prison
432 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — barbelés — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal /B_tout>
[ texte ; dessin (enfant au pied d’un mur frontière couvert de barbelés) ]
- texte :
Donderdag 22 februari breekt er een opstand in het deportatiekamp van Vottem (Luik). De infrastructuur van de eet- en “ontspanning” ruimte wordt vernield. De politie valt het centrum binnen om de orde te herstellen. Achteraf worden enkele personen in isolatie geplaatst en in elkaar geslagen door cipiers. Twee nachten later worden zij overgeplaatst naar het deportatiekamp van Merksplas. Tot en niet dinsdag bevonden zij zich in een isolatieregime.
In de deportatiekampen worden mensen opgesloten die niet wenselijk in de blanke westerse maatschappij. Europa heeft maar een beperkt aantal mensen zonder papieren nodig om de vuile klusjes aan een slavenloon op te knappen. De anderen worden opgespoord met razzia’s, opgesloten in kampen en gedeporteerd naar hun “eigen land”. De racistische samenleving aanvaardt dit en zorgt et zo voor dat dit systeem standhoudt.
Deportatiekampen en andere gevangenissen worden gebouwd om mensen te isoleren en ze kapot te maken, zowel fysisch als mentaal. Hoge muren, prikkeldraad en tralies houden mensen gevangen en leveren hen over aan de constante controle van camera’s en bewakers met matrak. De directie en cipiers bepalen alles wat je doet, je kan er geen moment aan ontsnappen.
Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving.
Voor een vrije wereld zonder grenzen en gevangenissen, tegen deze staat zijn we allemaal schuldig, zijn we allemaal illegaal.
traduction :Jeudi 22 février, un soulèvement éclate dans le camp de déportation de Vottem (Liège). L’infrastructure de l’espace de restauration et de « détente » est en train d’être détruite. La police fait une descente dans le centre pour rétablir l’ordre. Par la suite, certaines personnes sont placées en isolement et battues par des gardiens. Deux nuits plus tard, ils sont transférés au camp d’expulsion de Merksplas. Jusqu’à mardi, ils étaient dans un régime d’isolement.
Dans les camps de déportation, des personnes sont enfermées, ce qui n’est pas souhaitable dans la société occidentale blanche. L’Europe n’a besoin que d’un nombre limité de migrants sans papiers pour faire les sales boulots avec un salaire d’esclave. Les autres sont traqués par des raids, enfermés dans des camps et déportés dans leur « propre pays ». La société raciste l’accepte et s’assure ainsi que ce système est maintenu.
Les camps de déportation et autres prisons sont construits pour isoler et détruire les gens, à la fois physiquement et mentalement. De hauts murs, des barbelés et des barreaux emprisonnent les gens et les soumettent au contrôle constant des caméras et des gardes avec matraque. La direction et les gardiens déterminent tout ce que vous faites, vous ne pouvez pas y échapper un instant.
Nous sommes solidaires de ceux qui refusent de perdre leur dignité et se rebellent contre leur privation de liberté.
Pour un monde libre sans frontières et sans prisons, nous sommes tous coupables contre cet état, nous sommes tous illégaux.
Vignette parue dans La Cavale : correspondance de la lutte contre la prison nº 7 (avril-mai 2007) : « Affiche de solidarité avec le mutinerie dans le centre fermé de Vottem ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (personnage en cellule métallique, vue de dessus, avec enveloppe timbrée [?]) ]
- texte :
Au moins 100 suicides par an en prison ; 40 % des prisonniè-res souffrent de problèmes psychologiques ; en moyenne 2 à 3 personnes pour 9 m2
La prison ne règle aucun problème : elle en crée !
À bas toutes les prisons !!
Groupe d’anarchistes de Lille et environs
L’affiche utilise la même photo que Refusons ce monde techno-carceral (Collectif libertaire Marius-Jacob, 2010). Elle sera réédité, vers 2009, après l’adhésion du GDALE à la CGA. Cette photo est parue sur le site http://bellaciao.org/fr.
Remarque : l’affiche n’a été retrouvée que sous forme de fichier numérique ; il est possible qu’elle n’est été qu’une maquette de l’affiche citée comme réédition.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]
- texte :
Beau comme des centres de rétention qui flambent
Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.
En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.
Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.
La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.
Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.
Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.
Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.
Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.
Sabotons la machine à expulser !
Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]
- texte :
Beau comme des centres de rétention qui flambent
Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.
En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.
Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.
La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.
Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.
Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.
Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.
Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.
Sabotons la machine à expulser !
Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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texte
filigrane (portrait) par Thierry Guitard ?
