Vaillant, Édouard (1840-1915)
Membre du Comité central des vingt arrondissements (1870-1871)
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Au moins 1 ouvrage recensé dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 5 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).
Au moins 7 cartes postales anarchistes parues avec ce nom. Voir sur Cartoliste.
17 affiches :
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Au peuple allemand
À la démocratie socialiste de la nation allemande
Tu ne fais la guerre qu’à l’empereur, et point a la Nation française, a dit et répété ton gouvernement.
L’homme qui a déchaîné cette lutte fratricide, qui n’a pas su mourir, et que tu tiens entre tes mains, n’existe pas pour nous.
La France républicaine t’invite, au nom de la justice, à retirer les armées ; sinon, il nous faudra combattre jusqu’au dernier homme et verser à flots ton sang et le nôtre.
Par la voix de 38 millions d’êtres, animés du même sentiment patriotique et révolutionnaire, nous te répétons ce que nous déclarions à l’Europe coalisée en 1793 :
« Le Peuple français ne fait point la paix avec un ennemi qui occupe son territoire.
» Le Peuple français est l’ami et l’allié de tous les Peuples libres. — Il ne s’immisce point dans le gouvernement des autres nations ; il ne souffre pas que les autres nations s’immiscent dans le sien. »Repasse le Rhin.
Sur les deux rives du fleuve disputé, Allemagne et France, tendons-nous la main. Oublions les crimes militaires que les despotes nous ont fait commettre les uns contre les autres.
Proclamons : la Liberté, l’Égalité, la Fraternité des Peuples.
Par notre alliance, fondons les États-Unis d’Europe.
Vive la république universelle !
Démocrates socialistes d’Allemagne, qui, avant la déclaration de guerre, avez protesté, comme nous, en faveur de la paix, les démocrates socialistes de France sont sûrs que vous travaillerez avec eux à l’extinction des haines internationales, au désarmement général et à l’harmonie économique.
Au nom des Sociétés ouvrières et des Sections françaises de l’Association internationale des Travailleurs.
Ch. Beslay, - Briosne, — Bachruch, — Camélinat, — Ch.-L. Chassin, — Chemalé, — Dupas, — Hervé, — Landeck, — Leverdays, — Longuet, — Marchand, - Perrachon, — Tolain, — Vaillant.Paris, Imp. Balitout, Questroy et Ce, 7, rue Baillif.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome 1 : depuis le 4 septembre 1870 (Paris : Le Chevalier, 1875), p. 6.
Affiche datée du 4 septembre 1870 (« Appel au peuple allemand » par les sections parisiennes de l’Internationale et par la Chambre fédérale des sociétés ouvrières).
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République française
Liberté, Égalité, FraternitéComité central républicain de défense nationale des vingt arrondissements de Paris
Citoyens,
Le 5 septembre, dès le lendemain de la proclamation de la République, un grand nombre de citoyens proposaient la constitution d’un Comité central républicain, émanant des vingt arrondissements de Paris et ayant pour but de pourvoir au salut de la patrie, ainsi qu’à la fondation définitive d’un régime véritablement républicain par le concours permanent de l’initiative individuelle et la solidarité populaire.
Depuis ce jour, les réunions publiques ont élu leurs Comités de défense et de vigilance dans chaque arrondissement.
Aussitôt que les arrondissements se sont trouvés représentés en
[…]
[…]tionale les mesures suivantes, acclamées dans les réunions populaires :1° — Mesures de sécurité publique
Supprimer la police telle qu’elle était constituée, sous tous les gouvernements monarchiques, pour asservir les citoyens et non pour les défendre ;
La remettre tout entière entre les mains des municipalités élues ;
Nommer par quartier, dans les grandes villes, les magistrats chargés de veiller à la sécurité publique sous leur responsabilité personnelle et directe ;
Dissoudre tous les corps spéciaux de l’ancienne police centralisée, tels que sergents de ville, agents dits de la sûreté publique, gardes de Paris ;
Confier à la garde nationale, composée de la totalité des électeurs, et en particulier à des vétérans pris dans son sein, la mission d’assister les nouveaux magistrats de la police municipale dans l’exercice de leurs fonctions ;
Appliquer aux magistratures de tous ordres les deux principes de l’élection et de la responsabilité ;
Abroger toutes les lois restrictives, répressives et fiscales contre le droit d’écrire, de se réunir et de s’associer.
