France

 

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Affichage par année

4105 affiches :

 














    [Sur la Commune]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sur la Commune]. — [S.l.] : Elle n’est pas morte !, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)  ; Debord, Guy-Édouard (1931-1994)  ; Kotànyi, Attila  ; Vaneigem, Raoul (1934-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte de l’Internationale situationniste de 1962 sur la Commune de Paris de 1871 ]

    texte :

    Sur la Commune

    1

    « Il faut reprendre l’étude du mouvement ouvrier classique d’une manière désabusée, et d’abord désabusée quant à ses diverses sortes d’héritiers politiques ou pseudo-théoriques, car ils ne possèdent que l’héritage de son échec. Les succès apparents de ce mouvement sont ses échecs fondamentaux (le réformisme ou l’installation au pouvoir d’une bureaucratie étatique) et ses échecs (la Commune ou la révolte des Asturies) sont jusqu’ici ses succès ouverts, pour nous et pour l’avenir. »

    « Notes éditoriales », Internationale situationniste, n° 7

    2

    La Commune a été la plus grande fête du XIXe siècle. On y trouve, à la base, l’impression des insurgés d’être devenus les maîtres de leur propre histoire, non tant au niveau de la déclaration politique "gouvernementale" qu’au niveau de la vie quotidienne dans ce printemps de 1871 (voir le jeu de tous avec les armes ; ce qui veut dire : jouer avec le pouvoir). C’est aussi en ce sens qu’il faut comprendre Marx : « la plus grande mesure sociale de la Commune était sa propre existence en actes ».

    3

    Le mot de Engels : « Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat » doit être pris au sérieux, comme base pour faire voir ce que n’est pas la dictature du prolétariat en tant que régime politique (les diverses modalités de dictatures sur le prolétariat, en son nom).

    4

    Tout le monde a su faire de justes critiques des incohérences de la Commune, du défaut manifeste d’un appareil. Mais comme nous pensons aujourd’hui que le problème des appareils politiques est beaucoup plus complexe que ne le prétendent les héritiers abusifs de l’appareil de type bolchevik, il est temps de considérer la Commune non seulement comme un primitivisme révolutionnaire dépassé dont on surmonte toutes les erreurs, mais comme une expérience positive dont on n’a pas encore retrouvé et accompli toutes les vérités.

    5

    La Commune n’a pas eu de chefs. Ceci dans une période historique où l’idée qu’il fallait en avoir dominait absolument le mouvement ouvrier. Ainsi s’expliquent d’abord ses échecs et succès paradoxaux. Les guides officiels de la Commune sont incompétents (si on prend comme référence le niveau de Marx ou Lénine, et même Blanqui). Mais en revanche les actes « irresponsables » de ce moment sont précisément à revendiquer pour la suite du mouvement révolutionnaire de notre temps (même si les circonstances les ont presque tous bornés au destructif — l’exemple le plus connu est l’insurgé disant au bourgeois suspect qui affirme qu’il n’a jamais fait de politique : « c’est justement pour cela que je te tue »).

    6

    L’importance vitale de l’armement général du peuple est manifestée, dans la pratique et dans les signes, d’un bout à l’autre du mouvement. Dans l’ensemble on n’a pas abdiqué en faveur de détachements spécialisés le droit d’imposer par la force une volonté commune. La valeur exemplaire de cette autonomie des groupes armés a son revers dans le manque de coordination : le fait de n’avoir à aucun moment, offensif ou défensif, de la lutte contre Versailles porté la force populaire au degré de l’efficacité militaire ; mais il ne faut pas oublier que la révolution espagnole s’est perdue, et finalement la guerre même, au nom d’une telle transformation en « armée républicaine ». On penser que la contradiction entre autonomie et coordination dépendait grandement du degré technologique de l’époque.

    7

    La Commune représente jusqu’à nous la seule réalisation d’un urbanisme révolutionnaire, s’attaquant sur le terrain aux signes pétrifiés de l’organisation dominante de la vie, reconnaissant l’espace social en termes politiques, ne croyant pas qu’un monument puisse être innocent. Ceux qui ramènent ceci à un nihilisme de lumpenprolétaire, à l’irresponsabilité des pétroleuses, doivent avouer en contrepartie tout ce qu’ils considèrent comme positif, à conserver, dans la société dominante (on verra que c’est presque tout). « Tout l’espace est déjà occupé par l’ennemi... Le moment d’apparition de l’urbanisme authentique, ce sera de créer, dans certaines zones, le vide de cette occupation. Ce que nous appelons construction commence là. Elle peut se comprendre à l’aide du concept de trou positif forgé par la physique moderne. » (« Programme élémentaire d’urbanisme unitaire », Internationale situationniste n° 6.)

