prison

 

 

Affichage par année

413 affiches :

 




    [Les prisonniers ont raison de se révolter]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les prisonniers ont raison de se révolter]. — [S.l.] : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (émeutiers/mutins sur le toit d’une prison) ]

    texte :

    Les prisonniers ont raison de se révolter

    • abolition des quartiers d’isolement
    • amnistie des mutins
    • suppression des mitards et prétoires
    • l’octroi systématique des RPS, grâces, permissions et conditionnelles
    • les parloirs intimes
    • le SMIG pour tous les travailleurs


    sources :

    Une autre photo de cette mutinerie est parue dans Le Monde libertaire n° 672 (10 septembre 1987).


    1989
    Affiche liée




    [Action directe : grève de la faim depuis le 1er décembre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Action directe : grève de la faim depuis le 1er décembre]. — Paris : Action directe, (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 55 × 39 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : grève  ; prison  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Action directe  ; Meins, Holger (1941-1974)  ; Sands, Bobby (1954-1981)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (cadavre d’Holger Meins)

    texte :

    Action directe : grève de la faim depuis le 1er décembre

    Plus de 80 jours

    Réunion publique : mercredi 24 février

    127, rue Marcadet, Paris 18e à 20 h

    — fermeture immédiate des mitards et des quartiers d’isolement !
    — non à la différenciation !
    — droit au regroupement pour tous !

    Détruire les individus pour détruire les idées mais les maintenir« en vie » par la torture de l’alimentation forcée

    Il est temps d’agir !

    [photo :] Holger Meins, militant de la RAF, assassiné par la RFA après 52 jours de grève de la faim.

    Depuis 80 jours, quatre militant(e)s d’Action directe sont en grève de la faim illimitée pour exiger :
    - Le regroupement par le statut de prisonnier politique.
    - La fermeture immédiate des Quartiers d’Isolement de Sécurité Renforcée.

    Rappelez-vous, depuis des années, et particulièrement cet été, les détenu(e)s se révoltent contre l’isolement sous toutes ses formes.

    Quelle justice a donc cours en France ?

    Justice, qui, aux militant(e)s politiques d’Action Directe refuse le regroupement par l’obtention du statut de prisonnier politique, qui relaxe les assassins des militants Kanaks de Hienghiene, qui libère, avec ou sans les formes, les flics meurtriers de jeunes et/ou d’immigrés, qui protège Michel Droit, qui se refuse à inculper Chalandon, qui n’a toujours pas inculpé les assassins de Malik Oussekine…

    Au nom de qui ce pouvoir et cette justice de classe refusent-ils les revendications des militant(e)s d’Action Directe ?

    Au nom de l’État terroriste responsable du plasticage du Rainbow Warrior, au nom de l’État des "affaires" en tous genres Boulin, Chalier, Gordji, Luchaire … ? Au nom de l’État assassin du militant syndicaliste et politique Lucien Barbier ?

    Et, est-ce encore au nom de cet État que des pressions sont exercées sur les témoins appelés au procés ? La grève de la faim des militant(e)s d’Action Directe pour la satisfaction de leurs revendications est légitime.

    Ces militants sont déterminés à la conduire jusqu’à ses ultimes conséquences.

    Ceux et celles qui, aujourd’hui, luttent pour une transformation de la société, ne peuvent pas rester passifs devant l’anéantissement physique et moral des militant(e)s d’Action Directe. Rappelons-nous de Bobby Sands et de Holger Meins !

    Pour la fermeture immédiate des Quartiers d’Isolement et de Sécurité Renforcée !

    Pour le droit au regroupement !

    Collectif d’Information sur la Grève

    Imp. spéciale


    sources :
     

    1988

    1981

    1978
    Affiches liées



    [Gli anarchici a proposito della condanna di Sofri, Bompressi, Pietrostefani]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gli anarchici a proposito della condanna di Sofri, Bompressi, Pietrostefani]. — [S.l.] : gli Anarchici, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bompressi, Ovidio (1947-....)  ; Pietrostefani, Giorgio (1943-....)  ; Pinelli, Giuseppe (1928-1969)  ; Sofri, Adriano (1942-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Gli anarchici a proposito della condanna di Sofri, Bompressi, Pietrostefani.

