2014

 

 

244 affiches :

 











    [Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    illustration (sorte de “Big Brother”) par ?

    texte :

    Lille 21 & 22 janvier 2014

    Contre la société de contrôle

    Refusons le forum de la cybersécurité

    Les polices en rêvaient, la technologie l’a fait : la surveillance est totale

    Six mois après les “révélations” sur la NSA, policiers, militaires et industriels de l’armement organisent un Forum internationale de la cybersécurité. Même la Stasi n’aurait pas imaginé un tel rassemblement pour exposer ses dernières trouvailles en matière de contrôle des populations : géolocalisation, écoutes, fichage, quand la vie privée n’existe plus, le pouvoir est sans faille.

    Face à l’œil inquisiteur de l’État, nous agissons. Nous refusons que les professionnels de la contention sociale se réunissent. Nous refusons leurs guerres économiques et militaires, intérieurs et extérieures ?

    Nous voulons vivent libres


    sources :
     






    [Crise : l’État et les entreprises se serrent les coudes ; nous, on se serre la ceinture]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Crise : l’État et les entreprises se serrent les coudes ; nous, on se serre la ceinture]. — [S.l.] : Alès : Exploités énervés, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , gris , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (rouge et noir sur fond gris) ; dessins (personnage broyé par des engrenages avec : en entre : « Salaires, Conditions de travail, Aides sociales, Retraite » et en sortie : « Factures, Prix, Impôts, Chômage » ; dessin montage d’une foule, poings levés et drapeaux, vue de dos : manifestation ou concert) ]

    texte :

    Crise

    L’État et les entreprises se serrent les coudes

    Nous, on se serre la ceinture

    La crise, c’est quoi ? La crise est une réalité pour nous et pour les capitalistes. Plus encore, il ne peut y avoir de capitalisme sans crise, tant ce système est traversé de contradictions : les capitalistes ont besoin de faire toujours plus de profits, de produire toujours plus, sans quoi leurs entreprises disparaîtraient dans la concurrence effrénée qu’elles se mènent. L’essentiel des profits provient de la vente de la production. Et, en bout de chaîne, qui achète ? L’ensemble de la population, les travailleurs, les chômeurs... Nous, dont on baisse en permanence les revenus ! Avec la hausse des prix, la baisse des salaires et des allocations est l’un des levier du capital pour maintenir ses profits dans la crise. Ces politiques d’austérité sont nécessaires aux capitalistes mais dans le même temps, elles induisent une baisse de la consommation, alors qu’on produit toujours plus. C’est une des contradictions du capitalisme qui mène à la crise de surproduction. Les profits n’augmentent plus suffisamment et, pour y pallier, les capitaux sont massivement investis dans les marchés financiers. Crise de la finance, des sub-primes, de la dette... ne sont que des facettes de cette crise du système.

    Si la part de la finance a augmenté, au fond, les profits boursiers ou non, proviennent du travail humain. Certains possèdent les moyens de production (usines, entreprises...) et la très grande majorité vend ses mains ou son cerveau pour un salaire. Un capitalisme plus ou moins financiarisé n’enlève rien à l’exploitation que l’on subit.

    La régulation du capitalisme est impossible tant la crise est un temps de son fonctionnement. Les entreprises les moins compétitives coulent, le capital se concentre, le coût du travail doit baisser. Quand cela ne suffit pas, les guerres, les destructions massives de moyens de production, sont l’aboutissement de la crise et relancent l’économie. La crise actuelle créé les mêmes tensions que celle de 1929 : renfermement national, identitaire, populisme, guerre contre les pauvres et de tous contre tous…

    Et l’État dans tout ça ? Depuis son apparition, sa fonction, qu’il soit de gauche, de droite, d’extrême gauche ou d’extrême droite, est de garantir la survie du système. Dans les périodes fastes, cela passe par une relative redistribution qui soutient la consommation et garantit la paix sociale. Dans la crise, l’État tente différentes politiques économiques : keynésienne, libérale ou protectionniste sous différentes formes : totalitaire ou démocratique. Actuellement, il abandonne le social pour un soutien direct aux entreprises. C’est l’austérité ! L’État baisse le coût du travail : nos salaires et nos aides sociales. Il empêche les révoltes et devra mettre au pas le prolétariat. L’État ne remet jamais en cause les fondements du système capitaliste : l’exploitation de l’Homme par l’Homme.

