prison
413 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (visage d’homme tirant la langue : trait de découpe sur celle-ci) par Thierry Guitard
- texte :
Liberté de parole
Libération de Jean-Marc Rouillan
La solidarité est une arme
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photo solarisée (homme poing levé)
- texte :
À bas toutes les prisons
Isa incarcérée depuis janvier 2008, prison de Versailles
Juan incarcéré depuis juin 2008, prison de Bois-d’Arcy
Damien incarcéré depuis aout 2008, prison de Villepinte
Samedi 24 janvier 2009 à 15 h, Métro Barbès
Manifestation en solidarité avec les révoltés incarcérésQue les feux de la révolte se propagent partout.
Au soir de l’élection présidentielle de 2007, les manifs sauvages, affrontements et émeutes font suite aux nombreux bris de vitres de permanences de partis politiques tout au long de la campagne. En mai, il y a eu notamment une tentative d’incendie d’une voiture de flic devant u n commissariat de Paris. Accusés pour ça, Isa, Juan et Damien sont en détention préventive. Ils sont sous le coup d’une instruction anti-terroriste et d’un mandat de dépôt criminel.
Pour la solidarité il est possible d’envoyer de l’argent par chèque à l’ordre du CICP à l’adresse suivante :
Mauvaises Intentions 21 ter rue Voltaire 75011 Paris
http://infokiosques.net/mauvaises_intentionshttps://www.leparisien.fr/paris-75/la-station-barbes-fermee-apres-une-manifestation-interdite-24-01-2009-386304.php
https://www.bellaciao.org/fr/chronologie-de-la-solidarite-avec-les-inculpes-de-l-antiterrorisme- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (personnage en cellule métallique [de garde à vue ?], vue de dessus, avec enveloppe timbrée [?]) ]
- texte :
Au moins 100 suicides par an en prison ; 40 % des prisonniè-res souffrent de problèmes psychologiques ; en moyenne 2 à 3 personnes pour 9 m2
La prison ne règle aucun problème : elle en crée !
À bas toutes les prisons !!
Groupe d’anarchistes de Lille et environs CGA
1groupeanarlille@no-log.org - http://lille.cybertaria.org/gdale
Première édition en 2008 ?, avant l’adhésion du GDALE à la CGA. L’affiche utilise la même photo que Refusons ce monde techno-carceral (Collectif libertaire Marius-Jacob, 2010). Cette photo est parue sur le site http://bellaciao.org/fr.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Three years of mutineries in Belgian prisons
About the destruction of the isolation unit in Brugge
The prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. A society that resembles a great prison in which the majority of the population are locked up because of the necessity to find money, because of the lack of perspective in life, because of roles of submission and servitude that are being imposed by the ruling values. Just like in the street there are people in the prisons, psychiatric institutions, detention centres who do not come to peace with this, that do not burry a certain taste for freedom, for a better life, because the judge imposes that. People that refuse the humiliation every day to obey the guards and chiefs. For whom the walls and the barbwire of the prisons are not yet marked in their brains, and rather observe them as obstacles that have to be overcome. Because the punishment society gave them, through its judges, only is a consequence of a world that is based on the exploitation and obedience.
Since three years a small storm of revolt blows through the tens of Belgian prisons and detention centres. By rising up, by burning the prisons infrastructure, by attacking guards, by escaping, some prisoners found back what the system tried to take from them period : courage, a desire for freedom, a rebellion that dreams of finishing with at least a part of the mess this society brings.
Answering to this, the State opened two new isolation units in Brugge and Lantin, real prisons inside the prison, to be able to better isolate and break the ‘unruly’. But even in these cages, some haven’t lost the taste of combat. On the 2nd of April 2009, prisoners in Brugge have flooded the cells of this unit after which they smashed the unit almost completely. On the moment that the government is announcing its plans to construct seven new prisons, they are obliged to close down their showpiece, the isolation unit in Brugge. The prison machine isn’t that well oiled as it seems.
Strength and courage for all those who fight for freedom, inside and outside !
Let us, we as well, attack everything which is locking us up, exploiting us and oppressing us up !
traduction :Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; photo (pompiers éteignant une voiture de police qui brule) ]
- texte :
Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics. Nous n’avons que trop de raisons de nous révolter. Ce n’est pas la répression qui nous les enlèvera.
En taule comme dans la rue, que la lutte continue avec rage et joie !
http://infokiosques.net/mauvaises_intentions
Affiche présentée sur Indymedia Grenoble : http://grenoble.indymedia.org/2009-03-03-Affiche-La-lutte-continue-avec (3 mars 2009)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin individu en chaines ]
- texte :
Elk individu telt
racism has always relied on the conflation of the individual and the group - Angela Y. Davis
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos (maillons de chaines) ]
- texte :
“Il faut que tout ça serve à quelque chose”
Christophe Khider, évadé de la prison de Moulins le 15 février 2009
blessé par balles lors de son arrestation après deux jours de cavalez,à son avocate, seule autorisée à le visiter a l’hôpital.Pour en finir avec toutes les prisons
Une évasion ou une tentative d’évasion, ce n’est pas un fait divers, c’est le geste de survie d’un enfermé que l’on tente de faire mourir à petit feu en prison.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un jeu, c’est l’acte de prisonniers qui mettent leur vie dans la balance même s’ils savent que de toutes façons, dans la plupart des cas, il y a un mur ou une balle devant eux ; car les agents de l’administration pénitentiaire et les policiers ont ordre de tuer les candidats à la belle. Lors d’un procès, un directeur de prison a affirmé qu’il préférait dix « suicidés » à un évadé ; à l’inverse, aucun blessé chez les surveillants lors de l’évasion d’Antonio Ferrara de la prison de Fresnes en 2003. Aucun blessé, aucune violence pendant l’évasion et la courte cavale de Christophe Khider et Omar Top El Hadj : dans les deux évasions, les seuls blessés sont des évadés ou leurs amis.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un mauvais film balancé à des millions de téléspectateurs pour les faire frémir, c’est le refus de l’hypocrisie d’une justice qui condamne à des peines sans limite, à des peines de mort à peine déguisées. Il y a peu, dix prisonniers longues peines de la centrale de Clairvaux ont même réclamé qu’on rétablisse pour eux la peine de mort parce qu’ils préféraient l’« euthanasie » à une agonie infinie. Avant son évasion de la prison de Moulins, Christophe Khider était libérable en 2045.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas une provocation : c’est des années d’isolement, de transferts aux quatre coins de l’hexagone et un traitement « spécial » pour les prisonniers repris ; cela fait plus de six ans qu’Antonio Ferrara supporte l’isolement dans l’isolement sans jamais voir la lumière du jour, menotté et entravé pour le moindre de ses déplacements, privé de tout contact physique si ce n’est avec vingt-huit surveillants lourdement armés.
Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un coup pour rire, c’est de lourdes peines infligées aux familles et aux proches même lorsqu’ils ne sont pas déclarés complices. C’est le début d’un calvaire carcéral et judiciaire pour ceux qui ont cherché à arracher un emmuré de son tombeau. Comment ne pas comprendre qu’une mère, un frère, des amis, une compagne refusent de laisser crever un proche ?
Une évasion ou une tentative d’évasion c’est des êtres humains enfermés qui veulent retrouver un peu de liberté. Et si on les présente comme des « monstres dangereux et sanguinaires » lâchés dans la nature, c’est pour essayer de faire accepter à tous la prison comme remède aux maux d’une société fondée sur le profit et la soumission. ils construisent dans l’urgence de nouvelles prisons comme hier ils bâtissaient les barres des cités de banlieue : des prisons-école pour les enfants, des prisons-hospice pour les grabataires, des prisons-hôpital pour les « malades mentaux », des prisons-bunker pour les prisonniers dits « dangereux »…
Fin des longues peines
Fermeture des quartiers d’isolement
Solidarité avec les évadés leurs familles et leurs proches
contact : envoleejournall@yahoo.fr
Avant 2018
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (blanc, jaune, rouge) ; photo couleurs en fond (jeunes courant près d’une voiture en flammes) ]
- texte :
Les feux de la révolte
Les fins de mois sont de plus en plus difficiles. On se fait de plus en plus exploiter au boulot pour toujours moins de fric, sucrer les allocs et emmerder sans fin au RMI. Des milliers de personnes sont licenciées, l’âge de la retraite est encore reculé… et pendant ce temps-là l’État arrose les banques et les patrons à coups de milliards.
Le pouvoir lâche ses cow-boys en uniforme qui se croient tout permis à coups de flash-ball, de rafles, d’expulsions, de rackets et de contrôles… tandis que toujours plus de personnes se retrouvent enfermées, que ce soit en hôpital psychiatrique, en centre de rétention ou en prison. Le système impose sa paix sociale en nous vidant le cerveau à l’aide de Prozac, de télévision et de crédits… bref, tout ce qui constitue la violence du quotidien.
Les tensions sociales s’exacerbent et rien n’indique que cela va aller en s’amenuisant.
Les actes de révoltes collectives et individuelles se multiplient aussi :
En mai 2007 par exemple, lors du joyeux bordel des élections présidentielles, un véhicule de police a bien failli être incendié dans le 18e. Trois personnes suspectées dans cette affaire croupissent encore en prison sous l’accusation d’ « association terroriste ».
De même, en juillet dernier après plusieurs mois de révoltes collectives, de mutineries et d’affrontements, des prisonniers ont détruit par le feu le centre de rétention de Vincennes. Sept sans-papiers (peut-être plus) sont inculpés et incarcérés.
Depuis décembre en Grèce, après l’assassinat d’un jeune par les flics, des milliers de révoltés attaquent banques, commerces et commissariats. Occupations, pillages et destructions, manifestations et affrontements se poursuivent.
Solidarité avec les révoltés incarcérés.
Que les feux de la révolte se propagent partout.Manifestation samedi 24 janvier 2009, 15 h à Barbès
Affiche diffusée aussi sur http://www.non-fides.fr/?Les-feux-de-la-revolte (8 janvier 2009).
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- notes :
- descriptif :
texte
illustration (barreaux sur une bouche)
- texte :
Paroles & musiques : venez-vous !
sam 21 nov - 15 h 30 jusqu’à tard
« Je n’ai pas le droit d’en parler. Mais… » Jann-Marc Rouillan, novembre 2008
Après 21 ams de prison et 10 mois de semi-liberté, Jann-Marc Rouillan retourne à la case départ.
Un mot de trop, un « mais » de trop, des mois de plus.
Aujourd’jui malade, il y crève dans le silence.
Après 22 ans de prison, sans aucun jour de liberté, Georges Cipriani reste à la case départ.
Il ne dit pas ce qu’on attend de lui.
Et aujourd’hui, il y crève dans le silence.
Régis Schleicher, après 22 ans de prison, travaille dehors et dors dedans, dans le silence.
Nathalie Ménigon, souffre dans le silence.
Ils ne diront pas ce qu’on veut leur faire dire, et ne peuvent pas dire ce qu’ils voudraient dire…
C’est le silence de la prison… ou la prison du silence.
Alors, si quelques-uns tentent d’écrire une histoire sans témoin, d’autres témoins entendent bien raconter l’histoire.Parole directe
avec l’Équitable Café, au 54 cours Julien, 13006 Marseille
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- notes :
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[ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]
- texte :
Pour des cendres de rétention
La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.
Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.
Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .
Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.
Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.