2° — Subsistances et logements
Exproprier, pour cause d’utilité publique, toute denrée alimentaire ou de première nécessité actuellement emmagasinée clans Paris, chez les marchands en gros et de détail, en garantissant à ceux-ci le paiement de ces denrées après la guerre au moyen d’une reconnaissance des marchandises expropriées et cotées au prix de facture ;
Élire dans chaque rue ou au moins dans chaque quartier une commission chargée d’inventorier les objets de consommation et d’en déclarer les détenteurs actuels personnellement responsables envers l’administration municipale ;
Répartir les approvisionnements classés par nature entre tous les habitants de Paris au moyen de bons qui leur seront périodiquement délivrés dans chaque arrondissement au prorata : 1° du nombre de personnes composant la famille de chaque citoyen ; 2° de la quantité de produits consommables constatés par les commissions ci-dessus désignées ; 3° de la durée probable du siège.
Les municipalités devront encore assurer à tout citoyen et à sa famille logement qui leur est indispensable.
3° — Défense de Paris
Faire élire immédiatement par la garde mobile tous les chefs qui la doivent conduire au feu, ceux qui la commandent actuellement lui ayant été imposés jusqu’à ce jour ;
Rallier au plus vite les éléments épars de cette héroïque armée, que la trahison de ses chefs a laissé écraser ou dissoudre et qui, organisée pour asservir le pays, n’a pas suffi pour le défendre ;
Délivrer au plus vite à tous les citoyens des armes à longue portée et leur distribuer en même temps la quantité de cartouches et de munitions de guerre suffisante pour qu’ils soient en mesure de repousser toute attaque éventuelle ;
Préparer par les soins des vingt comités d’arrondissement les moyens matériels et l’organisation du personnel nécessaire à la défense spéciale de chaque quartier ;
Affecter aux divers services de la défense tous les locaux libres, tels
[…]
quelconque, ne seraient point
[…]tionaux ;Établir un contrôle populaire de toutes les mesures prises pour la défense ;
Préparer dés maintenant les postes de défense intérieure, les communications secrètes et tous les engins de destruction susceptibles d’être employés contre l’ennemi, même par les femmes et par les enfants, Paris républicain étant résolu, plutôt que de se rendre, à s’ensevelir sous ses ruines.
4° — Défense des départements
Décréter la levée en masse de tous les Français sans exception, et la réquisition générale de tout ce qui peut servir à la défense ;
Appuyer toute organisation résultant de l’initiative populaire et ayant pour but de contribuer au salut de la République ;
Commissionner des délégués généraux pour la défense nationale, chargés de se concerter avec les républicains des départements, afin de stimuler le zèle patriotique des populations, combattre les manœuvres réactionnaires, prévenir la trahison, précipiter la marche des volontaires au secours de Paris, et, au besoin, de se faire tuer à leur tête.
En présentant ces mesures d’urgence, les soussignés sont convaincus que le Gouvernement de la défense nationale se hâtera de les transformer en décrets pour le salut de la patrie et de la République.
Pour le Comité républicain et par délégation des Comités d’arrondissement :
Les membres présents à la réunion du, 13 au 14 septembre,
G. CASSE. — CH.-L. CHASSIN. — F. CHATÉ. — CHAUSSE. — COUSIN. — G. CLUSERET. — DEMAY. — CH. DUMONT. — A. DUPONT. — N. GAILLARD. — G. GENTON. — H. HERNU. — J. JOHANNARD.— KERN.— LANJALLEY.— LEFRANÇAIS. — LEVERDAYS.— LONGUET. — LONGAT. —P.-A. LUTZ. — A. LECOT. — E. LÉGER. — G. MALLET. — MAINIER. — MARCHAND. — MILLIERS. — MARCHAL. — MALON. — F. MANGOLD. — MYARD. — G. MOLLIN. — E. OUDET. — M. PORTALIER. — J. PÉRIN : —PAGNERRE. — PHILIP.— PILLION.— PINDY.— RANVIER. — E. ROY.— E. ROULLIER. — THÉLIDON. —THONNELIER. — TOUSSAINT.—E. VAILLANT. — J. VALLÈS.— VERTUT.— M. WOOG.
