quadri

 

 
 

Affichage par année

892 affiches :

 


    [A Prison Administrator’s Car Burns]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    A Prison Administrator’s Car Burns]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    text

    dessin (silhouette blanche de géant marchant dans les flammes devant une prison en feu)

    texte :

    A prison administrator’s car burns

    Anonymous submission to MTL Counter-info – July 25th, 2020

    The night of July 11th, the Volvo belonging to Vince Parente was burned in front of his home in Ste-Thérèse. Vince Parente was just recently named interim associate deputy minister at the Ministry of Public Safety. Besides this nomination, he is the assistant director-general for the Montreal region at the Bureau of Correctional Services. In clearer terms, he is the boss of the prison wardens at Bordeaux and Rivière-des-Prairies in Montreal.

    Before rising through the ranks, he began his career as a probation officer and in the transport of prisoners to their appearances, then became assistant warden at Bordeaux prison, then assistant warden at Leclerc prison in Laval, then warden of the St-Jérôme prison.

    This bastard has benefited since the start of his career from the confinement and degradation of thousands of people.

    This blaze is a statement of solidarity with all prisoners and their families. Prison conditions were terrible to begin with, and they have worsened since the start of the pandemic. Not only do guards spread the virus to inmates, but the latter are locked up 24/7, with almost no visits and no phone privileges.

    By the fault of Vince Parente among others, Robert Langevin died of negligence and lack of care inside the walls of Bordeaux prison in May. Vince Parente is a murderous, disconnected administrator like many others, and he is undoubtedly working from home these days. Maybe this fire brought him back to reality.

    Communiqué poster series

    mtlcounterinfo.org


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/a-prison-administrators-car-burns-2/
    https://mtlcounterinfo.org/wp-content/uploads/2021/09/admin_en.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/la-voiture-dun-administrateur-de-prisons-prend-feu-2/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2021/09/admin_fr.pdf


    2021
    Affiche liée



    [Commune de Paris : place au peuple, place à la Commune ! La Commune est proclamée !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Commune de Paris : place au peuple, place à la Commune ! La Commune est proclamée !]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 84 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolution
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Vallès, Jules (1832-1885)
    • Presse citée  : Vive l’anarchie (2020-....)
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (affiche originale de 1871, utilisée pour une exposition à Rennes en 2021)

    texte :

    RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
    N° 44 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 44

    COMMUNE DE PARIS

    CITOYENS,

    Votre Commune est constituée.

    Le vote du 26 mars a sanctionné la Révolution victorieuse.

    Un pouvoir lâchement agresseur vous avait pris à la gorge : vous avez, dans votre légitime défense, repoussé de vos murs ce gouvernement qui voulait vous déshonorer en vous imposant un roi.

    Aujourd’hui, les criminels que vous n’avez même pas voulu poursuivre abusent de votre magnanimité pour organiser aux portes même de la cité un foyer de conspiration monarchique. Ils invoquent la guerre civile ; ils mettent en œuvre toutes les corruptions ; ils acceptent toutes les complicités ; ils ont osé mendier jusqu’à l’appui de l’étranger.

    Nous en appelons de ces menées exécrables au jugement de la France et du monde.

    CITOYENS,

    Vous venez de vous donner des institutions qui délient toutes les tentatives.

    Vous êtes maîtres de vos destinées. Forte de votre appui, la représentation que vous venez d’établir va réparer les désastres causés par le pouvoir déchu : l’industrie compromise, le travail suspendu, les transactions commerciales paralysées, vont recevoir une impulsion vigoureuse.

    Dès aujourd’hui, la décision attendue sur les loyers ;

    Demain, celle des échéances ;

    Tous les services publics rétablis et simplifiés ;

    La garde nationale, désormais seule force armée de la cité, réorganisée sans délai.

    Tels seront nos premiers actes.

    Les élus du peuple ne lui demandent, pour assurer le triomphe de la République, que de les soutenir de sa confiance.

    Quant à eux, ils feront leur devoir.

    Hôtel-de-Ville de Paris, le 29 mars 1871.

    LA COMMUNE DE PARIS,

    IMPRIMERIE NATIONALE - Mars 1871.


