prison

 

 

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331 affiches :

 






    [Yark-yark : le cri du peuple, n° 3]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Yark-yark : le cri du peuple, n° 3]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle des naissances  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne  ; Grande-Bretagne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Yark-yark : le cri du peuple
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ journal mural ]

    texte :

    Yark-yark : le cri du peuple

    n° 3

    Depuis le printemps 85, le mouvement des taulards existe à nouveau et ne cesse de ce développer, parfois sous formes d’actions collectives radicales, avec parallèlement un travail d’unification des revendications. Hommes et femmes, prévenus et condamnés, français et immigrés, droits communs et politiques se solidarisent dans la lutte contre l’isolement, puis dans d’autres revendications — SMIC pour tous les détenus — Remises de peines supplémentaires — Parloirs intimes etc. Il ne se passe pas un mois sans qu’il y ait une grève de la faim ou des plateaux, un refus collectif de ragagner la cellule etc.
    Nous nous sentons solidaires de ces mouvements.

    Si nous sommes contre les taules, ce n’est pas par humanisme.

    C’est tout d’abord que la flicaille nous considère comme du gibier de potence, à cause de nos idées, nos pratiques, nos galères quotidiennes. Hier taulard, demain homme libre ; hier homme libre, demain taulard, mais aujourd’hui le corps et la tête en pleine « social-démocratie ». Pour certains professeurs de radicalité, les revendications des taulards peuvent paraitre réformistes (SMIC, parloir…) mais tant mieux si elles améliorent le quotidien, et salut à ceux qui, à chaque mutinerie, se prennent la répression carcérale dans la tronche.
    Le soutien aux embastillés signifie pour nous une réflexion politique sur l’enfermement. Nous n’avons que faire, contrairement à certains réformistes des lois dites « apaisantes » : aménagements qui, sous prétexte d’humaniser la taule, donnent lieu à un autre chantage, à un autre flicage ; exemple : système anglo-saxon des bracelets mouchards que les détenus en liberté conditionnelle doivent garder en permanence.
    C’est cette même logique réformiste qui permet le développement des Travaux d’intérêt général (TIG) : une espèce de bagne sans boulet où tout condamné bosserait gratos pour les intérêts de la bourgeoisie.

    Ça aussi, c’est de l’enfermement !

    L’enfermement est à la fois un instrument de répression extrême et la représentation la plus criante du système.
    Les taulards ne sont ni démons ni enfants de chœur mais produits par notre société capitaliste ; car c’est elle qui installe la prison, ultime rempart contre la révolte, ultime solution contre toute tentative d’échapper à la banalité des rapports marchands. La prison est un des verrous qui perpétue l’ordre social.
    La solidarité à l’extérieur des taules est nécessaire
    * pour qu’un fort mouvement s’attaque à la bourgeoisie cannibaliste
    * pour en finir avec la connerie sécuritaire
    * pour dire à ceux qui veulent nous refiler toujours la même marchandise enduite de bleu/blanc/rouge que la révolution n’est pas morte et qu’elle peut leur tomber sur la gueule à tout moment.

    Maton
    Version pénitencière de la Gestapo en bleu marine qui sévit dans nos rues. Philosophiquement raciste, fasciste et machiste, tabasse et torture, porte la moustache, syndicalement se prends pour la force ouvrière (existe aussi en version féminine).

    Branlette obligatoire
    Forme la plus répandue de la liberté en prison, offre moultes possibilités de rencontre.

    Surpopulation
    « À 5 par cellule, il reste de la place pour ton fils » : 55 000 détenus en tout.

    Médecine
    Être en cage 24 h/24, ça ne favorise pas vraiment la santé (sic !) : ingestions diverses, dents gâtées, ulcères, sida, etc.
    Pour y remédier, la médecine pénitencière manie allègrement la carotte et la valium ! Pas de soins appropriés, pas de suivi médical mais une énorme machine à distribuer calmants et neuroleptiques.
    Abrutissement garanti à tous les niveaux, vive la camisole chimique !
    De plus, la distribution donne évidement lieu à un chantage supplémentaire aux dépends des détenus.

