français
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536 affiches :
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texte
dessin (personnage féminin masqué de manga, couteau à la main)
- texte :
Enfermer toujours plus… ?
…VOILÀ L’AMBITION À PEINE VOILÉE DE CELLES ET CEUX QUI ADMINISTRENT NOS VIES au quotidien, sous le nom sordide de démocratie : une société régie par l’exploitation, la compétition, la misère et l’enfermement.
Entre 2022 et 2027, ce sont 8 000 nouvelles places de prison sur 15 000 programmées qui verront le jour, en parallèle d’un élargissement des peines alternatives supposé “libérer” 8 000 places supplémentaires.
LE PLAN FAIT RÊVER : des prisons usines pour garantir le business de la punition, des taules de haute sécurité pour isoler récalcitrant.e.s et “radicalisé.e.s”, des structures d’accompagnement vers la sortie (SAS, 2 000 places en plus), pour les courtes et fins de peines, accessibles uniquement aux plus méritant.e.s qui seront des petites structures où encadrement renforcé et intégration obligée seront de mise.
POUR CELA, L’ÉTAT NOUS PRÉPARE SA RECETTE PRÉFÉRÉE : une tambouille écœurante façon “bien-être des détenu.e.s”, tellement servie par le passé qu’on ne comprend plus qui pourrait encore la bouffer.
N’AVALONS PAS LE MORCEAU, une cage dorée sera toujours une cage, même lorsque l’adjectif semble fort mal approprié quand on observe que prison “moderne” et “humaine” rime souvent avec sécurisation renforcée pour empêcher les révoltes, isolement, complication des petites débrouilles et entraides entre prisonnier.e.s…
Quant aux peines soi-disant alternatives, elles ne sont rien d’autre qu’un agrandissement de l’emprise du monde carcéral, où les murs de sa propre maison se confondent avec ceux d’une cellule aseptisée.
LA TAULE NE SERA JAMAIS VIVABLE, tout bonnement car elle n’est que contrôle, soumission, et domination. Et ces choses là ne sont pas à reproduire, mais à détruire.
AU-DELÀ DES MURS ET DES BARREAUX, la prison existe comme bastion de défense de la propriété privée, des riches et des lois. C’est une menace bien réelle pour nous faire plier la tête et marcher droit. En dehors des 4 murs de la prison, c’est l’ensemble d’une société où l’on est dressé dès l’enfance à fermer sa gueule, à respecter l’autorité et le pouvoir sous toutes ses formes. Du voisin qui te dénonce aux contrôleurs CAF qui te suppriment tes aides, le contrôle est partout pour te rappeler que tu n’es pas libre.
LUTTER CONTRE LA TAULE, C’EST AUSSI s’en prendre à l’ensemble des collabos de cette machine à broyer des vies : architectes, ingénieurs, assistants sociaux, responsables politiques, matons, entreprises de bâtiments, firmes qui exploitent les prisonnier.e.s dans les ateliers, boîtes qui délivrent la bouffe, associations/boites qui prennent des gens en TIG… S’attaquer à ces connards, c’est déjà les confronter à leur responsabilité, mais aussi se battre pour la liberté, contre l’idée d’un monde qui a besoin d’enfermer pour exister.
D’AILLEURS, UN PEU PARTOUT EN FRANCE, il arrive que des véhicules de matons soient incendiés, des entreprises collabos attaquées, des caméras sabotées… chaque fois, c’est une bouffée d’oxygène reprise face à l’asphyxie du monde carcéral.
Des tracts au sabotage en passant par manifs et parloirs sauvages, que notre rage se propage !
… attaquer toujours plus !!
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texte
logo : chat noir cerclé « CNT »
- texte :
Fête du combat syndicaliste
Face au Medef, osons lutter, osons vaincre ! Tous à Montreuil le premier week-end de février !!!
Programme
samedi 1er février
★10 h 30★ Ouverture des portes.
★11 h★ Projection : “Les Dockers de Liverpool” de Ken Loach.
★12 h★ Projection : “Don’t clean up the blood”. Film sur le contre-sommet de Gênes.
★13 h★ Buffet et musique, avec Riton la Manivelle
★14 h★ Projection du film “Danger-Travail” suivi d’un débat avec intervenants extérieurs.
★16 h★ Débat : Quel syndicalisme aujourd’hui contre la précarité.
★18 h★ Débat : La criminalisation du mouvement social.
★20 h★ Soirée musicale avec Brixton Cats, Ya Basta (ska) et Brigada Flores Magón.dimanche 2 février 2003
★10 h 30★ Ouverture des portes.
★11 h★ Projection de “Martin Nadaud”, un film de Pierre Saunier et de “Gabriel, Sylvain, Amédée et autres migrants de la Creuse”, film de Catherine Varoqui et Jacques Mainou. Projection suivie d’un débat avec le SUB : Quelle évolution du bâtiment et du syndicalisme dans le bâtiment depuis Martin Nadaud ?
★13 h★ Buffet et chorale La Canaille.
★13 h 30★ Débat : impérialisme et Résistances. Avec le secrétariat International de la CNT.
★15 h★ Représentation théâtrale avec la Compagnie Jolie Môme. La Crosse en l’air de Jacques Prévert.
★16 h 30★ Intervention publique de la CNT.
★17 h★ Chanson, avec Serge Utge-Royo.
