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536 affiches :

 

    [Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (centre de rétention en flammes)

    texte :

    Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes !

    Le centre de rétention administrative de Vincennes était la plus grande prison pour sans-papiers de France. Le 21 juin 2008, un retenu qui avait réclamé en vain ses médicaments y est mort. Le lendemain, le 22 juin, au cours d’une révolte collective, le centre est parti en fumée.

    10 personnes sont inculpées pour cette révolte.

    Procès les 25, 26 et 27 janvier 2010

    13 h 30, TGI de Paris, 16e chambre, métro Cité

    Semaine de solidarité du 16 au 24 janvier


    sources :
     

    2010
    Affiche liée




    [Libération immédiate ; levée des poursuites]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Libération immédiate ; levée des poursuites]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
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    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (engrenages « Police, État, Prison, Capital, Justice » rendant les manifestantes en citoyen·ne·s modèles)

    texte :

    À Toulouse depuis le 15 novembre, des personnes sont toujours en prison, soupçonnées d’avoir participé à une action politique contre les prisons pour mineurs.
    La machine répressive tourne à plein pour maintenir l’ordre capitalisme, en enfermant les pauvres et les révoltéEs.
    L’État ne fait pas d’économie quand il s’agit de protéger les privilèges.« Police, État, Prison, Capital, Justice »

    Leurs matraques ne nous feront pas taire ni marcher d’un seul pas !

    info : http://pourlaliberte.noblogs.org

    Libération immédiate

    Levée des poursuites

    Imprimerie spéciale


    sources :
     



    [Préfecture, mairie du 20e, bailleurs sociaux et promoteurs immobiliers contre les squats : chronologie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Préfecture, mairie du 20e, bailleurs sociaux et promoteurs immobiliers contre les squats : chronologie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : répression  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
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    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Préfecture, mairie du 20e, bailleurs sociaux et promoteurs immobiliers contre les squats

    Chronologie

    Mardi 11 octobre
    Suite à la manifestation contre l’austérité, on apprend qu’une maison récemment occupée est menacée d’expulsion par la police. Cette maison était située rue Olivier Métra, dans le vingtième arrondissement. Au bout de quelques heures et devant la présence d’une quarantaine de soutiens, dont de nombreux voisins, la police s’en va, semblant considérer l’occupation comme régulière.

    Mercredi 12 octobre
    Rebelote, la police vient constater l’occupation d’une maison occupée au 194 rue des Pyrénées dans le 20e arrondissement. La police fera deux brefs passages et la situation semble momentanément tranquille pour les occupants. Vendredi 14 octobre Au petit matin, une cohorte de policiers et de gendarmes mobiles expulse la maison occupée de la rue Olivier Métra. Les habitants une fois sortis de la maison sont arrêtés et mis en garde à vue. À cette heure ci, ils y sont toujours et seront fort probablement déférés demain matin pour des chefs d’inculpations inconnus pour le moment.

    Au même moment, de nombreux policiers en tenue et en civil surveillent avec beaucoup d’attention plusieurs squats du quartier et ceci tout au long de la journée. Ils donnaient l’impression d’une attaque imminente sur la nouvelle maison occupée de la rue des Pyrénées. Par ailleurs toutes sortes de rumeurs sur de possibles expulsions imminentes circulent.

    Dans l’après midi, les habitants du 194 rue des Pyrénées avec l’aide de plusieurs soutiens décident de mettre une table et des chaises devant leur porte et de diffuser un tract sur les évènements. Ils le diffusent aussi dans le quartier. Les voisins et passants témoignent la plupart du temps d’une vive sympathie et de solidarité pour les occupants et leur cause.

    Plus tard dans l’après midi, les habitants de la rue des Pyrénées vont occuper le siège de l’AFTAM qui est le gestionnaire des lieux, en partenariat avec la Mairie du Vingtième. L’AFTAM est une entreprise qui gère des foyers de jeunes travailleurs migrants sur lesquels elles se fait du pognon. Un gestionnaire de plus de la misère quotidienne. L’occupation était notamment motivée par le fait que l’AFTAM a porté plainte contre les occupants de la rue des Pyrénées pour une soit disant effraction, leur faisant ainsi courir le risque d’être poursuivis pénalement. Dans cette plainte a été intégrée une fausse preuve : des alarmes auraient sonnées le 11 octobre, ce qui signifierait que les occupants étaient dans les lieux moins de 48 heures avant le passage de la Police, rendant ainsi possible leur expulsion immédiate. Les bureaucrates de l’AFTAM restent imperméables à toutes les formes de discours, se moquant éperdument d’être responsable de l’expulsion des habitant du squat, et ne semblent pas suffisamment dérangés par l’occupation de leurs locaux pour satisfaire nos revendications. Ils préfèrent faire appel à la police, aussi nous finissons par quitter les lieux, ne préférant pas nous faire coincer dans les locaux de l’AFTAM en si petit nombre.