- texte :
Concert de soutien aux prisonniers politiques d’Action directe
à partir de 18 h : projection, exposition, infos de luttes, buvette…
à partir de 21 h : concertS’inscrivant dans la lignée des mouvements révolutionnaires des années 1970, Action directe, groupe internationaliste de lutte armée, revendiquait de nombreuses actions anti-capitalistes et anti-impérialistes. C’est dans ce cadre que ces militants ont agi. Aujourd’hui, alors que l’État utilise l’arsenal des lois antiterroristes pour surveiller et incarcérer des militants politiques qui s’opposent au système capitaliste (cf l’affaire récente des présumés saboteurs de la mouvance anarcho-autonome, les incarcérations d’« islamistes » ainsi que les nombreuses gardes à vue de militants, de syndicalistes, etc.), il nous semble important de se mobiliser largement pour obtenir la libération de tous les prisonniers politiques et l’abrogation de ces lois liberticides qui, sous couvert de « terrorisme », autorisent la surveillance et l’enfermement de nos compagnons de lutte.
La situation actuelle des prisonniers d’Action directe
Incarcéré depuis mars 1984, Régis Schleicher a été condamné à perpétuité, dont quinze ans incompressibles. Libérable depuis 1999, ses cinq demandes de libération conditionnelle ont été rejetées. En 2003, à Moulins Yzeure, après vingt ans d’enfermement face à cet horizon clos, son aspiration naturelle à la liberté l’a décidé à tenter de s’évader. Il va entamer sa vingt-sixième année de détention !
Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan sont arrêtés en février 1987 et condamnés aussi à perpétuité par une cours d’assise composée uniquement de magistrats (en application de la loi de 1986, dite antiterroriste, créant cette juridiction spéciale).
Joëlle Aubron, atteinte d’un cancer, a été libérée pour « raison médicale ». Elle est morte quelques mois après, le 1er mars 2006. Nathalie Ménigon a obtenu, en août 2007, un régime de semi-liberté (travail la journée et retour en prison tous les soirs et les week-ends), qui lui a permis, au bout d’une année, de bénéficier d’une libération conditionnelle.
Aujourd’hui, Georges Cipriani, Jean-Marc Rouillan et Régis Schleicher sont toujours incarcérés pour des faits ayant eu lieu il y a plus de vingt ans.
Georges et Régis attendent depuis plus d’un an l’avis d’une commission nouvellement créée qui doit statuer sur leur demande de libération conditionnelle… Georges a terminé, depuis février 2005, la peine de sûreté de dix-huit ans qui accompagnait sa condamnation à la prison à perpétuité. Régis, quant à lui, l’a terminée depuis 1999. Ils peuvent donc tous prétendre à une libération conditionnelle. À ce jour, toutes leurs demandes ont été rejetées.
Jean-Marc a obtenu un régime de semi-liberté en décembre 2007, mais il a été réincarcéré suite à un entretien publié dans la presse, le 1er octobre 2008, et s’est vu refuser la libération conditionnelle dont il aurait dû bénéficier en décembre 2008.
Nous n’oublions pas les conditions spéciales d’incarcération que subissent les prisonniers politiques et les rebelles :
- isolement (dans certains cas de plusieurs années)
- communication avec l’extérieur entravée (courrier, téléphone)
- permis de visite délivrés au compte-gouttes, etc.Rappelons que les améliorations des conditions de détention des prisonniers d’AD ont été acquises par la lutte (notamment des grèves de la faim) et par la solidarité organisée hors des murs.
Cet acharnement n’a que trop duré ! Affirmons notre refus face à cette vengeance d’État. Libération des militants d’Action directe et des prisonniers politiques.
La solidarité est une arme !
Centre culturel de la Bonne Fontaine
Vendredi 3 avril - 21 h - Forcalquier
(Alpes-de-Haute-Provence)Organisation
Défense active
80 rue de Ménilmontant 75020 paris- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (le poussin noir Calimero)
- texte :
Kalimero
est un collectif et une caisse de solidarité
pour les prisonniers de la guerre sociale en cours.En prison, avoir de l’argent pour se procurer les denrées de base (sel, sucre, timbres, tabac, ricoré, etc.) est une nécessité. Pour permettre aux personnes incarcérées de satisfaire leurs besoins élémentaires, nous souhaitons leur envoyer un mandat mensuels de 120 euros.
Une caisse de solidarité a besoin de continuité. Nous n’avons ni sponsor, ni mécène, aussi avons-nous convenu d’un rendez-vous par mois pour collecter des sous afin d’alimenter la caisse. Ces rencontres sont également l’occasion d’échanger des informations, d’assurer le suivi des différentes histoires et de discuter des situations qui se présentent. Dans un souci de régularité, ces rencarts ont été fixés le deuxième jeudi de chaque mois, à 18 h pour la réunion, et à 2 h pour une auberge espagnole (apporter à boire et à manger).
