papier blanc

 

 
 

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2428 affiches :

 


    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 26 février 2012]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 26 février 2012]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , beige , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; consommation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (panneaux de saint Valentin avec cœur « je ne suis pas à vendre ») ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 26 février 2011 [2012]

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    En février offrez lui un Resto… Trottoir !

    St Valentin : faites l’amour pas les magasins

    Hors du système marchand,
    Pour d’autres rapports humains
    Venez partager un peu de plaisir !

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2012/02/parce-que-les-rapports-humains-ne-se.html










    [The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    photos (demonstrations + slogan « Loi 78=guerre ! »)

    texte :

    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt

    Solidarity with those facing repression for participation in the struggle !

    Since the strike began, the state has tried through its courts and the clubs of its cops to stifle the wave of revolt that has swept across Québec and found solidarity internationally. What started as a student strike has transformed into a massive social movement that the state is trying to crush with its “special law”. This law reveals the true nature of Democracy in a time of crisis where we have effectively confronted the state in a struggle to better our lives in conflict with the interests of capital.

    Throughout this struggle, many comrades have faced the repression of the state through mass detentions now numbering in the thousands, preventative detentions, house raids, and severe conditions (ranging from non-association to exile from the island of Montréal).

    Comrades are also being prosecuted under post-9/11 terrorism charges for minor acts of sabotage in the metro system. There are also all those who, in the course of resisting in the streets, the police have sent to the hospital with broken arms, lost eyes, or in comas. In this society, the position of the cops is clear : they are the guard dogs of the rich, the ones who protect their property and who enforce the social peace which allows the inequalities of society to continue.

    We must hold our heads high and never back down in the face of this repression. Strength to those who continue the struggle in the streets through active resistance and self-defense against the cops ! We express solidarity to all those beaten, jailed, and repressed through the courts. Nothing is forgiven. Nothing is forgotten.

    No to the prosecutions !

    No justice in the courts of the rich !


    traduction :

    Les lois de l’État et les matraques de la police n’arrêteront pas notre révolte

    Solidarité avec celles et ceux qui font face à la répression pour leur participation à la lutte !

    Depuis que la grève est commencée, l’État essaie à travers ses tribunaux et par les matraques de ses flics d’arrêter dans son élan même la vague de révolte qui souffle dans tout le Québec et fait l’objet d’une solidarité internationale. Ce qui a commencé comme une grève étudiante s’est transformé en un mouvement social de masse que l’État essaie de détruire avec sa « loi spéciale ». Cette loi révèle la vraie nature de la « démocratie » dans un temps de crise où les gens confrontent efficacement la paix sociale imposée en s’engageant dans une lutte pour améliorer leurs vies en conflit avec les intérêts du capital.

    À travers cette lutte, plusieurs camarades ont fait face à la répression de l’État : par les détentions de masse qui se chiffrent maintenant à des milliers, les détentions préventives, les descentes dans les domiciles et les conditions sévères (allant de la non-association à l’exil de l’île de Montréal). Des camarades ont aussi été poursuiviEs sous des accusations de terrorisme post-9/11 pour des offenses mineures de sabotage dans le métro. Il y a aussi ceux/celles qui, résistant dans la rue, ont été envoyé par la police à l’hôpital avec des bras cassés, des yeux perdus ou dans le coma. Dans cette société, la position des policiers est claire : ils sont les chiens de garde des riches, ceux qui protègent leur propriété et qui imposent la paix sociale qui permet aux inégalités sociales de se reproduire.

    Nous devons nous tenir la tête haute et ne pas nous écraser devant la répression. Force à ceux/celles qui continuent la lutte dans les rues à travers la résistance active et l’auto-défense contre les policiers ! Nous exprimons notre solidarité à toutes celles/tous ceux qui ont été battuEs, ont été emprisonnéEs et ont été répriméEs dans les tribunaux. Rien n’est pardonné. Rien n’est oublié.

    Pas de poursuites judiciaires !

    Pas de justice dans les tribunaux des riches !


