travail, emploi
167 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin ou photo) ]
- texte :
Le Travail libère-t-il ?
Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre… La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».
Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.
L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.
Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout. Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.
Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.
Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.
Pour la libération individuelle et collective…
Libérons-nous du travail
Liberté pour l’anarchiste Rami Syrianos
Solidarité avec le compagnon Kleomenis SavvanidisCollaboration solidaire Athènes/Thessalonique, 17/01/2012.
Affiche en grec diffusé sur http://www.non-fides.fr/?Le-Travail-libere-t-il : « Affiche traduite par nos soins de l’anglais de Angry news from around the world
Note de Non Fides : L’anarchiste Rami Syrianos (Ραμί Συριανό) est actuellement emprisonné en attente de son procès pour l’expropriation de l’argent d’une entreprise étatique de vente aux enchères, ainsi que le compagnon Kleomenis Savvanidis (Κλεομένης Σαββανιδη), accusé dans la même affaire. Date du procès : 18 janvier 2012, Thessalonique » (18 janvier 2012).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (silhouette avec chaines brisées aux bras) ]
- texte :
Le travail libère-t-il ?
Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre…
La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».
Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.
L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.
Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout.
Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.
Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.
Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.
Pour la libération individuelle et collective…
Libérons-nous du travail
Affiche du 17 janvier 2012
En solidarité avec les compagnons Rami Syrianos et Kleomenis Savanidis
Traduit du grec vers l’anglais par Angry news from around the world, puis de l’anglais vers le français par Non Fideshttps://fa86.noblogs.org/?page_id=40
https://fa86.noblogs.org/files/2012/05/travail.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
photo (travail en usine de conserverie de poissson ?)
- texte :
Le travail, c’est l’esclavage salarié
La propriété, c’est le vol
L’histoire de l’économie est l’histoire du vol. Regardez le morceau de terre sur lequel vous êtes debout. Il fut autrefois travaillé par des gens qui savaient comment satisfaire leurs propres besoins et ceux de leurs communautés sans détruire l’environnement. La possibilité de vivre et de travailler dignement a été tuée par les États et les propriétaires terriens qui ont organisé des armées colonisatrices et amené comme main d’œuvre des immigrant.es européen.nes endetté.es ou des esclaves africain.es kidnappé.es.
Dans les deux cas, nous y voyons un modèle de dépendance forcée. Des gens qui réellement travaillaient de façon digne, c’est-à-dire pour eux-mêmes, pour leurs communautés et à leur propre rythme, ont été empêchés de le faire par la violence organisée de la colonisation. Des terres qui avaient appartenu à tout le monde furent divisées et usurpées par l’élite, les ancêtres de beaucoup de ceux/celles qui sont encore riches d’aujourd’hui. Même après la colonisation, le travail était juste un peu plus qu’une taxe. Donnez un certain montant, plus si vous étiez noir.e et moins si vous étiez blanc.he, et gardez le reste pour vous nourrir. Tu pouvais au moins encore voir les fruits de ton travail et t’en nourrir.
Mais alors quelque chose s’est passé. L’esclavage a progressivement pris fin – pas dans un moment soudain de libération, comme le disent les livres d’histoire, mais par un glissement progressif vers un système plus rentable d’esclavage salarié. Tandis que nous ne sommes plus forcé.es de travailler à la pointe d’un fusil, le résultat final est le même avec tous les moyens de survie hors de portée si nous n’avons pas d’argent. Les gens sont obligé.es de travailler, passant leur temps au service du Capital. La prison et la police attendent ceux/celles qui désobéissent. Personne n’a été libéré. Plutôt, les noir.es et les blanc.hes ont été transformé.es en machines.
Où est l’utilité de l’esclavage pur et simple quand la banque peut posséder votre maison, le patron peut posséder votre temps, les huissiers sous contrat de la compagnie de crédit ou le Centre national de prêts aux étudiants peuvent posséder votre avenir, les entreprises de mode peuvent posséder vos insécurités, les producteurs d’Hollywood peuvent posséder votre cœur et les journaux peuvent posséder votre esprit ? Constamment se démener pour apaiser les besoins de leur propriétaire, c’est ça la vie quotidienne d’un.e travailleur(euse)-consommateur(rice).
