prison
420 affiches :
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- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (homme traversant horizontalement un mur vers un autre mur avec barreaux)
- texte :
C’est un mur qui cache
la prison
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (Steve McQueen, en moto, franchissant des barbelés)
- texte :
De werkelijke crisis is het dagelijks leven
De zogenaamde keuzes die we maken, een veilige baan, een huis met hypotheek, een snelle auto en eenmaal per jaar een vakantie naar een exotisch oord om bij te komen van de dagelijkse stress, zijn allemaal vastgerot binnen hetzelfde kader, met de alsmaar toenemende tijdsdruk om zo snel mogelijk al onze taken af te krijgen om daarna te kunnen “genieten van het leven”.
Maar wat valt er te genieten als het hele leven al bepaald is, als we weten dat dit zogenaamde geluk slechts van korte duur is, omdat we morgen onze “vrijheid” weer inruilen voor een slavenbestaan, aan de kettingen van de bazen en het geld ?
Zou je niet liever met opgeheven hoofd weglopen in plaats van ontslagen te worden ? Zou je niet liever je baas in het gezicht spugen wanneer hij je vernedert, in plaats van het gelaten over je heen te laten gaan uit angst je miezerige baantje kwijt te raken ? Waar zijn we eigenlijk bang voor ?
Zolang wij ons als geslagen honden blijven neerleggen bij het leven in een wereld die iedere dag meer de kenmerken van een gevangenis vertoont, en de regels accepteren die ons worden opgedrongen, zal het leven blijven wat het is : een valse werkelijkheid waarin al onze keuzes al voor ons gemaakt zijn.
Onze verlangens treden buiten het veilige kader van de maatschappij, ze gaan er ver voorbij, tot aan een horizon waarvan we nu slechts kunnen dromen. Onze verlangens kunnen niet bevredigd worden door een wereld die uit alle macht probeert ze teniet te doen, een wereld die ons iedere dag meer opsluit binnen haar verstikkende grenzen.
Vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij
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- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (mur de brique en destruction)
- texte :
Face à l’enfermement dans et hors les murs
Prisons - Violences policières - Centres de détention - Établissements psychiatriques
Cerna - Dialectik Musik - Pain de Mix - Keskiya
Discussions - Bar - Bouffe à prix libre - Projection - Théâtre
septembre 2015
Ven. 25 — 18 h ouverture, repas — 21 h théâtre, concert, percussions brésiliennes
Sam. 26 — 10ßh ouverture, discussions + repas — 21 h concerts, hip-hop
Dim. 27 — 12 h ouverture — 13 h projection , discussion, repas
à La Parole Errante — 9, rue François-Debergue Montreuil — Ⓜ Croix de Chavaux
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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titre
dessin (cartable d’écolier avec scie pour barreaux)
- texte :
Haren : 1181 écoliers, 1190 prisonniers
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
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- notes :
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texte
photo (paysage de ville arborée)
vignettes (révolver, silhouette cow-boy en 6 exemplaires)
- texte :
Haren City
Partenariat public privé
Complexe pénitencier
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
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- notes :
- descriptif :
[ texte (français, anglais, russe) ; dessin d’après photo (portrait) ]
- texte :
Solidarité internationale
Libérez Alexandr Koltchenko
Alexandr Koltchenko est un jeune étudiant de Crimée, anarchiste combattant pour la liberté, les droits sociaux, la défense de l’environnement et contre le fascisme. Il vient d’être emprisonné par le régime de Poutine pour « participation à des organisations terroristes » et se trouve détenu à la prison de Lefortovo comme prisonnier politique.
Faites parvenir vos dons à
Solidaires, 144, boulevard de la Villette, 75019 Paris (avec au dos du chèque la mention « Koltchenko »)[Delta papier - Expressions2 - Paris 20 - 01 43 58 26 26]
http://www.cnt-f.org/solidarite-avec-alexandr-koltchenko.html
http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche_koltchenko_2_.jpgSoutiens : Solidaires, Alternative libertaire, Fédération, anarchiste, Nouveau parti anticapitaliste ?
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- notes :
- descriptif :
[ texte (français, anglais, russe) ; dessin d’après photo (portrait) ]
- texte :
Solidarité internationale
Libérez Alexandr Koltchenko
Alexandr Koltchenko est un jeune étudiant de Crimée, anarchiste combattant pour la liberté, les droits sociaux, la défense de l’environnement et contre le fascisme. Il est emprisonné depuis le 16 mai 2014 par le régime de Poutine pour « participation à des organisations terroristes » et se trouve détenu à la prison de Lefortovo comme prisonnier politique.
Contact : soutien.kolchenko@gmail.com
Faites parvenir vos dons à Solidaires, 144, boulevard de la Villette, 75019 Paris (avec au dos du chèque la mention « Koltchenko »)
Delta papier - Expressions2 - Paris 20 - 01 43 58 26 26
http://www.cnt-f.org/solidarite-avec-alexandr-koltchenko.html
http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche_koltchenko_2_.jpgSoutiens : Solidaires, Alternative libertaire, Fédération, anarchiste, Nouveau parti anticapitaliste ?
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- notes :
- descriptif :
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[ texte trilingue (français, arabe ? , anglais) ; photo (personne passant au dessus d’un grillage) ]
- texte :
Liberté pour les trois migrants emprisonnés en Angleterre pour avoir traversé la frontière
Des papiers et des logements pour tous et toutes
Liberté de circulation et d’installation, à bas les frontières[…]
Freedom for the 3 migrants imprisoned in England to have crossed the border
Papers and homes for all
Freedom of movement, no borders[…]
Manifestation samedi 24 octobre 2015
15 h place des Fêtes, jusqu’à la Chapelle[2015…]
Demonstration Saturday 24th October
15h00 / 3p.m. at place des Fêtes to la Chapelle[…]
http://www.cnt-f.org/fte/?Liberte-de-circulation-et-d&lang=fr
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
dessin (personnage brisant un monde de grilles avec un pavé pour faire apparaitre un paysage de soleil levant)
- texte :
ni rétention
ni prison
liberté !
