seront complétés au fur et à mesure des besoins par des décrets et des ordonnances, car le gouvernement veut pouvoir modifier le droit du travail sans passer par des lois, en toute discrétion.
Une dégradation des conditions de travail
- Augmentation des dérogations pour le travail le dimanche
- Nouveaux contrats de plus en plus précaires (le « CDD au terme incertain »)
- tous les accidents du travail pourront être requalifiés en négligence de l’employé : l’employeur n’aura plus à assumer les obligations en matière de protection de la santé, de l’hygiène et de la sécurité des employés.
- tous les « petits droits » (droit d’allaitement, le port de charge limité à 25 kg, etc.) sont suspendus, modifiés ou supprimés !
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (trois salarié·e·s poing levé) ; logo SAC (sur fond taillé rouge et noir) ]
- texte :
En för alla
alla för en
vi gör kampen kollektiv
SAC
Demonstration första Maj
Samling : Masthuggstorget 12.30
Möte : Bältesspännarparken 14.00
Arrangör : Göteborg LS avSAC-Syndikalisterna
ca 2008-2009.
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- notes :
- descriptif :
texte par Jean-Pierre Tertrais
dessin (couple, nu et assis, essayant d’aspirer la planète à travers un entonnoir)
- texte :
Le Chat déchaîné
Feuille d’agitation de la Fédération Libertaire des Montagnes #1
Pour un autre futur
On a fait croire aux générations d’après la seconde guerre mondiale que l’épanouissement et la liberté des individus passaient par une consommation marchande sans cesse plus forte, et que l’abondance allait naître pour tous. Malgré le silence lâche des technocrates et des affairistes corrompus, la supercherie éclate aujourd’hui en pleine lumière. Non seulement l’opulence n’engendre pas le bonheur de ceux qui en jouissent, mais le nombre des exclus s’accroît constamment, parce que seuls les besoins de ceux qui peuvent payer intéressent les dirigeants des grandes firmes prédatrices : les démunis peuvent mourir dans une superbe indifférence.
L’humanité est engagée dans une course folle, celle de l’accumulation du capital qui n’a d’autre finalité qu’elle-même (le capital, faut-il le rappeler, n’étant que la plus-value volée aux salariés qui l’ont créée). L’objectif fi nal est bien de transformer totalement les rapports de propriété sur la planète, de faire de la moindre ressource matérielle ou intellectuelle une marchandise, c’est-à-dire une source de profit. C’est parce que rien ne semble pouvoir arrêter cette course ponctuée de calculs sordides que chaque jour s’allonge la liste des dégâts sociaux et écologiques provoqués par cette accumulation. Nous sommes les premières générations, dans l’histoire, à transmettre à leurs descendants un héritage moins favorable que celui que nous avons reçu !
Une planète en péril
Ce n’est pas seulement par une erreur d’appréciation que le développement exponentiel de la technique nous rend vulnérables et nous aliène au lieu de nous libérer. Ce n’est pas seulement par manque de clairvoyance que les promesses de bonheur s’inversent en menaces de mort, et qu’une illusion de puissance nous rend dangereux pour nous-mêmes. Si les blessures infligées à la biosphère se multiplient, jusqu’à en rendre certaines irréversibles, c’est parce que l’arrogance criminelle de ceux qui nous gouvernent les pousse à faire prendre aux générations futures, et sans les consulter, les risques les plus fous plutôt que d’écorner quelque peu leur mode de vie extravagant.
Des scientifiques de plus en plus nombreux s’interrogent sur l’état de la planète, et par conséquent sur les conditions de vie qui y régneront dans seulement un demi-siècle. Affirmer que le diagnostic est alarmant dans un système économique incapable d’assurer la survie de l’espèce humaine est un doux euphémisme : élévation du niveau des océans due à une hausse des températures ; pollutions atmosphériques ; altérations climatiques graves (tempêtes plus violentes et plus fréquentes) ; déchets nucléaires durablement toxiques ; perspective d’une grave pénurie d’eau concernant la moitié de la population mondiale ; perte de fertilité des sols, et particulièrement des terres agricoles ; perturbation des écosystèmes marins, c’est-à-dire diminution des ressources en poissons, et donc en protéines ; recul continu des forêts partout dans le monde ; réduction de la biodiversité ; accumulation de millions de tonnes de déchets métalliques et plastiques qui ne connaissent pas de recyclage… Autant de bombes à retardement !
Un bilan humain désastreux
L’ouverture de la planète à la concurrence sauvage accentue l’exploitation de la force de travail, et plus particulièrement dans les pays du tiers monde soumis aux programmes d’ajustement structurel du Fonds Monétaire International et de la Banque mondiale. Les chiffres sont édifiants : 1,2 milliard de personnes au-dessous du seuil de pauvreté, dont les trois-quarts chroniquement sous-alimentées ; 850 millions d’analphabètes ; 150 millions de chômeurs dans le monde ; 700 millions de sous-employés (l’Union européenne octroie 2,20 dollars de subvention par jour et par vache, alors que la moitié de la population du monde vit avec moins de un dollar par jour ! !). Des accidents du travail et des maladies professionnelles en augmentation constante.
250 millions d’enfants travaillent dans les mines, les ateliers insalubres ou sont contraints à la prostitution, à l’esclavage.
Face à la destruction des acquis sociaux, au démantèlement des services publics, à la suppression d’espaces de liberté, à la généralisation de la précarité, une fraction, certes trop peu nombreuse, de la population réagit. Et parce qu’il sent menacé l’ordre inégalitaire et autoritaire qu’il veut maintenir, le pouvoir met en place une politique sécuritaire et tout un arsenal de contrôle social : surveillance et fichage des citoyens, répression syndicale, criminalisation des mouvements sociaux, harcèlement des populations marginalisées, parce que quand une société n’ose plus soutenir le regard de ceux qu’elle a réduit à la misère, il ne lui reste plus qu’à les jeter dans l’obscurité des prisons. Sauf que si l’on peut incarcérer des hommes, on ne saurait enfermer leurs idées.
Devoir de révolte
Les siècles passés témoignent que les dirigeants, leurs complices, leurs collaborateurs, grâce à la puissance des institutions qui inculquent le sens de la hiérarchie et de l’obéissance, ont toujours assuré le droit du plus fort, le règne du despotisme en exploitant la bonne foi et la naïveté des peuples. La terrible servitude volontaire qui pousse les populations à accepter leur sort, à courber sans cesse l’échine, n’est pas une fatalité.
Il n’est pas inéluctable que la réussite de quelques-uns se fonde sur l’échec du plus grand nombre, que les pays du Sud continuent à financer l’expansion de ceux du Nord, ou que se perpétuent des marchés financiers déconnectés de la réalité, où certains peuvent acheter sans avoir d’argent et vendre ce qu’ils ne possèdent pas !
Faudrait-il que la jeunesse se contente de la flexibilité, des petits boulots, des salaires dérisoires, d’une protection sociale réduite, de retraites aléatoires, lorsque le P.D.G. d’Alcatel gagne deux mille fois le SMIC ?
À travers l’histoire, des penseurs nous invitent à ne pas subir perpétuellement la violence légitimée des États, pas plus que la logique froide du capital. La Boétie : « Soyez donc résolus à ne plus servir et vous serez libres. » Stirner : « Si la soumission venait à cesser, c’en serait fait de la domination. » Camus : « La révolte est l’une des dimensions essentielles de l’homme. » Même la « Déclaration des droits de l’homme » de 1793 stipulait : « Quand les droits du peuple, ou d’une partie du peuple, sont bafoués, l’insurrection devient pour lui le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
Parce que les idées dominantes sont toujours celles de la classe dominante, le discours officiel, économique ou politique, n’a qu’une seule fonction : légitimer l’ordre social établi.
Il appartient à tous, d’abord de comprendre que l’homme est aujourd’hui confronté à lui-même, et à lui seul, que les lois économiques ne sont pas naturelles mais sociales, qu’une société fondée sur la peur, la haine, la fraude et l’égoïsme n’a aucun avenir, ensuite d’imaginer qu’un autre monde est possible, enfin de le construire sur le respect, la solidarité, l’intelligence. Quand le cynisme des puissants se heurtera à la résistance des faibles, vivre décemment deviendra un espoir pour tous. Cet espoir ne passera ni par un simple « relookage » du système capitaliste, ni par le biais des élections qui délivrent des « chèques en blanc » aux politiciens tout en véhiculant l’illusion d’un possible changement par des spécialistes chargés de notre bien-être.
Nous ne ferons pas l’économie d’une révolution !
