Tridon, Gustave (1841-1871)
Edme Marie Gustave Tridon.
9 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Au peuple de Paris,
Les délégués de vingt arrondissements de Paris.
Le gouvernement qui, le 4 septembre, s’est chargé de la défense nationale a-t-il rempli sa mission ? – Non !
Nous sommes 500 000 combattants et 200 000 Prussiens nous étreignent ! À qui la responsabilité, sinon à ceux qui nous gouvernent ? Ils n’ont pensé qu’à négocier au lieu de fondre des canons et de fabriquer des armes.
Ils se sont refusés à la levée en masse.
Ils ont laissé en place les bonapartistes et mis en prison les républicains.
Ils ne se sont décidés à agir enfin contre les Prussiens qu’après deux mois, au lendemain du 31 octobre. Par leur lenteur, leur indécision, leur inertie, ils nous ont conduits jusqu’au bord de l’abîme : ils n’ont su ni administrer ni combattre, alors qu’ils avaient sous la main toutes les ressources, les denrées et les hommes.
Ils n’ont pas su comprendre que dans une ville assiégée, tout ce qui soutient la lutte pour sauver la patrie possède un droit égal à recevoir d’elle la subsistance ; ils n’ont rien su prévoir : là où pouvait exister l’abondance, ils ont fait la misère ; on meurt de froid, déjà presque de faim : les femmes souffrent, les enfants languissent et succombent. La direction militaire est plus déplorable encore : sorties sans but ; luttes meurtrières sans résultats ; insuccès répétés, qui pouvaient décourager les plus braves ; Paris bombardé. Le gouvernement a donné sa mesure : il nous tue. Le salut de Paris exige une décision rapide. Le gouvernement ne répond que par la menace aux reproches de l’opinion. Il déclare qu’il maintiendra l’ordre, comme Bonaparte avant Sedan.
Si les hommes de l’Hôtel de Ville ont encore quelque patriotisme, leur devoir est de se retirer, de laisser le peuple de Paris prendre lui-même le soin de sa délivrance. La municipalité ou la Commune, de quelque nom qu’on appelle, est l’unique salut du peuple, son seul recours contre la mort. Toute adjonction, ou immixtion au pouvoir actuel ne serait qu’un replâtrage, perpétuant les mêmes errements, les mêmes désastres. Or la perpétuation de ce régime, c’est la capitulation, et Metz et Rouen nous apprennent que la capitulation n’est pas seulement encore et toujours la famine, mais la ruine et la honte. C’est l’armée et la Garde nationale transportées prisonnières en Allemagne, et défilant dans les villes sous les insultes de l’étranger ; le commerce détruit, l’industrie morte, les contributions de guerre écrasant Paris : voilà ce que nous prépare l’impéritie ou la trahison.
Le grand peuple de 89, qui détruit les Bastilles et renverse les trônes, attendra-t-il dans un désespoir inerte, que le froid et la famine aient glacé dans son cœur, dont l’ennemi compte les battements, sa dernière goutte de sang ? – Non ! La population de Paris ne voudra jamais accepter ces misères et cette honte. Elle sait qu’il en est temps encore, que des mesures décisives permettront aux travailleurs de vivre, à tous de combattre.
Réquisitionnement général, — Rationnement gratuit, Attaque en masse.
La politique, la stratégie, l’administration du 4 septembre, constituées de l’Empire, sont jugées. Place au peuple ! Place à la commune !
Les délégués des vingt arrondissements de Paris
Adoué, Ansel, Antoine Arnaud, J.-F. Arnaud, Edm. Aubert, Babick, Baillet père, A. Baillet, Bedouch, Ch. Beslay, J.-M. Boitard, Bonnard, Casimir Bouis, Louis Bourdon, Abel Bousquet, V. Boyer, Brandely, Gabriel Brideau, L. Caria, Caullet, Chalvet, Champy, Chapitel, Charbonneau, Chardon, Chartini, Eugène Chatelain, A. Chaudet, J.-B. Chautard, Chauvière, Clamouse, Claris A., Clavier, Clémence, Lucien Combatz, Julien Conduche, Delage, Delarue, Demay, P. Denis, Dereux, Dupas, Durins, Duval, Duvivier, R. Estieu, Fabre, F. Félix, Jules Ferré, Th. Ferré, Flotte, Fruneau, C.-J. Garnier, L. Garnier, M. Garreau, Gentilini, L. Genton, Ch. Gérardin, Eug. Gérardin, Gillet, P. Girard, Giroud-Trouillier, J. Gobert, Albert Goullé, Grandjean, Grot, Henry, Fortuné Henry, Hourtoul, Alph. Humbert, Jamet, Johhannard, Michel Joly, Jousset, Jouvard, Lacord, Lafargue, Laffitte, A. Lallement, Lambert, Lange, J. Larmier, Lavorel, Leballeur, F. Lemaître, E. Leverdays, Armand Lévy, Lucipia, Ambroise Lyaz, Pierre Mallet, Malon, Louis Marchand, Marlier, J. Martelet, Constant Martin, Maullion, Léon Melliet, X. Missol, Tony Moilin(docteur), Molleveaux, Montell, J. Montels, Mouton, Myard, Napias-Piquet, Émile Oudet, Parisel, Pérève, H. Piednoir, Pillot (docteur), Pindy, Maurice Portalier, Puget, D.-Th. Régère, Retterer aîné, Aristide Rey, J. Richard, Roselli-Mollet, Édouard Roullier, Benjamin Sachs Sainson, Sallée, Daniel Salvador, Th. Sapia, Schneider, Seray, Sicard, Stordeur, Tardif, Tessereau, Thaller, Theisz, Thiolier, Treillard, Tridon, Urbain, Vaillant Ed., Jules Vallès, Viard, Viellet.[impr. …]
Affiche rouge, signée par les délégués des vingt arrondissements de Paris, — 6 janvier 1871 — proclamation au peuple de Paris pour dénoncer la faillite du gouvernement du 4 septembre.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 128 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 128COMMUNE DE PARIS
La Commune autorise le citoyen G. COURBET, nommé en assemblée générale Président de la Société des Peintres, à rétablir, dans le plus bref délai, les Musées de la Ville de Paris dans leur état normal, d’ouvrir les galeries au public et d’y favoriser le travail qui s’y fait habituellement.