CNT - AIT
Syndicat Interco de l’Isère
BP 223 - 38405 St Martin d’Hères cedex - cnt.ait.grenoble@free.fr
cnt-ait_valence@no-log.org et cnt-ait-gap@hormail.fr- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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texte
dessin (prison remplie de pieds en l’air)
- texte :
Prison à remplir
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
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texte
dessin (pince entourant un village, liste des lieux et entreprises environnantes)
- texte :
Prison
Haren
avions
Infrabel
Ring
STIB
OTAN
Sabca
DécathlonSérie de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
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- notes :
- descriptif :
texte
dessins (couteaux et barbelés)
- texte :
Québec Ministry of Public Security vehicles attacked
November 2013
“Recently, we paid a visit to the parking lot of the Ministry of Public Security of Quebec at 600 Fullum, and doused their official vehicles with paint stripper and slashed the tires.
The Ministry of Public Security of Quebec is responsible for, among other things, overseeing the municipal and provincial police and provincial prisons. Ultimately, it is the ministry that is responsible for all aspects of the conditions of imprisonment in Quebec – from the conduct of the police to the items available in canteen.
As we write this, there are two ongoing shows of resistance to the prison system in Canada. One is a hunger strike undertaken by detained immigrants in Ontario who are not accused of any crime, but are detained awaiting deportation proceedings.
Their demands include better treatment and an end to detention of immigrants without criminal charges. The hunger strike is now in its fifth week. The second is a work strike in many federal prisons across the country to protest the recent 30% pay cut for all federal prisoners. The government justifies the pay cut by claiming they are taking room and board from the prisoners. Not only do prisoners already have to work to maintain their own prisons but they will now have to pay to be imprisoned. This pay cut is part of a broader trend in which prisoners face worsening conditions – from longer sentences, stricter parole, double-bunking, and fewer programs in prison.
Solidarity to prisoners in struggle ; for an end to all prisons and police. And to Youri and Guillaume, G20 prisoners, in Bordeaux provincial prison in Montreal.”
More info at
mtlcounter-info.orgUne des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcounterinfo.org/quebec-ministry-of-public-security-vehicles-attacked-2/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/11/knives.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photo (personne franchissant un grillage)
- texte :
Tous les premiers vendredis du mois L’Envolée (émission anticarcérale) devient
Sans papiers ni frontières
une émission contre les frontières et leurs prisons
sur radio Fréquence Paris Plurielle - 106.3 FM - www.rfpp.net
19 h - 20 h 30, rediffusé le mardi suivant 8 h - 9 h 30
Pour laisser des messages aux personnes enfermées dans les centres de rétention et les prisons de la région parisienne ou pour nous joindre si vous êtes à l’intérieur, vous pouvez appeler le : 0650075232.
Parler des centres de rétention, de ceux qui les construisent et de ceux qui les gèrent ;
de la société qui génère ces contrôles et ces frontières ;
donner la parole à celles et ceux qui y sont enfermés ;
faire connaître des pratiques de résistance et de luttes à l’intérieur et à l’extérieur ;
échanger des expériences pour tenter d’éviter l’expulsion…
// contre la gestion des flux migrations // contre tous les enfermements //
https://paris-luttes.info/+-spnf-sans-papiers-ni-frontieres-+
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- notes :
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montage photo (chambre d’hôtel vs cellule de prison)
- texte :
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
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titre
dessin (assiette garnie, lime pour barreaux)
- texte :
Sodexo, fournisseur officiel
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
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texte
dessin (portrait de Leonard Peltier devant un aigle)
- texte :
Dimanche 24 mai 2015 - 17 h
Soirée de solidarité avec Leonard Peltier
Militant et résistant amérindien de l’American Indian Movement emprisonné depuis 1976 aux États-Unis. Projection et débat avec le comité de soutien. Retransmission en direct du CICP de l’mission Konstroy sur FPP 106.3 MHz. Infos, tables de presse et musiques avec :
D.J. Madjid (assassin - Paris)
Les Ramoneurs de Menhirs (festnoz punk - Breizh)
Centre International de Culture Populaire
21 ter rue Voltaire, Paris 11e - Métro : NationDe 17 à 22 h précises - PAF : 5 zéros
No dog, no master, pas de verre et pas de clopes, merci !
http://collectifcontreculture.noblogs.org
https://paris-luttes.info/soiree-de-solidarite-avec-leonard-3084
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- notes :
- descriptif :
texte
dessins (couteaux et barbelés)
- texte :
Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués
Novembre 2013
« Récemment, nous avons visité le stationnement du ministère de la sécurité publique du Québec situé au 600 rue Fullum. Nous avons versé du décapant à peinture sur leurs véhicules officiels et crevé les pneus. Le ministère de la sécurité publique du Québec est entre autres responsable de la supervision de la police provinciale, des polices municipales et des prisons provinciales. Ce ministère est responsable de tous les aspects des conditions d’emprisonnement au Québec – du comportement des flics aux items disponibles à la cantine.
