France

 

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Affichage par année

4578 affiches :

 


    [Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]. — Montpellier : Rapports de force, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

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    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (manifestant avec fumigène)

    texte :

    Lisez l’info pour les mouvements sociaux

    grève — lutte — sans-papiers - solidarité - féminisme - syndicats - répression - environnement - extrême droite - capitalisme - libertés

    Rapports de force

    [logo du site] — rapportsdeforce.fr — [lien QR Code]


    sources :

    Il existe une version autocollant
    https://rapportsdeforce.fr/le-coin-des-fans :

    Notre affiche
    Idéale sur votre panneau d’affiche syndical, pas si mal sur le frigo de votre colloc, parfaite dans le local militant ou la librairie sympa de votre commune, voici notre dernière production : l’affiche Rapports de force. Notre arme anti-algorithme pour 2022. Une façon de contourner les plateformes de type Facebook ou Twitter qui décident à votre place de ce que vous allez voir. Ici, du direct, les yeux dans les yeux. Ou plutôt les yeux sur nos affiches.
    – Nous vous la proposons en téléchargement dans sa version couleur. Il suffit de cliquer sur l’image. Vous pouvez donc en imprimer autant de copies que de lieux à décorer. Et pourquoi pas, en grand nombre pour égayer les rues de votre ville.
    – Il est également possible de la commander dans son format 60 cm par 40 cm ou dans sa version autocollant que nous vous enverrons par La Poste. Il suffit de faire un paiement ICI en précisant la nature de votre commande dans les commentaires.
    Affiches (frais de ports inclus)
    Lot de 3 affiches pliées : 2.50 €
    Lot de 7 ou 8 affiches pliées : 5 €
    (Pour des lots de 30, 60 ou 150 affiches à coller dans votre villes, nous contacter).
    Autocollants (frais de ports inclus)
    5 autocollants : 2€
    30 autocollants : 5€
    80 autocollants : 8€
    150 autocollants : 12€





    [Plutôt squatteur et mauvais payeur qu’expulseur et spéculateur]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plutôt squatteur et mauvais payeur qu’expulseur et spéculateur]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

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    notes :
    descriptif :


    texte

    vignettes (gravures de maisons sur des échelles)

    texte :

    Plutôt squatteur et mauvais payeur qu’expulseur et spéculateur

    C’est la merde. Tous les prix augmentent, beaucoup de gens galèrent de plus en plus à payer les factures, les courses… et aussi le loyer. Avoir un toit sur la tête ne devrait pas être un luxe. Mais vu que ç’en est devenu un, certain-es par choix ou par nécessité arrêtent de payer leur loyer, ou squattent des maisons vides.

    Alors ces dernières années l’État a mis en place plusieurs nouvelles lois qui protègent les rentier-e-s et propriétaires, rendant de plus en plus difficile le fait de squatter et pénalisent celleux qui essaient. La dernière loi en date a pour but affiché de mettre en prison les squatteur-ses, ainsi que d’expulser les locataires au bout d’un mois d’impayé.

    Et pour rendre tout ça acceptable, les médias et la bourgeoisie créent des mythes : les malheureux-ses petit-es proprios qui, chassé-e-s de leurs maisons alors qu’iels étaient juste parti-e-s en vacances, se retrouveraient à la rue. Ces histoires mensongères et larmoyantes créent de l’empathie chez plein de gens qui ont peur de travailler toute leur vie pour finir par se faire "voler" leur maison par des méchantes squatteuses.

    Mais si t’as une maison que t’as galéré a te payer, ben t’habites dedans, non ?

    La réalité est loin du mythe. les bâtiments ou maisons squattées sont en grande majorité des lieux abandonnés depuis des années ! Souvent c’est des multi proprios qui les laissent vides car ça prend de la valeur avec le temps et qu’iels pourront revendre plus cher plus tard : ça s’appelle la spéculation.

    Squatter ou ne pas payer son loyer c’est ne pas respecter les règles du jeu de ce monde de merde qui est basé sur la thune, la propriété privée, la compétition…

    Alors ça serait tricher, ça serait injuste : si certains galèrent et travaillent autant, pourquoi d’autres pourraient avoir un toit sans payer ?

    Parce que les seul.es qui gagnent à ce petit jeu c’est les riches et toutes celles qui ont un intérêt à maintenir l’ordre existant. Bien content-e-s que la colère soit dirigée sur ceux qui trichent plutôt que sur eux. Parce ce que ce jeu dégueulasse bousille les corps et les cœurs. On veut essayer de faire autrement, on a pas envie de perdre notre vie à la gagner !