...Feu à toutes les prisons
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; fond filigrané (trait serré) ; dessin (visage de femme) ]
- texte :
Pour des cendres de rétention
La machine à expulser est une des saloperies, si banale, de la normalité de ce système basé sur l’exploitation et le contrôle. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés. Les centres de rétention sont donc aussi le miroir de la réalité carcérale dans laquelle nous vivons : arrêter et enfermer en masse des sans-papiers, les expulser par milliers, c’est faire pression sur chacun de nous.
Avec leurs barbelés, leurs barreaux, leurs caméras et leurs matons, ces prisons pour étrangers sont de véritables camps démocratiques.
Sous prétexte d’aider les sans-papiers enfermés, la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte viennent de se repartir le marché de l’information juridique contre cinq millions d’euros. Entreprises prestataires de service, elles s’engraissent et participent à la machine à expulser, s’ajoutant à la longue liste de ceux qui tirent déjà profit de l’enfermement (construction, logistique, transport…) .
Au bal masqué de la bonne conscience, le sourire humanitaire de la domination n’est alors que l’autre face de sa matraque.
Ainsi, ces vautours caritatifs n’ont en fait d’autre fonction que d’offrir une gueule plus respectable à l’arbitraire des déportations, et de faire le tri pour le compte de l’État en réduisant la vie à de « bons » et de « mauvais » dossiers.
Sur un principe de délégation, ces illusionnistes de l’évasion juridique garantissent qu’on ne peut sortir des centres qu’en se pliant aux règles du jeu. Ils isolent, séparent et divisent là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes. En somme, ils vont à l’encontre de toute révolte, et se retrouveront inévitablement en travers du chemin de tout amant de la liberté.Dans cette guerre sociale sans trêve, pour subvertir l’ordre de ce monde, brisons le consensus et attaquons tout ce qui fait de nous des indésirables.
...Feu à toutes les prisons
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Pour-des-cendres-de-retention : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, Juin 2009, réactualisée fin Novembre 2009 […] Affiche réactualisée suite aux péripéties judiciaires et à la validation du contrat de la Cimade, France Terre d’Asile, l’Assfam, Forum Réfugiés et l’Ordre de Malte. Exit l’anecdotique Collectif Respect […] Trouvée sur Indy Nantes. » (25 novembre 2009).
Version « lilloise » grand format.
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- notes :
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[ texte ; dessin (cadeau empaqueté offert sur fond de flammes et d’émeute) ]
- texte :
Resto Trottoir — collectif Food not bombs, Besançon
blog : restotrottoir.blogspot.com
Dim. 20 décembre 2009
Repas gratuit pour tous et toutes !
de 12 h 30 à 15 h 30, place Marulaz
+ zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
+ infokiosque : tracts et brochures…
+ discussions, échanges…
+ parfois une surprise : débat, musique, animation, etc.En cas de pluie, cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes
Non à la politique d’exclusion et de répressions !
Nous voulons :
de la bouffe, pas des bombes,
des maisons, pas des prisons…[dessin :]
Brisons l’économie marchande
Parce que nous refusons la commercialisation d’un acte solidaire et humain, ce dimanche, apportons et offrons des trucs et des bidules fait « maison » ou de récupération pour pas un rond !
Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à l’installation (11 h 30) et au repas…
Rejoignez-nous ou contactez-nous :
• à la réunion d’organisation, le premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz
• par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2009/12/prochain-rt-ce-20-decembre-2009.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (prison forteresse : « Et voilà ! Le problème des logements des précaires est résolu ! ») par Titom ]
- texte :
Resto Trottoir
collectif Food not bombs, Besançon
Repas gratuit pour toutes et tous !
blog : restotrottoir.blogspot.comDiscussion — Débat
Les politiques préfèrent utiliser notre argent pour construire des prisons plutôt que des logements décents pour toutes et tous.Échangeons, ce dimanche, nos points de vue et essayons de trouver des solutions en compagnie de La Buanderie de St Ferjeux, accueil de jour.
Dim. 29 nov. 2009
12 h 30, place Marulaz
zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres…
infokiosque : tracts, brochures, discussions, échanges…En cas de pluie, cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes
Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à la distribution, à l’installation (11 h 30) et au repas…
Rejoignez-nous ou contactez-nous :
• à la réunion d’organisation, lee 1ers mercredis du mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte, 5, place Marulaz
• par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2009/11/rendez-vous-en-novembre.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; image ]
- texte :
Mardi 17 novembre 2009
à 20 h 30 Salle Montaigne
Odyssée (NTP) Périgueux
[dessin]
Débat : l’action anti-carcérale dans un système sécuritaire
Avec Nadia Menenger auteure de l’ouvrage « À ceux qui se croient libres » chez l’Insomniaque
Collectif libertaire Marius Lacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
IPNS — Organisateur : CRACS
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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- descriptif :
[ texte ; photo : portrait de Jacob en chapeau-melon ]
- texte :
Soirée projection-débat
Vendredi 18 décembre 2009 à 20 h 30
Alexandre Marius Jacob
film documentaire de Thomas Turner et Laurent Termignon
Engagement, répression, enfermement
Anarchiste illégaliste, partisan de la « reprise individuelle », Alexandre Marius Jacob, membre des Travailleurs de la Nuit, devait payer cher plus de 150 cambriolages spectaculaires, reconnus. Riches et oppresseurs étaient la cible. Lui et ses compagnons avaient déclaré la guerre au monde capitaliste. Une partie des « recettes » était reversée à « La Cause ». 25 ans, 8 mois et 23 jours après son arrestation, la bagnard en Guyane, matricule 34 777, soutenu sans relâche par sa mère, recouvrait la liberté mais n’était toujours pas vaincu…
Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions
Collectif libertaire Marius Jacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
Imprimé par nos soins
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- notes :
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[ texte ; photos (mutins ; barbelés) ]
- texte :
Le centre de rétention administratif de Vincennes était la plus grande prison pour sains-papiers de France. Le 21 juin 2008, un détenu qui avait réclamé en vain des médicaments y est mort. Le lendemain, le 22 juin, au cours d’une révolte collective, le centre est parti en fumée. 10 personnes sont inculpées pour cette révolte. Être solidaire des inculpés de l’incendie de Vincennes, c’est être solidaire de toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, se révoltent contre un monde où des millions de vies sont suspendues à des bouts de papiers.
Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes
Procès
du 25 au 27 janvier
13 h 30 au TGI de Paris, Mº CitéSemaine de solidarité
du 17 au 24 janvier
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (prisonnier face à une mur d’où sortent des bras pour l’aider) par Tardi
montage depuis une autre affiche de 2007 sur Action directe : « Sortons-les ! »
- texte :
Sortons-le
Régis Schleicher, en prison depuis 25 ans
[bandeau rajouté :] Mars1984 ★ Mars 2009
Liberté pour les prisonniers d’Action directe, pour les prisonniers révolutionnaires et les prisonniers de la guerre sociale
Défense active
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photo (centre fermé en flammes)
- texte :
Steenokkerzeel
août 20028 : des prisonniers brûlent le centre fermé 127bis — augustus 2008: gevangenen steken het gesloten centrum 127bis in de fik
Empêchons le construction d’un nouveau centre fermé
Sabotons la machine à expulser
À bas toutes les frontièresLaten we de bouw van een nieuw gesloten centrum verhinderen
Saboteer de deportatiemachine
Weg met alle grenzenLet’s obstruct the construction of a new closed centre
Sabotage th deportation machine
Down with all borders!بالمهاجرين غير الشرعيين لنمنع بناء السجن الحديد الخاص
!لنحرب جهاز التراحيل
!سحقا لكافة الحدودhttp://ennemisdesfrontieres.blogspot.com
http://vijandenvangrenzen.blogspot.com- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
A spectre is haunting us
Time and time again we read about people who attack buildings, cars or the infrastructure of certain institutions in different ways. In the chorus of the media, loyal to the state, they are often considered as „vandals" or „chaots" and if that is not sufficient, then the construct of the terrorist serves to suffocate in advance any possible reasoning behind. That is exactly what happened to the 3 anarchists, who were arrested on 15th of April in Langnau am Albis (Switzerland). Allegedly on the way to attack a research center of IBM. A place among many at which, far from our everyday lives, the deepening of control on the life on this planet is researched at : genetic engineering, surveillance, nanotechnologies…
Why should this be blown up ?
We have been drowned in an technological ’high gloss-nightmare’, in which dead matter weighs more than our lives. The new god that is ruling over everything is the economy. „Economy has to be well" goes the saying, „so that we can feel well also." But behind this basic attitude, that any type of progress would be anyway good, veils the fact, that only few are profiting from that progress. Those who let themselves be exploited day after day, will have noticed by now, that despite all the incredible ongoing research, we are not working less, but simply more efficient. And we are not living more qualitative, but we consume more. With each novelty we are promised a better and simpler life, whereas the following disappointment is compensated by the promising of even more novelties. We crave for fata morganas like someone dying of thirst in a desert.
What is developed in the mentioned IBM center is advancing a level deeper. Because genetically manipulated organisms and nanoparticles, as well as radioactivity of nuclear waste, are incraving themselves irrevocably into this world which we inhabit. It doesn’t need much understanding to see that also these efforts are serving purely
the logic of progress of capitalism. Since the whole planet is under its domination, capitalism is now trying to deepen it - and that to the last detail.Since centuries industrial technology is the essential factor for the reformation of society, and therefore of the economy and the state. Again and again it is supposed to bring alleged solutions for social problems. Social problems that it helped creating. By now it managed to make itself indispensable. Without technology the immense accumulation of commodities and the therefore necessary generalized submission and control of the working mass would be impossible. It didn’t just make the people more alienated towards the world, but also towards themselves. The social order in which we live, functions only by the more and more absurd specialization of our occupations, the more and more extensive control over all living beings, the more and more efficient exploitation of our work capacity and a generalized impoverishment of human relations.
The apparently untouchable justification for that is purely the maintenance of the prevailing. The question for the living conditions is not raised. After all it could persuade us to the realization, that it is not us as individuals who are reason for our sorrow, but the social order and that there has to disappear quite a lot, in order for us to finally breathe freely. We think that social existence doesn’t gain value by technological progress, but by common ethical and social considerations. The development which we strive for, goes towards a life, that lies with us to decide about, without to serve and without to rule. And this development starts with the revolt against everything, which keeps us from doing so.
Therefore we recognize us in the three anarchists, who are now spread out in Swiss prisons. We feel solidarity for each attempt to cast off the shackles in order to stand up against the ongoing annihilation of life and the (self-)enslavement of the human kind. And one of the first shackles that we therefore cast off, is the one of our heads, which makes us believe, that we anyway cannot do anything and which keeps us trapped in lethargy.
Therefore for everyone who - for what reason whatsoever - is fed up with all the social constraints and control, fed up with all the lifeless products and senseless works, the hate that is sown, in order to fight among us, instead of together against the misery. To all those whos hearts is beting faster, when people attack what they think is the origin of their discontent : come out and make visible through the diversity of your forms o sabotage, that something completely different is possible.
Freedom for the three anarchists Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : Ein Schreckgespenst geht um (original German poster)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
tekst
fond gris
photo (avec coupe-boulons/pince monseigneur, barbelés et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur)
5 photos couleurs d’actions et manifestation- texte :
Against deportation centres
Against all prisons
Against borders
Against the State
1 October 2010
Demonstration
4pm - Gare du Midi (South Station) — Brussels Belgium
In Steenokkerzeel, at the end of the airstrip of the airport of Zaventem, the State is buiding a new closed centre (a prison for people without official papers). Constructed like a normal prison (with individual cels and advanced control mechanisms), it is made to imprison the most insubordinate and to serve as a means of pression to suppress the revolts in the other closed centres.
