France

 

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Affichage par année

4068 affiches :

 

    [Fête de La Sociale !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête de La Sociale !]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; presse  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Carré, Jean-Michel (1948-....)
    • Presse citée  : Sociale ! (CNT), la
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (employés à buste de poisson, courant de droite à gauche, valise à la main) ]

    texte :

    Fête de La Sociale !

    Le journal de la fédération CNT des travailleur-se-s de la santé et du social

    Évaluation, contrôle, objectif, performances…

    Travail, quel sens ?

    Projection-débat

    14 h. Projection du film « J’ai (très) mal au travail » suivi d’une rencontre-discussion avec le réalisateur Jean-Michel Carré.

    16 h 30. Débat autour des évaluations et de l’isolement au travail et ailleurs. Tout est mis en œuvre pour nous paramétrer, nous mesurer et capter notre imaginaire au service des normes gestionnaires, comptables et patronales. Comment sortir de ce conditionnement ?

    Et aussi…

    De 14 h à 18 h. Goûter pour les petit-e-s et les grand-e-s, espace enfants, tables de presse, restauration légère à prix libre, zone de gratuité (apportez les affaires dont vous ne voulez plus et prenez ce qui vous intéresse), buvette, vente d’artisanat syndical…

    Accueil à partir de 13 h — Entrée à prix libre

    Au local de la CNT — 33, rue des Vignoles 75020 Paris — Métro Avron ou Buzenval


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_-__Fete_La_Sociale.jpg



    [Fête de soutien aux six salariées de "People and Baby"]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête de soutien aux six salariées de "People and Baby"]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; luttes ouvrières  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Couté, Gaston (1880-1911)  ; Daraqui, Bruno  ; Flouquet, Emmanuelle  ; Munier, Nicolas
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (enfant se cachant derrière/montrant ses mains sales) ]

    texte :

    Fête de soutien aux six salariées de "People and Baby"

    en mise à pied conservatoire pour leur engagement syndical

    pour les petits et les grands…

    le 28 mars

    14 h-21 h

    Au local de la CNT
    33 rue des Vignoles, 20e
    métro : Avron ou Buzenval

    Prix libre - Caisse de solidarité à l’entrée

    L’émancipation et l’autonomie, ça commence dès la naissance !

    [char cerclé CNT] La question sécuritaire, l’hygiénisme, l’enfermement des enfants, la rentabilité, la précarité, la diminution des formations, la pression sur les salariées traversent aussi le secteur de la petite enfance.

    Face à celà, des professionnels essaient de défendre d’autres pratiques pédagogiques dans les lieux de formation, les bibliothèques, les lieux d’accueil des tout-petits afin de donner la priorité à l’éveil et à l’émancipation des enfants.

    Projection du film Les Livres, c’est bon pour tous les bébés (30 min) réalisé en 2009 par l’association ACCES à 14 h

    Débat avec Emmanuelle Flouquet, bibliothécaire, coordinatrice lecture et jeunes enfants (CNT), Nicolas Munier, sociologue et formateur en travail social à l’EFPP Paris, les militantes de la section CNT « People and baby » à 14 h 30

    Espace enfant de 14 h 00 à 18 h 00 avec atelier peintures, lectures, jeux, gouter…

    Spectacle de clown avec Nono la patate à 17 h 30

    Concert de Bruno Daraqui, interprétation de Gaston Couté, à 18 h 30

    Repas végétarien et couscous à prix libre à 19 h

    Et aussi vente de bijoux artisanaux, buvette, pâtisseries…

    Tous les bénéfices de cette journée seront intégralement reversés aux salariées mises à pied

    Syndicat CNT santé social et CT — 33, rue des Vignoles - 75020 Paris — Tél. : 06 59 64 23 67 - courriel : sante-social.rp@cnt-f.org


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/afffetesoutienpetb.jpg
    http://www.cnt-f.org/sante-social.rp/fetesoutienpetb.html





    [Feu à toutes les prisons !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Feu à toutes les prisons !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin couleurs (visage de femme style années 50) ]

    texte :

    Feu à toutes les prisons !

    La prison... On en a tous vaguement une idée, un reportage à la TV, un énième assassinat de l’administration pénitentiaire à la rubrique faits divers des journaux du jour, de brèves indignations à peu de frais par-ci par-là. On en entend tous parler, et on fait comme si cela n’existait pas. Comme si chaque jour des dizaines de milliers d’entre-nous n’étaient pas les otages de l’État, seuls dans leurs périples carcéraux individuels, isolés de tous et réprimés en silence. Pourtant nous sommes tant à avoir un frère, une amie, un cousin en taule, à visiter un proche incarcéré au parloir, nous sommes tant à finir par trouver cela banal. Un petit séjour en taule, après tout, on est pas mal à y avoir gouté, une fois, deux fois, trois fois ou plus, de près ou de loin, dans les faits ou par procuration.