    Samedi 15 octobre
    Les occupants du 18 rue Olivier Metra sont relâchés et poursuivis en justice pour “dégradation en réunion”. La propriétaire était agent immobilier. Une cinquantaine de personnes se rassemblent devant la mairie du 20e arrondissement après la manif pour le droit à l’avortement devant l’hôpital Tenon, “contre toutes les expulsions”. Le lieu étant encore menacé, les occupants du 194 rue des Pyrénées tiennent tous les jours une table devant le squat pour informer et discuter avec les passants. De nombreux voisins leur ont témoigné leur soutien.


    sources :

    https://fr.squat.net/2011/10/19/paris-20e-une-expulsion-et-un-squat-sous-tensioncommunique-des-ex-occupant-e-s/




    [Bibliothèque anarchiste Libertad]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bibliothèque anarchiste Libertad]. — Paris : Bibliothèque anarchiste Libertad, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier brun ) ; 65 × 32 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    logo (flamme s’échappant d’un livre ouvert)

    papier brun

    texte :

    Bibliothèque anarchiste Libertad

    19, rue Burnouf, 75019 Paris

    Permanences tous les mardis de 17 à 20 h

    À une époque où les livres comme les humains se voient de plus en plus réduits à la seule dimension marchande, la bibliothèque Libertad se veut un espace où les livres subversifs peuvent circuler sans que l’argent ne soit une barrière. C’est aussi un lieu où se rencontrer et débattre, pour en finir avec un monde mortifère fondé sur des logiques d’exploitation et de domination.

    Il y c des permanences les mardis pour emprunter et consulter sur place les livres et les archives de la bibliothèque, ou farfouiller dans l’infokiosque pour trouver tracts, brochures et publications anarchistes et anti-autoritaires. Il y a aussi les jeudis, pour des discussions, rencontres, présentations, débats autour d’une lutte ou d’une révolte, d’une période ou d’un bouquin… autant d’occasions de prendre du recul ou d’approfondir un thème, d’affiner les armes de la critique pour ici et maintenant.

    Aller à l’encontre d’un monde atomisant qui voudrait faire de nous des individus sans passé ni avenir, résignés dans des cages qui taisent leur nom, partager expériences et perspectives, sont quelques-uns des possibles lorsque les idées antagonistes peuvent se répondre et s’inscrire dans une certaine continuité.

    À chacun de faire vivre cette bibliothèque à l’aune de sa propre conflictualité, de se l’approprier comme un moyen parmi d’autres, loin des programmes à défendre et de la propagande à distiller. Vers une liberté démesurée sans fric ni flics, sans maîtres ni esclaves, parce que tout est toujours possible.

    Discussions les jeudis
    Programme disponible sur http://bibliothequelibertad.noblogs.org


    sources :
     


    [Bibliothèque anarchiste Libertad : programme]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bibliothèque anarchiste Libertad : programme]. — Paris : Bibliothèque anarchiste Libertad, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier brun ) ; 44 × 30 cm.

    • Affiches par pays  :
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    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (lecteurs mis en scène dans une bibliothèque en ruine, Holland House, 23 octobre 1940 (?) : “Blitz
    de Londres en 1940-1941)

    papier brun

    texte :

    Bibliothèque anarchiste Libertad

    19, rue Burnouf, 75019 Paris
    Métro Belleville ou Colonel Fabien

    Permanences tous les mardis de 17 à 20 heures

    Discussions les jeudis à 20 heures

    À une époque où les livres comme les humains se voient de plus en plus réduits à la seule dimension marchande, la bibliothèque Libertad se veut un espace où les livres subversifs peuvent circuler sans que l’argent ne soit une barrière. C’est aussi un lieu où se rencontrer et débattre, pour en finir avec un monde mortifère fondé sur des logiques d’exploitation et de domination.

    Il y c des permanences les mardis pour emprunter et consulter sur place les livres et les archives de la bibliothèque, ou farfouiller dans l’infokiosque pour trouver tracts, brochures et publications anarchistes et anti-autoritaires.
    Il y a aussi les jeudis, pour des discussions, rencontres, présentations, débats autour d’une lutte ou d’une révolte, d’une période ou d’un bouquin… autant d’occasions de prendre du recul ou d’approfondir un thème, d’affiner les armes de la critique pour ici et maintenant.

    Aller à l’encontre d’un monde atomisant qui voudrait faire de nous des individus sans passé ni avenir, résignés dans des cages qui taisent leur nom, partager expériences et perspectives, sont quelques-uns des possibles lorsque les idées antagonistes peuvent se répondre et s’inscrire dans une certaine continuité.

    À chacun de faire vivre cette bibliothèque à l’aune de sa propre conflictualité, de se l’approprier comme un moyen parmi d’autres, loin des programmes à défendre et de la propagande à distiller. Vers une liberté démesurée sans fric ni flics, sans maîtres ni esclaves, parce que tout est toujours possible.

