France

 

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Affichage par année

4365 affiches :

 









    [Soirée projection : L’Explosion]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Soirée projection : L’Explosion]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 30 × 42 cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo de l’affiche du film ? (visage sur fond de centrale nucléaire) ]

    texte :

    Soirée projection : L’Explosion

    L’Explosion, un film documentaire de Jérôme Champion, 52 minutes

    Quand une partie de l’histoire du nucléaire en France rencontre une partie de l’histoire ouvrière, cela peut provoquer une explosion d’un cocktail étonnant, mélangeant les peurs de l’explosion nucléaire, les mécontentements de l’explosion sociale et les départs discrets de l’explosion territoriale.

    Le film L’Explosion est retourné à Chooz, dans les Ardennes, 25 ans après que s’y soit déroulée une virulente opposition à la construction de la centrale nucléaire. Nous avons suivi Jean Noël qui milita alors contre l’installation de cette centrale nucléaire.

    Avec lui, petit à petit nous retrouvons celles et ceux qui ont lutté. Une série de onze portraits se dessinent, et à travers eux, l’histoire des luttes de Chooz et de Vireux nous est relatée. 25 ans après, bien plus qu’une histoire qui nous est racontée, c’est sur notre actualité que nous nous interrogeons.

    Mercredi 23 janvier 2019

    Accueil à partir de 19h30 - Projection à 20 h - Entrée prix libre

    Au Centre Culturel Libertaire, 4 rue de Colmar à Lille - M° Pte des Postes


    sources :

    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article3884



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 1, mai 2019]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 1, mai 2019]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 1, mai 2019
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Humaniser les prisons pour toujours plus enfermer !

    […]

    À Condé-sur-Sarthe, enfermement rime avec vengeance

    […]

    Pour bâtir des prisons, il faut des architectes

    […]


    sources :

    https://sansattendre.noblogs.org/archives/8158
    https://cras31.info/IMG/pdf/caen_tabula_rasa_1_et_2.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 2, octobre 2019]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 2, octobre 2019]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 2, octobre 2019
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre l’enfermement, abattons les frontières !

    […]

    Brèves de révoltes en centres de rétention

    […]


    sources :

    https://sansattendre.noblogs.org/archives/9328
    https://cras31.info/IMG/pdf/caen_tabula_rasa_1_et_2.pdf






    [Ceci n’est toujours pas une bavure]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ceci n’est toujours pas une bavure]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 90 cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (placage musclé par deux policiers antiémeutes) montage de 3 format A3 ]

    texte :

    202-2020, 284 personnes tuées kirs d’interventions policières

    fig. 1 : bis repetita placent

    « Ceci n’est toujours pas une bavure »


    sources :

    Collage d’octobre 2020
    https://iaata.info/Lille-Collage-de-soutien-aux-7-de-Toulouse-4452.html :

    Lille : Collage de soutien aux « 7 de Toulouse »

    A l’image de ce qui a été fait à Marseille le 13 octobre (https://iaata.info/Solidarite-avec-les-sept-de-toulouse-4444.html), nous voulions nous aussi manifester notre soutien aux toulousain-e-s ayant subit la répression étatique.

    Nous nous sommes donc baladés dans différents quartiers de Lille pour coller les fameuses affiches : « le feu tue les virus brûle ton comico », « ne relevons pas l’économie détruisons-la ! », « avec ou sans masques ce monde est irrespirable, détruisons ce qui nous étouffe », etc.

    Nous avons aussi collé des affiches dénonçant les violences policières et citant le nom de toutes les victimes tuées par la police, sous Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron.

    Le collage a été accompagné de quelques tags de soutien, dans le centre-ville, à Fives, Moulins, Wazemmes, ou encore Lille-Sud.

    Une pensée pour les personnes accusé-e-s.
    Crève la taule !
    Force aux copaines à l’ombre et à celles qui se battent à l’extérieur.



