Paris

 

 
 

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1809 affiches :

 










    [Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]. — Paris : CNT_F (France), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (avec argumentaires d’exemples façon texte manuscrit scolaire) ; photo (montage : ouvrier mi-blanc mi-noir, avec casque de chantier, sur fond de chantier de construction) ; filigrane (poing levé) ]

    texte :

    Rythmes scolaires

    Rythme des enfants

    Dans les communes où la réforme a été mise en place, les enfants restent plus longtemps à l’école : autant d’heures de classe, plus d’heures d’école !

    Les enfants n’ont plus de coupure en milieu de semaine, parents et enseignant-e-s constatent une fatigue accrue pour les enfants après seulement quelques semaines de classe.

    Les journées sont tellement fragmentées que les élèves sont désorienté-e-s, particulièrement en maternelle.

    À Paris, les enfants de petite section sont réveillé-e-s de la sieste, ils sont pris en charge par trois adultes différent-e-s dans la même journée. Difficile dans ces conditions de structurer l’espace et le temps.

    On prétend prendre en compte le rythme de vie des enfants mais ce sont surtout les intérêts économiques qui priment : pour ne pas froisser l’industrie touristique, on ne touche pas au système des zones pour les petites vacances, ce qui crée des périodes travaillées qui varient de 5 à 12 semaines.

    Conditions de travail des adultes

    Pendant le temps périscolaire, les disparités de salaires et de statuts entre : l’enseignant, l’animateur titulaire, l’animateur précaire, l’ATSEM, bénévoles associatifs... sont aggravées. Ils font pourtant le même travail avec les mêmes enfants.

    En raison du manque de locaux disponibles, le lieu de travail des enseignant-e-s leur échappe, tandis que les animateur-rice-s ne peuvent s’approprier leur espace de travail.

    L’augmentation du nombre maximum d’enfants par adulte a été décidée pour faire des économies. Les activités sont donc plus difficiles à mettre en place et la sécurité des enfants en pâtit.

    Malgré l’avis du Conseil Constitutionnel, on est passé de 10 à 14 enfants pour un adulte en maternelle, et de 14 à 18 en élémentaire.

    Les difficultés de recrutement ainsi que le non-remplacement aggravent la situation du taux d’encadrement et génèrent des sureffectifs parfois hallucinants.

    À Paris, il n’est pas rare qu’un animateur se retrouve seul avec 50 enfants dans la cour.

    Ces conditions de travail et d’encadrement engendrent du stress, de la fatigue, des tensions, des démissions... ce qui a des conséquences sur la qualité des activités proposées aux enfants sur les temps scolaires et périscolaires.

    Aggravation des inégalités

    Les activités périscolaires sont financées par les communes, or elles n’ont pas ou ne se donneront pas toutes les mêmes moyens pour les mettre en place.

    Selon les communes, voire les quartiers, le tissu associatif, les activités disponibles et les équipements culturels et sportifs varient considérablement.

    Si la seule association du village est l’Amicale des chasseurs, Doudou Lapin a peut-être de quoi s’inquiéter

    Le contenu des activités peut varier selon la couleur et les choix politiques de la mairie. Celles-ci ont un pouvoir réel sur le contenu du périscolaire, dans le cadre du Plan Éducatif Territorial.

    Avec cette réforme, c’est la porte ouverte au clientélisme et aux fondations privées à visées mercantiles.

    Le 9 juin 2013, le ministère de la Jeunesse et des Sports a signé une convention de trois ans avec la Fondation Total pour financer les « activités culturelles en dehors du temps scolaire notamment en accompagnant la réforme des rythmes éducatifs ». Total promet 4 millions d’euros pour pallier les difficultés financières des communes.

    Pour des raisons financières ou politiques, les communes peuvent être amenées à faire payer les activités, certaines le font déjà.

    À Cours-sur-Marne, la mairie fait payer toutes les activités aux familles, 4 euro de l’heure, quels que soient leurs revenus. À Grenelle, la garderie, pompeusement rebaptisée « récréative », est gratuite mais les activités culturelles ou sportives sont payantes.

    Ainsi selon le lieu de scolarisation des enfants, ils n’auront ni les mêmes activités, ni les mêmes moyens, ni les mêmes rythmes : où est l’égalité dans tout ça ?

    Retrait de la réforme !

    Nos besoins :
    • L’école a besoin de personnels pour assurer les remplacements et réduire les effectifs dans les classes, accompagner les élèves en situation de handicap, assurer l’entretien de locaux,...
    • Elle a besoin de financements et de programmes qui permettent la mise en place, sur le temps scolaire, d’activités pédagogiques ouvertes sur le monde.
    • Le périscolaire doit être un vrai projet avec des vrais moyens et des personnels formés et respectés.