We want neither this new center, nor any prison.during the No Border Camp 25 September - 3 October
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; image (silhouette d’homme avançant contre le vent, parapluie retourné) ]
- texte :
Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison
Il arrive qu’une bourrasque réchauffe l’atmosphère glacée de la résignation quotidienne. Depuis des années, en Belgique comme ailleurs, le temps est à l’orage dans les prisons et les centres fermés pour migrants : mutineries, évasions, incendies…
De l’autre côté des murs, des luttes cherchent à se frayer des chemins dans la rue, des grains de sable tentent d’enrayer les rouages de la machine à expulser.
En mai dernier, des détenus du centre fermé 127bis mettent une nouvelle fois le feu à leurs cellules.Pour garder la température en dessous de zéro, l’État fait construire un nouveau centre fermé spécialement conçu pour les détenus trop chauds. Il viendra s’ajouter aux 6 centres déjà en fonctionnement en Belgique.
Dans le même temps, 10 nouvelles prisons sont en projet de construction, la présence policière augmente dans les rues, les dispositifs de prévention et de contrôle sont perfectionnés pour éviter tout pic de chaleur à l’intérieur comme à l’extérieur des murs.Nous, nous préférons la chaleur d’une révolte à celle d’une couette où nous cacher à jamais pour oublier la froideur du monde.
Nous nous reconnaissons dans l’embrasement d’un quartier quand la police assassine ; dans une grève des écoliers qui refusent d’être formatés ; dans un « Soyons ingouvernables » tagué sur un mur ; dans l’attaque d’un portillon de la STIB ; dans une auto-réduction d’un supermarché où le contenu des caisses est brûlé ; dans le sabotage d’un chantier d’une entreprise qui construit le nouveau centre fermé…
Autant d’actes issus d’histoires, de contextes différents qui peuvent prendre des formes diverses mais qui partagent des désirs en contradiction totale avec ce monde glacé.
Ce sont des coups de vent chauds qui dégagent l’espace pour reparler d’un vieux désir : la liberté. La liberté partagée, celle qui se construit en refusant d’écraser l’autre.
Pour qu’ici, là-bas ces actes de révolte se multiplient et se diffusent,
Pour qu’ici, là-bas, on reprenne l’espace d’expérimenter et de reprendre goût à cette liberté.Que souffle le vent de la révolte !
Paru vers le mois d’août 2010. Même papier que Un camp No Border à Calais (2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos du film ]
- texte :
Mardi 08 juin 2010
Café libertaire exceptionnel
Charlie Bauer rouge bandit
de Fred K. Nicolas - Sycomore Films
À 20 h 30 - Film-débat en présence de Charlie Bauer
[photo « Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent. »]
Né en 1943, Charlie Bauer, enfant des quartiers Nord de Marseille, fut militant aux Jeunesses communistes dans les années cinquante. Il a rompu les amarres quand le PCF a voté les crédits militaires pour mener une guerre coloniale en Algérie. En toute logique, il soutiendra le combat du FLN algérien. Armes au poing, Charlie, adepte de la « propagande par le fait », va aussi attaquer des trains, des banques et des bijouteries pour redistribuer à des gens dans la dèche.
Arrêté en 1962, Charlie Bauer va ronger son frein pendant vingt-cinq ans en prison, dont neuf en Quartier de haute sécurité (QHS). C’est là qu’il rencontra Jacques Mesrine, « l’ennemi public n° 1 », avec qui il luttera contre le système carcéral. Une action qu’il mena de front avec des études supérieures. En prison, Charlie a passé une licence en psychologie, une autre en philosophie et un doctorat d’anthropologie sociale. Libéré en 1988, l’insoumis a publié deux ans plus tard une ardente autobiographie, Fractures d’une vie, rééditée chez Agone. Le réalisateur Fred K. Nicolas a fait son portrait dans Rouge Bandit (2009, 54 mn).
Si les mots ont remplacé les balles, Charlie Bauer reste fidèle à ses combats révolutionnaires et à sa haine des prisons.
Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions
Collectif libertaire Marius Jacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux
Imprimé par nos soins
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo couloir ou rue avec barbelés et policier ]
- texte :
Combattons le racisme d’État
Liberté de circulation et d’installation
Régularisation de tout-te-s les sans papiers, fermeture des centres de rétention
www.c-g-a.org - CGA, Coordination des groupes anarchistes
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte sur fond gris (avec coupe-boulons/pince monseigneur, barbelés et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur) ; 5 photos couleurs d’actions et manifestation ]
- texte :
Contre les centres fermés, contre toutes les prisons
Contre les frontières, contre l’État
1 octobre 2010, manifestation
19 h, gare du Midi, Bruxelles, Belgique
À Steenokkerzeel, en bout de piste de l’aéroport de Zaventem, l’État fait construire un nouveau centre fermé (prison pour sans-papiers). Bâti selon le modèle carcéral (avec cellules individuelles et moyens de contrôle avancés), il a pour but d’enfermer les plus récalcitrants et de se servir de moyen de pression afin de mater les révoltes dans les autres centres fermés.
Nous ne voulons pas de ce nouveau centre, ni d’aucune prison.
pendant le No Border Camp 25 septembre - 3 octobre
Paru vers aout 2010.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
Ein Schreckgespenst geht um
Immer wieder lesen wir von Menschen, die Gebäude, Autos oder Infrastrukturen bestimmter Institutionen auf unterschiedliche Weise angreifen. Im staatstreuen Chor der Medien werden sie oft als "Vandalen" oder "Chaoten" bezeichnet, und falls sie als solche nicht mehr durchgehen, dann greift man eben zum Konstrukt des "Terroristen", um jegliche Diskussion über mögliche Beweggründe im Voraus zu ersticken. Eben dies geschah mit den drei Anarchisten, die am 15. April in Langnau am Albis verhaftet wurden, da sie angeblich unterwegs waren, um ein Zürcher Forschungszentrum der IBM anzugreifen. Ein Ort unter vielen, an dem, fernab von unserem Alltag, an der Vertiefung der Kontrolle über das Leben auf diesem Planeten herumgeforscht wird : Gentechnik, Überwachungs-, Nanotechnologien…
Wieso soll das also in die Luft fliegen ?