Le système de l’usine fait des travailleur(euse)s une partie du processus. Le secteur des services d’aujourd’hui va encore plus loin, commandant chacune de nos humeurs. Nous ne devons plus simplement à nos boss une certaine quantité de produit, ou même un certain laps de temps, mais une quantité mesurée d’enthousiasme. Servir avec le sourire. Qui peut imaginer une forme plus intime de violence ? Nous ne sommes même pas autorisé.es à être déprimé.es par notre manque total de pouvoir sur nos propres vies. Déjà à l’âge de 5 ans, les plus maussades et les impatient.es se font prescrire du Prozac et du Ritalin. Des enfants diagnostiqué.es avec des « désordres » sont souvent soudainement « guéri.es » quand ils/elles sont autorisé.es à organiser leurs propres vies ou à déterminer leurs propres rythmes. Mais une fois que les besoins de l’économie les renvoient au travail, à l’école, tout à coup ils/elles rechutent et doivent retourner sur les pilules.
Le « désordre » est la société qui envoie les corps dans un hachoir à viande, qui exige que nous devenions des pièces interchangeables. Le chantage, c’est la société qui exige tout de nous – pas seulement notre temps, notre obéissance et notre énergie, mais aussi notre convivialité et notre bonne foi – et nous donne rien d’autre en retour que les moyens d’y participer plus pleinement, selon ses termes, dépensant nos maigres salaires sur les ressources volées à travers la planète entière, la garde-robe adéquate, le régime adéquat, la collection de musique adéquate. En fait, cet assemblage minutieux de produits de masse est la seule façon légale que nous avons d’exprimer notre individualité.
À la base, ceux/celles qui exaltent les vertus du travail sont les mêmes vieux maîtres chanteurs : travaillez pour nous ou mourez de faim dans les caniveaux. Mais quand nous avons commencé à négocier avec ceux et celles qui se font appeler les dirigeant.es, ils/elles n’ont commencé qu’à nous faire plus de demandes. Ne négocions pas avec le monde du travail et de la misère dont nous ne désirons que la fin, mais attaquons-le afin de le détruire…
Tant que la misère existe, nous choisissons la rébellion.
mtlcounter-info.org — sabotage.anarkhia.org
https://mtlcounterinfo.org/work/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/work.pdf
https://mtlcontreinfo.org/le-travail/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/travail.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo solarisée (deux mains tenant une clé plate) ]
- texte :
Samedi 17 novembre
18 h
Centre Culturel Libertaire
4, rue de Colmar, LilleEntrée libre
Projection Des corps en chaine
« C’est pas simple de décrire une chaine.… Ce qui est dur en fin de compte, c’est d’avoir un métier dans les mains. Moi je vois, je suis ajusteur, j’ai fait trois ans d’ajustage, pendant trois ans, j’ai été premier à l’école… Et puis, qu’est-ce que j’en ai fait ? Au bout de cinq ans, je ne peux plus me servir de mes mains. J’ai un doigt, le gros, j’ai du mal à le bouger, j’ai du mal à toucher Dominique le soir. Ça me fait mal aux mains. La gamine, quand je la change, je peux pas lui dégrafer ses boutons. Tu sais, t’as envie de pleurer dans ces coups-là. Ils ont bouffé mes mains. J’ai envie de faire un tas de chose et puis, je me vois maintenant avec un marteau, je sais à peine m’en servir. C’est tout ça tu comprends. T’as du mal à écrire, j’ai du mal à écrire, j’ai de plus en plus de mal à m’exprimer. Ça aussi, c’est la chaine »
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (couverture du livre) ]
- texte :
Rencontre avec Nicolas Jounin, auteur de Chantier interdit au public
Samedi 4 février 2012 à 16 h
au CEDRATS, 27 montée Saint-Sébastien, 69001 Lyon
Métro « Croix-Paquet », suivi d’un pot de l’amitiéLe BTP, une longue coulée de béton tranquille ???