★18 h★ Fred Alpi (rock).Nombreuses tables de presse. Exposition sur la Commune de Paris, sur le journal Le Combat syndicaliste, etc.
à La Parole errante - 9, rue François Debergue, 93100 Montreuil
(métro Croix de Chavaux, ligne 9) Participation aux frais : 7 euros la journée ou 10 euros pour tout le week-end.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
vignettes (chat cerclé ; yeux dans le noir)
- texte :
Face au MEDEF : Osons lutter ! Osons vaincre !
La Fête du Combat syndicaliste
Samedi 1er février :
10 h 30 : Ouverture des portes.
11 h : Projection : « Les Dockers de Liverpool » de Ken Loach.
12 h : Projection : « Don(t clean up the blood ». Film sur le contre-sommet de Gênes.
13 h : Buffet et musique, avec Riton la Manivelle.
14 h : Projection du film « Danger-Travail » suivi d’un débat avec Yves Pagès (auteur des Petites natures mortes au travail) et Jean-Pierre Levaray (auteur de Putain d’usine).
17 h : Débat : Quel syndicalisme aujourd’hui contre la précarité.
18 h 30 : Débat : La criminalisation du mouvement social.
19 h 30 : Débat : « Journalistes précaires. Presse sommaire ». Avec des journalistes de France soir et de L’Humanité.
20 h 30 : Soirée rock avec Brixton Cats (punk-rock), Ya Basta (ska) et Brigada Flores Magón (ping-rock).Dimanche 2 février !
10 h 30 : Ouverture des portes.
11 h : Projection de « Martin Nadaud », un film de Pierre Saunier et de « Gabriel, Sylvain, Amédée et autres migrants de la Creuse », film de Catherine Varoqui et Jacques Malnou. Projection suivie d’un débat avec le SUB : Quelle évolution du bâtiment et du syndicalisme dans le bâtiment depuis Martin Nadaud ?
13 h : Buffet et chorale La Canaille.
13 h 30 : Débat : Impérialismes et résistances. Avec le secrétariat Internationale de la CNT.
15 h : Représentation théâtrale avec la Compagnie Jolie Môme. La Crosse en l’air, de Jacques Prévert.
16 h 30 : Intervention publique de la CNT.
17 h : Chansons libertaires, avec Serge Utge-Royo.
18 Ì : Fred Alpi (rock)
19 h : La Réplik (java-punk-ska de Bordeaux)Samedi 1er et dimanche 2 février
À la Parole Errante, 9 rue François Debergue, 93100 Montreuil (métro Croix de Chavaux, ligne 9).
Participation aux frais : 7 euros la journée ou 10 euros pour tout le week-end.
Face au MEDEF, osons lutter, osons vaincre !
Tous à Montreuil le premier week-end de février !!!
CNT un syndicat de combat !
Confédération Nationale du Travail
33, rue des Vignoles - 75020 Paris
nº Azue : 08 10 00 03 67 - Fax : 01 43 72 95 34
http://cnt-f.org - mél : cnt@cnt-f.org2003
Scripto imprimeur - 01 46 36 59 57
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texte
photo (banderole sur grue de chantier)
- texte :
À Palaiseau comme ailleurs, non aux centre de rétention
Parce que lutter contre chacun de ces centres, c’est un moyen de mettre en échec les durcissements successifs des lois visant à empêcher la libre circulation et la libre installation…
Parce que c’est un moyen d’agir concrètement contre l’offensive sécuritaire et le développement de l’univers carcéral qui nous menace tous, avec ou sans papiers…
Parce que c’est un moyen de renforcer la lutte pour la régularisation des sans-papiers qui est un aspect de la lutte de tous les exploités…
Parce que c’est un moyen de s’organiser pour rendre effective la liberté de circulation et d’installation…
Parce que tout ça peut commencer eb se mobilisant à Palaiseau… et ailleurs…
Partout en France, de nouveaux centres sont en voie de construction, d’autres sont en cours d’agrandissement sous prétexte de rénovation.
L’augmentation du nombre de places en rétention est nécessaire à l’application de la Loi Sarkozy sur l’immigration.D’ores et déjà, une campagne d’organise pour faire échec à ces constructions et pour la fermeture de tous les centres de rétention.
Depuis janvier 2004, rue E. Zola, à Palaiseau, un centre de rétention est en construction.
Centre de rétention, c’est le nom que l’État donne à ses prisons spéciales pour étrangers. C’est là qu’il enferme les étrangers sans-papiers, sortant ou non de prison, en vue de leur expulsion. Ce projet date de 1996 et a été avalisé par les gouvernements de droite et de gauche successifs. Il est prévu pour enfermer 50 personnes.
Aujourd’hui, la loi Sarkozy a fait passer le temps d’enfermement des sans-papiers en centre de rétention de 12 à 32 jours.
En même temps qu’il veut doubler le nombre des expulsions, l’État précarise encore plus les sans-papiers en les privant entre autres, de l’Aide Médicale d’État.
De plus en plus, dans les centres de rétention, les sans-papiers se révoltent contre cette situation insupportable : grèves de la faim, automutilations, émeutes, évasions se multiplient.