arrêtés pour transport de fumigène…
inculpés, pour une tentative d’incendie d’un véhicule de police…
incarcérés pour l’incendie du centre de rétention de Vincennes…
poursuivis pour des actes qt contre la SNCF…
ils ont besoin de nous !Pour envoyer de l’argent ou pour être tenus au courant des prochains rendez-vous, vous pouvez demander à être inscrit sur la mailing-list de kalimero en écrivant à
kalimeroparis@gmail.comLe nº de compte pour faire un virement : 10278 06137 00020471901 Clé 07
Sinon chacun peut déposer de l’argent en liquide dans toutes les agences du Crédit Mutuel en donnant ce numéro : 06137 00020471901- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (visage d’homme tirant la langue : trait de découpe sur celle-ci) par Thierry Guitard
- texte :
Liberté de parole
Libération de Jean-Marc Rouillan
La solidarité est une arme
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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- descriptif :
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tekst
foto (kind and politie)
- texte :
Terrorisme is dit dagelijks leven
Op 22 mei en 25 september deden flikken van de "anti-terroristische" afdeling huiszoekingen op verschillende adressen in België. Ook de anarchistische bibliotheek Acrata in Brussel kreeg ongewenst bezoek. Hun onderzoek werd geopend in 2008 en betreft "bendevorming, deelname aan een terroristische groep en opzettelijke brandstichting". Anti-autoritaire en anarchistische ideeën en de strijden die eruit voortkomen (tegen de gevangenis en solidariteit met de opstanden binnen ; tegen een gesloten centrum in Steenokkerzeel en tegen de deportatiemachine ; tegen deurwaarders, NAVO, Europese instellingen en de nieuwe maxi-gevangenis in Brussel) worden geviseerd.
We vragen ons af wie hier eigenlijk de terrorist is. Zijn het dan misschien anarchisten die ons vanaf onze geboorte zeggen wat we moeten doen ? Verplichten zij mensen om weg te rotten op de schoolbanken of absurde arbeid uit te voeren ? Delen zij dan GAS-boetes uit, sturen zij deurwaarders op ons af en steken zij de straten vol met de flikken die ons ambeteren ? Deporteren anarchisten dan migranten of zorgen zij ervoor dat ze verdrinken in de Middellandse zee ? Zijn het de anti-autoritairen die het milieu verkloten en oorlogen voeren ? Het zijn de staat en het kapitaal, de politiekers en de rijken die ons elke dag terroriseren !
Wij kunnen ons niet neerleggen bij hoe deze wereld draait. Wij willen niet zomaar blijven toekijken zonder te reageren. Anarchisme betekent aanval tegen alle vormen van onderdrukking. Daarom zullen we dan ook nooit beweren onschuldig te zijn.
Als ze een van ons raken, raken ze ons allemaal
De beste solidariteit is doorgaan met strijden- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photo solarisée (homme poing levé)
- texte :
À bas toutes les prisons
Isa incarcérée depuis janvier 2008, prison de Versailles
Juan incarcéré depuis juin 2008, prison de Bois-d’Arcy
Damien incarcéré depuis aout 2008, prison de Villepinte
Samedi 24 janvier 2009 à 15 h, Métro Barbès
Manifestation en solidarité avec les révoltés incarcérésQue les feux de la révolte se propagent partout.
Au soir de l’élection présidentielle de 2007, les manifs sauvages, affrontements et émeutes font suite aux nombreux bris de vitres de permanences de partis politiques tout au long de la campagne. En mai, il y a eu notamment une tentative d’incendie d’une voiture de flic devant u n commissariat de Paris. Accusés pour ça, Isa, Juan et Damien sont en détention préventive. Ils sont sous le coup d’une instruction anti-terroriste et d’un mandat de dépôt criminel.
Pour la solidarité il est possible d’envoyer de l’argent par chèque à l’ordre du CICP à l’adresse suivante :
Mauvaises Intentions 21 ter rue Voltaire 75011 Paris
http://infokiosques.net/mauvaises_intentionshttps://www.leparisien.fr/paris-75/la-station-barbes-fermee-apres-une-manifestation-interdite-24-01-2009-386304.php
https://www.bellaciao.org/fr/chronologie-de-la-solidarite-avec-les-inculpes-de-l-antiterrorisme- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (personnage en cellule métallique [de garde à vue ?], vue de dessus, avec enveloppe timbrée [?]) ]
- texte :
Au moins 100 suicides par an en prison ; 40 % des prisonniè-res souffrent de problèmes psychologiques ; en moyenne 2 à 3 personnes pour 9 m2
La prison ne règle aucun problème : elle en crée !
À bas toutes les prisons !!
Groupe d’anarchistes de Lille et environs CGA
1groupeanarlille@no-log.org - http://lille.cybertaria.org/gdale
Première édition en 2008 ?, avant l’adhésion du GDALE à la CGA. L’affiche utilise la même photo que Refusons ce monde techno-carceral (Collectif libertaire Marius-Jacob, 2010). Cette photo est parue sur le site http://bellaciao.org/fr.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Three years of mutineries in Belgian prisons
About the destruction of the isolation unit in Brugge
The prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. A society that resembles a great prison in which the majority of the population are locked up because of the necessity to find money, because of the lack of perspective in life, because of roles of submission and servitude that are being imposed by the ruling values. Just like in the street there are people in the prisons, psychiatric institutions, detention centres who do not come to peace with this, that do not burry a certain taste for freedom, for a better life, because the judge imposes that. People that refuse the humiliation every day to obey the guards and chiefs. For whom the walls and the barbwire of the prisons are not yet marked in their brains, and rather observe them as obstacles that have to be overcome. Because the punishment society gave them, through its judges, only is a consequence of a world that is based on the exploitation and obedience.