12013. — Paris, Typ. Alcan-Lévy, rue Lafayette, 61, et passage des Deux-Sœurs.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome I : depuis le 4 septembre 1870 (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 90.
Affiche parue le 14 (ou le 15) septembre 1870.
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Au peuple de Paris,
Les délégués de vingt arrondissements de Paris.
Le gouvernement qui, le 4 septembre, s’est chargé de la défense nationale a-t-il rempli sa mission ? – Non !
Nous sommes 500 000 combattants et 200 000 Prussiens nous étreignent ! À qui la responsabilité, sinon à ceux qui nous gouvernent ? Ils n’ont pensé qu’à négocier au lieu de fondre des canons et de fabriquer des armes.
Ils se sont refusés à la levée en masse.
Ils ont laissé en place les bonapartistes et mis en prison les républicains.
Ils ne se sont décidés à agir enfin contre les Prussiens qu’après deux mois, au lendemain du 31 octobre. Par leur lenteur, leur indécision, leur inertie, ils nous ont conduits jusqu’au bord de l’abîme : ils n’ont su ni administrer ni combattre, alors qu’ils avaient sous la main toutes les ressources, les denrées et les hommes.
Ils n’ont pas su comprendre que dans une ville assiégée, tout ce qui soutient la lutte pour sauver la patrie possède un droit égal à recevoir d’elle la subsistance ; ils n’ont rien su prévoir : là où pouvait exister l’abondance, ils ont fait la misère ; on meurt de froid, déjà presque de faim : les femmes souffrent, les enfants languissent et succombent. La direction militaire est plus déplorable encore : sorties sans but ; luttes meurtrières sans résultats ; insuccès répétés, qui pouvaient décourager les plus braves ; Paris bombardé. Le gouvernement a donné sa mesure : il nous tue. Le salut de Paris exige une décision rapide. Le gouvernement ne répond que par la menace aux reproches de l’opinion. Il déclare qu’il maintiendra l’ordre, comme Bonaparte avant Sedan.
Si les hommes de l’Hôtel de Ville ont encore quelque patriotisme, leur devoir est de se retirer, de laisser le peuple de Paris prendre lui-même le soin de sa délivrance. La municipalité ou la Commune, de quelque nom qu’on appelle, est l’unique salut du peuple, son seul recours contre la mort. Toute adjonction, ou immixtion au pouvoir actuel ne serait qu’un replâtrage, perpétuant les mêmes errements, les mêmes désastres. Or la perpétuation de ce régime, c’est la capitulation, et Metz et Rouen nous apprennent que la capitulation n’est pas seulement encore et toujours la famine, mais la ruine et la honte. C’est l’armée et la Garde nationale transportées prisonnières en Allemagne, et défilant dans les villes sous les insultes de l’étranger ; le commerce détruit, l’industrie morte, les contributions de guerre écrasant Paris : voilà ce que nous prépare l’impéritie ou la trahison.
Le grand peuple de 89, qui détruit les Bastilles et renverse les trônes, attendra-t-il dans un désespoir inerte, que le froid et la famine aient glacé dans son cœur, dont l’ennemi compte les battements, sa dernière goutte de sang ? – Non ! La population de Paris ne voudra jamais accepter ces misères et cette honte. Elle sait qu’il en est temps encore, que des mesures décisives permettront aux travailleurs de vivre, à tous de combattre.
Réquisitionnement général, — Rationnement gratuit, Attaque en masse.
La politique, la stratégie, l’administration du 4 septembre, constituées de l’Empire, sont jugées. Place au peuple ! Place à la commune !