La Commune autorisera à cet effet les quarante-six délégués qui seront nommés demain Jeudi, 13 avril, en séance publique à l’École de médecine (grand amphithéâtre), à deux heures précises.
De plus, elle autorise le citoyen COURBET, ainsi que cette assemblée, à rétablir l’Exposition annuelle aux Champs-Élysées.
Paris, le 12 avril 1871.
La Commission exécutive, AVRIAL, F. COURNET, CH. DELESCLUZE, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, A. VERMOREL, E. VAILLANT.
2 IMPRIMERIE NATIONALE.— Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 265.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 132 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 132COMMUNE DE PARIS
LA COMMUNE DE PARIS,
Vu l’avis du Délégué à la Guerre, qui s’engage à rendre le vote possible à tous les citoyens appelés aux avant-postes pour la défense de leurs droits,
DÉCRÈTE :
ART. 1er. Les élections communales complémentaires auront lieu le dimanche 16 avril.
ART. 2. Le scrutin sera ouvert de 8 heures du matin à 8 heures du soir.
ART. 3. Le dépouillement se fera immédiatement.
Le nombre des Membres à élire est de :
1er arrondissement. 4
2e 4
3e 1
6e 3
7e 1
8e 1
9e 5
12° 2
13e 1
16e 2
17e 2
18e 2
19e 1
20e 1Les municipalités d’arrondissement sont chargées de l’exécution du présent décret.
Paris, le 12 avril 1871.
La Commission exécutive :
AVRIAL, F. COURNET, CH. DELESCLUZE, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, A. VERMOREL, E. VAILLANT.1 IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 268.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 217 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 217COMMUNE DE PARIS
COMMISSION DE LA GUERREAVIS
Il faut en finir avec un abus coûteux pour la Commune. Certains officiers briguent, à l’envi, sabres et galons ; puis, repoussés par leurs hommes, se retirent avec l’équipement et les armes qui ne leur appartiennent plus.
Les chefs de la légion, et, après eux, les chefs de bataillon, sont chargés de faire rentrer au magasin central ce qui est le bien propre des légions et des bataillons.
Paris, le 28 avril 1871.
La Commission de la guerre, ARNOLD, AVRIAL, DELESCLUZE, RANVIER, G. TRIDON.
2 IMPRIMERIE NATIONALE.— Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 368.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 218 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 218COMMUNE DE PARIS
COMMISSION DE LA GUERREAVIS
La Commission de la guerre rappelle à tout chef de légion qu’il est tenu d’envoyer chaque matin, rue Saint-Dominique-Saint-Germain, n° 86, salle du rapport, à 9 heures très-précises, son chef d’état-major, avec une Situation, conforme au modèle adopté par la Commission, de l’effectif, armement, habillement et besoins de ladite légion.Toute demande d’effets ou d’armement qui ne passe pas par la voie du rapport est considérée comme non avenue.
Paris, le 28 avril 1871.
La Commission de la guerre, ARNOLD, AVRIAL, DELESCLUZE, RANVIER, G. TRIDON.
2 IMPRIMERIE NATIONALE.— Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 368.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 54 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 54COMMUNE DE PARIS
À LA GARDE NATIONALE DE PARISLes conspirateurs royalistes ont ATTAQUÉ.
Malgré la modération de notre attitude, ils ont ATTAQUÉ.
Ne pouvant plus compter sur l’armée française, ils ont ATTAQUÉ avec les zouaves pontificaux et la police impériale.