    Enfermer des êtres humains dans des cages de quelques mètres carrés pendant des mois ou des années, annihiler toute volonté en eux, les presser comme des citrons, les briser, les empêcher d’aimer, les harceler, les droguer, les frapper, les juger, les tuer, les traiter comme personne n’ose traiter de la merde et les soumettre à un travail de forçat ; la taule, c’est la barbarie dans toute sa banalité, c’est le règne total d’une poignée de sadiques et de petits exécutants obéissants. C’est le dernier souffle d’une balle qui vient se loger droit dans notre tête pendant que tout le monde regarde ailleurs, trop préoccupé par sa propre misère. C’est la manière par laquelle ce monde se venge contre ton anormalité ou contre la concurrence. C’est une des manières par lesquelles ce monde force la paix.

    La prison a au moins un mérite, avec elle les choses sont claires : pas de bla-bla ou presque, une société qui a besoin de prisons pour se maintenir est une société qui a déclaré la guerre à une partie d’elle-même. Une société qui s’enorgueillit de gérer avec tant de violence ces usines de mort est une société qui offre son cou à la guillotine de la révolte, qui justifie la nécessité de sa destruction. Ils auront beau réformer les prisons en long et en large, plaquer les cellules d’or, les climatiser ou raccourcir la taille des matraques, les coups feront toujours aussi mal et la prison restera le même problème qu’elle aura toujours été. C’est l’audace de la liberté qui importe, pas la lâcheté du statu quo de l’aménagement de la contrainte.

    Une prison acceptable est une prison qui brûle !

    On parle déjà d’une trentaine de morts en détention depuis le début de l’année. On ose encore nous parler de suicides et d’accidents... On ose insinuer qu’il est anodin de se pendre dans une prison, qu’il est anodin de mourir « accidentellement » sous les coups des matons ou d’autres détenus. On nous parle de « suicides » pour faire croire que ce n’est pas l’Administration Pénitentiaire et l’État qui tuent. Mais nous affirmons que chaque mort en prison est un assassinat de l’Administration Pénitentiaire et de l’État. Considérer les choses autrement, c’est affirmer que les conditions de vie du dehors et du dedans sont les mêmes. C’est affirmer que la prison n’existe pas. Et pourtant le dedans et le dehors ne se différencient que par leur degré d’intensité. La prison n’est rien d’autre que le reflet exagéré de cette société qui se regarde dans un miroir grossissant.

    Tout est pire que dehors en prison, et pourtant, tout est tellement pareil que dehors...

    La même merde, les mêmes mécanismes autoritaires, la même domination, la même violence inhérente à la paix sociale, le même fichage, les mêmes rapports dégueulasses entre les gens, qu’ils soient économiques ou sociaux.

    Il est si difficile de parler sereinement de la prison. Il est si difficile de ne pas se laisser plomber par l’atmosphère poisseuse qu’elle disperse autour de nos vies. Mais ce ne sont pas des larmes qui en viendront à bout, au contraire, on ne peut que se noyer avec des larmes. L’indignation, elle, n’a jamais fait tomber un seul mur, et l’on ne viendra jamais à bout de la prison par le biais du Droit ou de la Loi, puisque c’est de leurs pierres qu’elle est construite.

    Dans cette société qui a besoin d’enfermer : prisons, psychiatrie, centres de rétention, gardes-à-vue, internats, écoles, maisons de retraite, camps humanitaires, usines, hôpitaux, centres éducatifs fermés, barres d’immeubles, établissements de réinsertion scolaire etc. Dans cette société où certains font le choix de devenir mâtons, juges ou flics, notre choix est clair : Feu à toutes les prisons. Feu à l’État.

    Les prisons doivent être détruites une par une, pierre par pierre, maton par maton, juge par juge.

    Détruisons les prisons en détruisant la société, parce qu’une société qui a besoin d’enfermer et d’humilier est elle-même une prison.

    Détruisons les prisons avec rage et joie.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-Feu-a-toutes-les-prisons : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, juin 2011 » (10 juin 2011).


    2011

    2009

    2009
    Affiches liées







    [L’architecture et les métiers : Journées du patrimoine]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’architecture et les métiers : Journées du patrimoine]. — Lyon : CNT_F (France) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : architecture  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Quay, Jean-Yves
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (ouvriers maçons en échafaudage sur un mur de pierre) ]

    texte :

    Journées du patrimoine

    L’architecture et les métiers

    Conférence/débat le 17 septembre à 16 h

    avec diaporama, suivi d’un pot de l’amitié

    Jean-Yves Quay (architecte urbaniste, professeur à l’ENSAL)

    au CEDRATS, 27 montée Saint-Sébastien à Lyon 1er

    L’architecture est un ensemble de formes construites, conservées ou révélées par l’histoire, à partir de matériaux issus de notre environnement et transformés pour le rendre habitable. L’extraction, la transformation et la mise en œuvre de ces matériaux, participent ainsi à l’économie tout comme à l’évolution de notre milieu ; ils constituent notre « cadre de vie » et nourrissent de leur présence les sentiments qui lient les hommes à leur environnement.