    8

    La Commune de Paris a été vaincue moins par la force des armes que par la force de l’habitude. L’exemple pratique le plus scandaleux est le refus de recourir au canon pour s’emparer de la Banque de France alors que l’argent a tant manqué. Durant tout le pouvoir de la Commune, la Banque est restée une enclave versaillaise dans Paris, défendue par quelques fusils et le mythe de la propriété et du vol. Les autres habitudes idéologiques ont été ruineuses à tous propos (la résurrection du jacobinisme, la stratégie défaitiste des barricades en souvenir de 48, etc.).

    9

    La Commune montre comment les défenseurs du vieux monde bénéficient toujours, sur un point ou sur un autre, de la complicité des révolutionnaires ; et surtout de ceux qui pensent la révolution. C’est sur le point où les révolutionnaires pensent comme eux. Le vieux monde garde ainsi des bases (l’idéologie, le langage, les mœurs, les goûts) dans le développement de ses ennemis, et s’en sert pour regagner le terrain perdu. (Seule lui échappe à jamais la pensée en actes naturelle au prolétariat révolutionnaire : la Cour des Comptes a brûlé.) La véritable « cinquième colonne » est dans l’esprit même des révolutionnaires.

    10

    L’anecdote des incendiaires, aux derniers jours, venus pour détruire Notre-Dame, et qui s’y heurtent au bataillon armé des artistes de la Commune, est riche de sens : elle est un bon exemple de démocratie directe. Elle montre aussi, plus loin, les problèmes encore à résoudre dans la perspective du pouvoir des conseils. Ces artistes unanimes avaient-ils raison de défendre une cathédrale au nom de valeurs esthétiques permanentes, et finalement de l’esprit des musées, alors que d’autres hommes voulaient justement accéder à l’expression ce jour-là, en traduisant par cette démolition leur défi à une société qui, dans la défaite présente, rejetait toute leur vie au néant et au silence ? Les artistes partisans de la Commune, agissant en spécialistes, se trouvaient déjà en conflit avec une manifestation extrémiste de la lutte contre l’aliénation. Il faut reprocher aux hommes de la Commune de n’avoir pas osé répondre à la terreur totalitaire du pouvoir par la totalité de l’emploi de leurs armes. Tout porte à croire qu’on a fait disparaître les poètes qui ont traduit à ce moment la poésie en suspens de la Commune. La masse des actes inaccomplis de la Commune permet que deviennent « atrocités » les actes ébauchés, et que les souvenirs soient censurés. Le mot « ceux qui ont fait les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau » explique aussi le silence de Saint-Just.

    11

    Les théoriciens qui restituent l’histoire de ce mouvement en se plaçant du point de vue omniscient de Dieu, qui caractérisait le romancier classique, montrent facilement que la Commune était objectivement condamnée, qu’elle n’avait pas de dépassement possible. Il ne faut pas oublier que, pour ceux qui ont vécu l’évènement, le dépassement était là.

    12

    L’audace et l’invention de la Commune ne se mesurent évidemment pas par rapport à notre époque mais par rapport aux banalités d’alors dans la vie politique, intellectuelle, morale. Par rapport à la solidarité de toutes les banalités parmi lesquelles la Commune a porté le feu. Ainsi, considérant la solidarité des banalités actuelles (de droite et de gauche) on conçoit la mesure de l’invention que nous pouvons attendre d’une explosion égale.

    13

    La guerre sociale dont la Commune est un moment dure toujours (quoique ses conditions superficielles aient beaucoup changé). Pour le travail de « rendre conscientes les tendances inconscientes de la Commune » (Engels), le dernier mot n’est pas dit.