Au moment de la publication de ce texte, il y a deux démonstrations de résistance au système carcéral au Canada. La première est une grève de la faim engagée par des immigrant-e-s détenu-e-s en Ontario, accusé-e-s d’aucun crime, en attente de procédures de déportation. Leurs revendications incluent de meilleurs traitements ainsi que la fin des détentions d’immigrant-e-s sans accusation criminelle. La grève de la faim en est présentement à sa cinquième semaine. La seconde est une grève du travail en cours dans plusieurs prisons fédérales à travers le pays, protestant contre la coupure de salaire de 30% pour tou-tes les détenu-e-s des prisons fédérales. Le gouvernement justifie cette coupure en annonçant que les prisonnier-e-s doivent payer une pension. Non seulement les prisonnier-e-s doivent déjà travailler au maintien de leur propre prison, mais ils devront dorénavant payer pour leur emprisonnement. Cette coupure de salaire fait partie d’une tendance plus large à empirer les conditions d’emprisonnement - sentences plus longues, libérations conditionnelles plus strictes, cellules doublement occupées et diminution des programmes en prison.
Solidarité avec les prisonnier.e.s en lutte ; pour en finir avec la police et toutes les prisons. Et avec Youri et Guillaume, prisonniers du G20 à la prison provinciale de Bordeaux à Montréal. »
Plus d’info sur
mtlcounter-info.orgUne des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcounterinfo.org/quebec-ministry-of-public-security-vehicles-attacked-2/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/11/knives.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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texte
vignettes (lits superposés ; 2m²/personne ; caméra de surveillance ; corde de pendu·e)
- texte :
Village pénitencier ★★★★
All inclusive
Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (blanc au noir) ; photo (deux jeunes garçons sur un bateau dont l’un saute dans l’eau) ]
- texte :
À Marseille un grand chantier est en cours à la prison des Baumettes
Le prétexte affiché par l’État serait de mettre un terme à la vétusté de cette vieille taule, et de créer des « conditions d’enfermement plus dignes » pour les détenu-es. Derrière le langage humanitaire, le véritable objectif de cette restructuration est clairement de pouvoir enfermer plus de monde, et de manière plus sécurisée (renforcer l’isolement des détenu-es, limiter les contacts entre elles-eux, empêcher les solidarités, les mutineries et les évasions).
En parallèle du chantier des Baumettes, deux autres prisons sont en train de sortir de terre dans la région, celle d’Aix (Luynes 2) et celle de Draguignan. Elles-mêmes s’inscrivent dans un plus vaste plan de construction et de rénovation qui vise à accroître encore plus les capacités d’enfermement, alors que les peines ne cessent de s’allonger. Sans compter les mesures et dispositifs qui se multiplient et se surajoutent à l’incarcération en tant que telle : contrôles judiciaires, pointages, bracelets électroniques, assignations à résidence…
Tandis que Pôle emploi et la CAF, aidés par une multitude d’associations et d’organismes de formation, intensifient notre mise au travail forcé et notre insertion, la loi travail et la réforme pénale succèdent à l’état d’urgence… Les tenailles du contrôle et de l’exploitation nous étouffent et exigent toujours plus de soumission dans la vie quotidienne. De fait nous sommes de plus en plus nombreux-ses à sentir la menace de l’enfermement planer au dessus de nos têtes, à faire des allers-retours entre la taule et un “dehors” qui lui ressemble toujours plus…
Et dans ce monde régi par le fric et l’autorité, l’enfermement des un-es fait le bonheur des autres… À l’affût des bonnes occasions, de nombreuses entreprises (Artelia, Vinci et sa filiale Travaux du midi, Icade…) s’empressent de participer au festin, tant pour la réalisation des taules (architecture, construction), que pour leur gestion (cantines, nettoyage, travail dans le cadre de la détention…). Là où le pouvoir voudrait présenter la prison comme un bastion invulnérable, de nombreux actes d’insoumission individuels et collectifs, à l’intérieur comme à l’extérieur, ne cessent de démontrer le contraire. En déplaçant le regard, on constate aussi que les différents rouages qui la font fonctionner ne sont jamais à l’abri d’un peu d’audace et de quelques coups bien placés.
Pas question de subir cette offensive du pouvoir en baissant la tête ! Il y a autant de raisons que de manières différentes d’essayer de bloquer, saboter, entraver et détruire leurs structures mortifères et le projet de domination qui en a besoin.
Pour la révolte ! Pour la liberté !
Affiche apparue sur les murs de Marseille en septembre 2016 :
https://mars-infos.org/a-marseille-un-grand-chantier-est-1668 (Marseille infos autonomes : site collaboratif d’infos et de luttes à Marseille)- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (mutins sur un toit de prison) ]
- texte :
Sur les toits de la prison de Fleury-Mérogis en 1987
Amnistie pour tous les prisonniers et toutes les prisonnières du mouvement social
Nous sommes des milliers dans la rue : lycéens, travailleuses, étudiantes, travailleurs avec ou sans emploi, syndiqués ou non. Nous faisons grève, nous occupons, nous bloquons, nous manifestons contre une nouvelle loi et le capitalisme qu’elle sert.
Nous subissons la violence de la police. Pour nous défendre face à des hommes en armes, nous sommes de plus en plus nombreux à nous organiser et à nous protéger pour continuer à prendre part à la lutte sans risquer des blessures graves ou la mort. Il n’y a pas de « bavures » policières : il y a une logique de terreur pour maintenir l’ordre, politique, économique et social. Le lot habituel des habitants des quartiers populaires se révèle à tous. Nous détestons la police.
Nous subissons aussi la violence de la justice. Pour nous défendre face à des magistrats qui lancent des poursuites de plus en plus délirantes — jusqu’à perpète pour un croche-patte — soyons de plus en plus nombreux à faire le front. Il n’y a pas d’« erreurs » judiciaires : il y des lois, et des peines, pour maintenir l’ordre, politique, économique et social. Le lot habituel des habitants des quartiers populaires se révèle à tous. Nous détestons la justice.
