France

 

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Affichage par année

4578 affiches :

 











    [Des repas de quartier tous les mois à Moulins]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Des repas de quartier tous les mois à Moulins]. — Lille : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (scène de raps de rue) ]

    texte :

    Des repas de quartier tous les mois à Moulins

    le prochain aura lieu

    place Vanhoenacker

    vendredi 21 avril

    à partir de 18 h 30

    puis ce sera tous les premiers vendredis du mois
    — Amenez à manger, à boire si vous pouvez. Il y aura de la soupe
    —  Parole libre : venez lire, crier, chanter vos textes (mix introductif de DJ Berlin)
    — Il y aura des jeux pour les enfants


    sources :

    2006 ou 2017 ?













    [Journées libertaires : [10e édition], 2017]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Journées libertaires : [10e édition], 2017]. — Pau_ : CNT_ - AIT_ (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; culture  ; édition  ; luttes sociales (mouvement social)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Giorgios  ; Taibo, Carlos
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; exposition  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (« saint » sans visage sur un nuage rouge) ]

    texte :

    Journées libertaires

    x Pau du 17 au 23 février 2017 x

    Vendredi 17 février - 20 h 00 - Maison de l’étudiant
    Concert de soutien
    Luna Park + Dé’clique + Patators

    Samedi 18 février - 15 h 00 - local de la CNT-AIT
    Conférence // Giorgios, militant anarchiste grec
    Siriza face aux mouvements sociaux

    Lundi 20 février - 18 h 00 - hall URF de Lettres
    Exposition // Les anarchistes dans les mouvements spontanés de ces dernières années à travers le monde

    Mercredi 22 février - 18 h 30 - amphi 1 UFR de Lettres
    Conférence // Carlos Taïbo et de deux militants de la CNT de Barcelone
    Le mouvement des indignés et Podemos

    Jeudi 23 février - 18 h 30 - amphi de la Présidence
    Conférence // Mark Bray
    Occupy Wall Street

    Maison de l’étudiant - avenue de l’Université BP 576, rond-point des Droits de l’Homme, 64000 Pau // Local de la CNT-AIT - 16, rue Jean-Baptiste Carreau, 64000 Pau / UFR de lettres - avenue du Doyen Robert Poplawski, 64000 Pau
    renseignements : journéeslibertairespau@gmail.com // http://journeeslibertairespau.blogspot.fr/

    KL-20


    sources :

    http://journeeslibertairespau.blogspot.fr/






    [L’État, les racialistes et nous…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’État, les racialistes et nous…]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Amis de Juliette et du printemps : Condensateur d’idées, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin symboliste (personnage ailé et drapé)

    texte :

    L’État, les racialistes et nous…

    Cette soirée d’hiver chez les amis du printemps s’inscrit dans une perspective simple : réfléchir à contrer la tentative de réimplantation et de promotion des logiques religieuses, raciales, racistes, homophobes, communautaristes et identitaires avançant sous pavillon antiraciste et déblayer le
    terrain pour enfin ouvrir des possibilités de perspectives subversives et révolutionnaires. Continuer la discussion pour trouver comment refuser plus efficacement la logique racialiste qui ne peut, au mieux, qu’accompagne le devenir du capitalisme et la in de tout horizon d’émancipation. Pour que les choses soient bien claires et que personne ne se sente mal reçu, il faut sans doute préciser qu’il ne s’agira pas ce soir de discuter du bien fondé ou non du racialisme, ce serait tenter le diable, mais des moyens d’en finir avec sa gangue et ses gangs, cela sans aucun « amour révolutionnaire » (dont acte).

    Autour de la sortie du livre
    La race comme si vous y étiez ! Une soirée de printemps chez les racialistes
    Par les amis de Juliette et du printemps

    Dimanche 22 janvier 2017 à 18 h
    Au Condensateur d’Idées, 43 rue de Stalingrad, Montreuil


    sources :
     


    [La Pétroleuse : expression murale anarchiste, numéro 1, février 2017]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Pétroleuse : expression murale anarchiste, numéro 1, février 2017]. — Clermont-Ferrand : La Pétroleuse (2017-2020), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    texte

    logo (silhouette de sorcière en vol sur son balai avec une chauve-souris)

    texte :

    Expression murale anarchiste - Clermont-Ferrand et environs — Numéro 1, février 2017

    La Pétroleuse

    « C’est à vous de décider si vous mourrez de faim ou de froid à la vue de vivres et de vêtements, hors de prison, ou si vous commettez quelque acte manifeste contre l’institution de la propriété » V. de Cleyre


    JUSTICE ET VÉRITÉ ?

    Il y a un peu plus de cinq ans, le 31 décembre 2011, Wissam El Yamni se faisait tuer par la police. Tout le monde le sait. Dans une ville pacifiée comme Clermont­-Ferrand, chacun a été interloqué.

