rouge

 

 
 

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    [Perché noi anarchici non votiamo ? ]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Perché noi anarchici non votiamo ? ]. — Imola : Gruppi anarchici imolesi, ([…] in proprio). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CRAS (Toulouse)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
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    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Perché noi anarchici non votiamo ?

    Da tempo, ormai, lo spettacolo offerto dalla politica è arrivato al gradino più basso dello sfacelo morale, fornendo un’immagine di degrado mai raggiunta in precedenza. Governi sempre più corrotti e collusi con le varie organizzazioni mafiose, politici di destra e, purtroppo, anche di sinistra, che intascano illegalmente soldi pubblici, approfittando di tutte le agevolazioni concesse loro dal sistema.

    Da sempre gli anarchici ribadiscono di non volere essere né eletti né elettori. Nessuno aspirerebbe al potere se questo non favorisse vantaggi morali, politici ed economici.
    I mali sociali si eliminano eliminando le cause che li generano.
    Quindi non legittimiamo lo Stato e la classe politica, non abbiamo bisogno di loro per fare andare avanti il paese. Loro vogliono solo scalare le vette del potere con il consenso degli elettori, per cui non lamentiamoci se quelli che vengono eletti possono essere disonesti e non onorano le promesse fatte in campagna elettorale.

    Come sempre ci dicono che l’ultimo governo era il peggiore e che il prossimo sarà molto meglio : ci ingannano perché per loro siamo solo dei frutti da cogliere, ci adulano, ci dicono che tutto dipende da noi, che siamo belli e intelligenti, che l’ultima parola sarà sempre la nostra, ma in effetti vogliono solo il nostro voto.

    Astenersi per noi anarchici significa non essere governati, non essere corresponsabili dello sfruttamento e dell’oppressione ma creare una rete di libere associazioni federate.

    Siamo convinti della necessità dell’indipendenza dei singoli individui, tale da permettere lo sviluppo di ogni ramo d’attività, senza il fardello di una dannosa burocrazia. Per non permettere a un uomo di diventare padrone di un altro uomo.

    Vogliamo far trionfare la libertà e la giustizia sociale, per questo non vogliamo eletti e non vogliamo essere elettori.

    Stampato in proprio, 4 febbraio 2013
    Gruppi anarchici imolesi
    Via F.11i Bandiera, 19 Imola


    sources :
     







    [Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rythmes scolaires : retrait de la réforme !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (avec argumentaires d’exemples façon texte manuscrit scolaire) ; photo (montage : ouvrier mi-blanc mi-noir, avec casque de chantier, sur fond de chantier de construction) ; filigrane (poing levé) ]

    texte :

    Rythmes scolaires

    Rythme des enfants

    Dans les communes où la réforme a été mise en place, les enfants restent plus longtemps à l’école : autant d’heures de classe, plus d’heures d’école !

    Les enfants n’ont plus de coupure en milieu de semaine, parents et enseignant-e-s constatent une fatigue accrue pour les enfants après seulement quelques semaines de classe.

    Les journées sont tellement fragmentées que les élèves sont désorienté-e-s, particulièrement en maternelle.

    À Paris, les enfants de petite section sont réveillé-e-s de la sieste, ils sont pris en charge par trois adultes différent-e-s dans la même journée. Difficile dans ces conditions de structurer l’espace et le temps.

    On prétend prendre en compte le rythme de vie des enfants mais ce sont surtout les intérêts économiques qui priment : pour ne pas froisser l’industrie touristique, on ne touche pas au système des zones pour les petites vacances, ce qui crée des périodes travaillées qui varient de 5 à 12 semaines.

    Conditions de travail des adultes

    Pendant le temps périscolaire, les disparités de salaires et de statuts entre : l’enseignant, l’animateur titulaire, l’animateur précaire, l’ATSEM, bénévoles associatifs... sont aggravées. Ils font pourtant le même travail avec les mêmes enfants.

    En raison du manque de locaux disponibles, le lieu de travail des enseignant-e-s leur échappe, tandis que les animateur-rice-s ne peuvent s’approprier leur espace de travail.

    L’augmentation du nombre maximum d’enfants par adulte a été décidée pour faire des économies. Les activités sont donc plus difficiles à mettre en place et la sécurité des enfants en pâtit.

    Malgré l’avis du Conseil Constitutionnel, on est passé de 10 à 14 enfants pour un adulte en maternelle, et de 14 à 18 en élémentaire.

    Les difficultés de recrutement ainsi que le non-remplacement aggravent la situation du taux d’encadrement et génèrent des sureffectifs parfois hallucinants.