    Per fare chiarezza ricordiamo :
    — Giuseppe Pinelli, anarchico, venne assassinato nella questura di Milano.
    — il commissario Calabresi assieme ai brigadieri Panessa, Mucilli, Mainardi, ed al C.C. Lo Grano era presente nella stanza in cui Pino venne ucciso, e fu, sotto ogni punto di vista, primo responsabile della sua morte.
    — Calabresi sapeva troppe cose, aveva commesso tropi errori, ed era, sostanzialmente « bruciato » ; la sua morte, quindi avvenne in un momento quantomai opportuno.
    — questo « processo Marino » che nasce ambiguo e si sviluppa anomalo, senza il supporto di una sola prova decentemente credibile, con queste condanne ha dato, ove fosse necessario, la misura morale ed etica di una magistratura e dello stato che rappresenta.
    — questo processo vorrebbe essere la chiusura di un cerchio che riabiliti i protagonisti della strategia della tensione, e, condannando alcuni degli oppositori di allora, ridare credito ad una magistratura assolutamente screditata che non ha saputo, o voluto, in venti anni, incriminare i mandanti e gli esecutori della strage di piazza Fontana, che non lucida intuizione, definimmo allora strage di stato.
    — questo processo ci insegna che lo stato ha la memoria lunga.
    — anche la nostra non è da meno.

    Gli anarchici

    [… impr. ]


    sources :
     











    [Yark-yark : le cri du peuple, n° 3]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Yark-yark : le cri du peuple, n° 3]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle des naissances  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne  ; Grande-Bretagne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Yark-yark : le cri du peuple
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ journal mural ]

    texte :

    Yark-yark : le cri du peuple

    n° 3

    Depuis le printemps 85, le mouvement des taulards existe à nouveau et ne cesse de ce développer, parfois sous formes d’actions collectives radicales, avec parallèlement un travail d’unification des revendications. Hommes et femmes, prévenus et condamnés, français et immigrés, droits communs et politiques se solidarisent dans la lutte contre l’isolement, puis dans d’autres revendications — SMIC pour tous les détenus — Remises de peines supplémentaires — Parloirs intimes etc. Il ne se passe pas un mois sans qu’il y ait une grève de la faim ou des plateaux, un refus collectif de ragagner la cellule etc.
    Nous nous sentons solidaires de ces mouvements.

    Si nous sommes contre les taules, ce n’est pas par humanisme.

    C’est tout d’abord que la flicaille nous considère comme du gibier de potence, à cause de nos idées, nos pratiques, nos galères quotidiennes. Hier taulard, demain homme libre ; hier homme libre, demain taulard, mais aujourd’hui le corps et la tête en pleine « social-démocratie ». Pour certains professeurs de radicalité, les revendications des taulards peuvent paraitre réformistes (SMIC, parloir…) mais tant mieux si elles améliorent le quotidien, et salut à ceux qui, à chaque mutinerie, se prennent la répression carcérale dans la tronche.
    Le soutien aux embastillés signifie pour nous une réflexion politique sur l’enfermement. Nous n’avons que faire, contrairement à certains réformistes des lois dites « apaisantes » : aménagements qui, sous prétexte d’humaniser la taule, donnent lieu à un autre chantage, à un autre flicage ; exemple : système anglo-saxon des bracelets mouchards que les détenus en liberté conditionnelle doivent garder en permanence.
    C’est cette même logique réformiste qui permet le développement des Travaux d’intérêt général (TIG) : une espèce de bagne sans boulet où tout condamné bosserait gratos pour les intérêts de la bourgeoisie.

    Ça aussi, c’est de l’enfermement !

