prison
335 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (grillage déchiré) ]
- texte :
21-23 septembre
autoclave
diy festival de tatouage, de piercing et de modifications corporelles en solidarité avec les prisonnière.e.s et les victimes de la répression
projections, expos, ateliers, débats,
concert vendredi soir, placard musical
à partir de vendredi 19 h jusqu’à dimanche
espace enfants, café, bar…ouverture tous les jours à midi,
jusqu’à 00 h le vendredi et le samedi
et jusqu’à 22 h le dimancheà Dijon, aux tanneries, bd chicago et ailleurs, les chiens ne sont pas bienvenus
autoclave.poivron.org
Existe des variantes de couleurs de cette affiche.
[Autoclave : DIY festival de tatouage, de piercing et de modifications corporelles en solidarité avec les prisonnière.e.s et les victimes de la répression]
[Autoclave : DIY festival de tatouage, de piercing et de modifications corporelles en solidarité avec les prisonnière.e.s et les victimes de la répression]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , bleu ) ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (enfant gravissant un mur surmonté d’un grillage) ]
- texte :
Avis de tempête
La vie n’est pas une croisière où tout le monde s’amuse : un emploi perdu, une allocation menacée par les mesures d’austérité, une centrale nucléaire qui pète, un-e proche arrêté-e par les flics, une survie toujours plus difficile. Et dans ce monde en perpétuelle transformation, on s’attend à une prochaine tempête.
Beaucoup s’en remettent à la démocratie et font confiance à ses institutions, que ce soit les élections comme les syndicats, la police comme la justice, assurant au pouvoir la perpétuation dont il a besoin. Les sangsues nationalistes, religieuses et communautaires s’agitent, sentant que la situation peut leur être propice.
De son côté l’État se prémunit, resserre son contrôle et construit de nouvelles prisons pour enfermer les indésirables, les récalcitrant-e-s, celles et ceux qui se révoltent, celles et ceux qui préfèrent voler dans les magasins et arnaquer les allocs plutôt que de crever la dalle.
Mais le vent pourrait tourner.
En Angleterre, des milliers de gens ont brisé les règles du jeu le temps de quelques nuits d’août enflammées.
De Lampedusa à Christmas Island, des prisons pour étranger-e-s sont incendiées par les sans-papiers qui y sont enfermés.
En Tunisie comme en Égypte, des révolté-e-s s’attaquent au pouvoir en place.
Tout cela nous porte à croire que l’on peut changer radicalement l’existant.Nous ne voulons pas de leur religion, de leurs prisons, ni de leur nation et de leurs frontières. Parce que le pouvoir perpétuera toujours la domination et l’oppression, il n’y a rien à faire de leur démocratie, qu’elle soit de gauche ou de droite, représentative ou réelle.
Comme celles et ceux gui désirent la liberté et refusent une existence réduite à la survie, au travail et à la consommation, me de pouvoir.
[Avis de tempête]
[Avis de tempête]. — Paris : No Border, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , rose , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.
sources :
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessins (hirondelles) ]
- texte :
Borstal Breakout!
Solidarité avec les inculpé-es !
Le 5 juillet dernier, une dizaine de personnes ont pénétré dans les locaux de la Protection judiciaire de la jeunesse(PJJ), à Labège dans la banlieue de Toulouse, pour manifester contre l’incarcération des mineurs. Selon La Dépéche du Midi du 6 juillet, qui s’appuie sur les déclarations faites aussitôt à la presse par le procureur de la République, ces personnes étaient « “armées” de bouteilles dont elles ont déversé le contenu sur les bureaux et les ordinateurs. Un liquide marron au relent d’ammoniaque et qui pourrait contenir de l’urine et des excréments humains ». Elles sont reparties « après avoir lance des tracts qui contiendraient des propos injurieux sur l’action éducative menée par la PJJ ».
Quatre mois plus tard, le mardi 15 novembre à Toulouse, 7 domiciles sont perquisitionnés par une centaine de gendarmes. 4 sont placées en détention provisoire sur demande du juge d’instruction. Une cinquième est placée sous contrôle judiciaire, une sixième doit rester à disposition du juge pour le reste de l’instruction en tan que « témoin assisté ».
Qu’ils soient innocents ou coupables est le dernier de nos soucis, il est évident que le pouvoir a voulu frapper des personnes déjà connues pour avoir manifesté leur hostilité à ce système de mort. Ce qui importe, c’est de continuer la lutte, celle des mineurs enfermés comme celle de ceux qui tentent de la propager à l’extérieur. Ce qui importe, c’est de détruire cette société qui a besoin d’enfermer.
* Samedi 14 janvier 2012 : concert de soutien
Centre Culturel Libertaire 4, rue de Colmar - Lille (M° Porte des Postes)Bulgarian Yoghurt (punk rock’n’ roll - Paris)
Larcin (Oï ! ’n roll - Lille)
+ Dj’s all styles
21 h - Prix libre (tous les bénéfices iront aux inculpés)* Mardi 17 janvier : projection Vidéo
[logo squat féministe] Le Mangematin 23, rue St Bernard - Lille (M° Montebello)Projection de Scum d’Alan Clarke - 1979
21 h - Entrée libre
Chaque soir, tables de presse avec de la documentations autour de l’enfermement
Voir sur : http://lille.cybertaria.org/article1955.html
[Borstal Breakout ! : solidarité avec les inculpé-es !]
[Borstal Breakout ! : solidarité avec les inculpé-es !]. — Lille : Turbulences sociales, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (chat noir cerclé CNT sur un fond de barreaux de prison, avec bombinette) ]
- texte :
Éduquer… pour émanciper
Séance - Débat
Soirée autour de l’enfermement
★ Lecture : « La Ballade de la geôle de Reading » d’Oscar Wilde
★ Projection
★ Débat
Samedi 27 octobre 2012 - 20 h 30
Librairie Les Nuits Bleues
21, rue Mailé — AngersEntrée libre
Pour une révolution sociale, éducative et libertaire
[logo chat noir cerclé] Confédération Nationale du Travail
CNT 49
CNT-FTE 49 - CNT-PTT 49 - CNT Santé Social 49 - www.cnt-f.org/cnt49/
[Éduquer… pour émanciper : soirée autour de l’enfermement]
[Éduquer… pour émanciper : soirée autour de l’enfermement]. — Angers : CNT_F (France) : les Nuits bleues, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (porte de cellule de prison, barbelés)
- texte :
Feu aux prisons et au monde qui en a besoin
La prison n’est rien de plus qu’un reflet de la société dans laquelle nous vivons. Notre société ressemble à une grande prison à ciel ouvert ; avec la menace de mourir de faim si vous ne dépensez pas votre énergie pour le capitalisme dans un travail dépourvu de sens, avec des caméras à chaque coin de rue, avec la police intimidant et assassinant dans la rue comme les screws font pour ceux et celles enfermé.es dans des cages et avec des frontières tracées en tant que murs par nos dirigeant.es. L’intérieur et l’extérieur de la prison ne diffèrent que par leur degré d’intensité, mais les deux sont basés sur la domination, l’aliénation et le contrôle.
L’État n’est pas intéressé à réduire le crime, mais à augmenter le contrôle social. L’emprisonnement décent, comme un capitalisme humain, n’existe pas. L’emprisonnement – être pris en otage par l’État – est une raison en soi pour se rebeller contre les screws et leurs barbelés. Tout comme dans la rue, il y a des gens dans les prisons, les établissements psychiatriques et les centres de détention qui ne sont pas en paix avec leurs conditions, qui n’ont pas enterré un certain goût pour la liberté simplement parce qu’un.e juge a décidé qu’ils vivraient dans une cage. Au sein de ces murs, il y a celles qui refusent le quotidien d’humiliation d’obéir aux gardes, dont les murs et les barbelés ne sont pas encore gravées dans leur cerveau, et qui plutôt les observent comme des obstacles qui doivent encore être surmontés. Le châtiment que le juge leur impose est une conséquence d’un monde qui est basé sur l’exploitation et l’obéissance, un monde qui ne pourrait pas fonctionner sans la menace constante de prison pour ceux qui choisissent de ne pas se soumettre à la misère qui les entourent.
Des vagues de révoltes, d’émeutes et de rébellions sont très répandues dans le système pénitentiaire. En se soulevant, en brûlant les infrastructures de la prison, en attaquant les gardes et en s’échappant, certains prisonnier(ère)s ont redécouvert ce que le système a essayé de leur enlever : le courage, le désir de liberté et la volonté de mettre un terme à au moins une partie de cette société de domination par la rébellion contre elle.