    Historiquement, le projet architectural s’impose dans l’acte de construire, lorsque la commande fut identifiée clairement (le palais, à la Renaissance) : un constructeur parmi toutes les corporations prend le pouvoir sur les différents corps de métier, à la fois pour rationaliser cette production et pour en faire la promotion. Cet homme c’est l’architecte qui pour coordonner (ordonner) les différents intervenants se fait maître de l’œuvre (arkhitektôn en grec, c’est-à-dire constructeur en chef, qui donnera architectus en latin).

    La notoriété et la légitimité des architectes se sont fondées sur le projet d’architecture. L’élaboration et le perfectionnement des outils de conception feront l’objet d’une compétition sévère entre les acteurs de la construction, toujours placés dans des conflits d’autorité où se joue leur indépendance. C’est ainsi que la tradition du dessin d’architecture qui apparaît au cours du XIXe siècle comme étant très spécifique du travail de l’architecte s’est d’abord construit dans l’univers des métiers puis au cœur des professions qui établissent leur spécificité technique, que ce soient les géomètres, les ingénieurs, les décorateurs ou les architectes.

    La mise en chantier de produits pour la plupart manufacturés, en créant les conditions de la réalisation du projet d’architecture, n’est rien d’autre qu’une construction ordonnée de l’espace, une forme d’expression de nos sociétés. Une lecture intéressée de l’histoire des formes et des idées nous préciserait certainement comment cette direction des travaux est passée des mains et du compas des charpentiers aux maîtres maçons, puis des maîtres maçons aux architectes, qui seront alors considérés comme des artistes ou des intellectuels plutôt que comme des entrepreneurs. Et ce qu’implique aujourd’hui la (dé)qualification des métiers dans la perception et la gestion de notre cadre de vie… Le travail patient, laborieux et hasardeux du projet (qu’il soit architectural ou social) exige un partage, une répartition des tâches, une coopération entre les hommes impliqués dans son élaboration.

    Pour assumer ce qu’habiter veut dire…

    [logo SUB] Syndicat Unique du Bâtiment / CNT - SUB 69
    44, rue Burdeau - 69001 Lyon

    Tél. : 04 78 85 69 21 - mél : sub69@cnt-f.org - www.cnt-f.org/sub69

    [logo caisse à outils avec chat noir cerclé CNT] CNT

    CNT Construction

    […]


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_patrimoine_2011r.jpg
    http://rebellyon.info/Journees-du-patrimoine-L.html







    [La Brique n° 26 : visuel de vente]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Brique n° 26 : visuel de vente]. — Lille : la Brique, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; police  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Cameroun *
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins (artistes hip hop en action à gauche et forces de l’ordre à droite se faisant face) ]

    texte :

    2 euros - Numéro 26 bimestriel mars avril 2011

    www.labrique.net

    La Brique

    Infos et enquêtes de Lille et d’ailleurs

    Moins de flics, plus de hip hop !

    Enquête : répression policière, banalité écœurante

    Vieux-Lille : un reportage sauvage

    Kamerun : chronique d’une guerre censurée

    Roubaix : La Piscine sous Occupation


    sources :

    L’affiche reprend la couverture du n° 26 avec en plus un macaron noir au blanc « en vente ici », à hauteur du poing au premier plan.



    [La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 41 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; fascisme et antifascisme  ; luttes ouvrières  ; police  ; répression  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : 3 Bones  ; Chuche ma gaillette  ; Miss America  ; Mr Marcaille
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; soutien à militants  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo : chat cerclé (rouge sur noir) au dos d’un militant ]

    texte :

    La CNT face à la répression antisyndicale

    samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille

    15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).

    18h : Apéro,

    21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)

    La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
    La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :

    RÉPRESSION PATRONALE

    À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
    intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..

    RÉPRESSION POLICIÈRE

    Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !

    AGRESSIONS FASCISTES

    Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.

    Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.

    UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62


    sources :

    Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).


    2011
    Affiche liée


    [La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; fascisme et antifascisme  ; luttes ouvrières  ; police  ; répression  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : 3 Bones  ; Chuche ma gaillette  ; Miss America  ; Mr Marcaille
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; soutien à militants  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (chat cerclé au dos d’un militant) ]

    texte :

    La CNT face à la répression antisyndicale

    samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille

    15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).

    18h : Apéro,

    21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)

    La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
    La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :

    RÉPRESSION PATRONALE

    À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
    intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..

    RÉPRESSION POLICIÈRE

    Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !

    AGRESSIONS FASCISTES

    Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.

    Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.

    UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62


    sources :

    Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).

    Au moins deux versions parues (couleurs, N&B). Ce tirage sur papier fort a une autre affiche au dos : « Assemblée générale de lutte, ouverte à tout-e-s ».