Since three years a small storm of revolt blows through the tens of Belgian prisons and detention centres. By rising up, by burning the prisons infrastructure, by attacking guards, by escaping, some prisoners found back what the system tried to take from them period : courage, a desire for freedom, a rebellion that dreams of finishing with at least a part of the mess this society brings.
Answering to this, the State opened two new isolation units in Brugge and Lantin, real prisons inside the prison, to be able to better isolate and break the ‘unruly’. But even in these cages, some haven’t lost the taste of combat. On the 2nd of April 2009, prisoners in Brugge have flooded the cells of this unit after which they smashed the unit almost completely. On the moment that the government is announcing its plans to construct seven new prisons, they are obliged to close down their showpiece, the isolation unit in Brugge. The prison machine isn’t that well oiled as it seems.
Strength and courage for all those who fight for freedom, inside and outside !
Let us, we as well, attack everything which is locking us up, exploiting us and oppressing us up !
traduction :Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photo
- texte :
Centres de rétention
Le retour des camps ?
Débat
Organisé par le groupe d’Ivry de la Fédération anarchiste
avec le Théâtre de l’Opprimé “Que faire en cas d’arrestation ?”, des infos et témoignages sur la réalité des CRA, et la présence de Maurice RajsfusSamedi 7 novembre 20 h
Salle St-Just
30, rue Saint-Just, Ivry-sur-Seine (94)
à 5 minutes du métro Marie d’Ivry (ligne 7)Affiche annoncée dans Le Monde libertaire nº 1571 (5-11 nov. 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (pompiers éteignant une voiture de police qui brule) ]
- texte :
Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics. Nous n’avons que trop de raisons de nous révolter. Ce n’est pas la répression qui nous les enlèvera.
En taule comme dans la rue, que la lutte continue avec rage et joie !
http://infokiosques.net/mauvaises_intentions
Affiche présentée sur Indymedia Grenoble : http://grenoble.indymedia.org/2009-03-03-Affiche-La-lutte-continue-avec (3 mars 2009)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin individu en chaines ]
- texte :
Elk individu telt
racism has always relied on the conflation of the individual and the group - Angela Y. Davis
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos (maillons de chaines) ]
- texte :
“Il faut que tout ça serve à quelque chose”
Christophe Khider, évadé de la prison de Moulins le 15 février 2009
blessé par balles lors de son arrestation après deux jours de cavalez,à son avocate, seule autorisée à le visiter a l’hôpital.Pour en finir avec toutes les prisons
Une évasion ou une tentative d’évasion, ce n’est pas un fait divers, c’est le geste de survie d’un enfermé que l’on tente de faire mourir à petit feu en prison.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un jeu, c’est l’acte de prisonniers qui mettent leur vie dans la balance même s’ils savent que de toutes façons, dans la plupart des cas, il y a un mur ou une balle devant eux ; car les agents de l’administration pénitentiaire et les policiers ont ordre de tuer les candidats à la belle. Lors d’un procès, un directeur de prison a affirmé qu’il préférait dix « suicidés » à un évadé ; à l’inverse, aucun blessé chez les surveillants lors de l’évasion d’Antonio Ferrara de la prison de Fresnes en 2003. Aucun blessé, aucune violence pendant l’évasion et la courte cavale de Christophe Khider et Omar Top El Hadj : dans les deux évasions, les seuls blessés sont des évadés ou leurs amis.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un mauvais film balancé à des millions de téléspectateurs pour les faire frémir, c’est le refus de l’hypocrisie d’une justice qui condamne à des peines sans limite, à des peines de mort à peine déguisées. Il y a peu, dix prisonniers longues peines de la centrale de Clairvaux ont même réclamé qu’on rétablisse pour eux la peine de mort parce qu’ils préféraient l’« euthanasie » à une agonie infinie. Avant son évasion de la prison de Moulins, Christophe Khider était libérable en 2045.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas une provocation : c’est des années d’isolement, de transferts aux quatre coins de l’hexagone et un traitement « spécial » pour les prisonniers repris ; cela fait plus de six ans qu’Antonio Ferrara supporte l’isolement dans l’isolement sans jamais voir la lumière du jour, menotté et entravé pour le moindre de ses déplacements, privé de tout contact physique si ce n’est avec vingt-huit surveillants lourdement armés.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un coup pour rire, c’est de lourdes peines infligées aux familles et aux proches même lorsqu’ils ne sont pas déclarés complices. C’est le début d’un calvaire carcéral et judiciaire pour ceux qui ont cherché à arracher un emmuré de son tombeau. Comment ne pas comprendre qu’une mère, un frère, des amis, une compagne refusent de laisser crever un proche ?