    [Chèr.e.s frères et sœurs ; chèr.e.s ennemi.e.s et ami.e.s]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Chèr.e.s frères et sœurs ; chèr.e.s ennemi.e.s et ami.e.s]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 15 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; gravure (manifestation de black bloc, caméra de surveillance brisée par un avion en papier, drone capturé par un oiseau, …) par rox ? ]

    texte :

    Chèr.e.s frères et sœurs ; Chèr.e.s ennemi.e.s et ami.e.s. Pourquoi sommes nous si seul.e.s ici ? Tout ce dont nous avons besoin est d’un peu plus d’espoir, un peu plus de joie. Tout ce dont nous avons besoin est d’un peu plus de lumière, un peu moins de poids, un peu-plus de liberté.

    Si nous étions une armée, et si nous pensions que nous étions une armée et si nous croyons que tout le monde avais peur comme de jeunes enfants perdus dans leurs habits et. leurs postures d’adultes. Alors nous sommes arrivé.e.s ici seules, flottant.e.s• à travers de longues journées perdues et de grandes tribulations pendant que tout semblait faux.

    Des bons mots, des mots forts, des mots qui auraient pu bouger des montagnes ! Des mots que personne n’a jamais dit et que nous attendions tou.te.s d’entendre. Personne ne les a dit, et les tactiques n’ont jamais éclos, les.. plans n’ont jamais été faits, et nous avons appris à ne pas croire. Et d’étranges monstres solitaires galopent dans les collines se demandant pourquoi, mais il vaux mieux ne jamais au grand jamais, jamais, jamais, jamais se demander pourquoi.

    Alors enveloppe, O enveloppe nous de rubans écarlates ! Ayons une parade. ça fait si longtemps que nous n’en avons pas eu. Faisons une parade ! Invitons tou.te.s nos ami.e.s et les ami.e.s de nos ami.e.s ! Promenons nous en descendant les boulevards avec une fierté terrible et de la lumière dans les yeux. Géant.e.s et titubant.e.s, malades de joie, avec les anges et de la lumière dans nos yeux.

    Frères et sœurs, l’espoir attends toujours au tournant, comme une vieille mégère. Impatiente, seule et tremblante, dans l’attente de construire ses glorieuses flammes.

    C’est à cause de nos plans, nos plans ridiculement magnifiques. Faisons les décoller comme des avions à réactions, les fracassant tous dans la rivière. Construisons des machines étranges et radieuses contre cette Jericho qui n’attend que de tomber. »

    Thee Silver Mt. Zion
    Built then burin (Hourra !)


    sources :

    Lille ?, 2020. Imprimé sur des chutes d’impressions de cahiers de livre.



    [Chroniques sur cordes : rencontre et discussion avec Éric Louis]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Chroniques sur cordes : rencontre et discussion avec Éric Louis]. — Lille : Anamorphose, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : édition  ; luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Louis, Éric
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (chantier de charpenterie métallique)

    texte :

    Le métier de cordiste est mal connu. Pourtant les occasions ne manquent pas de nous apercevoir. Nous sommes celles et ceux qui s’agitent suspendu.e.s à nos cordes au dessus des têtes passantes, pansant ici un bout de cheminée récalcitrante, intervenant là pour un casse-goutte en fin de vie, un dispositif anti-pigeon ou une peinture inhospitalière… Nous contribuons à la survie de la ville en repoussant son délitement permanent… Mais aussi au bon fonctionnement de la production industrielle dans un envers conduisant parfois à de graves accidents…

    Dans la profession les tentatives d’organisation sont timides, voir inexistantes. Dans un secteur où une large partie des ouvrier.es sont intérimaires, difficile de se rencontrer et de tisser des complicités pouvant permettre de se défendre collectivement. D’autant que la multiplicité des couches nous séparant de nos patrons (boite-d’intérim, client, entreprise utilisatrice…) semblent volontairement destinées à empêcher tout conflit direct.

    L’Anamorphose
    48, rue du Long-Pot, Lille Fives
    anamorphose.noblogs.org
    alille@riseup.net

    samedi 01 février - 16 h

    Depuis 1 an un îlot de résistance tente de faire face. Regroupé.es autour de l’association « Cordistes en colère, cordistes solidaires » des cordistes s’organisent pour construire une lutte et créer un réseau de solidarité sur l’ensemble du territoire.