    Place au peuple, place à la Commune !

    La Commune est proclamée !

    Elle est sortie de l’urne électorale, triomphante souveraine et armée. Les élus du peuple sont entrés dans le vieil Hôtel de Ville qui a entendu le tambour de Santerre et la fusillade du 22 janvier sur cette place où le sang des victimes de l’honneur nationale et de la dignité parisienne vient d’être essuyé par la poussière soulevée en ce jour de fête sous les pas des bataillons victorieux.

    On n’entendra plus le roulement du tambour de Santerre ; les fusils ne brilleront plus aux fenêtres de l’hôtel communal et le sang ne tachera plus la place de Grève si nous le voulons. Et nous le voulons, n’est-ce-pas citoyens ? La Commune a été proclamée. L’artillerie sur les quais tonnait ses salves au soleil qui dorait leur fumée grise sur la place. Derrière les barricades, où se tenait debout la foule : hommes saluant du chapeau, femmes saluant du mouchoir, le défilé triomphal, les canons abaissant leurs gueules de bronze, humbles et paisibles, craignant de menacer la foule joyeuse.

    Devant la façade sombre, dont le cadran a sonné tant d’heures qui sont maintenant des siècles et au vu de tant d’événements qui sont aujourd’hui l’Histoire, sous ces fenêtres peuplées d’assistants respectueux, la garde nationale défilait luit jetant les vivats de son enthousiasme tranquille et fier. Au-dessus de l’estrade se tenait les élus du peuple, braves gens à la tête énergique et sérieuse ; le buste de la République, qui se détachait blanc sur la tenture rouge, regardait impassible reluire cette moisson de baïonnettes étincelantes au milieu de laquelle frissonnaient les drapeaux et les guidons aux couleurs éclatantes, tandis que montaient dans l’air le bourdonnement de la cité, les bruits du cuivre et de la peau d’âne, les salves et les acclamations.

    La Commune est proclamée dans une journée de fête révolutionnaire et patriotique, pacifique et joyeuse, d’ivresse et de solennité, de grandeur et d’allégresse, digne de celles qui ont vu les hommes de 93 et qui console de vingt ans d’Empire, de six mois de défaites et de trahisons. Le peuple de Paris debout en armes, a proclamé la Commune, qui lui a épargné la honte de la capitulation, l’outrage de la victoire prussienne et qui le rendra libre comme elle l’eût rendu vainqueur.

    Que n’a-t-elle été proclamée le 31 octobre ! Qu’importe ! Morts de Buzenval, victimes du 22 janvier, vous êtes vengés maintenant !

    La Commune est proclamée. Les bataillons qui spontanément, débordant des rues, des quais, des boulevards, sonnaient l’air les fanfares des clairons, faisant gronder l’écho et battre les cœurs avec les roulements du tambour, sont venus acclamer et saluer la Commune, lui donner cette promulgation souveraine de la grande revue civique qui défie Versailles, remontent l’arme sur l’épaule vers les faubourgs, remplissant de rumeurs la grande ville, la grande ruche.

    La commune est proclamée. C’est aujourd’hui la fête nuptiale de l’idée et de la révolution. Demain citoyen-soldat pour féconder la Commune acclamée et épousée la veille, il faudra reprendre, toujours fier, maintenant libre, sa place à l’atelier ou au comptoir.

    Après la poésie du triomphe, ma prose du travail.

    Jules Vallès / Le Cri du peuple, 30 mars 1871


    sources :

    Affiche parue en page centrale de Vive l’anarchie n° 3 (vers mai-juin 2021), journal prix libre également encarté dans Le Monde libertaire :
    http://www.etvlan.org/Fichiers/Affiches/AfficheVLAN3A1W.jpg
    http://www.etvlan.org/Fichiers/Journaux/VLAN3A3W.pdf


    1871
    Affiche liée


    [Débat « Penser ensemble » à l’Anamorphose]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Débat « Penser ensemble » à l’Anamorphose]. — Liévin ; Lille : Anamorphose, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; contrôle social  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Dardot, Pierre  ; Sauvêtre, Pierre
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (couverture de livre : dessin d’homme — sous le buste — assis sur une chaise aux très hauts pieds) ; livre de Christian Laval, Haud Guéguen, Pierre Dardot et Pierre Sauvêtre dans la collection « Futur proche » chez Lux éditeur (Montréal, 2021)

    texte :

