FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)

 

Le Fonds d’archives communistes libertaires (FACL)

Musée de l’Histoire vivante
Association loi 1901 reconnue d’intérêt général
31 bd Théophile-Sueur - 93100 Montreuil
info@museehistoirevivante.fr
01 48 54 32 44

http://www.museehistoirevivante.fr/collections/fonds-d-archives/le-fonds-d-archives-communistes-libertaires-facl (20 avril 2019) :

Cent vingt cartons soigneusement classés, inventoriés et numérotés, des collections de journaux, d’affiches, de tracts, des photos, du matériel audiovisuel, le tout couvrant l’activité du courant communiste libertaire (et connexe) dans l’espace francophone de 1944 à nos jours… C’est le Fonds d’archives communistes libertaires (FACL).

En septembre 2015, l’organisation Alternative libertaire a signé une convention de dépôt de ses archives avec le Musée de l’histoire vivante (MHV). Cela leur garantissant une conservation professionnelle, tout en les rendant accessibles aux historiennes et historiens, étudiants, militants, etc.

Dès l’automne 2015, AL a déposé 70 cartons. Puis, à ce noyau dur se sont progressivement agrégés une soixantaine de cartons supplémentaires, issus de donations privées. C’est de cet ensemble qu’est né le FACL, qui couvre l’histoire du mouvement communiste libertaire depuis 1944 dans toutes ses ramifications (FCL, GAAR, UGAC, TAC, MCL, ORA, OCL 1 et 2, UTCL, CJL, AL…), ses luttes (anticolonialisme, gauches syndicales, coordinations de grévistes…) et même certaines branches cousines (Socialisme ou Barbarie, ICO…).

L’accueil de ce fonds permet au musée d’avancer dans son projet de transformation en Musée d’histoire du mouvement ouvrier (MHMO), qui embrasserait cette histoire dans toute sa pluralité. Vous trouverez ci-contre l’inventaire du fonds : près de 150 pages, en accès libre !

 

Affichage par année

434 affiches :

 







    [Contre le chômage et les exclusions, à Paris le 28 mai]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre le chômage et les exclusions, à Paris le 28 mai]. — Paris : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , papier blanc ) ; 59 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : économie : chômage  ; pauvreté
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    texte

    carte (silhouette de la France avec flèches convergeant vers Paris)

    texte :

    Contre le chômage et les exclusions

    à Paris le 28 mai, 15 h, place de la Bastille

    Les marches contre le chômage arrivent à Paris.

    Manifestation nationale soutenue par : Association Pour l’Emploi, l’Information et la Solidarité, Comité des sans-logis, Mouvement National des Chômeurs et Précaires, Union nationale des associations de chômeurs, Association de Défense des Usagers de l’Administration, AGIR-SNAU-SNIEN-FEN, APRES, CAIF, CFDT ANPE, CFDT Auvergne, CFDT Banques, CFDT Basse Normandie, CFDT Bourse, CFDT Hacuitex, CFDT Finances, CFDT Ministère du Travail, CFDT Provence Alpes Côte-d’Azur, CFDT Transports-Équipement, CMR, Confédération Nationale du Logement, CNT IdF, Confédération Paysanne, Confédération Syndicale des Familles, Coordination Européenne des Femmes, CRC Santé-Sociaux, Culture et Liberté, Droit Au Logement, Elles sont pour, FASTI, FDSU-Finances, FEN, FIDL, FMI, JOC-JOCF, Ligue des Droits de l’Homme, MRAP, MW, RÉAS, SE-FEN, SIEN-FEN, SNA-Banque de France, SNACCRF, SNADJEN-FEN, SNAEN-FEN, SNASUB-FSU, SNB-FEN, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNESUP-FSU, SNETAP-FSU, SNICS-FSU, SNPES-FSU, SNPTS-FEN, SNUDDI, SNUI, SNUIPP-FSU, SPASET, SU-Caisse d’Épargne, SUD-CAM, SUD-PTT, SNPIT, SUPPer, SOS Racisme, UNEF-ID, Union des Familles Laïques, Vie Nouvelle


    sources :
     






    [En avant pour les droits et l’égalité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    En avant pour les droits et l’égalité] / Oscar Roty. — Paris : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 80 × 53 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : pauvreté
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (« Marianne » semeuse d’après Oscar Roty)

    texte :

    Y’en aura pour tout le monde !