    L’enfermement est à la fois un instrument de répression extrême et la représentation la plus criante du système.
    Les taulards ne sont ni démons ni enfants de chœur mais produits par notre société capitaliste ; car c’est elle qui installe la prison, ultime rempart contre la révolte, ultime solution contre toute tentative d’échapper à la banalité des rapports marchands. La prison est un des verrous qui perpétue l’ordre social.
    La solidarité à l’extérieur des taules est nécessaire
    * pour qu’un fort mouvement s’attaque à la bourgeoisie cannibaliste
    * pour en finir avec la connerie sécuritaire
    * pour dire à ceux qui veulent nous refiler toujours la même marchandise enduite de bleu/blanc/rouge que la révolution n’est pas morte et qu’elle peut leur tomber sur la gueule à tout moment.

    Maton
    Version pénitencière de la Gestapo en bleu marine qui sévit dans nos rues. Philosophiquement raciste, fasciste et machiste, tabasse et torture, porte la moustache, syndicalement se prends pour la force ouvrière (existe aussi en version féminine).

    Branlette obligatoire
    Forme la plus répandue de la liberté en prison, offre moultes possibilités de rencontre.

    Surpopulation
    « À 5 par cellule, il reste de la place pour ton fils » : 55 000 détenus en tout.

    Médecine
    Être en cage 24 h/24, ça ne favorise pas vraiment la santé (sic !) : ingestions diverses, dents gâtées, ulcères, sida, etc.
    Pour y remédier, la médecine pénitencière manie allègrement la carotte et la valium ! Pas de soins appropriés, pas de suivi médical mais une énorme machine à distribuer calmants et neuroleptiques.
    Abrutissement garanti à tous les niveaux, vive la camisole chimique !
    De plus, la distribution donne évidement lieu à un chantage supplémentaire aux dépends des détenus.

    Travail
    Vous ne pensiez tout de même pas y échapper là-dedans ??
    Obligatoire, ou plutôt « recommandé » en centrale (c’est ça ou la suppression des grâces). Il permet à quelques sociétés exonérées de charges d’avoir une main d’œuvre sans protection sociale, sans droits d’aucune sorte et sous-payée.
    Plonger parce que poussé à voler par ton salaire SIVP et te retrouver à bosser pour 800 F par mois pour acheter des mégots 2 fois plus chers qu’ailleurs : hilarant, non ?
    Racket… Vous avez dit racket ?

    Mutinerie
    Des fois ça craque : 1974, 1985 et toutes les autres… On peut, au choix, refuser le plateau repas, refuser de remonter de promenade, grimper sur les toits ou, avec beaucoup de chance, tout casser et avoir 2, 3 salauds en otages. Ça s’appelle être libre au moins quelques heures ! Mais gaffe à la rentrée : isolement, recondamnation, matraquages (à 4 CRS contre 1) ou se faire tirer comme des lapins par les keufs.
    C’est pourtant le seul moyen de se faire entendre : alors ?
    Bonne chance pour les prochaines, on espère que ça bougera aussi dans la rue.

    Isolement
    Le chef-d’œuvre du système carcéral.
    À la fois moyen de pression ultime et point final à la révolte des individus.
    On y fourre les « ennemis publics » taillés sur mesure pour l’opinion (Action directe, Mesrine, Basques, etc.) ou ceux qui, refusant de jouer le jeu de l’enfermement deviennent (ou pourront devenir) des symboles de la lutte des prisonniers.
    Cette méthode d’extermination utilisée brillaient par l’Allemagne contre la RAF ou l’Angleterre contre l’IRA est connue (à quelques degrés dans l’horreur près) sous le nom de QHS (Quartier haute sécurité).
    Quel consiste en mitard (cachot) indéfiniment prolongé ou en quartier spécialement aménagé, les prisonniers et tous ceux qui les appuient exigeront toujours la disparition de ces oubliettes modernes où le pouvoir joue à briser ce qui reste d’humain chez les individus.