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/the-states-laws-the-cops-clubs-wont-stop-the-revolt/
    2 formats : 11″x17″ 12″x18″ (Copies in print available at La Belle Époque and L’insoumise)
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity11x17.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity12x18.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/les-lois-de-letat-et-les-matraques-de-la-police-narreteront-pas-notre-revolte/




    [Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , rose , jaune , papier blanc ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (silhouette de manifestation, mats de hauts-parleurs et de sirènes ?, feux d’artifices)

    photo (pavage de rue, barbelés)

    texte :

    Vers le centre de rétention de Vincennes

    manifestation sonore et nocturne

    Les centres de rétention comme les autres lieux d’enfermement sont un des moyens répressifs pour l’État d’asseoir son pouvoir et d’étendre le contrôle sur la société. Ils sont banalisés et admis comme faisant partie d’un système qui fonctionne du mieux qu’il peut. De toute évidence, la machine rodée de la politique migratoire fait face à des individus qui ne veulent pas subir leur exploitation et leur enfermement.
    Des révoltes ont lieu dans les prisons pour étrangers en Europe et ailleurs.
    S’organiser pour lutter contre les centres de rétention et les fronti !res, c’est s’opposer aux outils de contrôle et de répression qui vont avec.

    Nous refusions de nous laisser contrôler et enfermer dans des prisons et des frontières.
    Attaquons les lieux d’enfermement et le système qui les produit.

    liberté pour toutes et tous, avec ou sans papiers

    Vendredi 16 novembre à 18 h à l’heure !
    à la gare de Joinville-le-Pont (RER A)


    sources :
     



    [ΟΤΑΝ ΔEIXΝΕΙΣ ΠΟΙΟΣ ΕΙΣΑΙ ΕΙΝΑΙ ΕΝΟΧΛHΤΙΚΟ, ΟΤΑΝ ΤΟ ΚΑΝΕΙΣ ΣΥΝΕΧΩΣ ΓΙΝΕΣΑΙ ΕΠΙΚΙΝΔΥΝΟΣ ]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    ΟΤΑΝ ΔEIXΝΕΙΣ ΠΟΙΟΣ ΕΙΣΑΙ ΕΙΝΑΙ ΕΝΟΧΛHΤΙΚΟ, ΟΤΑΝ ΤΟ ΚΑΝΕΙΣ ΣΥΝΕΧΩΣ ΓΙΝΕΣΑΙ ΕΠΙΚΙΝΔΥΝΟΣ ]. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : répression  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (enfant de dos avec une fronde face à une rangée de policiers avec casques et boucliers) par ? ]

    texte :

    ΟΤΑΝ ΔEIXΝΕΙΣ ΠΟΙΟΣ ΕΙΣΑΙ ΕΙΝΑΙ ΕΝΟΧΛHΤΙΚΟ,
    ΟΤΑΝ ΤΟ ΚΑΝΕΙΣ ΣΥΝΕΧΩΣ ΓΙΝΕΣΑΙ ΕΠΙΚΙΝΔΥΝΟΣ

    Τους τελευταίους μήνες, γίνεται γνωστή η ύπαρξη μηχανισμών παρακολούθησης που αναλαμβάνουν από κοινού φασίστες και παρακράτος.
    Καταλήψεις, στέκια, κοινωνικοί, πολιτικοί και αυτοδιαχειριζόμενοι χώροι και μετανάστες, βρίσκονται στο στόχαστρο συνεχών επιθέσεων.
    Στις 2 Φλεβάρη, είδαμε live και έγχρωμα, φασίστες και μπάτσους να ακονίζουν παρέα τα μαχαίρια τους για πολλοστή φορά

    ΣΤΙΣ 18 ΚΑΙ 19 ΜAÏΟΥ H VILLA AMALIAS

    ΔΕΧΤΗΚΕ ΔΙΠΛΗ ΔΟΛΟΦΟΝΙΚH ΕMΠΡHΣΤΙΚH ΕΠIΘΕΣΗ

    ΑΠΟ ΤΑ ΠΑΡΑΚΡΑΤΙΚΑ ΑΥΤΑ ΚΑΘΑΡΜΑΤΑ

    ΛΟΓΑΡΙΑΣΝΕ ΛΑβΘΟΣ

    γιατί ξέχασαν...
    ΟΤΙ ΤΟ ΕΡΓΟΤΑΞΙΟ ΤΗΣ ΑΝΥΠΟΤΑΞΙΑΣ ΚΑΙ ΤΗΣ ΑΛΛ4ΛΕΓΓΥΗΕ ΕXΕΙ ΑΠΟΦΑΣΙΣΕΙ :

    Η VILLA ΑMΑLiΑS ΘΑ ΠΑΡΑΜΕΙΝΕΙ ΖΩΝΤΑΝΗ.
    ΜΕ ΠΕΙΣΜΑ ΚΑΙ ΟΡΓΗ.