    En avant pour les droits et l’égalité

    8 avril 95 — Contre l’exclusion et la précarité

    Journée nationale de manifestations
    AC ! - Accueil et Promotion - ACDL - ACTIT - ADEC - Alliance des Femmes - AMF - APEF - APEIS - ATMF - CADAC - CDSL - CEDETIM - CIMADE - CFDT-FGTE - CFDT Fédération Finances - CFDT Harcuivex - CGT Confédération - CNL - CNT - CONCASS - CRC Santé Sociaux - CSF - Culture et Liberté - XDSL - CGL Union Parisienne - CSCV - DAL - Droits Devant ! - Emmaus France v- FASTI - Fédération des Mutuelles de France - Fédération des Malades et Handicapés - FIDL - Fondation Abbé Pierre pour le logement des défavorisés - FG-PTT EDF - FFACE - FSU - FTCR - GISTI - GRAL - JEC - SEP (FEN) - SGEN CFDT - SNICS - SNEP (FSU) - SNES - SNEP - SNESUP - SNPIT - SNUASEN - SNU IPP - SNPES PJJ - SNUT - SOS Racisme - SUS PTT - Syndicat de la Magistrature - Syndicat Unifié des Caisses d’Épargne - Témoignage Chrétien - UNEF ID - URMED Solidarité - Vie nouvelle - …

    [La Fabrique d’images 1995 ?]


    sources :
     








    [Sur la Commune]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sur la Commune]. — [S.l.] : Elle n’est pas morte !, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)  ; Debord, Guy-Édouard (1931-1994)  ; Kotànyi, Attila  ; Vaneigem, Raoul (1934-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte de l’Internationale situationniste de 1962 sur la Commune de Paris de 1871 ]

    texte :

    Sur la Commune

    1

    « Il faut reprendre l’étude du mouvement ouvrier classique d’une manière désabusée, et d’abord désabusée quant à ses diverses sortes d’héritiers politiques ou pseudo-théoriques, car ils ne possèdent que l’héritage de son échec. Les succès apparents de ce mouvement sont ses échecs fondamentaux (le réformisme ou l’installation au pouvoir d’une bureaucratie étatique) et ses échecs (la Commune ou la révolte des Asturies) sont jusqu’ici ses succès ouverts, pour nous et pour l’avenir. »

    « Notes éditoriales », Internationale situationniste, n° 7

    2

    La Commune a été la plus grande fête du XIXe siècle. On y trouve, à la base, l’impression des insurgés d’être devenus les maîtres de leur propre histoire, non tant au niveau de la déclaration politique "gouvernementale" qu’au niveau de la vie quotidienne dans ce printemps de 1871 (voir le jeu de tous avec les armes ; ce qui veut dire : jouer avec le pouvoir). C’est aussi en ce sens qu’il faut comprendre Marx : « la plus grande mesure sociale de la Commune était sa propre existence en actes ».

    3

    Le mot de Engels : « Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat » doit être pris au sérieux, comme base pour faire voir ce que n’est pas la dictature du prolétariat en tant que régime politique (les diverses modalités de dictatures sur le prolétariat, en son nom).

    4

    Tout le monde a su faire de justes critiques des incohérences de la Commune, du défaut manifeste d’un appareil. Mais comme nous pensons aujourd’hui que le problème des appareils politiques est beaucoup plus complexe que ne le prétendent les héritiers abusifs de l’appareil de type bolchevik, il est temps de considérer la Commune non seulement comme un primitivisme révolutionnaire dépassé dont on surmonte toutes les erreurs, mais comme une expérience positive dont on n’a pas encore retrouvé et accompli toutes les vérités.