    Visite-parloir
    Déjà, il faut obtenir l’autorisation du juge et ça traine en longueur (surtout si vous n’êtes pas mariés).
    Ensuite, poireauter des heures devant la taule à la merci des matons et de leur bonne humeur. Visites, en principe une fois par semaine pour condamnés et trois fois par semaine pour prévenus (en fait, à la gueule du client).
    Puis c’est le parloir dit libre : c’est à dire sous surveillance constante avec fouille à l’aller et au retour (à poil pour les détenus).
    Des fois, on vous permet un bisou, merci chef !
    Au fait, 1/4 seulement des taulards reçoivent des visites.

    Courrier
    Vous pensiez que l’administration pénitencière ne se prive pas d’emmerder les détenus sur quelque chose d’aussi important et vous avez gagné !
    Le courrier est ouvert, lu, éventuellement bloqué.
    Agréable de savoir qu’un juge d’instruction sait tout de toi et bonjour l’intimité ! Qui dit lettres dit censure, un mot qui raconte les conditions de vie peut très bien ne pas arriver à l’extérieur comme un journal ou une lettre trop « subversive » ne pas arriver à l’intérieur.
    Le courrier, c’est comme l’oxygène que l’administration pénitencière peut raréfier ou couper à son gré.

    Évasion
    Meilleurs vœux pour l’année 89


    sources :
     

    1980

    1980
    Affiches liées



    [L’isolement carcéral détruit, détruisons l’isolement]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’isolement carcéral détruit, détruisons l’isolement]. — [S.l.] : CACI (Comités d’action contre l’isolement carcéral) : Kaliméro (Lille), [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 87 × 60 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; psychiatrie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (homme en prison) ; logo (mains — dont une enchainée — se serrant au travers de barreaux) ]

    texte :

    L’isolement carcéral détruit, détruisons l’isolement

    De la Bastille à Bicêtre, hier celà s’appelait : emprisonnement cellulaire. Administration pénitentiaire et pouvoir politique proclament que ce temps est révolu avec la suppression des quartiers de haute sécurité, des quartiers à sécurité renforcée, des quartiers de plus grande surveillance. Pourtant, aujourd’hui, cette pratique existe toujours.

    Qui peut le nier ?

    De trois cents à cinq cents prisonnier(e)s subissent l’isolement carcéral pour des mois, voire des années. Pour tous, ce régime disciplinaires draconien est synonyme de torture physique et psychologique :
    — seul vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sans aucun contact avec les autres détenus ;
    — courrier systématiquement censuré ;
    — transferts fréquents d’une cellule à une autre, d’une prison à l’autre ;
    — fouilles corporelles au moindre déplacement dans la prison ;
    — fouilles des cellules de fond en comble…

    Le prisonnier en quartier d’isolement n’a plus la notion de l’heure, du temps qu’il fait. Complètement coupé de tout, il perd tout repère sensoriel et tout rapport social. Par ce régime, l’administration pénitentiaire et la chancellerie ne veulent lui laisser que trois issues : la folie, le suicide ou la soumission absolue et aveugle à leur autorité.

    Mais pourquoi donc chercher à anéantir ces prisonnier(e)s ? Nul besoin d’être un « monstre » pour se voir placé en quartier d’isolement.

    À ll’isolement, on y est parce qu’on refuse de se soumettre :
    — parce qu’on refuse les conditions insoutenables de détention à l’interieur des prisons ;
    — parce qu’on rejette cette justice de classe qui emprisonne toujours davantage de chômeurs, de précaires, d’immigrés, et absout les riches, les policiers meurtriers et les hauts fonctionnaires ;
    — parce qu’on refuse le pourrissement en prison des laissés-pour-compte de la crise.

    Face à la volonté d’anéantissement des prisonnier(e)s contestataires, qu’ils soient politiques ou de « droit commun », ne restons pas spectateurs. Face aux témoignages, ne fuyons pas la réalité.

