photocop.

 

 
 

Affichage par année

732 affiches :

 

    [Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    texte

    dessin (poing levé avec fenêtre de prison incrustée)

    texte :

    Il y a 1001 raisons de s’attaquer aux prisons

    Refus de permission, d’aménagement de peine
    Refus de transfert, maintien binée ses proches
    Humiliations, violences des matons, isolement
    Foulage de gueule, chantage administratif et judiciaire
    Privation de soins, d’activités, de sexualité, d’intimité, d’autonomie, de possibilité d’entrevoir un avenir
    Conditions de survie dégueulasses, mépris
    Racket organisé par l’État et les entreprises de l’enfermement
    Privation de liberté
    Privation de liberté
    Privation de liberté

    Le 12 sept à Vivonnes, une cinquantaine de détenus se rebellent, détruisant et brûlant un étage d’un bâtiment de la prison. Celle-ci est rendue inutilisable, et les détenus sont transférés le temps des 6 mois de travaux nécessaire.
    Le 7 sept a Aiton, plusieurs détenus refusent de remonter de promenade et détruisent du mobilier de la prison
    Le 4 sept à Angers, une soixantaine de détenus refusent de remonter de promenade
    Le 2 septembre, 6 détenus s’évadent par la fenêtre du centre de rétention de Nimes
    Le 29 aout à Dublin (en Irlande). des mineurs enfermés montent sur le toit de leur taule et y mettent le feu, causant d’importants dégâts.

    À Alençon, en aout à trois reprises. un détenu agresse ses bourreaux et dégrade entièrement sa cellule

    À chaque fois, les détenus sont transférés, des "meneurs" sont désignés, jugés, et écopent de lourdes peines de prison.

    Solidarité avec les révoltés

    À bas toutes les prisons


    sources :
     

    1979

    [ 1987 & ante]
    Affiches liées







    [Les Diggers de San Francisco]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les Diggers de San Francisco]. — Besançon : Autodidacte (librairie L’) : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : États-Unis : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Diggers (San Francisco)  ; Grogan, Emmett (1942-1978)  ; Winstanley, Gerrard (1609-1676)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins (billet d’un dollar détourné en « digger dollar ») ]

    texte :

    Resto Trottoir —collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Mardi 27 septembre
    19 h à la librairie L’Autodidacte 5, rue Marulaz

    Dans le cadre de la rentrée libertaire
    le Resto Trottoir propose la projection du film :

    « Les Diggers de San Francisco »

    La projection sera suivie d’une discussion.

    Les Diggers de San Francisco — Californie (1965-1968)
    «Everything is free, do your own thing»

    « Automne 1966, c’est avec ce mot d’ordre que les Diggers, un petit groupe de jeunes révoltés issus du théâtre, cherchent à radicaliser les enfants fleurs en train de converger vers San Francisco.
    Référence faite aux paysans anglais du XVIIe siècle menés par Gerrard Winstanley qui s’étaient appropriés des terres seigneuriales pour les cultiver en commun, les Diggers de San Francisco s’emparent du quartier de Haight Ashbury et y cultivent les graines d’une utopie en acte.

    Partisans du “théâtre guérilla”, ils mettent en scène leur rêve d’une vie Libre et Gratuite, distribuent des repas, ouvrent des magasins gratuits, organisent de gigantesques fêtes…, et réclament la rue comme théâtre de leurs actions politiques critiques, subversives et festives. Entés dans la légende de la contre-culture avec le flamboyant roman autobiographique d’Emmett Grogan, Ringolevio.