Notre désir de vivre libre de l’exploitation est sans valeur si nous ne sommes pas disposés à agir. La machine de la prison n’est pas aussi bien huilée qu’elle le semble, et celles à l’extérieur peuvent retrouver ses engrenages à chaque coin de rue – des architectes de prisons aux banques qui financent les prisons. Notre passion pour la liberté est plus forte que leurs prisons !
« C’est la plus terrible institution de notre époque que cette justice, fatiguée de surenchérir sur le crime qu’elle prétend punir ; ne crucifiant plus, n’écartelant plus, de dépeçant plus, n’empalant plus, ne brûlant plus et, même, ne décapitant plus. Il n’y a plus ni fer, ni roue, ni gibet, ni bûcher, ni rien. Ce qui remplace tout, c’est le temps. La vie amputée du temps ! C’est ça la prison : du temps infligé dans sa nudité. On ne tue pas, on laisse mourir. »
– Serge Coutel« Même si les prisons étaient transformées d’entrepôts d’humain.es en hôtels de luxe, même si les prisonnier(ère)s de toutes les prisons recevaient des « réductions de peine », même si le passage à tabac à tous les jours des prisonnier(ère)s était remplacé par des accords sournois et assimilés par les politiques correctionnelles, conformément au modèle des « droits humains », même si les cellules blanches étaient peinturées en rose et que la méthadone remplaçait l’héroïne, nous resterions à jamais les ennemi.es de toute structure qui nous prive de notre liberté. Nous serons les rebelles à l’intérieur de vos hôtels de luxe et les incendiaires de la justice légale. Nous serons combattant.es éternel.les en amour avec la liberté. Des meilleures conditions de détention ne signifient rien de plus que l’amélioration des conditions de captivité. Pour nous, la question reste dans son essence, l’état de captivité en soi. »
– Yiannis Dimitrakis, anarchiste brigand de banques emprisonné en Grèce« La prison n’est pas simplement un endroit, c’est aussi une condition : l’antithèse de ce qu’est la liberté. Par la même, l’absence de liberté est la prison et c’est seulement lorsque cette dernière est perçue comme condition propre qu’il devient possible d’entrer dans la dimension destructrice, sans mesure. »
– Jean Weirsabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org
https://mtlcounterinfo.org/prison/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/prison.pdf
https://mtlcontreinfo.org/la-prison/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/feuxprison.pdf
[Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]
[Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
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![]() 2012 |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
photo (porte de cellule de prison, barbelés)
- texte :
Fire to the prisons and the world that needs them
Prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. Our society resembles a great open-air prison ; with the threat of starvation if you don’t spend your energy on meaningless work for capitalism, with cameras on every corner, with the police intimidating and murdering in the streets like the jailers do to those locked in cages, and with borders drawn by our rulers serving as walls. The inside and outside of prison only differ in their degree of intensity, but both are based on domination, alienation, and control.
The state is not interested in reducing crime, but in increasing social control. Decent imprisonment, like a humane capitalism, does not exist. Imprisonment – being held hostage by the state – is a reason in itself to rebel against jailers and their barbed wire. Just like on the street, there are people in the prisons, psychiatric institutions, and detention centres who do not come to peace with their conditions, who do not bury a certain taste for freedom just because a judge decides that they will live in a cage. Within these walls, there are those who refuse the daily humiliation of obeying the guards, for whom the walls and the barbed wire are not yet seared into their brains, and who rather observe them as obstacles that have yet to be overcome. The punishment that the judge imposes upon them is a consequence of a world that is based on exploitation and obedience, a world that would not function without the constant threat of prison for those who choose to not submit to the misery surrounding them.
Waves of revolts, riots, and rebellions are widespread within the prison system. By rising up, by burning the prison’s infrastructure, by attacking guards, and by escaping, some prisoners have rediscovered what the system has tried to take from them : courage, the desire for freedom, and the will to put an end to at least a part of this society of domination through rebellion against it.
Our desire to live free of exploitation is worthless if we are unwilling to act on it. The prison machine isn’t as well oiled as it seems, and those on the outside can find its gears on every street corner – from prison architects to banks that finance prisons. Our passion for freedom is stronger than their prisons !
“It’s the most terrible institution of our era, this justice, tired of outbidding the crime it pretends to punish ; it no longer crucifies, tears apart, skins, impales, brands, and even beheads. There is no longer the iron, the wheel, the gallows, the stake, or anything. What replaces them is time. Life amputated by time ! This is prison : time imposed in its nakedness. We no longer kill, we let die.”
– Serge Coutel“Even if prisons were transformed from human storerooms into luxury hotels, even if the prisoners of all prisons are satisfied with ‘reduced sentences’, even if the everyday beatings of prisoners are replaced by sly agreements and assimilated by correctional policies in accordance with the ‘human rights’ model, even if the ‘white cells’ turn ‘pink’ and heroin gives way to methadone we will remain forever enemies of any structure that denies us our freedom. We will be the rebels inside your luxury hotels and the arsonists of legal justice. We will be eternal fighters in love with freedom. Better prison conditions mean nothing more than improved conditions of captivity. For us the issue remains in its essence, the condition of captivity in itself.”
– Yiannis Dimitrakis, anarchist bank robber imprisoned in Greece“Prison is not simply a place, it is also a condition, the antithesis of which is freedom. By the same token, the absence of freedom is prison, and only when the latter is perceived as one’s own condition does it become possible to enter the destructive dimension without measure…Nothing less will do.”
– Jean Weirsabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org
https://mtlcounterinfo.org/prison/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/prison.pdf
https://mtlcontreinfo.org/la-prison/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/feuxprison.pdf
[Fire to the prisons and the world that needs them]
[Fire to the prisons and the world that needs them]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
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![]() 2012 |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte bilingue (français et turc) ; photos (arrestations musclées de militant•e•s ; cour de prison) ]
- texte :
Libération des prisonnier-e-s anarchistes en grève de la faim depuis le 11/06/2012 et de tout-te-s les prisonnier-e-s politiques !
Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!
Contre l’incarcération de plus de 900 étudiant-e-s
Contre la politique de répression à l’égard des minorités kurdes
Contre les atteintes au droit d’avorter
Contre l’incarcération de 15 militant-e-s anarchistes, dont 12 sont en grève de la faim depuis le 11 juinVive la solidarité internationale !
Manifestation mardi 26 juin, à 18 h 30, au Trocadéro, Paris
Eylem 26 Haziran Sali, saat: 18.30, Trocadéero, Paris
« Mobilisation unitaire d’organisations et d’individu-e-s libertaires
— Coordination des Groupes Anarchistes (CGA) - Région parisienne : www.c-g-a.org
— Offensive Libertaire et Sociale (OLS) - Paris : offensive.samizdat.net
— Fédération Anarchiste (FA) : www.federation-anarchiste.org
— AL BNO et AL PNE : www.alternativelibertaire.orghttp://c-g-a.org/content/halte-la-repression-en-turquie-turkiyede-ki-baskiya-son
http://c-g-a.org/sites/default/files/affiche_turquie.pdf
Turkiye’ deki Baskiya son!">[Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!]
[Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!]. — Paris ; Saint-Denis : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CGA_. Groupe Région parisienne : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : OLS_ (Offensive libertaire et sociale : 2003-2014), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; [30 ?] × [21 ?] cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (poings liés par des barbelés) ]
- texte :
Liberté pour notre frère Peppe Sghigno.
Liberté pour tous les compagnons en prison !
Solidarité avec tout ceux qui dans le monde combattent par l’action directe l’oppression de l’État et du capital !!
Rassemblement devant le consulat italien, 164 rue des Frères, Bordeaux
Jeudi 15 novembre
16 hhttps://gabx.noblogs.org/post/2012/11/28/liberte-pour-notre-frere-peppe-sghigno/
https://gabx.noblogs.org/files/2012/11/Prison011.jpg
[Liberté pour notre frère Peppe Sghigno]
[Liberté pour notre frère Peppe Sghigno]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]
- texte :
Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages
Avenue Jean Dagnaux, M° Canal du Midi
"Nous sommes contre la prison parce que le bruit de la clé dans la serrure d’une cellule est une torture quotidienne, l’isolement une abomination, la fin du parloir une souffrance et le temps enfermé un sablier qui tue à petit feu…"
Alors samedi 14 janvier, le Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège (et des autres) s’installe aux Pavillons Sauvages, le temps de faire connaitre un certain nombre d’outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) voués à briser le silence et l’isolement sur lesquels s’appuie la logique carcérale.