    2011
    Affiche liée





    [La routine du désastre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La routine du désastre]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : action directe  ; nucléaire  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Gabon  ; Japon  ; Niger
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte (sur Fukushima, le nucléaire en France et dans le monde) ; montage photo (trois personnes avec masques à gaz devant champignon atomique) ]

    texte :

    La routine du désastre

    Les nouvelles de la catastrophe de la centrale atomique de Fukushima au Japon tournent en boucle. Les infos fusent pour l’instant, c’est un véritable bombarde-ment, mais rien ne perce.

    Les journalistes, experts et politiciens se garderont bien de préciser que derrière la catastrophe, c’est un quadrillage et une gestion militaires qui s’instaurent. En plus d’être contaminé, chacun sera en permanence contrôlé, testé, mesuré, surveillé, et déplacé dans des zones où toute liberté, initiative individuelle, et par-celle d’autonomie, auront disparu sous le règne kaki.

    Leur propagande préfère faire croire que ces opérations désespérées d’acheminement d’eau, de sable que leurs mesures martiales de confinement et leurs pauvres distributions de pastilles d’iode ont pour but notre santé. Pourtant si c’était vrai, un petit nombre de pays ne la mettraient pas en péril permanent en s’engageant dans la voie du nucléaire. Derrière cette monstruosité se cachent d’énormes intérêts économiques et stratégiques. Depuis le début, nucléaires civil et militaire sont complètement imbriqués, et l’histoire du développement de cette technologie est entièrement liée à un jeu mortifère entre puissants.

    La routine du désastre est déjà présente, à travers la multiplication quotidienne de ce que ces autruches du nucléaire qualifient par euphémisme d’« incidents ». Ils nous promettent par exemple maintenant de vérifier l’état actuel des 58 réacteurs du territoire français, mais ne disent bien sûr rien des problèmes insolubles posés par les déchets radioactifs qui dorment sous nos pieds dans près de 1000 sites, ni des nombreux cancers et leucémies que subissent celles et ceux qui vivent aux abords des installations nucléaires. Sans compter toutes les barbouzeries au Niger et au Gabon, où Areva exploite la main d’œuvre locale en la condamnant à une
    mort lente en même temps que toutes celles et ceux qui habitent près des mines d’uranium.

    En vrai, on pourrait tout de suite se passer du nucléaire et du monde qui le produit. Les écologistes et autres ONG à la sauce verte ne parlent que d’une pseudo « sortie » du nucléaire d’ici 20 ou 30 ans, pour ne pas froisser leurs soutiens étatiques et leurs potentiels électeurs. En véritables sauveteurs du capitalisme, ils espèrent occuper un rôle de contre-experts pour être associés à sa gestion actuelle.

    L’État tient le rôle du pompier pyromane. Il est celui qui a mis en place tout ce merdier et qui fait main-tenant mine d’être le protecteur, le seul à pouvoir assurer la sécurité des populations.

    Jamais .e monde renverser n’avait trouvé de meilleur garant. Un possible figé qui, à part connaître l’empoisonnement et la militarisation de cette planète, verra à peu près toujours les mêmes en haut et les autres en bas, les mêmes qui « savent » et les autres qui suivent.

    Ce qu’ils craignent réellement, ce n’est pas le désastre en cours et à venir, ce ne sont pas non plus les appels de leurs sbires citoyennistes à une « meilleure » gestion de l’existant, tous parlent encore la même langue du mal nécessaire.

    Ce qu’ils ont par contre à redouter ce sont des luttes contre le nucléaire et le monde qui va avec.

    Parce qu’ils nous moudraient tous cobayes résignés et désemparés. Parce que la liberté commence par le sabotage de ce monde qui nous détruit.

    Ni cobayes ni moutons,
    Fin mars 2011


    sources :
     



    [Le Jargon libre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Jargon libre] / Philippe Soulas. — Paris : Jargon libre (Paris), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte (en parti imprimé, en parti manuscrit)

    dessin ( silhouette d’homme se détachant d’un fond de papiers journaux d’où elle est découpée) par Soulas

    texte :

    Le Jargon libre

    inauguration 8 octobre 2011 de 17 h à 22 heures

    Jargon libre

    32, rue Henri-Chevreau, Paris, 20ème

    Bibliothèque de consultation

    Imprimerie Edit 71 - 23, rue d’Annam - 75020 Paris - tél. 636.89.09


    sources :

    réactualisation d’une affiche plus ancienne (d’avant 1990)














    [Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas]. — Lille : Collectif contre les RFID (Lille) : Mutuelle des fraudeurs, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; 47 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; économie : transports  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (blanc au noir) : mise en page type article autour d’une image) ; dessin : personnages au dessus du crane avec code barre ]

    texte :

    Lille[Big Brother]XXL ne pucera pas

    Nous pucer comme du bétail : voila le dernier projet des élus de Lille Métropole. C’est prévu pour fin 2011.