    Les Diggers ont traversé les années 1960 comme un de ces “orgasmes de l’histoire” qui jaillissent ça et là, aussi intense que court, et pour lequel il est autant question de révolution que de plaisir… »


    sources :

    Affiche ou tract ?
    https://restotrottoir.blogspot.com/2016/09/les-diggers-de-san-francisco-californie.html






    [Une après-midi pour (commencer à) changer ta vie numérique]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Une après-midi pour (commencer à) changer ta vie numérique]. — Lille ; Ronchin : Plancton (2013-2017) : le Vivarium de la Lézarde, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (ordinateur : unité centrale ouverte) ]

    texte :

    Une après-midi pour (commencer à) changer ta vie numérique

    Internat, ça marche comment ? Quelles traces laisse-t-on en naviguant sur Internet ? C’est quoi les logiciels libres ?
    Quelles menaces existent et comment apprendre à utiliser des outils pour s’en protéger ?

    Atelier pratique et théorique pour protéger (un peu mieux) sa vie privée et celle des autres en naviguant sur Internet

    En plus de prévoir ton après-midi, tu peux :
    — prendre ton ordinateur et une clé USB vide (2 Go mini, 4 Go c’est mieux !).
    — amener un gouter ou autre chose à boire
    — nous prévenir de ta venue !

    Organisé par le PL’ANCTON (Pour L’Autoformation Numérique et Contre le TOtalitarisme du Nanomonde)
    Contact : plancton@herbesfolles.org
    lille.cybertaria.org/plancton

    Dimanche 22 mai 2016, à 14 h au Vivarium de la Lézarde
    204, rue Roger-Salengro, Ronchin


    sources :

    Sortie aussi en flyers.
    http://lille.cybertaria.org/?article3264


    2013
    Affiche liée





    [Deux spectacles du Collectif 1984 à l’Espace autogéré]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Deux spectacles du Collectif 1984 à l’Espace autogéré]. — Lausanne : CIRA Lausanne (Centre international de recherches sur l’anarchisme) : Collectif 1984 : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : armée  ; art : chanson  ; art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Collectif 1984
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins (grand « A cerclé » sur gravures d’insectes) ]

    texte :

    Deux spectacles du Collectif 1984 à l’Espace autogéré

    Spectacles 20 h
    Portes 19 h
    Jeudi : bouffe à 21 h

    Entrée prix libre

    Jeudi 31 août 2017

    Le Réfractaire

    Au début du 19e siècle, Napoléon consomme beaucoup de « chair à canon », comme il dit, pour ses incessantes conquêtes. En octobre 1811, un sergent recruteur arrive dans le village d’Étretat (Normandie) et organise le tirage au sort des six gars de 18 ans qui doivent partir à la guerre. Le village entier a les yeux rivés sur le chapeau qui contient les billets numérotés : qui tirera (et deviendra) un « mauvais numéro » ?

    Vendredi 1er septembre 2017

     Des lendemains qui chantent  : une conférence articulée

    Nous n’avons pas toujours vécu à genoux. En fait, notre classe sociale n’a jamais cessé de lutter. Jamais complètement. Des chants innombrables, parfois anonymes, ont accompagné ces combats. Retrouvons-les, redressons-les de nouveau… et qu’adviennent, enfin, des lendemains qui chantent !

    Espace autogéré
    Rue César-Roux 30, Lausanne
    http://espaceautogere.squat.net

    CIRA
    Centre international de recherches sur l’anarchisme
    www.cira.ch [logo CIRA]


    sources :
     





    [Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; répression  ; squatt  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (immeuble-poing levé face à des policiers anti-émeute accompagné de grues de chantier) par ?

    texte :

    Pas de toit, pas de pitié

    Il fait froid, on est chaud !

    Ces derniers jours, Lille s’est de nouveau illustrée par sa politique d’expulsions de squats en plein hiver. Le 4 janvier, c’est l’espace autonome L’Insoumise qui a été muré, rue d’Arras. Depuis septembre 2012, ce lieu, sans clients ni marchands, était à la fois une bibliothèque autogérée, un lieu de débats et une cantine populaire. Un lieu où s’élaborait une critique sociale face au rouleau compresseur capitaliste. Au-dessus c’était aussi une habitation collective. Quinze jours avant, à deux pas de là, c’est un squat qui abritait des mineurs isolés du parc des Olieux qui a été évacué par le RAID.