Si le chantier est déjà commencé. Il est loin d’être terminé : il ne tient qu’à nous qu’il ne le soit jamais…
Collectif Anti-Expulsions - 21ter, rue Voltaire, 75011 Paris - rép/fax : 01 53 79 12 21 - caeparis@free.fr - pajol.eu.org/rubrique6.html
imprimerie spéciale
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texte
dessin (auteurs — dont Tardi — en signature, 2 poilus dans le file d’attente du public hilares devant un chanteur guitariste) par tardi
- texte :
Arras samedi 1er mai
3e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale
Palais Saint-Vaast et alentour de 10 h à 21 h
www.coleresdupresent.com
[logos divers : sponsors, …]
Cituation & Ensemble \ 03 21 71 53 33 • Illus. Jacques Tardi • Tout droits réservés
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texte
photo (clown en pause, fumant une cigarette)
- texte :
Ce ne peut être que la fin d’un monde, en avançant.
La petite bourgeoisie planétaire a bâti son palais sur ce volcan : qu’il se passe effectivement quelque chose — car tout menace son confort usurpé. Il faut donc, quand tout de même quelque chose arrive, que ce soit une horreur. Que cela sente la charogne. Qu’il y ait des victimes.
Lorsqu’une métropole occidentale est secouée par plusieurs journées d’émeutes comme Gênes en juillet 2001, il faut un Carlo Giuliani baignant dans son sang, des centaines de torturés et des procès-fleuves.
Depuis mars 2004, ils sont 26 à endurer la mascarade judiciaire — en attendant les autres. Certains risquent de huit à quinze années de prison pour leur participation à ces journées. "Dévastation et pillage", disent les inquisiteurs, pour faire oublier que le soulèvement arrache chacun à soi-même. Qu’à Gênes, l’état réel du monde a été mis à nu. La police assassine. La plèbe s’insurge. ATTAC et les Tute Bianche dénoncent les émeutiers. Et la justice finit le travail. Toute chose rejoint sa vérité. L’événement rend voyant, ou aveugle.
Ce que Gênes a montré, c’est combien pouvait être commune la pratique du ravage. Combien pouvait être évident l’assaut contre les forces de l’ordre. À nous d’être fidèles au possible qui s’est dessiné là.
Être fidèles à Gênes ne consiste certainement pas à en poursuivre sans fin la décevante répétition, à Barcelone, à Évian ou à Thessalonique.
Être fidèles à Gênes veut plutôt dire : frapper la domination là où ça fait mal, nous rendre sans cesse et partout ingouvernables, vouloir les moyens de l’insurrection qui vient.
Être fidèles à Gênes signifie déjà : se mettre à penser ensemble les conditions dans lesquelles nous opérons et agir en conséquence.
Solidarité hargneuse avec les inculpés de Gênes
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- notes :
- descriptif :
12 vignettes par Thierry Guitard
textes (chansons de : Audrey, Division Ruines, VIP, Unlogistic, Calavera, GRRZZZ, Rapaces, Un Tondu un Chevelu, Dominique Grange, René Binamé, La Fraction, Bière Sociale, Misspent Youth, Protestera, Cellule X, Kochise, Munda di Mierdo, Pekatralatak, Chance + Barbès D, Francesca Solleville, Serge Utgé-Royo, Ninanonyme, DCD) et strips au verso
- texte :
DA
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- notes :
- descriptif :
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texte
photo (portrait assis de Louise Michel)
- texte :
Gérald Dittmar
Louise Michel (1830-105)
Aux Éditions Dittmar
En vente dans toutes les librairies
Imp. Autographe, 01 43 58 26 26
Affichette de vente.
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- notes :
- descriptif :
texte
dessin (vautour, denté, prisonnier avec : boulets, traces de balles, flèche et couteau dans le corps, boulet « Régis, l’an 2004 » au pied) par Chriske
dédicace par le dessinateur
- texte :
Libération des prisonniers d’Action directe
« Ouais ! 20 ans, peut-être ?! Mais avec toutes mes dents ! »
Moulins, le 2 février 2004
Pour tes 20 ans vieux frère !
Pour Régis [signature]
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- notes :
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texte
photo (portrait de Nathalie Ménigon)
- texte :
“Qui ne meurt pas, est interré vivant dans les prisons de rééducation, dans les trous des cités satellites, dans le sinistre béton des tours résidentielles.” Ulrike Meinhof
Tous les détenus dont l’état de santé est incompatible avec la détention doivent être libérés
Nathalie Ménigon
détenue à la prison de Bapaume
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- notes :
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texte
carte postale (manifestation : « Les Troubles de Limoges »)
- texte :
10 - Les Troubles de Limoges
Les manifestants avec drapeaux rouge et noir se rendent à la préfecture - 17 avril 19051905-2005, hier… aujourd’hui !
Qui sème la misère récolte la colère !