    Rencontre et discussion avec Éric Louis co-fondateur de l’association, en partant de la présentation de son dernier livre
    Chroniques sur Cordes


    sources :

    https://anamorphose.noblogs.org/chroniques-sur-cordes/
    https://anamorphose.noblogs.org/files/2020/01/Affiche2-768x543.jpg





    [Discussion publique autour des livres « Fragmenter le monde » et « Itinérances »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Discussion publique autour des livres « Fragmenter le monde » et « Itinérances »]. — Lille : Anamorphose, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

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    • Noms cités (± liste positive)  : Rafanell i Orra, Josep
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin

    texte :

    Discussion publique

    samedi 20 avril à 16 h

    autour des livres
    Fragmenter le monde
    et
    Itinérances

    en présence de Josep Rafanell i Orra

    À l’Anamorphose

    48, rue du Long-Pot - Lille - Ⓜ Fives


    Fragmenter le monde

    Le régime de l’économie tend à unifier les être, les choses et les territoires en réduisant chacun à une valeur, dans un seul monde Un. Paradoxalement, cette unification est indissociable d’un processus d’atomisation, construisant les êtres en autant d’individus isolés, censés ne pouvoir se lier que dans le prisme de la valeur.

    Dès lors, se battre contre ce régime que l’on nomme communément « capitalisme », consisterait à faire le geste de fragmentation, c’est-à-dire à adopter et cultiver une perception fragmentée du monde.

    Le livre Fragmenter le monde de Josep Rafanell i Orra nous invite à repenser les termes du politique, en percevant des mondes différents, ayant leur langage propre et leur singularité. La notion de monde désigne ici la façon que les êtres ont de se rapporter à leur milieu. Il s’agit de quitter la vision anthropocentrée posée par le régime capitaliste pour considérer la manière dont les humains habitent leur territoire, se rapportent aux êtres qui le peuplent et aux histoires de ces lieux. Si une multiplicité de monde existe, il s’agit de savoir comment naviguer à travers eux, comment faire des passerelles entre des mondes, et à l’inverse construire un rapport antagoniste contre ceux qui dénient la possibilité des mondes amis.

    L’une des manières d’aller à la rencontre d’un autre monde est de développer une politique de l’enquête, c’est-à-dire une manière de partager les expériences. L’enquête est indissociable du récit de l’enquêteur : « L’enquête est forcément une affaire de collectifs. Le retour d’expérience auquel est conduit l’enquêteur, la transmission, engage des communautés qui se transforment en réorientant les situations qu’elles habitent. ».

    Si Fragmenter le monde se situe sur un plan théorique, les réflexions que l’essai engage gagnent en consistance avec l’ouvrage collectif Itinérances. Réunissant une quinzaine de textes, ce recueil s’articule autour de différentes expériences, notamment autour de pratiques de soins, de manières de faire communauté et, ce faisant, nous pousse à repenser la question du communisme.

    Nous vous invitons à venir découvrir ces deux ouvrages et, à partir des réflexions qu’ils engagent, à discuter de nos manières de nous lier, de partager nos expériences et d’interroger nos pratiques politiques.

    alille@riseup.net


    sources :

    https://anamorphose.noblogs.org/discussion-publique-autour-des-livres-de-fragmenter-le-monde-et-itinerances/
    https://anamorphose.noblogs.org/files/2020/10/affiche2.cleaned-1024x724.jpg







    [La Pétroleuse : expression murale anarchiste, numéro 6, janvier-février 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Pétroleuse : expression murale anarchiste, numéro 6, janvier-février 2020]. — Clermont-Ferrand : La Pétroleuse (2017-2020), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    texte

    logo (silhouette de sorcière en vol sur son balai avec une chauve-souris)

    texte :

    Expression murale anarchiste - Clermont-Ferrand et environs — Numéro 6, janvier-février 2020