Une évasion ou une tentative d’évasion c’est des êtres humains enfermés qui veulent retrouver un peu de liberté. Et si on les présente comme des « monstres dangereux et sanguinaires » lâchés dans la nature, c’est pour essayer de faire accepter à tous la prison comme remède aux maux d’une société fondée sur le profit et la soumission. ils construisent dans l’urgence de nouvelles prisons comme hier ils bâtissaient les barres des cités de banlieue : des prisons-école pour les enfants, des prisons-hospice pour les grabataires, des prisons-hôpital pour les « malades mentaux », des prisons-bunker pour les prisonniers dits « dangereux »…
Fin des longues peines
Fermeture des quartiers d’isolement
Solidarité avec les évadés leurs familles et leurs proches
contact : envoleejournall@yahoo.fr
Avant 2018
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- notes :
- descriptif :
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[ texte (blanc, jaune, rouge) ; photo couleurs en fond (jeunes courant près d’une voiture en flammes) ]
- texte :
Les feux de la révolte
Les fins de mois sont de plus en plus difficiles. On se fait de plus en plus exploiter au boulot pour toujours moins de fric, sucrer les allocs et emmerder sans fin au RMI. Des milliers de personnes sont licenciées, l’âge de la retraite est encore reculé… et pendant ce temps-là l’État arrose les banques et les patrons à coups de milliards.
Le pouvoir lâche ses cow-boys en uniforme qui se croient tout permis à coups de flash-ball, de rafles, d’expulsions, de rackets et de contrôles… tandis que toujours plus de personnes se retrouvent enfermées, que ce soit en hôpital psychiatrique, en centre de rétention ou en prison. Le système impose sa paix sociale en nous vidant le cerveau à l’aide de Prozac, de télévision et de crédits… bref, tout ce qui constitue la violence du quotidien.
Les tensions sociales s’exacerbent et rien n’indique que cela va aller en s’amenuisant.
Les actes de révoltes collectives et individuelles se multiplient aussi :
En mai 2007 par exemple, lors du joyeux bordel des élections présidentielles, un véhicule de police a bien failli être incendié dans le 18e. Trois personnes suspectées dans cette affaire croupissent encore en prison sous l’accusation d’ « association terroriste ».
De même, en juillet dernier après plusieurs mois de révoltes collectives, de mutineries et d’affrontements, des prisonniers ont détruit par le feu le centre de rétention de Vincennes. Sept sans-papiers (peut-être plus) sont inculpés et incarcérés.
Depuis décembre en Grèce, après l’assassinat d’un jeune par les flics, des milliers de révoltés attaquent banques, commerces et commissariats. Occupations, pillages et destructions, manifestations et affrontements se poursuivent.
Solidarité avec les révoltés incarcérés.
Que les feux de la révolte se propagent partout.Manifestation samedi 24 janvier 2009, 15 h à Barbès
Affiche diffusée aussi sur http://www.non-fides.fr/?Les-feux-de-la-revolte (8 janvier 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
illustration (barreaux sur une bouche)
- texte :
Paroles & musiques : venez-vous !
sam 21 nov - 15 h 30 jusqu’à tard
« Je n’ai pas le droit d’en parler. Mais… » Jann-Marc Rouillan, novembre 2008
Après 21 ams de prison et 10 mois de semi-liberté, Jann-Marc Rouillan retourne à la case départ.
Un mot de trop, un « mais » de trop, des mois de plus.
Aujourd’jui malade, il y crève dans le silence.
Après 22 ans de prison, sans aucun jour de liberté, Georges Cipriani reste à la case départ.
Il ne dit pas ce qu’on attend de lui.
Et aujourd’hui, il y crève dans le silence.
Régis Schleicher, après 22 ans de prison, travaille dehors et dors dedans, dans le silence.
Nathalie Ménigon, souffre dans le silence.
Ils ne diront pas ce qu’on veut leur faire dire, et ne peuvent pas dire ce qu’ils voudraient dire…
C’est le silence de la prison… ou la prison du silence.
Alors, si quelques-uns tentent d’écrire une histoire sans témoin, d’autres témoins entendent bien raconter l’histoire.Parole directe
avec l’Équitable Café, au 54 cours Julien, 13006 Marseille
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- notes :
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[ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]
- texte :
Pour des cendres de rétention
La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.
Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.
Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .
Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.
Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.
...Feu à toutes les prisons
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]
- texte :
Pour des cendres de rétention
La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.
Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.
Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .
Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.
Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.
...Feu à toutes les prisons
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).
Version « lilloise » grand format.
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (cadeau empaqueté offert sur fond de flammes et d’émeute) ]
- texte :
Resto Trottoir — collectif Food not bombs, Besançon
blog : restotrottoir.blogspot.com
Dim. 20 décembre 2009
Repas gratuit pour tous et toutes !
de 12 h 30 à 15 h 30, place Marulaz
+ zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
+ infokiosque : tracts et brochures…
+ discussions, échanges…
+ parfois une surprise : débat, musique, animation, etc.En cas de pluie, cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes
Non à la politique d’exclusion et de répressions !
Nous voulons :
de la bouffe, pas des bombes,
des maisons, pas des prisons…[dessin :]
Brisons l’économie marchande
Parce que nous refusons la commercialisation d’un acte solidaire et humain, ce dimanche, apportons et offrons des trucs et des bidules fait « maison » ou de récupération pour pas un rond !
Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à l’installation (11 h 30) et au repas…
Rejoignez-nous ou contactez-nous :
• à la réunion d’organisation, le premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz
• par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2009/12/prochain-rt-ce-20-decembre-2009.html
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- notes :
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[ texte ; dessin (prison forteresse : « Et voilà ! Le problème des logements des précaires est résolu ! ») par Titom ]
- texte :
Resto Trottoir
collectif Food not bombs, Besançon
Repas gratuit pour toutes et tous !
blog : restotrottoir.blogspot.comDiscussion — Débat
Les politiques préfèrent utiliser notre argent pour construire des prisons plutôt que des logements décents pour toutes et tous.Échangeons, ce dimanche, nos points de vue et essayons de trouver des solutions en compagnie de La Buanderie de St Ferjeux, accueil de jour.
Dim. 29 nov. 2009
12 h 30, place Marulaz
zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres…
infokiosque : tracts, brochures, discussions, échanges…En cas de pluie, cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes
Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à la distribution, à l’installation (11 h 30) et au repas…
Rejoignez-nous ou contactez-nous :
• à la réunion d’organisation, lee 1ers mercredis du mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte, 5, place Marulaz
• par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2009/11/rendez-vous-en-novembre.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; image ]
- texte :
Mardi 17 novembre 2009
à 20 h 30 Salle Montaigne
Odyssée (NTP) Périgueux
[dessin]
Débat : l’action anti-carcérale dans un système sécuritaire
Avec Nadia Menenger auteure de l’ouvrage « À ceux qui se croient libres » chez l’Insomniaque
Collectif libertaire Marius Lacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
IPNS — Organisateur : CRACS
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo : portrait de Jacob en chapeau-melon ]
- texte :
Soirée projection-débat
Vendredi 18 décembre 2009 à 20 h 30
Alexandre Marius Jacob
film documentaire de Thomas Turner et Laurent Termignon
Engagement, répression, enfermement
Anarchiste illégaliste, partisan de la « reprise individuelle », Alexandre Marius Jacob, membre des Travailleurs de la Nuit, devait payer cher plus de 150 cambriolages spectaculaires, reconnus. Riches et oppresseurs étaient la cible. Lui et ses compagnons avaient déclaré la guerre au monde capitaliste. Une partie des « recettes » était reversée à « La Cause ». 25 ans, 8 mois et 23 jours après son arrestation, la bagnard en Guyane, matricule 34 777, soutenu sans relâche par sa mère, recouvrait la liberté mais n’était toujours pas vaincu…
Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions
Collectif libertaire Marius Jacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
Imprimé par nos soins
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- notes :
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[ texte ; photos (mutins ; barbelés) ]
- texte :
Le centre de rétention administratif de Vincennes était la plus grande prison pour sains-papiers de France. Le 21 juin 2008, un détenu qui avait réclamé en vain des médicaments y est mort. Le lendemain, le 22 juin, au cours d’une révolte collective, le centre est parti en fumée. 10 personnes sont inculpées pour cette révolte. Être solidaire des inculpés de l’incendie de Vincennes, c’est être solidaire de toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, se révoltent contre un monde où des millions de vies sont suspendues à des bouts de papiers.
Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes
Procès
du 25 au 27 janvier
13 h 30 au TGI de Paris, Mº CitéSemaine de solidarité
du 17 au 24 janvier
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (prisonnier face à une mur d’où sortent des bras pour l’aider) par Tardi
montage depuis une autre affiche de 2007 sur Action directe : « Sortons-les ! »
- texte :
Sortons-le
Régis Schleicher, en prison depuis 25 ans
[bandeau rajouté :] Mars1984 ★ Mars 2009
Liberté pour les prisonniers d’Action directe, pour les prisonniers révolutionnaires et les prisonniers de la guerre sociale
Défense active
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
photo (centre fermé en flammes)
- texte :
Steenokkerzeel
août 20028 : des prisonniers brûlent le centre fermé 127bis — augustus 2008: gevangenen steken het gesloten centrum 127bis in de fik
Empêchons le construction d’un nouveau centre fermé
Sabotons la machine à expulser
À bas toutes les frontièresLaten we de bouw van een nieuw gesloten centrum verhinderen
Saboteer de deportatiemachine
Weg met alle grenzenLet’s obstruct the construction of a new closed centre
Sabotage th deportation machine
Down with all borders!بالمهاجرين غير الشرعيين لنمنع بناء السجن الحديد الخاص
!لنحرب جهاز التراحيل
!سحقا لكافة الحدودhttp://ennemisdesfrontieres.blogspot.com
http://vijandenvangrenzen.blogspot.com- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
A spectre is haunting us
Time and time again we read about people who attack buildings, cars or the infrastructure of certain institutions in different ways. In the chorus of the media, loyal to the state, they are often considered as „vandals" or „chaots" and if that is not sufficient, then the construct of the terrorist serves to suffocate in advance any possible reasoning behind. That is exactly what happened to the 3 anarchists, who were arrested on 15th of April in Langnau am Albis (Switzerland). Allegedly on the way to attack a research center of IBM. A place among many at which, far from our everyday lives, the deepening of control on the life on this planet is researched at : genetic engineering, surveillance, nanotechnologies…
Why should this be blown up ?
