France

 

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Affichage par année

3947 affiches :

 










    [D’égal à égales]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    D’égal à égales]. — Angers : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : féminisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; exposition  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    drapeau arc-en-ciel

    photo (femmes, en tenue de plage années 30-50, jouant au base-ball ou au cricket)

    texte :

    Injonctions faites aux femmes — Genre et éducation — Prostitution — Conciliation des temps de vie

    2 journées pour le féminisme, l’antisexisme… et la lutte contre l’homophobie

    19 et 20 oct. 2012 à Angers

    D’égal à égales

    Débats • Tables rondes • Forum • Expositions • Manifestation • Spectacle

    Vendredi 19 octobre, 20 h : rencontre-débat « Prostitution : entre réglementation et abolition, où en est-on ? » - Salons Curnonsky

    Samedi 20 octobre, 10 h à 15 h 30 : tables rondes « Genre et éducation / Sexualité, maternité, vie de couple : les injonctions faites aux femmes / La conciliation des temps de vie » + atelier « Contes et musique antisexistes pour enfants » - Salons Curnonsky

    Samedi 20 octobre, 15 h 30 : marche revendicative et en fanfare - RV place du Ralliement

    Samedi 20 octobre, 20 h : pièce de théâtre « Prostipute » / Cie Ocus - Salons Curnonsky

    Tout le week-end : expositions « Féminismes en Anjou au XXe siècle » et « Mosaïque du corps »

    Contact : feminisme48@gmail — Site : www.degalaegales.blogspot.com — Facebook : www.facebook.com/egal.a.egales

    [logos] SUD Éducation - SUD Étudiant - Solidaires - SUD Santé§Sociaux - FSU - NPA - Alternative libertaire - PCF - Europe Écologie les Verts - Ligue des droits de l’Homme Maine-et-Loire - ESD - Le Planning familial 49 - Quazar - Collectif Émancipation, collectif anti-sexiste anti-patriarcal

    © graphisme La Grange au Carré - lagrangeaucarre.com / photographie Daily [xxxx ?]


    sources :
     












    Turkiye’de ki baskıya son!">[Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Turquie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (capitales) ; photos (répressions de manifestant·e·s, prison) ]

    texte :

    Libération des prisonnier-e-s anarchistes en grève de la faim depuis le 11/06/2012 et de tou-te-s les prisonnier-e-s politiques !

    Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!

    Contre l’incarcération de plus de 900 étudiant-e-s
    Contre la politique de répression à l’égard des minorités kurdes
    Contre les atteintes au droit d’avorter
    Contre l’incarcération de 15 militant-e-s anarchistes, dont 12 sont en grève de la faim depuis le 11 juin

    Vive la solidarité internationale !

    Manifestation mardi 26 juin à 18 h 30 au Trocadéro, Paris

    Eylem 26 Haziran Salı, saat: 18.30, Trocadero, Paris


    sources :
     










    [L’Insoumise : les idées ne s’expulsent pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’Insoumise : les idées ne s’expulsent pas] / Hugh D’Andrade. — Lille : l’ Insoumise (La bouquinerie occupée. Lille), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 55 × 37 cm.

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    • Liste des thèmes  : culture  ; luttes urbaines  ; squatt  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; logo ; photo (banderole sur la façade de la librairie L’Insoumise) ]

    texte :

    [Logo] L’Insoumise. La Bouquinerie occupée

    L’Insoumise

    ★ Les idées ne s’expulsent pas

    La bouquinerie occupée l’Insoumise, au 10 rue d’Arras, est menacée d’expulsion suite à une procédure engagée par la mairie de Lille. Ce lieu a été remis en état et ouvert à la dernière braderie. Depuis cette bouquinerie a accueilli des discussions, des projections, une distro et a été un lieu d’échange. Le projet municipal est de remplacer cette bouquinerie autogérée par des ateliers d’artistes subventionnés.