    Le Choix de la guerre civile : une autre histoire du néolibéralisme

    Débat « Penser ensemble » de Cliss XXI
    avec Pierre Dardot et Pierre Sauvêtre

    Vendredi 10 septembre à 18 h 30

    À l’Anamorphose
    48, rue du Long-Pot à Lille (métro Fives)

    [image couv.] Cet ouvrage aborde le néolibéralisme sur le terrain qui, dès ses origines, fut le sien : le choix de la guerre civile en vue de réaliser le projet d’une pure société de marché. Une guerre de domination polymorphe qui sait parfois se doter des moyens de la coercition militaire et policière, mais qui se confond souvent avec l’exercice du pouvoir gouvernemental et qui se mène dans et par les institutions de l’État.

    Renseignements : contact@cliss21.com


    sources :

    « Cliss xxi » : Pour une informatique libre, sociale et solidaire
    https://www.cliss21.com/site/






    [La voiture d’un administrateur de prisons prend feu]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La voiture d’un administrateur de prisons prend feu]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (silhouette blanche de géant marchant dans les flammes devant une prison en feu)

    texte :

    La voiture d’un administrateur de prisons prend feu

    Soumission anonyme à MTL Contre-info – 25 juillet 2020

    La nuit du 11 juillet, la Volvo appartenant à Vince Parente a été incendiée devant sa demeure à Ste-Thérèse. Vince Parente a tout récemment été nommé sous-ministre associé par intérim au ministère de la Sécurité publique. Outre cette nomination, il est le directeur général adjoint pour la région de Montréal à la Direction générale des services correctionnels. En termes plus clairs, il est le patron des directeurs de prison de Bordeaux et de Rivière-des-Prairies à Montréal.

    Notons qu’avant de monter les grades, il a commencé sa carrière comme agent de probation puis dans le transport de prisonnier.e.s vers leurs comparutions, est ensuite devenu directeur adjoint de la prison de Bordeaux, puis directeur adjoint de la prison Leclerc à Laval, puis directeur officiel de la prison de St-Jérôme.

    Un gros bâtard qui bénéficie depuis le début de sa carrière de l’enfermement et de la dégradation de milliers de personnes.

    Ce brasier est un éclat de solidarité avec tous.tes les prisonnier.es et leurs familles. Si les conditions de détention sont habituellement dégueulasses, celles-ci ont empiré depuis le début de la pandémie. Non seulement les gardien.nes transmettent le virus aux détenu.e.s, mais ces dernier.es sont enfermé.es h24, avec très peu de visite et sans permission de téléphoner.

    Par la faute de Vince Parente entre autres, Robert Langevin est mort de négligence et de manque de soins entre les murs de la prison de Bordeaux en mai. Vince Parente est un gestionnaire assassin déconnecté comme tant d’autres qui travaille sans doute à domicile ces temps-ci. Ce brasier l’a peut-être ramené face à la réalité.

    Série d’affiches communiqués
    mtlcontreinfo.org


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/a-prison-administrators-car-burns-2/
    https://mtlcounterinfo.org/wp-content/uploads/2021/09/admin_en.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/la-voiture-dun-administrateur-de-prisons-prend-feu-2/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2021/09/admin_fr.pdf


    2021
    Affiche liée






    [Vive la Commune ! : Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vive la Commune ! : Louise Michel] / Joëlle Jolivet. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 124 × 84 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ dessin (Louise Michel brandissant un drapeau) par Joëlle Jolivet ]

    texte :

    Vive la Commune !

    Louise Michel

    Joëlle Jolivet
    Illustratrice
    Ses linogravures, familières des étals des librairies et de leur rayon jeunesse, ont fait le tour du monde. Diplômée des Arts appliqués et des Beaux-Arts de Paris, elle a illustré de nombreux livres, mais travaille aussi pour la presse et la publicité. Elle a notamment publié 365 Pingouins (avec Jean-Luc Fromental ; rééd. Hélium, 2017), la bande dessinée Freak Parade (scénario Fabrice Colin ; Denoël, 2020) et signe les images de plusieurs récits pour enfants de Luis Sepúlveda parus aux éditions Métailié, dont Histoire d’un escargot qui découvrit l’importance de la lenteur (2014), Histoire d’un chien mapuche (2016) et Histoire d’une baleine blanche (2019).