    Travail
    Vous ne pensiez tout de même pas y échapper là-dedans ??
    Obligatoire, ou plutôt « recommandé » en centrale (c’est ça ou la suppression des grâces). Il permet à quelques sociétés exonérées de charges d’avoir une main d’œuvre sans protection sociale, sans droits d’aucune sorte et sous-payée.
    Plonger parce que poussé à voler par ton salaire SIVP et te retrouver à bosser pour 800 F par mois pour acheter des mégots 2 fois plus chers qu’ailleurs : hilarant, non ?
    Racket… Vous avez dit racket ?

    Mutinerie
    Des fois ça craque : 1974, 1985 et toutes les autres… On peut, au choix, refuser le plateau repas, refuser de remonter de promenade, grimper sur les toits ou, avec beaucoup de chance, tout casser et avoir 2, 3 salauds en otages. Ça s’appelle être libre au moins quelques heures ! Mais gaffe à la rentrée : isolement, recondamnation, matraquages (à 4 CRS contre 1) ou se faire tirer comme des lapins par les keufs.
    C’est pourtant le seul moyen de se faire entendre : alors ?
    Bonne chance pour les prochaines, on espère que ça bougera aussi dans la rue.

    Isolement
    Le chef-d’œuvre du système carcéral.
    À la fois moyen de pression ultime et point final à la révolte des individus.
    On y fourre les « ennemis publics » taillés sur mesure pour l’opinion (Action directe, Mesrine, Basques, etc.) ou ceux qui, refusant de jouer le jeu de l’enfermement deviennent (ou pourront devenir) des symboles de la lutte des prisonniers.
    Cette méthode d’extermination utilisée brillaient par l’Allemagne contre la RAF ou l’Angleterre contre l’IRA est connue (à quelques degrés dans l’horreur près) sous le nom de QHS (Quartier haute sécurité).
    Quel consiste en mitard (cachot) indéfiniment prolongé ou en quartier spécialement aménagé, les prisonniers et tous ceux qui les appuient exigeront toujours la disparition de ces oubliettes modernes où le pouvoir joue à briser ce qui reste d’humain chez les individus.

    Visite-parloir
    Déjà, il faut obtenir l’autorisation du juge et ça traine en longueur (surtout si vous n’êtes pas mariés).
    Ensuite, poireauter des heures devant la taule à la merci des matons et de leur bonne humeur. Visites, en principe une fois par semaine pour condamnés et trois fois par semaine pour prévenus (en fait, à la gueule du client).
    Puis c’est le parloir dit libre : c’est à dire sous surveillance constante avec fouille à l’aller et au retour (à poil pour les détenus).
    Des fois, on vous permet un bisou, merci chef !
    Au fait, 1/4 seulement des taulards reçoivent des visites.

    Courrier
    Vous pensiez que l’administration pénitencière ne se prive pas d’emmerder les détenus sur quelque chose d’aussi important et vous avez gagné !
    Le courrier est ouvert, lu, éventuellement bloqué.
    Agréable de savoir qu’un juge d’instruction sait tout de toi et bonjour l’intimité ! Qui dit lettres dit censure, un mot qui raconte les conditions de vie peut très bien ne pas arriver à l’extérieur comme un journal ou une lettre trop « subversive » ne pas arriver à l’intérieur.
    Le courrier, c’est comme l’oxygène que l’administration pénitencière peut raréfier ou couper à son gré.

    Évasion
    Meilleurs vœux pour l’année 89


    sources :
     

    1980

    1980
    Affiches liées



    [L’isolement carcéral détruit, détruisons l’isolement]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’isolement carcéral détruit, détruisons l’isolement]. — [S.l.] : CACI (Comités d’action contre l’isolement carcéral) : Kaliméro, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 87 × 60 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; psychiatrie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (homme en prison) ; logo (mains — dont une enchainée — se serrant au travers de barreaux) ]

    texte :

    L’isolement carcéral détruit, détruisons l’isolement

    De la Bastille à Bicêtre, hier celà s’appelait : emprisonnement cellulaire. Administration pénitentiaire et pouvoir politique proclament que ce temps est révolu avec la suppression des quartiers de haute sécurité, des quartiers à sécurité renforcée, des quartiers de plus grande surveillance. Pourtant, aujourd’hui, cette pratique existe toujours.