[logo : « chat cerclé » ] CNT [logo : étoile rouge et noire]
Confédération Nationale du travail - Syndicat Interco Haute-Vienne - BP 700800 87000 Limoges - 06 31 10 16 31 - cnt87@cnt-f.org - www.cnt87.org
Imprimerie 34, Toulouse
https://cartoliste.ficedl.info/article671.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8ves_de_Limoges_de_1905
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- descriptif :
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texte canulard
mise en page imitant une affichette de vente du quotidien Le Monde
- texte :
Le Monde
Régional
La police de Montreuil serait à la solde des spéculateurs
Mercredi 10 septembre, une quinzaine de policiers du commissariat de Montreuil investissaient une maison occupée depuis plus de 15 jours. Ils se sont introduits dans les lieux en franchissant une clôture et ont pénétré à l’intérieur des locaux sans y être invité par les habitants qui n’ont pu que constater l’absence de réquisition en ce sens du parquet. « Le plus surprenant, c’est qu’ils étaient visiblement dirigés par la propriétaire des lieux », nous déclare le Procureur de la République qui compte ouvrir sine enquête à ce sujet. Déjà les 15 policiers ont été placés en garde à vue pour violation de domicile et bris de clôture. Leur radiation est à prévoir…
Lire page 3
et notre éditorial page 13Jean-Pierre Brard nous déclare :
« Je n’ai rien à voir avec ces voyous ! »
Le Maire, visiblement éméché, s’est refusé à tout autre commentaire.
en exclusivité- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
montage photo (prisonnier derrière des barreaux, numération des jours, triple horloge « New York, Paris, Londres »)
- texte :
La solidarité est une arme
Non à la criminalisation des antifascistes ici et ailleurs !
[logo] SRA-Solidarité Résistance Antifa
Solidarité résistance antifasciste (SRA) - 21ter rue Voltaire 75011 Paris - http://solidarite.samizdat.net
imprimerie spéciale
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- notes :
- descriptif :
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texte canulard
mise en page imitant une affichette de vente du quotidien Le Monde
- texte :
Le Monde
International
Lady Di :
sa dernière soirée dans un squatt de Montreuil
lire page 5Jean-Paul II
son message aux chrétiens :« Squatteurs de par le monde, vous êtes mon espérance. »
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texte
photo (scène de rue vers 1900, Italie ?)
- texte :
Prendre parti
I.
Rien ne manque au triomphe de la civilisation. Ni la terreur politique ni la misère affective. Ni la stérilité universelle. Le désert ne peut plus croître : il est partout. Mais il peut encore s’approfondir. Devant l’évidence de la catastrophe, il y a ceux qui s’indignent et ceux qui prennent acte, ceux qui dénoncent et ceux qui s’organisent. Nous sommes du côté de ceux qui s’organisent.II.
L’inflation illimitée du contrôle répond sans espoir aux prévisibles effondrements du système. Rien de ce qui s’exprime dans la distribution connue des identités politiques n’est à même de mener au-delà du désastre. Aussi bien, nous commençons par nous en dégager. Nous ne contestons rien, nous ne revendiquons rien. Nous nous constituons en force, en force matérielle, en force matérielle autonome au sein de la guerre civile mondiale.III.
Ceux qui voudraient répondre à l’urgence de la situation par l’urgence de leur réaction ne font qu’ajouter à l’étouffement. Leur façon d’intervenir implique le reste de leur politique, de leur agitation. Quant à nous, l’urgence de la situation nous libère juste de toute considération de légalité ou de légitimité, devenues de toute façon inhabitables. Qu’il nous faille une génération pour construire dans toute son épaisseur un mouvement révolutionnaire victorieux ne nous fait pas reculer. Nous l’envisageons avec sérénité. Comme nous envisageons sereinement le caractère criminel de notre existence, et de nos gestes.V.
Nous situons le point de renversement, la sortie du désert, la fin du Capital dans l’intensité du lien que chacun parvient à établir entre ce qu’il vit et ce qu’il pense. Contre les tenants du libéralisme existentiel, nous refusons de voir là une affaire privée, un problème individuel, une question de caractère. Au contraire, nous partons de la certitude que ce lien dépend de la construction de mondes partagés, de la mise en commun de moyens effectifs.V.
A toute préoccupation morale, à tout souci de pureté, nous substituons l’élaboration collective d’une stratégie. N’est mauvais que ce qui nuit à l’accroissement de notre puissance. Il appartient à cette résolution de ne plus distinguer entre économie et politique. La perspective de former des gangs n’est pas pour nous effrayer ; celle de passer pour une mafia nous amuse plutôt.VI.
D’un côté, nous voulons vivre le communisme ; de l’autre, nous voulons répandre l’anarchie.texte tirée de L’Insurrection qui vient ?
Pour une version en 7 propositions, ensuite développée : https://libcom.org/library/appel
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texte
photo (scène de rue vers 1900, Italie ?)
- texte :
Prendre parti
I.
Rien ne manque au triomphe de la civilisation. Ni la terreur politique ni la misère affective. Ni la stérilité universelle. Le désert ne peut plus croître : il est partout. Mais il peut encore s’approfondir. Devant l’évidence de la catastrophe, il y a ceux qui s’indignent et ceux qui prennent acte, ceux qui dénoncent et ceux qui s’organisent. Nous sommes du côté de ceux qui s’organisent.II.
L’inflation illimitée du contrôle répond sans espoir aux prévisibles effondrements du système. Rien de ce qui s’exprime dans la distribution connue des identités politiques n’est à même de mener au-delà du désastre. Aussi bien, nous commençons par nous en dégager. Nous ne contestons rien, nous ne revendiquons rien. Nous nous constituons en force, en force matérielle, en force matérielle autonome au sein de la guerre civile mondiale.III.
Ceux qui voudraient répondre à l’urgence de la situation par l’urgence de leur réaction ne font qu’ajouter à l’étouffement. Leur façon d’intervenir implique le reste de leur politique, de leur agitation. Quant à nous, l’urgence de la situation nous libère juste de toute considération de légalité ou de légitimité, devenues de toute façon inhabitables. Qu’il nous faille une génération pour construire dans toute son épaisseur un mouvement révolutionnaire victorieux ne nous fait pas reculer. Nous l’envisageons avec sérénité. Comme nous envisageons sereinement le caractère criminel de notre existence, et de nos gestes.V.