Il n’y a pas plus de méchants « casseurs » que de gentils manifestants. Il n’y a ni innocents, ni coupables. Il y a des policiers, des juges. Ils servent l’État et le Capital. Ils en sont les bras armés.
Amnistie pour tous les inculpés ! Liberté pour tous et toutes !
Pour en finir avec toutes les prisons
2016 #tout le monde déteste la justice
www.lenvolee.net
Affiche parue en pages centrales de L’Envolée : pour en finir avec toutes les prisons n° 44 (juin 2016)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Février 2017
Blasphegme 3
Bulletin mural anarchiste
Ils nous ont menti, il y a une vie avant la mort, une vie de révolte, et il n’y a pas d’ailleurs où guérir d’ici.
Maison Blanche : l’hôpital prison
La prison de la Santé est fermée, pourtant il y a encore en plein Paris des lieux où des personnes sont internées contre leur gré. Dans le Nord et l’Est parisien, par exemple, il y a quatre hôpitaux psychiatriques qui font partie de l’Établissement Public de Santé Maison Blanche, l’un des trois membres fondateurs de la Communauté Hospitalière de Territoire pour la psychiatrie parisienne. L’établissement est chargé de la population du Nord et de l’Est de Paris : 7e (Infanto-Juvénile), 8e, 9e, 10e, 17e, 18e, 19e et 20e arrondissements. Ces hôpitaux-prisons sont situés : rue du Général Lasalle (19e), rue d’Avron (20e), avenue de la Porte de Saint-Ouen (18e) et rue d’Hauteville (10e).Les « patients » peuvent y être hospitalisés (ou plutôt enfermés) sans leur consentement, dans le cadre de soins psychiatriques à la demande d’un tiers, ou sur décision du représentant de l’État. Si l’on est enfermé contre son gré là-dedans impossible de sortir tant qu’un psychiatre en charge n’a pas signé un certificat médical, ou qu’un juge d’application des peines n’a pas donné son aval. Cela va sans dire que la durée d’enfermement n’est jamais décidée d’avance, contrairement à une peine de prison (bien que l’administration pénitentiaire s’arrange parfois pour rallonger les peines des plus récalcitrants), et qu’une fois rentré on ne sait jamais quand on sortira. La prise de médicaments obligatoire aidant, il est courant d’y perdre la notion du temps, et pour les réfractaires aux petites pilules les blouses blanches ne s’embarrassent pas, c’est intraveineuse de force. En effet, les médicaments à outrance soulagent le personnel qui aime savoir les « patients » endormis et neutralisés. L’heure de la prise des médicaments et des repas rythme le temps, en dehors de ça les personnes traînent leurs désespoirs dans les couloirs lugubres de ces hôpitaux prisons, espérant ne pas avoir à subir d’électrochocs (toujours couramment pratiqués) et, hormis les plus rétifs, feignant la docilité pour ne pas avoir à endurer les punitions ultimes : envoyé en chambre d’isolement, ou se voir infliger des mesures de contention (attaché pieds et mains à un lit, nuit et jour).
Lorsque l’administration psychiatrique n’arrive pas à prouver qu’on est dangereux « pour les autres » elle dit qu’on est dangereux « pour soi-même ». C’est pratique, et ne repose que sur le seul avis d’un psychiatre, parfois influencé par des proches qui trouvent un quelconque intérêt à faire enfermer une personne de leur propre famille, un moyen comme un autre de s’en débarrasser (parfois aussi les choix sont limités). C’est d’ailleurs une pratique assez courante d’utiliser la psychiatrie pour décrédibiliser, isoler, confisquer la parole, tant et si bien que certains vieux serpents adhèrent à ces normes et ces catégories bancales, reconnaissent à une science le pouvoir de mesurer l’esprit, si cela peut servir leurs intérêts personnels. Mais au fond on pourrait se demander qui est « fou », qui est « sain d’esprit » dans ce monde ? N’est-ce pas plutôt bon signe d’avoir des émotions et de ne pas vouloir se contenter de ce quotidien fade et empoisonné qu’on voudrait nous faire avaler ? Et puis qu’est-ce que la norme ? Dans cette société, une femme en colère et violente est toujours une folle, un homme en colère et violent ne fait qu’exprimer virilement ses émotions.
Alors bien sûr qu’il ne s’agit pas ici de culpabiliser ceux/celles qui n’ont parfois pas d’autre choix que d’avoir recours à la psychiatrie pour survivre à des situations désespérées. Mais nous disons que ça n’est pas la solution au mal-être produit par ce monde, que c’est comme un pansement sur une jambe de bois. Et si la psychiatrie se targue de sauver des gens d’eux-mêmes en les abrutissant de médicaments, nous disons qu’elle condamne aussi à vivre une vie impossible à aimer en l’état, et que forcer les gens à aller bien sans changer les causes qui les font se sentir mal, ça ne marchera jamais. Les psychotropes sont distribués comme des petits pains dedans et hors de l’hôpital, ça permet d’anesthésier les émotions, et de rester productif, de garder bonne figure, de continuer à subir les humiliations quotidiennes sans broncher, se voiler la face, se dire que le problème vient de soi, et que la solution c’est la chimie.
Ces hôpitaux sont des prisons, destinées à briser les réfractaires, les forcer à accepter de rentrer dans un moule.
Nous sommes pour la destruction de toutes les prisons et de toutes ces catégories qui nous enferment !