    Qui peut le nier ?

    De trois cents à cinq cents prisonnier(e)s subissent l’isolement carcéral pour des mois, voire des années. Pour tous, ce régime disciplinaires draconien est synonyme de torture physique et psychologique :
    — seul vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sans aucun contact avec les autres détenus ;
    — courrier systématiquement censuré ;
    — transferts fréquents d’une cellule à une autre, d’une prison à l’autre ;
    — fouilles corporelles au moindre déplacement dans la prison ;
    — fouilles des cellules de fond en comble…

    Le prisonnier en quartier d’isolement n’a plus la notion de l’heure, du temps qu’il fait. Complètement coupé de tout, il perd tout repère sensoriel et tout rapport social. Par ce régime, l’administration pénitentiaire et la chancellerie ne veulent lui laisser que trois issues : la folie, le suicide ou la soumission absolue et aveugle à leur autorité.

    Mais pourquoi donc chercher à anéantir ces prisonnier(e)s ? Nul besoin d’être un « monstre » pour se voir placé en quartier d’isolement.

    À ll’isolement, on y est parce qu’on refuse de se soumettre :
    — parce qu’on refuse les conditions insoutenables de détention à l’interieur des prisons ;
    — parce qu’on rejette cette justice de classe qui emprisonne toujours davantage de chômeurs, de précaires, d’immigrés, et absout les riches, les policiers meurtriers et les hauts fonctionnaires ;
    — parce qu’on refuse le pourrissement en prison des laissés-pour-compte de la crise.

    Face à la volonté d’anéantissement des prisonnier(e)s contestataires, qu’ils soient politiques ou de « droit commun », ne restons pas spectateurs. Face aux témoignages, ne fuyons pas la réalité.

    Informez-vous, rejoignez-nous, agissons ensemble : pour l’abolition de l’isolement carcéral

    Coordination nationale des comités d’action contre l’isolement carcéral (Lille, Troyes, Dijon, Paris, Aix-en-Provence, Toulouse…)

    CACI c/o Kaliméro — BP 21 — 59007 Lille cedex

    Imprimerie spéciale


    sources :
     




    [Prison + expulsion = double peine]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prison + expulsion = double peine]. — Paris : REFLEX, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 89 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (jaune sur fond noir) ; dessin (avion ou un peintre remplace « Air Pasqua [1] » par « Air Cresson ») ]

    texte :

    Prison + expulsion = double peine

    — pour en finir avec la double peine
    — pour le droit au séjour

    Meeting national

    Avec des expulsés et leur famille, des avocats, des députés européens

    Samedi 14 décembre 1991 à 14 h 30

    à la Bourse du Travail de Saint-Denis — rue Boby Sands, M° Saint-Denis-Porte de Paris de 14 h à 19 h 00

    Associations signataires : Amicale des Algériens en Europe, associations de Gennevilliers, ASTI, ATMF, CEDETIM, CGT, CIMADE, Comité National contre la Double Peine, FASTI, FETAF (Fédération des Travailleurs Africains en France), GISTI, IM’MEDIA, JALB (collectif Rhône-Alpes), LCR, MRAP, Réflexe, Résistance des Banlieues, SAF (Syndicat des Avocats de France), SNES, Syndicat de la magistrature, UTIT, Les Verts

    Contact comité national : (1) 45 33 41 95


    sources :

    Pas d’imprimeur indiqué. Signature du dessinateur illisible.

    Notes

    [1« Air Pasqua » est une expression créée lors de l’expulsion par charter de 101 Maliens, le 18 octobre 1986.










