texte en défonce

 

 
 

Affichage par année

840 affiches :

 

    [Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]. — Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Botzatzis [Μποτζατζής], Vangelis [Βαγγέλης]
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo () ]

    texte :

    Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου

    που επιζητά την ασφάλεια,την Τάξη και το σωφρονισμό

    Στις 11 Οκτωβρίου μετά απο 10 μήνες προφυλάκισης αφήνεται προσωρινά ελεύθερος ο Βαγγέλης Μποτζατζής. Διώκεται με βάση τον τρομονόμο και το κατηγορητήριο στηρίζεται σε μια « ανυπόστατη, κατασκευασμένη και ανακληθείσα κατάθεση, προϊόν απειλών, εκβιασμών, ψυχολογικής βίας και πίεσης » και στον « πηγαίο καταδιωκτισμό » ενός σεκιουριτά.
    Για την ίδια υπόθεση διώκονται τρεις ακόμα αναρχικοί που επέλεξαν τη φυγή ως μία σταση άρνησης στην επερχόμενη φυλάκισή τους που τα μμε τόσο καλά προετοίμασαν και η δικαστική εξουσία είχε δρομολογήσει. Εδώ και τόσο καιρό βρίσκονται σε ένα ιδιότυπο καθεστώς ομηρίας.

    Γίνεται πλέον φανερό πως οι εξουσιαστικοί μηχανισμοί επιδιώκουν την εδραίωσή τους μέσα από την παραδειγμάτική εξόντωση των αντιφρονούντων βαφτίζοντας τους τρομοκράτες.
    Είναι, όμως, οι δεσμοί αλληλλεγγύης που μπορούν να μπλοκάρουν στην πράξη την απόπειρα να στείνονται έκτακα δικαστήρια σε βάρος αγωνιζόμενων ανθρώπων. είναι όλο αυτό το πολύμορφο σύμπαν των αντιστεκόμενων που μπορεί να ξεδιπλώσει έμπρακτα δεσμούς αλληλεγγύης και κοινωνικής δράσης ικανούς να υπονομεύσουν κάθε σχέδιο της εξουσίας να Θέσει στο περιθώριο τον αγώνα για την ελευθερία.

    αλληλεγγύη το Β. Μποτζατζή
    καμία δίωξη τους Ν. Νικολάου, Δ. Συριανού, Κ. Χάλαζα.

    πορεία

    ΠΑΡΑΣΚΕΥΗ 14.11 - 18.00 ΚΑΜΑΡΑ

    κατάληψη φάμπρικα ★ υφανέτ


    traduction :

    Na sampotároume tou koinonikó efisychasmó Na teleiónoume me to sýmplegma tou fóvou pou epizitá tin asfáleia,tin Táxi kai to sofronismó Stis 11 Oktovríou metá apo 10 mínes profylákisis afínetai prosoriná eléftheros o Vangélis Botzatzís. Dióketai me vási ton tromonómo kai to katigoritírio stirízetai se mia « anypóstati, kataskevasméni kai anaklitheísa katáthesi, proïón apeilón, ekviasmón, psychologikís vías kai píesis » kai ston « pigaío katadioktismó » enós sekiouritá. Gia tin ídia ypóthesi diókontai treis akóma anarchikoí pou epélexan ti fygí os mía stasi árnisis stin eperchómeni fylákisí tous pou ta mme tóso kalá proetoímasan kai i dikastikí exousía eíche dromologísei. Edó kai tóso kairó vrískontai se éna idiótypo kathestós omirías. Gínetai pléon faneró pos oi exousiastikoí michanismoí epidiókoun tin edraíosí tous mésa apó tin paradeigmátikí exóntosi ton antifronoúnton vaftízontas tous tromokrátes. Eínai, ómos, oi desmoí allillengýis pou boroún na blokároun stin práxi tin apópeira na steínontai éktaka dikastíria se város agonizómenon anthrópon. eínai ólo aftó to polýmorfo sýmpan ton antistekómenon pou boreí na xediplósei émprakta desmoús allilengýis kai koinonikís drásis ikanoús na yponoméfsoun káthe schédio tis exousías na Thései sto perithório ton agóna gia tin elefthería. allilengýi to V. Botzatzí kamía díoxi tous N. Nikoláou D. Syrianoú, K. Chálaza. poreía PARASKEVI 14.11 - 18.00 KAMARA katálipsi fámprika ★ yfanét

    Pour saboter sa complaisance sociale
    Terminons avec le complexe de la peur

    recherche de sécurité, d’ordre et d’emprisonnement

    Le 11 octobre, après 10 mois de détention provisoire, Vangelis Botzatzis a été temporairement libéré. Il est poursuivi pour terrorisme et l’acte d’accusation se fonde sur un « témoignage inexistant, fabriqué et révoqué, produit de menaces, de chantage, de violences et de pressions psychologiques » et de la « persécution à la source » d’un garde de sécurité.
    Pour le même cas, trois autres anarchistes sont poursuivis qui ont choisi de fuir en refusant leur emprisonnement imminent, que les médias si bien préparés et la justice avaient lancé. Ils ont été dans un régime d’otage particulier pendant si longtemps.