Wir sind versunken in einem technologischen Hochglanzalbtraum,wo tote Materie höher gewichtet wird als unser Leben. Der neue, allesbeherrschende Gott ist die Wirtschaft. Ihr muss es gut gehen, heisst es, damit es uns überhaupt erst gut gehen kann. Doch hinter der Grundhaltung, dass jeglicher Fortschritt per se positiv ist, verhüllt sich die Tatsache, dass nur wenige von diesem profitieren. Denjenien, die sich Tag für Tag ausbeuten lassen, dürfte schon längst aufgefallen sein, dass wir trotz all der unglaublichen Forschungen heute nicht weniger, sondern schlicht effizienter arbeiten, und nicht qualitativer leben, sondern mehr konsumieren. Mit jeder Neuheit wird uns ein besseres und einfacheres Leben versprochen, während die anschliessende Enttäuschung mit dem Versprechen von immer weiteren Neuheiten kompensiert wird. Wir lechzen nach Fata-Morganas, wie Verdurstende in einer Wüste.
Das, woran im genannten IBM-Zentrum herumgetüftelt wird, geht noch eine Stufe tiefer. Denn gentechnisch manipulierte Organismen und Nanopartikel, ebenso wie die Strahlungen des Atommülls, schreiben sich fortan unwiderruflich in die Welt ein, die wir bewohnen. Es braucht nicht viel, um zu sehen, dass auch diese Bestrebungen einzig der Fortschrittslogik des Kapitalismus dienen. Nachdem schon längst der ganze Planet unter seiner Herrschaft steht, versucht er diese nun zu vertiefen — und zwar bis ins kleinste Detail.
Die industrielle Technologie ist schon seit Jahrhunderten der wesentliche Faktor der Umgestaltung der Gesellschaft, und somit der Wirtschaft und des Staates. Immer wieder soll sie angebliche Lösungen für soziale Probleme liefern, zu deren Entstehung sie selbst beitrug. Sie hat sich mittlerweile selbst unentbehrlich gemacht. Ohne die Technologie wäre die immense Anhäufung von Waren, und die dafür erforderliche allgemeine Unterordnung und Kontrolle der Arbeitenden unmöglich. Sie hat die Menschen nicht nur gegenüber der Welt sondern auch einander fremder gemacht.
Die soziale Ordnung, in der wir leben, funktioniert nur noch durch die immer absurdere Spezialisierung unserer Tätigkeiten, die immer umfänglichere Kontrolle über das Lebende, die immer effizientere Ausbeutung unserer Arbeitskraft und eine allgemeine Verarmung der menschlichen Beziehungen.
Die scheinbar unantastbare Rechtfertigung dafür ist die blosse Aufrechterhaltung des Bestehenden. Die Frage nach den Lebensbedingungen wird nicht gestellt. Schliesslich könnte sie zur Erkentnis verleiten, dass nicht wir, sondern die soziale Ordnung an unserer Betrübtheit schuld ist, und dass so einiges verschwinden muss, um endlich frei zu atmen. Wir denken, dass einem Zusammen-leben nicht durch technologischen Fort-schritt, sondern unter gemeinsamen ethischen und sozialen Überlegungen Wert zukommt. Die Entwicklung, die wir anstreben, geht einem Leben entgegen, das an uns selbst liegt, ohne zu dienen und ohne zu herrschen — und diese Entwicklung beginnt mit der Revolte gegen alles, was uns davon abhält.
Daher erkennen wir uns in den drei Anarchisten wieder, die nun verteilt in schweizer Knästen sitzen. Wir empfinden Solidarität für jeden Versuch, die eigenen Fesseln abzuwerfen, um der anhaltenden Vernichtung des Lebens und der (Selbst-)Versklavung der Menschen die Stirn zu bieten. Und eine der ersten Fesseln, die wir dazu abwerfen, ist diejenige in unseren Köpfen, die uns glauben macht, wir können ohne-hin nichts tun und uns in der Lethargie gefangen hält.
Darum an alle, die — aus welchen Gründen auch immer — die Schnauze voll haben von all den Zwängen und Kontrollen, von all den leblosen Produkten und sinnlosen Arbeiten, von dem Hass, der gestreut wird, damit wir untereinander kämpfen, anstatt gemeinsam gegen das Elend. An alle, deren Herz höher schlägt, wenn Leute das angreifen, worin sie die Ursache ihrer Unzufriedenheit erkennen : Zeigt euch und lasst an der Vielfalt der Sabotagen erkennen, dass etwas ganz anderes möglich ist.
Freiheit für dir drei anarchisten Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : A spectre is haunting us (Englische Version)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ long texte ; photo (rang de maisons) ; dessin (œil à la paupière mordu par un diablotin) ]
- texte :
Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?
Das Trugbild des sozialen Friedens befleckt sich mit Blut. Im Schatten des gewohnten Laufs der Dinge fordert die herrschende Ordnung ein Leben nach dem anderen. Die Gesetze und ihre Hüter zeigen zur Zeit besonders deutlich, was sie im Wesentlichen schon immer waren : Mörder im Namen des Staates.
Während Menschen apathisch durch die Einkaufsstrassen schlendern, wird in Zürich ein Mann bei einem Ausschaffungsversuch getötet. Inmitten der alltäglichen Belanglosigkeiten, mit denen uns die Medien vollstopfen, lassen Gefängniswärter in Bochuz (VD) einen aufsässigen Häftling in seiner brennenden Zelle ersticken. Doch der eintönige Rythmus der Arbeitswelt lässt kaum Zeit, darüber nachzudenken. Nur wenig später sterben zwei weitere Menschen, diesmal in einem Zürcher und einem Schaffhausener Knast.