    À Paris, il n’est pas rare qu’un animateur se retrouve seul avec 50 enfants dans la cour.

    Ces conditions de travail et d’encadrement engendrent du stress, de la fatigue, des tensions, des démissions... ce qui a des conséquences sur la qualité des activités proposées aux enfants sur les temps scolaires et périscolaires.

    Aggravation des inégalités

    Les activités périscolaires sont financées par les communes, or elles n’ont pas ou ne se donneront pas toutes les mêmes moyens pour les mettre en place.

    Selon les communes, voire les quartiers, le tissu associatif, les activités disponibles et les équipements culturels et sportifs varient considérablement.

    Si la seule association du village est l’Amicale des chasseurs, Doudou Lapin a peut-être de quoi s’inquiéter

    Le contenu des activités peut varier selon la couleur et les choix politiques de la mairie. Celles-ci ont un pouvoir réel sur le contenu du périscolaire, dans le cadre du Plan Éducatif Territorial.

    Avec cette réforme, c’est la porte ouverte au clientélisme et aux fondations privées à visées mercantiles.

    Le 9 juin 2013, le ministère de la Jeunesse et des Sports a signé une convention de trois ans avec la Fondation Total pour financer les « activités culturelles en dehors du temps scolaire notamment en accompagnant la réforme des rythmes éducatifs ». Total promet 4 millions d’euros pour pallier les difficultés financières des communes.

    Pour des raisons financières ou politiques, les communes peuvent être amenées à faire payer les activités, certaines le font déjà.

    À Cours-sur-Marne, la mairie fait payer toutes les activités aux familles, 4 euro de l’heure, quels que soient leurs revenus. À Grenelle, la garderie, pompeusement rebaptisée « récréative », est gratuite mais les activités culturelles ou sportives sont payantes.

    Ainsi selon le lieu de scolarisation des enfants, ils n’auront ni les mêmes activités, ni les mêmes moyens, ni les mêmes rythmes : où est l’égalité dans tout ça ?

    Retrait de la réforme !

    Nos besoins :
    • L’école a besoin de personnels pour assurer les remplacements et réduire les effectifs dans les classes, accompagner les élèves en situation de handicap, assurer l’entretien de locaux,...
    • Elle a besoin de financements et de programmes qui permettent la mise en place, sur le temps scolaire, d’activités pédagogiques ouvertes sur le monde.
    • Le périscolaire doit être un vrai projet avec des vrais moyens et des personnels formés et respectés.

    Cette réforme est-elle vraiment la priorité ?

    Fédération CNT des travailleurs-euses de l’Éducation
    fede-educ@cnt-f.org — 06 26 50 01 36 — http://www ;cnt-f.org/fte


    sources :

    http://www.cnt-f.org/ud57/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf
    https://web.archive.org/web/20150505221013/http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/affiche_rythmes.pdf










    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ & ante] (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; économie : transports  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro euro, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    Impr. Expressions2, Paris


    sources :

    Reprise de l’affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.

    Le visuel a été retrouvé sur une source de 2013.


    2001
    Affiche liée






























    [Crise : l’État et les entreprises se serrent les coudes ; nous, on se serre la ceinture]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Crise : l’État et les entreprises se serrent les coudes ; nous, on se serre la ceinture]. — [S.l.] : Alès : Exploités énervés, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , gris , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (rouge et noir sur fond gris) ; dessins (personnage broyé par des engrenages avec : en entre : « Salaires, Conditions de travail, Aides sociales, Retraite » et en sortie : « Factures, Prix, Impôts, Chômage » ; dessin montage d’une foule, poings levés et drapeaux, vue de dos : manifestation ou concert) ]

    texte :

    Crise

    L’État et les entreprises se serrent les coudes

    Nous, on se serre la ceinture

    La crise, c’est quoi ? La crise est une réalité pour nous et pour les capitalistes. Plus encore, il ne peut y avoir de capitalisme sans crise, tant ce système est traversé de contradictions : les capitalistes ont besoin de faire toujours plus de profits, de produire toujours plus, sans quoi leurs entreprises disparaîtraient dans la concurrence effrénée qu’elles se mènent. L’essentiel des profits provient de la vente de la production. Et, en bout de chaîne, qui achète ? L’ensemble de la population, les travailleurs, les chômeurs... Nous, dont on baisse en permanence les revenus ! Avec la hausse des prix, la baisse des salaires et des allocations est l’un des levier du capital pour maintenir ses profits dans la crise. Ces politiques d’austérité sont nécessaires aux capitalistes mais dans le même temps, elles induisent une baisse de la consommation, alors qu’on produit toujours plus. C’est une des contradictions du capitalisme qui mène à la crise de surproduction. Les profits n’augmentent plus suffisamment et, pour y pallier, les capitaux sont massivement investis dans les marchés financiers. Crise de la finance, des sub-primes, de la dette... ne sont que des facettes de cette crise du système.