    Il devient maintenant clair que les mécanismes autoritaires cherchent à se consolider par l’extermination exemplaire de dissidents en baptisant des terroristes.
    Ce sont cependant les liens de solidarité qui peuvent en pratique bloquer la tentative d’envoyer des tribunaux d’exception au détriment des populations en difficulté. c’est tout cet univers multiforme de résistance qui peut déployer dans la pratique des liens de solidarité et d’action sociale capables de saper tout plan de pouvoir pour marginaliser la lutte pour la liberté.

    solidarité avec V. Botzatzis
    pas de persécution de N. Nikolaou
    D. Syrianou, K. Halaza.

    Manifestation

    VENDREDI 14.11 - 18.00 KAMARA

    tissu accroupi ★ tissage


    sources :
     





    [Braquons l’existant]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Braquons l’existant]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : illégalisme  ; insurrectionnalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (femme et pistolet) ]

    texte :

    Braquons l’existant

    Nous n’attendons plus rien de cette société. Ce qu’elle nous impose nous dégoûte ; ce qu’elle nous offre ne nous intéresse pas. Nous ne voulons plus succomber à la routine du travail pour gagner quelques miettes en échange de notre obéissance ; nous ne voulons plus avoir comme seuls rêves ce que la télévision nous montre.

    Ils nous ont déjà tués des milliers de fois. À l’école, où ils nous ont inculqué que suivre le troupeau est mieux que de créer obstinément son propre chemin. Au travail, où les rythmes de la production et les exigences de l’argent étouffent le battement de nos cœurs qui aspirent à la liberté. À la maison, où les antidépresseurs et la tradition familiale nous noient dans l’habitude de la résignation. En prison ou centre fermé, où la société nous confirme que nous sommes indésirables. À l’église, la mosquée ou la synagogue, où la promesse d’un paradis en échange d’une morale autoritaire fait oublier que c’est que dans le présent que nous vivons. Ce monde aime la mort et refoule la vie.

    Cette société tient tout le monde en laisse ; la seule différence, c’est la longueur. Nous ne sommes pas de ceux qui se battent pour un collier moins serré, un salaire plus élevé, une police moins brutale, des politiciens et des patrons plus soucieux et honnêtes. Nous voulons simplement ce que tout être tenu en laisse devrait avoir à cœur : nous voulons la couper, foutre le feu à la cage, écraser tous ceux qui nous tiennent ou voudraient nous tenir en laisse.

    Ce déchaînement de la passion pour la vie n’est pas un grand moment final à attendre patiemment ; il est quotidien et s’intensifie à mesure qu’il incite et se diffuse. Peut-être est-il parfois confus, ne sachant pas toujours où frapper pour briser les chaînes de l’esclavage et de l’adhésion, mais il est vivant. La révolte, ce cri de vie contre une société de morts, s’exprime des milliers de couleurs d’un arc-en-ciel : des attaques contre les polices qui quadrillent les rues aux atteintes à la sacro-sainte propriété, des sabotages de structures de la domination comme les banques, les intérims, les supermarchés, les institutions en tout genre aux refus clairs et nets de se laisser contrôler, humilier, enrégimenter.

    La révolte ne relève pas du simple dégoût, mais parle aussi de joie. La joie d’affirmer que malgré tout, nous sommes vivants. Que malgré l’aliénation régnante, nos chemins de révolte se croisent encore et que les possibilités de tisser des liens de complicité ne sont jamais entièrement anéanties.

    Dans la fureur de l’action, nous forgeons, petit à petit, nos rêves d’un monde sans maîtres et sans esclaves. L’attaque est nécessaire car elle crée des fissures, mais ce sont les désirs qui sapent l’édifice social.

    Ⓐ Que souffle le vent de la liberté, que se déchaîne la tempête de l’insurrection


    sources :
     



    [Contre la xénophobie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre la xénophobie]. — [S.l.] : CNT_ - AIT_ (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 28 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (en 13 langues, sur fond taillé (/) rouge et noir) ]

    texte :

    Niaj malamikoj ne estas niaj najbaroj sed la mastroj, kiu ekspluatas nin. Ni unuiĝu kontraŭ la ekspluatado kaj la maljuteco !