We have been drowned in an technological ’high gloss-nightmare’, in which dead matter weighs more than our lives. The new god that is ruling over everything is the economy. „Economy has to be well" goes the saying, „so that we can feel well also." But behind this basic attitude, that any type of progress would be anyway good, veils the fact, that only few are profiting from that progress. Those who let themselves be exploited day after day, will have noticed by now, that despite all the incredible ongoing research, we are not working less, but simply more efficient. And we are not living more qualitative, but we consume more. With each novelty we are promised a better and simpler life, whereas the following disappointment is compensated by the promising of even more novelties. We crave for fata morganas like someone dying of thirst in a desert.
What is developed in the mentioned IBM center is advancing a level deeper. Because genetically manipulated organisms and nanoparticles, as well as radioactivity of nuclear waste, are incraving themselves irrevocably into this world which we inhabit. It doesn’t need much understanding to see that also these efforts are serving purely
the logic of progress of capitalism. Since the whole planet is under its domination, capitalism is now trying to deepen it - and that to the last detail.Since centuries industrial technology is the essential factor for the reformation of society, and therefore of the economy and the state. Again and again it is supposed to bring alleged solutions for social problems. Social problems that it helped creating. By now it managed to make itself indispensable. Without technology the immense accumulation of commodities and the therefore necessary generalized submission and control of the working mass would be impossible. It didn’t just make the people more alienated towards the world, but also towards themselves. The social order in which we live, functions only by the more and more absurd specialization of our occupations, the more and more extensive control over all living beings, the more and more efficient exploitation of our work capacity and a generalized impoverishment of human relations.
The apparently untouchable justification for that is purely the maintenance of the prevailing. The question for the living conditions is not raised. After all it could persuade us to the realization, that it is not us as individuals who are reason for our sorrow, but the social order and that there has to disappear quite a lot, in order for us to finally breathe freely. We think that social existence doesn’t gain value by technological progress, but by common ethical and social considerations. The development which we strive for, goes towards a life, that lies with us to decide about, without to serve and without to rule. And this development starts with the revolt against everything, which keeps us from doing so.
Therefore we recognize us in the three anarchists, who are now spread out in Swiss prisons. We feel solidarity for each attempt to cast off the shackles in order to stand up against the ongoing annihilation of life and the (self-)enslavement of the human kind. And one of the first shackles that we therefore cast off, is the one of our heads, which makes us believe, that we anyway cannot do anything and which keeps us trapped in lethargy.
Therefore for everyone who - for what reason whatsoever - is fed up with all the social constraints and control, fed up with all the lifeless products and senseless works, the hate that is sown, in order to fight among us, instead of together against the misery. To all those whos hearts is beting faster, when people attack what they think is the origin of their discontent : come out and make visible through the diversity of your forms o sabotage, that something completely different is possible.
Freedom for the three anarchists Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : Ein Schreckgespenst geht um (original German poster)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
tekst
fond gris
photo (avec coupe-boulons/pince monseigneur, barbelés et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur)
5 photos couleurs d’actions et manifestation- texte :
Against deportation centres
Against all prisons
Against borders
Against the State
1 October 2010
Demonstration
4pm - Gare du Midi (South Station) — Brussels Belgium
In Steenokkerzeel, at the end of the airstrip of the airport of Zaventem, the State is buiding a new closed centre (a prison for people without official papers). Constructed like a normal prison (with individual cels and advanced control mechanisms), it is made to imprison the most insubordinate and to serve as a means of pression to suppress the revolts in the other closed centres.
We want neither this new center, nor any prison.during the No Border Camp 25 September - 3 October
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image (silhouette d’homme avançant contre le vent, parapluie retourné) ]
- texte :
Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison
Il arrive qu’une bourrasque réchauffe l’atmosphère glacée de la résignation quotidienne. Depuis des années, en Belgique comme ailleurs, le temps est à l’orage dans les prisons et les centres fermés pour migrants : mutineries, évasions, incendies…
De l’autre côté des murs, des luttes cherchent à se frayer des chemins dans la rue, des grains de sable tentent d’enrayer les rouages de la machine à expulser.
En mai dernier, des détenus du centre fermé 127bis mettent une nouvelle fois le feu à leurs cellules.Pour garder la température en dessous de zéro, l’État fait construire un nouveau centre fermé spécialement conçu pour les détenus trop chauds. Il viendra s’ajouter aux 6 centres déjà en fonctionnement en Belgique.
Dans le même temps, 10 nouvelles prisons sont en projet de construction, la présence policière augmente dans les rues, les dispositifs de prévention et de contrôle sont perfectionnés pour éviter tout pic de chaleur à l’intérieur comme à l’extérieur des murs.Nous, nous préférons la chaleur d’une révolte à celle d’une couette où nous cacher à jamais pour oublier la froideur du monde.