    Le propriétaire des lieux, le CHR, et la préfecture préfèrent voir ces mineurs dans la rue plutôt que sous un toit. Au passage, tout le matériel de cours, de cuisine et de vie quotidienne, rassemblé depuis des mois par le collectif des Olieux a été confisqué, histoire de leur pourrir encore plus la vie. En plus d’être des lieux de vie ces espaces étaient des lieux de rencontres, des lieux ouverts pour s’organiser, pour lutter, pour respirer ensemble hors du cadre marchand et institutionnel. S’organiser, lutter, voilà ce qui déplaît.

    Deux expulsions de lieux collectifs à Moulins, à quelques jours d’intervalle, le message est clair : le quartier n’est pas à ceux qui l’habitent mais aux gestionnaires de la mairie, aux spéculateurs et promoteurs immobiliers.

    Chasser la plèbe, aseptiser le quartier, contrôler chaque espace pour engranger un maximum de bénefs. Quitte à mettre des gens à la rue en plein hiver et à laisser des maisons vides le temps que monte le prix de l’immobilier. Le 10 rue d’Arras et le 32 rue de Fontenoy sont désormais vides, comme des centaines de maisons et d’immeubles à Lille qu’on laisse vacants pour les intérêts du marché. Il y en aurait bien assez pour loger toutes celles et ceux qu’on dit sans domicile fixe pour ne pas dire sans domicile tout court, à la rue.

    Ces jours de solde et de glorification du commerce ne nous font pas oublier les effets désastreux de la logique marchande.

    Pas de pitié pour le capitalisme, pas de pitié pour les expulseurs.

    Reprenons la rue pour crier notre colère !

    Rassemblement samedi 14 janvier, 18 h, Rihour


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article30574
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article3517


    2018
    Affiche liée







    [CCL ateliers, avril 2018]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    CCL ateliers, avril 2018]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; culture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : atelier
    notes :
    descriptif :

    textes

    dessins (dont tête de mort en tricot avec aiguilles croisées)

    texte :

    CCL ateliers

    Impro-libertaire
    Cet atelier s’adresse à tout le monde. La personne peut apporter un gâteau ou un jus. Elle devient membre d’office de Asosiaux Associés ! Elle n’apprend pas de textes, ne crée pas une pièce et n’assiste pas à un cours. Durant les saynètes, elle construit et interprète les personnages selon ses envies.
    7

    Zone-libertaire
    Cet atelier s’adresse à tout le monde. Tu peux apporter un gâteau ou un jus. Tu joues à un jeu coopératif la “zone à défendre”. Tu apprends à lutter contre les projets inutiles. Sur les lieux d’activités, tu construis, sèmes, chantes, organises des événements subversifs… Tu occupes ton temps et l’espace avec des humains !
    14

    Tricot-libertaire
    Cet atelier s’adresse à tout le monde. La personne peut apporter un gâteau ou un jus. Elle amène sa/ses pelotes de laine et ses aiguilles au même diamètre. Dans une ambiance décontractée, elle apprend à son rythme ou partage ses expériences en pull, écharpe, bonnet et autres réalisations. En tout cas, elle devient une experte en maille !
    21

    samedi : 15 h-18 h.
    Entrée : gratuite !

    avril 2018
    Lille > Porte des Postes > rue de Colmar > CCL
    lille.cybertaria.org/ccl
    réservation ou proposition d’une nouvelle activité : ccl59-ateliers@riseup.net

    pas de flyers
    note l’info !


    sources :
     



    [La Grande guif’, feuille d’info n° 1]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Grande guif’, feuille d’info n° 1]. — Lille : la Grande guif’, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; féminisme  ; littérature : poésie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : guerres : Guerre mondiale , 2 (1939-1945)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Bwitch Gang (Reims)
    • Vie des mouvements  : journal mural  ; conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; logo du journal mural (oiseau marin) ; vignette de trois roses feuillées ]

    texte :

    La Grande guif’

    feuille d’info n° 1 : 1ère quinzaine de mai 18.