    Informez-vous, rejoignez-nous, agissons ensemble : pour l’abolition de l’isolement carcéral

    Coordination nationale des comités d’action contre l’isolement carcéral (Lille, Troyes, Dijon, Paris, Aix-en-Provence, Toulouse…)

    CACI c/o Kaliméro — BP 21 — 59007 Lille cedex

    Imprimerie spéciale


    sources :
     




    [Plateforme de revendications des prisonnier(e)s en lutte]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plateforme de revendications des prisonnier(e)s en lutte]. — Paris : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : manifeste  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Plateforme de revendications des prisonnier(e)s en lutte :

    • fermeture définitive des quartiers d’isolement ;
    • abolition du prétoire et du mitard ;
    • suppression du statut de DPS, un régime unique pour tous ;
    • amnistie de tous les prisonniers poursuivis et condamnés pour actes de rébellion ;
    • le SMIC pour celles et ceux qui travaillent en prison ;
    • octroi systématique des remises de peine, des grâces, des permissions de sortie et des libérations conditionnelles ;
    • droit aux parloirs intimes.


    sources :
     

    [ca  1990]

    [ca  1990]
    Affiches liées





    [Prison + expulsion = double peine]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prison + expulsion = double peine]. — Paris : REFLEX, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 89 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (jaune sur fond noir) ; dessin (avion ou un peintre remplace « Air Pasqua [1] » par « Air Cresson ») ]

    texte :

    Prison + expulsion = double peine

    — pour en finir avec la double peine
    — pour le droit au séjour

    Meeting national

    Avec des expulsés et leur famille, des avocats, des députés européens

    Samedi 14 décembre 1991 à 14 h 30

    à la Bourse du Travail de Saint-Denis — rue Boby Sands, M° Saint-Denis-Porte de Paris de 14 h à 19 h 00

    Associations signataires : Amicale des Algériens en Europe, associations de Gennevilliers, ASTI, ATMF, CEDETIM, CGT, CIMADE, Comité National contre la Double Peine, FASTI, FETAF (Fédération des Travailleurs Africains en France), GISTI, IM’MEDIA, JALB (collectif Rhône-Alpes), LCR, MRAP, Réflexe, Résistance des Banlieues, SAF (Syndicat des Avocats de France), SNES, Syndicat de la magistrature, UTIT, Les Verts

    Contact comité national : (1) 45 33 41 95


    sources :

    Pas d’imprimeur indiqué. Signature du dessinateur illisible.

    Notes

    [1« Air Pasqua » est une expression créée lors de l’expulsion par charter de 101 Maliens, le 18 octobre 1986.










    [Magonismo, anarquismo y autogestion]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Magonismo, anarquismo y autogestion]. — México Mexico : Biblioteca social Reconstruir : Cambio radical (Mx), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 77 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Mexique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : affiche  ; art : cinéma  ; art : théâtre  ; autogestion  ; mouvement anarchiste : histoire  ; presse : histoire  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique  ; Mexique : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Aguilar, Edingardo  ; Albro, Ward  ; Alcayaga, Monica  ; Bolaños, Guadalupe  ; Carbo, Margarita  ; Cortés, José  ; Derbes, Alain  ; Escobedo Cetina, Humberto  ; Flores Magón, Ricardo (1874-1922)  ; Garcia, Lilia  ; Garcia, Sabino  ; González M., Enrique  ; Guerrero Hurtado, Práxedis Gilberto (1882-1910)  ; Hernández, Salvador  ; Lida, Clara E.  ; Maldonado, Benjamin  ; Pantoja, Jose  ; Rivera, Librado (1864-1932)
    • Presse citée  : Core  ; Corre la voz  ; Germen (Mx)  ; Machete, El
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…  ; exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; portraits (Magon, Rivera et Guerrero) ] sépia sur blanc

    texte :

    Magonismo, anarquismo y autogestión

    21 de noviembre de 1997 - 16 de septiembre de 1998
    Año ciudadano Ricardo Flores Magón

    Museo universitario del Chopo

    Dr. Enrique González M. #10. Sta. María la Rivera. Metro Revolución.
    Exposiciones : del viernes 4 al domingo 6 de septiembre de 1998.
    “Imagines del magonismo” (grabados del taller de la gráfica popular y fotografías de la fototeca de la ENAH).
    Colección de carteles de eventos anteriores y alternos a las actividades del Colectivo Cambio Radical y Unidad punk libertaria.
    Periódico mural con información Actualizada.
    Talleres : jueves 3 : 17 hrs. Taller de sexualidad (imparte Guadalupe Bolaños).
    Viernes 4 : 17 hrs. Taller de radio (imparte José Pantoja).