    Si la part de la finance a augmenté, au fond, les profits boursiers ou non, proviennent du travail humain. Certains possèdent les moyens de production (usines, entreprises...) et la très grande majorité vend ses mains ou son cerveau pour un salaire. Un capitalisme plus ou moins financiarisé n’enlève rien à l’exploitation que l’on subit.

    La régulation du capitalisme est impossible tant la crise est un temps de son fonctionnement. Les entreprises les moins compétitives coulent, le capital se concentre, le coût du travail doit baisser. Quand cela ne suffit pas, les guerres, les destructions massives de moyens de production, sont l’aboutissement de la crise et relancent l’économie. La crise actuelle créé les mêmes tensions que celle de 1929 : renfermement national, identitaire, populisme, guerre contre les pauvres et de tous contre tous…

    Et l’État dans tout ça ? Depuis son apparition, sa fonction, qu’il soit de gauche, de droite, d’extrême gauche ou d’extrême droite, est de garantir la survie du système. Dans les périodes fastes, cela passe par une relative redistribution qui soutient la consommation et garantit la paix sociale. Dans la crise, l’État tente différentes politiques économiques : keynésienne, libérale ou protectionniste sous différentes formes : totalitaire ou démocratique. Actuellement, il abandonne le social pour un soutien direct aux entreprises. C’est l’austérité ! L’État baisse le coût du travail : nos salaires et nos aides sociales. Il empêche les révoltes et devra mettre au pas le prolétariat. L’État ne remet jamais en cause les fondements du système capitaliste : l’exploitation de l’Homme par l’Homme.

    Qu’est-ce qu’on peut faire ? Seule la disparition de ce système nous sortira de ce retour permanent de crises et des tensions qui en résultent. Chaque lutte dans une entreprise en grève, chaque bagarre de chômeurs face aux administrations, chaque fois que des voisins s’entraident face à un huissier, chaque révolte contre un dictateur (Tunisie, Égypte) ou une politique d’austérité (Brésil, Espagne)... construit un rapport de force qui permet d’entrevoir la fin du système capitaliste. Ici comme ailleurs, lutter collectivement, c’est sortir de la résignation.

    Leurs profits, c’est nos galères
    Face à la crise, pas d’alternative

    Guerre sociale contre le capital et ses larbins


    sources :

    http://exploitesenerves.noblogs.org/serie-daffiches-a-commander/


    [ca  2010]

    [s.d.]

    2014

    [ 2014 & ante]

    2011

    2009

    [ 2007 & ante]

    [ 2014 & ante]

    2009

    [ 2014 & ante]

    [ 2007 ?]

    [ 2007 ?]

    [ca  2010]

    2015

    [ 2018 & ante]

    [ca  2008]
    Affiches liées





    [Face à l’État et aux patrons : luttes collectives]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Face à l’État et aux patrons : luttes collectives]. — [S.l.] : Alès : Exploités énervés, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier kraft ) ; 62 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; contrôle social  ; luttes sociales (mouvement social)  ; solidarité
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin façon gravure sur bois (groupe de personnes solidaires face à un bureaucrate assis) ]

    texte :

    Face à l’État et aux patrons : luttes collectives

    Nous sommes tous confrontés au manque d’argent, aux galères de boulots, aux difficultés pour finir le mois.

    Chacun peut résister au quotidien, pour survivre et ne pas trop subir. Mais nous avons aussi besoin de nous rencontrer, d’échanger des infos, de construire des rapports de force collectifs. À plusieurs, il est plus facile de se battre quand un proprio ou un huissier veut nous expulser, quand la CAF ou Pôle Emploi nous coupe les allocs, quand un patron refuse de nous payer ou nous licencie... S’organiser collectivement permet généralement de mieux s’en sortir.

    L’État et le patronat nous divisent pour mieux nous contrôler et nous exploiter. Travailleurs, chômeurs, français et étrangers, hommes et femmes, nous sommes tous dans la même galère. Nous avons tout à gagner à être solidaires dans la lutte contre ce système où la loi du profit nous écrase toutes et tous.

    Contre l’exploitation et les dominations,
    organisons-nous, soyons offensifs


    sources :

    http://exploitesenerves.noblogs.org/serie-daffiches-a-commander/