Les délégués des vingt arrondissements de Paris
Adoué, Ansel, Antoine Arnaud, J.-F. Arnaud, Edm. Aubert, Babick, Baillet père, A. Baillet, Bedouch, Ch. Beslay, J.-M. Boitard, Bonnard, Casimir Bouis, Louis Bourdon, Abel Bousquet, V. Boyer, Brandely, Gabriel Brideau, L. Caria, Caullet, Chalvet, Champy, Chapitel, Charbonneau, Chardon, Chartini, Eugène Chatelain, A. Chaudet, J.-B. Chautard, Chauvière, Clamouse, Claris A., Clavier, Clémence, Lucien Combatz, Julien Conduche, Delage, Delarue, Demay, P. Denis, Dereux, Dupas, Durins, Duval, Duvivier, R. Estieu, Fabre, F. Félix, Jules Ferré, Th. Ferré, Flotte, Fruneau, C.-J. Garnier, L. Garnier, M. Garreau, Gentilini, L. Genton, Ch. Gérardin, Eug. Gérardin, Gillet, P. Girard, Giroud-Trouillier, J. Gobert, Albert Goullé, Grandjean, Grot, Henry, Fortuné Henry, Hourtoul, Alph. Humbert, Jamet, Johhannard, Michel Joly, Jousset, Jouvard, Lacord, Lafargue, Laffitte, A. Lallement, Lambert, Lange, J. Larmier, Lavorel, Leballeur, F. Lemaître, E. Leverdays, Armand Lévy, Lucipia, Ambroise Lyaz, Pierre Mallet, Malon, Louis Marchand, Marlier, J. Martelet, Constant Martin, Maullion, Léon Melliet, X. Missol, Tony Moilin(docteur), Molleveaux, Montell, J. Montels, Mouton, Myard, Napias-Piquet, Émile Oudet, Parisel, Pérève, H. Piednoir, Pillot (docteur), Pindy, Maurice Portalier, Puget, D.-Th. Régère, Retterer aîné, Aristide Rey, J. Richard, Roselli-Mollet, Édouard Roullier, Benjamin Sachs Sainson, Sallée, Daniel Salvador, Th. Sapia, Schneider, Seray, Sicard, Stordeur, Tardif, Tessereau, Thaller, Theisz, Thiolier, Treillard, Tridon, Urbain, Vaillant Ed., Jules Vallès, Viard, Viellet.[impr. …]
Affiche rouge, signée par les délégués des vingt arrondissements de Paris, — 6 janvier 1871 — proclamation au peuple de Paris pour dénoncer la faillite du gouvernement du 4 septembre.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉCOMMUNE DE PARIS
8ème ARRONDISSEMENTLe Comité de vigilance du 8e Arrondissement, en vertu des pouvoirs qui lui ont été conférés par le Comité de Salut public,
ARRÊTE :
l° Un nouveau délai de 48 heures est accordé, à partir du 16 courant, pour rapporter les armes des absents.2° Les propriétaires, gérants ou régisseurs, et les concierges, en sont avertis.
3° Des perquisitions régulières seront faites passé ce délai et des poursuites commencées contre les contrevenants.
Paris, le 15 Mai 1871.
Pour le Comité de vigilance, et par délégation, BOURLET, G. PIQUET, SCHMIDT.
Vu et approuvé :
Les Membres de la Commune, E. VAILLANT, RAOUL RIGAULT.PARIS — 9141 imprimerie JOUAUST, rue Saint Honoré, 338.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 516.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉCOMMUNE DE PARIS
8me ARRONDISSEMENTLe Comité de vigilance du 8e Arrondissement, en vertu des pouvoirs qui lui ont été conférés par le Comité de salut public ;
Considérant qu’il est d’intérêt public d’ordonner et de faire immédiatement procéder au recensement exact de l’Arrondissement, tant au point de vue de l’état civil qu’au point de vue militaire,
ARRÊTE :
ART. 1er. — La Commission déléguée au recensement du 8me Arrondissement fera immédiatement dresser des listes contenant toutes les indications générales et particulières avec l’aide d’agents recenseurs civils et militaires délégués par elle à cet effet.
ART. 2. — Les agents recenseurs, aides du concours de la Garde nationale sédentaire, commandée en cette occasion, procéderont de suite à l’accomplissement de cette tâche, tous les jours à partir de huit heures du malin jusqu’à huit heures du soir, et jusqu’à solution complète et définitive.