    Les puces RFID sont de minuscules étiquettes électroniques qui contiennent des informations personnelles (nom, prénom, adresse, mail, photo…) et sont lisibles à distance. Bientôt, elles équiperont les cartes et les tickets de transport de toute la région : bus, métro, TER, tram, parkings, vélos « libre service »… Finis les tickets en papier, la carte à puce sera obligatoire et permettra à Transpole de contrôler et d’enregistrer tous nos déplacements.

    Le fichier des clients de Transpole sera échangé avec des enseignes commerciales « partenaires ». À partir de nos profils et habitudes de déplacements, nous serons assaillis de publicités personnalisées.

    La « liste noire » des fraudeurs sera échangée avec la SNCF et les réseaux de bus du bassin minier, Douai, Valenciennes et Dunkerque. Les contrôleurs munis de leur « Compteur de courtoisie » auront accès à l’identité des voyageurs et pourront mettre des amendes plus ou moins chères selon le nombre d’amendes déjà reçues par le porteur de la carte.

    Mais ce n’est pas tout. Pour 2012, Lille Métropole veut étendre le Pass transport pour un faire une « Carte de Vie Quotidienne ». Nous devrons biper à l’entrée des bibliothèques municipales, des cantines scolaires, des salles de sport, des cinémas locaux, des crèches… Et cette carte pourra servir de moyen de paiement.

    Nous ne sommes pas du bétail ou des numéros qu’on gère, contrôle et surveille en temps réel. Nous ne voulons pas être les proies des marchands de bonheur. Nous ne voulons pas être des éternels suspectEs. Nous voulons fuir ce contrôle total. Nous voulons rester anonymes et avoir droit à l’oubli. Nous fuirons cette course infernale qui nous oblige à être toujours plus mobiles, justes bons à consommer, vendre ou fabriquer des merdes.

    « Ce mauvais scénario de science-fiction n’est pas une fatalité. Nous le ferons trébucher. »


    sources :

    Affiche peut-être éditée par la Mutuelle des fraudeurs et un collectif Anti-RFID.








    [Musiques tordues pour gens tordus, ou pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Musiques tordues pour gens tordus, ou pas]. — Mens Menç : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (loups noirs ?, enfants avec ballons gonflables, tête de femme avec inscription JiJi [Dalida ?] sur corps d’« Alice derrière le miroir » ?, chauve-souris) ]

    texte :

    Rencontres tænia solium

    Mens (38) Bessaire

    Musiques tordues pour gens tordus

    ou pas

    ateliers & concerts

    20 mai à partir de 14 h

    Les Monstres, slam poétique pour musique de film /// Strasbourg
    Dure-mère, tango mélodieusement noisy /// Montpellier
    Lili Refrain, guitare héroie & solo de voix /// Rome
    Motto, chaos massif & destruction final /// Marseille

    21 mai à partir de 14 h

    concert pour les gosses à 17 h
    Krekekekexkoaxkoax, musique bruyante pour enfants bruyants /// (tais-toi et) Creuse

    Les Profsdeskids, Elvis Presley • Beach Boys • Dead Kennedys • [AERO ?] /// Grenoble
    Fast Arbeit Babies, disco compulsive à deux [cris ?] /// Strasbourg
    Pizza O.D., ils jouent vite, ils chantent faux, et c’est rock’and roll /// Lyon
    Scarb, la couleur du métal, le goût du punk-hardcore /// Valence

    22 mai à partir de 14 h

    Le Fond de l’Air Effraie, harcordéon fou et tambour du [bronx ?] /// Strasbourg
    Rodriguo y Rodriguo, le meilleur de la musique en acoustique /// Marseille
    Not’ pain quotidien, pour une défunte veuve et cinq [belles ?] marionnettes-spectacle /// [… ?]
    Jo et Slam, slam de [pouchev’ ?], musique de taulard /// Grenoble

    les 3 jours

    Las Vegan, le meilleur restaurant du monde midi et soir /// Grenoble
    salon de thé, avec muffies, jeux et vue sur le Vercors
    stands, distros DIY de disques et de zines
    atelier “fais ton disque toi-même”, enregistrement artisanal & fabrication artisanale de pochettes artisanales, tous les après-midis

    Où c’est ? Ça se passe au lieu-dit “Bessaire”, à Mens, 80 km au sud de Grenoble.
    Le paln sur www.taenia-solium.net ou en demandant aux gens.
    Camping ? C’est possible, avec des moustiques en option.
    Parking ? Venez en covoiturage ou en mobylette, il n’y a pas beaucoup de place pour se garer.
    Contactez-nous si vous cherchez des gens pour covoiturer.
    Autogestion ! Ces rencontres ne sont pas un évènement commercial.
    Une adhésion à l’association à prix libre (mais nécessaire) vous sera demandée.
    Qui fait ça ! Taenia Solium est une association qui organise des concerts, édite des disques et publie un fanzine. Taenia Solium privilégie les pratiques non-marchandes, fonctionne sans subventions ou salarié. Pour l’amour de la musique, on fait les choses nous-mêmes, et du mieux qu’on peut DIY !
    La SACEM ? Qu’elle crève. Vive le copyleft.