    Qu’est-ce qu’on peut faire ? Seule la disparition de ce système nous sortira de ce retour permanent de crises et des tensions qui en résultent. Chaque lutte dans une entreprise en grève, chaque bagarre de chômeurs face aux administrations, chaque fois que des voisins s’entraident face à un huissier, chaque révolte contre un dictateur (Tunisie, Égypte) ou une politique d’austérité (Brésil, Espagne)... construit un rapport de force qui permet d’entrevoir la fin du système capitaliste. Ici comme ailleurs, lutter collectivement, c’est sortir de la résignation.

    Leurs profits, c’est nos galères
    Face à la crise, pas d’alternative

    Guerre sociale contre le capital et ses larbins


    sources :

    http://exploitesenerves.noblogs.org/serie-daffiches-a-commander/


    [ca  2010]

    [s.d.]

    2014

    [ 2014 & ante]

    2011

    2009

    [ 2007 & ante]

    [ 2014 & ante]

    2009

    [ 2014 & ante]

    [ 2007 ?]

    [ 2007 ?]

    [ca  2010]

    2015

    [ 2018 & ante]

    [ca  2008]
    Affiches liées









    [Du son contre la prison 2014]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Du son contre la prison 2014]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 46 × 35 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; communication : radio & audiovisuel*  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Radio Dio
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (chanteur en concert à travers un mur de brique percé) ; couleur plus ou moins différente selon les exemplaires ]

    texte :

    Du son contre la prison

    concert hip hop

    vendredi 9 mai 2014

    Retransmis en direct de 21 h à minuit sur Radio Dio 89.5 FM à Saint-Étienne, pour les prisonniers et prisonnières de la maison d’arrêt de la Talaudière

    Tornade — Billie Brelox — Dialctik Musik

    Ursa minor - 11 rue de l’Égalerie - Bellevue - Saint-Étienne

    5 euros + adhésion prix libre — [logo "usine"] PTX

    Retransmis sur les ondes FM de plusieurs autres ville : [logo] Radio Dio 89.5 www.radiodio.org
    + d’infos sur www.facebook.com/dusoncrtrelaprison


    sources :
    Soirées diffusées régulièrement sur d'autres radios comme {Radio Campus Lille}. Voir : [Du son contre la prison, le 9 mai sur ta radio locale]



    [easyCity.org]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    easyCity.org]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : vie_ quotidienne
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    icons

    texte :

    easyTerrorist
    choose from our pre-designed packages

    easyPoor
    no annual fee

    easyFat
    design to suit your needs

    easyHomeless
    combine benefits most important to you

    easyJunk
    puts you in control

    easyWheelchair
    in balance transfers

    easyCity.org


    sources :
     






    [Face à l’État et aux patrons : luttes collectives]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Face à l’État et aux patrons : luttes collectives]. — [S.l.] : Alès : Exploités énervés, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier kraft ) ; 62 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; contrôle social  ; luttes sociales (mouvement social)  ; solidarité
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin façon gravure sur bois (groupe de personnes solidaires face à un bureaucrate assis) ]

    texte :

    Face à l’État et aux patrons : luttes collectives

    Nous sommes tous confrontés au manque d’argent, aux galères de boulots, aux difficultés pour finir le mois.

    Chacun peut résister au quotidien, pour survivre et ne pas trop subir. Mais nous avons aussi besoin de nous rencontrer, d’échanger des infos, de construire des rapports de force collectifs. À plusieurs, il est plus facile de se battre quand un proprio ou un huissier veut nous expulser, quand la CAF ou Pôle Emploi nous coupe les allocs, quand un patron refuse de nous payer ou nous licencie... S’organiser collectivement permet généralement de mieux s’en sortir.

    L’État et le patronat nous divisent pour mieux nous contrôler et nous exploiter. Travailleurs, chômeurs, français et étrangers, hommes et femmes, nous sommes tous dans la même galère. Nous avons tout à gagner à être solidaires dans la lutte contre ce système où la loi du profit nous écrase toutes et tous.

    Contre l’exploitation et les dominations,
    organisons-nous, soyons offensifs


    sources :

    http://exploitesenerves.noblogs.org/serie-daffiches-a-commander/








    [Flikken aanvallen ; is het een sport ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Flikken aanvallen ; is het een sport ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    photo (scène de golf sur un toit d’immeuble)

    vignette (chien pissant sur le jambe d’un policier)

    texte :

    Molenbeek, 8 april 2014. Een politiepatrouille merkt rond 22 uur een vijftal jongeren op die met golfclubs rondlopen. Wanneer de agenten hen willen tegenhouden, wordt hun voertuig omsingeld door een veertigtal jongeren. Die beginnen de wagen met stenen te bekogelen en op het voertuig in te slaan. De achterruit van de wagen wordt verbrijzeld en één agent krijgt een slag met een golfclub op het hoofd. Een andere agent raakt gewond in het gezicht door rondvliegend glas.

    Flikken aanvallen ; is het een sport ?

    Politie is nodig. Dat wordt ons toch verteld. Anders zouden mensen elkaar uitmoorden. Of elkaar toch vreselijke dingen aandoen. De argumenten verwoorden een diep wantrouwen tegenover de medemens.

    Dus wordt een bepaalde groep van die medemensen een opleiding in geweld gegeven, georganiseerd als gewapende militie, de straat opgestuurd en krijgen ze de boodschap mee dat ze met zo goed als alles onbestraft wegkomen.

    De medemens wordt gewantrouwd, dus krijgt die medemens een vrijbrief om geweld te plegen en macht te verwerven over anderen. Bizarre redenatie.

    Verwachten we dan dat de politie moreel superieur is aan de rest van de mensheid ? Zijn ze betere mensen dan wij ? Of zijn ze soms aliens ? Waarom zouden ze niet hun eigen belangen of die van hun broodheer voorop zetten ? Is dat niet wat er feitelijk gebeurd en wat er onvermijdelijk gebeurd ? Het zijn immers ook maar mensen, daarenboven mensen die legaal geweld mogen uitoefenen op andere mensen. Het legale geweld, het geweld van de staat, dient bepaalde belangen. Of we die belangen nu democratie, meerderheid, publieke opinie of regime, elite, natie noemen, ze worden ons opgelegd. Anders had de staat geen nood aan het geweldsmonopolie.

    Dat de mensen die dat legale geweld elke dag in de straten uitoefenen, ook geweld terug in hun gezicht krijgen is een goed idee. Het geweldsmonopolie - fundament van de onderdrukking - saboteren is een bevrijdende daad. Het tast de arrogantie. de machtspositie van de staat aan. We wantrouwen namelijk de medemensen die inzicht proberen uitoefenen over andere mensen.

    De staat noemt haar eigen geweld wet ; het gweld van het individu noemt ze misdaad.


    traduction :

    Molenbeek, 8 avril 2014. Vers 22 heures, une patrouille de police a remarqué qu’environ cinq jeunes se promenaient avec des clubs de golf. Lorsque les policiers veulent les arrêter, leur véhicule est encerclé par une quarantaine de jeunes. Ceux-ci commencent à lancer des pierres sur la voiture et à la percuter. La vitre arrière de la voiture est brisée et un policier est frappé à la tête avec un club de golf. Un autre policier est blessé au visage par des éclats de verre.

    Attaquer des policiers : est-ce un sport ?

    On a besoin de policiers. C’est en tout cas ce qu’on nous dit. Sinon, les gens s’entretueraient. Ou se feraient des choses terribles de toute façon. Ces arguments expriment une profonde méfiance à l’égard des autres êtres humains.

    C’est pourquoi un certain groupe de ces semblables est formé à la violence, organisé en milice armée, envoyé dans les rues et informé qu’il peut faire n’importe quoi en toute impunité.

    On se méfie des autres êtres humains, alors on leur donne le droit de commettre des actes de violence et de prendre le pouvoir sur les autres. C’est un raisonnement étrange.

    Attendons-nous alors de la police qu’elle soit moralement supérieure au reste de l’humanité ? Sont-ils meilleurs que nous ? Ou sont-ils parfois des extraterrestres ? Pourquoi ne feraient-ils pas passer leurs propres intérêts ou ceux de leur seigneurie en premier ? N’est-ce pas ce qui se passe en réalité et ce qui se passe inévitablement ? Après tout, ils ne sont que des humains, en plus d’être des personnes qui sont légalement autorisées à utiliser la violence sur d’autres personnes. La violence légale, la violence d’État, sert certains intérêts. Que nous appelions ces intérêts démocratie, majorité, opinion publique ou régime, élite, nation, ils nous sont imposés. Sinon, l’État n’aurait pas besoin du monopole de la violence.

    Que les personnes qui exercent cette violence légale tous les jours dans la rue se voient également renvoyer la violence au visage est une bonne idée. Saboter le monopole de la violence - fondement de l’oppression - est un acte libérateur. Il érode l’arrogance et la domination de l’État. En effet, nous nous méfions des êtres humains qui tentent d’exercer leur pouvoir sur d’autres êtres humains.

    L’Etat appelle sa propre violence « loi » ; la violence de l’individu « crime ».


    sources :
     

    [ 2014 & ante]
    Affiche liée


    [Flikken aanvallen ; is het niet menselijk ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Flikken aanvallen ; is het niet menselijk ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
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    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    tekst

    photo (paysage vallonné avec vaches ; panneau de signalisation “Attention, vaches”)

    vignette (chien pissant sur le jambe d’un policier)

    texte :

    Lasne, 26 november 2013. Een koe breekt uit haar omheining en besluit het op een lopen te zetten. Helaas verklikt een burger, die alles gezien heeft, haar bij de lokale politie. Na een korte achtervolging, slagen de agenten erin om de koe terug naar de weide te dwingen. Waarop de koe zich op het politievoertuig uitleeft. De motorkap en de voorruit van de gloednieuwe wagen zijn om zeep.

    Flikken aanvallen ; is het niet menselijk ?

    Politie is nodig. Dat wordt ons toch verteld. Anders zouden mensen elkaar uitmoorden. 01 elkaar toch vreselijke dingen aandoen. De argumenten verwoorden een diep wantrouwen tegenover de medemens.

    Dus wordt een bepaalde groep van die medemensen een opleiding in geweld gegeven, georganiseerd als gewapende militie, de straat opgestuurd en krijgen ze de boodschap mee dat ze met zo goed als alles onbestraft wegkomen.

    De medemens wordt gewantrouwd, dus krijgt die medemens een vrijbrief om geweld te plegen en macht te verwerven overanderen. Bizarre redenatie.

    Verwachten we dan dat de politie moreel superieur is aan de rest van (Ie mensheid ? Zijn ze betere mensen dan wij ? Ot zijn ze soms aliens ?

    Waarom zouden ze niet hun eigen belangen of die van hun broodheer voorop zetten ? Is dat niet wat er feitelijk gebeurd en wat er onvermijdelijk gebeurd ? Het zijn immers ook maar mensen, daarenboven mensen die legaal geweld mogen uitoefenen op andere mensen.

    Het legale geweld, het geweld van de staat, dient bepaalde belangen. Of we die belangen nu democratie, meerderheid, publieke opinie of regime, elite, natie noemen, ze worden ons opgelegd. Anders had de staat geen nood aan het geweldsmonopolie.

    Dat de mensen die dat legale geweld elke dag In de straten uitoefenen, ook geweld terug in hun gezicht krijgen is een goed idee. Het geweldsmonopolie - fundament van de onderdrukking - saboteren is een bevrijdende daad. liet tast de arrogantie, de machtspositie van de staat aan. We wantrouwen namelijk de medemensen die macht proberen uitoefenen over andere mensen.

    De staat noemt haar eigen geweld wet ; het gweld van het individu noemt ze misdaad.


    traduction :

    Lasne, 26 novembre 2013. Une vache sort de son enclos et décide de s’enfuir. Malheureusement, un citoyen, ayant tout vu, la dénonce à la police locale. Après une courte course-poursuite, les agents parviennent à forcer la vache à retourner au pâturage. La vache s’en prend alors au véhicule de la police. Le capot et le pare-brise de la voiture flambant neuve sont renversés.

    Attaquer les policiers, n’est-ce pas humain ?

    La police est nécessaire. C’est en tout cas ce qu’on nous dit. Sinon, les gens s’entretueraient. 01 se font des choses terribles de toute façon. Ces arguments expriment une profonde méfiance à l’égard des autres êtres humains.

    C’est pourquoi un certain groupe de ces semblables est formé à la violence, organisé en milice armée, envoyé dans les rues et informé qu’il peut faire n’importe quoi en toute impunité.

    On se méfie des autres humains, alors on leur donne le droit de commettre des actes de violence et de prendre le pouvoir sur les autres. C’est un raisonnement étrange.

    Attendons-nous donc de la police qu’elle soit moralement supérieure au reste de l’humanité ? Sont-ils meilleurs que nous ? Ou sont-ils parfois des extraterrestres ?

    Pourquoi ne privilégieraient-ils pas leurs propres intérêts ou ceux de leur seigneurie ? N’est-ce pas ce qui se passe en réalité et ce qui se passe inévitablement ? Après tout, ce ne sont que des êtres humains, qui plus est des êtres humains qui sont légalement autorisés à utiliser la violence sur d’autres personnes.

    La violence légale, la violence d’État, sert certains intérêts. Que nous appelions ces intérêts démocratie, majorité, opinion publique ou régime, élite, nation, ils nous sont imposés. Sinon, l’État n’aurait pas besoin du monopole de la violence.

    Que les personnes qui exercent cette violence légale tous les jours dans les États se voient également renvoyer la violence au visage est une bonne idée. Saboter le monopole de la violence - fondement de l’oppression - est un acte libérateur. éroder l’arrogance, la position de pouvoir de l’État. En effet, nous nous méfions des êtres humains qui tentent d’exercer un pouvoir sur d’autres personnes.

    L’Etat appelle sa propre violence « loi » ; la violence de l’individu « crime ».


    sources :
     

    [ 2014 & ante]
    Affiche liée







    [Frost Punx Picnic X]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Frost Punx Picnic X]. — Mülheim an der Ruhr : Frost Punx, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 60 × 34 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (programme du 10e festival Frost Punx Picnic) ; dessin (deux punks, équipés de masques à gaz, autour d’un brasero) ]

    texte :

    both days : concert. disco, warm places to sleep, distro, frost punx fair. leave your dogs at home !
    No tolerance for racism, sexism, homophobia and antisemitism !

    Frost Punx Picnic

    X

    Deviated Instinct (UK)
    Ruidosa Inmundicia (CHL+AUT)
    No White Rag (ITA)
    Geranium (FR)
    Finisterre (GER)
    Pig Control (GER)
    Silence Means Death (BE)
    World Downfall (GER)
    Stahlschwester (GER)
    Paramnesia (FR)
    Segregated (BE)
    HALB11 (GER)

    Feb 21-22 — AZ Mülheim

    Info : 0208/4445633 - www.frostpunk.de


    sources :
     




    [Geen sluiting kleine Ring !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Geen sluiting kleine Ring !]. — Antwerpen Anvers : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : économie : transports
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Kropotkin, Johny [pseud.]
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    dessin (« évolution de l’Homme » jusqu’à un politicien-autoroute)

    texte :

    Geen sluiting kleine Ring !

    Men zegt dat men de Antwerpse kleine Ring wil sluiten.
    Dit wil zeggen dat men hem gaat uitbreiden.
    Met een investering van 22 à 30 miljard doorheen groen, droogdokken en woonruimtes …
    Zodat nog meer auto’s naar de stad sullen komen …

    Homo asfalticus de ‘missing link’ gevonden

    Affiche aangeboden door Wildgroei en Spaak en Tandrad.

    v.u. Johny Kropotkin. Breughelstraat 31-33, 2018 A‘pen - Vrij van zegel art 198


    traduction :

    Pas de fermeture du petit ring !

    On dit qu’on veut fermer le petit ring d’Anvers.
    Cela signifie qu’ils vont l’agrandir.
    Avec un investissement de 22 à 30 milliards par le biais d’espaces verts, de cales sèches et d’espaces de vie ...
    Pour qu’encore plus de voitures viennent en ville ...

    Homo asfalticus le “chaînon manquant” retrouvé

    Affiche offerte par Wildgroei en Spaak en Tandrad.

    v.u. Johny Kropotkin. Breughelstraat 31-33, 2018 A’pen - Libre de timbrage art 198


    sources :
     


    [Handen af van onze panden !!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Handen af van onze panden !!]. — Gent Gand : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    fotomontage

    texte :

    Handen af van onze panden !!

    voor het behoud van de Hogepont en alle kraakpanden in België

    geen nieuw ghetto in Gentbrugge

    geen a-sociale woningen

    28 oktober 17.30 Blandijn - Gent

    (vlakbij st.pietersplein)


    sources :