ART. 5.— Les propriétaires, locataires, concierges ou régisseurs, qui recevront des bulletins imprimés émanant du 8me Arrondissement devront, dans les vingt-quatre heures, les remplir et les remettre ou adresser à la Commission du recensement du 8e Arrondissement, revêtus de la date et de leurs signatures.
ART. 4. — Pénalité sera requise contre tout citoyen ou citoyenne qui apportera une entrave quelconque aux opérations ordonnées, ou donnera aux agents commissionnés des renseignements erronés ou incomplets.
Paris, le 14 Mai 1871.
Vu et approuvé : Pour le Comité de Vigilance, E. VAILLANT, RAOUL RIGAULT.
Les Membres de la Commune, et par délégation, BAUCHE, BRESSLER, BIGOT.
9138 — Paris, Imprimerie Jouaust, rue St-Honoré, 338
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 504.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉCOMMUNE DE PARIS. — 8e ARRONDISSEMENT
Le Comité de vigilance du 8e Arrondissement, en vertu des pouvoirs qui lui ont été conférés par le Comité de salut public, porte à la connaissance de l’Arrondissement le Décret de la Commune suivant :
LA COMMUNE DE PARIS,
Ayant adopté les veuves et les enfants de tous les citoyens morts pour la défense des droits du peuple,DÉCRÈTE :
Art. 1er. — Une pension de 600 fr. sera accordée à la femme du Garde national tué pour la défense des droits du peuple, après enquête qui établira ses droits et ses besoins.Art. 2. — Chacun des enfants, reconnus ou non, recevra, jusqu’à l’âge de dix-huit ans, une pension annuelle de trois cent soixante-cinq francs, payables par douzièmes.
Art. 3. — Dans le cas où les enfants seraient déjà privés de leur mère, ils seront élevés aux frais de la Commune, qui leur fera donner l’éducation intégrale nécessaire pour être en mesure de se suffire dans la société.
Art. 4. — Les ascendants, père, mère, frères et sœurs de tout citoyen mort pour la défense des droits de Paris, et qui prouveront que le défunt était pour eux un soutien nécessaire, pourront être admis à recevoir une pension proportionnelle à leurs besoins dans les limites de 100 à 800 francs par personne. .
Art. 5. — Toute enquête nécessitée par l’application des articles ci-dessus sera faite par une Commission spéciale composée de 6 membres délégués à cet effet dans chaque arrondissement, et présidée.par un membre de la Commune appartenant à l’arrondissement.
Art. 6. — Un comité, composé de trois membres de la Commune, centralisera les résultats produits par l’enquête et statuera en dernier ressort.
Paris, le 10 avril 1871. ’En conformité de l’article 5, les citoyens BOUCHER, BONRAISIN, POULAIN, PRUD’HOMME, RICHARD, VOIGNIER, sont nommés membres de la Commission d’enquête.
Cette Commission se réunira sous la présidence d’un membre de la Commune de l’arrondissement.Paris, le 12 mai 1871.
Lu et approuvé :
Les Membres de la Commune, RAOUL BIGAULT, ED. VAILLANT.
Pour le Comité de Vigilance et par délégation, BOURLET, PIQUET, SCHMIDT
9136—Paris, imprimerie Jouaust, rue Saint-Honoré 338.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 490.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉCOMMUNE DE PARIS
8e ARRONDISSEMENTLe Comité de Vigilance du 8e Arrondissement, en vertu des pouvoirs qui lui ont été conférés par le Comité de Salut Public,
ARRÊTE :
Les Propriétaires ou Gérants et les Concierges sont requis d’avoir, dans les quarante-huit heures, à rapporter au Bureau d’armement de l’arrondissement, rue d’Anjou-Saint-Honoré, 11, les armes des Citoyens de la Garde nationale qui se sont soustraits par la fuite à l’accomplissement de leur devoir.
En n’exécutant pas cet Arrêté ils s’exposeraient à être poursuivis.
Le chef de Légion et le Bureau militaire sont chargés de l’exécution du présent Arrêté.
Paris, le 11 Mai 1871.
Pour le Comité de Vigilance et par délégation :
BOURLET, G. PIQUET, SCHMIDT.VU ET APPROUVÉ :
Les Membres de la Commune, Raoul RIGAULT, E. VAILLANT.