    5

    La Commune n’a pas eu de chefs. Ceci dans une période historique où l’idée qu’il fallait en avoir dominait absolument le mouvement ouvrier. Ainsi s’expliquent d’abord ses échecs et succès paradoxaux. Les guides officiels de la Commune sont incompétents (si on prend comme référence le niveau de Marx ou Lénine, et même Blanqui). Mais en revanche les actes « irresponsables » de ce moment sont précisément à revendiquer pour la suite du mouvement révolutionnaire de notre temps (même si les circonstances les ont presque tous bornés au destructif — l’exemple le plus connu est l’insurgé disant au bourgeois suspect qui affirme qu’il n’a jamais fait de politique : « c’est justement pour cela que je te tue »).

    6

    L’importance vitale de l’armement général du peuple est manifestée, dans la pratique et dans les signes, d’un bout à l’autre du mouvement. Dans l’ensemble on n’a pas abdiqué en faveur de détachements spécialisés le droit d’imposer par la force une volonté commune. La valeur exemplaire de cette autonomie des groupes armés a son revers dans le manque de coordination : le fait de n’avoir à aucun moment, offensif ou défensif, de la lutte contre Versailles porté la force populaire au degré de l’efficacité militaire ; mais il ne faut pas oublier que la révolution espagnole s’est perdue, et finalement la guerre même, au nom d’une telle transformation en « armée républicaine ». On penser que la contradiction entre autonomie et coordination dépendait grandement du degré technologique de l’époque.

    7

    La Commune représente jusqu’à nous la seule réalisation d’un urbanisme révolutionnaire, s’attaquant sur le terrain aux signes pétrifiés de l’organisation dominante de la vie, reconnaissant l’espace social en termes politiques, ne croyant pas qu’un monument puisse être innocent. Ceux qui ramènent ceci à un nihilisme de lumpenprolétaire, à l’irresponsabilité des pétroleuses, doivent avouer en contrepartie tout ce qu’ils considèrent comme positif, à conserver, dans la société dominante (on verra que c’est presque tout). « Tout l’espace est déjà occupé par l’ennemi... Le moment d’apparition de l’urbanisme authentique, ce sera de créer, dans certaines zones, le vide de cette occupation. Ce que nous appelons construction commence là. Elle peut se comprendre à l’aide du concept de trou positif forgé par la physique moderne. » (« Programme élémentaire d’urbanisme unitaire », Internationale situationniste n° 6.)

    8

    La Commune de Paris a été vaincue moins par la force des armes que par la force de l’habitude. L’exemple pratique le plus scandaleux est le refus de recourir au canon pour s’emparer de la Banque de France alors que l’argent a tant manqué. Durant tout le pouvoir de la Commune, la Banque est restée une enclave versaillaise dans Paris, défendue par quelques fusils et le mythe de la propriété et du vol. Les autres habitudes idéologiques ont été ruineuses à tous propos (la résurrection du jacobinisme, la stratégie défaitiste des barricades en souvenir de 48, etc.).

    9

    La Commune montre comment les défenseurs du vieux monde bénéficient toujours, sur un point ou sur un autre, de la complicité des révolutionnaires ; et surtout de ceux qui pensent la révolution. C’est sur le point où les révolutionnaires pensent comme eux. Le vieux monde garde ainsi des bases (l’idéologie, le langage, les mœurs, les goûts) dans le développement de ses ennemis, et s’en sert pour regagner le terrain perdu. (Seule lui échappe à jamais la pensée en actes naturelle au prolétariat révolutionnaire : la Cour des Comptes a brûlé.) La véritable « cinquième colonne » est dans l’esprit même des révolutionnaires.