    Quelques informations murales en provenance de nos réseaux vénères, amateurs et contre-culturels, sur Lille ou ailleurs… à destination de toutes et tous. On lâche rien et on tient les murs, contre vents et marées… vive la sociale

    Samedi 05 mai,15 heures : goûter à l’espace autonome des 18 Ponts (38, rue de Trévise) et rencontre avec deux membres du Bwitch Gang Crew, collectif féministe de Reims, rédactrice du fanzine Bwitch Gang.

    Plus d’infos sur : https://thebwitchesgang.wordpress.com, activité ouverte à toutes et tous.

    Mardi 08 mai,10 h marche de Porte des Postes (Lille) au cimetière d’Haubourdin, pour rendre hommage aux « tirailleurs » africains qui ont contribué à sauver la France de l’occupation nazie et des collabos pétainistes.
    Le 8 mai 1945, les cloches des églises de France sonnaient la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’histoire officielle laisse souvent une place marginale aux populations venues de l’empire français de l’époque qui ont pourtant participé directement et massivement aux combats de la première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale sur de nombreux fronts en Europe et sur la terre d’Afrique. Organisé par le collectif des sans papiers 59.

    Jeudi 10 mai, à partir de 19 h : soupe et concert à l’espace autonome des 18 Ponts avec Chavité (screamo punk — Nantes) et Krokodil (emo crust — Reims). Entrée prix libre.

    L’amour, la vie
    Sûrement pas un joli panier garni
    Pourtant habibi
    Un baiser m’a suffit
    Pour que j’en mords d’envie !
     
    Nahadine le printemps
    Les saisons ne font jamais la révolution
    Enrage-moi, brûle-moi sans raison
    Et sur ma peau, dévore-moi l’instant !

    PS : pas de révolution sans amour et sans poésie, pas de vie sans détour et sans folie
     ! :)


    sources :
     


    [La Grande guif’, feuille d’info n° 8]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Grande guif’, feuille d’info n° 8]. — Lille : la Grande guif’, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; féminisme  ; justice  ; police  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural  ; conférence, débat…  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; logo du journal mural (oiseau marin) ; vignette de trois roses feuillées ]

    texte :

    La Grande guif’

    feuille d’info n° 8 : octobre 2018, jamais rentré-es, jamais partie-es…

    Quelques informations murales en provenance de nos réseaux vénères, amateurs et contre-culturels, sur Lille ou ailleurs… à destination de toutes et tous. On lâche rien et on tient les murs, contre vents et marées… vive la sociale !

    Dans la nuit du 28 septembre 2018 à 3 h 30, près de Fouquières-lès-Lens (62), des gendarmes tuent Henry , lors d’un contrôle. Une colère légitime des proches et soutiens embrase les rues des communes voisines les heures suivantes. Cela est arrivé non loin de Montigny-en-Gohelle où fut assassiné Lahoucine Ait-Omghar, en 2013. À Lille, ça fait 9 mois que les proches et les soutiens de Selom et Matisse, morts en fuyant la police à Caulier, se battent contre la justice qui acquitte systématiquement les keufs. D’ailleurs, pour Adama Traoré, la justice déclare que les flics ne sont pas responsables de l’étouffement qu’il a subit lors de sa violente arrestation ! La famille d’Adama et les proches appellent à un rassemblement le samedi 13 octobre à Paris Gare du Nord à 14 h 30. Soutien à toutes les victimes et proches des violences policières, aux émeutières et aux incendiaires ! Ni oubli ni pardon ! Nique les keufs !