Nous situons le point de renversement, la sortie du désert, la fin du Capital dans l’intensité du lien que chacun parvient à établir entre ce qu’il vit et ce qu’il pense. Contre les tenants du libéralisme existentiel, nous refusons de voir là une affaire privée, un problème individuel, une question de caractère. Au contraire, nous partons de la certitude que ce lien dépend de la construction de mondes partagés, de la mise en commun de moyens effectifs.V.
A toute préoccupation morale, à tout souci de pureté, nous substituons l’élaboration collective d’une stratégie. N’est mauvais que ce qui nuit à l’accroissement de notre puissance. Il appartient à cette résolution de ne plus distinguer entre économie et politique. La perspective de former des gangs n’est pas pour nous effrayer ; celle de passer pour une mafia nous amuse plutôt.VI.
D’un côté, nous voulons vivre le communisme ; de l’autre, nous voulons répandre l’anarchie.texte tirée de L’Insurrection qui vient ?
Pour une version en 7 propositions, ensuite développée : https://libcom.org/library/appel
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affiches de film
texte
photos
- texte :
NovoCiné et Ideas For Films présentent
The Weather Underground
“Ils étaient jeunes… enragés par la guerre du Vietnam… déterminés à faire trembler l’Amérique.”
Nominé aux Oscars 2004 du meilleur documentaire
un film documentaire de Sam Green et Bill Siegel, narré par Lili Taylor
en salles le 27 avril 2005
www.theweatherunderground.fr
[logos :] Le Nouvel Obs télé — Planète — Radio Nova — Objectif cinema.com — ABS systèmes et formation — Dickies — GERME Groupe d’études & de recherche sur les mouvements étudiants — Novo cinz — Ideas For Films
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- notes :
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texte
dessin (soldat français de la 1re Guerre mondiale près de son camarade mort) par Tardi
- texte :
Mémoire à Vif propose :
vendredi 9 et samedi 10 novembre 2007en partenariat avec le cinéma Le Lido et le Théâtre de l’Union, CDN du Limoisin - Limoges
1917-2007, le non à la guerre
[logos :] Mairie de La Villedieu — La Creuse — DRJS Limousin — Région Limousin — ministère de la Culture et de la Communication
Cinéma
► Les sentiers de la gloire Stanley Kubrick (USA - 1957)
► Quatre de l’infanterie G. W. Pabst (AIL - 1930)
► Adieu la vie, adieu l’amour, les mutineries de 1917 au Chemin des Dames Gérard Raynal (France 1998)
► Comme une blessure Vidéo, LP Pagnol Limoges (2000)Débats
► Simone de Bollardière, Présidente d’honneur de Mémoire à Vif
► Michel Boujut critique de cinéma
► Jean-Pierre Vemey, historien
► Jacques Tardi, auteur de B.D.
► Michel Agnoux, militant associatifThéâtre
► Mémoires d’un rat texte de Pierre Chaine (1917) adapté par Christine Bussière, interprété par Alain StachConcert
► Dominique Grange accompagnée au piano par Philippe Mirawww.memoireavif.info
Illustration copyright : Tardi - Ed_ Casterrnan "C’était la guerre des tranchées"
IPNS
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- notes :
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texte
montage photo (avec coquelicots) par Joëlle Aubron
- texte :
20 ans !
Libérez les militant-e-s d’Action Directe
Collage réalisé en prison par Joëlle Aubron, militante révolutionnaire d’Action Directe
Autre poster au dos : « Appel : 20e anniversaire de l’arrestation des militants d’Action Directe » (2007).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
- texte :
Appel
20e anniversaire de l’arrestation des militants d’Action Directe
[…1 Arrêtés le 26 février 1987, nous avons connu toutes les formes de détention spéciale que ce pays est capable d’infliger en toute impunité, de la torture blanche à l’isolement aménagé, jusqu’à la pseudo-normalisation du régime des centrales de sécurité.
Nos peines incompressibles sont terminées depuis deux ans, mais l’État affirme haut et fort que nous n’avons pas assez payé. Non pas qu’il existe un tarif judiciaire correspondant à « nos crimes » révolutionnaires, laissons cette pensée incongrue aux laudateurs des pouvoirs institutionnels. Du premier au dernier jour de détention, le militant est et demeure un otage. Tels des trophées de guerre, les différents gouvernants nous ont utilisés, nous utilisent et comptent nous utiliser encore pour démontrer leur inflexibilité face à la subversion et mettre en valeur l’unanimité de la condamnation de nos choix politiques. Qu’ils soient de droite ou de gauche mais toujours au service de la bourgeoisie et des monopoles, les gestionnaires propagent l’idée qu’une seule façon de faire de la politique est acceptable : la leur. Celle qu’ils imposent à tous pour le bénéfice de quelques-uns. Celle de la soumission au marché, de l’ordre policier et de la peur des masses. Celle de la vacuité et de la disparition du politique. Toute pratique et tout engagement en dehors des cadres balisés du système sont dénoncés et criminalisés comme autant de menaces terroristes.
L’État nous maintient en prison. Il estime avec raison que nous ne sommes pas brisés.