    Conferencias :

    Miércoles 2 de septiembre
    19 hrs. “La importancia de las radios comunitarias” : participan : Lilia Garcia y Sabino Garcia (Radio Interferencia).
    José Pantoja, José Cortés (Centro de comunicación y capacitación social AC).

    Jueves 2 de septiembre :
    16 hrs. Vídeo : película Libertarias de Vicente Aranda.
    18 hrs. Conferencia y actividades a cargo del “Colectivo mujeres libertarias.”
    19:30 hrs. Conferencia : Salvador Hernández (escritor e investigador magonista).
    Humberto Escobedo Cetina (centro de estudios magonistas, Oax.).

    Viernes 4 de septiembre :
    17 hrs. Vídeo película : Ora si tenemos que ganar de Raul Kamffer.
    19 hrs. Conferencia : “Magonismo, anarquismo y autogestión” 1a parte. Participan : Clara E. Lida (investigadora del anarquismo, Coegio de México), Margarita Carbo (investigadora magonista UNAM), Alain Derbes (periodista y escritor), Benjamin Maldonado (investigador magonista, INAH).

    Sábado 5 de septiembre :
    16 hrs. Teatro : Tiempos finales de Suarez. Grupo teatro Callejero riza, lagrimas y rebelión.
    17 hrs. Itzilzucunil de Itzuca de Matamoros (corridos magonista y revolucionarios).
    18 hrs. Conferencia : “Magonismo, anarquismo y autogestión” 2a parte. Participan : Monica Alcayaga (investigadora especializada en la figura de Librado Rivera, Universidad Iberoamericana), Edingardo Aguilar (investigador magonista profesor de la UNAM), Ward Albro (profesor de la Universidad de Texas AEM Kingsville).

    Domingo 6 de septiembre :
    14 hrs. Teatro : La Entrevista de Alberto Moravia. Presenta grupo del CLETA UNAM.
    Multifloro Alicia
    Av. Cuauhtemoc 91, Col. Roma, entre Colima y Durango. Metro Cauauhtemoc y N. Heroes.

    Martes 8 de septiembre :
    18 hrs. Vídeo película Germinal. Conferencia e actividades a cargo del colectivo Acción Libertaria.

    Miércoles 9 de septiembre :
    18 hrs.Conferencia “Publicaciones autogestivas”. Participan los periódicos : Corre la voz y El Machete y los fanzines Germen y Core.

    Jueves 10 de septiembre :
    18 hrs. Vídeo Película Move Confrontation. Conferencia y actividades a cargo del grupo “Libertad” (grupo de apoyo a presos políticos y Cruz Negra Anarquista).
    Teatro al Air Libre Juventino Rosas (aguascalientes de la casa del lago en el exilio).
    Bosque de Chapultepec 1a sección.

    Miércoles 16 de septiembre :
    12 hrs : “Clausura del Año ciudadano Ricardo Flores Magón” : multiples actividades por confirmar).

    Entrada libre en todas las actividades
    informaes Tel/Fax (5) 512 08 86
    e-mail : libertad@mail.internvet.com.mx

    Biblioteca social Reconstruir
    Colectivo Cambio Radical


    sources :
     



    [Anarquismo y autogestion : septiembre de 1999, Museo universitario del Chopo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Anarquismo y autogestion : septiembre de 1999, Museo universitario del Chopo]. — México Mexico : Cambio radical (Mx), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 87 × 57 cm.