Jean-Pierre Tertrais
Fédération Libertaire des Montagnes (FLM)
CP 569 / 2301 La Chaux-de-Fonds / flm.osl@espacenoir.ch
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texte (signature de Michel Némitz)
dessin (deux capitalistes jouant de l’argent aux dés)
- texte :
Le Chat déchaîné
Feuille d’agitation de la Fédération Libertaire des Montagnes #2
La crise ! À qui la faute !
Cette crise, la plupart et les plus écoutés des experts en économie ne l’ont pas vu venir. Elle était pourtant annoncée depuis longtemps par des journaux comme Le Courrier, Le Monde Diplomatique, Marianne et un certain nombre d’ouvrages. Les explications données par ces Cassandre1 étaient pourtant plus convaincantes que les théories fumeuses des tenants d’un libéralisme échevelé. Il faut avoir la foi du charbonnier pour croire que l’argent crée de la valeur sans passer par le travail productif. Comme par magie. Aujourd’hui, la crise affecte l’économie « réelle » car les pertes et les gains faramineux produits par l’économie « irréelle » doivent être valorisés par de réels producteurs de richesses qui travaillent et produisent des biens et des services. Vous l’avez compris, il s’agit d’un véritable hold-up. Mis en place dans les années 80 par Thatcher, Reagan et Coe, ce rapine a pu se renforcer grâce à la marginalisation de toute opposition par Tony Blaire et le courant dominant chez les dirigeants sociaux démocrates adeptes de la « troisième voie ». Nous étions pourtant encore nombreux à nous époumoner avec nos petits moyens pour dénoncer la supercherie, mais on nous traitait de ringards voire de conservateurs. Les Christoph Blocher, Ebner et Beat Kappeler nous expliquaient qu’il fallait laisser faire le marché qui résout tous les problèmes, qu’il faut lui confier tous les services publics, qu’on y gagnerait tous (on voit aujourd’hui). Les radicaux et l’UDC se chamaillaient pour savoir lequel des deux étaient « le parti de l’économie ». Christophe Blocher affirmait à Reconvilier devant des victimes des spéculateurs de Swissmetal, qu’il fallait laisser travailler les managers comme ils l’entendent. On a suivi son conseil, les américains nous avait montré l’exemple et voilà le résultat ! Il ne nous reste plus qu’à espérer que la leçon soit comprise et qu’enfin on change de cap. Qu’on ne se laisse plus aveugler par « les partis de l’économie » et qu’on décide enfin de reprendre les rennes de notre quotidien en rejoignant les rangs de ceux qui défendent les intérêts de la grande majorité des gens et non ceux de quelques privilégiés. Espérons qu’on comprendra une fois pour toute que les profiteurs ne sont pas parmi les plus pauvres (chômeurs, étrangers, assistés sociaux, rentiers AI) mais bien parmi les nantis.
Michel NémitzQUE FAIRE ?
Organisons-nous en associations, syndicats et autres mouvements de solidarité. Mettons en commun nos moyens pour créer des coopératives. Ils ont la puissance de l’argent, nous aurons le nombre si nous sommes unis. Par exemple, si chaque salarié, petit artisan, chômeur, étudiant donnaient, ne serait-ce que 100.— fr pour former un capital suffisant pour créer des entreprises coopératives utiles à la collectivité, la culture ou à l’environnement, nous pourrions commencer à nous donner les moyens pour résister à la crise qui s’annonce et construire un autre monde.APRÈS LA RIGUEUR POUR LES PAUVRES, LE SAUVETAGE DES RICHES !
Les économistes, qui sont les seuls à n’avoir pas vu venir la crise, nous expliquent que nous n’avions pas d’autres possibilités que d’accorder aux banques les milliards de francs qu’elles nous demandaient, sans quoi plus rien ne fonctionnerait sur cette terre. Admettons, puisque de toute façon on ne nous a pas demandé notre avis et que le peuple ne semble pas si offusqué que cela. Il se plaint, bien sûr, il râle évidemment, mais seule une minorité descend dans la rue et la majorité des citoyens sont prêts à réélire ceux qui ont soutenu la politique économique qui nous a menés à cette débâcle et qui ont voté pour sauver ses principaux responsables. (Vous l’avez compris, je parle de l’UDC en tête suivi des radicaux-libéraux puis des démocrates chrétiens et finalement par la branche blairiste du parti socialiste).Il s’agit donc d’une extorsion de fond :
LES FINANCIERS - « Tu nous donnes des milliards ou ça va aller mal pour toi » (à lire avec l’accent maffioso).
Le PEUPLE - Mais c’est vous qui avez spéculé comme des bêtes, en nous disant que, comme ça, tout irait mieux pour tout le monde et que si y’avait un problème le dieu Marché allait le régler.
LES FINANCIERS – C’est la crise personne n’y peut rien, maintenant faut se serrer les coudes. C’est le Marché qui le veut.
LE PEUPLE – Mais quand nous avions besoin qu’on se serre les coudes pour nous, vous disiez que c’était la loi de la concurrence et qu’on devait se débrouiller pour s’en sortir et que c’était pas de votre faute si on était des loosers.
LES FINANCIERS – Vous êtes toujours des loosers puisque c’est vous qui allez payer. D’ailleurs, si vous ne payez pas vous vous casserez la gueule encore plus que nous, tandis que nous quand vous étiez dans la dèche on s’enrichissait encore plus, c’est toute la différence.
LE PEUPLE - Vous saviez que ça n’allait pas marcher indéfiniment puisque vous aviez des rendements de 15 % quand la croissance était de 2 ou 3 %.
LES FINANCIERS - Non, on ne pouvait pas savoir car les voies du Marché sont impénétrables.
LE PEUPLE - On voit bien que ça ne marche pas maintenant.
LES FINANCIERS - Mais non ! vous ne comprenez rien à l’économie. Si le marché s’effondre c’est parce qu’on manque de foi en lui. Il faut reprendre confiance et tout ira bien. L’argent produit de la valeur quand on le place bien. Pas besoin du travail, de la production de biens et de services, Il suffi t d’avoir confiance et de consommer. Aie confiance Peuple. Aie confiance tout va s’arranger si tu reprends confiance …
- LE PEUPLE - ZzZzZz…
Et si on se réveillait !RÉALITÉ ET MENSONGE EN ÉCONOMIE
La crise est le résultat inévitable donc prévu et prévisible de 30 années de révolution conservatrice et néolibérale instaurée par Margaret Thatcher et Ronald Reagan qui ont contaminé les autres pays et partis comme en Grande-Bretagne avec la complicité de Tony Blaire ou la Suisse avec Christophe Blocher en tête, la droite en général ainsi que d’une partie des socialistes partisans de la « troisième voie ».
Peu à peu la propagande de cette idéologie à force de matraquage a réussi à imposer une vision mensongère des réalités économiques : Le marché s’autorégule c’est lui qui produit les richesses et non les producteurs, c’est donc à lui que doit revenir la plus grande part des richesses, et c’est à lui de décider de la politique économique à suivre, car il ne peut pas se tromper. Si une entreprise fonctionne bien ce n’est pas grâce à ces employés mais grâce à ses super-managers qui méritent donc un revenu considérablement supérieurs aux salariés.
Or cette crise révèle au contraire :
- Le marché et ses spéculateurs ont pour logique dominante le profit maximum à court terme. Qu’ils ne créent pas des richesses mais qu’ils les accaparent, qu’il fausse la valeur réelle des entreprises,
- Les super managers, sont les managers en haute conjoncture et les mauvais sont ceux en exercice en période de crise. En d’autre terme ils ne sont pour pas grand-chose dans l’évolution d’une société et ne mérite donc pas particulièrement plus d’estime que les autres employés.QUELQUES LEÇONS PARUES DANS LA PRESSE
« On ne peut distribuer durablement plus d’argent que ce qui a été produit »
Le Courrier du samedi 18 octobre 2008
« Les cours des bourses sont censé représenter les profit anticipés des entreprises. Or, lorsqu’on promet des rendements généralisés à 15 % dans une économie qui croit à 2 à 5 %, il y a forcément arnaque. »
« La Bulle financière : 50 fois le PIB Mondial » (En d’autres termes l’économie réelle, soit non spéculative : la production de bien et de service représentait 2 % des transactions financières mondiales) Marianne du 4 - 10 octobre 2008 page 17LES CHOIX POLITIQUES QUI ONT FAVORISE LA CRISE
Non seulement la crise économique que nous vivions aujourd’hui était non-seulement prévisible, mais elle était inéluctable. Depuis son avènement, le capitalisme subit cycliquement des crises inhérentes à son fonctionnement, mais les choix politiques néolibéraux de ses dernières décennies ont favorisé le développement de cette situation. La foi aveugle dans les marchés financiers déjà surpuissants et leur déréglementation, le démantèlement de la redistribution des richesses (diminution des impôts et des taxes en faveur des plus riches et des actionnaires), l’intrusion des spéculateurs dans les secteurs gérés par le service public (privatisation), le transfère des revenus des salariés au profit des actionnaires (délocalisation, diminution des effectifs, stagnation des salaires) sont autant décisions politiques qui ont amplifié la gravité de cette crise.Fédération Libertaire des Montagnes (FLM)
CP 569 / 2301 La Chaux-de-Fonds / flm.osl@espacenoir.ch
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[ texte en noir ou en blanc au noir ; dessin : poing fermé, noir, bordé de blanc, sur fond rouge ]
- texte :
L’État & le patronat organisent la régression sociale
précaires, intérimaires, smicards, intermittents, étudiants, contrats-jeunes, chômeurs, RMI/RMAistes, recalculés, sans-domicile-fixe, sans-papiers, sans ressources…
Organisons la riposte sociale
Pour en finir avec les inégalités !