À partir de 14 h :
- Tables d’infos
- Atelier d’écriture de courrier aux détenu-es (fabrication de cartes postales qui détruisent la solitude)
- Initiation à la langue des signes (pour apprendre à communiquer sans bruit)
- Écoutes et intervention de Bande Organisée (super travail qui donne la parole aux jeunes enfermé-es)
http://www.bandeorganisee.org — http://pourlaliberte.noblogs.org
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]
- texte :
Samedi 14 janvier
à partir de 14 h
aux Pavillons Sauvages
avenue Jean Dagnaux - M° Canal du Midi
Tables d’infos ; présentation de différents outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) pour briser l’isolement carcéral ; écoute de documents sonores sur l’enfermement ; atelier d’écriture de courrier aux détenu-es ; initiation à la langue des signes (pour se parler en silence) ; fabrication de cartes postales (pochoirs, sérigraphie) ; salon de thé (ramène ton gâteau)
Bouffe vegan
À 19 h concert avec :
Seasick 6 ; Dures & Gay ; Prince Ringard ; Grâce & Volupté Van Van
Prix libre de soutien aux inculpé-es de Labège et à la Caisse d’Autodéfense Juridique
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Caisse d’Autodéfense Juridique : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (caméra de surveillance visé par un lance-pierre)
dessin (barbelés, mirador fracassé)
- texte :
En juin 2010, la mobilisation contre le sommet du G20 à Toronto a eu pour conséquence la plus large arrestation de masse de l’histoire du Canada. Une opération sécuritaire ayant coûté 1.6 milliard de dollars a procuré l’infrastructure et le personnel nécessaires pour emprisonner plus de 1100 personnes dans le but de défendre une réunion de bureaucrates des économies capitalistes les plus riches. Pour avoir organisé contre le sommet, 17 personnes ont été préventivement arrêtées et accusées de « conspiration ». Parmi celles-ci, 6 personnes ont reçu des sentences d’emprisonnement. D’autres ont été emprisonnées après avoir été accusées d’avoir commis des actions dans les rues, qui incluent des attaques contre la police et contre la propriété corporative.
Solidarité & complicité
avec les prisonnier.ères du G20
Prisonnier.ères dans la rue !
guelphabc.noblogs.org - conspiretoresist.wordpress.com - sabotagemedia.anarkhia.org
https://mtlcontreinfo.org/solidarite-et-complicite-avec-les-prisonnier-eres-du-g20/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/g20solidarityfr.cleaned.pdf
[Solidarité et complicité avec les prisonnier.ères du G20]
[Solidarité et complicité avec les prisonnier.ères du G20]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
photo (surveillance camera targeted by a slingshot)
drawing (barbed wire, shattered watchtower)
- texte :
In June 2010, the mobilization against the G20 summit in Toronto resulted in the largest mass arrest in Canadian history. A $1.6 billion security operation provided the infrastructure and personnel to cage over 1100 people in order to defend a meeting of the bureaucrats from the richest capitalist economies. As a result of organizing against the summit, 17 people were preventatively arrested on charges of ‘conspiracy’ for which six were sentenced to prison terms. Others have been locked up for actions in the streets, which included attacks on police and corporate property.
Solidarity & complicity with the G20 prisoners
Prisoners to the streets !
guelphabc.noblogs.org - conspiretoresist.wordpress.com - sabotagemedia.anarkhia.org
https://mtlcounterinfo.org/solidarity-and-complicity-with-the-g20-prisoners/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/g20solidarity.cleaned.pdf
[Solidarity and complicity with the G20 prisoners]
[Solidarity and complicity with the G20 prisoners]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (mouton posant sa tête sur le dos d’un chien qui avale un oiseau) ]
- texte :
Against the Closed Centres and all forms of imprisonment !
Getting the voice out is a web site that gathers stories from people detained in prisons (closed centres) for migrants who are considered illegal by the State, to get their voices heard in the outside world and make public what the authorities try so hard to hide.
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone] — Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
[Against the Closed Centres and all forms of imprisonment !]
[Against the Closed Centres and all forms of imprisonment !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (mouton posant sa tête sur le dos d’un chien qui avale un oiseau) ]
- texte :
Contre les prisons pour immigré-e-s et toutes les formes d’enfermements !
Getting the voice out est un site qui collecte les témoignages des personnes détenues dans des prisons pour migrant-e-s considéré-e-s illégaux-ales par l’État (centres fermés), afin de porter leurs récits à l’extérieur des murs et de rendre ainsi public ce que les autorités s’efforcent de cacher.
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone] — Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Il existe plusieurs couleurs pour cette affiche (au moins : rouge, beige, brun).
[Contre les prisons pour immigré-e-s et toutes les formes d’enfermements !]
[Contre les prisons pour immigré-e-s et toutes les formes d’enfermements !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
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![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (prison) ]
- texte :
Du son contre la prison
Un concert hip-hop diffusé en direct de 21 h à minuit sur Radio Dio 89.5FM à St-Étienne pour les prisonniers et prisonnières de la maison d’arrêt de la Talaudière.
Concert & mix DJ
Les Évadés — Singe des Rues — Première Linge
Ursa minor ; 11, rue de l’Égalerie, site Mosser, Saint-Étienne
Samedi 4 mai 2013
20 h • 5 € • adhésion prix libreDiffusion sur les ondes FM de plusieurs villes
Pour plus d’informations : http://www.myspace.com/dusoncontrelaprison
[Du son contre la prison]
[Du son contre la prison]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (prison et filets anti-hélicoptère) ]
- texte :
Du son contre la prison
un concert hip-hop diffusé en direct sur Radio Campus Lille 106.6 FM de 21 h à minuit par « Zapzalap » et « La Voix sans maître »
samedi 4 mai 2013
Pour les prisonniers et prisonnières de Sequedin, Douai, Annœullin, Lesquin
Concert et mix DJ
Les Évadés /// Singe des Rues /// Première ligne• discussion sur l’enfermement et le contrôle social de 15 h à 18 h
• cantine et écoute collective du concert à partir de 20 hCentre culturel libertaire
4, rue de Colmar - M° Porte des Postes - lille.cybertaria.org
Organisé par le GDALE : 1groupeanarlille@no-log.org - gdale.cybertaria.org [Logo] GDALE-Groupe D’Anarchistes de Lille et Environs — CGA-Coordination des groupes anarchistes
[Du son contre la prison, samedi 4 mai 2013 au Centre cuturel libertaire]
[Du son contre la prison, samedi 4 mai 2013 au Centre cuturel libertaire]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (forteresse d’où s’échappent des bras portant : pinces, mégaphone, écrits) ]
- texte :
Getting the voice out
Getting the voice out est un site qui collecte les témoignages des personnes détenues en centres fermés (prisons pour migrant-e-s en situation illégale), afin de porter leurs récits à l’extérieur des murs et de rendre ainsi public ce que les autorités s’efforcent de cacher.
gettingthevoiceout@vluchteling.be
Contre les centres fermés et toutes les formes d’enfermements !
[Getting the voice out]
[Getting the voice out]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , beige , gris ) ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessins ( personnages traversant une clôture de barbelés ; poing levé à travers des barreaux de prison) ]
- texte :
Journée de la Solidarité Internationale contre l’Enfermement
Rassemblement devant le Centre de Rétention Administrative (commissariat Meriadeck)
Jeudi 2 mai 2013 - À 18 heures
GAB - groupe anarchiste bordelais
https://gabx.noblogs.org/post/2013/04/25/essayer-et-reessayer-encore-et-toujours-ou-jusqua-ce-quil-ny-ait-plus-de-barreaux-a-scier/
https://gabx.noblogs.org/files/2013/04/3313144-0.jpg
[Journée de la Solidarité Internationale contre l’Enfermement]
[Journée de la Solidarité Internationale contre l’Enfermement]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 2011 |
|||
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin et photo (fête sous les fenêtres d’une prison sous le regard d’un personnage FMI à la langue fourchue/bifide et avec une liasse d’Euros dépassant d’une poche) ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone]
Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Let’s break the wall of Indifference !
Getting the voice out is a web site that gathers stories from people detained in prisons (closed centres) for migrants who are considered illegal by the State, to get their voices heard in the outside world and make public what the authorities try so hard to hide.
Against the Closed Centres and all forms of imprisonment !
Existe aussi en format A5.
[Let’s break the wall of Indifference !]
[Let’s break the wall of Indifference !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (tête de renard masqué et outils croisés (marteau, et ?) sur semis de chataignes ou de noisettes) ]
- texte :
No TAV
libertà per tutti i prigioneri colpevi o non
www.notav.info/arresti-notav/
Avant 2018
[No TAV]
[No TAV]. — [S.l.] : [s.n.], [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (personne assise sur un lit en prison) ]
- texte :
Resto Trottoir
collectif Food Not Bombs Besançon
blog : restotrottoir.blogspot.comdim 28 avril 2013
Repas gratuit pour tous et toutes
Attention ! dès 12 h 30, square Bouchot, en haut de la rue Battant
Repas végétalien issu de récupérations
+ zone de gratuité : vêtements, chaussures…
- infokiosque : infos, tracts et brochures…Retrouvez l’association comme un élan
Finissons-en avec toutes les prisons !