    Programme disponible sur http://bibliothequelibertad.noblogs.org

    [encart à coller : programme du mois]

    [frise de texte :] infokiosque • discussions • journaux • affiches • livres • rencontres • distro • projections • brochures • tracts • revues •


    sources :
     






    [Le Rémouleur : programme avril 2012]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Rémouleur : programme avril 2012]. — Bagnolet : le Rémouleur (2011-2019), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : culture  ; délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (urne électorale avec mécanismes horlogers : « La démocratie c’est toujours le capitalisme qui s’engraisse »)

    texte :

    Le Rémouleur

    Local auto-organisé de lutte et de critique sociale

    Programme avril 2012

    LE RÉMOULEUR est un lieu ouvert pour se rencontrer, échanger et s’organiser. On peut s’y réunir, boire un café et discuter, lire, écrire des tracts, trouver des infos… S’organiser collectivement, hors des syndicats, des partis et des structures hiérarchiques. Pouvoir se donner des armes pour le futur par la diffusion d’idées et de pratiques, en discutant et en confrontant nos positions politiques. Apporter force et consistance aux luttes présentes et à venir. Parce que, nous voulons transformer radicalement cette société, ni plus ni moins ! Tendre vers un monde sans exploitation ni domination, sans État ni frontière, sans argent ni propriété privée…

    Le local est ouvert les lundi et mercredi de 16h30 à 19h30 et le samedi de 14h à 18h

    En plus des soirées où il y a des projections et des discussions, ces après-midis sont des occasions de se rencontrer, de partager des informations sur les luttes en cours (tracts, affiches, agenda), de lire et emprunter des livres de la bibliothèque, d’avoir accès à des documents concernant les discussions à venir, de consulter (et pourquoi pas venir enrichir) le fond d’archives.

    106 rue Victor Hugo 93170 Bagnolet
    Métro Robespierre ou Gallieni
    leremouleur@riseup.net
    http://infokiosques.net/le_remouleur

    [dessin :] « La démocratie c’est toujours le capitalisme qui s’engraisse »

    Local auto-organisé de lutte et de critique sociale

    LUNDI 2 AVRIL - 16H30
    RENDEZ-VOUS DU COLLECTIF « PRENONS LA VILLE »

    VENDREDI 6 AVRIL - 16H30
    CAFÉ DES CAFARDS

    SAMEDI 7 AVRIL-14H
    PERMANENCE SANS-PAPIERS

    MERCREDI 11 AVRIL - 19H30
    SOIRÉE « CONTRE LES ÉLECTIONS »
    La démocratie c’est toujours le capitalisme qui s’engraisse. Face au spectacle électoral, discutons sur le thème des élections et de la démocratie en général. Nous vous invitons à apporter des textes qui vous plaisent afin de les lire ensemble et d’en débattre. Voter bien, voter rien !

    LUNDI 16 AVRIL - 16H30
    RENDEZ-VOUS DU COLLECTIF « PRENONS LA VILLE »

    DIMANCHE 22 AVRIL - 16H
    CINÉ CLUB « CHAROGNES POLITICIENNES »
    1ÈRE SÉANCE À 16H : SUCRE AMER, UN FILM DE YANN LE MASSON (1963, 24 MIN)
    En 1963, à la Réunion, Michel Debré, Premier ministre du général De Gaulle, vise le poste de député. Yann Le Masson suit sa campagne mouvementée. Son film restera interdit en France pendant 10 ans.
    ENTRACTE : FILM SURPRISE D’ÉDUCATION CIVIQUE ANIMÉE... 2ÈME SÉANCE À 17H30 : MAMAN KUSTERS S’EN VA AU CIEL, UN FILM DE RAINER WERNER FASSBINDER (1975, 105 MIN)
    M. Kuster, ouvrier, tue un dirigeant de son entreprise et se suicide. Délaissée par ses enfants, sa femme affronte seule les humiliations de la presse a scandale et les tentatives de récupération politique.

    JEUDI 26 AVRIL - 19H
    PERMANENCE « CONTRE LA PSYCHIATRIE » MONTAGE AUDIO « LA FABRIQUE DU PATIENT » (S4MN), SUIVI D’UNE DISCUSSION.
    Témoignages, paroles croisées sur l’hospitalisation psychiatrique (l’admission, le traitement, le rapport soignants-soignés, la sortie).

    SAMEDI 28 AVRIL - 18H
    APÉRO DE SOUTIEN AU LOCAL
    C’est l’occasion de se rencontrer et pour ceux qui le souhaitent, de contribuer matériellement au local. Nous avons besoin d’argent pour les frais de fonctionnement (loyer, électricité, internet, photocopies, etc.) et nous cherchons toujours des archives sur les luttes passées ou présentes, des livres de critique sociale pour la bibliothèque… N’hésitez pas à apporter à boire et à manger !

    LUNDI 30 AVRIL - 19H30
    PRÉSENTATION/DISCUSSION AUTOUR DU LIVRE « OUBLIER FUKUSHIMA », SUR LA GESTION DE LA CATASTROPHE NUCLÉAIRE EN COURS DEPUIS LE 11 MARS 2011. EN PRÉSENCE DES AUTEURS.
    « Je ne veux plus y retourner. Là-bas, la vie a été effacée », explique une grand-mère japonaise qui a fui la zone contaminée. La catastrophe dans laquelle se débattent les Japonais n’est pas seulement un aperçu de ce qui nous attend partout ailleurs, c’est aussi le miroir grossissant de notre condition présente, celle de prisonniers d’un monde clos. Quelle existence reste-t-il à mener avec un dosimètre autour du cou ? De Tchernobyl à Fukushima, du Japon à la France, des textes, des récits, des documents. Pour contribuer à l’histoire immédiate du désastre nucléaire. Pour nourrir quelques esprits qui refusent de se résigner.


    sources :
     




    [Le viol c’est…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le viol c’est…]. — Lille : l’ Échappée (Lille), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : femmes  ; sexisme et homophobie  ; violence
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Le viol c’est…

    Chaque année en France, 75 000 sont violées et 90 % des femmes d’entre elles ne portent pas plainte.