    [Magonismo, anarquismo y autogestion]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Magonismo, anarquismo y autogestion]. — México Mexico : Biblioteca social Reconstruir : Cambio radical (Mx), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 77 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Mexique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : affiche  ; art : cinéma  ; art : théâtre  ; autogestion  ; mouvement anarchiste : histoire  ; presse : histoire  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique  ; Mexique : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Aguilar, Edingardo  ; Albro, Ward  ; Alcayaga, Monica  ; Bolaños, Guadalupe  ; Carbo, Margarita  ; Cortés, José  ; Derbes, Alain  ; Escobedo Cetina, Humberto  ; Flores Magón, Ricardo (1874-1922)  ; Garcia, Lilia  ; Garcia, Sabino  ; González M., Enrique  ; Guerrero Hurtado, Práxedis Gilberto (1882-1910)  ; Hernández, Salvador  ; Lida, Clara E.  ; Maldonado, Benjamin  ; Pantoja, Jose  ; Rivera, Librado (1864-1932)
    • Presse citée  : Core  ; Corre la voz  ; Germen (Mx)  ; Machete, El
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…  ; exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; portraits (Magon, Rivera et Guerrero) ] sépia sur blanc

    texte :

    Magonismo, anarquismo y autogestión

    21 de noviembre de 1997 - 16 de septiembre de 1998
    Año ciudadano Ricardo Flores Magón

    Museo universitario del Chopo

    Dr. Enrique González M. #10. Sta. María la Rivera. Metro Revolución.
    Exposiciones : del viernes 4 al domingo 6 de septiembre de 1998.
    “Imagines del magonismo” (grabados del taller de la gráfica popular y fotografías de la fototeca de la ENAH).
    Colección de carteles de eventos anteriores y alternos a las actividades del Colectivo Cambio Radical y Unidad punk libertaria.
    Periódico mural con información Actualizada.
    Talleres : jueves 3 : 17 hrs. Taller de sexualidad (imparte Guadalupe Bolaños).
    Viernes 4 : 17 hrs. Taller de radio (imparte José Pantoja).

    Conferencias :

    Miércoles 2 de septiembre
    19 hrs. “La importancia de las radios comunitarias” : participan : Lilia Garcia y Sabino Garcia (Radio Interferencia).
    José Pantoja, José Cortés (Centro de comunicación y capacitación social AC).

    Jueves 2 de septiembre :
    16 hrs. Vídeo : película Libertarias de Vicente Aranda.
    18 hrs. Conferencia y actividades a cargo del “Colectivo mujeres libertarias.”
    19:30 hrs. Conferencia : Salvador Hernández (escritor e investigador magonista).
    Humberto Escobedo Cetina (centro de estudios magonistas, Oax.).

    Viernes 4 de septiembre :
    17 hrs. Vídeo película : Ora si tenemos que ganar de Raul Kamffer.
    19 hrs. Conferencia : “Magonismo, anarquismo y autogestión” 1a parte. Participan : Clara E. Lida (investigadora del anarquismo, Coegio de México), Margarita Carbo (investigadora magonista UNAM), Alain Derbes (periodista y escritor), Benjamin Maldonado (investigador magonista, INAH).

    Sábado 5 de septiembre :
    16 hrs. Teatro : Tiempos finales de Suarez. Grupo teatro Callejero riza, lagrimas y rebelión.
    17 hrs. Itzilzucunil de Itzuca de Matamoros (corridos magonista y revolucionarios).
    18 hrs. Conferencia : “Magonismo, anarquismo y autogestión” 2a parte. Participan : Monica Alcayaga (investigadora especializada en la figura de Librado Rivera, Universidad Iberoamericana), Edingardo Aguilar (investigador magonista profesor de la UNAM), Ward Albro (profesor de la Universidad de Texas AEM Kingsville).

    Domingo 6 de septiembre :
    14 hrs. Teatro : La Entrevista de Alberto Moravia. Presenta grupo del CLETA UNAM.
    Multifloro Alicia
    Av. Cuauhtemoc 91, Col. Roma, entre Colima y Durango. Metro Cauauhtemoc y N. Heroes.

    Martes 8 de septiembre :
    18 hrs. Vídeo película Germinal. Conferencia e actividades a cargo del colectivo Acción Libertaria.

    Miércoles 9 de septiembre :
    18 hrs.Conferencia “Publicaciones autogestivas”. Participan los periódicos : Corre la voz y El Machete y los fanzines Germen y Core.