    La Pétroleuse

    « De mon temps, temps de misère et de vanité, les laquais sont plus arrogants que les maîtres » Ernest Cœurderoy


    Départ 10 h, place du 1er mai…

    Quelques matinées de décembre, puis de janvier, dans les rues clermontoises. La même grisaille. Mais une grisaille à marée humaine. Dans cette marée, la même rengaine. Les mêmes slogans. Les mêmes pancartes. Les mêmes bureaucrates syndicaux. La même masse qui suit les chefs. Et même une bande de djeuns, nostalgiques de Mao et Staline, sans parler des maton-nes syndiqué-es FO… La multiplication de drapeaux de toutes les couleurs n’enlève rien à la grisaille.

    Des milliers de personnes « prennent la rue » contre une nouvelle réforme. Ça faisait longtemps. Mais tout change pour que rien ne change. La seule chose différente, ce sont quelques gilets jaune fluo, entre drapeaux français et slogans « anticapitalistes » (!)... Et la même promenade pour terminer devant la même préfecture, avec les mêmes discours des mêmes salariées du syndicalisme. Puis retour à la maison.

    Depuis combien d’années les manifestations clermontoises ne sont qu’un défilé coloré ? Depuis combien d’années les mêmes trajets, les mêmes discours place de Jaude ? Depuis combien d’années de quelques centaines à plusieurs milliers suivent sagement la parade ? Depuis combien d’années… ?

    A Clermont, toute manif’ est sous contrôle syndical. Ou même mieux. On pourra se rappeler de quelques manifs sauvages, notamment des lycéen-nes. Accourent de suite les mêmes gauchistes, aujourd’hui candidat-es à la place du chef municipal, afin de discuter avec les flics présentes, pour que tout se passe bien… Oh c’est vrai, quelques résidus maoïstes roulent des mécaniques, drapeaux rouges, et comportements virils, ça aussi ça fait partie du spectacle. Même rengaine quand des citoyennes d’ATTAC et d’Extinction Rébellion (cette startup de l’écologie militante) occupent pacifiquement (faut pas s’y fier…) le Centre Jaude Un. Et dans ce monde où plus rien n’a de sens, il suffit de se promener en centre ville, là où la marchandise est la plus brillante, un jour de procession syndicale, pour voir que de grève « générale » il n’y a point. Tout est ouvert, et les sacs des citoyennes sont ras-la-gueule, les terrasses bondées…

    Mais alors quoi ? Un cortège de tête comme il est de coutume dans certaines villes ? Justement non… les « cortèges de tête » sont également devenus partie intégrante du spectacle, l’affrontement est mis en scène, ritualisé. Et puis il y a même des drapeaux soviétiques dans ces cortèges de tête, ça non plus, ça ne dérange personne.

    Un mouvement, ça peut être aussi une occasion de se rencontrer. Une journée (même 10, même 20…) de grève ne sert à rien, si c’est pour se plier à d’autres autorités, que celles jours bossés. Car sincèrement, se battre pour une retraite ? Pour avoir le droit de bosser 37,5 ans ? Ce serait ça vivre ?

    Quand on pense que les manifestions partent du 1er mai, ça fait sourire, ou pleurer au choix, pour celles et ceux qui n’oublient pas Haymarket, Chicago, les 1er et 4 mai 1886.

    Du spectacle de la contestation,
    à la contestation du spectacle…

    « Si tu n’aimes personne…

    … suicide-toi, ça gagnera du temps ». Ah tiens. Pour la seconde fois, je trouve un commentaire sur un numéro de La Pétroleuse, cette fois au stylo. J’aime bien que ce soit fait comme ça. Il s’agit donc d’une personne que ce cri anarchiste et férocement individualiste qu’est cette modeste expression murale a énervé. Je suis ravie que toi tu aimes ce monde, que tu trouves qu’il est parfaitement supportable et que tu y côtoies des personnes aussi civilisées, intégrées et connectées que toi. Que tu ais tellement l’arrogance des esclaves (ou serait-ce le cynisme des maîtres ? J’en doute) que tu te permettes de me conseiller de me suicider.