    Dans 75 % des cas, l’agresseur est connu de la victime. Pourtant, lorsque c’est un copain ou un membre de la famille, la gravité de l’agression a tendance à être minimisée.

    Ces agressions sont inacceptables et doivent être dénoncées.
    Le silence et le secret ne rpofitent qu’à l’agresseur.

    Imposer un rapport sexuel par la force, la menace ou la surprise, est un viol et c’est un crime puni par la loi.

    On a le droit de refuser un rapport sexuel jusqu’à dernier moment.

    Que faire en cas de viol ?

    Pour l’entourage :
    - Écouter, croire et soutenir la personne dans les démarches
    - En parler à des professionnels

    Pour la personne :
    - Ne pas rester seul-e et en parler à une personne de confiance
    - Ne pas se sentir coupable
    - Se rendre au service de médecine légale de l’hôpital le plus proche ou consulter le plus vite possible un médecin

    Téléphoner de façon anonyme et gratuite à :

    SOS Viol Femmes Informations : : 0800 05 95 95

    Violences Femes info : 3919

    Jeunes violences écoute : 0800 20 22 23

    Fil santé jeunes : 3224

    À Lille : L’Échapée : 06 30 89 27 33 lechapee.over-blog.com

    Extrait du site du Planning familial : www.planning-familial.org


    sources :
     


    [Maintenant, la chienlit c’est lui !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Maintenant, la chienlit c’est lui !]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : rouge , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin détourné de Mai 1968 à Paris (deux présidents de la République : Charles de Gaulle et Nicolas Sarkozy)

    texte :

    Maintenant

    la chienlit c’est lui !


    sources :

    sérigraphie ?


    1968

    2010
    Affiches liées



    [Marco Camenisch : une vie rebelle]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Marco Camenisch : une vie rebelle]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux ) ; 69 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Camenisch, Marco (1952-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (garçon brandissant un lance pierre)

    texte :

    Marco Camenisch

    une vie rebelle

    Marco Carmenisch [Camenisch], montagnard, anarchiste, saboteur de l’industrie nucléaire, dynamiteur de ce qui dévaste le territoire, évadé, réarrêté, il est en prison depuis vingt ans, la tête haute, prenant part à toutes les batailles pour la liberté.

    Prisonnier en Suisse depuis 2002, Marco qui a déjà purgé les deux tiers de sa peine pourrait sortir. Mais la vengeance de l’État helvétique continue, implacable, contre qui ne se plie pas à sa volonté. Accusé, non pas des délit pour lesquels il a déjà été condamné, mais bien pour sa vie qui, aux yeux de tous pouvoirs, demeure indifférente aux remords.

    Marco doit retourner sur les sentiers de la liberté ne le laissons pas seul aux mains de l’ennemi

    anarchiche e anarchici


    sources :

    Il existe une version en allemand :
    https://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=317007





    [Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne  ; Allemagne : histoire : 1945-1989 (Est )
    • Noms cités (± liste positive)  : Gauger, Christian (ca1941-....)  ; Suder, Sonja (ca1932-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos (banderoles)

    texte :

    Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger

    Le 14 septembre 2011, Sonja Suder et Christian Gauger, dont l’extradition avait été refusée par la France en 2001, ont pourtant été extradés vers l’Allemagne. Cette véritable forfaiture a été permise par la signature de nouveaux accords franco allemands… à effet rétroactif !

    Accusés d’avoir appartenu, il y a 35 ans, aux RZ (Cellules Révolutionnaires), ils ont été emprisonnés dès leur arrivée à Francfort, dans l’attente d’un procès. L’accusation tente d’établir leur participation à des actions contre l’armement nucléaire de l’Afrique du Sud de l’apartheid, la gentrification des quartiers populaires et le mondial de foot dans l’Argentine de la dictature militaire.

    Christian a été libéré, son état de santé ayant été reconnu incompatible avec une détention, mais Sonja reste emprisonnée, sa mise en liberté provisoire ayant été refusée par deux fois.

    Après ce deuxième refus, Sonja avait engagé contre ses juges une requête en récusation.

    Dans leur argumentaire pour refuser sa mise en liberté provisoire, ses juges manifestaient en effet un manquement évident à leur « devoir d’impartialité », pourtant la plus importante des règles formelles d’un « procès équitable », règles qui sont censées être les leurs ...