Nicolas Jounin, sociologue, s’est interrogé, en tant que travailleur du Bâtiment, dans le monde du béton armé ; il nous dévoile la face cachée du coffrage et du ferraillage.
— Mainmise des grosses entreprises (Vinci, Bouygues, Eifage)… Recours massif à l’intérim et au CDD… sous-traitances en cascade… fourmillement des statuts pour un même poste de travail...
— Organisation du travail, de plus en plus sauvage, permettant au Patronat de disposer d’une main d’œuvre interchangeable et corvéable à merci, d’autant plus que les travailleurs sont isolés, opposés hiérarchiquement et souvent précaires (immigrés, sans-papiers,...).
— Pourtant des luttes existent ; l’espoir demeure. À nous de nous organiser !
[logo SUB] Syndicat Unique du Bâtiment / CNT - SUB 69
44, rue Burdeau - 69001 LyonTél. : 04 78 85 69 21 - mél : sub69@cnt-f.org - www.cnt-f.org/sub69
[logo caisse à outils avec chat noir cerclé CNT] CNT
CNT Construction
[…]
http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_Jounin.jpg
http://rebellyon.info/Rencontre-avec-Nicolas-Jounin.html- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
text
photo (travail en usine de conserverie de poissson ?)
- texte :
Work is wage slavery
Property is theft
The history of the economy is the history of theft.
Look at the piece of land you’re standing on. It was once tended by people who knew how to provide for themselves and their communities without destroying the environment. The possibility of dignified life and work was killed by the governments and land owners who organized colonizing armies and brought over labour gangs of indebted European immigrants and kidnapped African slaves.In both cases, we see the pattern of forced dependence. People who were actually working in a dignified way – which is to say, for themselves, for their communities, at their own pace – were prevented from doing so through the organized violence of colonisation. Land that had belonged to everyone was divided up and usurped by the elite, the ancestors of many of those who are still wealthy today. Even after colonization, labour was little more than a tax. Give up a certain amount, more if you were black and less if you were white, and keep the rest to feed yourself. You could at least still see the product of your labour, and nourish yourself with it.
But then something happened. Slavery gradually ended – not in a sudden moment of liberation, as the history books tell it, but through a gradual shift towards the more profitable system of wage slavery. While no longer forced to work at gunpoint, the end
result is the same with all of the means of survival out of reach without money ; people are forced to work, spending their time in the service of capital. Prisons and police await those who disobey. No one was liberated. Rather, black and white were transformed into machines.
Where’s the use in outright slavery when the bank can own your house, the boss can own your time, the collection agency contracted by the credit card company or the National Student Loans Centre can own your future, fashion companies can own your insecurities, Hollywood producers can own your heart, and the newspapers can own your mind ? The daily life of a worker-consumer only consists of scrambling around to appease her owner’s needs.
The factory system makes workers a part of the process. The service sector jobs of today go even further, making demands of our very moods. No longer do we owe our bosses merely a certain amount of product, or even a certain amount of time, but a measured quantity of enthusiasm. Service with a smile. Who can imagine a more intimate form of violence ? We’re not even allowed to be depressed by our total lack of power over our own lives. Already by the age of five, the sullen and the impatient ones are screened out for Prozac and Ritalin prescriptions. Kids diagnosed with disorders are often suddenly “cured” when they are allowed to organize their own lives, or determine their own rhythms. But once the needs of the economy send them back to work, back to school, suddenly they relapse and have to go back on pills.
The disorder is the society that sends bodies through a meat grinder, that demands we become interchangeable parts. The blackmail is the society that demands everything from us – not just our time, our obedience, and our energies, but also our friendliness and good faith – and gives us nothing in return but the means to participate in it more fully, on its terms, spending our meager wages on resources stolen from across the entire planet ; the right wardrobe, the right diet, the right music collection. In fact, this careful assemblage of mass-produced goods is the only legal way we have to express our individuality.