    Nos ennemis ne sont pas nos voisins, mais les patrons capitalistes qui nous exploitent. Unissons nous contre l’injustice et l’exploitation !

    An sigui gnonkon te an djougou ye, an djougou ye an bè baara kè mogo mounouw bolo. an ka fara gnonkon kan ka binkali ani sarya djougou kèlè !

    Duşmanii noştri nu sunt vecinii, ci sefii capitalisti care ne exploateaz. Sa fim uniti contra exploatarii şi nedreptatii !

    عداؤنا لا جيراننا ، ولكن القيمين الرأسمالي الذين يستغلون لنا . دعونا نتحد ضد الظلم

    我们的敌人不是我们的邻居, 而是那些剥削我们的资本家老板们. 让我们团结对抗剥削和不平 等 !

    Our enemies are not our neighbours, but those capitalist bosses that exploit us ! Let us united to against explotation and injustice !

    我們的敵人不是我們的鄰居, 而是那些剝削我們的資本家老闆們. 讓我們團結對抗剝削和不平等 !

    Нашите врагове не са нашите съседи това са капиталистическите босове, които ни експлоатират. да се обединим против експлоатацията и несправедливостта !

    Nuestros enemigos no son nuestros vecinos, pero el patron que nos explota. ¡ Unámonos contra la explotación y la injusticia !

    Düşmanlarımız bizim komşular değil ama bizi istismar patronlar vardır . Bize haksızlığa ve baskıya karşı birleşmeye izin !

    Nisu nam neprijatelji naše komšije, već gazde koje nas sve eksploatišu ! Ujedinimo se protiv eksploatacije i nepravde !

    Os nossos inimigos não são os nossos vizinhos mas os patrões que nos exploram ! Unamo-nos contra a exploração e a injustiça !

    Твои враги - не соседи, а хозяева-капиталисты, которые тебя эксплуатируют ! Объединимся против эксплуатации и несправедливости !


    sources :

    Affiche à construire soi-même en .pdf, tirée de http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1831 (4 septembre 2010).


    2010
    Affiche liée


    [Contre la xénophobie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre la xénophobie]. — [S.l.] : CNT_ - AIT_ (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 28 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (en 13 langues, sur fond taillé (/) gris et noir) ]

    texte :

    Niaj malamikoj ne estas niaj najbaroj sed la mastroj, kiu ekspluatas nin. Ni unuiĝu kontraŭ la ekspluatado kaj la maljuteco !

    Nos ennemis ne sont pas nos voisins, mais les patrons capitalistes qui nous exploitent. Unissons nous contre l’injustice et l’exploitation !

    An sigui gnonkon te an djougou ye, an djougou ye an bè baara kè mogo mounouw bolo. an ka fara gnonkon kan ka binkali ani sarya djougou kèlè !

    Duşmanii noştri nu sunt vecinii, ci sefii capitalisti care ne exploateaz. Sa fim uniti contra exploatarii şi nedreptatii !

    عداؤنا لا جيراننا ، ولكن القيمين الرأسمالي الذين يستغلون لنا . دعونا نتحد ضد الظلم

    我们的敌人不是我们的邻居, 而是那些剥削我们的资本家老板们. 让我们团结对抗剥削和不平 等 !

    Our enemies are not our neighbours, but those capitalist bosses that exploit us ! Let us united to against explotation and injustice !

    我們的敵人不是我們的鄰居, 而是那些剝削我們的資本家老闆們. 讓我們團結對抗剝削和不平等 !

    Нашите врагове не са нашите съседи това са капиталистическите босове, които ни експлоатират. да се обединим против експлоатацията и несправедливостта !

    Nuestros enemigos no son nuestros vecinos, pero el patron que nos explota. ¡ Unámonos contra la explotación y la injusticia !

    Düşmanlarımız bizim komşular değil ama bizi istismar patronlar vardır . Bize haksızlığa ve baskıya karşı birleşmeye izin !

    Nisu nam neprijatelji naše komšije, već gazde koje nas sve eksploatišu ! Ujedinimo se protiv eksploatacije i nepravde !

    Os nossos inimigos não são os nossos vizinhos mas os patrões que nos exploram ! Unamo-nos contra a exploração e a injustiça !