    L’affiche du 1


    sources :

    Affiche parue en page centrale de la revue Le Un (https://le1hebdo.fr/), hors-série XL « Louise Michel » (printemps 2021).
    https://boutique.le1hebdo.fr/common/product-article/447






    [Colloque autogestion, 15 octobre 2022, Lycée autogéré de Paris]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Colloque autogestion, 15 octobre 2022, Lycée autogéré de Paris]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Commune de Paris 1871 (Paris), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Almehdi, Meytham  ; Georgi, Frank  ; Lenoir, Hugues  ; Marcellan, Aimé (1948-....)  ; Marker, Chris  ; Richard, Jean-Claude (1947-....)  ; Savadkouhi, Fereydoun  ; Teyf, Nader
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : colloque
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    vignettes

    photos (grève à LIP)

    affiches

    fond rouge et noir

    texte :

    Colloque autogestion

    5 octobre 2022

    au Lycée Autogéré de Paris
    393, rue de Vaugirard - 75015 Paris

    Métro / tram : Porte de Versailles

    Programme

    9h30 Accueil café-thé et thé-li

    10h-11h Franck Georgi : Une approche historique de l’autogestion

    11h-12h Jean-Claude Richard : La Fédération des coopératives alimentaires autogérées

    12h-13h30 Pause repas organisée en autogestion par les lycéens et lycéennes du LAP

    13h30-14h30 Aimé Marcellan : L’autogestion dans l’Espagne libertaire (1936-1939)

    14h30-15h30 L’autogestion pédagogique : acteur du LAP et du Lycée expé de St-Nazaire, Hugues Lenoir

    15h30-16h Pause

    16h-17h L’autogestion ouvrière en Iran (1979-1980) :
    Fereydoun Savadkouhi : L’expérience de comités de quartiers et de conseils d’ouvriers qui se sont constitués en 1979
    Nader Teyf : Les ouvriers pétroliers et leurs conseils d’autogestion à la même période
    Meytan Almehdi : ouvrier métallurgique anarchiste parlera de discussions et décisions ouvrières à l’époque actuelle en particulier où il a travaillé et mené beaucoup de luttes avec ses collègues dans les aciéries d’Ahvaz

    17h-18h 2 ateliers :
    1) La coopérative ouvrière Ambiance bois animé par l’un.e des coopérateur.ices
    2) Quelle autogestion des luttes dans la sous-traitance hôtelière ?

    18h-19h Projection “Puisqu’on vous dit que c’est possible !” documentaire de Chris Marker sur LIP

    19h-20h-30 Pause repas organisée en autogestion par les lycéennes et les lycéenes du LAP

    20h30-22h30 Concert : Houlenn Tann et Dubamix

    Organisé par :
    Groupe Commune de Paris 1871

    Programme détaillé sur notre blob :
    http://federation-anarchiste-groupe-commune-de-paris.over-blog.com


    sources :
     















    [« Fin du moi, début du nous ! » le mouvement des Gilets Jaunes à St-Nazaire, 2018]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    « Fin du moi, début du nous ! » le mouvement des Gilets Jaunes à St-Nazaire, 2018]. — Saint-Nazaire : les Ami·e·s de May (Saint-Nazaire) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : photographie  ; luttes sociales (mouvement social)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos (manifestation de « Gilets jaunes »)

    texte :

    Les Pieds dans le PAF
    “Automedia. Comment garder la mémoire et s’informer depuis l’intérieur ?” Tout le mois d’octobre

    Les Palmiers
    “Luttes lumineuses” du 1/10 au 23/10 & vente de photos

    Idées larges
    “Gilets jaunes, un mouvement socio-culturel” tout le mois d’octobre