At the base, those who extol the virtues of work are the same old blackmailers : work for us or starve in the gutters. But once we begin negotiating those who call themselves leaders, they only start to make more demands of us. Let’s not negotiate with the world of work and misery that we desire only the end of, but attack it in order to destroy it…
While misery exists, we choose rebellion.
mtlcounter-info.org — sabotage.anarkhia.org
https://mtlcounterinfo.org/work/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/work.pdf
https://mtlcontreinfo.org/le-travail/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/travail.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; chat noir cerclé par la signature de la CNT au centre de rayons alternés blanc et rouges ]
- texte :
Création d’unités de contrôle sans DUC
Passage des agents de catégorie C en SA, possibilité de passerelle vers le corps de l’inspection, recrutement d’agents de catégorie C
Passage de tous les contrôleurs du travail dans le corps unique de l’inspection par ancienneté
Refus des sections spécialisées
Doublement des effectifs
Confédération nationale du travail
Affiche de septembre 2013 : mouvement contre le Plan Sapin avec les principales revendications de la CNT
https://www.cnt-tas.org/2013/09/30/revendications-cnt-affiche/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/affiche-revendications.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; chat noir cerclé par la signature de la CNT au centre de rayons alternés blanc et rouges ]
- texte :
Pour une inspection du travail indépendante au service des salariés
Confédération nationale du travail
Affiche de septembre 2013 :
https://www.cnt-tas.org/2013/09/30/pour-une-inspection-du-travail-independante-au-service-des-salaries/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/affiche-IT-ind%C3%A9pendante-et-cie.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
photo (émeutier ? dans une rue vide)
- texte :
Le travail est le plus grand affront et la plus grande humiliation que l’humanité ait commis contre elle-même.
Le travail est la grande malédiction. Il produit des hommes sans esprit et sans âme.
Quand nous cesserons de travailler, enfin la vie commencera pour nous.
Le travail est un crime
Je ne prétends pas qu’il faut tout simplement quitter son patron demain et voir ensuite comment bouffer sans travailler, en étant convaincu que la vie commence. Si on est contraint de vivre dans la dèche, c’est déjà assez malheureux, le fait de ne pas travailler aboutissant dès lors, dans la plupart des cas, à vivre sur le dos des camarades qui ont du travail. Si tu es capable de gagner ta vie en pillant et en volant - comme disent les honnêtes citoyens - sans te faire exploiter par un patron, eh bien, vas-y ; mais ne crois pas pour autant que le grand problème soit résolu. Le travail est un mal social. Cette société est ennemie de la vie et c’est seulement en la détruisant, puis toutes les sociétés de labeur qui suivront - c’est-à-dire en faisant révolution sur révolution - que le travail disparaîtra.
C’est alors seulement que viendra la vie - la vie pleine et riche - où chacun sera amené, par ses purs instincts, à créer.
Créer est une joie intense, travailler est une souffrance intense.
Tout travail est criminel.
Travailler c’est collaborer à faire des bénéfices et à exploiter ; c’est collaborer à la falsification, à la fourberie, à l’empoisonnement ; c’est collaborer aux préparatifs de guerre ; c’est collaborer à l’assassinat de toute l’humanité.
Le travail détruit la vie.
Voilà pourquoi nous allons saboter consciemment chaque entreprise capitaliste. Chaque patron essuiera des pertes par notre fait. Là, où nous, jeunes révoltés, sommes obligés de travailler, les matières premières, les machines et les produits seront obligatoirement mis hors d’usage. À chaque instant les dents sauteront de l’engrenage, les couteaux et les ciseaux casseront, les outils les plus indispensables disparaîtront - et nous nous communiquerons nos recettes et nos moyens.