    La démarche est devenue habituelle à Lille, et à Moulins plus particulièrement : après l’expulsion du squat d’activités le Brancard, rue de Thumesnil, après l’expulsion du Ch’ti d’Arras pour y implanter la Maison du hip-hop, le prétexte culturel est employé une fois de plus pour transformer le quartier et s’attaquer à ces espaces insoumis à la marchandise. L’Insoumise est faite de ces gestes et de ces complicités qui n’ont aucune valeur marchande. des pratiques qui n’ont pas besoin de droits ou de titres pour exister.

    Une fois de plus le masque culturel et social de la mairie tombe : si la vie du quartier et les initiatives collectives ne servent pas les plans d’urbanisme et les intérêts financiers, c’est-à-dire si elles ne permettent pas d’attirer le riche et de dégager le pauvre, elles sont attaquées. La chanson est connue : avec le flic et le politicien, vient l’huissier, le juge et le centre commercial.

    Lille se gère et se vend comme une entreprise : ses “espaces publics” ne servent qu’à la circulation de la marchandise, les investisseurs de tout poils s’y partagent les logements et les campagnes de publicité par le spectacle la rende “fantastic” pour la vendre.

    L’expulsion programmée de l’Insoumise est une attaque de plus à l’encontre des habitants et des habitantes du quartier et des lieux qui dérangent le nettoyage organisé. Elle nous fait prendre acte de la nécessité de s’opposer à l’offensive culturelle, marchande et policière.

    L’Insoumise, au 10, rue d’Arras à Lille.

    samedis de 15 h à 19 h et mercredis de 19 h jusqu’à la fin de l’activité

    linsoumiselille.wordpress.com


    sources :

    Décembre 2012.

    https://linsoumiselille.wordpress.com/2012/12/05/linsoumise-menacee-dexpulsion/



    [La Brique : en vente ici]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Brique : en vente ici]. — Lille : la Brique, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins (la maire de Lille — Martine Aubry —, un acapitaliste et un nazillon fuient l’effondrement du beffroi de la mairie de Lille) par Kurt ]

    texte :

    La Brique

    Journal local de critique sociale

    Tous les deux mois dans les kiosques & chez nos dealers

    En vente ici


    sources :

    Affichette de vente sur carte forte.







    [La fin des illusions]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La fin des illusions]. — Nantes : Des mutiné-e-s de la prison sociale, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , texte en défonce ) ; 62 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : procès  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce) ; fond (noir ou brun) ; dessin (personnes assises autour d’un feu) type gravure ]

    texte :

    La fin des illusions

    Les fins de mois sont déjà difficiles à boucler, et voilà qu’on nous promet de tous côtés une nouvelle cure d’austérité à ingurgiter en se pinçant le nez, et surtout sans broncher. En somme, un mal nécessaire pour sauver de la tempête cette foutue galère dans laquelle nous ramons depuis trop longtemps.

    Dans ce monde à l’envers, le problème ne serait pas qu’un petit nombre s’enrichisse sur le dos des autres, mais de ne pas se résigner aux miettes qu’on nous octroie. Ce ne serait pas la marchandisation de tout et de tous, mais que certains passent à la caisse sans payer. Ce ne serait pas le règne de la politique, mais que des révoltés luttent pour une société sans gouvernants ni gouvernés, sans maîtres ni esclaves.

    Dans ce monde à l’envers, l’inacceptable ne serait pas de saturer la terre de poisons industriels et nucléaires, de bombarder très démocratiquement des populations entières, de tuer et mutiler des milliards d’êtres humains au turbin. Ce serait de vouloir briser la routine de l’exploitation et de la domination, pour enfin commencer à expérimenter un monde fait de liberté et de réciprocité.

    Car face à nous, chaque fois qu’on ne courbe pas assez la tête, il y a la matraque et ses souteneurs pour tenter de nous faire rentrer dans le rang. Face à nous, les uniformes occupent militairement les quartiers, mènent la traque avec fichiers et caméras de surveillance, multiplient contrôles et tabassages.
    Alors, qui n’a jamais pensé à leur rendre coup pour coup, qui n’a jamais caressé le désir d’en finir avec les chiens qui gardent l’ordre et les privilèges des puissants ?