La pression judiciaire n’est pas parvenue à nous transformer en porte-voix du repentir et ainsi en agents du projet de pacification et de désarmement du mouvement révolutionnaire dans les centres impérialistes. Depuis notre premier jour de prison, c’est son but affiché.
Et durant des années, les « juges » d’instruction ont prolongé l’usage de la torture blanche, convaincus que nous craquerions et que nous nous renierions. Aujourd’hui les mêmes « magistrats » affirment que quelques années supplémentaires entraîneront immanquablement notre reddition. Combien ils sont loin du compte ! Et que peuvent-ils.
Leur plan de criminalisation est et sera un échec autant de temps que nous refuserons de critiquer notre engagement en échange d’un assouplissement de nos conditions de détention ou de quelques années de prison en moins. Nous n’entrerons pas dans le rang des prisonniers sans visage et sans histoire.
Cet État, si prompt à tourner la page de la collaboration avec l’occupant nazi et qui amnistia les parachutistes tortionnaires, le quarteron des putschistes d’Alger, les terroristes de la Cagoule et ceux de l’OAS …, cet État nous rend un bel hommage en nous considérant, encore et malgré les décennies de cachot, comme de redoutables ennemis impossibles à libérer tant le danger que nous représentons « à l’air libre » serait grand pour lui et ses sbires !
Concrètement, il a fait de nous des exemples.
Par nos condamnations spectaculaires et notre détention d’exception, il cherchait à frapper l’imaginaire et à créer un impact de terreur chez les militants résolus à bouleverser radicalement l’oppression. Nous devions servir d’exemple dans le « cauchemar des années 80 » alors que la bourgeoisie entreprenait un vaste mouvement de rétablissement des profits par l’intensification de l’exploitation, les délocalisations, les flexibilisations et les privatisations. À la même époque, les troupes françaises s’engageaient dans les coalitions et autres grandes armadas en participant aux campagnes de bombardements, aux guerres préventives, aux blocus et autres embargos au nom de l’ingérence humanitaire. La volonté impérialiste était de transformer en simple protectorat la planète entière et en premier lieu les pays producteurs de matières premières. Lors de cette offensive néoconservatrice, la bourgeoisie était prête à tolérer une opposition légaliste et impuissante mais non une contestation radicale capable de mettre en danger chacune de ses décisions et D’UNIFIER SOUS UN MÊME DRAPEAU ANTI-IMPÉRIALISTE LES PROLÉTAIRES ICI AVEC LEURS FRÈRES AU-DELÀ DES MERS.
L’acharnement de l’État français contre nous quatre ( Nathalie, Georges, Joëlle et Jean Marc ), prisonniers d’Action Directe, n’est déchiffrable qu’a partir de cette lecture historique.
Face à cette exemplarité de la répression durant deux décennies, nous avons dressé une seule bannière, celle de la résistance. Aujourd’hui, il est l’heure de renverser le projet de pacification érigé au cours de nos condamnations. Du fond de nos cachots, nous affirmons qu’il est possible et nécessaire d’utiliser notre résistance comme une arme dans le combat contre l’oppression actuelle. Une arme disponible pour tous les contestataires et les rebelles alors que le pays s’embourbe dans une situation préfasciste.
Les prisonniers de la guérilla d’Action Directe, Georges Cipriani à la Centrale d’Ensisheim, Nathalie - Ménigon au Centre de détention de Bapaume, et Jean Marc Rouillan à la Centrale de Lannemezan, décembre 2006.
Autre poster au dos : « 20 ans ! Libérez les militant-e-s d’Action Directe ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
découpage et peinture par C. Germain (ou L. Germain)
- texte :
Art Direct à Mix’art Myrys
Sur https://liberonsgeorges.samizdat.net/non-classe/agenda-militant-fin-2007-luttes-contre-la-repression/ :
Action directe – Exposition Art-Direct – Toulouse
1er au 7 décembre, exposition au Mix’art Myrys – 12, rue Ferdinand-Lassalle -Toulouse. Ponts-Jumeaux – Métro ligne B (station Canal-du-Midi), bus 15 et 16. Tél.fax : 05 62 72 17 08- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
découpage et peinture par C. Germain (ou L. Germain)
- texte :
Art Direct à Mix’art Myrys
2007
Sur https://liberonsgeorges.samizdat.net/non-classe/agenda-militant-fin-2007-luttes-contre-la-repression/ :
Action directe – Exposition Art-Direct – Toulouse
1er au 7 décembre, exposition au Mix’art Myrys – 12, rue Ferdinand-Lassalle -Toulouse. Ponts-Jumeaux – Métro ligne B (station Canal-du-Midi), bus 15 et 16. Tél.fax : 05 62 72 17 08- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
dessin (scène mexicaine de danse de squelettes)
- texte :
Concert
en soutien aux prisonniers d’Action directe, Georges Cipriani, Nathalie Ménigon, Jean marc Rouillan, incarcérés depuis 20 ans
Régis Schleicher, depuis 23 ansJim Murple Memorial (formation à 5), rythm’n’blues jamaïquain
Calavera hip hop
La Fraction punk rock
Medef Inna Babylon street punk
Let Me Die Alone punk hard core
Samedi 10 février à 18 h au Mange-disque
45 chemin du Prat-Long ToulousePAF : 10 €
Imprimerie 34, Toulouse
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte sur tâche rouge sang
- texte :
Ils font tâche dans le paysage les prisonniers et prisonnières d’Action directe !