    ΚΑΤΑΛΗΨΗ VILLA AMALIAS
    ΑΧΑΡΝΩΝ 80 & XΕΥΔΕΝ


    sources :

    Le squatt de la Vila Amalia a existé de 1990 à 2012.
    https://el.wikipedia.org/wiki/%CE%92%CE%AF%CE%BB%CE%BB%CE%B1_%CE%91%CE%BC%CE%B1%CE%BB%CE%AF%CE%B1
    https://en.wikipedia.org/wiki/Villa_Amalia_(Athens)

    OTAN DEIXNEIS POIOS EISAI EINAI ENOCHLHTIKO,
    OTAN TO KANEIS SYNECHOS GINESAI EPIKINDYNOS

    Tous teleftaíous mínes, gínetai gností i ýparxi michanismón parakoloúthisis pou analamvánoun apó koinoú fasístes kai parakrátos.
    Katalípseis, stékia, koinonikoí, politikoí kai aftodiacheirizómenoi chóroi kai metanástes, vrískontai sto stóchastro synechón epithéseon.
    Stis 2 Flevári, eídame live kai énchroma, fasístes kai bátsous na akonízoun paréa ta machaíria tous gia pollostí forá

    STIS 18 KAI 19 MAÏOU H VILLA AMALIAS

    DECHTIKE DIPLI DOLOFONIKH EMPRHSTIKH EPITHESI

    APO TA PARAKRATIKA AUTA KATHARMATA

    LOGARIASNE LAvTHOS

    giatí xéchasan...
    OTI TO ERGOTAXIO TIS ANYPOTAXIAS KAI TIS ALL4LENGYIE EXEI APOFASISEI :

    I VILLA AMALiAS THA PARAMEINEI ZONTANI.
    ME PEISMA KAI ORGI.

    KATALIPSI VILLA AMALIAS
    ACHARNÓN 80 & XEVDEN













    [À bas la France]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    À bas la France]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (merles noir et rouges face à face) ]

    texte :

    À bas la France

    Parce que nous n’oublions aucune de ses horreurs, parce que ses massacres et ses bombardements qu’ils soient humanitaires, colonialistes, nationalistes, pour du pétrole ou pour son honneur nous ont exterminés, nous ont fait croire qu’il n’était plus possible de choisir la rébellion. Nous lui crachons dessus, nous nous essuyons avec son drapeaux, nous dégueulons sa marseillaise, nous brûlons ses postes-frontières et nous profanons ses sanctuaires et ses idoles tachées du sang de nos frères et sœurs apatrides.

    À bas toutes les nations et les frontières

    Parce que la prétendue appartenance nationale n’est pas innée, mais enseignée à coup de servitude, parce que c’est un concept religieux, on est français, tunisien, portugais ou malien exactement comme on est chrétien, musulman ou juif, et on vote exactement comme on va à la messe. Parce que c’est au nom des nations que riches et puissants d’endroits différents mais tous de la même puanteur, se font la guerre à coup de chair à canon. À bas toutes les frontières, parce que, comme toutes les autres normes, elles définissent les indésirables et elles séparent les bonnes des mauvaises graines, français ou immigré, avec ou sans papiers, barbare ou civilisé. C’est en leur nom que chaque jour, l’ordure étatique et policière et les collaborateurs de la machine à expulser raflent, enferment, expulsent et tirent à vue le long des lignes de démarcations étatiques.

    À bas tous les politiciens

    Parce ce sont eux qui administrent la si banale apocalypse permanente dans laquelle nous vivons depuis des siècles, passant des mains des maîtres à celles des curés puis des propriétaires pour finir sous la coupe de la marchandise et du contrôle diffus. Car que ce soit à coup de frappes chirurgicales, de matraque, de justice, de guerres propres ou de paix sale, de prison et de turbin, de camps humanitaires, de concentration ou d’extermination, de référendum, de beaux discours ou de bombes atomiques, les politiciens n’ont pour seul but que de maintenir leur pouvoir et de l’étendre, se concurrençant les uns les autres pour la mainmise sur le bétail du parc humain.