    Твои враги - не соседи, а хозяева-капиталисты, которые тебя эксплуатируют ! Объединимся против эксплуатации и несправедливости !


    sources :

    Affiche à construire soi-même en .pdf, tirée de http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1831 (4 septembre 2010).


    2010
    Affiche liée




    [Frost Punx Picnic VI]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Frost Punx Picnic VI]. — Mülheim an der Ruhr : Frost Punx, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; [42 ?] × [59 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte blanc sur noir (programme du 6e festival Frost Punx Picnic) ; dessin (heroic-fantasy, 6 punks et un chien masqué, sans brasero) ]

    texte :

    Frost Punx Picnic VI

    Campus Sterminii ([… ?])
    Maschinenfest ([… ?])
    Idle Hands ([… ?])
    Local Spastics ([… ?])
    Family Man ([… ?])
    Visions of War ([… ?])
    Night Fever ([… ?])
    Punk-O-Mat ([… ?])
    Last Legion Alive ([… ?])
    In Iratus ([… ?])
    Hellborn Messiah ([… ?])
    + special guest

    12.+13.02.10 — AZ Mülheim

    Disco+ Essen+Kickerturnier+Chinaball+Heizung und Bier
    Schlafplätze vorhanden (Isomatte mitbringen)
    Info : 0208/4445633 und www.frostpunk.de


    sources :
     






    [Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , vert , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (oiseau blanc)

    texte :

    Non au nouveau centre fermé

    Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !

    La construction d’un nouveau centre fermé a commencé à Steenokkerzeel. Il viendra s’ajouter aux quatre centres fermés déjà existants, à la quarantaine de prisons et aux nombreux centres ouverts gérés par Fedasil et la Croix-Rouge. L’État belge complète ainsi son infrastructure, cherchant du même coup à raffiner le fonctionnement de la machine à expulser.

    Sous couvert d’humanité, une immigration de plus en plus choisie est en voie de légalisation, laissant au reste des indésirables le circuit du travail au noir, tout aussi nécessaire au bon fonctionnement de l’économie. Avec ou sans papiers on se fera exploiter par un patron ’belge’ ou ’immigré’, tandis que les divers nationalismes et religions feront tout pour nous séparer, garantissant ainsi l’avenir radieux de ce monde de merde.

    Pourtant, si l’on voit les révoltes qui éclatent depuis des années aussi bien dans les centres fermés que dans les prisons, dans la rue et les aéroports, force est de constater que la machine n’est pas si bien huilée que ça. Face à l’enfermement et à des conditions de vie qui s’apparentent souvent cruellement à celles qu’ils ont fui, de plus en plus d’indésirables prennent le chemin de la révolte.

    Ainsi se sont succédées mutineries, évasions, attaques contre la police suite à des contrôles, représailles contre divers collaborateurs : ISS-Cleaning, la STIB ou encore la Banque de la Poste. Qui ne se souvient pas par exemple du beau feu de joie de l’été passé ? Le 127bis était presque entièrement parti en fumée. Et c’est justement là, à Steenokkerzeel, que l’État a choisi de construire son nouveau centre fermé spécialement conçu pour les récalcitrants.

    L’Etat entretient un silence pesant autour de la construction de ce nouveau camp de concentration. Et pourtant les constructeurs de cette infamie - Besix, Valens, Michiels H. NV., etc. - y mettent les bouchées doubles. Alors n’attendons pas qu’il soit trop tard.

    Sabotons la machine à expulser !

    Détruisons toutes les frontières !


    sources :

    disponible en néerlandais


    [ca  2010]

    [ca  2010]
    Affiches liées




    [Tegen het nieuw gesloten centrum !, Noch in Steenokkerzeel, noch elders !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tegen het nieuw gesloten centrum !, Noch in Steenokkerzeel, noch elders !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , vert , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    tekening (witte vogel)

    texte :

    Tegen het nieuw gesloten centrum !

    Noch in Steenokkerzeel, noch elders !

    In Steenokkerzeel is de bouw van een nieuw gesloten centrum begonnen. Dit nieuwe centrum komt bovenop de vier reeds bestaande gesloten centra, het veertigtal gevangenissen en de vele open centra die beheerd worden door Fedasil en het Rode Kruis. De Belgische Staat vervolledigt zo haar infrastructuur en probeert tegelijkertijd de werking van de deportatiemachine te verfijnen.

    Onder het mom van menselijkheid wordt een alsmaar meer geselecteerde migratie beetje bij beetje gelegaliseerd waardoor aan de rest van de ongewensten het zwartwerk overgelaten wordt dat al even noodzakelijk is voor de goede gang van zaken van de economie. Met of zonder papieren word je uitgebuit door een ‘Belgische’ of ‘geïmmigreerde’ baas terwijl de verschillende nationalismes en religies er alles aan doen om ons te scheiden en zo de stralende toekomst van deze rotwereld zeker te stellen.