Je vomis dans vos corn-flakes
Belleville s’embourgeoise. On peut le voir à travers ces nouveaux bars et restos stylés dans lesquels nous ne rentrerons jamais, à cause du prix prohibitif et de l’ambiance branchée, encore plus antipathique que ces bars PMU à la clientèle uniquement masculine. C’est donc sans surprise que nous avons découvert par hasard le nouveau bar à céréales rue de Ménilmontant. Nous avions entendu parler de ce concept suite au « scandale » de l’installation d’un tel bar à Londres, qui devint la cible d’une manifestation contre l’embourgeoisement d’un quartier. Suite à quoi le débat sur la responsabilité des commerçants dans ce processus avait été réactivé. Ce phénomène étant lié à l’installation dans des quartiers pauvres de ces jeunes entrepreneurs branchés qui ont la faculté de rendre inaccessible tout ce sur quoi ils posent leur regard ; revalorisant et transformant à leur image les anciens quartiers ouvriers dans lesquels ils s’installent par nécessité économique. Partant d’une bonne volonté sans aucun doute, les conséquences en sont la flambée des loyers. Face à cela, l’erreur serait de défendre l’identité sociale (ou autre) d’un quartier, plutôt que de se battre pour pouvoir vivre où on le désire, là où on veut avoir sa vie.Aux côtés de nouveaux projets immobiliers, qui participent à « réinventer Paris », ce sont des magasins bios, des brasseries, bars et restos à concept, des « food market », des boutiques artisanales, théâtres ou des galeries d’art qui fleurissent. Tout cela dans la dynamique d’un entrepreneuriat « sympathique », branché, qui se veut à visage humain, écolo, éthique, respectueux des travailleurs et des consommateurs, bien sûr … faut-il encore avoir le porte- monnaie pour y accéder, et l’envie de distinction par sa consommation. Comme ces gens au look bien travaillé qui ont fait du « do it yourself » leur manne financière, mettant en avant l’authenticité de leurs produits marketing, et faisant la promotion du bonheur au travail, plaçant au cœur de leurs activités « l’autonomie » (avec papa/maman pour assurer ses arrières, et jouer les garants pour des logements inaccessibles au commun des mortels), « l’aventure » (dans la jungle urbaine), et « l’imagination » (produit d’une école d’art ou de commerce), mais surtout, le profit. Grâce à eux l’idée de se faire du fric en profitant de la crédulité des consommateurs prend une autre dimension. Et c’est donc naturellement que des esprits créatifs ont eut l’idée de prospérer sur le dos d’idiots nostalgiques de leur enfance dorée, prêts à payer cher pour un petit moment de régression avec un bol de céréales et du lait … du lait bio, ou au soja, branchitude oblige.
Tout cela pourrait prêter à sourire, si ces petites entreprises à l’allure bon enfant n’allaient pas dans le sens des projets des municipalités pour nettoyer les quartiers de leurs pauvres, les repousser toujours plus loin en banlieue. Et en attendant de pouvoir y arriver totalement, les garder à l’œil, pour protéger les populations plus solvables pour qui on rend le quartier attractif. L’outil principal de la ville de Paris pour mener à bien son projet c’est la pacification des habitants. Elle prend différentes formes : c’est tout ce qui contribue à la « sécurité » du quartier, par l’omniprésence de caméras et des flics, avec dans certains endroits comme à Belleville la Brigade Spécialisée de Terrain, dont le boulot consiste à harceler les pauvres qui essaient de survivre tant bien que mal, et les petits-frères des flics, ceux qui ont moins réussi, les services de sécurité, notamment les GPIS, hommes de main des bailleurs sociaux, mais aussi les Correspondants de nuit, dont le rôle est principalement tourné vers une assistance aux flics, la répression des « incivilités », et un travail de fichage sur les populations indésirables. Mais pour contribuer à la pacification il y a aussi l’imaginaire créé par le discours sur la « mixité sociale » et son « quartier-village », où l’on dit bonjour à ses voisins en faisant son marché le samedi matin avec ses enfants.
Il va falloir dissuader les riches de s’installer si l’on ne veut pas aller vivre ailleurs !
À leur paix sociale répondons par la guerre sociale contre leurs flics et leurs commerces !
https://blasphegme.noblogs.org
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- notes :
- descriptif :
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texte
photo (manifestation dans une cour de prison)
- texte :
Grève des prisonnier.ères aux États-Unis
Le 9 septembre 1971, les détenus de la Facilité Correctionnelle d’Attica, située dans le nord de l’État de New York, ont pris le contrôle de la prison. Le soulèvement d’Attica, qui a duré cinq jours, n’était pas la première ni la dernière des rébellions ayant eu lieu à l’intérieur d’une prison. Pourtant, son importance a marqué de manière indélébile l’histoire de la lutte contre la suprématie blanche et contre la société-prison dans laquelle nous habitons aujourd’hui encore.
À travers les quarante-cinq années depuis la révolte d’Attica, les prisons gonflent jusqu’à l’explosion sous la pression des tragédies de toutes ces vies interrompues, des familles éclatées et des communautés brisées. Dans la dernière décennie, les mouvements de résistance ont poussé régulièrement derrière les murs des prisons. Partout à travers les États-Unis, les prisonniers.ères sont pleinement réveillé.es et en mouvement : de l’arrêt généralisé du travail dans les prisons de Georgie en 2010, à la grève de la faim qui s’est propagée à travers le système californien de prison en 2013, des incendies dans les centres de détention I.C.E. (Immigration et Contrôle Douanier) au Texas aux émeutes et aux prises de contrôle des prisons au Nebraska et en Alabama. La révolte contre la prison est aussi présente de ce côté-ci de la frontière : à Lindsay, en Ontario, les détenu.es du Centre correctionnel du Centre-Est sont en grève depuis deux ans, demandant la fin de la détention des immigrant.es.