    14

    Depuis près de vingt ans, en France, les chrétiens de gauche et les staliniens s’accordent, en souvenir de leur front national anti-allemand, pour mettre l’accent sur ce qu’il y eut dans la Commune de désarroi national, de patriotisme blessé, et pour tout dire de « peuple français demandant par pétition d’être gouverné » (selon la « politique stalinienne » actuelle), et à la fin poussé au désespoir par la carence de la droite bourgeoise apatride. Il suffirait, pour recracher cette eau bénite, d’étudier le rôle des étrangers venus combattre pour la Commune : elle était bien, avant tout, l’inévitable épreuve de force où devait se mener l’action en Europe depuis 1848 de « notre parti », comme disait Marx.

    18 mars 1962

    Attila Kotànyi, Guy Debord, Raoul Vaneigem

    Ces thèses sur la Commune, dont l’actualité ne devrait échapper à personne, parurent le 21 février 1963 dans un tract de L’internationale situationniste intitulé Aux poubelles de l’histoire ! Il révélait un plagiat vraiment démesuré de ces thèses qu’Henri Lefebvre avait fait paraître dans l’ultime numéro de la répugnante revue Arguments paru au début de 1963, plagiat que ce versaillais de la culture réitérera en 1965 dans son livre sur La Proclamation de la Commune. Ce tract fut réédité en fac-similé dans le n° 12 de la revue Internationale situationniste en septembre 1969.

    Achevé d’imprimer le 18 mars 1997. © anticopyright des éditions Elle n’est pas morte !


    sources :
     







    [Artigues 98, 7 jours de fête en chansons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Artigues 98, 7 jours de fête en chansons]. — Artigues (Ariège) : els Segadors, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 50 × 36 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : chanson
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Semal, Claude (1954-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : camping  ; galas et actions de soutien  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ programme du festival ; dessin de trois profils ]

    texte :

    Artigues 98

    du 18 juillet au 24 juillet

    7 jours de fête en chansons

    Notes en bulle

    Casse-pipe, C. Semal, S. Kerval, les Petits Assassins, les Belles Lurettes, H. Orti, M. Pujado, duo Laporte-Charmel, Kalifa, M.-M. Perraudin, Bel-Hubert, R. Deblauwe, Denis (spectacle enfants)

    Animations : ateliers divers, expos, garderie, canoë-kayak, randonnées en moyene montagne, conférences-débats : la chanson, etc.

    Hébergement : gîtes et camping équipés, restauration, laissez-passer 7 jours, réduction enfants, chèques vacances.

    Programme et tarifs détaillés sur demande

    Association els Segadors — 09460 Artigues — Tél. 68.20.40.76

    [logos :] Région Midi-Pyrénées — Ariège — ADAMI — Commune d’Artigues

    [imprimerie] Tinéna - Quillan


    sources :

    Affiche en partie manuscrite et surchargeant l’affiche « Artigues 95 ».


    1993
    Affiche liée








    [Les Yeux rouges, Besançon, Lip 1973-1998]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les Yeux rouges, Besançon, Lip 1973-1998]. — Besançon ; Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 80 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France  ; Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : théâtre  ; luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Dupont, Cédric  ; Marker, Chris  ; Medvedkine  ; Pedrazza, Aristides
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (annonce d’une pièce de théâtre et de manifestations) ; photo (manifestation) ]

    texte :

    Les Yeux rouges

    Besançon, Lip 1973-1998

    conception et mise en scène : Dominique Féret
    assisté de Stéphanie Leclercq
    avec Carlos Chahine, Agnès Guignard, Mireille Herbstmeyer, Marie Mergey, Alain Mergnat
    lumières : Christophe Dubois

    Création du Nouveau théâtre de Besançon, centre dramatique national, 1998/99


    Saint-Imier

    vendredi 30.10.98 20 h 30

    Relais culturel d’Erguel — salle Reine Berthe

    jeudi 29.10 1998
    19 h 00 - Monde(s) et mouvements ouvriers, vernissage de l’exposition — Espace Noir
    20 h 30 - Rencontre - débat, avec Gaston Bordet (historien du conflit LIP), Michel Dubois (directeur du Centre dramatique national de Besançon), Dominique Féret (concepteur et metteur en scène de « Les Yeux rouges »), ainsi que des comédiens — CCL