    Au centre des accusations qu’ils font peser sur Sonja, celle d’une implication dans la logistique de la prise d’otages dite « des ministres de l’OPEP » à Vienne, en 1975. Pour étayer leur « conviction », ils s’appuient exclusivement sur le témoignage de Hans Joachim Klein, qu’ils évaluent, avant même le procès, comme vrais !

    Pourtant sa parole a déjà été reconnue non probante par le tribunal de Francfort : en 2001, à son procès, il a mis en cause un autre militant par le même témoignage qui concerne aussi Sonja, et ce dernier a été acquitté, les juges reconnaissant la "non fiabilité" de la mémoire de celui qu’ils qualifient de « témoin de bonne volonté » Klein bénéficiera, à l’issue de son procès, allègement et d’aménagements de peine, suivis d’une grâce officielle.

    La requête en récusation de ses juges par Sonja a été repoussée par une décision du 29 février.

    Cet acharnement judiciaire, même pas dissimulé, montre bien une volonté d’Etat de punir Sonja pour le fait d’avoir, il y a 35 ans, choisi la liberté et de ne pas vouloir, aujourd’hui, participer à un simulacre de rite processuel : Sonja et Christian ont décidé de répondre aux inquisitions des juges par leur silence. Ils s’opposent ainsi à la volonté d’intimidation et de criminalisation des derniers « témoins » des mouvements des années 70.

    Sonja est emprisonnée depuis 6 mois, durée maximale "normale" de l’incarcération préventive en Allemagne. Une troisième demande de mise en liberté provisoire a été faite.

    En cas de refus, Sonja, risque une longue incarcération : le procès est prévu en Juin et la longueur traditionnelle des jugements en Allemagne, les conditions particulières liées à l’état de santé de Christian, le calendrier de l’année judiciaire, se conjuguent pour rendre possible cette punition préventive aberrante et intolérable.

    Samedi prochain 21 Avril à 16 h 30
    à l’Espace Louise Michel, 42 ter rue des Cascades Paris 20e Projection de films témoignages
    Débat en présence de l’avocat de Sonja suivis d’une soirée amicale à la maison ouverte,
    67 rue de la Mare Paris 20e


    sources :

    www.stopextraditions.org


    2011
    Affiche liée



    [Une cantine pour cantiner]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Une cantine pour cantiner]. — Marseille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …  ; benefiet - collecte de fonds
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (trou de serrure)

    texte :

    Une cantine pour cantiner

    En prison, “la cantine” est le magasin interne à la taule et “cantiner” permet au prisonnier d’acheter (bouffe, yabac, courrier, etc.), le tout au bon vouloir de la matonnerie qui en fixe les prix, le jours, les heures et même son accès, faisant de la cantine aussi, un moyen de (ré)pression.

    À quelques-uns, nous avons choisi d’envoyer un mandat mensuel à Michel G., un prisonnier à permet’, un égaré du temps, qui depuis presque 30 ans croupit dans les prisons françaises. Après toutes ces années faites d’isolement et de mitard, de fouilles et de transferts, d’évasions et de cavales, de lutte et d’insoumissions, il résiste, comme tant d’autres.

    Alors, entre l’envie d’aider Michel à ne plus avaler, tous les jours, une gamelle de merde pleine de cachets, et le désir de se retrouver autour d’une bonne bouffe pleine de rencontres, est né l’idée d’organiser tous les mois une cantine à prix libre.

    Une cantine pour cantinier, une cantine contre la prison e le silence de l’enfermement, une cantine pour partager notre appétit de solidarité et pourquoi pas l’étendre à d’autres prisonniers et prisonnières.

    Prix libre

    Avec ou sans viande

    Le 2e vendredi du mois de 19 h à 23 h
    à la Kuisin, 36 rue Bernard (Belle de Mai)


    sources :

    https://www.millebabords.org/spip.php?article22269 :
    14 déc. 2012 — Une cantine pour cantiner. C’est la CANTINE POUR CANTINER, bouffe en solidarité pour permettre à. Michel.G, prisonnier longue peine de cantiner.




    [Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , rose , jaune , papier blanc ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (silhouette de manifestation, mats de hauts-parleurs et de sirènes ?, feux d’artifices)

    photo (pavage de rue, barbelés)

    texte :

    Vers le centre de rétention de Vincennes

    manifestation sonore et nocturne

    Les centres de rétention comme les autres lieux d’enfermement sont un des moyens répressifs pour l’État d’asseoir son pouvoir et d’étendre le contrôle sur la société. Ils sont banalisés et admis comme faisant partie d’un système qui fonctionne du mieux qu’il peut. De toute évidence, la machine rodée de la politique migratoire fait face à des individus qui ne veulent pas subir leur exploitation et leur enfermement.
    Des révoltes ont lieu dans les prisons pour étrangers en Europe et ailleurs.
    S’organiser pour lutter contre les centres de rétention et les fronti !res, c’est s’opposer aux outils de contrôle et de répression qui vont avec.