Jeder Tod im Knast ist Mord, da er von einer äusseren Gewalt herbeigeführt wird, die sich über uns stellt. Wenn nicht durch den Knüppel eines Wärters, dann durch eine auf wenige Quadratmeter reduzierte Existenz. In Pfäffikon erhängt sich eine Person, die wegen Diebstahls in U-Haft sass. Wieder fällt ein Flüchtling aus dem Frachtraum eines Flugzeuges. Ein 18-jähriger angeblicher Autodieb wird bei Freiburg von den Bullen in einem Hinterhalt erschossen. Und all das ist nur, was hier in den letzten drei Monaten durch die Mauern und Medien sickerte…
Die politischen und juristischen Massnahmen, mit denen man vorgibt, solchen "Missgeschicken" nachzugehen, dienen bloss dazu, den sozialen Frieden zu bewahren. Wieso sollten wir uns noch auf solche Betrügereien einlassen, die uns bloss davon abhalten, die Wut in Revolte umzuwandeln ? In Revolte gegen diesen allzu gewohnten Lauf der Dinge... Das Gefängnis ist Folter, da besteht kein Zweifel, doch was ist mit der Gesellschaft, die es benötigt ? Jene, die solche Morde hinnimmt und rechtfertigt ?
Wir kannten all diese Personen nicht, aber wir kennen die sozialen Verhältnisse, in denen sie unerwünscht waren. Wir kennen die Gesellschaft, die Gefängnisse baut, um den auferlegten Gesetzen Achtung zu verschaffen, um die Störfaktoren im sauberen Funktionieren der Ökonomie zu isolieren und schliesslich, um die Reichen und Mächtigen vor denjenigen zu schützen, die sich entscheiden, das Leben zurückzuholen, das man uns täglich entreisst. Denn nicht nur eingesperrt in Knästen oder in der Konfrontation mit Bullen werden immer wieder Menschen getötet, auch diejenigen, die in dieser auswegslosen Gesellschaft festsitzen, werden konstant auf dem Lebensminimum gehalten. Die Knäste verdeutlichen bloss eine Bedingung, die sich uns überall zeigt, wenn wir ihr ins Gesicht zu blicken wagen : Seit unserer Geburt haben wir der herrschenden Ordnung unsere Pflichten abzubüssen. In der-Schule, bei der Arbeit, vor dem Warenregal… Und mit jedem Ausbruchsversuch laufen wir Gefahr, dass uns die Leine noch enger gezogen wird. Einer solchen, auf Zwang basierenden Ordnung gilt unsere Verachtung — und unsere Angriffslust ! Wir erwarten nichts von ihr. Wir schulden ihr nichts. Was sollte uns verbinden ? Ein Leben ohne Substanz ? Was uns diese Gesellschaft aufzwingt, widert uns an, und Was sie uns anbietet, interessiert uns nicht. Je mögliche Veränderung liegt an uns
selbst.Der Kampf für die Freiheit muss jenseits der Gesetzlichkeit gefochten werden. Dafür gilt es Komplizen zu finden. Dafür gilt es den Feind zu benennen. Die verantwortlichen Institutionen der Einsperrung und Unterdrückung haben einen Namen, ein Gesicht und eine Adresse…
Wir wollen die unzähligen Morde nicht vergessen, nicht bis das letzte Gefängnis und das letzte Verwaltungsgebäude fällt ; nicht bis zum Ende dieser Maschinerie, die täglich weniger durch Zustimmung als durch Gewohnheit aufrechterhalten wird. Die falschen Trennungen zwischen Legal und Illegal, Bürger und Migrant, Wohnblockbewohner und Häftling, Arbeiter und Dieb, Dir und Mir verhindern bloss, das wir uns als Individuen begegnen, die sich als Unterdrückte erkennen. Denn aus solchen Begegnungen kann die Entschlossenheit wachsen, dem entgegenzutreten, worin wir diese Unterdrückung sehen. Sie könnten uns dazu verleiten, das Träumen zu wagen, um auch das Kämpfen zu wagen. Sie könnten schliesslich der alten Idee wieder Kraft einhauchen, dass es zunächst die Revolte gegen jegliche Kontrolle über unser Leben ist, die uns erlaubt, mit der Freiheit zu experimentieren.
Von dem Moment an, wo wir uns ein Zusammenleben vorstellen können, das auf gegenseitiger Hilfe und einer anti-autoritären Sensibilität aufbaut, anstatt auf Leistungsdruck und Ausbeutung ; von dein Moment an, wo wir uns eine Welt ohne Knäste denken können, und somit ein Leben, das an uns selbst liegt — mit all seinen Konflikten und Leidenschaften — ; von dem Moment an haben wir auch die Möglichkeit, es wirklich zu realisieren !
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (lignes de texte aspirés dans un instrument de quête de la Croix Rouge, entouré de barbelés) ]
- texte :
camps, contrôle, expulsions, sans-papiers, roms, charters, rafles, rétention, déportation, prisons, maton
La Croix Rouge collabore aux expulsions :
pas de fric pour les collabos
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Quand-les-croises-voient-rouge-ils (“Quand les croisés voient rouge, ils balancent : de la Croix Rouge à la garde à vue”, 11 juin 2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
collage photo (avec coquelicots, manifestations, …) par Joëlle Aubron
- texte :
Libération immédiate de Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !
Affiche réalisée à partir d’un collage de Joëlle Aubron
Collectifs de soutien aux prisonniers d’Action Directe
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (oiseau blanc)
- texte :
Non au nouveau centre fermé
Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !
La construction d’un nouveau centre fermé a commencé à Steenokkerzeel. Il viendra s’ajouter aux quatre centres fermés déjà existants, à la quarantaine de prisons et aux nombreux centres ouverts gérés par Fedasil et la Croix-Rouge. L’État belge complète ainsi son infrastructure, cherchant du même coup à raffiner le fonctionnement de la machine à expulser.
Sous couvert d’humanité, une immigration de plus en plus choisie est en voie de légalisation, laissant au reste des indésirables le circuit du travail au noir, tout aussi nécessaire au bon fonctionnement de l’économie. Avec ou sans papiers on se fera exploiter par un patron ’belge’ ou ’immigré’, tandis que les divers nationalismes et religions feront tout pour nous séparer, garantissant ainsi l’avenir radieux de ce monde de merde.
Pourtant, si l’on voit les révoltes qui éclatent depuis des années aussi bien dans les centres fermés que dans les prisons, dans la rue et les aéroports, force est de constater que la machine n’est pas si bien huilée que ça. Face à l’enfermement et à des conditions de vie qui s’apparentent souvent cruellement à celles qu’ils ont fui, de plus en plus d’indésirables prennent le chemin de la révolte.
Ainsi se sont succédées mutineries, évasions, attaques contre la police suite à des contrôles, représailles contre divers collaborateurs : ISS-Cleaning, la STIB ou encore la Banque de la Poste. Qui ne se souvient pas par exemple du beau feu de joie de l’été passé ? Le 127bis était presque entièrement parti en fumée. Et c’est justement là, à Steenokkerzeel, que l’État a choisi de construire son nouveau centre fermé spécialement conçu pour les récalcitrants.
L’Etat entretient un silence pesant autour de la construction de ce nouveau camp de concentration. Et pourtant les constructeurs de cette infamie - Besix, Valens, Michiels H. NV., etc. - y mettent les bouchées doubles. Alors n’attendons pas qu’il soit trop tard.
Sabotons la machine à expulser !
Détruisons toutes les frontières !
disponible en néerlandais
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Liberté de parole, libération de Jean-Marc Rouillan]
[Liberté de parole, libération de Jean-Marc Rouillan] / Thierry Guitard. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[À bas toutes les prisons]
[À bas toutes les prisons]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[À bas toutes les prisons !!]
[À bas toutes les prisons !!] / Mathieu M.. — Lille : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), [ ?]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2008 |
![]() 2010 |
![]() 2009 |
![]() 2012 |
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[About the destruction of the isolation unit in Brugge]
[About the destruction of the isolation unit in Brugge]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics…]
[Dans ce monde moisi, il serait malvenu de pleurer la carcasse cramoisie d’une voiture de flics…]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Elk individu telt]
[Elk individu telt] / Pier. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Il faut que tout ça serve à quelque chose]
[Il faut que tout ça serve à quelque chose]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Envolée (l’), [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Les feux de la révolte]
[Les feux de la révolte]. — Paris : Mauvaises intentions, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 61 × 40 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Paroles & musiques, venez-vous !, samedi 21 novembre 2009 avec l’Équitable Café, Marseille]
[Paroles & musiques, venez-vous !, samedi 21 novembre 2009 avec l’Équitable Café, Marseille]. — Marseille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 15 × 42 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : noir , brun ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2011 |
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]
[Pour des cendres de rétention... feu à toutes les prisons]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2011 |
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 20 décembre 2009]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 20 décembre 2009]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 novembre 2009]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 novembre 2009] / Titom. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soirée anticarcérale, 17 novembre 2009]
[Soirée anticarcérale, 17 novembre 2009]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Sortons-le ! : Régis Schleicher en prison depuis 25 ans]
[Sortons-le ! : Régis Schleicher en prison depuis 25 ans] / Jacques (1946-....) Tardi. — Paris : Défense active : Ne Laissons Pas Faire ! (NLPF), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 50 × 30 cm.
sources :
![]() 2007 |
![]() 2007 |
[Steenokkerzeel : Empêchons le construction d’un nouveau centre fermé = Laten we de bouw van een nieuw gesloten centrum verhinderen = Let’s obstruct the construction of a new closed centre = بالمهاجرين غير الشرعيين لنمنع بناء السجن الحديد الخاص]
[Steenokkerzeel : Empêchons le construction d’un nouveau centre fermé = Laten we de bouw van een nieuw gesloten centrum verhinderen = Let’s obstruct the construction of a new closed centre = بالمهاجرين غير الشرعيين لنمنع بناء السجن الحديد الخاص]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Ennemis des frontières = Vijanden van alle grenzen, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[A spectre is haunting us]
[A spectre is haunting us]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Against deportation centres, against borders, 1 October 2010]
[Against deportation centres, against borders, 1 October 2010]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 60 cm.
sources :
![]() [ca 2012] |
[Café libertaire exceptionnel, Charlie Bauer Rouge Bandit]
[Café libertaire exceptionnel, Charlie Bauer Rouge Bandit]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Combattons le racisme d’État]
[Combattons le racisme d’État]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 40 × 60 cm.
sources :
[Contre les centres fermés, contre toutes les prisons ; contre les frontières, contre l’État : manifestation 1er octobre 2010]
[Contre les centres fermés, contre toutes les prisons ; contre les frontières, contre l’État : manifestation 1er octobre 2010]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 63 × 43 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Ein Schreckgespenst geht um]
[Ein Schreckgespenst geht um]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[La Croix Rouge collabore aux expulsions : pas de fric pour les collabos]
[La Croix Rouge collabore aux expulsions : pas de fric pour les collabos]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Libération immédiate de Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !]
[Libération immédiate de Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !]. — Paris : Collectifs de soutien aux prisonniers d’Action Directe, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 59 cm.
sources :
[Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]
[Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , vert , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
![]() [ca 2010] |
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 25 avril 2010]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 25 avril 2010]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.