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
Secrétariat : CES, BP 40233, 66002 Perpignan Cedex
Internet : http://www.c-g-a.org - Email : secretariat@c-g-a-.orgImprimerie "Atelier 26" - 26270 Loriol
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[ texte en noir ou en blanc au noir ; dessin : poing fermé, noir, bordé de blanc, sur fond rouge ]
- texte :
L’État & le patronat organisent la régression sociale
précaires, intérimaires, smicards, intermittents, étudiants, contrats-jeunes, chômeurs, RMI/RMAistes, recalculés, sans-domicile-fixe, sans-papiers, sans ressources…
Organisons la riposte sociale
Pour en finir avec les inégalités !
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20, rue Terral 34000 Montpellier — www.c-g-a.org
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- notes :
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- /B_tout>
[ texte ; dessin (citrouille, brandissant des légumes, au dessus d’une foule ; divers phylactères : « des biens communs pas des profits », « de la bouffe pas des bombes », « des écoles pas des casernes », « des maisons pas des prisons », « des soins pas des potions », « des légumes pas du bitume », « des frites pas des flics ») ]
- texte :
Resto Trottoir - collectif Food Not Bombs Besançon
Repas gratuit pour toutes et tous
dès 12 h 30, place Marulaz
Rendez-vous le dernier dimanche de chaque mois• La rue est devenue un espace marchand
Les centres villes sont dédiés au commerce au détriment des autres activités sociales. Pour imposer cet ordre marchand, les autorités repoussent les populations indésirables à la périphérie de la ville. interdire de différentes manières tout un tas de petits regroupements, réprimer des manifestations, contrôler les bars, cloisonner l’espace urbain, c’est priver la rue de toute vie. C’est pour cette raison que le Resto trottoir juge légitime de se réapproprier la rue.La rue est à nous ! Nous avons les moyens d’agir. par exemple :
• La rue comme espace démocratique et de discussion
La démocratie directe se construit collectivement sur les places publiques par des échanges et débats entre les habitant.e.s et non dans les urnes qui confisquent le pouvoir politique au profit d’une minorité.• La gratuité, une arme contre le système marchand
La rue peut être un lieu d’échanges gratuits, de services entre voisin.e.s. Les zones de gratuité permettent à tous.tes, de pouvoir accéder aux objets et aux évènements. Le prix libre permet d’avoir des échanges sans profit basés sur l’appréciation de chacun e de ses propres moyens.• La réappropriation de la rue et des murs par l’expression populaire
La propagande publicitaire envahit nos villes et nous impose la surconsommation, le gaspillage et des rapports sociaux stéréotypés. La rue doit redevenir un lieu d’expression populaire et non un espace contrôlé par le pouvoir politique et les marchands. Dans cette idée, nous pouvons peindre, graffer, tagger, signifier notre présence…• La réappropriation des espaces de vie et de circulation
Pour des espaces verts intégrés à la ville Guérilla jardinière ! Semons, plantons, fleurs, arbres et légumes partout où c’est possible. Pour des transport non polluants ou collectifs qui ne monopolisent pas l’espace urbain. Pour une circulation lente et des espaces conviviaux qui favorisent le hasard des rencontres propices aux échanges.[dessin]
Food not bombs
Je ne bouffe pas des bombes
Le Resto trottoir organise chaque mois un repas convivial dans la rue. Ce repas est gratuit, végétal, non exclusif et constitué à partir de nourriture donnée ou destinée à être jetée.
Ces repas sont l’occasion d’échanges et de rencontres (par exemple autour de la table de presse) mais c’est aussi un espace alternatif au capitalisme, à sa logique de surproduction et de gaspillage, à son système de hiérarchisation et d’exclusion.
Le collectif resto-trottoir se réunit chaque mercredi du mois à 19 h à la librairie l’Autodidacte pour
organiser le repas suivant selon les principes de la démocratie directe et de l’horizontalité permettant ainsi à chacun.e de participer aux différentes étapes de ce processus pensé et réalisé collectivement. Une « zone de gratuité » se tient également ouverte à cette occasion afin d’échanger, en marge des rapports marchands, les objets (vêtements, livres, vaisselle, jouets…) devenus inutiles pour certains mais précieux pour d’autres.Des moments festifs et/ou revendicatifs peuvent avoir lieu en fonction d’initiatives.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; fond taillé rouge et noir ]
- texte :
La crise ?
Le hold-up du siècle !
Grève générale !
CNT [logo chat cerclé CNT] Confédération nationale du travail
Confédération Nationale du Travail
www.cnt-f.orghttp://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche_crise_holdup_greve_generale.jpg
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (scène d’AG en amphi, avec quelques visages floutés) ]
- texte :
Libérons-nous de tout ce que l’État et la capitalisme nous imposent !
Au bureau, à l’usine, à la fac, dans la commune et ses quartiers
Pas de liberté sans égalité économique et sociale
- assemblées générales souveraines
- mandatements révocables
- entre-aide
- rotation des tâches et des postes clés
Coordination des groupes anarchistes
Secrétariat : c/o CES, BP 40233, 66002 Perpignan
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
Imprimerie SARL "Atelier 26" 26270 Loriol
Vu aussi sur : http://www.c-g-a.org/?q=materiel/d-mocratie-directe
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (drapeau CNT tranché rouge et noir) ]
- texte :
Ne battons pas en retraite
Grève générale
Pour la justice sociale !
Pour un syndicalisme de classe et d’émancipation sociale
CNT Confédération nationale du travail : 33, rue des Vignoles 75020 Paris
Mail : cnt@cnt-f.org - Tél. : 0810 00 03 67 - www.cnt-f.org
[logo chat noir cerclé] CNTImprimerie 34, Toulouse
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- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (Bush tenant en laisse un chien à tête de Sarkozy) : « Sarko, le nouveau toutou de Bush » ]
- texte :
100 millions de -dollars par jour : dépenses militaires des États-Unis en Afghanistan
7 millions de dollars par jour : aide à la population afghane
Non aux troupes françaises en Afghanistan
COT
Imp. spé. APEL
Dimensions sous réserves.
Vu sur : http://www.cot81.com/spip.php?article91 (http://www.cot81.com/IMG/jpg/affiche_entiere.jpg)
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- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; 2 photos N&B (yacht de luxe, bateau chargé de réfugiés)
- texte :
Patrons, actionnaires, députés, sénateurs, présidents
Salariés, chômeurs, sans-papiers, RMIstes, sans-abris
On n’est pas tous sur le même bateau !
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
Pour l’égalité économique et sociale
Coordination des Groupes Anarchistes - Secrétariat : c/o CES, BP 40233, 66002 Perpignan Cedex, www.c-g-a.org
Imprimerie "Atelier 26" - 26270 Loriol
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; fond taillé rouge et noir ; dessin (manifestation) par Azagra ]
- texte :
Ils ne servent à rien, nous écrasent et nous volent !
Passons nous des patrons !
CNT [logo chat cerclé CNT] Union départementale des syndicats CNT du Rhône
Confédération nationale du travail
44, rue Burdeau, 69001 Lyon - tél. : 04.78.27.05.80 - mail : ud69@cnt-f.org - www.cnt-f.org- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; visuel absent ]
- texte :
Vacances à vie !
On est une fois de plus le premier septembre. Pour beaucoup, c’est le début d’une année éreintante et chiante derrière les bancs d’écoles. La joie d’une libération temporaire, le temps des vacances, s’achève à nouveau, et réapparaît le jeu de l’obéissance et de la punition.