Nous rejoindre square Bouchot 11 h 30 participer à l’installation
Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.
Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.orghttps://restotrottoir.blogspot.com/2013/04/rt-avril-2013-un-bon-repas-est-un-repas.html
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 avril 2013]
[Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 avril 2013]. — Besançon : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (manifestants casqués (?) recevant (envoyant ?) des gaz lacrimogènes (?) dans une vallée boisée) ]
- texte :
Si parte et si torna insieme
Dietro quelle barricate, in quei boschi, davanti a quelle recinzioni c’eravamo tutti
Libertà per gli arrestati in Val Susa
ora e sempre no TAV
Avant 2018
[Si parte et si torna insieme, ora e sempre no TAV]
[Si parte et si torna insieme, ora e sempre no TAV]. — [S.l.] : [s.n.], [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin et photo (fête sous les fenêtres d’une prison sous le regard d’un personnage FMI à la langue fourchue/bifide et avec une liasse d’Euros dépassant d’une poche) ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone]
Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Sloop de muur van onverschilligheid
Getting the voice out verzamelt getuigenissen van messen die vastgehouden worden in gesloten centra, zodat hun verhalen de buitenwereld kunnen bereiken en dat publiek wordt gemaakt wat de autoriteiten proberen te verbergen.
Tegen de Gesloten Centra en alle vormen van opsluitigen !
Existe aussi en format A5.
[Sloop de muur van onverschilligheid]
[Sloop de muur van onverschilligheid]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin et photo (fête sous les fenêtres d’une prison sous le regard d’un personnage FMI à la langue fourchue/bifide et avec une liasse d’Euros dépassant d’une poche) ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone]
Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Stop à l’indifférence, ouvrons des brèches !
Getting the voice out est un site qui collecte les témoignages des personnes détenues dans des prisons pour migrant-e-s considéré-e-s illégaux-ales par l’État (centres fermés), afin de porter leurs récits à l’extérieur des murs et de rendre ainsi public ce que les autorités s’efforcent de cacher.
Contre les centres fermés et toutes les formes d’enfermements !
Existe aussi en format A5.
[Stop à l’indifférence, ouvrons des brèches !]
[Stop à l’indifférence, ouvrons des brèches !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (mouton posant sa tête sur le dos d’un chien [de garde] qui avale un oiseau) ]
- texte :
Tegen de Gesloten Centra en alle vormen van opsluitigen !
Getting the voice out verzamelt getuigenissen van messen die vastgehouden worden in gesloten centra, zodat hun verhalen de buitenwereld kunnen bereiken en dat publiek wordt gemaakt wat de autoriteiten proberen te verbergen.
www.gettingthevoiceout.org [logo avec oiseaux à tête de mégaphone] — Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
[Tegen de Gesloten Centra en alle vormen van opsluitigen !]
[Tegen de Gesloten Centra en alle vormen van opsluitigen !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (fenêtre de prison d’où s’échappe un bras portant un mégaphone d’où s’échappent des personnages depuis une corde) ] par Titom ?
- texte :
Getting the voice out est un site qui collecte les témoignages des personnes détenues en centres fermés (prisons pour migrant-e-s en situation illégale), afin de porter leurs récits à l’extérieur des murs et de rendre ainsi public ce que les autorités s’efforcent de cacher.
contact :
gettingthevoiceout@vluchteling.bewww.gettingthevoiceout.org
contre les centres fermés et toutes les formes d’enfermements
Existe aussi en flyer A5
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (fenêtre de prison d’où s’échappe un bras portant un mégaphone d’où s’échappent des personnages depuis une corde) ] Titom ?
- texte :
Getting the voice out is a web site that gathers stories from people detained in closed centres (prisons for migrants who are considered illegal by the State) to get their voices heard in the outside world and make public what the authorities try so hard to hide.
contact :
gettingthevoiceout@vluchteling.bewww.gettingthevoiceout.org
against the Closed Centres and all forms of imprisonment !
existe aussi en flyer A5
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (fenêtre de prison d’où s’échappe un bras portant un mégaphone d’où s’échappent des personnages depuis une corde) ] van Titom ?
- texte :
Getting the voice out verzamelt getuigenissen van messen die vastgehouden worden in gesloten centra, zodat hun verhalen de buitenwereld kunnen bereiken en dat publiek wordt gemaakt wat de autoriteiten proberen te verbergen.
contact :
gettingthevoiceout@vluchteling.bewww.gettingthevoiceout.org
tegen de gesloten centra en alle vormen van opsluitigen !
Existe aussi en flyer A5
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte bilingue (néerlandais, français) ; photo (centre fermé de Steenokkerzeel vu depuis un grillage) ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org
Gesloten centrum Steenokkerzeel = Centre fermé de Steenokkerzeel
Deze website « gettingthevoiceout » (de stemmen laten horen) heeft tot doel getuigenissen te
laten horen van mensen die opgesloten en of mishandelt worden in Belgische gesloten centra…
Deze mensen zijn opsloten in zeer moeilijke omstandigheden en worden met geweld het land uitgezet, welk ook hun geschiedenis of hun land van herkomst is.
Wij steunen hun strlid zowel binnen als buiten de centra.
Deze getuigenissen en beelden zijn vrij beschikbaar om verder te verspreiden, te laten beluisteren of erover te debatteren.Le site « gettingthevoiceout » (Faire sortir la voix) a pour vocation de vous donner à entendre des témoignages venant de personnes enfermées et maltraitées dans les centres fermés en Belgique...
Ces personnes sont détenues dans des conditions misérables avant d’être expulsées violemment, quelque soit leur origine ou leur histoire.
Nous soutenons les luttes de ces personnes à l’Intérieur comme à l’extérieur des centres.
Ces témoignages sont à la disposition de toutes et de tous, pour apprendre, diffuser, faire entendre, débattre, agir...contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Extraits de témoignages — Enkele uittreksels uit getuigenissen
[…]
Existe aussi en flyer A5 (fr, nl, en)
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : barreaux de prison — mégaphone — porte-voix 🔈 — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal
[ texte ; dessin (labyrinthe, envahi de policiers anti-émeute, dans une prison hexagonale attaquée par une manifestation, slogans de prisonniers démolissant un mur : « I want to be free », « Es inhumano estar encerrado », « Geen mens is illegaal », « Liberté de circulation pour tous », « Libertad », « Vrij ») ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org
Getting the voice out est un site qui collecte les témoignages des personnes détenues dans des prisons pour migrant.e.s considéré.e.s illégaux.ales par l’État (centres fermés), afin de porter leurs « récits » à l’extérieur des murs et de rendre ainsi public ce que les autorités s’efforcent de cacher.
Contre les centres fermés et toutes les formes d’enfermements.
Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Existe aussi en flyer A5.
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : barreaux de prison — mégaphone — porte-voix 🔈 — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal
[ texte ; dessin (labyrinthe, envahi de policiers anti-émeute, dans une prison hexagonale attaquée par une manifestation, slogans de prisonniers démolissant un mur : « I want to be free », « Es inhumano estar encerrado », « Geen mens is illegaal », « Liberté de circulation pour tous », « Libertad », « Vrij ») ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org
Getting the voice out is a web site that gathers stories from people detained in prisons for migrants who are considered illegal by the State (closed centres), to get their voices heard in the outside world and make public what the authorities try so hard to hide.
Against the closed centres and all forms of imprisonment.
Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Existe aussi en flyer A5.
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : barreaux de prison — mégaphone — porte-voix 🔈 — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal
[ texte ; dessin (labyrinthe, envahi de policiers anti-émeute, dans une prison hexagonale attaquée par une manifestation, slogans de prisonniers démolissant un mur : « I want to be free », « Es inhumano estar encerrado », « Geen mens is illegaal », « Liberté de circulation pour tous », « Libertad », « Vrij ») ]
- texte :
www.gettingthevoiceout.org
Getting the voice out verzamelt getuigenissen van messen die vastgehouden worden in gesloten centra, zodat hun verhalen de buitenwereld kunnen bereiken en dat publiek wordt gemaakt wat de autoriteiten proberen te verbergen.
Tegen de gesloten centra en alle vormen van opsluitigen.
Contact : gettingthevoiceout@vluchteling.be
Existe aussi en flyer A5.