    Nous refusions de nous laisser contrôler et enfermer dans des prisons et des frontières.
    Attaquons les lieux d’enfermement et le système qui les produit.

    liberté pour toutes et tous, avec ou sans papiers

    Vendredi 16 novembre à 18 h à l’heure !
    à la gare de Joinville-le-Pont (RER A)


    sources :
     



    [10e Critérium sauvage des Cascades, 29 septembre 2013]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    10e Critérium sauvage des Cascades, 29 septembre 2013]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 64 × 46 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : sport
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (café, lieu d’arrivée, avec skate et vélos garés)

    texte :

    Commune de Bellevill’Montant

    Avis à la populasse !

    Dimanche 29 septembre 1913 - 14 h

    10e Critérium sauvage des Cascades

    Déroulement et parcours officieux du critérium sauvage des Cascades :
    La participation au critérium sauvage des Cascades est ouverte à tous les gonzes et gonzesses sans discrimination de quartiers d’origine (banlieue, province, et étranger compris). Les inscriptions se feront de 14 h a 14 h 30 juste avant le départ au bistroquet dit « La Fontaine d’Henry IV » sis au 42 bis rue des Cascades à Ménilmontant. Le critérium se fait en 10 tours du parcours suivant (hors trichailleries de bon alois) : départ vers 14 h 30 rue des Cascades, devant l’trocson - descente rue des Savies - remontée rue d’la Mare - descente rue des Couronnes - descente rue Henri Chevreau - remontée rue de l’a Mare (en entière c’coup ci I) - sprint de fin de tour par la rue des Cascades, et on r’commence… Jusqu’à la fin, mais on a le droit d’abandonner.

    Règlement non officiel du critérium sauvage des Cascades :
    Le matériel vélocipédique devra être composé d’au moins une roue mue par la force mécanique, intellectuelle ou pataphysique des concurrent-es. Engins à 3 roues ou plus ainsi que les variantes manufacturées (tandems par exemple) ou bricolées (caisses à savon et autres machines infernales) sont bien sûr autorisés (pas de rollers bien sur). Le dopage est laissé à l’appréciation de chaque participant-es… 3ème mi-temps aura lieu dès la fin de la course. Il faut tout de même effectuer au moins un tour du quartier pour accéder au tableau de classement de l’héroïsme local. Il n’y aucune récompense ni gain à espérer, la casquette Number one étant remise en jeu chaque année, mais on la recherche car les rigolos vainqueurs du 8e criterium ne l’ont pas rapporté, tsss…

    Animation musicale toute l’aprèm avec :

    Le Zoubir Orchestra, Riton la Manivelle, et la fanfare Vent de panique


    sources :
     



    [Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]. — Marseille : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : culture  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte en noir

    filigrane orange (gravure de ville en flammes et inondée — avec humains et guitare dans le flux)

    cadre noir

    texte :

    depuis dix ans Euromed vous fait chantier…

    … avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…

    Depuis 1995, l’opération Euromed impose aux habitants de Marseille une réorganisation totale du centre-ville, aseptisé et sécurisé. Du sur mesure pour les cadres nouvellement installés à la Joliette et les touristes toujours plus abondants dans la capitale pressentie de la future Union euro-méditerranéenne (vaste entreprise de pompage d’énergie et de main d’œuvre des pays du Sud). Cela se traduit pour une grand nombre d’entre nous par la nécessité de partir se loger dans des zones périphériques, chassés pas l’augmentation des loyers et bien d’autres dispositifs de répression économique, quand il ne s’agit pas de rafles et de déportations pour les sans-papiers. Le but du jeu : canaliser encore mieux la circulation de la marchandise, évidemment.

    La nouvelle carte sortie du chapeau : « marseille2013capitaleeuropéennedelaculture », bond en avant dans la mortification de l’ambiance urbaine.

    Avec « marseille2013 », il s’agit pour les gouvernants et les entrepreneurs non seulement d’étendre, vers la Belle-de-mai et Arenc, cette refonte de l’espace, mais aussi de créer un décor scintillant pour faire passer la pilule de la destruction des cultures de résistances et de solidarités (lutter, c’est vivre) : l’alibi culturel n’est qu’un masque jovial, nous divertissant du contrôle et de la collaboration toute citoyenne. Mais l’idée qu’ici le capital n’avance plus à un coup de canon mais précédé d’une milice dansante, bruissante, bigarrée, d’artistes en costumes et de branchés, ne nous est pas encore familière. Pourtant, les artistes (même les « scandaleux » ou les « rebelles ») ont trop souvent été l’avant-garde dévoyée à la pacification des quartiers les plus agités : il suffit de voir comment le Panier, envahi par les ateliers d’artistes et les boutiques d’artisanat subventionnés par la mairie, a été ravalé en « quartier typique et authentique ». Et cela nous rappelle la fonction des acteurs socioculturels, des salles de sport et de concert, après les grandes émeutes du début des années 1980. Avec leurs « armes culturelles de dialogue et de collaboration », ce projet est clairement une bataille de plus dans la guerre sociale en cours, à Marseille comme ailleurs.