« Nous ne sommes pas des bêtes et on n’a pas l’intention de les laisser nous battre ou nous conduire comme si on l’était… Ce qui s’est passé ici, c’est le bruit précédant la furie des opprimés. »
– L.D. Barkley, participant à la rébellion d’AtticaSeptembre 9.2016
En septembre prochain, les prisonniers.ères ainsi que leurs familles et des supporteurs de l’extérieur sont en train de coordonner une grève des prisonniers.ères à travers les États-Unis, laquelle doit avoir lieu lors du 45e anniversaire de la rébellion d’Attica. Cet effort historique porte en son sein le potentiel de s’élargir et de nourrir le mouvement contre les horribles conditions de confinement, les prisons elles-mêmes et la société qui les crée.
Pour la destruction de toutes les prisons et la création d’une communauté humaine libre et véritable.
supportprisonerresistance.noblogs.org
antistatestl.noblogs.org | itsgoingdown.org | iwoc.noblogs.orghttps://mtlcontreinfo.org/9-septembre-greve-des-prisonnier-eres-aux-etats-unis/
https://mtlcounterinfo.org/september-9th-prisoner-strike-across-the-us/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9FR.pdf
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9EN.pdfD’après https://antistatestl.noblogs.org/post/2016/07/28/september-9th-nationwide-prisoner-strike-poster/
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- Symbole(s) utilisé(s) : barreaux de prison — poing & arbre/racines / The hand that will rule the world /B_tout>
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dessin (poing levé avec fenêtre de prison incrustée)
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Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons
Refus de permission, d’aménagement de peine
Refus de transfert, maintien binée ses proches
Humiliations, violences des matons, isolement
Foulage de gueule, chantage administratif et judiciaire
Privation de soins, d’activités, de sexualité, d’intimité, d’autonomie, de possibilité d’entrevoir un avenir
Conditions de survie dégueulasses, mépris
Racket organisé par l’État et les entreprises de l’enfermement
Privation de liberté
Privation de liberté
Privation de libertéLe 12 sept à Vivonnes, une cinquantaine de détenus se rebellent, détruisant et brûlant un étage d’un bâtiment de la prison. Celle-ci est rendue inutilisable, et les détenus sont transférés le temps des 6 mois de travaux nécessaire.
Le 7 sept a Aiton, plusieurs détenus refusent de remonter de promenade et détruisent du mobilier de la prison
Le 4 sept à Angers, une soixantaine de détenus refusent de remonter de promenade
Le 2 septembre, 6 détenus s’évadent par la fenêtre du centre de rétention de Nimes
Le 29 aout à Dublin (en Irlande). des mineurs enfermés montent sur le toit de leur taule et y mettent le feu, causant d’importants dégâts.À Alençon, en aout à trois reprises. un détenu agresse ses bourreaux et dégrade entièrement sa cellule
À chaque fois, les détenus sont transférés, des "meneurs" sont désignés, jugés, et écopent de lourdes peines de prison.
Solidarité avec les révoltés
À bas toutes les prisons
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photo (manifestation dans une cour de prison)
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Prisoner strike across the US
On September 9, 1971, the inmates of Attica Correctional Facility in upstate New York seized control of the prison. The Attica uprising, which lasted for five days, was not the first and certainly not the last prison rebellion. And yet its importance is indelibly marked within the history of the struggle against white supremacy and the prison society we still inhabit today.
In the forty-five years since Attica, prisons have swelled to bursting with the tragedies of disrupted lives, fractured families, and broken communities. In the last decade, resistance movements have steadily grown behind the prison walls. From the statewide work stoppage in Georgia prisons of 2010 to the hunger strike that spread throughout the California prison system in 2013 ; from fires lit in I.C.E. detention centers in Texas to riots and prison takeovers in Nebraska and Alabama, prisoners across the US are wide awake and on the move. Revolt against prisons is also present on this side of the border ; in Lindsay, Ontario, detainees held by CBSA in the Central East Correctional Centre have been on strike for two years demanding an end to immigration detention.
“We are not beasts and we do not intend to be beaten or driven as such… What has happened here is but the sound before the fury of those who are oppressed.”
– L. D. Barkley, participant in Attica rebellionSeptembre 9.2016
This September, prisoners, their families, and supporters on the outside are coordinating a prisoner strike across the US to take place on the 45th anniversary of the Attica rebellion. This historic effort holds within it the potential to expand and embolden the movement against the horrific conditions of confinement, the prisons themselves and the society that creates them.
Towards the destruction of all prisons and the creation of a free and genuine human community
supportprisonerresistance.noblogs.org
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https://mtlcounterinfo.org/september-9th-prisoner-strike-across-the-us/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9FR.pdf
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9EN.pdfD’après https://antistatestl.noblogs.org/post/2016/07/28/september-9th-nationwide-prisoner-strike-poster/
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- notes :
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dessins (carte du Pays Basque dans un « miroir de Vénus » ; militante poing levé ; visage derrière des barreaux)
- texte :
Semaine internationale de solidarité avec les prisonnières.rs politiques
Soirée de solidarité avec les prisionnier.ères et les réfugiés.iées politiques basques.
16 h 00 Discussion avec Janine Beyrie et Joanna Haranburu, proches de prisonnières.rd politiques basques.
Projection d’un film sur la désobéissance civile au Pays Basque.
Exposition d’œuvres de prisonnières politiques basques.
Buffet populaire.