Tous renseignements seront donnés au Bureau de l’État-Major de a Légion et au Bureau militaire.
Paris. imprimerie Paul Dupont.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 492.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 128 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 128COMMUNE DE PARIS
La Commune autorise le citoyen G. COURBET, nommé en assemblée générale Président de la Société des Peintres, à rétablir, dans le plus bref délai, les Musées de la Ville de Paris dans leur état normal, d’ouvrir les galeries au public et d’y favoriser le travail qui s’y fait habituellement.
La Commune autorisera à cet effet les quarante-six délégués qui seront nommés demain Jeudi, 13 avril, en séance publique à l’École de médecine (grand amphithéâtre), à deux heures précises.
De plus, elle autorise le citoyen COURBET, ainsi que cette assemblée, à rétablir l’Exposition annuelle aux Champs-Élysées.
Paris, le 12 avril 1871.
La Commission exécutive, AVRIAL, F. COURNET, CH. DELESCLUZE, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, A. VERMOREL, E. VAILLANT.
2 IMPRIMERIE NATIONALE.— Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 265.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 132 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 132COMMUNE DE PARIS
LA COMMUNE DE PARIS,
Vu l’avis du Délégué à la Guerre, qui s’engage à rendre le vote possible à tous les citoyens appelés aux avant-postes pour la défense de leurs droits,
DÉCRÈTE :
ART. 1er. Les élections communales complémentaires auront lieu le dimanche 16 avril.
ART. 2. Le scrutin sera ouvert de 8 heures du matin à 8 heures du soir.
ART. 3. Le dépouillement se fera immédiatement.
Le nombre des Membres à élire est de :
1er arrondissement. 4
2e 4
3e 1
6e 3
7e 1
8e 1
9e 5
12° 2
13e 1
16e 2
17e 2
18e 2
19e 1
20e 1Les municipalités d’arrondissement sont chargées de l’exécution du présent décret.
Paris, le 12 avril 1871.
La Commission exécutive :
AVRIAL, F. COURNET, CH. DELESCLUZE, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, A. VERMOREL, E. VAILLANT.1 IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 268.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 213 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 213
LA COMMISSION EXÉCUTIVE,
Considérant que certaines administrations ont mis en usage le système des amendes ou des retenues sur les appointements et sur les salaires ;
Que ces amendes sont infligées souvent sous les plus futiles prétextes et constituent une perte réelle pour l’employé et l’ouvrier ;
Qu’en droit, rien n’autorise ces prélèvements arbitraires et vexatoires ;
Qu’en fait, les amendes déguisent une diminution de salaire et profilent aux intérêts de ceux qui l’imposent ;
Qu’aucune justice régulière ne préside à ces sortes de punitions, aussi immorales au fond que dans la forme ;
Sur la proposition de la Commission du travail, de l’industrie et de l’échange,
ARRÊTE :
ARTICLE PREMIER. Aucune administration privée ou publique ne pourra imposer des amendes ou des retenues aux employés, aux ouvriers, dont les appointements, convenus d’à van ce, doivent être intégralement soldés.
ART. 2. Toute infraction à cette disposition sera déférée aux tribunaux.
ART. 3. Toutes les amendes et retenues infligées depuis le 18 Mars, sous prétexte de punition, devront être restituées aux ayants droit dans un délai de 15 jours, à partir de la promulgation du présent décret.
Paris, le 27 avril 1871.
La Commission exécutive,
JULES ANDRIEU, CLUSERET, LÉO FRANKEL, PASCHAL GROUSSET, JOURDE, PROTOT, VAILLANT, VIARD.
1 IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 365.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 222 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 222COMMUNE DE PARIS
LA COMMISSION EXÉCUTIVE,En exécution du décret relatif au travail de nuit dans les boulangeries,
ARRETE :
ART. 1er. Le travail de nuit est interdit dans les boulangeries, à partir du Mercredi 3 mai.
ART. 2. Le travail ne pourra commencer avant 5 heures du matin.
ART. 3. Le Délégué aux services publics est chargé de l’exécution du présent arrêté.
Paris, le 28 avril 1871.
La Commission exécutive : JULES ANDRIEU, CLUSERET, COURNET, LÉO FRANKEL, PASCHAL GROUSSET, JOURDE, PROTOT, VAILLANT, VIARD.