    À bas la résignation

    Parce que la liberté n’apparaîtra pas miraculeusement, parce que le capitalisme ne s’effondrera pas tout seul, parce que ceux qui tombent sur les lignes de front de la guerre sociale ne doivent pas rester seuls face aux juges et autres croque-morts de ce monde, parce qu’il ne sert à rien de se plaindre et que nous ne voulons plus être des victimes, parce qu’il n’y a qu’une seule entité réelle, la terre, et que dans les conditions qui nous y sont faites, il n’y a qu’une seule façon d’y vivre : à couteaux tirés avec ce monde de fric, de prison, de pouvoir, de contrôle, de médiocrité et d’ennui.

    Parce qu’on ne peut entrer dans un monde meilleur autrement que par effraction.

    Dans cette guerre sociale, n’écoutons plus les sirènes nationalistes et politiques, car comme les feuilles, les promesses tomberont l’automne venu. Dans un monde où toute liberté est désordre sauf celle de consommer et de choisir son maître, il n’y a rien à défendre, mais tout un ordre à attaquer partout où il se trouve.

    Pour un monde sans États, ni patries, ni frontières, ni prisons, ni nations.

    Que nos passions détruites se transforment en passions destructrices.


    sources :

    « Affiche trouvée sur les murs de Paris, avril 2013. » sur : http://www.socialisme-libertaire.fr/2020/09/a-bas-la-france.html








    [Attaquons la vidéosurveillance !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Attaquons la vidéosurveillance !]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 21 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; luttes urbaines  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (caméra de surveillance sabotée : « Blam Blam Blam ») ]

    texte :

    Des milliers de caméras quadrillent les villes, dans les travaux, dans les rues et les bâtiments.

    Elles sont pensées et installées par l’État, les mairies, les architectes, les promoteurs de la sécurité et du contrôle, les commerces…

    Attaquons la vidéosurveillance !

    Les caméras sont un moyen de surveillance supplémentaire. Elles traquent nos déplacements et captent nos corps dans les moindres détails.

    Ils veulent étendre le contrôle de l’État et du Capitalisme sur nos vies.

    Ils veulent nous empêcher de nous débrouiller, de nous rassembler et de les affronter.

    soyons incontrôlables !


    sources :
     

    [ 2013 & ante]
    Affiche liée










    [Contre le racisme et pour l’égalité le samedi 30 novembre, je marche]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre le racisme et pour l’égalité le samedi 30 novembre, je marche]. — Lille ; Roubaix : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France) : la Digne rage : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (blanc sur rouge) ]

    texte :

    Contre le racisme et pour l’égalité le samedi 30 novembre, je marche

    Le 3 décembre 1983, 100 000 personnes manifestaient à Paris, concluant une Marche partie de Marseille le 15 octobre. Décidée par un groupe de jeunes issus des cités de la banlieue lyonnaise, cette marche pour l’égalité et contre le racisme dénonçait les crimes racistes, les violences policières et les discriminations racistes. Elle prolongeait, à sa manière, les luttes menées dans la décennie précédente par leurs parents et toutes les luttes pour l’égalité qui ont marqué l’histoire de France. Les « invisibles » devenaient des acteurs à part entière de la société française.

    Notre Marche ne s’est pas terminée le 3 décembre 83. Nous n’avons jamais cessé de marcher et de lutter. Aujourd’hui encore, l’égalité que nous exigions en 1983 est encore introuvable pour l’ensemble des habitants des quartiers populaires : paupérisation, précarisation, discrimination accès au logement pour tou-te-s, contrôle au faciès, résidents étrangers n’ayant toujours pas le droit de vote, islamophobie, Rromophobie, etc.

    Trente ans se sont écoulés depuis le formidable espoir soulevé par la Marche. Notre détermination reste intacte. Nous ne lâcherons rien. Le message de la Marche pour l’égalité et contre le racisme, même s’il n’est pas enseigné comme il se doit à l’école, est plus que jamais d’actualité et nous voulons qu’il soit à nouveau entendu avec force. Contre toutes les dominations (le racisme sous toutes ses formes, le colonialisme et le sionisme, le sexisme et tous ses visages etc.)