    Quelques nouvelles de la répression qui touche des employés syndiqués, de la SNCF notamment, suite au mouvement contre la réforme ferroviaire de ce printemps : à Lille, Nicolas et Olivier sont passés en commission disciplinaire et ont écopés de 2 et 4 jours de mise à pied et d’un dernier avertissement. Nous attendons encore une date de passage au tribunal correctionnel pour simples faits de grèves. Un rendez vous, annoncé large et fédérateur, contre la répression de ceux et celles qui luttent sur leurs lieux de travail pour leurs conditions de survie matérielle, se tiendra à la bourse du travail le samedi 20 octobre prochain… vive les voyous syndiqués, Nique les exploiteurs !

    Samedi 13 octobre, à la maison des syndicats CNT, au 32 rue d’Arras, est organisée une journée pour parler de la situation politique et sociale Grecque. À partir de 15 h 30, il y a la projection d’un film sur le parti néo-nazi Aube Dorée « Aube dorée, une histoire personnelle » , d’Angélique Kourounis, suivi d’une rencontre avec des camarades Grecs. Le soir à 20 h, un concert prix libre de rap avec Krav Boca (Toulouse), Atome d’Intifada (Bruxelles) et Sid (zad Notre-Dame-des-Landes) au même endroit. Tous les fonds récoltés seront reversés aux camarades d’ESE (syndicat anarchiste) et au squat de migrant-e-s Notara26 (Exarcheia, quartier d’Athènes).

    Les actions de mobilisation continuent pour soutenir et rendre visible les habitant-e-s du squat le 5 étoiles, 15 rue Jean-Jaurès pour réclamer de vrais hébergements, dignes et durables. Mineur-es, étranger-es, majeur-es, dubliné-es ou non, sdf, ont tous et toutes leurs situations bloquées. Tout le monde subit la violence administrative et policière de l’État, du département, des mairies, qui appliquent leurs politiques de contrôle, de parcage et de division favorisant la guerre entre les pauvres. Nahadine les frontières ! Nahadine la nation ! Nahadine la France !

    ** Ah ouai ! À ce qui paraît Le pen est à l’agonie, qu’il crève ! Sortons les cotillons avec force et paillette !… Nique sa race de facho ! **

    Suite à l’expulsion en juin dernier de l’espace autonome des 18 ponts, on est un peu en tong... mais toujours là ! Les promoteurs n’ont pas pris de vacances et ça rénove à tout va. Le projet de la loi Élan veut pénaliser l’ouverture de bâtiments vides. Il sera plus compliqué d’avoir des espaces de lutte et d’auto-organisation, hors de la légalité. Organisons nous face à la répression ! Nique les promoteurs ! Partout chez nous !

    Saluons et souhaitons de joyeux débordements à la toute nouvelle KIF (kaisse d’impression féministe). Le Kif est une caisse autogérée qui permet à qui veux, d’imprimer des brochures, des autocollants, des tracts, des affiches… qui touchent une pluralité de sujet dans une perspective féministe intersectionnelle (un féminisme qui à la volonté de prendre en compte toute les formes de domination systémique).

    *** Une nouvelle prison est en construction à Loos, un centre de détention qui verra le jour en 2021. Nique la taule ! ***

    **** Force et courage pour Rédoine Faid et ses complices, rage et détermination pour les prisonniers et prisonnières. ****

    VIVE LA CAVALE !


    sources :
     







    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 1, mai 2019]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 1, mai 2019]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 1, mai 2019
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Humaniser les prisons pour toujours plus enfermer !

    […]

    À Condé-sur-Sarthe, enfermement rime avec vengeance

    […]

    Pour bâtir des prisons, il faut des architectes

    […]


    sources :

    https://sansattendre.noblogs.org/archives/8158
    https://cras31.info/IMG/pdf/caen_tabula_rasa_1_et_2.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 2, octobre 2019]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 2, octobre 2019]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 2, octobre 2019
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre l’enfermement, abattons les frontières !