    Als je nochtans kijkt naar de revoltes die sinds jaren zowel in de gesloten centra als in de gevangenissen, zowel in de straat als op de luchthavens, uitbreken, dan is het duidelijk dat de machine niet zo gesmeerd loopt. Tegenover een opsluiting en levensomstandigheden die vaak op een wrede wijze lijken op die waarvoor ze gevlucht zijn, nemen alsmaar meer ongewensten de weg van de revolte.

    Opstanden, ontsnappingen, aanvallen tegen de politie na controles, represailles tegen verschillende collaborateurs zoals ISS Cleaning, De Lijn of de Bank van de Post volgden elkaar op. Wie herinnert zich bijvoorbeeld niet het mooie vreugdevuur van vorige zomer ? Het kamp 127bis ging bijna volledig in vlammen op. En net daar, in Steenokkerzeel, bouwt de Staat haar nieuwe gesloten centrum speciaal ontworpen voor de weerspannigen.

    De Staat probeert de bouw van dit nieuwe concentratiekamp stil te houden. En nochtans zetten de bouwers van dit afgrijselijke project - Besix, Valens, Michiels NV etc. - er vaart achter. Laten we daarom niet wachten tot het te laat is.

    Laten we de deportatie-machine saboteren !

    Vernietig alle grenzen !


    sources :

    disponible en français


    [ca  2010]

    [ca  2010]
    Affiches liées




    [Antiracist, antifascist festival VI, 2-4 June 2011, Geneva]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Antiracist, antifascist festival VI, 2-4 June 2011, Geneva]. — Genève : Rude Boys & Girls Unity, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; art : vidéo  ; fascisme et antifascisme  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :

    [ texte (rouge ou blanc sur fond noir) ; dessin (5 personnages « elfiques » pro-baston décliné·es punk, ska, métal, rap, reggae) ]

    texte :

    [logo] Rude Boys & Girls Unity

    Antiracist, antifascist festival VI

    2-4 June 2011, L’Usine, Geneva, Switzerland

    The Oppressed - Discharge - La Rumeur - Nabat - Wunderbach - Non Servium - 8°6 Crew - Produzenten der Froide - The Offenders - La Clinik du Dr Schultz - Les Kamionërs du Suidice - The Moon Invaders

    Stage Bottles - Gewapend Beton - Loran Outang - The Peacocks - Cellule X - 65 Mines Street - Argies - The Buttshakers - Zone d’Expression populaire - Mighty Progerians - Enraged Minority - Eleven - Ambassador 21 - Tulamort - De Fatwas - The Decline - BAK XIII - Skarekrows - Périphérique Est - Defused - La Gale - Mumakil - Faute de Frappe - Les Vaches laitières - Anticlockwise - Ghetto Blaster - Sedative - Rorcal - Sergent Papou - Raoul de Boneville - Brume Retina - Delicatefunk - Sozial Traître - Muchach - Todos Destinos - Abadir

    www.rudeboysunity.ch • Pre-order : www.petzi.ch

    L’Usine, 4 place des Volontaires, 1024 Geneva Switzerland • 041 227814004

    [logo] Fight for L’Usine


    sources :

    Au dos : programme complet du festival.











    [Libération immédiate ; levée des poursuites]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Libération immédiate ; levée des poursuites]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (engrenages « Police, État, Prison, Capital, Justice » rendant les manifestantes en citoyen·ne·s modèles)

    texte :

    À Toulouse depuis le 15 novembre, des personnes sont toujours en prison, soupçonnées d’avoir participé à une action politique contre les prisons pour mineurs.
    La machine répressive tourne à plein pour maintenir l’ordre capitalisme, en enfermant les pauvres et les révoltéEs.
    L’État ne fait pas d’économie quand il s’agit de protéger les privilèges.« Police, État, Prison, Capital, Justice »

    Leurs matraques ne nous feront pas taire ni marcher d’un seul pas !

    info : http://pourlaliberte.noblogs.org

    Libération immédiate

    Levée des poursuites

    Imprimerie spéciale


    sources :
     


    [Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]. — Lille : Collectif contre les RFID (Lille) : Mutuelle des fraudeurs, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; 47 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; économie : transports  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (blanc au noir) : mise en page type article autour d’une image) ; dessin : personnages au dessus du crane avec code barre ]

    texte :

    Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas

    Nous pucer comme du bétail : voila le dernier projet des élus de Lille Métropole. C’est prévu pour fin 2011.