    mp3, informations, programme, covoiturage www.taenia-solium.net
    06.28.19.69.37
    [xx ?].38.[49 ?].99

    Les propos et comportements racistes, sexistes, h[aineux ?] ne sont pas les bienvenus.


    sources :
     





    [Not bombs = Pas de bombes !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Not bombs = Pas de bombes !]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; antimilitarisme  ; armée  ; guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; images en filigrane ]

    texte :

    Not bombs = Pas de bombes

    L’État Français en guerre

    l’Afghanistan, principal terrain d’opérations

    Lancée en 2001 sous prétexte de traquer les terroristes responsables des attentats du 11 septembre, la guerre d’Afghanistan a déjà officiellement causé la mort de 37 249 personnes sans compter les
    «  victimes collatérales  » d’un conflit mené dans un pays très pauvre et totalement désorganisé.
    Aujourd’hui, 40 000 soldats de l’Otan et 28 000 mercenaires privés sont engagés dans un conflit qui s’enlise et qui a déjà coûté 285 milliards de dollars. Alors que Chirac s’était contenté d’envoyer des instructeurs militaires, Sarkozy l’américain a engagé la France sur le terrain et en 2010, ce sont 4 300 militaires français qui se battent en Afghanistan aux frais du contribuable.

    Loin de rétablir un régime démocratique, la présence militaire est accusée par les associations humanitaires comme Human Right Watch de commettre de nombreuses exactions comme des arrestations arbitraires, la torture des prisonniers et les bombardements de civils (en 2008, 1 192 tonnes de bombes avaient été larguées sur l’Afghanistan…). De plus, depuis l’installation de l’administration de Karzaï en 2000, la culture de l’opium est redevenue la principale ressource du pays et l’Afghanistan fournit à lui seul 93 % de la production mondiale de cette drogue.

    La situation humanitaire s’est dégradée depuis le début du conflit, l’espérance de vie est passée de 45,5 ans en 2000 à 43,1 ans en 2005 et le taux d’alphabétisation de 31 % à 28,7 %. 40 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et beaucoup d’Afghans souffrent de la faim, notamment les enfants. Seul 31 % de l’aide humanitaire, qui sert souvent de bonne conscience aux militaires, parvient à atteindre les populations.

    Aucun des soi-disant responsables terroristes n’a été trouvé en Afghanistan, le régime Taliban est tombé mais pour être remplacé par un système corrompu et autoritaire qui n’hésite pas à faire alliance avec les anciens maîtres du pays. Et on peut légitimement s’interroger sur les motifs réels de cette guerre impérialiste. Contrôle de la région et de ses frontières avec l’Iran, le Pakistan et la Chine ? Sécurisation du passage d’oléoducs en provenance de la région pétrolifère du Bakou ? Les Afghans apprécient, c’est sûr, ce que leur offrent de tels «  avantages  »…

    De l’argent pour la nourriture, pas pour les bombes ! Ni ici, ni ailleurs !

    Le néo-colonialisme à la française

    la Françafrique...

    L’armée constitue un des piliers de la «  Françafrique  », système mis en place par le général De Gaulle et Jacques Foccart pour maintenir les anciennes colonies françaises dans la soumission et la dépendance à l’égard de la métropole.
    La France dispose de bases permanentes sur le continent africain à Djibouti et au Gabon et intervient dans de nombreux pays pour soutenir des «  régimes amis  » (Tchad, Centratrique, Côte-d’Ivoire…).
    Parmi les 21 pays sous domination française en Afrique, seuls deux sont des démocraties (Mali et Sénégal) les autres subissent des dictatures militaires ou des régimes illégitimes. L’armée française a soutenu de nombreux coup d’État (comme celui qui, en 1987 a renversé Thomas Sankara au Burkina Faso pour installer la dictature de Blaise Compaoré toujours en poste). Elle forme l’armée et la police de ces régimes sanguinaires comme elle l’a fait au Rwanda avec le gouvernement raciste hutu responsable du génocide tutsi. La France vend également beaucoup d’armes à ces pays pauvres et entretient ainsi les conflits qu’elle dénonce officiellement.
    Ces régimes maintenus en place grâce à des accords secrets de défense qui autorisent l’armée française à intervenir sur leur territoire organisent le pillage des ressources naturelles de leur pays au profit des multinationales françaises qui leur reversent quelques jolies miettes du gâteau  :

    Total, dont 1/3 de l’activité se situe en Afrique et qui multiplie les profits records a de gros intérêts en Angola et au Gabon.
    Areva, qui exploite les mines d’uranium au Niger.
    Bolloré, qui est en situation de quasi monopole dans l’exploitation des transports terrestres et maritimes. Il possède également plus de 50 000 ha de palmiers à huile, de bananes, de coton, de cacao…
    Rougier, principal exportateur de bois exotique vers l’Europe,
    et bien d’autres…

    Les programmes d’ajustement structurel exigés par le FMI* (l’actuel directeur en février 2011, Dominique Strauss Khan) pour «  aider  » les pays africains surendettés ont particulièrement profité à la Françafrique. Ainsi, de nombreuses entreprises privatisées dans le cadre de ces plans ont été rachetées par des entreprises françaises (Bolloré notamment) ; les cultures d’exportation ont été encouragées pour remplir les caisses des États au détriment de l’agriculture vivrière augmentant la dépendance alimentaire. L’aide au développement est également accusée de n’être qu’une excuse pour financer indirectement les entreprises françaises, l’ex-secrétaire à la coopération, Alain Joyandet a même déclaré «  on veut aider les Africains mais il faut que cela nous rapporte  ».