    Parce que squatter ça permet de vivre dans des baraques qu’on pourrait jamais se payer ni même louer Parce qu’on galère à payer un logement ou juste à l’obtenir, qu’on a pas d’alternative ou pas les bons papiers Parce qu’on a besoin d’espaces où l’on peut s’organiser contre ce monde et se rencontrer Parce qu’il y a plein de maisons vides (3,5 millions en france), alors pourquoi se gêner … !

    Et même si ça devient plus difficile et que ça fait peur, on cherchera toujours des ruses pour refuser de jouer selon leurs règles ! On continuera à s’entraider et a créer des solidarité au quotidien et face a la répression ! On se laissera pas faire et que ceux qui profitent de la propriété privée et la défendent sachent que ça ne sera pas sans conséquences !

    Face à la répression et aux expulsions, la solidarité est une arme


    sources :
     














    [Révolte féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolte féministe]. — Paris : UCL_ (Union communiste libertaire), [ & ante] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 84 × 60 cm.

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    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (visage de femme et son poing levé) ]

    texte :

    Violences machistes

    Révolte féminine

    [logo merle noir et violet] Union communiste libertaire

    Antipatriarcat Autogestion
    www.unioncommunistelibertaire.org

    Ne coller que sur les endroits autorisés, conformément au Code l’environnement.

    [imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :

    Existe en deux formats : 84×60 (A1) et 60×42 (A2)


    2017

    [ 2020 & ante]
    Affiches liées


    [Révolte féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolte féministe]. — Paris : UCL_ (Union communiste libertaire), [ & ante] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (visage de femme et son poing levé) ]

    texte :

    Violences machistes

    Révolte féminine

    [logo merle noir et violet] Union communiste libertaire

    Antipatriarcat Autogestion
    www.unioncommunistelibertaire.org

    Ne coller que sur les endroits autorisés, conformément au Code l’environnement.

    [imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :

    Existe en deux formats : 84×60 (A1) et 60×42 (A2)


    [ 2020 & ante]

    2017
    Affiches liées



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, nº 4, mai 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, nº 4, mai 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    nº 4, mai 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre le virus de l’enfermement

    […]

    Pour construire des prisons, il faut une boîte de BTP

    […]

    Des révoltes dans les prisons

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-Rasa-4.cleaned.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, nº 5, octobre 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, nº 5, octobre 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    nº 5, octobre 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Smart city : une ville en circuit fermé

    […]

    Besançon : sur l’incarcération d’un compagnon anarchiste

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-rasa-5.cleaned.pdf





    [« Surplus, terrorized into being consumers » : projection et débat]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    « Surplus, terrorized into being consumers » : projection et débat]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; consommation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Gandini, Erik  ; Zerzan, John (1943-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (scène de « Cène » avec des chefs d’État et de gouvernement autour du président Bush : Chirac, Aznar, Berlusconi, Poutine, …) ]

    texte :

    Resto Trottoir : projection et débat

    le Food Not Bombs de Besançon

    entrée libre

    Surplus, terrorized into being consumers

    Mercredi 30 septembre 2020
    Librairie L’Autodidacte

    Surplus : Terrorized Into Being Consumers est un film documentaire suédois d’Erik Gandini sorti en 2003, qui porte sur les questions du consumérisme et de la mondialisation. Le film traite des arguments en faveur du capitalisme et du progrès technique, comme une plus grande efficacité qui laisserait plus de temps et permettrait de moins travailler, pour juger finalement que cet objectif n’est pas atteint.
    Cette conclusion est atteinte à travers un tour du monde passant entre autres par un retour sur les émeutes anti-G8 de Gênes de 2001, un panorama de la situation cubaine sous Fidel Castro et un reportage dans les chantiers de démantèlement de navires d’Alang.
    Un temps de parole important est également accordé au philosophe américain John Zerzan, défenseur du primitivisme.
    Collage, manipulation des sons et des synchronisations, répétitions suggestives, montage incisif, musique dub et électro, slogans martelés... le film utilise les mêmes techniques que la publicité et les shows télévisés. Ironique à souhait, le documentaire interroge (plus qu’il ne dénonce) sur notre rapport à la consommation et nos désirs de décroissance...

    blog : restotrottoir.blogspot.com
    contact mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2020/09/rentree-libertaire-surplus-terrorized.html







    [Commune de Paris : place au peuple, place à la Commune ! La Commune est proclamée !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Commune de Paris : place au peuple, place à la Commune ! La Commune est proclamée !]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 84 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolution
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Vallès, Jules (1832-1885)
    • Presse citée  : Vive l’anarchie (2020-....)
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (affiche originale de 1871, utilisée pour une exposition à Rennes en 2021)

    texte :

    RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
    nº 44 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — nº 44

    COMMUNE DE PARIS

    CITOYENS,

    Votre Commune est constituée.