    Jueves 10 de septiembre :
    18 hrs. Vídeo Película Move Confrontation. Conferencia y actividades a cargo del grupo “Libertad” (grupo de apoyo a presos políticos y Cruz Negra Anarquista).
    Teatro al Air Libre Juventino Rosas (aguascalientes de la casa del lago en el exilio).
    Bosque de Chapultepec 1a sección.

    Miércoles 16 de septiembre :
    12 hrs : “Clausura del Año ciudadano Ricardo Flores Magón” : multiples actividades por confirmar).

    Entrada libre en todas las actividades
    informaes Tel/Fax (5) 512 08 86
    e-mail : libertad@mail.internvet.com.mx

    Biblioteca social Reconstruir
    Colectivo Cambio Radical


    sources :
     



    [Anarquismo y autogestion : septiembre de 1999, Museo universitario del Chopo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Anarquismo y autogestion : septiembre de 1999, Museo universitario del Chopo]. — México Mexico : Cambio radical (Mx), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 87 × 57 cm.

    • Affiches par pays  : Mexique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : affiche  ; art : cinéma  ; art : théâtre  ; art : vidéo  ; autogestion  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1931-1936  ; Mexique : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Axa_, Zo d’ (1864-1930)  ; Bakounine, Michel (1814-1876)  ; Campos Campos, Severino (1905-2006)  ; Chávez López, Julio (....-1869)  ; González M., Enrique  ; Hernández B., Héctor D.  ; Hoyos, Octavio  ; Kropotkine, Pierre (1842-1921)  ; Lida, Clara E.  ; Melgar Bao, Ricardo  ; Villa, Juan Pablo
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…  ; exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte (dans une frise fleurie) ; portraits (Bakounine, Kropotkine) ]

    texte :

    “Anarquismo y autogestión”

    Del 1 al 5 de septiembre de 1999.
    Museo universitario del Chopo.
    DFr. Enrique González M. @10 Sta. María la Rivera/ Metro Revolución.

    Exposición :
    Del 1 al 5 de septiembre colección de carteles de eventos anteriores de varias organizaciones alrededor del mundo : España, México, Alemania, Italia, etc.
    Exposición fotográfica : “Moviminetos sociales en México” de Octavio Hoyos.

    Vídeos y conferencias :

    Miércoles 10
    18 hrs : vídeo documental ; La Escuela de la Américas (adiestramiento jefes militares en tácticas de contrainsurgencia).
    19 hrs : conferencia : “Julio Chávez López y la revolución agraria de 1869” (130 años del manifiesto a todos los oprimidos y pobres de México y el universo).
    Participación de : Ricardo Melgar Bao (profesor, investigador del INAH), Héctor D. Hernández B. (Biblioteca social Reconstruir).

    Jueves 2
    18 hrs : vídeo documental : AK Kraak (movimiento autónomo en Alemania).
    19 hrs : conferencia : “El movimiento obrero y la autogestión en México”.
    Participación del Frente Autentico del Trabajo (FAT), el Centro de reflexión y acción laboral (CEREAL) y la Red Sindical.

    Viernes 3
    17 hrs : recital musical : “Juan Pablo Villa”.
    18 hrs : presentación del vídeo documental : “Loxichas”
    19 hrs : conferencia : “El rol de los prisioneros en el sistema actual” (análisis y crítica del grupo Cruz Negra Anarquista Internacional).
    Participación de la Organización de presos zapatistas “La Voz de Cerro Huceo”, Comité de familiares de presos políticos de la Régión Loxicha, Comité por la liberación de presos políticos de Querétaro y del grupo de apoyo a presos políticos “Libertad”.

    Sábado 4
    16h hrs : vídeo película : Tierra y Libertad de Ken Loach.
    17 hrs : “Reconocimiento a los anarquistas españoles exiliados en el 60 aniversario de la inmigración”. Participación de Severino Campos (participante en el Guerra civil española), Clara E. Lida (investigadora C de M).
    18 hrs : conferencia : “Perspectivas del movimiento anarquista en México.”
    Participación : Acción Libertaria, Colectivo Cambio radical., Pensamientos Unidos, Mujeres Libertarias, y collaborador@s independientes.