    Au Pré vert
    “Bouillon de cultureS” tout le mois d’octobre

    L’Embarcadère
    “Des femmes dans le mouvement des Gilets Jaunes” du 4/10 au 22/10

    Le Garage
    “Les mots des Gilets Jaunes” du 3/10 au 21/10
    le 4/10 à 18 h 30 : atelier Écrire dans la ville.
    Soirée autour du livre de Sophie Divry Cinq mains coupées : que font les GJ à la littérature

    Chez la Bretonne
    “Humanités” tout le mois d’octobre

    Ami.e.s de May
    “Loin d’être crad’ !! Convivialité & autogestion” tout le mois d’octobre

    Expo-photo, octobre 2022

    Mouvement des Gilets Jaunes — 8 lieux, St-Nazaire

    « Fin du moi, début du nous ! » le mouvement des Gilets Jaunes à St-Nazaire, 2018

    Novembre 2018 : une “vague jaune” déferle dans l’hexagone. Chaque samedi, des rendez-vous dans la rue met en lumière des revendications sociales : ç s’appelle les Actes. À Saint-Nazaire, ce mouvement hétéroclite a su conjuguer entre revendications sociales concrètes, positions politiques affirmées, mise en œuvre d’alternatives et de la convivialité : la cherté de la vie, l’appétence démocratique, la lutte contre les répressions, pour les solidarités, la Maison du peuple, l’Assemblée des Assemblées, le Village du peuple, les Amajaunes, les Maisons d’Hébergement Solidaire, le campement des expulsé.e.s

    Quatre années ont passé. Cette expo-photo en 9 lieux se veut une transmission, à notre échelle, des pratiques vécues d’auto-organisation de luttes, de convivialités, lorsque des aspirations sociales apparaissent loin des acteurs et actrices institutionnelles et économiques.


    sources :

    https://ladm.noblogs.org/files/2022/10/8lieux-FIN_MOI_DEBUT_NOUS-affiche-v0f-oct22-2.jpg


    2022
    Affiche liée









    [Soirée de soutien pour le librairie Quilombo, 9 mars 2025]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Soirée de soutien pour le librairie Quilombo, 9 mars 2025]. — Paris : librairie Quilombo, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; galas et actions de soutien  ; lieux — librairies...  ; benefiet - collecte de fonds
    notes :
    descriptif :


    texte
    dessin (homme, au visage caché par une pile de livre, sur fond de bibliothèques) par ?

    texte :

    Dimanche 9 mars 2025 - 17 h

    Soirée de soutien pour le librairie anarchiste, associative et autogéré

    « Quilombo »

    17h30 rencontre/discussion La librairie, fondée en 2002, vous propose une présentation de l’un des auteurs les plus punks qui soit, Ed Sanders et de son livre “Contes de la gloire Beatnik”. Pour la première fois traduit en français par les éditions Demain les Flammes & L’Oie de Cravan, ce livre est une quête totale, pour une histoire totale. Ed Sanders, le dernier barde de la beat generation est toujours resté à la marge toute sa vie ; et Quilombo espère suivre le même chemin que lui. Infos, tables de presse et musiques avec :

    UNION THUGS (oi folk ouvrière - Montréal/Québec)

    RED ELIDING (garage punk groove)

    WILLXSMIC (hardcore fast and loud - Strasbourg)

    Centre international de culture populaire
    21 ter rue voltaire, 75011 Paris - Métros : Avron / Nation

    De 17 à 22h précises - prix libre - pas d’attitudes et propos racistes, sexistes ou discriminatoires, pas de verre et laissez les animais à la maison.

    Retransmission de l’émission KONSTROY ( konstroy.net ) en direct du CICP de 18 à 20 h. sur radio Cause Commune 93.1 MHZ

    https://collectifcontreculture.noblogs.org /


    sources :
     

    2013
    Affiche liée









    [Capitalism is a pyramid scheme]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Capitalism is a pyramid scheme]. — [S.l.] : Crimethinc, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 55 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; économie (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (recto /verso : au recto en forme de pyramide) ; dessin (pyramide sociale couronnée par le « $ »)]

    texte :

    Capitalism is a pyramid scheme

    The labor of those lower on the pyramid enriches the ones towards the top. To stay stable, the economy has to draw in more and more resources—colonizing new continents, workforces, and aspects of daily life. The resulting inequalities can only be maintained by ever-escalating force.