[www.gettingthevoiceout.org]
[www.gettingthevoiceout.org]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Getting the Voice Out, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2013 ?] |
![]() [ 2013 ?] |
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (visage barbu d’homme de face) singé par ? ]
- texte :
En soutien aux prostitué.es et aux prisonnier.ères
Autoclave III
Body mod — Tattoo circus
2014
(Septembre
12 - 13 - 14Espace autogéré des Tanneries
17, boulevard de Chicago - Dijonhttp://autoclave.poivron.org
[Autoclave III : en soutien aux prostitué.es et aux prisonnier.ères ]
[Autoclave III : en soutien aux prostitué.es et aux prisonnier.ères ]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : rouge , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (chanteur en concert à travers un mur de brique percé) ; couleur plus ou moins différente selon les exemplaires ]
- texte :
Du son contre la prison
concert hip hop
vendredi 9 mai 2014
Retransmis en direct de 21 h à minuit sur Radio Dio 89.5 FM à Saint-Étienne, pour les prisonniers et prisonnières de la maison d’arrêt de la Talaudière
Tornade — Billie Brelox — Dialctik Musik
Ursa minor - 11 rue de l’Égalerie - Bellevue - Saint-Étienne
5 euros + adhésion prix libre — [logo "usine"] PTX
Retransmis sur les ondes FM de plusieurs autres ville : [logo] Radio Dio 89.5 www.radiodio.org
+ d’infos sur www.facebook.com/dusoncrtrelaprison- Soirées diffusées régulièrement sur d'autres radios comme {Radio Campus Lille}. Voir : [Du son contre la prison, le 9 mai sur ta radio locale]
[Du son contre la prison 2014]
[Du son contre la prison 2014]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; 46 × 35 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (rhinocéros traversant un mur de béton) ]
- texte :
Billie Brelok — Dialectik Musik — Tornade
Du son contre la prison
le 9 mai sur ta radio locale
Dès 21 h, retransmission des concerts sur Radio Campus Lille - 106,6 FM
Cantine Vegan et écoute collective à partir de 20 h
Au Centre culturel libertaire
4, rue de Colmar à LillePlus d’info • dusoncontrelaprison@riseup.net & sur facebook
Concerts à Saint-Étienne, diffusés sur plusieurs lieux : http://lille.cybertaria.org/?article2523
- Soirée organisiée par {Radio Dio}. Voir : [Du son contre la prison 2014]
[Du son contre la prison, le 9 mai sur ta radio locale]
[Du son contre la prison, le 9 mai sur ta radio locale]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux ) ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (en partie manuscrit) ; photos (mur de séparation, char, manifestation « intifada ») ; dessins (mur de séparation cassé, barbelés, coupe-boulons) ]
- texte :
CTRL+ALT+DELETE
Présentation du livre Le Soleil ne vient pas
Un Occidental, six mois en Palestine, un mois dans un centre de rétention en Israël. Des perspectives sur le colonialisme, les luttes contre le mur, contre la domination, l’évasion et nos évasions.
Mercredi 22 octobre 2014
19 h 30 - Prix libre
au Centre culturel libertaire, 4, rue de Colmar à Lille
[Présentation et discussion autour du livre Le Soleil ne vient pas de Ryan Olander, en présence de l’auteur]
[Présentation et discussion autour du livre Le Soleil ne vient pas de Ryan Olander, en présence de l’auteur]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte & dessin par Sarah Georges ]
- texte :
28.03.14
Soirée de soutien au Centre Culturel Libertaire
20 h
• Présentation des différents collectifs membres du CCL
• ConcertsUdo und Brigitte - Shiko-Luminocolor - Berline 0.33 - Walter Brückmann duao - Makach
Prix libre en soutien au CCL - 4, rue de Colmar
[signé] Sarah George
[Soirée de soutien au Centre culturel libertaire, 28 mars 2014]
[Soirée de soutien au Centre culturel libertaire, 28 mars 2014] / Sarah George. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 2014 |
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
dessin (mur de brique en destruction)
- texte :
Face à l’enfermement dans et hors les murs
Prisons - Violences policières - Centres de détention - Établissements psychiatriques
Cerna - Dialectik Musik - Pain de Mix - Keskiya
Discussions - Bar - Bouffe à prix libre - Projection - Théâtre
septembre 2015
Ven. 25 — 18 h ouverture, repas — 21 h théâtre, concert, percussions brésiliennes
Sam. 26 — 10ßh ouverture, discussions + repas — 21 h concerts, hip-hop
Dim. 27 — 12 h ouverture — 13 h projection , discussion, repas
à La Parole Errante — 9, rue François-Debergue Montreuil — Ⓜ Croix de Chavaux
[Face à l’enfermement dans et hors les murs]
[Face à l’enfermement dans et hors les murs]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : La Parole errante, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 59 × 42 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (français, anglais, russe) ; dessin d’après photo (portrait) ]
- texte :
Solidarité internationale
Libérez Alexandr Koltchenko
Alexandr Koltchenko est un jeune étudiant de Crimée, anarchiste combattant pour la liberté, les droits sociaux, la défense de l’environnement et contre le fascisme. Il vient d’être emprisonné par le régime de Poutine pour « participation à des organisations terroristes » et se trouve détenu à la prison de Lefortovo comme prisonnier politique.
Faites parvenir vos dons à
Solidaires, 144, boulevard de la Villette, 75019 Paris (avec au dos du chèque la mention « Koltchenko »)[Delta papier - Expressions2 - Paris 20 - 01 43 58 26 26]
http://www.cnt-f.org/solidarite-avec-alexandr-koltchenko.html
http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche_koltchenko_2_.jpgSoutiens : Solidaires, Alternative libertaire, Fédération, anarchiste, Nouveau parti anticapitaliste ?
[Libérez Alexandr Koltchenko]
[Libérez Alexandr Koltchenko]. — Nîmes : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2015 |
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (français, anglais, russe) ; dessin d’après photo (portrait) ]
- texte :
Solidarité internationale
Libérez Alexandr Koltchenko
Alexandr Koltchenko est un jeune étudiant de Crimée, anarchiste combattant pour la liberté, les droits sociaux, la défense de l’environnement et contre le fascisme. Il est emprisonné depuis le 16 mai 2014 par le régime de Poutine pour « participation à des organisations terroristes » et se trouve détenu à la prison de Lefortovo comme prisonnier politique.
Contact : soutien.kolchenko@gmail.com
Faites parvenir vos dons à Solidaires, 144, boulevard de la Villette, 75019 Paris (avec au dos du chèque la mention « Koltchenko »)
Delta papier - Expressions2 - Paris 20 - 01 43 58 26 26
http://www.cnt-f.org/solidarite-avec-alexandr-koltchenko.html
http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche_koltchenko_2_.jpgSoutiens : Solidaires, Alternative libertaire, Fédération, anarchiste, Nouveau parti anticapitaliste ?
[Libérez Alexandr Koltchenko]
[Libérez Alexandr Koltchenko]. — Nîmes : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() 2015 |
|||
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte trilingue (français, arabe ? , anglais) ; photo (personne passant au dessus d’un grillage) ]
- texte :
Liberté pour les trois migrants emprisonnés en Angleterre pour avoir traversé la frontière
Des papiers et des logements pour tous et toutes
Liberté de circulation et d’installation, à bas les frontières[…]
Freedom for the 3 migrants imprisoned in England to have crossed the border
Papers and homes for all
Freedom of movement, no borders[…]
Manifestation samedi 24 octobre 2015
15 h place des Fêtes, jusqu’à la Chapelle[2015…]
Demonstration Saturday 24th October
15h00 / 3p.m. at place des Fêtes to la Chapelle[…]
http://www.cnt-f.org/fte/?Liberte-de-circulation-et-d&lang=fr
[Liberté pour les trois migrants emprisonnés en Angleterre pour avoir traversé la frontière = Freedom for the 3 migrants imprisoned in England to have crossed the border = …]
[Liberté pour les trois migrants emprisonnés en Angleterre pour avoir traversé la frontière = Freedom for the 3 migrants imprisoned in England to have crossed the border = …]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
dessins (couteaux et barbelés)
- texte :
Québec Ministry of Public Security vehicles attacked
November 2013
“Recently, we paid a visit to the parking lot of the Ministry of Public Security of Quebec at 600 Fullum, and doused their official vehicles with paint stripper and slashed the tires.
The Ministry of Public Security of Quebec is responsible for, among other things, overseeing the municipal and provincial police and provincial prisons. Ultimately, it is the ministry that is responsible for all aspects of the conditions of imprisonment in Quebec – from the conduct of the police to the items available in canteen.