    * cf WIKI : Le Fonds Monétaire International (FMI) est une institution internationale multilatérale regroupant 187 pays, dont le rôle est de « promouvoir la coopération monétaire internationale, de garantir la stabilité financière, de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi, à la stabilité économique et de faire reculer la pauvreté ». Le FMI a ainsi pour fonction d’assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises monétaires et financières en fournissant des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières telles qu’elles mettent en péril l’organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier (banques, marchés financiers), ou les flux d’échanges de commerce international avec les autres pays. […] Le FMI prête de l’argent [… mais] conditionne l’obtention de prêts à la mise en place de certaines réformes économiques visant de manière générale à améliorer la gestion des finances publiques et une croissance économique équilibrée à long terme. >>> (Note de traduction du “Food Not Bombs-Resto Trottoir” de cet article > Tout cela veut dire : Casse de la sécurité sociale et de tous les systèmes de protection des individus, Obligation de cultures ou de productions pour l’exportation au détriment des productions locales vivrières, Augmentation du coût de la vie et diminution du niveau de vie pour la population, Hausse des acquis et des lois pour les entreprises, etc.)

    Complexe militaro-industriel  :

    ensemble des entreprises liées au budget de l’armement

    L’ensemble des entreprises liées au budget de l’armement forme le complexe militaro-industriel. Elles vivent quasi exclusivement des commandes militaires de l’État français et des accords de vente d’armes à l’étranger passés par celui-ci. Elle bénéficient d’un marché protégé où les contrats, souvent opaques se comptent en centaines de millions et font l’objet de commission et de rétrocommission (comme la vente des frégates à Taïwan) bénéficiant aux partis politiques qui signent les contrats.
    En France, elles s’appellent NEXTER  : armement terrestre  ; EADS-SNECMA-DASSAULT  : aéronautique, missiles  ; THALES-SAGEM  : électronique  ; DCNS  : construction navale  ; MBDA  : production de missiles  ; MATRA  : aéronautique, transport, télécommunications.
    Parmi ces entreprises, trois sont liées à de grands groupes de presse qui assurent une « communication  » favorable à leurs intérêts en légitimant par exemple les interventions militaires dont elles profitent directement  :

    Dassault, président du groupe Socpresse dont le journal Le Figaro  ;
    Matra et Eads qui appartiennent au groupe Lagardère et qui détient  : Les éditions Hachette, Elle, Paris Match, Télé 7 jours, Disney Hachette Presse, Europe1, virgin17, canalJ, Gulli, Hachette distribution service, ainsi que 40 % des NMPP (Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne – devenue “Presstalis”) chargées de distribuer l’ensemble de la presse dans les kiosques. Ces entreprises tissent également des liens étroits avec les hommes politiques qui reconduisent les juteux budgets de la défense et négocient les ventes avec leurs «  homologues étrangers  »  :
    DASSAULT, sénateur et maire UMP de la ville de Corbeil-Essonne de 1995 à 2009, a été condamné pour avoir truqué les élections en achetant des électeurs.
    LAGARDÈRE est un proche ami de M. Sarkozy.
    L’entreprise DCNS est au cœur du scandale de Karachi, affaire de rétro-commissions au Pakistan soupçonné du financement de la campagne éléctorale de M. Balladur en 1993 dont M. Sarkozy était le directeur.

    Ici, le collectif Resto trottoir explique la partie « bombs » du mouvement Food Nor Bombs auquel le Resto trottoir se rattache.

    La GUERRE, c’est un outil pour un projet de société

    QUI ? ou “Les acteurs” :

    Les ENTREPRISES MULTINATIONALES exploitant les ressources naturelles et la main d’œuvre bon marché.
    Les ÉTATS aux mains de politiciens corrompus au service des entreprises. Les institutions internationales (FMI, OMC…) au service des banquiers.
    LES MÉDIAS aux mains des industriels de l’armement et d’États qui encouragent  : la division entre les peuples, la xénophobie, la création d’un ennemi intérieur et d’extérieur (propagande/guerre/terrorisme).

    POURQUOI ? ou “Un outil” :

    La guerre, ou sa préparation, permet la soumission des peuples et l’enrichissement de quelques hommes (ou établissements) de pouvoir.