Mais on nous rabâche trop souvent les côtés « positifs » des institutions scolaires. La dite scolarité est décrite comme un privilège (alors qu’en fait, il s’agit d’un enseignement obligatoire), qui se soucierait de l’avenir des jeunes. Mais dans le monde réel, les écoles sont les lieux où l’on nous prépare à marcher comme des esclaves salariés au rythme de cette société capitaliste. On nous y apprend à accepter les ordres, à obéir ; on y est disciplinés et habitués au rythme « de 9 à 5 » dans lequel nous devons perdre notre vie. L’épanouissement personnel est soumis aux besoins du marché du travail. Aucun choix n’est laissé pour que nous puissions apprendre ce que, nous, nous trouvons important et intéressant, mais par contre on nous apprend à nous prostituer dans un bureau d’intérim ou pour des patrons. Derrière les bancs de l’école, pendant 15 ans, on nous forme à devenir les marionnettes dont ont besoin les patrons pour maintenir leurs usines, leurs firmes, leurs entreprises. Et donc à garantir l’existence de ce système capitaliste.
On encourage la compétition entre les élèves et le contrôle social est récompensé. De sorte que les élèves se dénoncent entre eux et oublient que le véritable ennemi siège face à la classe.
Les écoles sont les lieux où la rébellion est punie ou étiquetée comme une caractéristique de la puberté, niant ainsi que la rébellion est une conséquence de l’instinct humain de liberté. Un instinct qu’on s’efforce aussi vite que possible de contenir. Nous avons la permission d’émettre des critiques limitées sur la société mais pas d’en remettre l’existence en question. Les écoles sont les lieux par excellence où apprendre à être critique sans trop faire trembler les fondements.
Les fondements d’une société qui use, ou mieux abuse, de ses institutions scolaires pour nous enfoncer dans le crâne ses valeurs et ses normes comme elle nous offrirait des pains sucrés ; pour construire des prisons mentales dans nos têtes et tout cela pour nous faire suivre le droit chemin. C’est une société qui réprime la différence, enferme et déporte des gens parce qu’ils n’ont pas les bons papiers, exclut les plus faibles socialement et économiquement ou les étouffe dans ses filets soi-disant sociaux mais qui veut surtout déterminer les limites dans lesquelles nos vies peuvent pourrir. Et, comme si ce n’était pas encore suffisant, elle nous harcèle avec le contrôle (comme les caméras à chaque coin de rue et des flics) et, pour les gens qui osent encore en attaquer les bases, il y a toujours les camps de punitions comme les institutions pour jeunes, les centres fermés et les autres prisons. À l’école, on nous apprend à nous contenter de ce genre de vie, une vie pleine de rêves et de désirs diminués. Une vie où les rêves consistent à faire carrière, à consommer à en crever et à finir au fond de l’oubliette.
Il est important de ne pas se résigner pour montrer que nous ne laissons pas paralyser nos rêves et nos désirs, que nous avons décidé pour nous-mêmes de ne plus nous laisser faire la leçon ! Il est important de montrer que nous sommes bien plus qu’un rouage du processus de production de masse.
Pense par toi-même, apprends par toi-même, fous le boxon dans ta classe !!
Texte d’affiche diffusé sur http://www.non-fides.fr/?Vacances-a-vie : « Texte d’une affiche trouvée sur les murs de Gand [en langue française ou néerlandaise ?] » (25 décembre 2009).
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo () ]
- texte :
Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου
που επιζητά την ασφάλεια,την Τάξη και το σωφρονισμό
Στις 11 Οκτωβρίου μετά απο 10 μήνες προφυλάκισης αφήνεται προσωρινά ελεύθερος ο Βαγγέλης Μποτζατζής. Διώκεται με βάση τον τρομονόμο και το κατηγορητήριο στηρίζεται σε μια « ανυπόστατη, κατασκευασμένη και ανακληθείσα κατάθεση, προϊόν απειλών, εκβιασμών, ψυχολογικής βίας και πίεσης » και στον « πηγαίο καταδιωκτισμό » ενός σεκιουριτά.
Για την ίδια υπόθεση διώκονται τρεις ακόμα αναρχικοί που επέλεξαν τη φυγή ως μία σταση άρνησης στην επερχόμενη φυλάκισή τους που τα μμε τόσο καλά προετοίμασαν και η δικαστική εξουσία είχε δρομολογήσει. Εδώ και τόσο καιρό βρίσκονται σε ένα ιδιότυπο καθεστώς ομηρίας.Γίνεται πλέον φανερό πως οι εξουσιαστικοί μηχανισμοί επιδιώκουν την εδραίωσή τους μέσα από την παραδειγμάτική εξόντωση των αντιφρονούντων βαφτίζοντας τους τρομοκράτες.
Είναι, όμως, οι δεσμοί αλληλλεγγύης που μπορούν να μπλοκάρουν στην πράξη την απόπειρα να στείνονται έκτακα δικαστήρια σε βάρος αγωνιζόμενων ανθρώπων. είναι όλο αυτό το πολύμορφο σύμπαν των αντιστεκόμενων που μπορεί να ξεδιπλώσει έμπρακτα δεσμούς αλληλεγγύης και κοινωνικής δράσης ικανούς να υπονομεύσουν κάθε σχέδιο της εξουσίας να Θέσει στο περιθώριο τον αγώνα για την ελευθερία.αλληλεγγύη το Β. Μποτζατζή
καμία δίωξη τους Ν. Νικολάου, Δ. Συριανού, Κ. Χάλαζα.πορεία
ΠΑΡΑΣΚΕΥΗ 14.11 - 18.00 ΚΑΜΑΡΑ
κατάληψη φάμπρικα ★ υφανέτ
traduction :Na sampotároume tou koinonikó efisychasmó Na teleiónoume me to sýmplegma tou fóvou pou epizitá tin asfáleia,tin Táxi kai to sofronismó Stis 11 Oktovríou metá apo 10 mínes profylákisis afínetai prosoriná eléftheros o Vangélis Botzatzís. Dióketai me vási ton tromonómo kai to katigoritírio stirízetai se mia « anypóstati, kataskevasméni kai anaklitheísa katáthesi, proïón apeilón, ekviasmón, psychologikís vías kai píesis » kai ston « pigaío katadioktismó » enós sekiouritá. Gia tin ídia ypóthesi diókontai treis akóma anarchikoí pou epélexan ti fygí os mía stasi árnisis stin eperchómeni fylákisí tous pou ta mme tóso kalá proetoímasan kai i dikastikí exousía eíche dromologísei. Edó kai tóso kairó vrískontai se éna idiótypo kathestós omirías. Gínetai pléon faneró pos oi exousiastikoí michanismoí epidiókoun tin edraíosí tous mésa apó tin paradeigmátikí exóntosi ton antifronoúnton vaftízontas tous tromokrátes. Eínai, ómos, oi desmoí allillengýis pou boroún na blokároun stin práxi tin apópeira na steínontai éktaka dikastíria se város agonizómenon anthrópon. eínai ólo aftó to polýmorfo sýmpan ton antistekómenon pou boreí na xediplósei émprakta desmoús allilengýis kai koinonikís drásis ikanoús na yponoméfsoun káthe schédio tis exousías na Thései sto perithório ton agóna gia tin elefthería. allilengýi to V. Botzatzí kamía díoxi tous N. Nikoláou D. Syrianoú, K. Chálaza. poreía PARASKEVI 14.11 - 18.00 KAMARA katálipsi fámprika ★ yfanét
Pour saboter sa complaisance sociale
Terminons avec le complexe de la peurrecherche de sécurité, d’ordre et d’emprisonnement
Le 11 octobre, après 10 mois de détention provisoire, Vangelis Botzatzis a été temporairement libéré. Il est poursuivi pour terrorisme et l’acte d’accusation se fonde sur un « témoignage inexistant, fabriqué et révoqué, produit de menaces, de chantage, de violences et de pressions psychologiques » et de la « persécution à la source » d’un garde de sécurité.
Pour le même cas, trois autres anarchistes sont poursuivis qui ont choisi de fuir en refusant leur emprisonnement imminent, que les médias si bien préparés et la justice avaient lancé. Ils ont été dans un régime d’otage particulier pendant si longtemps.Il devient maintenant clair que les mécanismes autoritaires cherchent à se consolider par l’extermination exemplaire de dissidents en baptisant des terroristes.