    Face à nous, quand on refuse de crever bien sagement à petit feu, l’État brandit sans cesse la menace de la prison. Incarcérés parce qu’on a pas respecté la sacro-sainte propriété, enfermés parce que dépourvus du petit bout de papier adéquat, embastillés pour avoir craché notre rage à la gueule de l’autorité.
    Alors, qui n’a jamais rêvé que les taules soient rasées ? L’attaque de comicos ou de prisons ne fait-elle pas partie des réjouissances lorsqu’éclatent des soulèvements, ici ou ailleurs, comme l’an dernier en Tunisie ?

    Du 14 au 22 mai 2012, six camarades passeront en procès à Paris sous l’accusation d’association de malfaiteurs à finalité terroriste. Les faits concernent la tentative d’incendie d’un véhicule de keufs en 2007 pendant la dernière mascarade présidentielle, et un sabotage de la circulation d es trains lors du mouvement anti-CPE en 2006. Ils sont également accusés de fabrication de fumigènes artisanaux et crève-pneus destinés à une manifestation devant la prison pour étrangers de Vincennes en 2008, ou encore d’avoir eu entre leurs mains des manuels de sabotage, du chlorate et des plans originaux de la prison pour mineurs de Porcheville (Yvelines).

    Un abîme sépare ceux qui s’insurgent pour se libérer, et ceux qui frappent dans le tas pour défendre, consolider ou conquérir le pouvoir, c’est-à-dire l’État, les patrons et leurs concurrents.

    Alors, parce que la liberté est le crime qui contient tous les autres, que chacun exprime sa solidarité de la manière la plus adéquate.

    Des mutiné-e-s de la prison sociale

    Contre le terrorisme d’État, que crève le meilleur des mondes !


    sources :

    Affiche diffusée sur Indymedia Nantes : http://nantes.indymedia.org/article/25429 (4 avril 2012).









    [Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]. — Poitiers : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Pavillon noir (Poitiers), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : texte en défonce ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Savvanidis, Kleomenis (Κλεομένης Σαββανιδη)  ; Syrianos, Rami (Ραμί Συριανό)
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (silhouette avec chaines brisées aux bras) ]

    texte :

    Le travail libère-t-il ?

    Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre…

    La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».

    Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.

    L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.

    Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout.

    Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.

    Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.

    Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.

    Pour la libération individuelle et collective…

    Libérons-nous du travail

    Affiche du 17 janvier 2012
    En solidarité avec les compagnons Rami Syrianos et Kleomenis Savanidis
    Traduit du grec vers l’anglais par Angry news from around the world, puis de l’anglais vers le français par Non Fides


    sources :

    https://fa86.noblogs.org/?page_id=40
    https://fa86.noblogs.org/files/2012/05/travail.cleaned.pdf


    2012
    Affiche liée



    [Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire] / Quentin Sirvin. — Paris : Éditions libertaires, (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 56 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Chomsky, Noam (1928-....)  ; Youlountas, Yannis
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; couverture de livre ; photo (« Cheval de Troie contemporain » couvert d’affiches anarchistes) par Quentin Sirvin ]

    texte :

    Φοβού τους Δαναούς
    Laocoon à Priam, roi de Troie,
    cité par Homère dans l’Iliade (-800)

    Timeo Danaos
    Virgile dans l’Énéide (-26)

    Yunan dikkat
    Seyyid Ali Pasha
    Grand Vizir de l’Empire Ottoman à son sultan Mamhud II (1821)

    « Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire » Noam Chomsky

    Hüte dich vor Griechen
    Hitler à Mussolini (1940)

    Beware greeks
    Churchill à Truman (1946)

    Méfie-toi des Grecs
    Merkel à Sarkozy (2011)

    [couverture de livre]
    Paroles de murs athéniens Yannis Youlountas
    125×220 mm, 64 pages en quadrichromie sur papier glacé recyclé 170 g
    Yannis Youlountas, Les Éditions libertaires, Collection Paroles, 13 euros

    [photo]
    Conception du « Cheval de Troie contemporain »
    d’après les photos de Yannis Youlountas : Quentin Sirvin

    2008-2012 : la Grèce vue (pour une fois) du côté de ceux qui luttent

    Imprimé par la Société Coopérative Ouvrière de Production Imprimerie 34 à Toulouse


    sources :