    COMMENT ? ou “Les objectifs/ les résultats” :

    Extension des territoires sous contrôle impérialiste et capitaliste (vente d’armes, nucléaire, imposition de dépendance alimentaire…)
    Accès aux ressources des pays conquis pour les multinationales  : pétrole : Total en Birmanie, gaz  : Afghanistan, eau  : Palestine/Israël, Coltan  : Congo, Uranium  : Niger, Opium  : Afghanistan, Or  : Mali, diamants  : Sierra Leone, cacao  : Côte d’ivoire, …
    Désorganisation des sociétés  : installation de dictatures corrompues et de démocraties factices.
    Renforcement dans les pays occidentaux du pouvoir de contrôle des populations, de la répression, de l’emprise des multinationales, fermeture des frontières…


    Budget de l’État français

    […]
    53,5 milliards : Défense et sécurité
    […]
    12,3 milliards : Solidarité et insertion
    […]


    sources :

    Ceci n’est pas une affiche proprement dite mais un panneau de propagande amené lors des repas du Resto Trottoir.

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/02/panneau-not-bombs-pas-de-bombes.html
    https://restotrottoir.blogspot.com/2012/05/not-bombs-pas-de-bombes.html




    [Nucléaire : danger permanent]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nucléaire : danger permanent]. — Lyon : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 69 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (beaucoup de légendes) ; carte de France ]

    texte :

    Nucléaire : danger permanent

    […]

    Réseau sortir du nucléaire

    Agissez avec nous pour un monde sans nucléaire !

    […]

    3e édition : juillet 2011. Imprimé sur papier recyclé à 100 % avec des encres végétales par un imprimeur labellisé Imprim’Vert.


    sources :
     



    [Opposons-nous aux rafles ici et maintenant]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Opposons-nous aux rafles ici et maintenant]. — Strasbourg : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (blanc au noir) ; dessin (homme s’enfuyant vers un escalier extérieur) ]

    texte :

    Opposons-nous aux rafles ici et maintenant

    Depuis de nombreuses années, l’État orchestre un battage médiatique au service de sa politique contre l’immigration. Suite aux révoltes au Maghreb et au Moyen-Orient, il augmente les contrôles aux frontières et les interpellations au faciès. La préfecture et ses chiens de garde ciblent les abords des associations d’aide aux sans-papiers, des administrations, des gares et galeries marchandes ...

    À Strasbourg, ceux qui n’ont pas de papiers sont emprisonnés au Centre de Rétention Administratif de Geispolsheim puis expulsés le plus souvent depuis l’aéroport d’Entzheim. Cette traque, en plus d’ancrer chez certains la peur d’un retour forcé (synonyme parfois de torture, prison ou mort ; le plus souvent de misère), participe ici à banaliser le contrôle de l’État sur nos vies par le fichage au moyen des papiers d’identité.

    Être sans papiers pousse à accepter des boulots dans la restauration, le bâtiment, le nettoyage et autres secteurs où l’exploitation est à son comble (salaires et conditions de merde). Les patrons sont friands d’une main-d’œuvre corvéable à merci qui ferme sa gueule sous peine d’être dénoncée aux flics. Le capitalisme a besoin de l’immigration, légale ou non.

    L’enfermement, la gestion et les expulsions des sans-papiers sont un marché juteux que se disputent les charognards tels Vinci, Eiffage, Bouygues, Air France, Accor, la Croix Rouge, Sodexho, etc, au moyen de contrats passé avec l’État.

    À Geispolsheim, l’Alsacienne de Restauration et Véolia se font leur beurre sur le cantinage et le nettoyage. Dans la même logique de profit mais sous couvert de bonne conscience humanitaire, l’Ordre de Malte y cogère l’enfermement et collabore à la répression en réduisant la vie à des dossiers administratifs.

    Menant la bataille juridique de la régularisation, des associations telles que RESF trient les bons et les mauvais sans papiers sur des critères d’intégration. Ils créent ainsi la séparation entre ceux qui « mériteraient » de vivre ici et les autres, là où il pourrait y avoir de la solidarité et des luttes hors du moule légaliste et citoyenniste.

    Mais certains n’ont pas choisi la voie de la résignation ou de l’indignation. Dans de nombreux centres de rétention (à Paris, à Marseille, en Italie, en Belgique et ailleurs), des détenus se révoltent et s’évadent à coup d’incendies, d’émeutes, sans concession avec l’État et ses flics. Contre les centres de rétention, de multiples étincelles de rage ont surgi en solidarité, et surgissent encore.

    Que chacun déploie ses forces contre les rafles, les CRA, les expulsions, et contre tous ceux à qui cela profite.

    Pour un monde sans État ni frontières

    Détruisons toutes les prisons


    sources :

    Affiche diffusée sur, d’après Indymedia Grenoble (http://grenoble.indymedia.org/2011-05-03-Opposons-nous-aux-rafles-ici-et,34529 ; 3 mai 2011) : « Affiche trouvée sur les murs de Strasbourg » (4 mai 2011).