    Le vote du 26 mars a sanctionné la Révolution victorieuse.

    Un pouvoir lâchement agresseur vous avait pris à la gorge : vous avez, dans votre légitime défense, repoussé de vos murs ce gouvernement qui voulait vous déshonorer en vous imposant un roi.

    Aujourd’hui, les criminels que vous n’avez même pas voulu poursuivre abusent de votre magnanimité pour organiser aux portes même de la cité un foyer de conspiration monarchique. Ils invoquent la guerre civile ; ils mettent en œuvre toutes les corruptions ; ils acceptent toutes les complicités ; ils ont osé mendier jusqu’à l’appui de l’étranger.

    Nous en appelons de ces menées exécrables au jugement de la France et du monde.

    CITOYENS,

    Vous venez de vous donner des institutions qui délient toutes les tentatives.

    Vous êtes maîtres de vos destinées. Forte de votre appui, la représentation que vous venez d’établir va réparer les désastres causés par le pouvoir déchu : l’industrie compromise, le travail suspendu, les transactions commerciales paralysées, vont recevoir une impulsion vigoureuse.

    Dès aujourd’hui, la décision attendue sur les loyers ;

    Demain, celle des échéances ;

    Tous les services publics rétablis et simplifiés ;

    La garde nationale, désormais seule force armée de la cité, réorganisée sans délai.

    Tels seront nos premiers actes.

    Les élus du peuple ne lui demandent, pour assurer le triomphe de la République, que de les soutenir de sa confiance.

    Quant à eux, ils feront leur devoir.

    Hôtel-de-Ville de Paris, le 29 mars 1871.

    LA COMMUNE DE PARIS,

    IMPRIMERIE NATIONALE - Mars 1871.


    Place au peuple, place à la Commune !

    La Commune est proclamée !

    Elle est sortie de l’urne électorale, triomphante souveraine et armée. Les élus du peuple sont entrés dans le vieil Hôtel de Ville qui a entendu le tambour de Santerre et la fusillade du 22 janvier sur cette place où le sang des victimes de l’honneur nationale et de la dignité parisienne vient d’être essuyé par la poussière soulevée en ce jour de fête sous les pas des bataillons victorieux.

    On n’entendra plus le roulement du tambour de Santerre ; les fusils ne brilleront plus aux fenêtres de l’hôtel communal et le sang ne tachera plus la place de Grève si nous le voulons. Et nous le voulons, n’est-ce-pas citoyens ? La Commune a été proclamée. L’artillerie sur les quais tonnait ses salves au soleil qui dorait leur fumée grise sur la place. Derrière les barricades, où se tenait debout la foule : hommes saluant du chapeau, femmes saluant du mouchoir, le défilé triomphal, les canons abaissant leurs gueules de bronze, humbles et paisibles, craignant de menacer la foule joyeuse.

    Devant la façade sombre, dont le cadran a sonné tant d’heures qui sont maintenant des siècles et au vu de tant d’événements qui sont aujourd’hui l’Histoire, sous ces fenêtres peuplées d’assistants respectueux, la garde nationale défilait luit jetant les vivats de son enthousiasme tranquille et fier. Au-dessus de l’estrade se tenait les élus du peuple, braves gens à la tête énergique et sérieuse ; le buste de la République, qui se détachait blanc sur la tenture rouge, regardait impassible reluire cette moisson de baïonnettes étincelantes au milieu de laquelle frissonnaient les drapeaux et les guidons aux couleurs éclatantes, tandis que montaient dans l’air le bourdonnement de la cité, les bruits du cuivre et de la peau d’âne, les salves et les acclamations.

    La Commune est proclamée dans une journée de fête révolutionnaire et patriotique, pacifique et joyeuse, d’ivresse et de solennité, de grandeur et d’allégresse, digne de celles qui ont vu les hommes de 93 et qui console de vingt ans d’Empire, de six mois de défaites et de trahisons. Le peuple de Paris debout en armes, a proclamé la Commune, qui lui a épargné la honte de la capitulation, l’outrage de la victoire prussienne et qui le rendra libre comme elle l’eût rendu vainqueur.