Ce sont cependant les liens de solidarité qui peuvent en pratique bloquer la tentative d’envoyer des tribunaux d’exception au détriment des populations en difficulté. c’est tout cet univers multiforme de résistance qui peut déployer dans la pratique des liens de solidarité et d’action sociale capables de saper tout plan de pouvoir pour marginaliser la lutte pour la liberté.solidarité avec V. Botzatzis
pas de persécution de N. Nikolaou
D. Syrianou, K. Halaza.Manifestation
VENDREDI 14.11 - 18.00 KAMARA
tissu accroupi ★ tissage
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
A spectre is haunting us
Time and time again we read about people who attack buildings, cars or the infrastructure of certain institutions in different ways. In the chorus of the media, loyal to the state, they are often considered as „vandals" or „chaots" and if that is not sufficient, then the construct of the terrorist serves to suffocate in advance any possible reasoning behind. That is exactly what happened to the 3 anarchists, who were arrested on 15th of April in Langnau am Albis (Switzerland). Allegedly on the way to attack a research center of IBM. A place among many at which, far from our everyday lives, the deepening of control on the life on this planet is researched at : genetic engineering, surveillance, nanotechnologies…
Why should this be blown up ?
We have been drowned in an technological ’high gloss-nightmare’, in which dead matter weighs more than our lives. The new god that is ruling over everything is the economy. „Economy has to be well" goes the saying, „so that we can feel well also." But behind this basic attitude, that any type of progress would be anyway good, veils the fact, that only few are profiting from that progress. Those who let themselves be exploited day after day, will have noticed by now, that despite all the incredible ongoing research, we are not working less, but simply more efficient. And we are not living more qualitative, but we consume more. With each novelty we are promised a better and simpler life, whereas the following disappointment is compensated by the promising of even more novelties. We crave for fata morganas like someone dying of thirst in a desert.
What is developed in the mentioned IBM center is advancing a level deeper. Because genetically manipulated organisms and nanoparticles, as well as radioactivity of nuclear waste, are incraving themselves irrevocably into this world which we inhabit. It doesn’t need much understanding to see that also these efforts are serving purely
the logic of progress of capitalism. Since the whole planet is under its domination, capitalism is now trying to deepen it - and that to the last detail.Since centuries industrial technology is the essential factor for the reformation of society, and therefore of the economy and the state. Again and again it is supposed to bring alleged solutions for social problems. Social problems that it helped creating. By now it managed to make itself indispensable. Without technology the immense accumulation of commodities and the therefore necessary generalized submission and control of the working mass would be impossible. It didn’t just make the people more alienated towards the world, but also towards themselves. The social order in which we live, functions only by the more and more absurd specialization of our occupations, the more and more extensive control over all living beings, the more and more efficient exploitation of our work capacity and a generalized impoverishment of human relations.
The apparently untouchable justification for that is purely the maintenance of the prevailing. The question for the living conditions is not raised. After all it could persuade us to the realization, that it is not us as individuals who are reason for our sorrow, but the social order and that there has to disappear quite a lot, in order for us to finally breathe freely. We think that social existence doesn’t gain value by technological progress, but by common ethical and social considerations. The development which we strive for, goes towards a life, that lies with us to decide about, without to serve and without to rule. And this development starts with the revolt against everything, which keeps us from doing so.
Therefore we recognize us in the three anarchists, who are now spread out in Swiss prisons. We feel solidarity for each attempt to cast off the shackles in order to stand up against the ongoing annihilation of life and the (self-)enslavement of the human kind. And one of the first shackles that we therefore cast off, is the one of our heads, which makes us believe, that we anyway cannot do anything and which keeps us trapped in lethargy.
Therefore for everyone who - for what reason whatsoever - is fed up with all the social constraints and control, fed up with all the lifeless products and senseless works, the hate that is sown, in order to fight among us, instead of together against the misery. To all those whos hearts is beting faster, when people attack what they think is the origin of their discontent : come out and make visible through the diversity of your forms o sabotage, that something completely different is possible.
Freedom for the three anarchists Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : Ein Schreckgespenst geht um (original German poster)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (homme trainé au sol par un policier) assez pixelisé ]
- texte :
Arrêt des expulsions
Quand se loger est un luxe, réquisitionner est un droit !
Ni prison ni répression n’arrêterons nos rébellions
Lille ? ca 2010-2020
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; montage photo (caméras de surveillance dont l’une explose) ]
- texte :
Des milliers de caméras quadrillent les villes, dans les transports, dans les rues et les bâtiments.
Elles sont pensées et installées par l’État, les mairies, les architectes, les promoteurs de la sécurité et du contrôle, les commerces…
Attaquons la vidéosurveillance !
Les caméras sont un moyen de surveillance supplémentaire. Elles traquent nos déplacements et captent nos corps dans les moindres détails.
Ils veulent nous empêcher de nous débrouiller, de nous rassembler et de les affronter.
Soyons incontrôlables
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (long) ; fond jaune (titres en défonce, bordés de noir) ; photos (policier et laborantin) ]
- texte :
Crachez ici, c’est pour nos fichiers
Si le code pénal prévoit de punir le refus de prise d’ADN (théoriquement jusqu’à un an ferme et 15 000 euros d’amende), les peines doivent être proportionnelles au délit principal. En pratique, le refus n’est pas systématiquement poursuivi.
Le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), qui compte déjà 7000 000 échantillons d’ADN, se remplit à une cadence industrielle. À présent, les flics mettent la pression pour prélever la salive lors des gardes à vue, sous n’importe quel prétexte. Refusons ce fichage !
— Parce qu’en accumulant ces données, l’État prétend pister l’ensemble de nos faits et gestes et fournir à travers « l’analyse par l’ADN » la preuve judiciaire que les experts, les médias, la justice présentent comme indiscutable.
— Parce qu’ils utilisent cette arme pour nous foutre la trouille et nous faire tenir tranquilles, et parce que nous n’avons pas l’intention de subir cela sans broncher.
— Parce que ce fichier supplémentaire et le contrôle toujours plus systématique permet à la fois de cibler telle ou telle catégorie à « risques », et de gérer les populations selon les intérêts économiques, sanitaires, migratoires des possédants et de l’État.
— Parce que refuser ce fichage, c’est aussi rejeter la logique de ce monde, où la génétique, comme les autres sciences, nous réduit à des objets de manipulations et de statistiques, et pour lesquelles la planète entière devient champ d’expérimentation.
— Parce que le pouvoir prétend résoudre les problèmes, alors qu’il en crée de nouveaux, comme l’aggravation des famines et des maladies par les OGM. Tout en favorisant, au nom de notre sécurité et toujours pour « notre bien », l’ouverture de nouveaux marchés lucratifs.
— Parce qu’il affirme nous protéger, quand il nous contraint à survivre dans des milieux mortifères sous contrôle médical et policier.
Quelques bonnes raisons de refuser le fichage ADN
Existe une version proche, en 2008-2009.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
Ein Schreckgespenst geht um
Immer wieder lesen wir von Menschen, die Gebäude, Autos oder Infrastrukturen bestimmter Institutionen auf unterschiedliche Weise angreifen. Im staatstreuen Chor der Medien werden sie oft als "Vandalen" oder "Chaoten" bezeichnet, und falls sie als solche nicht mehr durchgehen, dann greift man eben zum Konstrukt des "Terroristen", um jegliche Diskussion über mögliche Beweggründe im Voraus zu ersticken. Eben dies geschah mit den drei Anarchisten, die am 15. April in Langnau am Albis verhaftet wurden, da sie angeblich unterwegs waren, um ein Zürcher Forschungszentrum der IBM anzugreifen. Ein Ort unter vielen, an dem, fernab von unserem Alltag, an der Vertiefung der Kontrolle über das Leben auf diesem Planeten herumgeforscht wird : Gentechnik, Überwachungs-, Nanotechnologien…
Wieso soll das also in die Luft fliegen ?
Wir sind versunken in einem technologischen Hochglanzalbtraum,wo tote Materie höher gewichtet wird als unser Leben. Der neue, allesbeherrschende Gott ist die Wirtschaft. Ihr muss es gut gehen, heisst es, damit es uns überhaupt erst gut gehen kann. Doch hinter der Grundhaltung, dass jeglicher Fortschritt per se positiv ist, verhüllt sich die Tatsache, dass nur wenige von diesem profitieren. Denjenien, die sich Tag für Tag ausbeuten lassen, dürfte schon längst aufgefallen sein, dass wir trotz all der unglaublichen Forschungen heute nicht weniger, sondern schlicht effizienter arbeiten, und nicht qualitativer leben, sondern mehr konsumieren. Mit jeder Neuheit wird uns ein besseres und einfacheres Leben versprochen, während die anschliessende Enttäuschung mit dem Versprechen von immer weiteren Neuheiten kompensiert wird. Wir lechzen nach Fata-Morganas, wie Verdurstende in einer Wüste.