    10

    L’anecdote des incendiaires, aux derniers jours, venus pour détruire Notre-Dame, et qui s’y heurtent au bataillon armé des artistes de la Commune, est riche de sens : elle est un bon exemple de démocratie directe. Elle montre aussi, plus loin, les problèmes encore à résoudre dans la perspective du pouvoir des conseils. Ces artistes unanimes avaient-ils raison de défendre une cathédrale au nom de valeurs esthétiques permanentes, et finalement de l’esprit des musées, alors que d’autres hommes voulaient justement accéder à l’expression ce jour-là, en traduisant par cette démolition leur défi à une société qui, dans la défaite présente, rejetait toute leur vie au néant et au silence ? Les artistes partisans de la Commune, agissant en spécialistes, se trouvaient déjà en conflit avec une manifestation extrémiste de la lutte contre l’aliénation. Il faut reprocher aux hommes de la Commune de n’avoir pas osé répondre à la terreur totalitaire du pouvoir par la totalité de l’emploi de leurs armes. Tout porte à croire qu’on a fait disparaître les poètes qui ont traduit à ce moment la poésie en suspens de la Commune. La masse des actes inaccomplis de la Commune permet que deviennent « atrocités » les actes ébauchés, et que les souvenirs soient censurés. Le mot « ceux qui ont fait les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau » explique aussi le silence de Saint-Just.

    11

    Les théoriciens qui restituent l’histoire de ce mouvement en se plaçant du point de vue omniscient de Dieu, qui caractérisait le romancier classique, montrent facilement que la Commune était objectivement condamnée, qu’elle n’avait pas de dépassement possible. Il ne faut pas oublier que, pour ceux qui ont vécu l’évènement, le dépassement était là.

    12

    L’audace et l’invention de la Commune ne se mesurent évidemment pas par rapport à notre époque mais par rapport aux banalités d’alors dans la vie politique, intellectuelle, morale. Par rapport à la solidarité de toutes les banalités parmi lesquelles la Commune a porté le feu. Ainsi, considérant la solidarité des banalités actuelles (de droite et de gauche) on conçoit la mesure de l’invention que nous pouvons attendre d’une explosion égale.

    13

    La guerre sociale dont la Commune est un moment dure toujours (quoique ses conditions superficielles aient beaucoup changé). Pour le travail de « rendre conscientes les tendances inconscientes de la Commune » (Engels), le dernier mot n’est pas dit.

    14

    Depuis près de vingt ans, en France, les chrétiens de gauche et les staliniens s’accordent, en souvenir de leur front national anti-allemand, pour mettre l’accent sur ce qu’il y eut dans la Commune de désarroi national, de patriotisme blessé, et pour tout dire de « peuple français demandant par pétition d’être gouverné » (selon la « politique stalinienne » actuelle), et à la fin poussé au désespoir par la carence de la droite bourgeoise apatride. Il suffirait, pour recracher cette eau bénite, d’étudier le rôle des étrangers venus combattre pour la Commune : elle était bien, avant tout, l’inévitable épreuve de force où devait se mener l’action en Europe depuis 1848 de « notre parti », comme disait Marx.

    18 mars 1962

    Attila Kotànyi, Guy Debord, Raoul Vaneigem

    Ces thèses sur la Commune, dont l’actualité ne devrait échapper à personne, parurent le 21 février 1963 dans un tract de L’internationale situationniste intitulé Aux poubelles de l’histoire ! Il révélait un plagiat vraiment démesuré de ces thèses qu’Henri Lefebvre avait fait paraître dans l’ultime numéro de la répugnante revue Arguments paru au début de 1963, plagiat que ce versaillais de la culture réitérera en 1965 dans son livre sur La Proclamation de la Commune. Ce tract fut réédité en fac-similé dans le n° 12 de la revue Internationale situationniste en septembre 1969.