    Alors face à cette nouvelle machine de guerre, dont le redéploiement des forces d’occupation du territoire est l’aspect le plus visible, il ne s’agit pas de ne pas collaborer ou d’en profiter pour grappiller quelques subventions, mais bien de passer dans les rangs ennemis, d’imaginer, organiser et diffuser tous les gestes mutins d’une résistance offensive.

    urbanistes, flics, artistes nous construisent ce monde de merde

    détruisons ce qui nous détruit


    sources :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Eurom%C3%A9diterran%C3%A9e
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marseille-Provence_2013







    [Torture en démocratie, 25 octobre 2013 au théâtre Le Local]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Torture en démocratie, 25 octobre 2013 au théâtre Le Local]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Gauger, Christian (ca1941-....)  ; Suder, Sonja (ca1932-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (3 juges-médecins autour d’un corps placé dans un lit-cercueil)

    texte :

    25 octobre 2013 à 20 h au théâtre

    Le Local

    18 rue de l’Orillon
    Paris 11e
    métro Belleville
    Tél : 06 85 14 05 21

    Torture en démocratie

    Procès de Sonja Suder et Christian Gauger
    Vers un nouvel automne allemand ?

    Texte : Jean Pierre Bastid - lecture mise en espagne : Andrea De Luca
    Voix off : Wolfgang Kleinertz, Maria Cristina Mastrangeli, Michele De Luca
    Idée originale : Dominique (linter)
    Images montage vidéo : Claire Kramer, Marie Vachette

    Participation aux frais : soutien solidaire

    1978. L’automne en Allemagne. Alors que l’État allemand pourchasse de nombreux présumés activistes, Sonja Sufer et Christian Gauger décident de quitter l’Allemagne pour se réfugier en France.
    Contre Sonja et Christian, les dires de Joachim Klein, repenti visant un allègement de peine et les déclarations d’un jeune militant, Hermann F., interrogé alors qu’il est grièvement blessé.
    Les méthodes médiévales de l’Inquisition sont enrichies de techniques d’interrogatoires plus modernes.
    Hermann F., est maintenu à l’hôpital sous surveillance policière pendant quatre mois et soumis à l’isolement total. Hermann F. a désavoué dès sa sortie ces « aveux » arrachés sous la torture.
    Le tribunal de Franckfort les utilise pourtant pour fonder l’accusation contre Sonja Suder.
    35 ans après, en 2011, Sonja Suder et Christian Gauger seront extradés de France vers l’Allemagne pour passer en jugement à Franckfort. Le verdict est prévu le 12 novembre 2013.

    www.stopextraditions.blogspot.fr — www.linter.over-blog.com


    sources :

    https://stopextraditions.blogspot.com/2013/10/demain-25-octobre-tous-au-local-pour.html







    [Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; technologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    illustration (sorte de “Big Brother”) par ?

    texte :

    Lille 21 & 22 janvier 2014

    Contre la société de contrôle

    Refusons le forum de la cybersécurité

    Les polices en rêvaient, la technologie l’a fait : la surveillance est totale

    Six mois après les “révélations” sur la NSA, policiers, militaires et industriels de l’armement organisent un Forum internationale de la cybersécurité. Même la Stasi n’aurait pas imaginé un tel rassemblement pour exposer ses dernières trouvailles en matière de contrôle des populations : géolocalisation, écoutes, fichage, quand la vie privée n’existe plus, le pouvoir est sans faille.

    Face à l’œil inquisiteur de l’État, nous agissons. Nous refusons que les professionnels de la contention sociale se réunissent. Nous refusons leurs guerres économiques et militaires, intérieurs et extérieures ?

    Nous voulons vivent libres


    sources :
     




    [La police assassine, ni oubli, ni pardon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La police assassine, ni oubli, ni pardon]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (policiers avec lance-grenades)

    texte :

    La police assassine

    ni oubli, ni pardon

    Depuis plus d’une semaine, des actions et des manifs ont lieu partout en France et ailleurs suite à la mort de Rémi Fraisse qui manifestait contre la construction d’un barrage à Sievens (Tarn). Cette mort survient après de violentes interventions policières répétées contre des opposants à des projets capitalistes.

    Pour défendre l’ordre social, l’État et sa police utilisent de manière systématique du matériel militaire : grenades offensives, tasers, flashballs, lacrymogènes, etc. qui provoquent de plus en plus souvent des blessures graves et des mutilations, parfois la mort.

    Dans les quartiers, dans les luttes, en prison et aux frontières la police tue !

    Si l’on parle aujourd’hui d’un mort en manif, il ne faut pas oublier que la police, la justice et l’État mutilent et tuent de manière quasi quotidienne et plus discrète dans les rues, dans les prisons, aux frontières — comme à Calais. Ce sont toujours les mêmes qui sont visés : habitant-es des quartiers populaires, précaires, pauvres, personnes en lutte.

    Médias et politiques omettent de parler de ces violences policières pour se focaliser sur quelques dégâts matériels lors des révoltes et manifestations. Ils tentent ainsi de diviser et de faire oublier les raisons de la colère alors que la multiplicité des modes d’action fait la force des luttes.

    Il faut replacer le meurtre de Rémi dans une histoire longue où la police apparaît très clairement pour ce qu’elle est : un appareil d’État chargé de maintenir l’ordre économique, politique et social (capitaliste, raciste et patriarcal) par l’usage de la violence.