Das, woran im genannten IBM-Zentrum herumgetüftelt wird, geht noch eine Stufe tiefer. Denn gentechnisch manipulierte Organismen und Nanopartikel, ebenso wie die Strahlungen des Atommülls, schreiben sich fortan unwiderruflich in die Welt ein, die wir bewohnen. Es braucht nicht viel, um zu sehen, dass auch diese Bestrebungen einzig der Fortschrittslogik des Kapitalismus dienen. Nachdem schon längst der ganze Planet unter seiner Herrschaft steht, versucht er diese nun zu vertiefen — und zwar bis ins kleinste Detail.
Die industrielle Technologie ist schon seit Jahrhunderten der wesentliche Faktor der Umgestaltung der Gesellschaft, und somit der Wirtschaft und des Staates. Immer wieder soll sie angebliche Lösungen für soziale Probleme liefern, zu deren Entstehung sie selbst beitrug. Sie hat sich mittlerweile selbst unentbehrlich gemacht. Ohne die Technologie wäre die immense Anhäufung von Waren, und die dafür erforderliche allgemeine Unterordnung und Kontrolle der Arbeitenden unmöglich. Sie hat die Menschen nicht nur gegenüber der Welt sondern auch einander fremder gemacht.
Die soziale Ordnung, in der wir leben, funktioniert nur noch durch die immer absurdere Spezialisierung unserer Tätigkeiten, die immer umfänglichere Kontrolle über das Lebende, die immer effizientere Ausbeutung unserer Arbeitskraft und eine allgemeine Verarmung der menschlichen Beziehungen.
Die scheinbar unantastbare Rechtfertigung dafür ist die blosse Aufrechterhaltung des Bestehenden. Die Frage nach den Lebensbedingungen wird nicht gestellt. Schliesslich könnte sie zur Erkentnis verleiten, dass nicht wir, sondern die soziale Ordnung an unserer Betrübtheit schuld ist, und dass so einiges verschwinden muss, um endlich frei zu atmen. Wir denken, dass einem Zusammen-leben nicht durch technologischen Fort-schritt, sondern unter gemeinsamen ethischen und sozialen Überlegungen Wert zukommt. Die Entwicklung, die wir anstreben, geht einem Leben entgegen, das an uns selbst liegt, ohne zu dienen und ohne zu herrschen — und diese Entwicklung beginnt mit der Revolte gegen alles, was uns davon abhält.
Daher erkennen wir uns in den drei Anarchisten wieder, die nun verteilt in schweizer Knästen sitzen. Wir empfinden Solidarität für jeden Versuch, die eigenen Fesseln abzuwerfen, um der anhaltenden Vernichtung des Lebens und der (Selbst-)Versklavung der Menschen die Stirn zu bieten. Und eine der ersten Fesseln, die wir dazu abwerfen, ist diejenige in unseren Köpfen, die uns glauben macht, wir können ohne-hin nichts tun und uns in der Lethargie gefangen hält.
Darum an alle, die — aus welchen Gründen auch immer — die Schnauze voll haben von all den Zwängen und Kontrollen, von all den leblosen Produkten und sinnlosen Arbeiten, von dem Hass, der gestreut wird, damit wir untereinander kämpfen, anstatt gemeinsam gegen das Elend. An alle, deren Herz höher schlägt, wenn Leute das angreifen, worin sie die Ursache ihrer Unzufriedenheit erkennen : Zeigt euch und lasst an der Vielfalt der Sabotagen erkennen, dass etwas ganz anderes möglich ist.
Freiheit für dir drei anarchisten Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : A spectre is haunting us (Englische Version)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (gris plan sur manifestation) sépia ]
- texte :
Justice sociale ?
Grève générale !
expropriation
autogestion
Fédération anarchiste — 145, rue Amelot, 75011 Paris
[crédits photo]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ long texte ; photo (rang de maisons) ; dessin (œil à la paupière mordu par un diablotin) ]
- texte :
Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?
Das Trugbild des sozialen Friedens befleckt sich mit Blut. Im Schatten des gewohnten Laufs der Dinge fordert die herrschende Ordnung ein Leben nach dem anderen. Die Gesetze und ihre Hüter zeigen zur Zeit besonders deutlich, was sie im Wesentlichen schon immer waren : Mörder im Namen des Staates.
Während Menschen apathisch durch die Einkaufsstrassen schlendern, wird in Zürich ein Mann bei einem Ausschaffungsversuch getötet. Inmitten der alltäglichen Belanglosigkeiten, mit denen uns die Medien vollstopfen, lassen Gefängniswärter in Bochuz (VD) einen aufsässigen Häftling in seiner brennenden Zelle ersticken. Doch der eintönige Rythmus der Arbeitswelt lässt kaum Zeit, darüber nachzudenken. Nur wenig später sterben zwei weitere Menschen, diesmal in einem Zürcher und einem Schaffhausener Knast.
Jeder Tod im Knast ist Mord, da er von einer äusseren Gewalt herbeigeführt wird, die sich über uns stellt. Wenn nicht durch den Knüppel eines Wärters, dann durch eine auf wenige Quadratmeter reduzierte Existenz. In Pfäffikon erhängt sich eine Person, die wegen Diebstahls in U-Haft sass. Wieder fällt ein Flüchtling aus dem Frachtraum eines Flugzeuges. Ein 18-jähriger angeblicher Autodieb wird bei Freiburg von den Bullen in einem Hinterhalt erschossen. Und all das ist nur, was hier in den letzten drei Monaten durch die Mauern und Medien sickerte…
Die politischen und juristischen Massnahmen, mit denen man vorgibt, solchen "Missgeschicken" nachzugehen, dienen bloss dazu, den sozialen Frieden zu bewahren. Wieso sollten wir uns noch auf solche Betrügereien einlassen, die uns bloss davon abhalten, die Wut in Revolte umzuwandeln ? In Revolte gegen diesen allzu gewohnten Lauf der Dinge... Das Gefängnis ist Folter, da besteht kein Zweifel, doch was ist mit der Gesellschaft, die es benötigt ? Jene, die solche Morde hinnimmt und rechtfertigt ?
Wir kannten all diese Personen nicht, aber wir kennen die sozialen Verhältnisse, in denen sie unerwünscht waren. Wir kennen die Gesellschaft, die Gefängnisse baut, um den auferlegten Gesetzen Achtung zu verschaffen, um die Störfaktoren im sauberen Funktionieren der Ökonomie zu isolieren und schliesslich, um die Reichen und Mächtigen vor denjenigen zu schützen, die sich entscheiden, das Leben zurückzuholen, das man uns täglich entreisst. Denn nicht nur eingesperrt in Knästen oder in der Konfrontation mit Bullen werden immer wieder Menschen getötet, auch diejenigen, die in dieser auswegslosen Gesellschaft festsitzen, werden konstant auf dem Lebensminimum gehalten. Die Knäste verdeutlichen bloss eine Bedingung, die sich uns überall zeigt, wenn wir ihr ins Gesicht zu blicken wagen : Seit unserer Geburt haben wir der herrschenden Ordnung unsere Pflichten abzubüssen. In der-Schule, bei der Arbeit, vor dem Warenregal… Und mit jedem Ausbruchsversuch laufen wir Gefahr, dass uns die Leine noch enger gezogen wird. Einer solchen, auf Zwang basierenden Ordnung gilt unsere Verachtung — und unsere Angriffslust ! Wir erwarten nichts von ihr. Wir schulden ihr nichts. Was sollte uns verbinden ? Ein Leben ohne Substanz ? Was uns diese Gesellschaft aufzwingt, widert uns an, und Was sie uns anbietet, interessiert uns nicht. Je mögliche Veränderung liegt an uns
selbst.Der Kampf für die Freiheit muss jenseits der Gesetzlichkeit gefochten werden. Dafür gilt es Komplizen zu finden. Dafür gilt es den Feind zu benennen. Die verantwortlichen Institutionen der Einsperrung und Unterdrückung haben einen Namen, ein Gesicht und eine Adresse…
Wir wollen die unzähligen Morde nicht vergessen, nicht bis das letzte Gefängnis und das letzte Verwaltungsgebäude fällt ; nicht bis zum Ende dieser Maschinerie, die täglich weniger durch Zustimmung als durch Gewohnheit aufrechterhalten wird. Die falschen Trennungen zwischen Legal und Illegal, Bürger und Migrant, Wohnblockbewohner und Häftling, Arbeiter und Dieb, Dir und Mir verhindern bloss, das wir uns als Individuen begegnen, die sich als Unterdrückte erkennen. Denn aus solchen Begegnungen kann die Entschlossenheit wachsen, dem entgegenzutreten, worin wir diese Unterdrückung sehen. Sie könnten uns dazu verleiten, das Träumen zu wagen, um auch das Kämpfen zu wagen. Sie könnten schliesslich der alten Idee wieder Kraft einhauchen, dass es zunächst die Revolte gegen jegliche Kontrolle über unser Leben ist, die uns erlaubt, mit der Freiheit zu experimentieren.