Nous ne voulons pas crever à cause du capitalisme : voilà pourquoi le capitalisme doit crever à cause de nous.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; fond taillé rouge et noir ]
- texte :
Travaillons tou(te)s moins et autrement
Confédération nationale du travail
[logo chat cerclé CNT] CNT
mail : contact@cnt-f.org - www.cnt-f.org
http://www.cnt-f.org/voir-les-affiches.html (consulté en novembre 2014).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Face au patronat
Tefal
défendons les missions et l’indépendance de l’inspection du travail
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-d%C3%A9fense-missions-de-lIT.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Inspection du travail au service des salariés
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-Inspection-du-travail-au-service-des-salari%C3%A9s.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Inspection du travail au service des travailleurs
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-Inspection-du-travail-au-service-des-travailleurs.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; logos d’organisations syndicales ]
- texte :
[logo] La CGT — [logo] Union syndicale solidaire — [logo] FO — [logo] FSU-Fédération syndicale unitaire — [logo] CNT
L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
Tous présents à l’audience
Vendredi 16 octobre 2015 à 13 h 00 devant le tribunal d’Annecy
exigeons
• le relaxe pour l’inspectrice et le salarié
• la condamnation de Tefal
• une réelle simplification du Droit du travail par la suppression de toutes les dérogations
• une inspection du travail forteAffiche d’octobre 2015 :
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-16-Octobre-2015-Annecy-Laura-Pfeiffer.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Tefal
Défendons les lanceurs d’alerte
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-D%C3%A9dendons-les-lanceurs-dalerte.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Tefal
face aux pressions patronales, nous ne nous tairons pas !
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-face-aux-pressions-patronales.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Tefal
Non respect du Code du travail
Non respect des institutions représentatives du personnel
Patrons voyous !
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-Non-respect.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte non signé ]
- texte :
Obstacle aux fonctions de l’inspectrice du travail
Entrave au fonctionnement du CHSCT
Qui est le délinquant ?
Tefal
https://www.cnt-tas.org/2015/10/05/tefal-affiches-de-la-mobilisation/
https://www.cnt-tas.org/wp-content/uploads/Affiche-qui-est-le-d%C3%A9linquant.pdfVoir aussi : L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Contre la loi Travail et son monde bloquons tout !
AG de lutte
mercredi 28 septembre
Lille 3, Amphi A2, 12 h
Affiche aussi reprise en tracts (flyers).
https://www.facebook.com/AGLoiTravailLille/posts/1804322166455910
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : étoile (noire …) ★ — drapeau rouge et noir ⚐/⚑ — fond : drapeau rouge et noir ⚐/⚑ /B_tout>
[ texte ; fond photographique, taillé/coupé, noir et rouge (2 hommes se saluant — Manuel Vals, premier ministre, et Pierre Gattaz, patron des patrons — /manifestation d’aujourd’hui) ]
- texte :
contre la loi des patrons
[logo roue dentée] AL Alternative libertaire
tout passe par la lutte
alternativelibertaire.org ★ anarkismo.net
contre l’État d’urgence
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (rang de manifestant·e·s varié·e·s devant banderole rouge « Grève générale ») ]
- texte :
Grève générale jusqu’au retrait de la loi Travail
Union des syndicats CNT de la région Nord Pas-de-Calais Picardie
www.cnt-f.org/59-62 — [logo chat noir cerclé] CNT
http://blog.fanch.bd.com
(cc) creative commons by-nc-ndAffiche parue en mars 2016 contre un projet de loi de réforme du Code du travail (« loi El Khomri »).
http://www.cnt-f.org/59-62/2016/03/ce-n-est-qu-un-debut/
http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche-cnt-nord-pdc-picardie-greve-generale-loi-travail-RN- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (rang de manifestant·e·s varié·e·s devant banderole « Grève générale ») ]
- texte :
Grève générale jusqu’au retrait de la loi Travail
Union des syndicats CNT de la région Nord Pas-de-Calais Picardie
www.cnt-f.org/59-62 — [logo chat noir cerclé] CNT
http://blog.fanch.bd.com
(cc) creative commons by-nc-ndAffiche parue en mars 2016 contre un projet de loi de réforme du Code du travail (« loi El Khomri »).
http://www.cnt-f.org/59-62/2016/03/ce-n-est-qu-un-debut/
http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche-cnt-nord-pdc-picardie-greve-generale-loi-travail-NB.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (affiche aux poissons vue en plongée : « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! ») ]
- texte :
« C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! — www.cnt-f.org »
Non à la désintégration du Code du travail !