    Elle est chargée de dominer, bannir et soumettre les couches sociales qui auraient le plus intérêt à se débarrasser de ce système parce qu’elles en bénéficient le moins.

    De Zyed et Bouna (2005, Seine-Saint-Denis) à Lahoucine Ait Omghar (2013 — Pas-de-Calais) et à Rémi Fraisse (2014), nous ne vous oublierons pas !

    Manifestation samedi 8 novembre à 18 h, Grand-Place, Lille


    sources :
     

    2014
    Affiche liée



    [Le travail est un crime]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail est un crime]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (émeutier ? dans une rue vide)

    texte :

    Le travail est le plus grand affront et la plus grande humiliation que l’humanité ait commis contre elle-même.

    Le travail est la grande malédiction. Il produit des hommes sans esprit et sans âme.

    Quand nous cesserons de travailler, enfin la vie commencera pour nous.

    Le travail est un crime

    Je ne prétends pas qu’il faut tout simplement quitter son patron demain et voir ensuite comment bouffer sans travailler, en étant convaincu que la vie commence. Si on est contraint de vivre dans la dèche, c’est déjà assez malheureux, le fait de ne pas travailler aboutissant dès lors, dans la plupart des cas, à vivre sur le dos des camarades qui ont du travail. Si tu es capable de gagner ta vie en pillant et en volant - comme disent les honnêtes citoyens - sans te faire exploiter par un patron, eh bien, vas-y ; mais ne crois pas pour autant que le grand problème soit résolu. Le travail est un mal social. Cette société est ennemie de la vie et c’est seulement en la détruisant, puis toutes les sociétés de labeur qui suivront - c’est-à-dire en faisant révolution sur révolution - que le travail disparaîtra.

    C’est alors seulement que viendra la vie - la vie pleine et riche - où chacun sera amené, par ses purs instincts, à créer.

    Créer est une joie intense, travailler est une souffrance intense.

    Tout travail est criminel.

    Travailler c’est collaborer à faire des bénéfices et à exploiter ; c’est collaborer à la falsification, à la fourberie, à l’empoisonnement ; c’est collaborer aux préparatifs de guerre ; c’est collaborer à l’assassinat de toute l’humanité.

    Le travail détruit la vie.

    Voilà pourquoi nous allons saboter consciemment chaque entreprise capitaliste. Chaque patron essuiera des pertes par notre fait. Là, où nous, jeunes révoltés, sommes obligés de travailler, les matières premières, les machines et les produits seront obligatoirement mis hors d’usage. À chaque instant les dents sauteront de l’engrenage, les couteaux et les ciseaux casseront, les outils les plus indispensables disparaîtront - et nous nous communiquerons nos recettes et nos moyens.

    Nous ne voulons pas crever à cause du capitalisme : voilà pourquoi le capitalisme doit crever à cause de nous.


    sources :
     


    [Monstre festival]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Monstre festival]. — Genève : [s.n.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , papier blanc ) ; 50 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : salon, foire
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (main tenant un foetus)

    texte :

    Monstre festival

    Festival indépendant de micro édition

    14-15-16 novembre 2014 l’usine Genève


    sources :
     


    [Mutins ! : Serge Utgé-Royo invite…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mutins ! : Serge Utgé-Royo invite…]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : chanson
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Utgé Royo, Serge (1947-....)
    • Presse citée  : Radio libertaire
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    peinture (fusil planté dans un champ de bataille) par Juan Chiara Ventura

    texte :

    Vingtième Théâtre, nouveau Théâtre de Novembre
    7, rue des Plâtriers 75020 Paris. Tél : 01 43 66 01 13. Métro Ménilmontant

    Mutins !

    Serge Utgé-Royo

    invite
    Jérémie Bossone
    Michel Bühler
    Frasiak
    Bernard Joyet
    Annick Roux
    Nathalie Solence
    Francesca Solleville…

    17-18 novembre 2014 - 20 h
    01 43 52 20 40

    www.utgeroyo.com
    [logos :] Mistiroux productions — l’autre distribution - Noirs coquelicots - SRC billetterie spectacles — fnac.com - Mistimusic shop - Mairie de Paris

    Peinture : Juan Chiara Ventura - Imprimé en France par Mistiroux Productions - Licence 2-1035881


    sources :
     


    [Quelques charognards qui vivent de l’enfermement : …]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Quelques charognards qui vivent de l’enfermement : …]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    logos d’entreprises

    texte :

    Quelques charognards qui vivent de l’enfermement :

    Sodexo
    […]

    La Compagnie des Bateaux Parisiens
    […]

    Lenôtre
    […]

    Altys
    […]

    Lido
    […]
    Les restaurants de la tour Eiffel, de Roland-Garros, des hippodromes de Longchamp et de Vincennes

    Société Générale
    […]

    Natixis
    […]

    JCDecaux

    Vélib’
    […]

    Bouygues
    […]

    Eiffage
    […]

    Vinci
    […]

    La CGT pénitentiaire
    […]

    SNP-FO personnels de surveillance

    Les prisons en feu ! Les collabos au milieu !


    sources :