Von dem Moment an, wo wir uns ein Zusammenleben vorstellen können, das auf gegenseitiger Hilfe und einer anti-autoritären Sensibilität aufbaut, anstatt auf Leistungsdruck und Ausbeutung ; von dein Moment an, wo wir uns eine Welt ohne Knäste denken können, und somit ein Leben, das an uns selbst liegt — mit all seinen Konflikten und Leidenschaften — ; von dem Moment an haben wir auch die Möglichkeit, es wirklich zu realisieren !
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
textes et chansons (Georges Brassens, Julien Zeppo, Léo Ferré, Keny Arkana, Zabriskie Point)
dessin (« A cerclé » musical)
- texte :
Le Chat déchaîné
Feuille d’agitation de la Fédération Libertaire des Montagnes #5
Chantons la révolte !
Dans le présent journal, nous avons choisi de diffuser quelques textes de chansons connues ou pas, des textes de tout temps mais toujours d’actualité, des textes parlants, reflets d’un système mortifère auquel nous souhaitons nous soustraire.
La mauvaise réputation
Au village, sans prétention / J´ai mauvaise réputation.
Qu´je m´démène ou qu´je reste coi /Je pass´ pour un je-ne-sais-quoi !
Je ne fais pourtant de tort à personne /En suivant mon ch’min de petit bonhomme. /Mais les brav´s gens n´aiment pas que / L´on suive une autre route qu´eux, / Non les brav´s gens n´aiment pas que / L´on suive une autre route qu´eux, / Tout le monde médit de moi, / Sauf les muets, ça va de soi.Le jour du Quatorze Juillet / Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas, / Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne, /En n´écoutant pas le clairon qui sonne. [...] Tout le monde me montre au doigt / Sauf les manchots, ça va de soi.Quand j´croise un voleur malchanceux, / Poursuivi par un cul-terreux,
J´lance la patte et pourquoi le taire, / Le cul-terreux s´retrouv´ par terre. / Je ne fais pourtant de tort à personne, / En laissant courir les voleurs de pommes. [...] Tout le monde se rue sur moi, / Sauf les culs-de-jattes, ça va de soi.Pas besoin d´être Jérémie, / Pour d´viner l´sort qui m´est promis,
S´ils trouv´nt une corde à leur goût, / Ils me la passeront au cou,
Je ne fais pourtant de tort à personne, / En suivant les ch´mins qui n´mènent pas à Rome, [...] Tout l´mond´ viendra me voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu.
Georges Brassens, 1953Lettre à mon frère, ma sœur
Regarde-nous, regarde cette déchéance. Regarde ou le système capitaliste nous emmène. A notre perte, irrémédiablement, sans faux pas. Il nous berce dans l’illusion d’un « monde parfait », tout en réduisant à l’esclavage une partie de l’humanité, chaque jour, l’ « holocauste » est vécu par nos cousins à poils, à plumes, les forêts sont dévastées pour y semer l’ « unique » génétiquement modifié. Le fourbe connait malheureusement bien l’adage : « Loin des yeux, loin du cœur ». Au moindre signe de réveil déstabilisateur, par le style arrogant dont seul il est le maître, il inverse la vapeur sans grand effort et obtient par la ruse la confiance du quidam. Si l’insatisfaction persiste, il divise pour mieux régner tout en prenant soin de garder la majorité à sa botte. Nous montons les uns envers les autres, il prend un malin plaisir à exalter la compétition. La coopération, à dessein, est passée dans l’oubli. A grands coups de théories, de statistiques mensongères, il étaye sa vision du « monde parfait », sans vague, mais surtout sans vie, car de la vie il se moque. Seul compte le profit, les rentrée immédiates, après lui le déluge, ou plus exactement la famine, la misère sociale, la souffrance de tout être et la mort, car c’est bien d’un système mortifère dont je te parle. Mon frère, ma sœur, demain il sera trop tard. Sache que le capitalisme à visage humain est un leurre, c’est un masque, un subterfuge visant à te faire taire. Sache que le système est sans scrupule et vit uniquement dans le présent. Le sens de ta vie ne serait-il pas plus juste s’il avait dans sa mire la sauvegarde de la planète, cette planète, mère des générations à venir ? Or, de son pillage, son exploitation, il ne résulte que le néant. Le paradis, c’est la Terre, à toi de faire en sorte qu’elle ne devienne pas l’enfer !
Julien Zeppo, 2008
Ni dieu ni maître
La cigarette sans cravate / Qu’on fume à l’aube démocrate
Et le remords des cous-de-jatte / Avec la peur qui tend la patte
Le ministère de ce prêtre / Et la pitié à la fenêtre
Et le client qui n’a peut-être / Ni Dieu ni maître
Le fardeau blême qu’on emballe / Comme un paquet vers les étoiles
Qui tombent froides sur la dalle / Et cette rose sans pétales
Cet avocat à la serviette / Cette aube qui met la voilette
Pour des larmes qui n’ont peut-être / Ni Dieu ni maître
Ces bois que l’on dit de justice / Et qui poussent dans les supplices
Et pour meubler le sacrifice / Avec le sapin de service
Cette procédure qui guette / Ceux que la société rejette
Sous prétexte qu’ils n’ont peut-être / Ni Dieu ni maître
Cette parole d’Evangile / Qui fait plier les imbéciles
Et qui met dans l’horreur civile / De la noblesse et puis du style
Ce cri qui n’a pas la rosette / Cette parole de prophète
Je la revendique et vous souhaite / Ni Dieu ni maître
Léo Ferré, 1964Désobéissance civile
Trop nombreux sont ceux qui ont oubliés le passé
L’histoire de l’homme, une honte, faut-il te le ressasser ? Le monde, une spirale ou les mêmes erreurs sont retracées. À force de côtoyer l’horreur, nos cœurs sont devenus glacés. Nous parlent que d’profits, la condition de l’homme effacé.
Mondialisation et concurrence sont leurs uniques phrasés. Les peuples unilatéralement écrasés.
La création menacée. Multinationales et croissance ont tracée. Leurs routes sur nos libertés.
Ils ont jurés, crachés qu’rien n’entravera la leur à l’heure ou les dictatures sont cachées. À cause de leurs profits, immédiat l’avenir est gâché. Cette bande d’ingrats ont réduit la planète à un grand marché.
La loi des plus riches et beaucoup crèvent avant d’être âgé. Protestations dîtes criminelles si tu les as outragés. Ils mentent lorsqu’ils disent que le mal-être n’est que passager. Puis s’étonnent quand la nature se rebelle comme un peuple enragé. Ils disent être transparent alors que de sang, leurs mains sont tachées. Déconseillent fortement d’avoir des idées trop engagées. Accélération d’leur plan depuis qu’des avions se sont crashés. Et toi, dis-moi dans quels sens au système es-tu attaché ? Ils prêchent le blasphème et la vraie lumière se fait lyncher. Tous nés la corde au cou, dans certains pays elle a lâchée. Parlent de justice alors qu’à la racine ils l’ont arrachée. Les plus gros s’engraissent sur la tête de ceux qui n’ont rien à mâcher. Voila le monde d’aujourd’hui. Parait qu’leur plan a marché. Nous vantent un progrès technique mais dans le fond à tout saccager. Parle d’évolution quand notre humanité s’est fait hachée. Notre cœur ne bat plus vraiment et notre inconscient est fâché.
Stress, angoisse, cancers, dépressions notre compte s’est chargé. Mais on ne cherche pas la cause et les effets qu’on aimerait chassés. « Philosophie fast-food » pour que nos consciences soient terrassées. Au nom de la dignité humaine, nous avons dis : « Assez ! », désobéissance civile !
Keny Arkana 2008Capital violence
Tous coupables ou tous victimes / c’est du pareil au même.
Votre classe commet des crimes et vous récoltez ce qu’elle sème.
La mécanique est si bien huilée rentrée dans la nature des choses.
Saloperie intériorisée. / L’inadmissible à petites doses.