    Et immédiatement, des voitures ont brûlé, des poubelles itou, des tags dans le quartier de La Gauthière. Condamnation tous azimuts de toutes les organisations politiques. Pourtant, ce fut pour nous des feux de joie qui font chaud au cœur. Quartier bouclé par les CRS, internet coupé. L’État. Jusque dans les foyers. Une guerre sociale tout à coup bien moins diffuse qu’à l’accoutumée.

    Et immédiatement, ça s’organise, horizontalement. Pas un jour sans qu’il ne se passe rien. Dans le quartier, nous nous souviendrons toujours avoir entendu « On perdra le jour où y’aura les partis et les syndicats ». Mais évidemment, cette flambée n’a pas pu durer. Cette flambée qui résonnait, qui reliait des individus animés par la seule rage de l’assassinat d’un pote ou de la rage anti­autoritaire. Cette spontanéité, le quartier rempli de tags, de mots échangés la nuit. Tout ça, l’État le craint. Car tout ça n’est pas contrôlable. Lentement, et sournoisement comme d’hab’, avec des complicités, des partis sont arrivés à s’infiltrer, et les syndicats avec. Jouer sur l’émotion de la famille. La présidentielle arrivait, avec des « chances » pour un gouvernement de gauche. On se calme. On manifeste avec un drapeau français. On appelle à voter. Il ne s’agit pas pour nous de blâmer des individus, sous le coup de l’émotion, on se laisse avoir par les promesses politiciennes. On se laisse persuader que l’État interviendra en « notre » faveur. Après tout, nous sommes en démocratie. Et en démocratie, ce qu’ont fait les flics se nomme bavure, et exige réparation. Interdiction de parler de normalité policière et de vengeance.

    Le Comité Justice et Vérité pour Wissam s’épurge, on y trouve même des travailleurs sociaux (des keufs en civil). Et 5 ans après ? Toujours rien. La paix sociale… Nous avons tous fait l’expérience de la perte d’un proche. Nous avons tous ressenti la douleur, le manque, jusqu’au plus profond de notre chair. Alors quand en plus c’est des flics qui tuent votre frère, votre fils, votre ami, il y a une rage spontanée, explosive. Dangereuse. Aux fond des chiottes, les divisions de classe, de « couleurs » , de genre (même si admettons-­le, ça c’est plus rare…) la complicité se crée dans le feu de l’action. Et ça non, ça ne peut pas durer…

    Mais alors… tout le monde sait que les keufs ont descendu Wissam ce 31 décembre à La Gauthière. La bavure est un vocabulaire qui nous fout la rage. La police tue. À Clermont comme partout. C’est tout. Mais elle ne fait pas que tuer, elle viole aussi. Pour protéger la démocratie, devant les applaudissements qui disent « si c’est arrivé, c’est pas sorti de nulle part ». Et non, ça ne sort pas de nulle part. Pour se maintenir, l’État fait la guerre aux pauvres, ici ailleurs, partout, tout le temps. Et les keufs sont l’armée de pacification du quotidien. Meurtres, viols… la vérité, on la sait. Rien à foutre de ce que dit la presse. Quant à la justice… bien sûr, il nous semble logique qu’une famille s’en remette à elle. Mais la justice, c’est l’État. Et l’État, c’est le patron des flics assassins. Et un flic muté, ou renvoyé, et des dommages pécuniaires, ça ne remplacera jamais un frère, un fils, un ami.

    Et ça n’arrêtera pas les flics et l’État. Pour en finir avec la violence d’État, il nous faut mettre fin au monde qui la produit. Depuis le viol de Théo, à chaque manif à Paris, malgré les pacificateurs, des dizaines de bâtiments sont défoncés, les keufs se font attaquer…

    Nous ne voulons ni vérité ni justice. Nous voulons détruire ce qui nous détruit.

    C’est déjà les élections …

    Ça y’est, le grand cirque est de retour. Ça ne nous avait pas manqué. Après 5 ans de gauche, 5 ans de la même violence, des mêmes humiliations qui forment ce qu’on nomme béatement « le train­train quotidien », c’est déjà l’heure de choisir des nouveaux chefs. C’est la grand­-messe démocratique. C’est le jour de s’exprimer en tant que citoyen. Bof. Ce calendrier n’est pas le nôtre. Pourtant partout ça s’agite, il s’agit de recruter du citoyen, les médias ne parlent plus que de ça ou presque. Les affaires de Fillon ? La « révolution » de Macron (t’es sérieux là ?) ? Le Pen qui nous dit que les riches sont chouettes, que c’est les pauvres pas nés ici le problème de fond ? Hamond qui tente de redorer l’image d’un PS pourri jusqu’au trognon ? Mélanchon nationaliste comme les autres ? Les verts de gris, les debout pour la république, les gauchistes toujours vivants ? On n’en a rien à foutre. Mais on ne compte pas juste le dire entre deux bières au bistrot, entre la clope et le café au taf, où pendant la file d’attente de la CAF.