    Cette réforme est-elle vraiment la priorité ?

    Fédération CNT des travailleurs-euses de l’Éducation
    fede-educ@cnt-f.org — 06 26 50 01 36 — http://www ;cnt-f.org/fte


    sources :

    http://www.cnt-f.org/ud57/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf
    https://web.archive.org/web/20150505221013/http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf



    [Semaine anticoloniale et antiraciste 2013, 8e édition]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Semaine anticoloniale et antiraciste 2013, 8e édition]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) ; Paris : La Parole errante ; [et al.], (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 59 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : colonialisme  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    texte
    dessin (visage de « tirailleur sénégalais » tel qu’utilisé dans la publicité commerciale pour la marque Banania avec le slogan déformé : « Y’a bon colonisation ! »)
    photo (main gantée de blanc apportant un globe terrestre (à l’image inversée))

    texte :

    Semaine anticoloniale et antiraciste

    16 février - 3 mars 2013 / 8e édition

    16-17 février 2013
    Salon anticolonial à la Bellevilloise
    21, rue Boyer, Paris 20e

    Crimes coloniaux — Fahrat Ached — Amilcar Cabral… — Esclavage et réparations — Contrôle au faciès, sans-papiers — Égalité des droits — Peuples sans État — Syndicalisme et colonisation — Colonial Tour — Festival du film anticolonial

    Palestine — Kurdistan — Sahara occidental — Roms — Haïti — Tamil Eelam — Françafrique…

    1er mars 2013
    Concert Zep+ Skalpel 1re ligne
    La Parole errante, Montreuil

    2 mars 2013
    marche contre le racisme et le colonialisme
    départ 14 h Barbès

    programme complet sur www.anticolonial.org

    [logos] Médiapart - SaphirNews.com - D’ailleurs nous sommes d’ici - ??? - ??? - basta ! - Maison de l’Afrique - africultures - Nova - L’Humanité - Tout est à nous ! - Institut des cultures d’ ??? - Région Ile-de-France - macmag.??? - Politis - Paris 2e - Salam news- La Bellevilloise - Beur FM - Respect - Afriscope

    [Imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :
     



    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ & ante] (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; économie : transports  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro euro, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    Impr. Expressions2, Paris


    sources :

    Reprise de l’affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.

    Le visuel a été retrouvé sur une source de 2013.


    2001
    Affiche liée




































    [Luttes urbaines dans les quartiers des banlieues populaires]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Luttes urbaines dans les quartiers des banlieues populaires]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [41 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; contrôle social  ; luttes urbaines  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Collet, Victor  ; Garnier, Jean-Pierre (1940-....)  ; Marlière, Éric  ; Ott, Laurent  ; Roçé  ; Thorn, Jean-Pierre
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (barbelés) ; dessin (policiers face à quelques manifestants sur fond urbain) ; empreinte de patte de chat avec griffes ]

    texte :

    Luttes urbaines dans les quartiers des banlieues populaires :

    Engagements, cultures et révoltes dans les banlieues populaires

    Programme de la journée :

    14h00-15h00 Jean-Pierre Garnier interviendra sur la question des politiques de la ville et de l’aménagement urbain dans les quartiers populaires à l’heure sécuritaire puis échangera avec la public.

    15h00-16h00 Éric Marliere interviendra sur la question des « jeunes de cité », les tensions avec la police et le sentiment d’injustice dans les quartiers populaires des banlieues suivi d’un échange avec le public.

    16h00-17h00 Laurent Ott présentera l’institution scolaire dans les quartiers populaires et son expérience d’enseignement en milieu ouvert dans les cités, suivi d’un échange avec le public.

    17h00-18h00 Victor Collet introduira la question des issues politiques et syndicales dans les quartiers des banlieues populaires suivi d’un échange avec la public.

    18h00-19h00 Rocé, rappeur viendra exposer sa vision de la culture subversive dans les banlieus populaires.

    19h00-20h30 Projection du film de Jean-Pierre Thorn : 93, la belle rebelle + débat. 20 h 30 Apéro

    Après-midi de rencontre et de débats autour des questions urbaines :

    samedi 31 mai 2014 à partir de 14h

    À la CNT-F 3, rue des Vignoles, Paris 75020 - cnt.esa@gmail.com

    [logo chat noir cerclé CNT] CNT — [logo empreinte de patte de chat] CNT ESA

    Cette journée a pour objet de soutenir pécuniairement tout-e-s adhérent-e-s en cas de conflit lié au travail.

    Cette caisse aidera à concrétiser nos luttes sans compromis parce qu’elle nous permettra d’âtre autonomes dans nos combats.

    Venez nombreux pour nous soutenir !


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche31.jpg


    2013
    Affiche liée