    Domingo 5
    Clausura del las 11as jornadas en el Museo del Chopo
    14 hrs : teatro, música y diversas actividades.

    Colectivo « Cambio Radical » — tel=fax : 5 512 08 86 — e-mail : libertad@mail.internet.com.mx — http://www.geocities.com/RainForest/8238/mexpunkeerfp.html

    Entrada libre en todas las actividades


    sources :
     

















    [La dernière babillarde]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La dernière babillarde]. — Lille : la (Lille) Brèche, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (mains au travers de barreaux de prison) ]

    texte :

    jeudi 24 avril 2003 - 20 h

    “La dernière balillarde”

    par la Cie « La Barbillarde » de Hem

    d’après des textes de détenu-e-s

    Théâtre

    Pièce suivie d’un débat sur les lois sécuritaires et la construction de nouvelles prisons
    par le collectif « La Brèche »

    salle des fêtes Wazemmes
    rue de l’abbé Arts • M° Wazemmes


    sources :

    Les textes sont tirés de deux ouvrages : Paroles de détenus (éd. Librio) et Pour en finir avec toutes les prisons (éd. L’insomniaque).
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article157




    [La prison, miroir d’une société d’enfermement]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La prison, miroir d’une société d’enfermement]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDL (Lyon)
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Peyrat, Yves
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; logo (« murs blancs, peuple muet ! ») ; dessin d’après photo célèbre (poing levé depuis une prison) ]

    texte :

    La prison, miroir d’une société d’enfermement

    Au même titre que les centres de rétention, les camps de réfugiés, les zones d’attente pour les clandestins, les prisons nous dessinent la carte du monde des États et de l’économie.

    Les ghettos où l’on enferme la misère, où l’on enterre la révolte sont les véritables visages de notre présent.

    La prison n’est ainsi que l’iceberg d’une condition d’enfermement bien plus large et massive de la société toute entière, elle en est une partie intégrante et toutes deux interagissent ensemble.

    Aujourd’hui nous nous trouvons en face d’un système social qui se base sur le vol du plus grand nombre, sur l’extermination de masse pour garantir les privilèges d’une minorité, un système aussi basé sur la négation de la liberté, la torture et l’enfermement de ceux qui se rebellent contre leurs conditions de servage ou refusent les mécanismes qui leurs sont offerts pour devenir partie intégrante du système de mort que la société impose pour garantir certaines libertés à quelques individus.

    Le « droit à la sécurité » n’est donc pas une condition de la liberté comme l’affirment les propagandistes du régime. Cette sécurité n’est que l’autre nom de la violence d’État par laquelle se perpétuent l’exploitation et la misère du plus grand nombre.

    Ainsi la construction de nouveaux centres pénitentiaires accompagne une surveillance et un contrôle social plus en plus sophistiqué sous le couvert d’une nécessaire sécurité. : urbanisme de ghetto, vidéo-surveillance, cohortes de vigiles et de flics, fichage systématique, citoyen-flic...

    De plus le secteur carcéral avec sa main d’œuvre captive et presque gratuite est susceptible d’engendrer de larges profits au lieu d’engloutir des fonds publics : salaires défiant toute concurrence, charges sociales et couverture sociale inexistantes, aucun droit (du travail, syndical, ou autre). Vive le libéralisme intra-muros.

    Aujourd’hui on ne peut se contenter de belles phrases, de vœux pieux, de slogans : si la critique de la prison se limite à « à bas la prison ! », elle reste particulièrement inoffensive.

    Les attaques théoriques contre l’univers carcéral ne peuvent remplacer les urgences constantes que sont les liens, les passerelles existantes ou à faire exister entre le « dehors » et le « dedans ».

    La lutte contre la prison commence au quotidien dans tout ce qui peut être arraché au quotidien de l’enfermement.

    Lier les luttes de ceux et celles qui ne se résignent pas au projet d’anéantissement qui leur est réservé avec celles qui se déroulent dans cette autre prison qu’est la société doit constituer un de nos objectifs principaux.