    vendredi 30.10 1998
    19 h 00 - LIP 73 ou la lutte des travailleurs de LIP, film de Chris Marker — Espace Noir
    20 h 30 - Les Yeux rouges - Besançon, LIP 1973-1998, théâtre ; création du Nouveau Théâtre de Besançon, Centre dramatique national - conception et mise en scène de Dominique Féret - prix : Fr. 15.-/Fr. 12.- membres, AVS, AI, chômeurs, étudiants — CCL

    samedi 31.10 1998
    17 h 00 - Week-end à Sochaux, film réalisé par le groupe Medvedkine — Espace Noir
    19 h 00 - Classe de lutte, film réalisé par le groupe Medvedkine — Espace Noir
    20 h 30 - Résistance ! perspectives du mouvement syndical et ouvrier à l’aube du XXVIe siècle. Débat avec : Jean Kunz (USS), Aristide Pedrazza (syndicat SUD - VD), Pierre Frieddli (ADC - La Chaux-de-Fonds), Cédric Dupont (CNT - France), Fermin Belza (SSP - NE)

    [logo] Centre de culture et de loisirs, 2610 Saint-Imier - Tél. 032 / 941 44 30
    [logo] Espace noir - 2610 Saint-Imier, 39 Francillon, 032 9413535


    sources :

    Affiche (imprimée) de la pièce de théâtre accompagnée d’un programme (photocopie).















    [Un Poulpe dans le Lac Léman ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Un Poulpe dans le Lac Léman ?] / Miles Hyman. — Paris : Baleine, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France  ; Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : littérature : bande dessinée  ; littérature : romans policiers
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Pouy, Jean-Bernard (1946-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition
    notes :
    descriptif :


    [fin années ‘90] [ Présentation d’une exposition des couvertures et planches de la BD « Le Poulpe », copie d’une planche plus texte ] couleurs

    texte :

    Un poulpe dans le Lac Léman ?

    Expositions des couvertures de Miles Hyman et des planches de bandes dessinées de Mako, Balez et Cochet pour la série « Le Poulpe » aux éditions Baleine

    du 6 au 21 février
    Galerie Basta !, Lausanne
    Bibliothèque de la Cité, Genève

    Rencontre-dédicace avec J.-B. Pouy et les auteurs des épisodes du Poulpe en Suisse, J.-J. Busino, P. Milan et G. Carbasse

    le 6 février, à 19 h 00
    Bibliothèque de la Cité,
    Place des Trois-Perdrix, Genève

    Le 7 février, de 14 h 00 à 16 h 00
    Librairie Basta !
    Petit-Rocher 4, Lausanne


    sources :

    Jean-Jacques Busino (1965-....) a écrit Au nom du piètre qui a l’essieu (Le Poulpe ; 103), janvier 1998. Paul Milan (alias Pascal Praplan, 1956-....) a écrit Légitime défonce (Le Poulpe ; 104), janvier 1998. Grégoire Carbasse (pseudonyme) a écrit L’Helvète underground (Le Poulpe ; 105), janvier 1998.



    [Café-Musiques Le Loup Noir]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Café-Musiques Le Loup Noir]. — Merlieux-et-Fouquerolles : Nwèr Leu - Le Loup Noir, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : orange , vert , violet ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Utgé Royo, Serge (1947-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ programme de déc. 1999 à févr. 2000 des concerts du Loup Noir ]

    affiche et bandeau couleurs (14x40 cm).

    texte :

    Café-Musiques Le Loup Noir

    décembre

    Samedi 11 - 20 h 30
    Kent - chanson

    Samedi 18 - 20 h 30
    Sonido - jazz des Caraïbes

    Samedi 31 - 21 h
    Soirée africaine - repas concert

    janvier

    Samedi 8 - 17 h - Débat : « La Chanson engagée et militante depuis le XIXe siècle »
    20 h 30 - Utgé Royo - chanson

    Samedi 18 - 20 h 30
    Fils de Teupu / Les Frères Laburne - fanfare - chanson française

    Samedi 29 - 20 h 30
    Boost / Tribe Area - métal

    février

    Samedi 12 - 20 h 30
    El Sikamaya - andalou algérien

    Samedi 26 - 20 h 30
    Ezekiel / Wild Open Cage - techno

    [logos] Le conseil régional de Picardie - L’Aisne - Ministère de la Culture. DRAC Picardie - Fondation Vivendi

    30, rue de Fouquerolles - 03 23 80 17 94

    Merlieux

    Imprimerie Recto-Verso Laon


    sources :