    […]

    Brèves de révoltes en centres de rétention

    […]


    sources :

    https://sansattendre.noblogs.org/archives/9328
    https://cras31.info/IMG/pdf/caen_tabula_rasa_1_et_2.pdf




    [Ceci n’est toujours pas une bavure]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ceci n’est toujours pas une bavure]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 90 cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (placage musclé par deux policiers antiémeutes) montage de 3 format A3 ]

    texte :

    202-2020, 284 personnes tuées kirs d’interventions policières

    fig. 1 : bis repetita placent

    « Ceci n’est toujours pas une bavure »


    sources :

    Collage d’octobre 2020
    https://iaata.info/Lille-Collage-de-soutien-aux-7-de-Toulouse-4452.html :

    Lille : Collage de soutien aux « 7 de Toulouse »

    A l’image de ce qui a été fait à Marseille le 13 octobre (https://iaata.info/Solidarite-avec-les-sept-de-toulouse-4444.html), nous voulions nous aussi manifester notre soutien aux toulousain-e-s ayant subit la répression étatique.

    Nous nous sommes donc baladés dans différents quartiers de Lille pour coller les fameuses affiches : « le feu tue les virus brûle ton comico », « ne relevons pas l’économie détruisons-la ! », « avec ou sans masques ce monde est irrespirable, détruisons ce qui nous étouffe », etc.

    Nous avons aussi collé des affiches dénonçant les violences policières et citant le nom de toutes les victimes tuées par la police, sous Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron.

    Le collage a été accompagné de quelques tags de soutien, dans le centre-ville, à Fives, Moulins, Wazemmes, ou encore Lille-Sud.

    Une pensée pour les personnes accusé-e-s.
    Crève la taule !
    Force aux copaines à l’ombre et à celles qui se battent à l’extérieur.







    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 4, mai 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre le virus de l’enfermement

    […]

    Pour construire des prisons, il faut une boîte de BTP

    […]

    Des révoltes dans les prisons

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-Rasa-4.cleaned.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 5, octobre 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 5, octobre 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 5, octobre 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Smart city : une ville en circuit fermé

    […]

    Besançon : sur l’incarcération d’un compagnon anarchiste

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-rasa-5.cleaned.pdf







    [Il n’y a pas d’incendiaire isolé·e]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il n’y a pas d’incendiaire isolé·e]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (ville où une voiture — d’où sort un tentacule de pieuvre — flambe)

    texte :

    Il n’y a pas d’incendiaire isolé·e

    Un compagnon anarchiste, Ivan, a été arrêté en région parisienne le 11 juin 2022. Il est soupçonné de plusieurs incendies de voitures : plaques diplomatiques, voitures de riches et d’Enedis, entre autres. Nous reconnaissons l’incendie et le sabotage de voitures, d’antennes-relais, de pylônes électriques et d’enseignes comme une stratégie de la lutte anarchiste internationale.

    L’omniprésence de nos ennemis fait leurs failles. Certaines cibles nous paraissent inatteignables, et pourtant, toutes leurs tentacules sont autant de talons d’Achille. Si le siège de telle entreprise est difficilement accessible, nous pouvons cramer une de ses nombreuses voitures, ses filiales et son alimentation électrique. Nous nous réjouissons de sectionner ces tentacules, seul·es ou en groupe, avec ou sans revendication, avec les moyens du bord ou des techniques plus perfectionnées. Ainsi, nous attaquons certaines structures de la domination.

    Ces attaques ont lieu partout, tout le temps, parce qu’elles sont reproductibles et que les cibles sont à chaque coin de rue.

    Nous attaquons parce que nous n’acceptons pas l’horreur de ce monde, parce que c’est un moyen de manifester notre solidarité, parce que nous voulons mettre un grain de sable dans l’engrenage du pouvoir. Pour toutes ces raisons, ces attaques nous donnent de la joie.

    Solidarité avec les prisonnièr·e·s anarchistes !

    Liberté pour tous·te·s !