Non contents de couper les correspondances avec la province et de faire de vains efforts pour nous réduire par la famine, ces furieux ont voulu imiter jusqu’au bout les Prussiens et bombarder la capitale.
Ce matin, les chouans de Charette, les Vendéens de Cathelineau, les Bretons de Trochu, flanqués des gendarmes de Valentin, ont couvert de mitraille et d’obus le village inoffensif de Neuilly et engagé la guerre civile avec nos gardes nationaux.
Il y a eu des morts et des blessés.
Élus par la population de Paris, notre devoir est de défendre la grande cité contre ces coupables agresseurs. Avec votre aide, nous la défendrons.
Paris. 2 avril 1871.
La Commission exécutive :
BERGERET, EUDES, DUVAL, LEFRANÇAIS, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, E. VAILLANT.1. IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome I : depuis le 4 septembre 1870 (Paris : Le Chevalier, 1874), p. XXX.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 92 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 92COMMUNE DE PARIS
Citoyens,
Le Journal Officiel de Versailles contient ce qui suit :
« Quelques hommes, reconnus pour appartenir à l’armée et saisis les armes à la main, ont été passés par les armes, suivant la rigueur de la loi militaire qui frappe les soldats combattant leur drapeau. »
Cet horrible aveu n’a pas besoin de commentaires. Chaque mot crie vengeance !
Justice ! Elle ne sera pas attendue ; la violence de nos ennemis prouve leur faiblesse. Ils assassinent ; les républicains combattent : la République vaincra !
Paris, le 7 Avril 1871.
La Commission exécutive :
F. COURNET, CH. DELESCLUZE, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, E. VAILLANT, A. VERMOREL.2. IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. XXX ?.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
République française
N° 176 — liberté - Égalité - Fraternité — N° 176
Commune de Paris
Sur les justes demandes de toute la corporation des ouvriers boulangers,
La Commission exécutive
Arrête :
Art. 1er/ Le travail de nuit est supprimé.
Art. 2. Les placeurs institués par l’ex-police impériale sont supprimés. Cette fonction est remplacée par un registre dans chaque mairie pour l’inscription des ouvriers boulanges. Un registre central sera établi au ministère du Commerce.paris, le 20 avril 1871
Les membres de la Commission exécutive :
Avrial, F. Cournet, Ch. Delescluze, Félix Pyat, G. Tridon, A. Vermorel, E. Vaillant.Imprimerie nationale. — Avril 1871
facsimilé Les Yeux ouverts (Paris) « Quatorze affiches de la Commune de Paris ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
République française
N° 128 — Liberté - Égalité - Fraternité — N° 128
Commune de Paris
La commune autorise le citoyen G. Courbet, nommé en assemblée générale président de la Société des peintres, à rétablir, dans le plus bref délai, les musées de la Ville de paris dans leur état normal, d’ouvrir les galeries au public et d’y favoriser le travail qui s’y fait habituellement.
La commune autorisera à cet effet les quarante-six délégués qui seront nommés demain jeudi, 13 avril, en séance publique, à l’École de médecine (grand amphithéâtre), à deux heures précises.
De plus, elle autorise le citoyen Courbet, ainsi que cette assemblée à rétablir l’exposition annuelle aux Champs-Élysées.
Paris, le 12 avril 1871.
La commission exécutive,
Avrial, F. Cournet, Ch. Delescluze, Félix Pyat, G. Tridon, A. Vermorel, E. Vaillant.Imprimerie nationale — Avril 1871
facsimilé : quatorze affiches de la Commune de Paris éditées par « Les Yeux ouverts »
["Affiche rouge" : Au peuple de Paris, les délégués de vingt arrondissements de Paris]
["Affiche rouge" : Au peuple de Paris, les délégués de vingt arrondissements de Paris]. — Paris : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[N° 128 — Commune de Paris]
[N° 128 — Commune de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1971 |
[N° 132 — Commune de Paris]
[N° 132 — Commune de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 217 - Commune de Paris - Commission de la Guerre]
[N° 217 - Commune de Paris - Commission de la Guerre]. — Paris : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 218 - Commune de Paris - Commission de la Guerre]
[N° 218 - Commune de Paris - Commission de la Guerre]. — Paris : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 54 — Commune de Paris — À la Garde nationale de Paris]
[N° 54 — Commune de Paris — À la Garde nationale de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 92 — Commune de Paris]
[N° 92 — Commune de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Commune de Paris, n° 176 : sur les justes demandes des ouvriers boulangers, La Commission exécutive arrête : ...]
[Commune de Paris, n° 176 : sur les justes demandes des ouvriers boulangers, La Commission exécutive arrête : ...]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 38 × 31 cm.
sources :
[Commune de Paris, n° 28 : la commune autorise le citoyen G. Courbet... à rétablir les Musées...]
[Commune de Paris, n° 28 : la commune autorise le citoyen G. Courbet... à rétablir les Musées...]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 38 × 29 cm.
sources :
![]() 1871 |