Malgré les quelques miettes concédées aux syndicats réformistes pour acheter leur adhésion, rien n’a changé, l’objectif reste le même I Ce projet de loi est une véritable régression historique en matière de droits sociaux : de nombreux acquis des travailleurs pourront être renégociés à l’échelle des entreprises où le rapport de force sera systématiquement défavorable aux salariés.
Décryptage :
les principes fondamentaux du code du travail remis en cause1- L’inversion de la hiérarchie des normes, c’est livrer les pleins pouvoirs au patronat
Un accord d’entreprise est un accord conclu entre un employeur et une ou plusieurs organisations syndicales en vue de fixer des règles relatives aux conditions de travail, à l’emploi ou aux garanties sociales des salariés. Jusqu’ici la loi primait sur l’accord de branche qui primait sur l’accord d’entreprise, sauf si l’accord de branche ou d’entreprise étaient plus favorables. Avec le projet de loi, c’est l’accord d’entreprise qui prévaut sur l’accord de branche, même si celui-ci est moins favorable aux salariés.2- Recours au référendum pour bâillonner les syndicats de lutte
Les règles de la négociation collective ont été également modifiées pour recourir au référendum afin de contourner la discussion syndicale. Cette pratique, qui veut faire croire à plus de démocratie, prendra en réalité la forme d’un chantage pour les salariés en leur proposant de renoncer à une part plus ou moins importante de leurs acquis sociaux en échange du maintien de leur activité. La démocratie ne fonctionne qu’entre égaux, or dans une entreprise, il n’y a pas d’égalité entre le salarié et son patron, donc pas de démocratie réelle possible. De plus, le référendum d’entreprise sera également un outil formidablement pratique pour repérer et isoler les éléments contestataires puis briser l’action collective.3- Temps de travail et salaires modulables en fonction des besoins de l’entreprise
Sur simple accord d’entreprise, les congés et les heures supplémentaires pourront être modifiés, assouplis, imposés. De plus désormais, refuser une modification de son contrat de travail (salaire, temps et lieux de travail) pourra mener à un licenciement pour faute grave sans contestation possible. Combien de salariés oseront encore s’opposer à leur employeur ? Combien de salariés oseront encore lutter pour de nouveaux droits ?4- Légalisation des licenciements abusifs
Ce projet de loi a prévu de redéfinir le licenciement économique. Une entreprise pourra faire un plan social sans avoir de difficultés économiques. Une baisse ponctuelle des commandes ou du chiffre d’affaires permettra d’effectuer des licenciements. L’introduction à titre indicatif d’un barème des indemnités prud’homales en cas de licenciement illégal permettra à l’employeur de prévoir à l’avance les dépenses d’un licenciement sans motif réel, lui permettant ainsi de limiter les risques financiers. Combien de salariés oseront encore saisir les prud’hommes ?Confédération nationale du travail Nord Pas-de-Calais
[logo « chat cerclé »] CNT
http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche-cnt-decryptage-loi-travail.pdf
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- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : étoile (noire …) ★ — drapeau rouge et noir ⚐/⚑ — fond : drapeau rouge et noir ⚐/⚑ /B_tout>
[ texte ; fond photographique, taillé/coupé, noir et rouge (Assemblée générale vers 1968 ? /manifestation d’aujourd’hui) ]
- texte :
partage des richesses
[logo roue dentée] AL Alternative libertaire
tout passe par la lutte
alternativelibertaire.org ★ anarkismo.net
baisse du temps de travail
[impr. ?]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (scène de sexisme à une caisse de magasin avec homme crocodile) par Thomas Mathieu ? ]
- texte :
Apéro féministe (en mixité)
Harcèlement au travail
projection du film « Harcèlement, un fléau social »
Mardi 25 avril à 19 h 30
à La Mauvaise Réputation (20, rue Terral, quartier Ste Anne)
[logo] La Collective 34
contact : la.collective.34@gmail.com
blog : lacollective34.wordpress.comhttps://lacollective34.wordpress.com/2017/04/09/apero-feministe-projection-du-film-harcelement-un-fleau-social/
https://lacollective34.files.wordpress.com/2017/04/apc3a9ro-harcc3a8lement-travail.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; montage photo solarisé (portraits de femmes) ]
- texte :
Nouvelle loi Travail
une double peine pour les femmes
Discussion (en mixité)
Mardi 17 oct à 19 h 30
à La Mauvaise Réputation (20, rue Terral, quartier Ste Anne)
[logo] La Collective 34 la.collective.34@gmail.com / lacollective34.wordpress.com
https://lacollective34.wordpress.com/2017/10/11/apero-feministe-loi-travail-une-double-peine-pour-les-femmes/
https://lacollective34.files.wordpress.com/2017/10/affiche-dc3a9bat-loi-travail-17-oct-1.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (vue sur des pieds de boxeurs sur le ring) ]
- texte :
Après la loi Travail, toujours debout pour le prochain round solidarité et autodéfense de classe
www.classeenlutte.org
http://www.classeenlutte.org/2017/09/11/les-tracts-affiches-et-autocollants/
http://www.classeenlutte.org/wp-content/uploads/2016/12/affiche-A2-CLASSE-ROUND.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; collection typo ]
- texte :
durée légale du temps de travail — heures sup — travail de nuit — referendum — CDD — accord de branche — regroupement des instances représentatives — contrat de travail — assurance chômage — salaire — licenciement — rupture du CDI — montant de l’indemnité de précarité — plafonnement des indemnités — accord d’entreprise
Décryptage des ordonnances et du projet Macron pour mieux les combattre
Présentation / débat avec Richard Abauzit, militant syndicaliste et défenseur des salariés-e-s
Samedi 16 septembre à 17 h
à la librairie la Mauvaise réputationEn soirée : pot de rentrée et repas partagé
Groupe Un Autre Futur — Montpellier
groupe-uaf@c-g-a.org - site web : unautrefutur.orgLibrairie La Mauvaise Réputation
Quartier Sainte-Anne - 20, rue Terral
Ouverture tous les samedis de 15 h à 19 hCoordination des Groupes Anarchistes [logo] CGA
www.c-g-a.org
Secrétariat : secretariat@c-g-a-.orghttp://unautrefutur.org/ressources/affiches/
http://unautrefutur.org/affiche-anti-electoralisme-2/- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (oiseau limicole en envol : guifette) ]
- texte :
À bas l’État et le travail
Ⓐ
Pour l’autonomie et l’anarchie
Affiche collée à Lille pour le 1er mai 2018
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (portrait de Bernard Friot sur fond de manifestants) ]
- texte :
Avant la grève générale
Retraites à points ou saignantes ?
salaire à vie !
Conférence gesticulée de Bernard Friot
Vendredi 29 novembre 2019
Nantes, B17 — 17, rue Bellamy, 19 h 30[logo CHAR noir] CNT — [logo] réseau salariat www.reseau-salariat.info
entrée libre, pour la caisse de grève de la CNT / buvette-grignotte
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Le travail libère-t-il ?]
[Le travail libère-t-il ?]. — Athí̱na = Αθήνα Athenes ; Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , vert , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2012 |
[Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]
[Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]. — Poitiers : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Pavillon noir (Poitiers), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Le travail, c’est l’esclavage salarié. La propriété, c’est le vol]
[Le travail, c’est l’esclavage salarié. La propriété, c’est le vol]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[Projection « Des corps en chaine » au Centre culturel libertaire]
[Projection « Des corps en chaine » au Centre culturel libertaire]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.