Nous nous reconnaissons dans l’embrasement d’un quartier quand la police assassine ; dans une grève des écoliers qui refusent d’être formatés ; dans un « Soyons ingouvernables » tagué sur un mur ; dans l’attaque d’un portillon de la STIB ; dans une auto-réduction d’un supermarché où le contenu des caisses est brûlé ; dans le sabotage d’un chantier d’une entreprise qui construit le nouveau centre fermé…
Autant d’actes issus d’histoires, de contextes différents qui peuvent prendre des formes diverses mais qui partagent des désirs en contradiction totale avec ce monde glacé.
Ce sont des coups de vent chauds qui dégagent l’espace pour reparler d’un vieux désir : la liberté. La liberté partagée, celle qui se construit en refusant d’écraser l’autre.
Pour qu’ici, là-bas ces actes de révolte se multiplient et se diffusent,
Pour qu’ici, là-bas, on reprenne l’espace d’expérimenter et de reprendre goût à cette liberté.Que souffle le vent de la révolte !
Paru vers le mois d’août 2010. Même papier que Un camp No Border à Calais (2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving]
[Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving]. — Antwerpen Anvers ; Gent Gand : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[À bas toutes les prisons !!]
[À bas toutes les prisons !!] / Mathieu M.. — Lille : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() [ 2009 ?] |
![]() 2010 |
![]() 2010 |
![]() 2009 |
![]() 2012 |
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 2008 |
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2008 |
[Concert de soutien aux prisonniers politiques d’Action directe, Forcalquier, vendredi 3 avril 2008]
[Concert de soutien aux prisonniers politiques d’Action directe, Forcalquier, vendredi 3 avril 2008]. — Forcalquier ; Paris : Défense active, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2008 |
[Kalimero]
[Kalimero]. — Paris : Kalimero (Paris), [ & post]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Liberté de parole, libération de Jean-Marc Rouillan]
[Liberté de parole, libération de Jean-Marc Rouillan] / Thierry Guitard. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Terrorisme is dit dagelijks leven]
[Terrorisme is dit dagelijks leven]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Acrata (Bruxelles), [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[À bas toutes les prisons]
[À bas toutes les prisons]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[À bas toutes les prisons !!]
[À bas toutes les prisons !!] / Mathieu M.. — Lille : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), [ ?]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2008 |
![]() 2010 |
![]() 2009 |
![]() 2012 |
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[About the destruction of the isolation unit in Brugge]
[About the destruction of the isolation unit in Brugge]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Centres de rétention : le retour des camps ?]
[Centres de rétention : le retour des camps ?]. — Ivry-sur-Seine : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe d’Ivry, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics…]
[Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics…]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Elk individu telt]
[Elk individu telt] / Pier. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Il faut que tout ça serve à quelque chose]
[Il faut que tout ça serve à quelque chose]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Envolée (l’), [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Les feux de la révolte]
[Les feux de la révolte]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 61 × 40 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Paroles & musiques, venez-vous !, samedi 21 novembre 2009 avec l’Équitable Café, Marseille]
[Paroles & musiques, venez-vous !, samedi 21 novembre 2009 avec l’Équitable Café, Marseille]. — Marseille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 15 × 42 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : noir , brun ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2011 |
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2011 |
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 20 décembre 2009]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 20 décembre 2009]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 novembre 2009]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 novembre 2009] / Titom. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soirée anticarcérale, 17 novembre 2009]
[Soirée anticarcérale, 17 novembre 2009]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Sortons-le ! : Régis Schleicher en prison depuis 25 ans]
[Sortons-le ! : Régis Schleicher en prison depuis 25 ans] / Jacques (1946-....) Tardi. — Paris : Défense active : Ne Laissons Pas Faire ! (NLPF), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 50 × 30 cm.
sources :
![]() 2007 |
![]() 2007 |
![]() 2014 |
[Steenokkerzeel : Empêchons le construction d’un nouveau centre fermé = Laten we de bouw van een nieuw gesloten centrum verhinderen = Let’s obstruct the construction of a new closed centre = بالمهاجرين غير الشرعيين لنمنع بناء السجن الحديد الخاص]
[Steenokkerzeel : Empêchons le construction d’un nouveau centre fermé = Laten we de bouw van een nieuw gesloten centrum verhinderen = Let’s obstruct the construction of a new closed centre = بالمهاجرين غير الشرعيين لنمنع بناء السجن الحديد الخاص]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Ennemis des frontières = Vijanden van alle grenzen, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[A spectre is haunting us]
[A spectre is haunting us]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Against deportation centres, against borders, 1 October 2010]
[Against deportation centres, against borders, 1 October 2010]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 60 cm.
sources :
![]() [ca 2012] |
[Café libertaire exceptionnel, Charlie Bauer Rouge Bandit]
[Café libertaire exceptionnel, Charlie Bauer Rouge Bandit]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.