    We’re encouraged to compete against each other to improve our positions on an individual basis. But there’s not enough space at the top for all of us, no matter how hard we work—and no pyramid scheme can go on expanding forever. Sooner or later it’s bound to crash : global warming and recession are just the first warning signs. Instead of going down with the Pharaohs, let’s join forces to establish another way of life.

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    Further copies of this poster are available in packs of 25 for $4 via crimethinc.com ; you can obtain a larger version for $8. It’s designed to accompany Work, a 376-page decoder ring for this poster and the capitalist economy itself.
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    Capitalism Is a Pyramid Scheme

    The labor of those lower on the pyramid enriches the ones towards the top. To stay stable, the economy has to draw in more and more resources—colonizing new continents, workforces, and aspects of our lives. The resulting inequalities can only be maintained by ever-escalating force : armies occupy countries, police patrol neighborhoods, security cameras point at every cash register.

    Capitalists make money not only on what they do, but also from what they own. It takes money to make money, as they say. Business owners, landlords, and large shareholders are capitalists ; so are executives who receive salaries padded with money produced by other people’s efforts.

    Capitalists cash in on the activity of the exploited. The exploited can only make money from their own labor, so it’s easy for employers to pay them less than the value they produce. When banks and credit card companies make money off debtors, they’re exploiting them, the same as a corporation that pays an employee a dollar to make a $200 pair of shoes.

    Others are at the mercy of the economy but excluded from participating in it. The unemployed and the homeless are excluded, along with most of the occupants of shantytowns around the world. Prisoners are often both excluded and exploited, being forced to work at a pittance that amounts to slave labor. Being excluded is not the same as being outside the market—the dispossessed are poor precisely because they are inside capitalism.

    The economy reshapes the physical and social terrain in its own image : silicon valleys, motor cities, banana republics. It erases the distinction between natural and synthetic : a cornfield in Iowa is no more natural than the concrete wasteland of Newark, New Jersey. It transforms hurrah beings into workers, the same way it reduces forests to toilet paper and pigs to pork chops.

    Capitalism unifies the world into a single metropolis. Roses ticked on plantations in rural Ecuador are sold to Manhattan businessmen the same day ; a set by a DJ at a Barcelona nightclub is broadcast simultaneously in Johannesburg. News, fashions, and ideas are transmitted instantaneously around the globe ; every city is populated by tourists and refugees from every other city. People spend more time communicating across hundreds of miles than they do talking to their neighbors. Physical distance between people in different cities is giving way to social distance between people in the same city.

    National boundaries are increasingly obsolete as a framework for understanding economics. One can no longer distinguish the domestic economy from the global economy, if such a thing was ever possible. The majority of the wealth of many US corporations is comprised of their holdings overseas ; a single task may be outsourced from New York City to Mumbai ; an idea from Argentina generates profits in Finland. The world isn’t made up of distinct physical territories or political bodies ; it is a sea of interlocking relations that, like wind, water, and thermal currents, do not conform to imaginary boundaries.

    Today the borders that matter are not the horizontal ones between regions but the vertical ones dividing social strata, which are enforced everywhere at once rather than only at individual checkpoints. These divide the metropolis into different zones of privilege, determining access to resources and power. Such zones may meet anywhere—an undocumented immigrant cleans a congressman’s house for illegally low wages, guards brandish guns at the gate of an expensive hotel housing European businessmen right next to a shantytown in New Delhi.

    Who holds the ultimate power in this system ?

    Is it heads of state ? They seem to answer directly to the wealthy, protecting their interests at any expense. Is it the wealthiest ones, the magnates who own corporations and profit on countless shrewd investments ? They still have to scramble to maintain their positions as a thousand contenders struggle to replace them. How about the Federal Reserve, the bankers, the ones who administrate the system ? When something goes awry, they seem as powerless and distraught as everyone else. Is it a secret conspiracy of tycoons or Freemasons ? That sounds like lingering anti-Semitic rhetoric, implying that the problem is the power of a specific group rather than the dynamics of the system itself.