    Premiers signataires : Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires (FUIQP 59/62), Devoir d’insolence Lille, Association des Mineurs Marocains du Nord-Pas-de-Calais (AMMN), Collectif Manouchian, Collectif Afrique (Lille), TR !BU association (Roubaix), Comité des Sans-papiers 59 (CSP 59), Association des Tunisiens du Nord de la France (ATNF), Association Ch’faid (Libercourt), Association Etouchane (Roubaix), Association Place Publique (Maubeuge), Association Rencontre et Dialogue (Roubaix), Génération Palestine (Lille), Coordination Communiste 59/62, Compagnie Trous d’memoires (Aulnoye-Aimerie), Association pour la reconnaissance des droits et libertés aux femmes musulmanes (ARDLFM, Tourcoing), Cercle Ouvrier du Bassin Minier Ouest du Pas-de-Calais (COBIAMO), l’Association sportive Le Spartak Lillois, Association PRIZDIRECT (Amiens), Association France Palestine Solidarité (AFPS 59/62), Association Paul Eluard (Roubaix), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP Lille), Mouvement des Jeunes Communistes de France 59 (MJCF 59), T’OP ! Théâtre de l’opprimé, Atelier Populaire d’Urbanisme (APU Moulins), Union Locale CGT (ULCGT Tourcoing), association Cordillera (Villeneuve-d’Ascq), Planning Familial de la Métropole Lilloise, Comité Libérez-Les de soutien aux prisonniers et réfugiés politiques 59/62, Pole de Renaissance Communiste de France (PRCF 59), Ligue des Droits de l’Homme région Nord-Pas-de-Calais (LDH NPDC), Majorité Visible (Mc Metis et Saknes de la Jonction), Colère du présent (Arras), Association La Jeunesse Carvinoise, Centre de Ressource Critique, Association des étudiants en sciences humaines (ASS’HUM) (V d’Ascq), CGT educ’Action Nord, Union locale des syndicats CNT (Lille), Pas en notre nom/mouvement contre les guerres impérialistes, La Digne rage (Lille), Collectif Féministes pour l’Égalité (CFE), Collectif Mamans Toutes Égales (MTE), Les mots sont importants, Gauche Unitaire Lille, Association Action Citoy’Aisne (Chauny), comité amiénois Devoir d’insolence, Mouvement des Jeunes Communistes 80 (Amiens), Gauche unitaire Amiens, Parti de Gauche 80 (Amiens), Groupe Marius Jacob de la Fédération Anarchiste (Amiens), Association Marocaine des Droits Humains (AMDH Nord France, PCF Lille, LDH Roubaix, association Chez Violette (autonomie et solidarité entre femmes), Collectif une crèche pour tous ! (Roubaix), Collectif la voie des habitants (Roubaix)...


    sources :

    http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche_marche_contre_le_racisme_Lille_30nov2013_avec_liste_des_signataires_au_22nov.jpg





    [De l’ombre des villes… aux lueurs de l’insurrection]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De l’ombre des villes… aux lueurs de l’insurrection]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , papier blanc ) ; 62 × 24 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (1/2 masque japonais ?) ]

    texte :

    De l’ombre des villes…

    Dans ce meilleur des mondes, quand on ne rentre pas dans le rang, plane très vite la menace d’être enterrés dans des prisons, des camps de rétention ou des hôpitaux psychiatriques...

    Pour s’engraisser sur nos côtes et bien nous tenir en laisse, on nous propose à volonté des crédits à court ou long terme, des drogues légales ou illégales, des écrans petits ou grands, des bouffons de gauche comme de droite.

    Écrasés par les rapports de domination et d’exploitation, le seul horizon possible serait de continuer à crever en silence, et de reproduire la guerre de tous contre tous.

    Beaucoup d’autres chemins s’offrent pourtant à nous. la révolte et la solidarité, le sabotage et l’auto-organisation restent par exemple des armes de choix pour affronter tout ce qui nous opprime.

    Quand les uniformes se font dégager, c’est un peu d’oxygène en plus... quand la production est bloquée, c’est un peu d’exploitation en moins... quand les lieux de réclusion brûlent, c’est un peu de liberté en plus... quand les réfractaires trouvent des complicités, c’est un peu d’isolement en moins...