    À l’attaque !

    Des anarchistes, juillet 2022


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article34872&lang=fr
    https://mtlcontreinfo.org/il-ny-a-pas-dincendiaire-isole-e/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2022/07/incendiaire.pdf


    2022

    2022
    Affiches liées


    [Non à la casse des conventions collectives !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la casse des conventions collectives !]. — Marseille : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation  ; grève  ; luttes sociales (mouvement social)  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Non à la casse des conventions collectives !

    Dès aujourd’hui, commençons à préparer la riposte nationale du 31 mai et 1er juin !
    Grève et manifestation le 31 mai à 10h à la préfecture !
    Soirée de lutte à partir de 17 h 30

    En février 2022, le premier ministre annonçait l’élargissement du Ségur de la santé à l’ensemble du personnel éducatif dans le médico-social et le social. Plusieurs décrets publiés ce début mai montrent bien que le gouvernement nous a enfumé avec de "belles promesses" pour endormir la lutte.
    1. Il s’agit d’une prime calquée sur les accords Laforcade et non d’une revalorisation de salaire : pas de cotisation pour les retraites, et elle peut être supprimée à tout moment.
    2. Le secteur privé ne sera pas concerné par la prime Ségur sans accord préalable de fusion des conventions collectives.
    3. Ne sont concernés que les 3 fonctions publiques (d’État, hospitalière et territoriale)
    4. Pour ce qui est de la fonction publique territoriale, le choix est laissé aux départements et collectivités de verser ou non cette prime et de définir qui en seront les bénéficiaires.
    5. De nouvelles listes de professions ont été établies. Un tiers des profesionnel.les en seraient encore exclus.

    Destruction des conventions

    1- Les conventions collectives sont les textes qui définissent les règles particulières du droit du travail pour un secteur. Pour le social et médico-social, il existe 5 conventions principales garantissant certains droits (salaires, congés trimestriels etc).
    Il s’agit des CCNT66, Accords CHRS, CCNT 51, CCNT Croix Rouge et CCNT CLCC (en cas de doutes, votre convention de rattachement est indiquée sur vos fiches de paye).

    2 - La fusion de ces 5 conventions en une Convention Collective Unique Étendue est autorisée par la loi de 2014 (dite loi travail ou El Khomri). En réponse à cette initiative de l’État, les organisations patronales (NEXEM et FEHAPS rassemblées en AXESS) orchestrent cette fusion dans la continuité de la marchandisation de notre secteur.

    3- Aujourd’hui, AXESS dévoile son programme et ses grandes orientations : "réalisme" et "modularité". Des orientations libérales qui paraissent bien éloignées de nos demandes de fincancements pérennes à hauteur des besoins du public et de la valorisation de nos métiers.

    Un salaire à la "compétence"

    La CCUE instaure un isolement toujours plus grand des professionnel.les face à leur direction en instaurant une logique de négociation individuelle de son salaire (à partir de compétences évaluées directement par l’employeur).

    1- "Une rémunération minimale conventionnelle de l’emploi" calculée à partir des attendus de chaque poste. C’est la base de la rémunération mais à cela s’ajoute une part de salaire négociée au cas par cas.

    2- "Un complément de maîtrise de l’emploi" laissé à la liberté de la négociation employeur/salarié.e, ce complément vise à différencier les salarié.es selon des compétences non mesurables (aptitudes relationnelles, adaptabilité, travail en équipe etc). Ce complément "peut s’appuyer en partie sur le nombre d’années d’expériences", c’est-à-dire "une vision remaniée de l’ancienneté" dont on ne sait rien pour l’instant…

    En concret, c’est donc la mise en compétition des travailleur.euses du social sur un libre marché de l’emploi, où la négociation même de son salaire se fait seul.e face à son patron ! Accepter cette convention c’est aller vers des recrutements et des salaires injustes et inégaux. C’est aussi accepter la mise en danger des droits des personnes accompagnées et la baisse de qualification du personnel.