    Les puces RFID sont de minuscules étiquettes électroniques qui contiennent des informations personnelles (nom, prénom, adresse, mail, photo…) et sont lisibles à distance. Bientôt, elles équiperont les cartes et les tickets de transport de toute la région : bus, métro, TER, tram, parkings, vélos « libre service »… Finis les tickets en papier, la carte à puce sera obligatoire et permettra à Transpole de contrôler et d’enregistrer tous nos déplacements.

    Le fichier des clients de Transpole sera échangé avec des enseignes commerciales « partenaires ». À partir de nos profils et habitudes de déplacements, nous serons assaillis de publicités personnalisées.

    La « liste noire » des fraudeurs sera échangée avec la SNCF et les réseaux de bus du bassin minier, Douai, Valenciennes et Dunkerque. Les contrôleurs munis de leur « Compteur de courtoisie » auront accès à l’identité des voyageurs et pourront mettre des amendes plus ou moins chères selon le nombre d’amendes déjà reçues par le porteur de la carte.

    Mais ce n’est pas tout. Pour 2012, Lille Métropole veut étendre le Pass transport pour un faire une « Carte de Vie Quotidienne ». Nous devrons biper à l’entrée des bibliothèques municipales, des cantines scolaires, des salles de sport, des cinémas locaux, des crèches… Et cette carte pourra servir de moyen de paiement.

    Nous ne sommes pas du bétail ou des numéros qu’on gère, contrôle et surveille en temps réel. Nous ne voulons pas être les proies des marchands de bonheur. Nous ne voulons pas être des éternels suspectEs. Nous voulons fuir ce contrôle total. Nous voulons rester anonymes et avoir droit à l’oubli. Nous fuirons cette course infernale qui nous oblige à être toujours plus mobiles, justes bons à consommer, vendre ou fabriquer des merdes.

    « Ce mauvais scénario de science-fiction n’est pas une fatalité. Nous le ferons trébucher. »


    sources :

    Affiche peut-être éditée par la Mutuelle des fraudeurs et un collectif Anti-RFID.













    [Solidarität mit Sonja und Christian]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarität mit Sonja und Christian]. — Berlin : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , texte en défonce ) ; [84 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne : histoire : 1945-1989 (Est )
    • Noms cités (± liste positive)  : Feiling, Hermann  ; Gauger, Christian  ; Suder, Sonja
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte (blanc) ; photo (enfants franchissant une clôture) ]

    texte :

    Solidarität mit Sonja und Christian

    Am Mittwoch, den 14. September 2011 wurden Sonja Suder und Christian Gauger von Frankreich an den deutschen Staat ausgeliefert. Ihnen wird die Mitgliedschaft in den Revolutionären Zellen (RZ) und die Beteiligung an mehreren Aktionen vorgeworfen. Momentan befindet sich beide im Knast in Frankfurt.

    Im Jahr 978 bemerkten die beiden, dass sie observiert wurden, daraufhin entschieden sie sich unterzutauchen. Seitdem lebten sie mit einer anderen Identität in Frankreich. Aufgeflogen sind sie im Jahr 2000, wurden festgenommen und saßen für mehrere Monate in französischen Knästen, aber die Gerichte entschieden, dass die ihnen vorgeworfenen Aktionen verjährt sind. Seitdem lebten sie geduldet in Paris. 2007 stellt die Staatsanwaltschaft Frankfurt einen europäischen Haftbefehl gegen die beiden aus, 2009 entscheidet ein französischen Gericht, dass die beiden ausgeliefert werden.

    Vorgeworfen wird ihnen die Beteiligung an zwei Anschlägen im August 1977 auf MAN in Nürnberg und Klein, Schanzlin & Becker AG in Frankenthal. Beide Konzerne sind verstrickt im “imperialistischen Atomgeschäft”, die einen in der “Herstellung südafrikanischer Atombomben”, die anderen spielen “eine wesentliche Rolle des Zulieferns für Kernkraftwerke in aller Welt”. Außerdem sollen sie an einen Brandanschlag auf das Heidelberger Schloss am 18. Mai 1978 beteiligt gewesen sein. Diese Aktion richtete sich gegen den Stadtumbau und die Kaputtsanierung von Heidelberg.