    • Affiches par pays  : Mexique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : affiche  ; art : cinéma  ; art : théâtre  ; art : vidéo  ; autogestion  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1931-1936  ; Mexique : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Axa_, Zo d’ (1864-1930)  ; Bakounine, Michel (1814-1876)  ; Campos Campos, Severino (1905-2006)  ; Chávez López, Julio (....-1869)  ; González M., Enrique  ; Hernández B., Héctor D.  ; Hoyos, Octavio  ; Kropotkine, Pierre (1842-1921)  ; Lida, Clara E.  ; Melgar Bao, Ricardo  ; Villa, Juan Pablo
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…  ; exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte (dans une frise fleurie) ; portraits (Bakounine, Kropotkine) ]

    texte :

    “Anarquismo y autogestión”

    Del 1 al 5 de septiembre de 1999.
    Museo universitario del Chopo.
    DFr. Enrique González M. @10 Sta. María la Rivera/ Metro Revolución.

    Exposición :
    Del 1 al 5 de septiembre colección de carteles de eventos anteriores de varias organizaciones alrededor del mundo : España, México, Alemania, Italia, etc.
    Exposición fotográfica : “Moviminetos sociales en México” de Octavio Hoyos.

    Vídeos y conferencias :

    Miércoles 10
    18 hrs : vídeo documental ; La Escuela de la Américas (adiestramiento jefes militares en tácticas de contrainsurgencia).
    19 hrs : conferencia : “Julio Chávez López y la revolución agraria de 1869” (130 años del manifiesto a todos los oprimidos y pobres de México y el universo).
    Participación de : Ricardo Melgar Bao (profesor, investigador del INAH), Héctor D. Hernández B. (Biblioteca social Reconstruir).

    Jueves 2
    18 hrs : vídeo documental : AK Kraak (movimiento autónomo en Alemania).
    19 hrs : conferencia : “El movimiento obrero y la autogestión en México”.
    Participación del Frente Autentico del Trabajo (FAT), el Centro de reflexión y acción laboral (CEREAL) y la Red Sindical.

    Viernes 3
    17 hrs : recital musical : “Juan Pablo Villa”.
    18 hrs : presentación del vídeo documental : “Loxichas”
    19 hrs : conferencia : “El rol de los prisioneros en el sistema actual” (análisis y crítica del grupo Cruz Negra Anarquista Internacional).
    Participación de la Organización de presos zapatistas “La Voz de Cerro Huceo”, Comité de familiares de presos políticos de la Régión Loxicha, Comité por la liberación de presos políticos de Querétaro y del grupo de apoyo a presos políticos “Libertad”.

    Sábado 4
    16h hrs : vídeo película : Tierra y Libertad de Ken Loach.
    17 hrs : “Reconocimiento a los anarquistas españoles exiliados en el 60 aniversario de la inmigración”. Participación de Severino Campos (participante en el Guerra civil española), Clara E. Lida (investigadora C de M).
    18 hrs : conferencia : “Perspectivas del movimiento anarquista en México.”
    Participación : Acción Libertaria, Colectivo Cambio radical., Pensamientos Unidos, Mujeres Libertarias, y collaborador@s independientes.

    Domingo 5
    Clausura del las 11as jornadas en el Museo del Chopo
    14 hrs : teatro, música y diversas actividades.

    Colectivo « Cambio Radical » — tel=fax : 5 512 08 86 — e-mail : libertad@mail.internet.com.mx — http://www.geocities.com/RainForest/8238/mexpunkeerfp.html

    Entrada libre en todas las actividades


    sources :
     







    [De la noirceur des geôles]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De la noirceur des geôles] / Thierry Guitard. — Paris : Tout le monde dehors !, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 65 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (ligne de prisonniers cicatrisés et robot-maton en colère) par Thierry Guitard ?

    photo (3 enfants armés nous mettant en joue)

    texte :

    De la noirceur des geôles

    Le F.I.E.S (l’équivalent des QHS en France) est un régime carcéral spécial des prisons espagnoles. C’est une abomination, où des dizaines d’individus subissent chaque jour toutes sortes de privations, brutalités et tortures.