    Je ne sais pas à quel moment de joie et d’aventure qu’est la vie en société capitaliste tu es tombé-e sur cet écrit hérétique, tu t’es énervé-e, peut-être t’as voulu twitter ou je sais pas quoi, manque de pot pas de présence de La Pétroleuse sur les réseaux sociaux. Alors, armé-e de toute ta rage, tu as sorti un stylo et m’a conseillé de me suicider.

    Il faut être sacrément sûr-e de soi pour dire aux autres d’aller se foutre en l’air parce qu’illes haïssent ce monde. Il faut porter des œillères, et je suis sûr que tu en portes, même la nuit, pour ne pas voir que ce monde mortifère, sans issue, sans aucun choix que celui des maîtres, et de la défonce (ou pas…) pour oublier, peut pousser des individu-es à le quitter. Mais ça, du haut de ta morgue parfaitement civilisé, tu ne peux pas même l’imaginer. En tout cas, je ne regrette ni ne m’excuse de t’avoir énervé-e, toi et tes semblables. Au contraire, ça m’amuse.

    Vois-tu, pour moi personne ne doit décider de la vie des autres. Toutes et tous ces gens heureux-ses de leur vie merdique sont incapables de comprendre que certaines voient les masques derrière les rapports sociaux tous basés sur le pouvoir et la domination, préfèrent en finir plutôt que de continuer à faire semblant, ou à supporter toutes les horreurs dont est capable votre société, et que parfois c’est la seule issue que l’on voit pour se libérer…

    Je préfère certes l’issue d’une vie d’anarchiste, en conflit avec tout pouvoir, avec la civilisation, et les rapports sociaux qui nous traverse toutes et toutes. Mais je ne peux que comprendre celles et ceux qui n’en peuvent plus.

    Ah oui, quant à toi qui a aussi sorti ton stylo vengeur pour écrire « tu ais une personne assisté » je te remercie beaucoup. La petite phrase en début de ce numéro est – entre autre – pour toi…

    lapetroleuse63@riseup.net


    sources :

    https://attaque.noblogs.org/post/2020/02/24/publication-la-petroleuse-n-6/



    [La Pétroleuse : expression murale anarchiste, numéro 7, été 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Pétroleuse : expression murale anarchiste, numéro 7, été 2020]. — Clermont-Ferrand : La Pétroleuse (2017-2020), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    descriptif :


    texte

    logo (silhouette de sorcière en vol sur son balai avec une chauve-souris)

    texte :

    Expression murale anarchiste - Clermont-Ferrand et environs — Numéro 7, été 2020

    La Pétroleuse

    « Le poison dans votre machine humaine »


    Bas les masques…

    Il y a de cela quelques mois, un nouveau virus est apparu dans le corps de l’être le plus civilisé qui soit, nommé vulgairement être humain. Ce n’est pas le premier, et certainement pas le dernier virus de ce type, puisque ce virus naît du monde que ces mêmes êtres façonnent. C’est l’activité quotidienne des humaines faite d’exploitation, de destruction du sauvage et du massacre d’êtres vivants, qui crée l’apparition de tels virus. Mais là, ça a provoqué des réactions démocratiquement totalitaires.

    Des virus tels que le COVID, il y en a eu donc. Mais ils se bornaient dans les pays plus « pauvres », l’Occident n’était pas touché, alors vous pensez bien… mais cette fois-ci, l’avant-garde de la civilisation a été touchée également. Et on a pu voir confinements, développements de flics partout, surveillance… face à un « ennemi » invisible (présomption de culpabilité de toutes. l’individu-e est un-e suspect-e, un sujet à risque pour lui-même, pour les autres). Heureusement, la démocratie est sauve, les élections ont été maintenues, l’activité marchande aussi…

    Tout ça pour « nous » protéger, car « nous » sommes toutes et tous sur le même bateau parait-il. Sauf en taule et dans les camps de concentration pour exilé-es, où on a laissé crever et assassiner des indésirables. Les cadres télétravaillent, les prolos sont sommé-es de continuer à produire dans les bagnes industriels. Les bourges se réfugient dans leurs maisons secondaires alors que les autres sont assigné-es à résidence dans leurs cellules. L’État rend illégale toute relation hors mariage et hors famille. Et non, toutes les vies n’ont décidément pas la même valeur.