    Die Vorwürfe der Beteiligung an den Aktionen rührt von unter Folter erpressten Aussagen her. 1978 explodierte im Schoss von Hermann Feiling eine Bombe, die für das argentinische Konsulat in München bestimmt war. Hermann verlor seine Beine und das Augenlicht, im Krankenhaus wurde er wochenlang unter dem Einfluss von Schmerzmitteln und Psychopharmaka von den gewissenlosen Bütteln des Staates ausgefragt. Durch eine Aussage des Kronzeugen Hans-Joachim Klein wird Sonja außerdem der Beteiligung an den Vorbereitungen für den Überfall auf die OPEC-Konferenz in Wien im Dezember 1975 beschuldigt.

    Eine immer wiederkehrende Geschichte, die deutschen Strafverfolgungsbehörden versuchen selbst nach über 30 Jahren Schuldige für notwendige direkte, militante Interventionen zu finden. Dazu lehnten Sonja und Christian das Angebot eines Deals mit der Staatsanwaltschaft ab und zeigten damit, dass für sie eine Kooperation mit dem Staat und seinen willigen HelferInnen nicht zur Debatte steht. Bewusst haben sie sich entschieden sich nicht dem deutschen Staat zu stellen und über ihre Geschichte und die Vergangenheit auszupacken, lieber haben sie das unsichere und unruhige Leben mit einer anderen Identität gewählt.

    Auf dass unsere Leidenschaft für die Freiheit die Mauern zum Einsturz bringt !

    Anarchistische Gruppen

    Solidarität ist ein Waffe !
    Schriebt den Gefangenen

    Christian Gauger
    JVA Frankfurt I
    Obere Kreuzäckerstr. 6-8
    60435 Frankfurt/Main

    Sonja Suder
    JVA Frankfurt III
    Obere Kreuzäckerstr. 6-8
    60435 Frankfurt/Main

    www.verdammtlangquer.org


    traduction :

    Solidarité avec Sonja et Christian

    Mercredi 14 septembre 2011, Sonja Suder et Chritian Gauger étaient livrés depuis la France à l’État allemand. Il leur est reproché l’affiliation aux Cellules Révolutionnaires (RZ : Revolutionären Zellen) et la participation à plusieurs actions. En ce moment, les deux se trouvent encore dans la taule de Francfort [Ndt. Christian a été libéré pour raisons médicales depuis].

    En 1978, ils ont remarqué qu’ils étaient observés, et ont décidé après ça de se cacher. Depuis ce moment-là ils vivaient en France sous une autre identité. Ils ont été découverts en 2000, ont été arrêtés et sont restés plusieurs mois dans des taules françaises, mais les juges ont décidé que les actions qui leur étaient reprochées étaient prescrites. Depuis ce temps-là, ils vivaient tolérés à Paris. En 2007, le ministère public de Francfort dépose un mandat d’arrêt européen contre eux, en 2009 un juge français décide qu’ils seront livrés.

    Il leur est reproché la participation à deux attaques en août 1977 sur MAN à Nuremberg, et sur Klein, Schanzlin & Becker AG à Frankenthal. Les deux consortiums sont mêlés au « marché nucléaire impérialiste », qui se traduit pour l’un dans « la fabrication de bombes atomiques sud-africaines » et pour l’autre dans le fait de jouer « un rôle majeur dans la sous-traitance pour les centrales nucléaires dans le monde entier ».

    De plus, ils sont associés à un attentat incendiaire sur le château d’Heidelberg le 18 mai 1978. Cette action était dirigée contre la reconstruction de la ville et l’assainissement d’Heidelberg.

    Les accusations de participation à ces actions proviennent de dénonciations extorquées sous la torture. En 1978 explosait dans le giron d’Hermann Feiling une bombe qui était destinée au consulat argentin à Munich. Hermann perdait ses jambes et la vue, à l’hôpital il était questionné pendant des semaines entières sous l’influence de la torture et de substances psychotropes des assistantes obéissantes de l’État. Sonja est accusée, de plus, sur dénonciation du principal témoin Hans-Joachim Klein, de participation aux préparatifs de l’attaque contre la conférence de l’OPEP à Vienne en décembre 1975.

    Une histoire qui se répète toujours, les tribunaux allemands essaient de trouver, même plus de 30 ans après, les coupables de ces interventions directes et militantes.
    De plus Sonja et Christian refusaient l’offre d’un accord avec le ministère public et indiquaient que pour eux, une coopération avec l’État et ses aides de bonne volonté ne pouvait être débattue. Ils ont décidé consciemment de ne pas se donner à l’État allemand et de ne pas déballer leur histoire et le passé, mais ont préféré une vie dangereuse et angoissante sous une autre identité.

    Que notre passion pour la liberté détruise les murs !