Révolutionnaires, les armes à la main
Ennemis publics nº 1
Mis à prix dans les années 80
Condamnés à perpétuité dont 18 années de peine de sûreté
Entre 17 et 20 ans effectués
Souffrants de maladies graves (cancers, attaques cérébrales, problèmes psychiatriques, …)
Libérables au regard de la LoiPourquoi sont-ils toujours derrière les barreaux ?
Pourquoi un tel acharnement ?Pour l’esxemple, au cas où d’autres s’aviseraient de remettre en cause par les armes, l’État de Droit.
Par vengeance, pour leur faire expier et re,ier leurs actes.
Pour préparer leurs réinsetions ?
Par nature : la prison écrase tous ceux qui ne se soumettent pas à ses règles.
Pour appeler que la mise à mort existe toujours, appliquée au travers de longues peines, par mort lente et systématique, dans la discrétion carcérale.
Nous refusons d’être complices par notre silence, de ces assassinats légaux
Nous refusons de porter un regard bienveillant sur la justice qui pratique l’arbitraire en toute légalitéNous refusons de cautionner une société qui érige la peur, la surveillance, la punition, l’enfermement, comme principes fondateurs
Rouge comme un soleil couchantPrésage des lendemains radieuxOù tomberont les murs des prisons- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
photo (portrait de Nathalie Ménigon) couvert d’un point d’interrogation
- texte :
Nathalie
Nathalie Ménigon, d’Action directe, incarcérée depuis 20 ans et malade, sera l’oubliée de la campagne
Georges Cipriani, Nathalie Ménigon, Jean-Marc Rouillan et Régis Schleicher, les prisonniers d’Action directe, ont terminé la peine de sûreté de leur condamnation à perpétuité. Pour nous, leur peine est accomplie.
Liberté pour les quatre d’Actions directe !
www.action-directe.net
Imprimé par nos soins
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
montage photo (yeux et nouveau-né ou foetus dans un bocal)
- texte :
Des gens présentes les Semaines anti-sécuritaires de Nanterre
du lundi 5 mars 2007 au…
Fac de Nanterre - Paris X
RE A Nanterre Université, bâtiment C-D
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
dessin (deux cosmonautes-archéologues autour d’une urne électorale, près d’une fusée type Hergé « Objectif Lune » sur un satellite)
- texte :
— Bon dieu, John !… Mais qu’est-ce que c’est ? … Et à quoi ça peut bien servir ?…
— Et bien, Mike !… Selon mon portable, c’est un piège à pigeons !!
— Fascinant !
— … Aussi appelé un attrape-couillons !
— Ouf !!
— Ou bien urne électorale !
— … Daté fin du 2ème millénaire !
StrollⒶd Lochu
Strollad Lochu@no-log.org- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (silhouette derrière des barreaux)
- texte :
Vengeance d’État
contre les militantes d’Action directe
Nathalie Ménigon
trois attaques cérébrovasculairesJoëlle Aubron
une tumeur au cerveauelles sont en danger de mort
Luttons pour que les portes s’ouvrent
Liberté pour Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron
et pour tous les prisonniers malades
Défense active - 80, rue de Ménilmontant — 75020 Paris
Maquette pour affiche (collages) au dos d’une autre affiche (« 20 ans dedans ! »).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (silhouette derrière des barreaux)
- texte :
Vengeance d’État
contre les militantes d’Action directe
Nathalie Ménigon
trois attaques cérébrovasculairesJoëlle Aubron
une tumeur au cerveauelles sont en danger de mort
Luttons pour que les portes s’ouvrent
Liberté pour Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron
et pour tous les prisonniers malades
Défense active - 80, rue de Ménilmontant — 75020 Paris
Tirage photocopié d’après sa maquette.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
dessin (silhouette derrière des barreaux)
inscription supplémentaire (adresse) par rapport à la version originale de l’affiche
- texte :
Vengeance d’État
contre les militantes d’Action directe
Nathalie Ménigon
trois attaques cérébrovasculairesJoëlle Aubron
une tumeur au cerveauelles sont en danger de mort
Luttons pour que les portes s’ouvrent
Liberté pour Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron
et pour tous les prisonniers malades
Défense active - 80, rue de Ménilmontant — 75020 Paris
ne laissons pas faire c/o Le Point du Jour - 58 rue Gay Lussac - 75000 Paris
In
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Enfermer toujours plus… ? … attaquer toujours plus !!]
[Enfermer toujours plus… ? … attaquer toujours plus !!]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Fête du combat syndicaliste, 1er-2 février 2003]
[Fête du combat syndicaliste, 1er-2 février 2003]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) ; Paris : CNT_F (France : ≥1993) : La Parole errante, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2003 |
[La Fête du Combat syndicaliste]
[La Fête du Combat syndicaliste]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2003 |
[À Palaiseau comme ailleurs, non aux centre de rétention]
[À Palaiseau comme ailleurs, non aux centre de rétention]. — Paris : Collectif anti-expulsions (Paris), [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2004 |
[Arras, 3e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale, samedi 1er mai 2004]
[Arras, 3e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale, samedi 1er mai 2004] / Jacques (1946-....) Tardi. — Arras : Colères du présent (2002-2024), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 43 cm.