Soirée de solidarité dimanche 10 avril 2016 à 16 h
Espace Louise Michel
42 bis, rue des Cascades
75020 -Paris 20eMétro : Pyrénées ou Jourdain - Bus : 26 et 96
CSPB Comité de Solidarité avec le Peuple basque
21 ter, rue Voltaire - 75011 paris - comite_basque@yahoo.fr
http://cspb.unblog.fr/- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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dessin (foule traversant une clôture barbelée, sur fond de soleil levant ou couchant)
carte géographique
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Journée internationale contre les centres de rétention
samedi 7 mai 2017
Rassemblement devant le centre de rétention de Coquelles
Personne n’est illégal
Fermons les centres de rétention et ouvrons les frontières
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vignettes
- texte :
Brûlons les centre de détention
Expulsons le gouvernement
Accueillons les réfugiés
milice d’appui aux réfugiés-e-s
Laissez-les entrer, ostie !
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2018/06/POSTER_migrants.pdf
Soumission anonyme à MTL Contre-info — https://mtlcontreinfo.org/brulons-les-centres-de-detention/
Voir : https://mtlcontreinfo.org/bienvenue-en-enfer-appel-a-laction-le-30-juin-et-1er-juillet/- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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dessin (3 loups sous la neige)
- texte :
Nous sommes contre la prison
nous sommes contre le prison parce qu’elle est née et s’est développée pour défendre les privilèges des riches et le pouvoir
nous sommes contre le prison parce qu’elle ne sert qu’à enfermer les pauvres et gérer la misère
nous sommes contre le prison parce que le bruit de la clé dans la serrure d’une cellule est une torture quotidienne, l’isolement une abomination, la fin du parloir une souffrance, et le temps enfermé un sablier qui tue à petit feu
nous sommes contre le prison parce qu’elle nous a arraché trop de jours, de mois, d’années ou d’ami-es, d’inconnu-es, de compagnon-nes
nous sommes contre le prison parce que nous n’avons pas oublié la grisaille pénitentiaire des couloirs de l’école et que les sonneries résonneront toujours en nous comme la cadence du dressage
nous sommes contre le prison parce qu’il y aura toujours des maton-nes pour étouffer nos révoltes
nous sommes contre le prison parce que nous voulons changer radicalement cette société, pas nous intégrer pacifiquement dans ses villes, dans ses usines, dans ses casernes, dans ses supermarchés
parce que ce monde n’en a que trop besoin
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- notes :
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[ texte (blanc sur noir) ; couverture du livre Charbonnerie El Buen Trato de Claudio Lavazza (coupe de travaux d’évasions, photo de la prison Punta Carreras de Montevideo) ]
- texte :
Vendredi 2 novembre
18 h - Boulevard Pardigon
Présentation du livre
“Charbonnerie El Buen Trato” (éd. Tumult) sur l’évasion d’anarchistes par tunnel de la prison à Montevideo (Uruguay) en 1930.
Présentation, débat suivi d’une projection du documentaire “Acratas” : anarchistes expropriateurs de La Plata.
Ensuite il y aura de quoi manger et boire en soutien à l’imprimerie L’Impatience.
1930, Montevideo, capitale de l’Uruguay. En face de la prison de Punta Carretas, l’anarchiste Gino Gatti et sa famille décident d’ouvrir une charbonnerie : « El Buen Trato ». Les affaires vont pour le mieux. Cependant, en mars 1931, la famille Gatti décide de quitter Montevideo et de déménager en Argentine, pliant boutique après moins d’un an d’activité.
Quelques jours après le départ de la famille italienne, les voisins de la dorénavant ex-charbonnerie remarquent des gens qui sortent en courant de l’établissement. Alarmés, ils avertissent la police qui arrive aussitôt et fait irruption sur les lieux. Une fois à l’intérieur, les agents mettent bien peu de temps à comprendre qui étaient ces personnes qui fuyaient. En effet, au fond d’une pièce, ils découvrent un trou dans le plancher, un puits parfaitement éclairé qui s’enfonce profondément. À côté de la cavité, il y a un billet qui dit : « La solidarité entre les anarchistes ne se réduit pas à des paroles ».
Sept des évadés, de même que les constructeurs du tunnel, faisaient partie des groupes d’action anarchistes qui agissaient en Amérique du Sud dans les années 20 et 30. Recherchées et persécutées sans relâche par la police, ces individualités anarchistes menèrent une lutte contre l’État qui, si elle ne dura que quelques années, fut sans répit et se matérialisa dans des attentats, des expropriations, ou dans l’organisation d’évasions. Une lutte sans répit contre l’ennemi.
https://mars-infos.org/presentation-du-livre-charbonnerie-3463
https://lelaboratoireanarchiste.noblogs.org/files/2018/12/CLAUDIO-LOCANDINA-WEBBE1.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte (blanc sur rouge) ; couverture du livre Peste de vie de Claudio Lavazza (pistolet — sur-imprimé par une photo d’émeute — et cartouches) ]
- texte :
Samedi 8 décembre
À partir de 17 h, présentation du livre “Ma peste de vie”, autobiographie de Claudio Lavazza (éditions L’Assoiffé)
Qui est Claudio Lavazza se comprend dès la première page de ce livre : les actions dont il est accusé parlent clairement. Un rebelle, un guerrier, qui a participé, ensemble avec tant de jeunes de sa génération, à la tentative de changer la société et le monde, assumant l’entière responsabilité de l’avoir fait avec tous les moyens adéquats. Claudio ne prétend pas tirer des conclusions de son expérience parce qu’il ne la considère jamais terminée, même quand, en décembre 1996 à Cordoue, il est blessé dans une fusillade et arrêté : sa bataille continue aussi en prison, et aussi dans cette « prison dans la prison » qu’est le régime FIES de l’État espagnol, auquel il sera soumis pour une très longue période.