sources :
[Rencontre avec Nicolas Jounin, auteur de Chantier interdit au public]
[Rencontre avec Nicolas Jounin, auteur de Chantier interdit au public]. — Lyon : CNT_F (France : ≥1993) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Work is wage slavery Property is theft]
[Work is wage slavery Property is theft]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[Contre le plan Sapin]
[Contre le plan Sapin]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2013 |
[Pour une inspection du travail indépendante au service des salariés]
[Pour une inspection du travail indépendante au service des salariés]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2013 |
[Le travail est un crime]
[Le travail est un crime]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 21 cm.
sources :
[Travaillons tou(te)s moins et autrement]
[Travaillons tou(te)s moins et autrement]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Face au patronat Tefal : défendons les missions et l’indépendance de l’inspection du travail]
[Face au patronat Tefal : défendons les missions et l’indépendance de l’inspection du travail]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (trois ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
[Inspection du travail au service des salariés]
[Inspection du travail au service des salariés]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
[Inspection du travail au service des travailleurs]
[Inspection du travail au service des travailleurs]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
[L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés]
[L’inspectrice du travail et un accusé sur le banc des accusés]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Tefal : défendons les lanceurs d’alerte]
[Tefal : défendons les lanceurs d’alerte]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (trois ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
[Tefal : face aux pressions patronales, nous ne nous tairons pas !]
[Tefal : face aux pressions patronales, nous ne nous tairons pas !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (trois ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
[Tefal : patrons voyous !]
[Tefal : patrons voyous !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (trois ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
![]() 2015 |
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![]() 2015 |
[Tefal : qui est le délinquant ?]
[Tefal : qui est le délinquant ?]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (trois ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
![]() 2015 |
[AG de lutte contre la loi Travail]
[AG de lutte contre la loi Travail]. — Lille ; Villeneuve-d’Ascq : AG contre le loi Travail Lille : l’ Insoumise (La bouquinerie occupée. Lille), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce ) ; x × y cm.
sources :
[Contre la loi des patrons, contre l’État d’urgence]
[Contre la loi des patrons, contre l’État d’urgence]. — Paris : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : Anarkismo, (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() [ 2016 & ante] |
[Grève générale jusqu’au retrait de la loi Travail]
[Grève générale jusqu’au retrait de la loi Travail] / Fañch Ar Ruz. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2016 |
[Grève générale jusqu’au retrait de la loi Travail]
[Grève générale jusqu’au retrait de la loi Travail] / Fañch Ar Ruz. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 21 × 30 cm.
sources :
![]() 2016 |
[Non à la désintégration du Code du travail !]
[Non à la désintégration du Code du travail !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Partage des richesses, baisse du temps de travail]
[Partage des richesses, baisse du temps de travail]. — Paris : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : Anarkismo, [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() 2016 |
[Apéro féministe : projection du film « Harcèlement, un fléau social »]
[Apéro féministe : projection du film « Harcèlement, un fléau social »] / Thomas Mathieu. — Montpellier : la Collective 34 : la Mauvaise réputation, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Apéro féministe. Loi travail : une double peine pour les femmes]
[Apéro féministe. Loi travail : une double peine pour les femmes]. — Montpellier : la Collective 34 : la Mauvaise réputation, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() [ 2020 & ante] |
![]() [ 2020 & ante] |
[Après la loi Travail, toujours debout pour le prochain round solidarité et autodéfense de classe]
[Après la loi Travail, toujours debout pour le prochain round solidarité et autodéfense de classe]. — Toulouse : CLASSE (Collectif de Liaison pour l’Autodéfense et la Solidarité de clasSE), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Décryptage des ordonnances et du projet Macron pour mieux les combattre]
[Décryptage des ordonnances et du projet Macron pour mieux les combattre]. — Montpellier : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : Groupe Un autre futur (UAF_ : Montpellier), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[À bas l’État et le travail]
[À bas l’État et le travail]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Avant la grève générale : retraites à points ou saignantes ?]
[Avant la grève générale : retraites à points ou saignantes ?]. — Nantes : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Bosser plus longtemps pour une retraite au rabais ?]
[Bosser plus longtemps pour une retraite au rabais ?]. — Paris : CNT_SO (Confédération nationale du travail-Solidarité ouvrière), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.