As we write this, there are two ongoing shows of resistance to the prison system in Canada. One is a hunger strike undertaken by detained immigrants in Ontario who are not accused of any crime, but are detained awaiting deportation proceedings.
Their demands include better treatment and an end to detention of immigrants without criminal charges. The hunger strike is now in its fifth week. The second is a work strike in many federal prisons across the country to protest the recent 30% pay cut for all federal prisoners. The government justifies the pay cut by claiming they are taking room and board from the prisoners. Not only do prisoners already have to work to maintain their own prisons but they will now have to pay to be imprisoned. This pay cut is part of a broader trend in which prisoners face worsening conditions – from longer sentences, stricter parole, double-bunking, and fewer programs in prison.
Solidarity to prisoners in struggle ; for an end to all prisons and police. And to Youri and Guillaume, G20 prisoners, in Bordeaux provincial prison in Montreal.”
More info at
mtlcounter-info.orgUne des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcounterinfo.org/quebec-ministry-of-public-security-vehicles-attacked-2/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/11/knives.pdf
[Québec Ministry of Public Security vehicles attacked]
[Québec Ministry of Public Security vehicles attacked]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
dessins (couteaux et barbelés)
- texte :
Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués
Novembre 2013
« Récemment, nous avons visité le stationnement du ministère de la sécurité publique du Québec situé au 600 rue Fullum. Nous avons versé du décapant à peinture sur leurs véhicules officiels et crevé les pneus. Le ministère de la sécurité publique du Québec est entre autres responsable de la supervision de la police provinciale, des polices municipales et des prisons provinciales. Ce ministère est responsable de tous les aspects des conditions d’emprisonnement au Québec – du comportement des flics aux items disponibles à la cantine.
Au moment de la publication de ce texte, il y a deux démonstrations de résistance au système carcéral au Canada. La première est une grève de la faim engagée par des immigrant-e-s détenu-e-s en Ontario, accusé-e-s d’aucun crime, en attente de procédures de déportation. Leurs revendications incluent de meilleurs traitements ainsi que la fin des détentions d’immigrant-e-s sans accusation criminelle. La grève de la faim en est présentement à sa cinquième semaine. La seconde est une grève du travail en cours dans plusieurs prisons fédérales à travers le pays, protestant contre la coupure de salaire de 30% pour tou-tes les détenu-e-s des prisons fédérales. Le gouvernement justifie cette coupure en annonçant que les prisonnier-e-s doivent payer une pension. Non seulement les prisonnier-e-s doivent déjà travailler au maintien de leur propre prison, mais ils devront dorénavant payer pour leur emprisonnement. Cette coupure de salaire fait partie d’une tendance plus large à empirer les conditions d’emprisonnement - sentences plus longues, libérations conditionnelles plus strictes, cellules doublement occupées et diminution des programmes en prison.
Solidarité avec les prisonnier.e.s en lutte ; pour en finir avec la police et toutes les prisons. Et avec Youri et Guillaume, prisonniers du G20 à la prison provinciale de Bordeaux à Montréal. »
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mtlcounter-info.orgUne des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcounterinfo.org/quebec-ministry-of-public-security-vehicles-attacked-2/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/11/knives.pdf
[Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués]
[Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.
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[ texte (blanc au noir) ; photo (deux jeunes garçons sur un bateau dont l’un saute dans l’eau) ]
- texte :
À Marseille un grand chantier est en cours à la prison des Baumettes
Le prétexte affiché par l’État serait de mettre un terme à la vétusté de cette vieille taule, et de créer des « conditions d’enfermement plus dignes » pour les détenu-es. Derrière le langage humanitaire, le véritable objectif de cette restructuration est clairement de pouvoir enfermer plus de monde, et de manière plus sécurisée (renforcer l’isolement des détenu-es, limiter les contacts entre elles-eux, empêcher les solidarités, les mutineries et les évasions).
En parallèle du chantier des Baumettes, deux autres prisons sont en train de sortir de terre dans la région, celle d’Aix (Luynes 2) et celle de Draguignan. Elles-mêmes s’inscrivent dans un plus vaste plan de construction et de rénovation qui vise à accroître encore plus les capacités d’enfermement, alors que les peines ne cessent de s’allonger. Sans compter les mesures et dispositifs qui se multiplient et se surajoutent à l’incarcération en tant que telle : contrôles judiciaires, pointages, bracelets électroniques, assignations à résidence…
Tandis que Pôle emploi et la CAF, aidés par une multitude d’associations et d’organismes de formation, intensifient notre mise au travail forcé et notre insertion, la loi travail et la réforme pénale succèdent à l’état d’urgence… Les tenailles du contrôle et de l’exploitation nous étouffent et exigent toujours plus de soumission dans la vie quotidienne. De fait nous sommes de plus en plus nombreux-ses à sentir la menace de l’enfermement planer au dessus de nos têtes, à faire des allers-retours entre la taule et un “dehors” qui lui ressemble toujours plus…
Et dans ce monde régi par le fric et l’autorité, l’enfermement des un-es fait le bonheur des autres… À l’affût des bonnes occasions, de nombreuses entreprises (Artelia, Vinci et sa filiale Travaux du midi, Icade…) s’empressent de participer au festin, tant pour la réalisation des taules (architecture, construction), que pour leur gestion (cantines, nettoyage, travail dans le cadre de la détention…). Là où le pouvoir voudrait présenter la prison comme un bastion invulnérable, de nombreux actes d’insoumission individuels et collectifs, à l’intérieur comme à l’extérieur, ne cessent de démontrer le contraire. En déplaçant le regard, on constate aussi que les différents rouages qui la font fonctionner ne sont jamais à l’abri d’un peu d’audace et de quelques coups bien placés.
Pas question de subir cette offensive du pouvoir en baissant la tête ! Il y a autant de raisons que de manières différentes d’essayer de bloquer, saboter, entraver et détruire leurs structures mortifères et le projet de domination qui en a besoin.
Pour la révolte ! Pour la liberté !
Affiche apparue sur les murs de Marseille en septembre 2016 :
https://mars-infos.org/a-marseille-un-grand-chantier-est-1668 (Marseille infos autonomes : site collaboratif d’infos et de luttes à Marseille)
[À Marseille un grand chantier est en cours à la prison des Baumettes]
[À Marseille un grand chantier est en cours à la prison des Baumettes]. — Marseille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
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[ texte ; photo (mutins sur un toit de prison) ]
- texte :
Sur les toits de la prison de Fleury-Mérogis en 1987
Amnistie pour tous les prisonniers et toutes les prisonnières du mouvement social
Nous sommes des milliers dans la rue : lycéens, travailleuses, étudiantes, travailleurs avec ou sans emploi, syndiqués ou non. Nous faisons grève, nous occupons, nous bloquons, nous manifestons contre une nouvelle loi et le capitalisme qu’elle sert.
Nous subissons la violence de la police. Pour nous défendre face à des hommes en armes, nous sommes de plus en plus nombreux à nous organiser et à nous protéger pour continuer à prendre part à la lutte sans risquer des blessures graves ou la mort. Il n’y a pas de « bavures » policières : il y a une logique de terreur pour maintenir l’ordre, politique, économique et social. Le lot habituel des habitants des quartiers populaires se révèle à tous. Nous détestons la police.
Nous subissons aussi la violence de la justice. Pour nous défendre face à des magistrats qui lancent des poursuites de plus en plus délirantes — jusqu’à perpète pour un croche-patte — soyons de plus en plus nombreux à faire le front. Il n’y a pas d’« erreurs » judiciaires : il y des lois, et des peines, pour maintenir l’ordre, politique, économique et social. Le lot habituel des habitants des quartiers populaires se révèle à tous. Nous détestons la justice.
Il n’y a pas plus de méchants « casseurs » que de gentils manifestants. Il n’y a ni innocents, ni coupables. Il y a des policiers, des juges. Ils servent l’État et le Capital. Ils en sont les bras armés.
Amnistie pour tous les inculpés ! Liberté pour tous et toutes !
Pour en finir avec toutes les prisons
2016 #tout le monde déteste la justice
www.lenvolee.net
Affiche parue en pages centrales de L’Envolée : pour en finir avec toutes les prisons n° 44 (juin 2016)
[Amnistie pour tous les prisonniers et toutes les prisonnières du mouvement social]
[Amnistie pour tous les prisonniers et toutes les prisonnières du mouvement social]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Envolée (l’), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
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- notes :
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[ texte ]
- texte :
Février 2017
Blasphegme 3
Bulletin mural anarchiste
Ils nous ont menti, il y a une vie avant la mort, une vie de révolte, et il n’y a pas d’ailleurs où guérir d’ici.