    Le totalitarisme scientifico-médicale doit tout contrôler, et la technologie est là pour servir ses maîtres. Ainsi par ici, deux individu-es parti randonner dans le Sancy lors du confinement se font rattraper par un drone et un hélico. Ainsi en centre-ville un ado meurt dans une course-poursuite avec la police. Des gestes de révoltes salutaires ont surgit ça et là, et tout le monde n’a pas courbé l’échine. D’un autre côté, les flics eux-mêmes disaient être débordées par les appels de délation.

    Et pendant ce temps-là, on nous parlait du nouveau monde qui sortirait du confinement… bien sûr. Des violences conjugales et des viols en hausse comme jamais, une population qui se gave jusqu’à la lie de séries et de vidéos souvent complotistes, et avec ça un nouveau monde devrait surgir. Si le bipède connecté apprenait de ses erreurs, ça se saurait.

    Le sauvage animal et végétal a pu respirer quelques semaines durant, mais dès la fin du confinement, tout le monde s’est rué pour consommer, bouffer de la merde, conduire comme des dératées, se bourrer la gueule… vivre quoi ! Non ?

    Alors quoi ? Alors rien. La surveillance se renforce, la technologie est le nouveau dieu laïc, et certain-es se battent pour des miettes, toujours plus de miettes. Le capitalisme (et ses centaines de milliards injectés dans l’économie) sort vainqueur des violences policières, sort vainqueur d’un mécontentement diffus.

    Il n’y a pas de nouveau monde. Le seul geste barrière serait de détruire l’autorité sous toutes ses formes, ici, maintenant, partout, tout le temps.

    Cette anomalie appelée peur…

    Quand l’annonce qu’on allait tous et toutes être enfermé-e à domicile, je n’ai pas réagi plus que ça. Pourtant, quelques jours auparavant, j’apprenais que ce virus pouvait être dangereux, et que y’avait du confinement dans certaines villes/pays, et je trouvais ça assez incroyable. Comme quoi la normalité te bouffe quotidiennement, jusqu’à t’asphyxier.

    Je me suis donc renseignée sur ce virus, et j’ai capté qu’une personne très proche était dite « à risque ». Et j’ai eu peur, et la personne aussi. Elle a décidé de ne voir personne. Mais fallait bien bouffer, alors masques, lavages de mains, distance de sécurité, bref, respecter les consignes de l’État. Pour pas crever. Ou plutôt pour pas crever de ça. L’autorité médicale a joué son rôle, disant à la personne concernée de s’isoler totalement. Jusqu’au ras-le-bol total.

    Puis les jours, les semaines confinées ont passé. Et puis merde… et puis alors il faut tout arrêter pour un virus ? Et puis toutes et tous ces militant-es « anticapitalistes » qui cette fois-ci se sont mis à être plus autoritaires que l’Etat lui-même.

    On vit chaque jour avec la civilisation, avec la mort. Ce monde est dirigé par la mort, simplement elle nous éclate pas aux yeux, elle est trop loin, pas assez moderne, branchée et connectée. La Méditerranée démocratique qui avale à la pelle des indésirables ? Bof. Le travail qui tue chaque jour ? Tu m’en diras tant. La taule ? La guerre ? La police ? Les bagnoles ? Oui bon mais après ça va.

    Oui ça va. Ou plutôt ça ne va pas. La civilisation nous oblige à vivre dans sa morbidité normative. Et lorsqu’un virus déboule pour une fois ici, alors la mort devient un sujet sérieux (sauf au travail, sauf dans les taules, sauf dans la Méditerranée, sauf la guerre, sauf la police, sauf les bagnoles…). Et prière de s’y plier.