sources :
[Ce ne peut être que la fin d’un monde, en avançant : solidarité hargneuse avec les inculpés de Gênes]
[Ce ne peut être que la fin d’un monde, en avançant : solidarité hargneuse avec les inculpés de Gênes]. — [S.l.] : [s.n.], [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 64 × 46 cm.
sources :
[Défense active]
[Défense active] / Thierry Guitard. — Paris : Défense active, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , beige , papier blanc ) ; 40 × 60 cm.
sources :
![]() 2004 |
[Gérald Dittmar : « Louise Michel (1830-105) », en vente dans toutes les librairies]
[Gérald Dittmar : « Louise Michel (1830-105) », en vente dans toutes les librairies]. — Paris : éditions Dittmar, (Autographe (Paris : 1985-2005)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 40 × 30 cm.
sources :
![]() 2004 |
[Libération des prisonniers d’Action directe]
[Libération des prisonniers d’Action directe] / Chriske. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Tous les détenus dont l’état de santé est incompatible avec la détention doivent être libérés]
[Tous les détenus dont l’état de santé est incompatible avec la détention doivent être libérés]. — Paris : Ne Laissons Pas Faire ! (NLPF), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : rouge , papier de couleur ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2004 ?] |
[1905-2005, hier… aujourd’hui ! Qui sème la misère récolte la colère !]
[1905-2005, hier… aujourd’hui ! Qui sème la misère récolte la colère !]. — Limoges : CNT_F (France : ≥1993), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 40 × 60 cm.
sources :
[La police de Montreuil serait à la solde des spéculateurs]
[La police de Montreuil serait à la solde des spéculateurs]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2005 & ante] |
[La solidarité est une arme]
[La solidarité est une arme]. — Paris : SRA (Solidarité résistance antifasciste : ca1997-2010), [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() [ 2017 & ante] |
![]() 2013 |
![]() 2013 |
[Lady Di : sa dernière soirée dans un squatt de Montreuil]
[Lady Di : sa dernière soirée dans un squatt de Montreuil]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2005 & ante] |
[Prendre parti = « Appel »]
[Prendre parti = « Appel »]. — [S.l.] : Comité invisible, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 45 × 64 cm.
sources :
![]() [ca 2005] |
[Prendre parti = « Appel »]
[Prendre parti = « Appel »]. — [S.l.] : Comité invisible, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() [ca 2005] |
[The Weather Underground : un film documentaire de Sam Green et Bill Siegel]
[The Weather Underground : un film documentaire de Sam Green et Bill Siegel]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[1917-2007, le non à la guerre]
[1917-2007, le non à la guerre] / Jacques (1946-....) Tardi. — Limoges : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[20 ans ! Libérez les militant-e-s d’Action Directe]
[20 ans ! Libérez les militant-e-s d’Action Directe]. — Paris : Action directe, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 31 cm.
sources :
[Appel : 20e anniversaire de l’arrestation des militants d’Action Directe]
[Appel : 20e anniversaire de l’arrestation des militants d’Action Directe]. — Paris : Action directe, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 31 cm.
sources :
[Art Direct à Mix’art Myrys]
[Art Direct à Mix’art Myrys] / C. [ou L. ?] Germain. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2007 |
[Art Direct à Mix’art Myrys, 2007]
[Art Direct à Mix’art Myrys, 2007] / C. [ou L. ?] Germain. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2007 |
[Concert en soutien aux prisonniers d’Action directe, samedi 10 février 2007]
[Concert en soutien aux prisonniers d’Action directe, samedi 10 février 2007]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , jaune , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Ils font tâche dans le paysage les prisonniers et prisonnières d’Action directe !]
[Ils font tâche dans le paysage les prisonniers et prisonnières d’Action directe !]. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Nathalie]
[Nathalie]. — Paris : [s.n.], [ca ] (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Semaines anti-sécuritaires de Nanterre, du lundi 5 mars 2007 au…]
[Semaines anti-sécuritaires de Nanterre, du lundi 5 mars 2007 au…]. — Nanterre : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Strollad Lochu]
[Strollad Lochu]. — Brest : Comité Brestois de la CBIL (strollad Lochu), [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Vengeance d’État contre les militantes d’Action directe]
[Vengeance d’État contre les militantes d’Action directe] / Dareas [Darcas ?]. — Paris : Défense active, [ & post]. — 1 affiche (collage ), coul. (deux ) ; 38 × 28 cm.
sources :
![]() [ 2007 & post] |
![]() [ 2007 & post] |
[Vengeance d’État contre les militantes d’Action directe]
[Vengeance d’État contre les militantes d’Action directe] / Dareas [Darcas ?]. — Paris : Défense active, [ & post]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2007 & post] |
![]() [ 2007 & post] |
[Vengeance d’État contre les militantes d’Action directe]
[Vengeance d’État contre les militantes d’Action directe] / Dareas [Darcas ?]. — Paris : Défense active : Ne Laissons Pas Faire ! (NLPF), [ & post]. — 1 affiche (collage ), coul. (deux ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ 2007 & post] |
![]() [ 2007 & post] |
[Aéroport Notre-Dame-des-Landes : un projet qui nous pompe l’air !]
[Aéroport Notre-Dame-des-Landes : un projet qui nous pompe l’air !] / Jacques Rouxel. — Notre-Dame-des-Landes : Zone à défendre (NDDL), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 70 × 50 cm.