Maison Blanche : l’hôpital prison
La prison de la Santé est fermée, pourtant il y a encore en plein Paris des lieux où des personnes sont internées contre leur gré. Dans le Nord et l’Est parisien, par exemple, il y a quatre hôpitaux psychiatriques qui font partie de l’Établissement Public de Santé Maison Blanche, l’un des trois membres fondateurs de la Communauté Hospitalière de Territoire pour la psychiatrie parisienne. L’établissement est chargé de la population du Nord et de l’Est de Paris : 7e (Infanto-Juvénile), 8e, 9e, 10e, 17e, 18e, 19e et 20e arrondissements. Ces hôpitaux-prisons sont situés : rue du Général Lasalle (19e), rue d’Avron (20e), avenue de la Porte de Saint-Ouen (18e) et rue d’Hauteville (10e).Les « patients » peuvent y être hospitalisés (ou plutôt enfermés) sans leur consentement, dans le cadre de soins psychiatriques à la demande d’un tiers, ou sur décision du représentant de l’État. Si l’on est enfermé contre son gré là-dedans impossible de sortir tant qu’un psychiatre en charge n’a pas signé un certificat médical, ou qu’un juge d’application des peines n’a pas donné son aval. Cela va sans dire que la durée d’enfermement n’est jamais décidée d’avance, contrairement à une peine de prison (bien que l’administration pénitentiaire s’arrange parfois pour rallonger les peines des plus récalcitrants), et qu’une fois rentré on ne sait jamais quand on sortira. La prise de médicaments obligatoire aidant, il est courant d’y perdre la notion du temps, et pour les réfractaires aux petites pilules les blouses blanches ne s’embarrassent pas, c’est intraveineuse de force. En effet, les médicaments à outrance soulagent le personnel qui aime savoir les « patients » endormis et neutralisés. L’heure de la prise des médicaments et des repas rythme le temps, en dehors de ça les personnes traînent leurs désespoirs dans les couloirs lugubres de ces hôpitaux prisons, espérant ne pas avoir à subir d’électrochocs (toujours couramment pratiqués) et, hormis les plus rétifs, feignant la docilité pour ne pas avoir à endurer les punitions ultimes : envoyé en chambre d’isolement, ou se voir infliger des mesures de contention (attaché pieds et mains à un lit, nuit et jour).
Lorsque l’administration psychiatrique n’arrive pas à prouver qu’on est dangereux « pour les autres » elle dit qu’on est dangereux « pour soi-même ». C’est pratique, et ne repose que sur le seul avis d’un psychiatre, parfois influencé par des proches qui trouvent un quelconque intérêt à faire enfermer une personne de leur propre famille, un moyen comme un autre de s’en débarrasser (parfois aussi les choix sont limités). C’est d’ailleurs une pratique assez courante d’utiliser la psychiatrie pour décrédibiliser, isoler, confisquer la parole, tant et si bien que certains vieux serpents adhèrent à ces normes et ces catégories bancales, reconnaissent à une science le pouvoir de mesurer l’esprit, si cela peut servir leurs intérêts personnels. Mais au fond on pourrait se demander qui est « fou », qui est « sain d’esprit » dans ce monde ? N’est-ce pas plutôt bon signe d’avoir des émotions et de ne pas vouloir se contenter de ce quotidien fade et empoisonné qu’on voudrait nous faire avaler ? Et puis qu’est-ce que la norme ? Dans cette société, une femme en colère et violente est toujours une folle, un homme en colère et violent ne fait qu’exprimer virilement ses émotions.
Alors bien sûr qu’il ne s’agit pas ici de culpabiliser ceux/celles qui n’ont parfois pas d’autre choix que d’avoir recours à la psychiatrie pour survivre à des situations désespérées. Mais nous disons que ça n’est pas la solution au mal-être produit par ce monde, que c’est comme un pansement sur une jambe de bois. Et si la psychiatrie se targue de sauver des gens d’eux-mêmes en les abrutissant de médicaments, nous disons qu’elle condamne aussi à vivre une vie impossible à aimer en l’état, et que forcer les gens à aller bien sans changer les causes qui les font se sentir mal, ça ne marchera jamais. Les psychotropes sont distribués comme des petits pains dedans et hors de l’hôpital, ça permet d’anesthésier les émotions, et de rester productif, de garder bonne figure, de continuer à subir les humiliations quotidiennes sans broncher, se voiler la face, se dire que le problème vient de soi, et que la solution c’est la chimie.
Ces hôpitaux sont des prisons, destinées à briser les réfractaires, les forcer à accepter de rentrer dans un moule.
Nous sommes pour la destruction de toutes les prisons et de toutes ces catégories qui nous enferment !
Je vomis dans vos corn-flakes
Belleville s’embourgeoise. On peut le voir à travers ces nouveaux bars et restos stylés dans lesquels nous ne rentrerons jamais, à cause du prix prohibitif et de l’ambiance branchée, encore plus antipathique que ces bars PMU à la clientèle uniquement masculine. C’est donc sans surprise que nous avons découvert par hasard le nouveau bar à céréales rue de Ménilmontant. Nous avions entendu parler de ce concept suite au « scandale » de l’installation d’un tel bar à Londres, qui devint la cible d’une manifestation contre l’embourgeoisement d’un quartier. Suite à quoi le débat sur la responsabilité des commerçants dans ce processus avait été réactivé. Ce phénomène étant lié à l’installation dans des quartiers pauvres de ces jeunes entrepreneurs branchés qui ont la faculté de rendre inaccessible tout ce sur quoi ils posent leur regard ; revalorisant et transformant à leur image les anciens quartiers ouvriers dans lesquels ils s’installent par nécessité économique. Partant d’une bonne volonté sans aucun doute, les conséquences en sont la flambée des loyers. Face à cela, l’erreur serait de défendre l’identité sociale (ou autre) d’un quartier, plutôt que de se battre pour pouvoir vivre où on le désire, là où on veut avoir sa vie.Aux côtés de nouveaux projets immobiliers, qui participent à « réinventer Paris », ce sont des magasins bios, des brasseries, bars et restos à concept, des « food market », des boutiques artisanales, théâtres ou des galeries d’art qui fleurissent. Tout cela dans la dynamique d’un entrepreneuriat « sympathique », branché, qui se veut à visage humain, écolo, éthique, respectueux des travailleurs et des consommateurs, bien sûr … faut-il encore avoir le porte- monnaie pour y accéder, et l’envie de distinction par sa consommation. Comme ces gens au look bien travaillé qui ont fait du « do it yourself » leur manne financière, mettant en avant l’authenticité de leurs produits marketing, et faisant la promotion du bonheur au travail, plaçant au cœur de leurs activités « l’autonomie » (avec papa/maman pour assurer ses arrières, et jouer les garants pour des logements inaccessibles au commun des mortels), « l’aventure » (dans la jungle urbaine), et « l’imagination » (produit d’une école d’art ou de commerce), mais surtout, le profit. Grâce à eux l’idée de se faire du fric en profitant de la crédulité des consommateurs prend une autre dimension. Et c’est donc naturellement que des esprits créatifs ont eut l’idée de prospérer sur le dos d’idiots nostalgiques de leur enfance dorée, prêts à payer cher pour un petit moment de régression avec un bol de céréales et du lait … du lait bio, ou au soja, branchitude oblige.
Tout cela pourrait prêter à sourire, si ces petites entreprises à l’allure bon enfant n’allaient pas dans le sens des projets des municipalités pour nettoyer les quartiers de leurs pauvres, les repousser toujours plus loin en banlieue. Et en attendant de pouvoir y arriver totalement, les garder à l’œil, pour protéger les populations plus solvables pour qui on rend le quartier attractif. L’outil principal de la ville de Paris pour mener à bien son projet c’est la pacification des habitants. Elle prend différentes formes : c’est tout ce qui contribue à la « sécurité » du quartier, par l’omniprésence de caméras et des flics, avec dans certains endroits comme à Belleville la Brigade Spécialisée de Terrain, dont le boulot consiste à harceler les pauvres qui essaient de survivre tant bien que mal, et les petits-frères des flics, ceux qui ont moins réussi, les services de sécurité, notamment les GPIS, hommes de main des bailleurs sociaux, mais aussi les Correspondants de nuit, dont le rôle est principalement tourné vers une assistance aux flics, la répression des « incivilités », et un travail de fichage sur les populations indésirables. Mais pour contribuer à la pacification il y a aussi l’imaginaire créé par le discours sur la « mixité sociale » et son « quartier-village », où l’on dit bonjour à ses voisins en faisant son marché le samedi matin avec ses enfants.