2 IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 376.
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- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 230 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 230COMMUNE DE PARIS
LA COMMISSION EXÉCUTIVEARRÊTE :
Le Citoyen ROSSEL est chargé, à titre provisoire, des fonctions de Délégué à la guerre.
Paris, 30 Avril 1871.
La Commission exécutive : JULES ANDRIEU, PASCHAL GROUSSET, E. VAILLANT, F. COURNET, JOURDE, LÉO FRANKEL, VIARD, PROTOT.
2 IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 393.
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- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 306 LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ N° 306
COMMUNE DE PARIS
DÉLÉGATION
L’ENSEIGNEMENT
L’École de dessin de la rue Dupuytren sera immédiatement rouverte comme :
ÉCOLE PROFESSIONNELLE D’ART INDUSTRIEL
POUR JEUNES FILLES
On y enseignera le dessin, le modelage, la sculpture sur bois, sur ivoire, et, en général, les applications de l’art du dessin à l’industrie.
Des cours destinés à compléter l’instruction scientifique et littéraire des élèves seront tenus concurremment avec ces cours pratiques.
Les élèves désireuses de suivre les cours de cette École devront s’y faire inscrire le plus tôt possible.
Paris, le 12 mai 1871.
Le Membre de la Commune délégué à l’Enseignement,
ED. VAILLANT.IMPRIMERIE NATIONALE. — Mai 1871.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874. 688 p.), p. 486.
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[ texte ]
- texte :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 382 LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ N° 382
COMMUNE DE PARIS
DÉLÉGATION À L’ENSEIGNEMENT
Les jeunes gens inscrits déjà pour l’École professionnelle de la rue Lhomond sont invites à s’y présenter tous les jours, à partir de lundi matin, 22 mai courant.
Le même avis s’adresse aux jeunes gens non encore inscrits et qui veulent se faire inscrire.
Les ouvriers qui désirent être maîtres d’apprentissage à l’École sont invités à adresser leurs demandes à la Délégation du Travail et de l’Échange (section des Chambres syndicales).
Paris, le 21 mai 1871.
La Commission de l’organisation de l’Enseignement, ANDRÉ, DACOSTA, MANIER, RAMA, SANGLIER.
APPROUVÉ :
Le Membre de la Commune délégué à l’Enseignement, Ed. VAILLANT.IMPRIMERIE NATIONALE. — Mai 1871.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 553.
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
N° 54 — LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — N° 54COMMUNE DE PARIS
À LA GARDE NATIONALE DE PARISLes conspirateurs royalistes ont ATTAQUÉ.
Malgré la modération de notre attitude, ils ont ATTAQUÉ.
Ne pouvant plus compter sur l’armée française, ils ont ATTAQUÉ avec les zouaves pontificaux et la police impériale.
Non contents de couper les correspondances avec la province et de faire de vains efforts pour nous réduire par la famine, ces furieux ont voulu imiter jusqu’au bout les Prussiens et bombarder la capitale.
Ce matin, les chouans de Charette, les Vendéens de Cathelineau, les Bretons de Trochu, flanqués des gendarmes de Valentin, ont couvert de mitraille et d’obus le village inoffensif de Neuilly et engagé la guerre civile avec nos gardes nationaux.
Il y a eu des morts et des blessés.
Élus par la population de Paris, notre devoir est de défendre la grande cité contre ces coupables agresseurs. Avec votre aide, nous la défendrons.
Paris. 2 avril 1871.
La Commission exécutive :
BERGERET, EUDES, DUVAL, LEFRANÇAIS, FÉLIX PYAT, G. TRIDON, E. VAILLANT.1. IMPRIMERIE NATIONALE. — Avril 1871.
Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome I : depuis le 4 septembre 1870 (Paris : Le Chevalier, 1874), p. XXX.
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République française
N° 176 — liberté - Égalité - Fraternité — N° 176
Commune de Paris
Sur les justes demandes de toute la corporation des ouvriers boulangers,
La Commission exécutive
Arrête :
Art. 1er/ Le travail de nuit est supprimé.