    Dans les tréfonds des cellules du F.I.E.S, les surveillants ont carte blanche sur la vie du détenu. Dans les cellules, comme dans toutes celles des prisons spéciales du monde, on pratique un programme scientifique d’anéantissement de ceux qui ne se soumettent pas.

    Plusieurs prisonniers en Espagne ont commencé la lutte commune pour en finir avec le F.I.E.S pour s’opposer aux transferts continuels et pour obtenir la libération des détenus malades. Leur message s’adresse à tous ceux qui sont “dehors”, à ceux qui, dans les villes ou dans les campagnes, vivent l’existence des prisons comme une agression supplémentaire à leur propre liberté.

    C’est sur notre soumission quotidienne que s’érigent, mal cachés aux yeux de tout le monde, les prisons, les maisons de corrections, les centres de rétention, les asiles psychiatriques : ils représentent la menace extrême, le langage le plus clair par lequel s’exprime cette société bâtie sur le profit, la domestication collective, la normalisation.

    À ceux qui en ont assez d’une vie à coups de bâtons, décolorée par l’ennui et par le bon sens, une invitation de tout coeur à appuyer cette lutte.

    Une lutte qu’il faut étendre à tous les lieux fermés de ce monde, pour abattre les murs et les barreaux, pour conquérir toute la liberté qui est la nôtre.

    à la nuit des villes

    Tout le monde dehors !

    Pour plus d’informations - Tout le monde dehors ! - c/o TCP-21 ter, rue Voltaire 75011 Paris / passmuraille@free.fr


    sources :
     






    [“Paroles de prisonniers”, samedi 19 mai, Montpellier]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    “Paroles de prisonniers”, samedi 19 mai, Montpellier]. — Montpellier : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Abu-Jamal, Mumia (1954-....)  ; Bess, Helyette (1930-....)  ; Castillo, Bobby  ; Cueto, Olivier  ; Dubrieu, Alain  ; Lesage de La Haye, Jacques (1938-....)  ; Peltier, Leonard (1944-....)  ; Rouillan, Jean-Marc (1952-....)  ; Rubinstein, Olivier  ; Wright, Julia
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (visage d’homme aux yeux remplacés par des barreaux dans l’intérieur d’une prison ou volent des corbeaux) par Thierry Guitard ?

    texte :

    Dans le cadre de la “Comédie du Livre”

    “Paroles de prisonniers”

    Samedi 19 mai
    de 14 heures à 18 heures
    Salle Pétrarque
    Montpellier

    Conférences-débats :

    14 h-15 h : "Olivier Cueto : des éditions de l’Insomniaque, animateur de "l’Envolé" émission de "Radio Fréquence Paris Plurielle" sur les prisons.
    Alain Dubrieu : auteur de "Citadelles de l’oubli", du "Désert de l’Iguane".

    15 h-16 h : Julia Wright : Coordinatrice du comité de solidarité pour Mumia Abu-Jamal et les prisonniers politiques aux USA, pour le livre de Mumia Abu Jamal : "Condamné au silence".
    Bobby Castillo : porte-parole international du comité de défense de Léonard Peltier, membre de l’American Indian Movement pour le livre de Léonard Peltier : "Ecrits de prison, le combat d’un indien".

    16 h-17 h : Jacques Lesage de la Haye : auteur de "la guillotine du sexe", de "l’homme de métal". Animateur de l’émission de radio : "Ras les murs" sur Paris.
    Olivier Rubinstein : Directeur général des éditions Denoël pour présenter le livre de Jean Marc Rouillan : " Je hais les matins" éditions Denoël.
    Helyette Bess : coauteur de "Ya du baston dans la taule".

    Quasimodo, Comité Mumia Abu-Jamal de Montpellier, Amis du monde diplomatique, Amis de Sauramps


    sources :