    Or is no one in control ? People speak about the economy the way they speak about God or Nature, even though it’s comprised of their own activities and the activities of people like them. It is a sort of Ouija board on which the self-interested actions of competing individuals add up to collective disempowerment. Has there ever been a dictator as tyrannical and destructive as the market ?

    Capital seems to be autonomous. It flows one way, then another, it concentrates itself in one nation, then disappears capriciously overseas. From an economist’s perspective, it is the subject of history, acting on us. Its movements seem unstoppable, inevitable. And yet capital as we know it is simply a collective hallucination imposed on the world ; ownership is only "real" because we make it so.

    The market rewards skill, brilliance, and daring—but only to the extent that they produce profit. The essential quality naturally selected for those at the top of the pyramid is that their make decisions on the basis of what concentrates the most power in their hands. They pass down all the costs of this accumulation of power that they can—not only to workers and consumers and victims of pollution, but also to their spouses and secretaries and housemaids—but they can’t avoid the fact that they have to make decisions based on economic constraints or else lose their positions.

    You could say capitalism puts power in the worst hands, but that misses the point. It’s not that the ones rewarded by the economy tend to be the worst people, but that—however selfish or generous they are—their positions are contingent on certain kinds of behavior. The moment an executive deprioritizes profit-making, he or his company is instantly replaced with a more ruthless contender. For example, in a world in which corporate decisions are governed by the necessity of producing good quarterly reports, CEOs are simply powerless to make decisions that place ecology over profit. They might promote ecological products or sustainable energy, but only as a marketing campaign or PR move. Genuinely ecocentric decision-making can only occur outside the market.

    So you don’t have to believe all executives are bad people to conclude that capitalism itself is a problem. On the contrary, it’s the defenders of the free market who have to make arguments based on human nature. To excuse the destructiveness of the economy, they have to argue that no other social system can motivate human beings and provide for their needs. Anthropologists already know that this is not true.

    Two centuries ago the vast majority of people were employed extracting resources directly from the earth : farming, fishing, and mining. The industrial revolution pushed much of this workforce into manufacturing. Today, more money is being made in manufacturing than ever, but thanks to technological progress it takes fewer and fewer employees to accomplish the same amount of production.

    In a sensible system, this would mean more leisure for all of us, but in capitalism it just saves employers money and makes it harder for the rest of us to get a job. In poorer areas, slums and shantytowns serve as holding pools for the unemployed, keeping them close enough to sweatshops to drive down wages. In wealthier zones, all this cheap labor ends up in the service industry, helping capitalists promote their products. Customer service is becoming more central to the economy than merchandise ; corporations don’t just sell things, but also attention, hospitality, empathy, assistance, interaction—everything that used to be a free part of social life. The service industry is the thin layer of living flesh stretched over the iron machinery of the economy, stoking the engines of desire that drive it.

    Meanwhile, in a "globalized" economy, capitalists can move jobs around the planet at will, sidestepping unionized or rebellious workforces and exploiting whoever is most desperate. All this combines to create a situation in which employment is increasingly temporary and precarious. Building up a good résumé becomes as important as saving money ; even baristas and dishwashers come to see themselves as entrepreneurs selling not only their labor but also themselves. Paradoxically, even as survival gets more difficult, more people come to identify with their roles within capitalism.

    Yet despite this, capitalism is entering a new era of crisis and uncertainty. Until a few decades ago, the labor movement at least forced capitalists to pay workers enough to buy the products of their labor. Now the old labor movement has been outflanked and all the peace treaties in the class war have expired ; this has enabled a handful of magnates to amass the greatest fortunes in history, but it is eroding the consumer base that supports the entire operation in the first place. It also gives the rest of us less and less reason to play along. We can expect a new wave of conflicts in which the future of capitalism itself will come back into question.

    We’re encouraged to compete against each other to improve our positions on an individual basis. But there’s not enough space at the top of the pyramid for all of us, no matter how hard we work—and no pyramid scheme can go on expanding forever. Sooner or later it’s bound to crash : recession and global warming are just the first warning signs. Instead of going down with the Pharaohs, let’s join forces to establish another way of life.

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    sources :