    Le problème n’est pas le chef, ni un problème droite/gauche. Le problème c’est l’existant, c’est ce monde fait d’exploitation, c’est le patriarcat, c’est le racisme entre pauvres, c’est le travail qui nous tue, c’est les syndicats qui nous pacifient. C’est les flics qui outre le fait de tabasser, sont là pour nous inculquer la peur. C’est la thune. C’est la propriété privée. C’est l’autorité, même d’un seul. Et nous, on a envie de vivre. Pas de s’en remettre à un type ou un autre. Nous on a soif de cette foutue liberté. Cette liberté incompatible avec toute forme d’autorité.

    Pendant ce temps, des ultras-­gauches et leur Parti Invisible sont également en campagne, nous annonçant (dans les médias aussi…) que « 2017 n’aura pas lieu », (c’est messianique tout ça), et les organisations libertaires espèrent capitaliser (beurk) sur l’abstention. Le taux d’abstention ? On s’en fout, ça ne dit que ce que tu souhaites entendre. Depuis toujours, avant, pendant et après les élections, des individus en conflit permanent avec ce monde attaquent la politique. On ne compte plus les locaux de partis défoncés, attaqués à la peinture, recouverts de tags rageurs. En Grèce, on a même pu voir des élus se faire tabasser à la terrasse de cafés. Parce que comme nous autres, ils sont faits de chair et de sang.

    La politique, c’est nous prendre pour des abrutis depuis toujours. C’est nous expliquer qu’on a besoin d’un chef, que nous sommes tous des citoyens, que cette putain de France (ou n’importe quelle autre nation, n’importe quelle autre région, n’importe quelle autre identité factice) représente l’intérêt supérieur. La politique, elle nous nie en tant qu’individus. Elle nie notre capacité à rêver, à inventer, à créer, à s’associer librement… à vivre tout simplement. Alors face à elle, armons-­nous de nos rages, de nos imaginations, de nos joies. Rencontrons-­nous. Sans attendre avril ou mai. Vivons maintenant. On veut conquérir notre liberté, on vous fait cadeau de notre citoyenneté.

    « Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité, à ce qui n’est que du vent. » G. Orwell

    lapetroleuse63@riseup.net


    sources :

    https://attaque.noblogs.org/post/2017/03/03/cest-deja-les-elections/























    [Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; répression  ; squatt  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (immeuble-poing levé face à des policiers anti-émeute accompagné de grues de chantier) par ?

    texte :

    Pas de toit, pas de pitié

    Il fait froid, on est chaud !

    Ces derniers jours, Lille s’est de nouveau illustrée par sa politique d’expulsions de squats en plein hiver. Le 4 janvier, c’est l’espace autonome L’Insoumise qui a été muré, rue d’Arras. Depuis septembre 2012, ce lieu, sans clients ni marchands, était à la fois une bibliothèque autogérée, un lieu de débats et une cantine populaire. Un lieu où s’élaborait une critique sociale face au rouleau compresseur capitaliste. Au-dessus c’était aussi une habitation collective. Quinze jours avant, à deux pas de là, c’est un squat qui abritait des mineurs isolés du parc des Olieux qui a été évacué par le RAID.

    Le propriétaire des lieux, le CHR, et la préfecture préfèrent voir ces mineurs dans la rue plutôt que sous un toit. Au passage, tout le matériel de cours, de cuisine et de vie quotidienne, rassemblé depuis des mois par le collectif des Olieux a été confisqué, histoire de leur pourrir encore plus la vie. En plus d’être des lieux de vie ces espaces étaient des lieux de rencontres, des lieux ouverts pour s’organiser, pour lutter, pour respirer ensemble hors du cadre marchand et institutionnel. S’organiser, lutter, voilà ce qui déplaît.

    Deux expulsions de lieux collectifs à Moulins, à quelques jours d’intervalle, le message est clair : le quartier n’est pas à ceux qui l’habitent mais aux gestionnaires de la mairie, aux spéculateurs et promoteurs immobiliers.

    Chasser la plèbe, aseptiser le quartier, contrôler chaque espace pour engranger un maximum de bénefs. Quitte à mettre des gens à la rue en plein hiver et à laisser des maisons vides le temps que monte le prix de l’immobilier. Le 10 rue d’Arras et le 32 rue de Fontenoy sont désormais vides, comme des centaines de maisons et d’immeubles à Lille qu’on laisse vacants pour les intérêts du marché. Il y en aurait bien assez pour loger toutes celles et ceux qu’on dit sans domicile fixe pour ne pas dire sans domicile tout court, à la rue.

    Ces jours de solde et de glorification du commerce ne nous font pas oublier les effets désastreux de la logique marchande.

    Pas de pitié pour le capitalisme, pas de pitié pour les expulseurs.

    Reprenons la rue pour crier notre colère !

    Rassemblement samedi 14 janvier, 18 h, Rihour


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article30574
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article3517


    2018
    Affiche liée