    Chaque jour, ici et ailleurs, nombre d’individus sont contraints de s’éloigner de leurs liens, des lieux et des personnes qu’ils aiment, pour échapper à la répression ou tout simplement pour tenter de survivre à la misère.

    La condition d’indésirable et de hors-la-loi devenant le lot d’une partie toujours plus importante de la population, se solidariser et se battre n’est pas une question de mots. c’est un enjeu pour la liberté de toutes et tous.

    Cessons de raser les murs, détruisons-les !

    …aux lueurs de l’insurrection


    sources :
     



    [Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]. — Marseille : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : culture  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte en noir

    filigrane orange (gravure de ville en flammes et inondée — avec humains et guitare dans le flux)

    cadre noir

    texte :

    depuis dix ans Euromed vous fait chantier…

    … avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…

    Depuis 1995, l’opération Euromed impose aux habitants de Marseille une réorganisation totale du centre-ville, aseptisé et sécurisé. Du sur mesure pour les cadres nouvellement installés à la Joliette et les touristes toujours plus abondants dans la capitale pressentie de la future Union euro-méditerranéenne (vaste entreprise de pompage d’énergie et de main d’œuvre des pays du Sud). Cela se traduit pour une grand nombre d’entre nous par la nécessité de partir se loger dans des zones périphériques, chassés pas l’augmentation des loyers et bien d’autres dispositifs de répression économique, quand il ne s’agit pas de rafles et de déportations pour les sans-papiers. Le but du jeu : canaliser encore mieux la circulation de la marchandise, évidemment.

    La nouvelle carte sortie du chapeau : « marseille2013capitaleeuropéennedelaculture », bond en avant dans la mortification de l’ambiance urbaine.

    Avec « marseille2013 », il s’agit pour les gouvernants et les entrepreneurs non seulement d’étendre, vers la Belle-de-mai et Arenc, cette refonte de l’espace, mais aussi de créer un décor scintillant pour faire passer la pilule de la destruction des cultures de résistances et de solidarités (lutter, c’est vivre) : l’alibi culturel n’est qu’un masque jovial, nous divertissant du contrôle et de la collaboration toute citoyenne. Mais l’idée qu’ici le capital n’avance plus à un coup de canon mais précédé d’une milice dansante, bruissante, bigarrée, d’artistes en costumes et de branchés, ne nous est pas encore familière. Pourtant, les artistes (même les « scandaleux » ou les « rebelles ») ont trop souvent été l’avant-garde dévoyée à la pacification des quartiers les plus agités : il suffit de voir comment le Panier, envahi par les ateliers d’artistes et les boutiques d’artisanat subventionnés par la mairie, a été ravalé en « quartier typique et authentique ». Et cela nous rappelle la fonction des acteurs socioculturels, des salles de sport et de concert, après les grandes émeutes du début des années 1980. Avec leurs « armes culturelles de dialogue et de collaboration », ce projet est clairement une bataille de plus dans la guerre sociale en cours, à Marseille comme ailleurs.

    Alors face à cette nouvelle machine de guerre, dont le redéploiement des forces d’occupation du territoire est l’aspect le plus visible, il ne s’agit pas de ne pas collaborer ou d’en profiter pour grappiller quelques subventions, mais bien de passer dans les rangs ennemis, d’imaginer, organiser et diffuser tous les gestes mutins d’une résistance offensive.

    urbanistes, flics, artistes nous construisent ce monde de merde

    détruisons ce qui nous détruit


    sources :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Eurom%C3%A9diterran%C3%A9e
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marseille-Provence_2013




    [Du son contre la prison]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Du son contre la prison]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; culture  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Radio Dio
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (prison) ]

    texte :

    Du son contre la prison

    Un concert hip-hop diffusé en direct de 21 h à minuit sur Radio Dio 89.5FM à St-Étienne pour les prisonniers et prisonnières de la maison d’arrêt de la Talaudière.

    Concert & mix DJ

    Les Évadés — Singe des Rues — Première Linge

    Ursa minor ; 11, rue de l’Égalerie, site Mosser, Saint-Étienne

    Samedi 4 mai 2013
    20 h • 5 € • adhésion prix libre

    Diffusion sur les ondes FM de plusieurs villes

    Pour plus d’informations : http://www.myspace.com/dusoncontrelaprison


    sources :