    Achevé d’imprimer le 18 mars 1997. © anticopyright des éditions Elle n’est pas morte !


    sources :
     









    [Contre-fêtes johanniques 2000 : fête du mouvement social]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre-fêtes johanniques 2000 : fête du mouvement social] / Flanby. — Orléans ; Saint-Jean-de-la-Ruelle : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier orange ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; luttes sociales (mouvement social)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Couté, Gaston (1880-1911)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    texte

    montage (dessin de chevalier à cheval avec photo de tête de politicien local ?)

    texte :

    Fête du mouvement social

    Lundi 8 mai
    12 h à 22 h au Kiosk
    St Jean de la Ruelle
    accès bus J - arrêt Mairie de St Jean de la Ruelle
    entrée gratuite

    Buvette, casse-croûtes, grillades, frites
    Des jeux pour les enfants
    Les stands des organisations

    à partir de 12 h : apéro, pique-nique, moment convivial de rencontres, discussions, visite des stands.

    dès 14 h : des spectacles :
    Les Branle le Tête (spectacle cabaret)
    Le Ptit Crême (chanson de la rue)
    Bernard Gainier (textes du poète beauceron Gaston Couté)
    Michel Noir (blues)
    La Compagnie du 13 mars (théâtre d’intervention)
    François Rascal (chansons tout cour)
    Les Salopettes (contes théâtraux et musicaux)
    Backdoor (country blues)
    Les Bigottes (chansons ringardes)
    Serious Road Trip (jongleurs acrobates)
    Paris Londres (rock alternatif)

    vers 18 h : meeting-débat sur le mouvement social, son renouveau, ses nouvelles figures, ses nouvelles formes de lutte, ses stratégies et ses difficultés. Animé par Bernard Delouche (co-auteur du récent livre sue le sujet « Les Nouveaux sans-culottes »), avec Jean-CLaude Amara (président de Droit devant), Claire Villiers (porte-parole nationale d’AC !), Pierre Contessene (représentant du Groupe des 10 SUD aérien), Marie-Claire Lemoine (représentante de Mix-Cité), un porte-parole de la Confédératon paysanne, un représentant national d’ATTAC.

    Après 20 h, la fête continue jusqu’à 22 h

    Les contres-fêtes johanniques/fête du mouvement social sont organisées par :
    AC ! 45, DAL, COOOA, Confédération paysanne, SUD étudiantn SUD santé sociaux, SUD culture, SUD éducation, FA, ATTAC, Ras l’front, GAG, Alternative libertaire.


    sources :
     

    [ca  2000]

    [ca  2000]
    Affiches liées




















    [Louise Michel, le vierge rouge]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Louise Michel, le vierge rouge] / Ernest Pignon-Ernest. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 72 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Humbert, Pierre  ; Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte (souvent manuscrit)

    dessin (portrait de Louise Michel) signé Ernest Pignon-Ernest (2001)

    texte :

    Louise Michel, le vierge rouge

    Compagnie Humbert en coproduction avec la compagnie Mise en Acte

    Adaptation et mise en scène Pierre Humbert

    avec Claudine Baschet, Danièle Israël, Maud Narboni

    dessins Pignon-Ernest

    Avec le soutien du ministère de la Culture/DRAC Champagne Ardenne, de la région Champagne Ardenne/ARCCO, du conseil général de la Haute-Marne, de la ville de Langres, de la Maison du Boulanger/Centre culturel de la ville de Troyes, n° de licence : 5541 - Imp. Eurographic 01 49 68 31 00

    Du 18 au 29 septembre 2001 - 21 h (dauf dimanche)

    [logo] LMP Lavoir Moderne Parisien
    Direction : Hervé Breuil ; 35, rue Léon ; 75018 Paris ; Métro Château-Rouge

    Réservations : 01 42 52 09 14
    Plein tarif 90 F • Tarif réduit 60 F • Abonnés 50 F

    11 représentations exceptionnelles


    sources :
     