    Le social brûle

    facebook : le social brûle
    collectif 13 des travailleur-euses du social et du médico-social
    lesocialbrule@gmail.com


    sources :

    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png
    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png



    [Solidarité avec Libre Flot : crève la taule et l’isolement !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec Libre Flot : crève la taule et l’isolement !]. — Rennes : Soutien aux inculpé·e·s du 8 décembre, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : lutte armée  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Kurdistan
    • Noms cités (± liste positive)  : Libre Flot
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Solidarité avec Libre Flot

    Crève la taule et l’isolement !

    Arrêté avec 8 autres personnes (aujourd’hui libérées) le 8 décembre 2020, Libre Flot est toujours en détention provisoire et à l’isolement depuis maintenant 15 mois.

    Les 8 sont accusés d’association de malfaiteur à visée terroriste.

    Libre Flot a fait une demande de mise en liberté qui vient d’être rejetée. C’est pourquoi il s’est déclaré en grève de la faim. Voici des extraits de la lettre qui a été rendue publique et qui explique sa situation :
    “je me déclare en grève de la faim depuis le dimanche 27 février 2022 à 18 heures, je ne réclame à l’heure actuelle que ma mise en liberté en attendant de démontrer le côté calomnieux de cette honteuse accusation.”

    Concernant le refus de le remettre en liberté en attendant le jugement :
    “Pour ce faire, ils reprennent presque en copier / coller le rapport de la DGSI (*) du 7 février 2020, base de toute cette affaire dont nous ne savons pas d’où viennent les informations et dont la véracité n’a pas été démontrée.”

    “Cela fait plus de 14 mois que je comprends que ce sont mes opinions politiques et ma participation aux forces kurdes des YPG (**) dans la lutte contre Daech qu’on essaie de criminaliser.”

    ”Cela fait plus de 14 mois que sans jugement on m’impose la détention dite provisoire que je subis dans les plus terribles conditions possibles : le régime d’isolement considéré comme de la « torture blanche » et un traitement inhumain ou dégradant par plusieurs instances des droits humains.
    Cela fait plus de 14 mois que je suis enterré vivant dans une solitude infernale et permanente sans avoir personne à qui parler, à juste pouvoir contempler le délabrement de mes capacités intellectuelles et la dégradation de mon état physique et ce, sans avoir accès à un suivi psychologique.”

    “Cela fait plus de 14 mois que (…) je croupis dans les geôles de la République”

    “J’ai récemment appris de la bouche même du directeur des détentions de la maison d’arrêt des Yvelines (Bois d’Arcy), (…) que mon placement et mon maintien à l’isolement étaient décidés depuis le premier jour par des personnes très haut placées et que quoi je dise ou que lui-même dise ou fasse, rien n’y ferait, que cela le dépasse, le dossier ne sera même pas lu et je resterai au quartier d’isolement et que de toute façon rien ne pourrait changer avant les élections présidentielles.”

    150 personnes étaient présentes à Toulouse le 9 mars pour montrer leur solidarité, le rassemblement a pu se tenir, nous n’avons pas pu manifester, bloqués par la police, mais notre détermination reste intacte.

    Nous n’attendrons pas sans réactions, la fin des élections pour qu’enfin ils le libèrent !

    Nous appelions à ce que les actions en solidarité se multiplient

    RDV 16 mars 18 h Métro J.d’Arc

    et tous les mercredis qui suivent pendant sa grève de la faim

    Pour lire l’intégralité de la lettre et avoir plus d’informations : https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/

    * DGSI = service spécialisé de renseignement intérieur français. sa grève de la faim
    **YPG = Unités de protection du peuple, branche armée du Parti de l’union démocratique (PYD) kurde en Syrie. Elles sont formées en 2011 lors de la guerre civile syrienne.


    sources :

    https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/
    https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/files/2022/03/affiche-2.png