    Car chaque brique que l’on ôtera à la prison, chaque fois que son exorbitant pouvoir de nuisance lui sera contesté ce sera un mur entier de l’édifice social qui s’effondrera.

    La moindre défaite des enfermeurs est une baffe à la face de l’État, un pas vers la liberté qui sape la toute puissance des propriétaires de ce monde et nous rapprochera de notre désir, un monde sans État, sans argent et sans classes.

    Débat avec Yves Peyrat, samedi 17 mai à 15 h

    [logo poing avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! » La Gryffe est membre du collectif Affichage libre - [logo] Librairie libertaire La Gryffe

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    Ouverture du lundi au vendredi de 14 à 19 h - le samedi de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 19 h


    sources :

    http://lagryffe.net/LA-PRISON-MIROIR-D-UNE-SOCIETE-D,120.html


    1988

    [s.d.]

    1973

    [s.d.]

    1976
    Affiches liées










    [Solidarité avec les prisonniers en lutte]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec les prisonniers en lutte]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte avec reproduction de graffitis et photo des mutins de Clairvaux ]

    texte :

    Solidarité avec les prisonniers en lutte

    La politique du gouvernement c’est :

    1-Des condamnations toujours plus lourdes et plus nombreuses

    2-La dégradation systématique des conditions de détention : cration des ERIS (matons cagoulés), harcèlement, torture par isolement ou entassement, raréfaction des aménagements de peine, etc.

    Les prisonniers ont raison de se révolter

    Le 16 avril 2003, des prisonniers de la centrale de Clairvaux se sont révoltés contre ses conditions de survie. Une partie des ateliers a été incendiée.

    12 prisonniers ont été inculpés, beaucoup d’autres transférés et/ou placés en Quartiers d’isolement. Un premier procès en mars 2004 leur a valu de lourdes peines supplémentaires, enterrés dans des Centrales de Haute Sécurité. Ils font appel afin que le procès soit celui du système carcéral et de la politique sécuritaire. La date de l’audience n’est pas encore fixée, pour la connaître : http://vivelesmutins.freeservers.com

    [photo avec banderole :] « Ils veulent nous tuer »

    Solidarité avec les mutins de Clairvaux, soyons présents à leur procès en appel à Reims

    Avec les prisonniers, nous exigeons :
    — obtention automatique des conditionnelles
    — suppression des ERIS (matons cagoulés)
    — fin des quartiers d’isolement et mitards
    — rapprochement familial et affinitaire
    — stop à la construction de nouvelles prisons

    N’attendons pas d’être en taule


    sources :
     


    [Une grue occupée, un chantier bloqué... À Palaiseau comme ailleurs, reprenons l’offensive !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Une grue occupée, un chantier bloqué... À Palaiseau comme ailleurs, reprenons l’offensive !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ Photo d’une grue (entreprise Bouygues bâtiment Ile-de-France) bloquée avec banderoles « Non aux Centes de rétention », « Non à toutes les constructions » ; colonne de texte sur la droite ]

    texte :

    Une grue occupée, un chantier bloqué...

    Une campagne nationale d’actions contre le programme de constructions de lieux d’enfermement pour sans-papiers (nécessaire à l’application de la loi Sarkozy qui triple la durée de rétention) a commencé.

    Le 4 mai 2004, nous avons occupé le chantier du centre de rétention administrative de Palaiseau. En occupant la grue pendant douze heures, jusqu’à ce que nous en soyons délogés par la police, nous avons bloqué et désorganisé l’avancement des travaux. Cette action a été soutenue par de nombreux Palaisiens.

    La généralisation de l’enfermement comme dispositif de contrôle social se concrétise aujourd’hui grâce à la collaboration de l’État et de Bouygues qui construit la majorité des nouvelles prisons et des nouveaux centres de rétention en France.

    Ils construisent des prisons

    Ils construisent des centre de rétention

    Donnons-nous les moyens de les en empêcher…

    À Palaiseau comme ailleurs, reprenons l’offensive !


    sources :