Il va falloir dissuader les riches de s’installer si l’on ne veut pas aller vivre ailleurs !
À leur paix sociale répondons par la guerre sociale contre leurs flics et leurs commerces !
https://blasphegme.noblogs.org
[Blasphegme numéro 3]
[Blasphegme numéro 3]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
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texte
photo (manifestation dans une cour de prison)
- texte :
Grève des prisonnier.ères aux États-Unis
Le 9 septembre 1971, les détenus de la Facilité Correctionnelle d’Attica, située dans le nord de l’État de New York, ont pris le contrôle de la prison. Le soulèvement d’Attica, qui a duré cinq jours, n’était pas la première ni la dernière des rébellions ayant eu lieu à l’intérieur d’une prison. Pourtant, son importance a marqué de manière indélébile l’histoire de la lutte contre la suprématie blanche et contre la société-prison dans laquelle nous habitons aujourd’hui encore.
À travers les quarante-cinq années depuis la révolte d’Attica, les prisons gonflent jusqu’à l’explosion sous la pression des tragédies de toutes ces vies interrompues, des familles éclatées et des communautés brisées. Dans la dernière décennie, les mouvements de résistance ont poussé régulièrement derrière les murs des prisons. Partout à travers les États-Unis, les prisonniers.ères sont pleinement réveillé.es et en mouvement : de l’arrêt généralisé du travail dans les prisons de Georgie en 2010, à la grève de la faim qui s’est propagée à travers le système californien de prison en 2013, des incendies dans les centres de détention I.C.E. (Immigration et Contrôle Douanier) au Texas aux émeutes et aux prises de contrôle des prisons au Nebraska et en Alabama. La révolte contre la prison est aussi présente de ce côté-ci de la frontière : à Lindsay, en Ontario, les détenu.es du Centre correctionnel du Centre-Est sont en grève depuis deux ans, demandant la fin de la détention des immigrant.es.
« Nous ne sommes pas des bêtes et on n’a pas l’intention de les laisser nous battre ou nous conduire comme si on l’était… Ce qui s’est passé ici, c’est le bruit précédant la furie des opprimés. »
– L.D. Barkley, participant à la rébellion d’AtticaSeptembre 9.2016
En septembre prochain, les prisonniers.ères ainsi que leurs familles et des supporteurs de l’extérieur sont en train de coordonner une grève des prisonniers.ères à travers les États-Unis, laquelle doit avoir lieu lors du 45e anniversaire de la rébellion d’Attica. Cet effort historique porte en son sein le potentiel de s’élargir et de nourrir le mouvement contre les horribles conditions de confinement, les prisons elles-mêmes et la société qui les crée.
Pour la destruction de toutes les prisons et la création d’une communauté humaine libre et véritable.
supportprisonerresistance.noblogs.org
antistatestl.noblogs.org | itsgoingdown.org | iwoc.noblogs.orghttps://mtlcontreinfo.org/9-septembre-greve-des-prisonnier-eres-aux-etats-unis/
https://mtlcounterinfo.org/september-9th-prisoner-strike-across-the-us/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9FR.pdf
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9EN.pdfD’après https://antistatestl.noblogs.org/post/2016/07/28/september-9th-nationwide-prisoner-strike-poster/
[Grève des prisonnier.ères aux États-Unis]
[Grève des prisonnier.ères aux États-Unis]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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- notes :
- descriptif :
texte
photo (manifestation dans une cour de prison)
- texte :
Prisoner strike across the US
On September 9, 1971, the inmates of Attica Correctional Facility in upstate New York seized control of the prison. The Attica uprising, which lasted for five days, was not the first and certainly not the last prison rebellion. And yet its importance is indelibly marked within the history of the struggle against white supremacy and the prison society we still inhabit today.
In the forty-five years since Attica, prisons have swelled to bursting with the tragedies of disrupted lives, fractured families, and broken communities. In the last decade, resistance movements have steadily grown behind the prison walls. From the statewide work stoppage in Georgia prisons of 2010 to the hunger strike that spread throughout the California prison system in 2013 ; from fires lit in I.C.E. detention centers in Texas to riots and prison takeovers in Nebraska and Alabama, prisoners across the US are wide awake and on the move. Revolt against prisons is also present on this side of the border ; in Lindsay, Ontario, detainees held by CBSA in the Central East Correctional Centre have been on strike for two years demanding an end to immigration detention.
“We are not beasts and we do not intend to be beaten or driven as such… What has happened here is but the sound before the fury of those who are oppressed.”
– L. D. Barkley, participant in Attica rebellionSeptembre 9.2016
This September, prisoners, their families, and supporters on the outside are coordinating a prisoner strike across the US to take place on the 45th anniversary of the Attica rebellion. This historic effort holds within it the potential to expand and embolden the movement against the horrific conditions of confinement, the prisons themselves and the society that creates them.
Towards the destruction of all prisons and the creation of a free and genuine human community
supportprisonerresistance.noblogs.org
antistatestl.noblogs.org | itsgoingdown.org | iwoc.noblogs.orghttps://mtlcontreinfo.org/9-septembre-greve-des-prisonnier-eres-aux-etats-unis/
https://mtlcounterinfo.org/september-9th-prisoner-strike-across-the-us/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9FR.pdf
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2016/08/sept9EN.pdfD’après https://antistatestl.noblogs.org/post/2016/07/28/september-9th-nationwide-prisoner-strike-poster/
[Prisoner strike across the US]
[Prisoner strike across the US]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
vignettes
- texte :
Brûlons les centre de détention
Expulsons le gouvernement
Accueillons les réfugiés
milice d’appui aux réfugiés-e-s
Laissez-les entrer, ostie !
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2018/06/POSTER_migrants.pdf
Soumission anonyme à MTL Contre-info — https://mtlcontreinfo.org/brulons-les-centres-de-detention/
Voir : https://mtlcontreinfo.org/bienvenue-en-enfer-appel-a-laction-le-30-juin-et-1er-juillet/
[Brûlons les centre de détention…]
[Brûlons les centre de détention…]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 28 cm.
sources :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (blanc sur noir) ; couverture du livre Charbonnerie El Buen Trato de Claudio Lavazza (coupe de travaux d’évasions, photo de la prison Punta Carreras de Montevideo) ]
- texte :
Vendredi 2 novembre
18 h - Boulevard Pardigon
Présentation du livre
“Charbonnerie El Buen Trato” (éd. Tumult) sur l’évasion d’anarchistes par tunnel de la prison à Montevideo (Uruguay) en 1930.
Présentation, débat suivi d’une projection du documentaire “Acratas” : anarchistes expropriateurs de La Plata.
Ensuite il y aura de quoi manger et boire en soutien à l’imprimerie L’Impatience.
1930, Montevideo, capitale de l’Uruguay. En face de la prison de Punta Carretas, l’anarchiste Gino Gatti et sa famille décident d’ouvrir une charbonnerie : « El Buen Trato ». Les affaires vont pour le mieux. Cependant, en mars 1931, la famille Gatti décide de quitter Montevideo et de déménager en Argentine, pliant boutique après moins d’un an d’activité.
Quelques jours après le départ de la famille italienne, les voisins de la dorénavant ex-charbonnerie remarquent des gens qui sortent en courant de l’établissement. Alarmés, ils avertissent la police qui arrive aussitôt et fait irruption sur les lieux. Une fois à l’intérieur, les agents mettent bien peu de temps à comprendre qui étaient ces personnes qui fuyaient. En effet, au fond d’une pièce, ils découvrent un trou dans le plancher, un puits parfaitement éclairé qui s’enfonce profondément. À côté de la cavité, il y a un billet qui dit : « La solidarité entre les anarchistes ne se réduit pas à des paroles ».
Sept des évadés, de même que les constructeurs du tunnel, faisaient partie des groupes d’action anarchistes qui agissaient en Amérique du Sud dans les années 20 et 30. Recherchées et persécutées sans relâche par la police, ces individualités anarchistes menèrent une lutte contre l’État qui, si elle ne dura que quelques années, fut sans répit et se matérialisa dans des attentats, des expropriations, ou dans l’organisation d’évasions. Une lutte sans répit contre l’ennemi.
https://mars-infos.org/presentation-du-livre-charbonnerie-3463
https://lelaboratoireanarchiste.noblogs.org/files/2018/12/CLAUDIO-LOCANDINA-WEBBE1.pdf
[Présentation du livre « Charbonnerie El Buen Trato »]
[Présentation du livre « Charbonnerie El Buen Trato »]. — Marseille : Imprimerie L’Impatience (Marseille), (Impatience (Marseille), L’). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :