éducation

 

 

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    [Non à l’éducation biométrique]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à l’éducation biométrique] / Peter Welleman. — Montpellier : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

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    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (élève ou enseignant ou citoyen entouré d’une constellation d’appareils électroniques, surveillé par un policier devant son ordinateur) par Peter Welleman (cc)

    texte :

    Non à l’éducation biométrique

    Nous, citoyens, parents d’élèves, organisations signataires de ce texte, dénonçons la mise en place de bornes biométriques dans certains établissements scolaires de l’Hérault où, dès cette rentrée, des machines destinées à reconnaitre le contour de la main conditionnent l’accès des enfants aux cantines scolaires.

    En dépossédant les enfants de l’usage de leur nom patronymique, cette technique réduit dangereusement l’identité de chacun à un simple code basé sur l’enregistrement d’une particularité physique.

    Par ailleurs, nous nous interrogeons sur l’utilité de ces bornes pour le bien-être des élèves et sur leur place dans le projet pédagogique.

    De plus, l’annonce récente du fichage des enfants de plus de 13 ans via le fichier Edvige 2ème version montre bien qu’une politique globale de fichage de la population est en cours, dans la continuité du fichier de police STIC dans lequel 25 millions de Français sent enregistrés.

    Pour nous, l’éducation doit permettre l’épanouissement des enfants, dans le respect de leur intégrité physique et morale. L’école a pour mission d’éduquer à l’exercice de la liberté et non pas d’habituer les enfants a un contrôle social permanent.

    Nous invitons toutes les personnes préoccupées par ces questions à prendre contact avec le collectif qui apporte son soutien aux diverses initiatives de refus déjà en cours.

    contact : nonaleducationbiometrique@gmail.com

    Citoyens, parents, organisations membres du collectif : Alternative libertaire, Attac Cœur d’Hérault, CGA (Coordination des groupes anarchistes), CGT-SGPEN, CNT Éducation Santé-Social 34, CUAL Montpellier, FCPE 34, FSU, Groupe Décroissance de Montpellier, LCR, LDH (Ligue des Droits de l’Homme et du citoyen), le MAI, SAF (Syndicat des avocats de France), SM (Syndicat de la magistrature), SUD-Éducation 34, UD CGT 34


    sources :
     










    [Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]. — Paris : CNT_F (France), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.

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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (avec argumentaires d’exemples façon texte manuscrit scolaire) ; photo (montage : ouvrier mi-blanc mi-noir, avec casque de chantier, sur fond de chantier de construction) ; filigrane (poing levé) ]

    texte :

    Rythmes scolaires

    Rythme des enfants

    Dans les communes où la réforme a été mise en place, les enfants restent plus longtemps à l’école : autant d’heures de classe, plus d’heures d’école !

    Les enfants n’ont plus de coupure en milieu de semaine, parents et enseignant-e-s constatent une fatigue accrue pour les enfants après seulement quelques semaines de classe.

    Les journées sont tellement fragmentées que les élèves sont désorienté-e-s, particulièrement en maternelle.

    À Paris, les enfants de petite section sont réveillé-e-s de la sieste, ils sont pris en charge par trois adultes différent-e-s dans la même journée. Difficile dans ces conditions de structurer l’espace et le temps.

    On prétend prendre en compte le rythme de vie des enfants mais ce sont surtout les intérêts économiques qui priment : pour ne pas froisser l’industrie touristique, on ne touche pas au système des zones pour les petites vacances, ce qui crée des périodes travaillées qui varient de 5 à 12 semaines.

    Conditions de travail des adultes

    Pendant le temps périscolaire, les disparités de salaires et de statuts entre : l’enseignant, l’animateur titulaire, l’animateur précaire, l’ATSEM, bénévoles associatifs... sont aggravées. Ils font pourtant le même travail avec les mêmes enfants.

    En raison du manque de locaux disponibles, le lieu de travail des enseignant-e-s leur échappe, tandis que les animateur-rice-s ne peuvent s’approprier leur espace de travail.

    L’augmentation du nombre maximum d’enfants par adulte a été décidée pour faire des économies. Les activités sont donc plus difficiles à mettre en place et la sécurité des enfants en pâtit.

    Malgré l’avis du Conseil Constitutionnel, on est passé de 10 à 14 enfants pour un adulte en maternelle, et de 14 à 18 en élémentaire.

    Les difficultés de recrutement ainsi que le non-remplacement aggravent la situation du taux d’encadrement et génèrent des sureffectifs parfois hallucinants.

    À Paris, il n’est pas rare qu’un animateur se retrouve seul avec 50 enfants dans la cour.

    Ces conditions de travail et d’encadrement engendrent du stress, de la fatigue, des tensions, des démissions... ce qui a des conséquences sur la qualité des activités proposées aux enfants sur les temps scolaires et périscolaires.

    Aggravation des inégalités

    Les activités périscolaires sont financées par les communes, or elles n’ont pas ou ne se donneront pas toutes les mêmes moyens pour les mettre en place.

    Selon les communes, voire les quartiers, le tissu associatif, les activités disponibles et les équipements culturels et sportifs varient considérablement.

    Si la seule association du village est l’Amicale des chasseurs, Doudou Lapin a peut-être de quoi s’inquiéter

    Le contenu des activités peut varier selon la couleur et les choix politiques de la mairie. Celles-ci ont un pouvoir réel sur le contenu du périscolaire, dans le cadre du Plan Éducatif Territorial.

    Avec cette réforme, c’est la porte ouverte au clientélisme et aux fondations privées à visées mercantiles.

    Le 9 juin 2013, le ministère de la Jeunesse et des Sports a signé une convention de trois ans avec la Fondation Total pour financer les « activités culturelles en dehors du temps scolaire notamment en accompagnant la réforme des rythmes éducatifs ». Total promet 4 millions d’euros pour pallier les difficultés financières des communes.

    Pour des raisons financières ou politiques, les communes peuvent être amenées à faire payer les activités, certaines le font déjà.

    À Cours-sur-Marne, la mairie fait payer toutes les activités aux familles, 4 euro de l’heure, quels que soient leurs revenus. À Grenelle, la garderie, pompeusement rebaptisée « récréative », est gratuite mais les activités culturelles ou sportives sont payantes.

    Ainsi selon le lieu de scolarisation des enfants, ils n’auront ni les mêmes activités, ni les mêmes moyens, ni les mêmes rythmes : où est l’égalité dans tout ça ?

    Retrait de la réforme !

    Nos besoins :
    • L’école a besoin de personnels pour assurer les remplacements et réduire les effectifs dans les classes, accompagner les élèves en situation de handicap, assurer l’entretien de locaux,...
    • Elle a besoin de financements et de programmes qui permettent la mise en place, sur le temps scolaire, d’activités pédagogiques ouvertes sur le monde.
    • Le périscolaire doit être un vrai projet avec des vrais moyens et des personnels formés et respectés.

    Cette réforme est-elle vraiment la priorité ?

    Fédération CNT des travailleurs-euses de l’Éducation
    fede-educ@cnt-f.org — 06 26 50 01 36 — http://www ;cnt-f.org/fte


    sources :

    http://www.cnt-f.org/ud57/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf
    https://web.archive.org/web/20150505221013/http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf































    [Non à la casse des conventions collectives !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la casse des conventions collectives !]. — Marseille : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation  ; grève  ; luttes sociales (mouvement social)  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Non à la casse des conventions collectives !

    Dès aujourd’hui, commençons à préparer la riposte nationale du 31 mai et 1er juin !
    Grève et manifestation le 31 mai à 10h à la préfecture !
    Soirée de lutte à partir de 17 h 30

    En février 2022, le premier ministre annonçait l’élargissement du Ségur de la santé à l’ensemble du personnel éducatif dans le médico-social et le social. Plusieurs décrets publiés ce début mai montrent bien que le gouvernement nous a enfumé avec de "belles promesses" pour endormir la lutte.
    1. Il s’agit d’une prime calquée sur les accords Laforcade et non d’une revalorisation de salaire : pas de cotisation pour les retraites, et elle peut être supprimée à tout moment.
    2. Le secteur privé ne sera pas concerné par la prime Ségur sans accord préalable de fusion des conventions collectives.
    3. Ne sont concernés que les 3 fonctions publiques (d’État, hospitalière et territoriale)
    4. Pour ce qui est de la fonction publique territoriale, le choix est laissé aux départements et collectivités de verser ou non cette prime et de définir qui en seront les bénéficiaires.
    5. De nouvelles listes de professions ont été établies. Un tiers des profesionnel.les en seraient encore exclus.

    Destruction des conventions

    1- Les conventions collectives sont les textes qui définissent les règles particulières du droit du travail pour un secteur. Pour le social et médico-social, il existe 5 conventions principales garantissant certains droits (salaires, congés trimestriels etc).
    Il s’agit des CCNT66, Accords CHRS, CCNT 51, CCNT Croix Rouge et CCNT CLCC (en cas de doutes, votre convention de rattachement est indiquée sur vos fiches de paye).

    2 - La fusion de ces 5 conventions en une Convention Collective Unique Étendue est autorisée par la loi de 2014 (dite loi travail ou El Khomri). En réponse à cette initiative de l’État, les organisations patronales (NEXEM et FEHAPS rassemblées en AXESS) orchestrent cette fusion dans la continuité de la marchandisation de notre secteur.

    3- Aujourd’hui, AXESS dévoile son programme et ses grandes orientations : "réalisme" et "modularité". Des orientations libérales qui paraissent bien éloignées de nos demandes de fincancements pérennes à hauteur des besoins du public et de la valorisation de nos métiers.

    Un salaire à la "compétence"

    La CCUE instaure un isolement toujours plus grand des professionnel.les face à leur direction en instaurant une logique de négociation individuelle de son salaire (à partir de compétences évaluées directement par l’employeur).

    1- "Une rémunération minimale conventionnelle de l’emploi" calculée à partir des attendus de chaque poste. C’est la base de la rémunération mais à cela s’ajoute une part de salaire négociée au cas par cas.

    2- "Un complément de maîtrise de l’emploi" laissé à la liberté de la négociation employeur/salarié.e, ce complément vise à différencier les salarié.es selon des compétences non mesurables (aptitudes relationnelles, adaptabilité, travail en équipe etc). Ce complément "peut s’appuyer en partie sur le nombre d’années d’expériences", c’est-à-dire "une vision remaniée de l’ancienneté" dont on ne sait rien pour l’instant…

    En concret, c’est donc la mise en compétition des travailleur.euses du social sur un libre marché de l’emploi, où la négociation même de son salaire se fait seul.e face à son patron ! Accepter cette convention c’est aller vers des recrutements et des salaires injustes et inégaux. C’est aussi accepter la mise en danger des droits des personnes accompagnées et la baisse de qualification du personnel.

    Le social brûle

    facebook : le social brûle
    collectif 13 des travailleur-euses du social et du médico-social
    lesocialbrule@gmail.com


    sources :

    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png
    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png



    [Agitación n°1, Perdida en la memoria condenada busca la manera de gritar]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Agitación n°1, Perdida en la memoria condenada busca la manera de gritar]. — Valladolid : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 68 × 101 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : communication : radio & audiovisuel*  ; éducation  ; police  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Agitación
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessins (homme avec porte-voix) ]

    texte :

    Agitación

    n°1 - Apartado 258 - 47080 Valladolid

    Perdida en la memoria condenada busca la manera de gritar

    insumisión, insumisión, insumisión

    SEGURIDAD CIUDADANA, LA ESTABILIDAD DEL PODER

    SEGURIDAD CIUDADANA, TODOS CON MIEDO TRAS LAS VENTANAS

    No salgas a la calle tarde y de noche ; las cosas están mal, amigo. Deja que el Estado se ocupe de todo. No salgas de casa tras el trabajo. La patrulla velará tu sueño. Ellos guardan tu puerta. Mejor no salgas de tu agujero. Afuera está el mundo entero. Es demasiado grande, puede que te pierdas. No salgas de tu vida, ciudadano. No te metas donde no te llaman. Deja las calles a la policía, deja la vida a quienes te cuidan.

    ... PERO NO ME ENGAÑES...

    El resplandor de tus ojos confirma los hechos. Con un cuerpo duro como el diamante. Con una mente clara como el litio. Toda la energía se libera cuando gritas. Con tus manos destrozas los poderes del Mundo. En los límites de la carne y de la sangre AVANZAS. No dudas. No aminoras tu paso.

    HOMBRE EN UNA ÉPOCA SIN HÉROES, EXPLORADOR DE UN NUEVO FIRMAMENTO, LUCHAS PARA EXPERIMENTAR TU LIBERTAD
    (A.D.) Versión libre

    MONOTIDIANA

    Hemos quedado a comer. Te espero sentado, desmigando el tiempo frente al televisor. Pienso en tu retraso. Sin pensar. La comida sobre la mesa, repartida entre los platos y el aburrimiento, fría.

    Llegas corriendo, los pulmones jadeando. Problemas en el curro. La mierda de las pelas. No hay suficiente aire para olvidar. Adelanto hacia ti mis manos. Me apartas. Te apartas. Quiero abrazarte. Insisto. Me empujas. Recuerdas la hora. Hay que comer deprisa. Tienes que volver al trabajo. Gritamos, nos gritamos. Mi rabia contra la pared. La tuya es un portazo.., y otro más. Te escapas a fumar un cigarrillo, a viajar siendo humo, a buscar más allá de lo que te alcanza la vista, empujando con la frente el sucio cristal.

    En silencio me acerco de puntillas. Te abrazo por detrás. Descansas un infinito instante. Lentamente te sueltas. Media vuelta. Nos miramos. Un beso. Y te vas.

    Caigo el cuerpo sobre el sillón. Como con desgana, mordisqueando la soledad.

    Si hubiéramos quedado a comer, estaría derrumbado frente al televisor, como ahora, sin pensar.

    NOS ROBÁIS LA VIDA Y CON MENTIRAS NOS LA CAMBIÁIS POR UN SUCEDÁNEO DE SEGURIDAD COTIDIANA ; DE MONOTONÍA REPETIDA HASTA LA VACIEDAD

    POR UNA COMUNICACIÓN ALTERNATIVA : RADIOS LIBRES

    La reciente aprobación de la LOT (Ley Orgánica de Telecomunicaciones) ha reavivado el enfrentamiento represivo del Estado hacia las radios libres, únicos cauces de información alternativa y de comunicación antiautoritaria en muchos puntos de la geografía estatal, desde barriadas populares de las grandes ciudades hasta pueblos y comarcas del medio rural. La auto-gestión informativa que define a todas ellas supone una respuesta contestataria a la manipulación interesada de todos los medios de comunicación de masas. Éstos, con su poder económico y publicitario, no pueden permitir que se socave su monopolio informativo, conformador de las mentes sumisas de los ciudadanos. Por esto, solidarizarse con las radios libres es luchar por mantener y ampliar la libertad de expresión en todos los ámbitos de la sociedad.

    ¿EDUCAR ?

    Conscientes de las contradicciones y la incoherencia de todo el proceso educativo, pero con la convicción de que es posible la utopía de conseguir una educación que esté al servicio de la persona para su libre realización : ser capaz de desarrollar su vida en solidaridad con los demás, sin la necesidad de gobernar o ser gobernado.

    Tratamos de recoger todas las alternativas realizadas y plantear un debate crítico del hecho educativo en todos sus aspectos : desde la pedagogía libertaria hasta las nuevas tecnologías, pasando por la problemática de la mujer y los jóvenes en la enseñanza, la sexualidad, la medicina natural, las fiestas populares, la ecología, el antimilitarismo...

    LATINOAMÉRICA : LA REPRESIÓN SANGRIENTA

    Ésta es la característica común de la mayoría de los regímenes latinoamericanos. Pero de la represión cotidiana pasan con harta frecuencia a la aplicación del terror de Estado. Este fenómeno, que allí se manifiesta sin el menor refinamiento, ocurre siempre que el poder burgués se siente amenazado por las luchas populares.

    A la trágica lista de países latinoamericanos represores —Argentina, Chile, El Salvador, Paraguay, etc.— se incorpora con todos los méritos Colombia, donde en los últimos meses más de 200 campesinos han sido asesinados en matanzas colectivas... No es casual que éstas se efectúen en la región de Urabá, con explotaciones bananeras y una alta concentración de campesinos, con organizaciones sindicales de fuerte implantación y de capacidad combativa contrastada.

    El Estado Colombiano aplica las lecciones impartidas por Estados Unidos para con los « Escuadrones de la Muerte » intentar imponer el orden, su orden. La historia se repite.


    sources :

    Imprimé au dos d’une affiche de 1978.