Art. 2. Les placeurs institués par l’ex-police impériale sont supprimés. Cette fonction est remplacée par un registre dans chaque mairie pour l’inscription des ouvriers boulanges. Un registre central sera établi au ministère du Commerce.paris, le 20 avril 1871
Les membres de la Commission exécutive :
Avrial, F. Cournet, Ch. Delescluze, Félix Pyat, G. Tridon, A. Vermorel, E. Vaillant.Imprimerie nationale. — Avril 1871
facsimilé Les Yeux ouverts (Paris) « Quatorze affiches de la Commune de Paris ».
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République française
N° 128 — Liberté - Égalité - Fraternité — N° 128
Commune de Paris
La commune autorise le citoyen G. Courbet, nommé en assemblée générale président de la Société des peintres, à rétablir, dans le plus bref délai, les musées de la Ville de paris dans leur état normal, d’ouvrir les galeries au public et d’y favoriser le travail qui s’y fait habituellement.
La commune autorisera à cet effet les quarante-six délégués qui seront nommés demain jeudi, 13 avril, en séance publique, à l’École de médecine (grand amphithéâtre), à deux heures précises.
De plus, elle autorise le citoyen Courbet, ainsi que cette assemblée à rétablir l’exposition annuelle aux Champs-Élysées.
Paris, le 12 avril 1871.
La commission exécutive,
Avrial, F. Cournet, Ch. Delescluze, Félix Pyat, G. Tridon, A. Vermorel, E. Vaillant.Imprimerie nationale — Avril 1871
facsimilé : quatorze affiches de la Commune de Paris éditées par « Les Yeux ouverts »
[Au peuple allemand, à la démocratie socialiste de la nation allemande]
[Au peuple allemand, à la démocratie socialiste de la nation allemande]. — Paris : AIT_ (Association internationale des travailleurs : 1864-1878), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Comité central républicain de défense nationale des vingt arrondissements de Paris]
[Comité central républicain de défense nationale des vingt arrondissements de Paris]. — Paris : Comité central républicain de défense nationale des vingt arrondissements de Paris (1870-1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rose ) ; x × y cm.
sources :
["Affiche rouge" : Au peuple de Paris, les délégués de vingt arrondissements de Paris]
["Affiche rouge" : Au peuple de Paris, les délégués de vingt arrondissements de Paris]. — Paris : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]. — Paris : Comité de salut public (1871) : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]. — Paris : Comité de salut public (1871) : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]. — Paris : Comité de salut public (1871) : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]
[Commune de Paris, 8e Arrondissement]. — Paris : Comité de salut public (1871) : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 128 — Commune de Paris]
[N° 128 — Commune de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
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[N° 132 — Commune de Paris]
[N° 132 — Commune de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 213 - Commune de Paris - La Commission exécutive]
[N° 213 - Commune de Paris - La Commission exécutive]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 222 - Commune de Paris - La Commission exécutive]
[N° 222 - Commune de Paris - La Commission exécutive]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 230 - Commune de Paris - La Commission exécutive]
[N° 230 - Commune de Paris - La Commission exécutive]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 306 - Commune de Paris - Délégation à l’enseignement]
[N° 306 - Commune de Paris - Délégation à l’enseignement]. — Paris : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 382 - Commune de Paris - Délégation de l’Enseignement]
[N° 382 - Commune de Paris - Délégation de l’Enseignement]. — Paris : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[N° 54 — Commune de Paris — À la Garde nationale de Paris]
[N° 54 — Commune de Paris — À la Garde nationale de Paris]. — Paris : Commission exécutive (1871) : Commune de Paris (1871), (Imprimerie nationale [Paris : 1871]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Commune de Paris, n° 176 : sur les justes demandes des ouvriers boulangers, La Commission exécutive arrête : ...]
[Commune de Paris, n° 176 : sur les justes demandes des ouvriers boulangers, La Commission exécutive arrête : ...]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 38 × 31 cm.
sources :
[Commune de Paris, n° 28 : la commune autorise le citoyen G. Courbet... à rétablir les Musées...]
[Commune de Paris, n° 28 : la commune autorise le citoyen G. Courbet... à rétablir les Musées...]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 38 × 29 cm.
sources :
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