    Que n’a-t-elle été proclamée le 31 octobre ! Qu’importe ! Morts de Buzenval, victimes du 22 janvier, vous êtes vengés maintenant !

    La Commune est proclamée. Les bataillons qui spontanément, débordant des rues, des quais, des boulevards, sonnaient l’air les fanfares des clairons, faisant gronder l’écho et battre les cœurs avec les roulements du tambour, sont venus acclamer et saluer la Commune, lui donner cette promulgation souveraine de la grande revue civique qui défie Versailles, remontent l’arme sur l’épaule vers les faubourgs, remplissant de rumeurs la grande ville, la grande ruche.

    La commune est proclamée. C’est aujourd’hui la fête nuptiale de l’idée et de la révolution. Demain citoyen-soldat pour féconder la Commune acclamée et épousée la veille, il faudra reprendre, toujours fier, maintenant libre, sa place à l’atelier ou au comptoir.

    Après la poésie du triomphe, ma prose du travail.

    Jules Vallès / Le Cri du peuple, 30 mars 1871


    sources :

    Affiche parue en page centrale de Vive l’anarchie nº 3 (vers mai-juin 2021), journal prix libre également encarté dans Le Monde libertaire :
    http://www.etvlan.org/Fichiers/Affiches/AfficheVLAN3A1W.jpg
    http://www.etvlan.org/Fichiers/Journaux/VLAN3A3W.pdf


    1871
    Affiche liée




    [Cortège VNR au sein de la manif du 6 mars 2021]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Cortège VNR au sein de la manif du 6 mars 2021]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : sexisme et homophobie  ; sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessins (poissons)

    texte :

    08/03 journée de lutte contre le patriarcat

    Cortège VNR au sein de la manif du 6 mars 2021

    Hé !

    Si tu ne te reconnais pas dans un féminisme qui ferme
    les yeux face les oppressions autres que le sexisme et
    qui nie nos différences pour être acceptable aux yeux de
    l’État, rejoins-nous !

    On ne veut pas d’un féminisme qui nous fait violence
    en rendant toujours invisible les plus précaires.
    On veut d’un féminisme pour toustes quelque soit
    notre genre, notre classe, notre religion, notre nationalité,
    la situation de nos papiers. Peu importe qui on baise ou
    pas, gratuitement ou comme taf. Quelque soit notre âge,
    notre corps, notre poids, notre casier judiciaire. Qu’on
    soit « valide » ou pas. Sans ou avec enfants.

    Tous les jours, toutes les nuits,
    on veut tout et on le prendra !

    Retrouvons-nous, rencontrons-nous dans un
    cortège féministe autonome, libre et flamboyant !

    RDV samedi 6 mars à 14h Porte de Paris
    derrière la banderole avec des chiots
    Cortège en mixité choisie sans mec cisgenre
    Dress code : Noir à paillette !


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article33315



    [Débat « Penser ensemble » à l’Anamorphose]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Débat « Penser ensemble » à l’Anamorphose]. — Liévin ; Lille : Anamorphose, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; contrôle social  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Dardot, Pierre  ; Sauvêtre, Pierre
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (couverture de livre : dessin d’homme — sous le buste — assis sur une chaise aux très hauts pieds) ; livre de Christian Laval, Haud Guéguen, Pierre Dardot et Pierre Sauvêtre dans la collection « Futur proche » chez Lux éditeur (Montréal, 2021)

    texte :

    Le Choix de la guerre civile : une autre histoire du néolibéralisme

    Débat « Penser ensemble » de Cliss XXI
    avec Pierre Dardot et Pierre Sauvêtre

    Vendredi 10 septembre à 18 h 30

    À l’Anamorphose
    48, rue du Long-Pot à Lille (métro Fives)

    [image couv.] Cet ouvrage aborde le néolibéralisme sur le terrain qui, dès ses origines, fut le sien : le choix de la guerre civile en vue de réaliser le projet d’une pure société de marché. Une guerre de domination polymorphe qui sait parfois se doter des moyens de la coercition militaire et policière, mais qui se confond souvent avec l’exercice du pouvoir gouvernemental et qui se mène dans et par les institutions de l’État.

    Renseignements : contact@cliss21.com


    sources :

    « Cliss xxi » : Pour une informatique libre, sociale et solidaire
    https://www.cliss21.com/site/