    [Murmural ! : lettre mensuelle n° 4 des Ami(e)s d’Alternative libertaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Murmural ! : lettre mensuelle n° 4 des Ami(e)s d’Alternative libertaire]. — Paris : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 29 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : art : affiche  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Crosnier, Alain
    • Presse citée  : Alternative libertaire (France : 1991-....)
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    « On dit d’un fleuve emportant tout qu’il est violent,
    mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent. »

    Berthold Brecht

    [logo] Alternative libertaire

    Chaque mois, lisez le journal Alternative libertaire
    BP 177 - 75967 Paris cedex 20


    Les Ami(e)s d’ [logo] Alternative libertaire
    Supplément à Alternative libertaire n° 94
    Commission paritaire n° 72861 - Directeur de publication Alain Crosnier. Édité par AL - Imprimerie spéciale

    Alternative Libertaire, B.P. 177, 75967 Paris cedex 20

    Lettre mensuelle n° 4 février 2001

    Murmurai !

    Cher(e)s ami(e)s,

    Vous trouverez ci-joint la maquette du numéro 1 du journal mural, ainsi que des suppléments (à agrandir). Pour établir cette maquette, il v a eu un gros travail de la graphiste (Anne Marie. à qui nous devons déjà la conception de la maquette du journal). La formule peut et doit bien sûr évoluer en fonction des besoins, des remarques et des suggestions des militant(e)s de l’AL… et des "Ami(e)s" : c’est en effet grâce aux premiers succès de cette formule que nous commençons à réaliser les divers "Projets’ que vous connaissez.

    Nous vous proposons ce petit "Mode d’emploi" :

    1 - Une maquette pour tirages en photocopies
    Le tirage est complètement décentralisé. Le principe est le suivant : chaque CAL ou militant isolé, ou Ami(e) d’AL reçoit une maquette. À charge pour lui, s’il le désire, de tirer en photocopie le nombre désiré.

    2 - Une affichette en deux parties
    Partie l - Le journal mural proprement dit. Texte et maquette proposés par la Commission nationale “Journal mural”. Ce journal peut se coller tout seul, tel quel… Mais ont peut également coller sous ce journal une autre affichette de son choix. Cela donne alors un ensemble cohérent d’une surface double.
    Partie 2 - Une phrase choc, une annonce. un texte local…

    3 - Un affichage régulier
    Pour commencer, le rythme d’un journal mural tous les deux mois a été arrêté. Il est conseillé à chaque unité de collage de se fixer des objectifs réguliers sur lequel chaque numéro sera collé. Par exemple : quelques grosses entreprises, quelques lycées et Facultés. quelques points de la commune particulièrement passant. des lieux culturels. militants… et les points d’intervention des militant(e)s (marchés. entreprises…)

    4 - Un enjeu politique
    Il ne s’agit bien sûr pas pour nous de recouvrir les murs de papier peint. L’enjeu d’une expression sur les murs de la cité est politique, avec (au moins) deux ressorts :

    • La visibilité d’un courant révolutionnaire libertaire s’adressant au plus grand nombre, et la défense de nos idées essentielles. Le public potentiel est large : ce sont, en gros. toutes celles et ceux qui nourrissent une part plus ou moins grande de révolte par rapport à cette société. Donc. des militants, mais pas seulement : une grande majorité de ce lectorat de rue n’est pas organisée. Cela a une incidence sur le ton à trouver. les formules à choisir, etc.
    • Le fait de proposer les moyens d’une expression libertaire publique est en soi un facteur dynamique pour le développement du courant libertaire. Nous avons pu constater, à travers les réactions et les attentes exprimées par des “Ami(e)s d’Alternative libertaire”, que le projet de l’affiche murale suscitait pas mal d’intérêt, au-delà du cercle des militant(e)s de l’AL.
    • Alors…

    Bonne colle, et couvrons les murs !!
    La Commission Journal mural


    sources :

    Voir aussi : https://bianco.ficedl.info/article3872.html


    2001
    Affiche liée