    Peut-être que le seul réel choix ici est de choisir notre mort. Et que plus encore chaque jour, l’État et ses sujets obéissantes renforcent leur étreinte glaciale sur ma vie, sur celle des personnes qui comptent pour moi. Et peut-être que je le refuse. Et qu’il est stupide de faire une généralité sur les « personnes à risque ».

    Que finalement, le seul risque vitale, c’est d’avoir une vie d’esclave moderne, entre l’école, le taf/le chômage, la retraite, la tombe. Avec le confort illusoire de la technologie (qui est d’ailleurs la mort en habits de velours), et le confort pacificateur de la communauté. Que cette vie-là, c’est la mort. Mais cette vie là ne fait pas peur, allez savoir…

    lapetroleuse63@riseup.net


    sources :

    https://attaque.noblogs.org/post/2020/08/07/publication-la-petroleuse-n-7/






    [Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]

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    Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]. — Montpellier : Rapports de force, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

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    photo (manifestant avec fumigène)

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    Lisez l’info pour les mouvements sociaux

    grève — lutte — sans-papiers - solidarité - féminisme - syndicats - répression - environnement - extrême droite - capitalisme - libertés

    Rapports de force

    [logo du site] — rapportsdeforce.fr — [lien QR Code]


    sources :

    Il existe une version autocollant
    https://rapportsdeforce.fr/le-coin-des-fans :

    Notre affiche
    Idéale sur votre panneau d’affiche syndical, pas si mal sur le frigo de votre colloc, parfaite dans le local militant ou la librairie sympa de votre commune, voici notre dernière production : l’affiche Rapports de force. Notre arme anti-algorithme pour 2022. Une façon de contourner les plateformes de type Facebook ou Twitter qui décident à votre place de ce que vous allez voir. Ici, du direct, les yeux dans les yeux. Ou plutôt les yeux sur nos affiches.
    – Nous vous la proposons en téléchargement dans sa version couleur. Il suffit de cliquer sur l’image. Vous pouvez donc en imprimer autant de copies que de lieux à décorer. Et pourquoi pas, en grand nombre pour égayer les rues de votre ville.
    – Il est également possible de la commander dans son format 60 cm par 40 cm ou dans sa version autocollant que nous vous enverrons par La Poste. Il suffit de faire un paiement ICI en précisant la nature de votre commande dans les commentaires.
    Affiches (frais de ports inclus)
    Lot de 3 affiches pliées : 2.50 €
    Lot de 7 ou 8 affiches pliées : 5 €
    (Pour des lots de 30, 60 ou 150 affiches à coller dans votre villes, nous contacter).
    Autocollants (frais de ports inclus)
    5 autocollants : 2€
    30 autocollants : 5€
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    150 autocollants : 12€

















    [Révolte féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolte féministe]. — Paris : UCL_ (Union communiste libertaire), [ & ante] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 84 × 60 cm.

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    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (visage de femme et son poing levé) ]

    texte :

    Violences machistes

    Révolte féminine

    [logo merle noir et violet] Union communiste libertaire

    Antipatriarcat Autogestion
    www.unioncommunistelibertaire.org

    Ne coller que sur les endroits autorisés, conformément au Code l’environnement.

    [imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :

    Existe en deux formats : 84×60 (A1) et 60×42 (A2)


    2017

    [ 2020 & ante]
    Affiches liées


    [Révolte féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolte féministe]. — Paris : UCL_ (Union communiste libertaire), [ & ante] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

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    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (visage de femme et son poing levé) ]

    texte :

    Violences machistes

    Révolte féminine

    [logo merle noir et violet] Union communiste libertaire

    Antipatriarcat Autogestion
    www.unioncommunistelibertaire.org

    Ne coller que sur les endroits autorisés, conformément au Code l’environnement.

    [imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :

    Existe en deux formats : 84×60 (A1) et 60×42 (A2)


    [ 2020 & ante]

    2017
    Affiches liées



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 4, mai 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre le virus de l’enfermement

    […]

    Pour construire des prisons, il faut une boîte de BTP

    […]

    Des révoltes dans les prisons

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-Rasa-4.cleaned.pdf