Vous n’savez même plus ce que vous faites. / Vous n’connaissez même pas l’étendue de vos dégâts. / Obstinément vous niez ce que vous êtes
et vous tournez la tête quand on vous montre du doigt.CAPITAL VIOLENCE. / Vous avez inventé la guerre pour diminuer nos majorités naissantes / imaginé les syndicats pour contenir la colère croissante. / Vous avez inventé l’chômage pour nous détourner de nos cibles et les élections petit ravitaillement annuel de possible.
CAPITAL VIOLENCE. / Tout cela va mal tourner. / Contre vous se retourner. / Mine de rien vous continuez à sévir / à tout acheter sur vos chemins / Vous avez inventé le sourire / et nous nous sommes rendu compte de rien. / Mine de rien vous persistez nuire / tout tacheter sur vos routes. / Et vous êtes là tout sourire / ça nous perturbe ça nous déroute. / Vous nous poussez au pire. / Bientôt nos violences elles-mêmes n’auront plus de sens.
Zabriskie Point 1995
Fédération Libertaire des Montagnes (FLM)
CP 569 / 2301 La Chaux-de-Fonds / flm.osl@espacenoir.ch
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texte
collage photo (avec coquelicots, manifestations, …) par Joëlle Aubron
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Libération immédiate de Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !
Affiche réalisée à partir d’un collage de Joëlle Aubron
Collectifs de soutien aux prisonniers d’Action Directe
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texte
dessin (oiseau blanc)
- texte :
Non au nouveau centre fermé
Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !
La construction d’un nouveau centre fermé a commencé à Steenokkerzeel. Il viendra s’ajouter aux quatre centres fermés déjà existants, à la quarantaine de prisons et aux nombreux centres ouverts gérés par Fedasil et la Croix-Rouge. L’État belge complète ainsi son infrastructure, cherchant du même coup à raffiner le fonctionnement de la machine à expulser.
Sous couvert d’humanité, une immigration de plus en plus choisie est en voie de légalisation, laissant au reste des indésirables le circuit du travail au noir, tout aussi nécessaire au bon fonctionnement de l’économie. Avec ou sans papiers on se fera exploiter par un patron ’belge’ ou ’immigré’, tandis que les divers nationalismes et religions feront tout pour nous séparer, garantissant ainsi l’avenir radieux de ce monde de merde.
Pourtant, si l’on voit les révoltes qui éclatent depuis des années aussi bien dans les centres fermés que dans les prisons, dans la rue et les aéroports, force est de constater que la machine n’est pas si bien huilée que ça. Face à l’enfermement et à des conditions de vie qui s’apparentent souvent cruellement à celles qu’ils ont fui, de plus en plus d’indésirables prennent le chemin de la révolte.
Ainsi se sont succédées mutineries, évasions, attaques contre la police suite à des contrôles, représailles contre divers collaborateurs : ISS-Cleaning, la STIB ou encore la Banque de la Poste. Qui ne se souvient pas par exemple du beau feu de joie de l’été passé ? Le 127bis était presque entièrement parti en fumée. Et c’est justement là, à Steenokkerzeel, que l’État a choisi de construire son nouveau centre fermé spécialement conçu pour les récalcitrants.
L’Etat entretient un silence pesant autour de la construction de ce nouveau camp de concentration. Et pourtant les constructeurs de cette infamie - Besix, Valens, Michiels H. NV., etc. - y mettent les bouchées doubles. Alors n’attendons pas qu’il soit trop tard.
Sabotons la machine à expulser !
Détruisons toutes les frontières !
disponible en néerlandais
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- notes :
[Stop aux rafles !]
[Stop aux rafles !]. — Saint-Denis : CNT_- FTE_ (CNT-Fédération des Travailleurs de l’Éducation) : CNT_F (France : ≥1993), [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; [42 ?] × [30 ?] cm.
sources :
[Strollad Lochu]
[Strollad Lochu]. — Brest : Comité Brestois de la CBIL (strollad Lochu), [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Aéroport Notre-Dame-des-Landes : un projet qui nous pompe l’air !]
[Aéroport Notre-Dame-des-Landes : un projet qui nous pompe l’air !] / Jacques Rouxel. — Notre-Dame-des-Landes : Zone à défendre (NDDL), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 70 × 50 cm.
sources :
[Aucun être humain n’est illégal ! : régularisation des sans papiers !]
[Aucun être humain n’est illégal ! : régularisation des sans papiers !]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CGA_. Groupe Puig-Antich (Perpignan), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 31 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]
[Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 59 cm.
sources :
[Droit dans l’mur ! : journal du Groupe anarchiste Bordelais, nº 3]
[Droit dans l’mur ! : journal du Groupe anarchiste Bordelais, nº 3]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2018 & ante] |
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[En för alla, alla för en]
[En för alla, alla för en]. — Göteborg : Göteborg LS (Lokala Samorganisation) : SAC_ (Sverige arbaretares centralorganisation : 1910-....), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 30 cm.
sources :
[Le Chat déchaîné #1 : Pour un autre futur]
[Le Chat déchaîné #1 : Pour un autre futur]. — La Chaux-de-Fonds : FLM_ (Fédération libertaire des Montagnes : 1978-....) : OSL_ (Organisation socialiste libertaire), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Le Chat déchaîné #2 : la crise ! à qui la faute !]
[Le Chat déchaîné #2 : la crise ! à qui la faute !]. — La Chaux-de-Fonds : FLM_ (Fédération libertaire des Montagnes : 1978-....) : OSL_ (Organisation socialiste libertaire), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Organisons la riposte sociale]
[Organisons la riposte sociale]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ca ] (Atelier 26 (Loriol)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() 2014 |
![]() [ca 2008] |
[Organisons la riposte sociale]
[Organisons la riposte sociale]. — Montpellier ; Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : Groupe Un autre futur (UAF_ : Montpellier), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() [ca 2008] |
![]() 2014 |
[Repas gratuit pour toutes et tous : Resto trottoir, rendez-vous le dernier dimanche de chaque mois]
[Repas gratuit pour toutes et tous : Resto trottoir, rendez-vous le dernier dimanche de chaque mois]. — Besançon : Autodidacte (librairie L’) : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (quadri : noir , bleu , orange , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[La crise ?, le hold-up du siècle !]
[La crise ?, le hold-up du siècle !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2009 |
[Libérons-nous de tout ce que l’État et la capitalisme nous imposent !]
[Libérons-nous de tout ce que l’État et la capitalisme nous imposent !]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ca ] (Atelier 26 (Loriol)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 42 cm.
sources :
[Ne battons pas en retraite : grève générale pour la justice sociale !]
[Ne battons pas en retraite : grève générale pour la justice sociale !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), [ca ] (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 59 × 42 cm.
sources :
[Non aux troupes françaises en Afghanistan]
[Non aux troupes françaises en Afghanistan]. — Tanus : APEL : COT_ (Collectif des objecteurs du Tarn), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [123 ?] × [88 ?] cm.
sources :
[On n’est pas tous sur le même bateau !]
[On n’est pas tous sur le même bateau !]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.
sources :
[Passons-nous des patrons !]
[Passons-nous des patrons !] / Carlos Azagra García. — Lyon : CNT_F (France : ≥1993), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2009 |
![]() [ 2014 & ante] |
![]() [ca 2000] |
[Vacances à vie !]
[Vacances à vie !]. — Gent Gand : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]
[Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]. — Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , rose , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[A spectre is haunting us]
[A spectre is haunting us]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Arrêt des expulsions]
[Arrêt des expulsions]. — Lille : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Attaquons la vidéosurveillance !]
[Attaquons la vidéosurveillance !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir ) ; 60 × 21 cm.
sources :
[Crachez ici, c’est pour nos fichiers : quelques bonnes raisons de refuser le fichage ADN]
[Crachez ici, c’est pour nos fichiers : quelques bonnes raisons de refuser le fichage ADN]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , jaune ) ; 47 × 66 cm.
sources :
![]() 2008 |
[Ein Schreckgespenst geht um]
[Ein Schreckgespenst geht um]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Justice sociale ? Grève générale !]
[Justice sociale ? Grève générale !]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , brun , texte en défonce ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Le Chat déchaîné #5 : chantons la révolte !]
[Le Chat déchaîné #5 : chantons la révolte !]. — La Chaux-de-Fonds : FLM_ (Fédération libertaire des Montagnes : 1978-....) : OSL_ (Organisation socialiste libertaire), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Libération immédiate de Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !]
[Libération immédiate de Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !]. — Paris : Collectifs de soutien aux prisonniers d’Action Directe, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 59 cm.
sources :
[Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]
[Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , vert , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Pour une école émancipatrice]
[Pour une école émancipatrice]. — Paris : CNT_- FTE_ (CNT-Fédération des Travailleurs de l’Éducation) : CNT_F (France : ≥1993), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.