À travers ses récits, encore une fois, Claudio nous transmet la force qui a animé ses batailles, mises à dure épreuve par l’exil au début et par la prison jusqu’à maintenant, sans perdre l’enthousiasme qui lui a permis d’affronter, jour après jour, l’isolement et la torture de l’enfermement. Un enfant pestiféré, Claudio. Un rebelle, un anarchiste, un guerrier, un expropriateur qui, dans l’ardeur d’une bataille sans trêve, a su conjuguer ses vertus aux durs temps présents.
La présentation sera suivie par un interview téléphonique avec Claudio, réalisé lors de la sortie de son autobiographie en Italie (2011) et par un repas en soutien à l’imprimerie L’Impatience
Imprimerie anarchiste L’Impatience
45, boulevard Pardigon, Marseille
https://lelaboratoireanarchiste.noblogs.org/?p=13826
https://lelaboratoireanarchiste.noblogs.org/files/2018/12/CLAUDIO-LOCANDINA-WEBBE1.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[C’est un mur qui cache la prison]
[C’est un mur qui cache la prison]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 14 × 19 cm.
sources :
[De werkelijke crisis is het dagelijks leven : vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij]
[De werkelijke crisis is het dagelijks leven : vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , vert , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.
sources :
[Face à l’enfermement dans et hors les murs]
[Face à l’enfermement dans et hors les murs]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : La Parole errante, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 59 × 42 cm.
sources :
[Haren : 1181 écoliers, 1190 prisonniers]
[Haren : 1181 écoliers, 1190 prisonniers]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois ) ; 30 × 18 cm.
sources :
[Haren City : partenariat public privé]
[Haren City : partenariat public privé]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Libérez Alexandr Koltchenko]
[Libérez Alexandr Koltchenko]. — Nîmes : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2015 |
[Libérez Alexandr Koltchenko]
[Libérez Alexandr Koltchenko]. — Nîmes : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() 2015 |
[Liberté pour les trois migrants emprisonnés en Angleterre pour avoir traversé la frontière = Freedom for the 3 migrants imprisoned in England to have crossed the border = …]
[Liberté pour les trois migrants emprisonnés en Angleterre pour avoir traversé la frontière = Freedom for the 3 migrants imprisoned in England to have crossed the border = …]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Ni rétention, ni prison, liberté !]
[Ni rétention, ni prison, liberté !]. — Gap ; Grenoble ; Saint-Martin-d’Hères ; Valence Valence : CNT_ - AIT_ (France), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.
sources :
[Prison à remplir]
[Prison à remplir]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois ) ; 14 × 30 cm.
sources :
[Prison Haren…]
[Prison Haren…]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 18 × 26 cm.
sources :
[Québec Ministry of Public Security vehicles attacked]
[Québec Ministry of Public Security vehicles attacked]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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![]() 2015 |
[Sans papiers ni frontières, une émission contre les frontières et leurs prisons]
[Sans papiers ni frontières, une émission contre les frontières et leurs prisons]. — Paris : Envolée (l’), [ ?]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 26 × 39 cm.
sources :
[sans titre : prison modèle]
[sans titre : prison modèle]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 18 × 26 cm.
sources :
[Sodexo, fournisseur officiel]
[Sodexo, fournisseur officiel]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois ) ; 30 × 42 cm.
sources :
[Soirée de solidarité avec Leonard Peltier, dimanche 24 mai 2015]
[Soirée de solidarité avec Leonard Peltier, dimanche 24 mai 2015]. — Paris : Centre International de Culture Populaire (CICP), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués]
[Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.
sources :
![]() 2015 |
![]() 2015 |
[Village pénitencier ★★★★ : all inclusive]
[Village pénitencier ★★★★ : all inclusive]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 13 × 18 cm.
sources :
[À Marseille un grand chantier est en cours à la prison des Baumettes]
[À Marseille un grand chantier est en cours à la prison des Baumettes]. — Marseille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Amnistie pour tous les prisonniers et toutes les prisonnières du mouvement social]
[Amnistie pour tous les prisonniers et toutes les prisonnières du mouvement social]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Envolée (l’), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Blasphegme numéro 3]
[Blasphegme numéro 3]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Grève des prisonnier.ères aux États-Unis]
[Grève des prisonnier.ères aux États-Unis]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2016 |
![]() 2016 |
[Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons]
[Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.
sources :
![]() 1979 |
![]() [ 1987 & ante] |
[Prisoner strike across the US]
[Prisoner strike across the US]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2016 |
![]() 2016 |
[Semaine internationale de solidarité avec les prisonnières.rs politiques]
[Semaine internationale de solidarité avec les prisonnières.rs politiques]. — Paris : Partis et mouvements non anarchistes, . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Journée internationale contre les centres de rétention, samedi 7 mai 2017]
[Journée internationale contre les centres de rétention, samedi 7 mai 2017]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux ) ; x × y cm.
sources :
[Brûlons les centre de détention…]
[Brûlons les centre de détention…]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 28 cm.
sources :
[Nous sommes contre la prison parce que ce monde n’en a que trop besoin]
[Nous sommes contre la prison parce que ce monde n’en a que trop besoin]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : texte en défonce ) ; 64 × 29 cm.
sources :
[Présentation du livre « Charbonnerie El Buen Trato »]
[Présentation du livre « Charbonnerie El Buen Trato »]. — Marseille : Imprimerie L’Impatience (Marseille), (Impatience (Marseille), L’). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Présentation du livre « Ma peste de vie »]
[Présentation du livre « Ma peste de vie »]. — Marseille : L’ Assoiffé : Imprimerie L’Impatience (Marseille), (Impatience (Marseille), L’). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Rencontres contre toutes les prisons, 15 et 16 décembre 2018]
[Rencontres contre toutes les prisons, 15 et 16 décembre 2018]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : l’ Écharde, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.