    Des groupes anarchistes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Solidarite-avec-Sonja-et-Christian « Affiche trouvée sur les murs de Berlin, octobre 2011, traduite de l’allemand par nos soins depuis ABC-Berlin » (4 novembre 2011) ; et sur http://www.abc-berlin.net/poster-solidaritaet-mit-sonja-und-christian (23 octobre 2011)






    [Σταση πληρωμων τωρα !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Σταση πληρωμων τωρα !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge , texte en défonce , papier blanc ) ; 100 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    ΣΤΑΣΗ ΠΛΗΡΩΜΩΝ
    ΤΩΡΑ !

    ΔΕΗ, ΟΤΕ, ΕΥΔΑΠ, ΕΘΕΑ, ΗΣΑΠ, ΜΕΤΡΟ

    φόρων και τελών, δανείων και καρτών

    ΟΡΓΑΝΩΝΟΥΜΕ ΤΗ ΣΥΛΛΟΓΙΚΗ ΜΑΣ
    ΓΡΑΜΜΗ ΑΜΥΝΑΣ

    στην υποτίμηση του πραγματικού μισθού, των συντάξεων και των αποζημιώσεων,

    στην κατάργηση των συλλογικών συμβάσεων και τις μαζικές απολύσεις

    στη μεταφορά του κόστους ασφάλισης στους εργαζόμενους

    ΜΕΣΑ ΑΠΟ ΑΝΟΙΧΤΕΣ
    ΚΑΙ ΑΝΤΙ-ΙΕΡΑΡΧΙΚΕΣ ΔΙΑΔΙΚΑΣΙΕΣ
    σε γειτονιές, χώρους εργασίας, σχολεία, πανεπιστήμια, παντού

    ΚΑΙ ΠΕΡΝΑΜΕ ΣΤΗΝ ΑΝΤΕΠΙΘΕΣΗ

    ΧΡΕΟΚΟΠΗΜΕΝΟΙ
    (ΑΠΟ ΤΟ ΚΡΑΤΟΣ ΚΑΙ ΤΟ ΚΕΦΑΛΑΙΟ)

    ΟΛΩΝ ΤΩΝ ΕΙΔΩΝ
    ΕΝΩΘΕΙΤΕ

    είμαστε αδύναμοι όσο παραμένει ο καθένας μόνος του

    ΑΝΑΡΧΙΚΟΙ - ΑΝΤΙΕΞΟΥΣΙΑΣΤΕΣ


    traduction :

    Arrêtez de payer, maintenant !

    PPC, OTE, EYDAP, ASN, Metro, Metro

    impôts, prêts et cartes

    Organiser notre collectif
    LIGNE DE DÉFENSE

    la dépréciation des salaires réels, les pensions et allocations

    l’abolition des conventions collectives et les licenciements collectifs

    les frais d’assurance de transport aux employés

    PAR OUVERT
    Et procédures anti-IERARCHIKES
    Dans les quartiers, les lieux de travail, écoles, universités, partout dans le monde

    Et passe une contre-attaque

    En faillite
    (DE L’ÉTAT ET LE CHAPITRE)

    TOUTES LES ESPECES
    UNITE

    nous sommes faibles, mais encore, individuellement

    Anarchistes - ANTIEXOUSIASTES


    sources :

    STASI̱ PLI̱RO̱MO̱N
    TO̱RA !

    DEI̱, OTE, EV̱DAP, ETHEA, I̱SAP, METRO

    fóro̱n kai teló̱n, daneío̱n kai kartó̱n

    ORGANO̱NOUME TI̱ SYLLOGIKI̱ MAS
    GRAMMI̱ AMYNAS

    sti̱n ypotími̱si̱ tou pragmatikoú misthoú, to̱n syntáxeo̱n kai to̱n apozi̱mió̱seo̱n,

    sti̱n katárgi̱si̱ to̱n syllogikó̱n symváseo̱n kai tis mazikés apolýseis

    sti̱ metaforá tou kóstous asfálisi̱s stous ergazómenous

    MESA APO ANOICHTES
    KAI ANTI-IERARCHIKES DIADIKASIES
    se geitoniés, chó̱rous ergasías, scholeía, panepistí̱mia, pantoú

    KAI PERNAME STI̱N ANTEPITHESI̱

    CHREOKOPI̱MENOI
    (APO TO KRATOS KAI TO KEFALAIO)

    OLO̱N TO̱N EIDO̱N
    ENO̱THEITE

    eímaste adýnamoi óso paraménei o kathénas mónos tou

    ANARCHIKOI - ANTIEXOUSIASTES