CIRA (Lausanne)
Centre international de recherches sur l’anarchisme (CIRA, Lausanne)
CIRA (Lausanne)
Centre international de recherches sur l’anarchisme
Voir en ligne : http://www.cira.chAv. de Beaumont 24
CH-1012 Lausanne
SuisseinfoⒶcira.ch
métro m2 depuis la gare jusqu’à l’hôpital (CHUV), ou sortie autoroute Hôpitaux.
Pour le CIRA Lausanne, les références indiquées sur les notices de ce site sont souvent de type :
Affxxxx, Affyyyy - XXXXXX (cira L)
— la première partie (commençant par Aff) correspond aux inventaires physiques des affiches ;
— la seconde partie correspond à la notice électronique propre au logiciel (http://www.cira.ch/catalogue/index.php?lvl=notice_display&id=XXXXXX) utilisé, ici PMB.
2715 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (cœur) ]
- texte :
Vendredi 3 avril - concert non mixte
20 h bouffe — Espace autogéré Cesar-roux 30 LozanLalabolduc
Lucile & Carole, chansons crues, authentiques et toc
guinguette, violoncelle, accordéon, piano, tambourinet et voix+ djanes Lo from Geneva & Green from Canada
la furie collective [logo miroir de Vénus au poing levé] soirées féministes non-mixtes lafurie.collective@immerda.ch
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte (signé Michel Némitz)
dessin (logo d’éolienne dont les à trois pales sont séparées par : un arbre au brod de l’au, un soleil, une roue à godets)
- texte :
Le Chat déchaîné
Feuille d’agitation de la Fédération Libertaire des Montagnes #4
Les coopératives, une solution pour la région !
Par Michel Némitz, membre de l’Association « La Ruche Coopérative »
Le 23 septembre 2009 s’est créée à La Chaux-de-Fonds une association pour la promotion des coopératives. Bien qu’il existe de par le Monde et dans nos régions de nombreuses coopératives d’inspirations sociales, nous pensons que nous sommes loin d’avoir épuisé toutes les possibilités dans ce domaine. À notre avis, la création de coopératives et d’un tissu d’entreprises alternatives est un complément indispensable aux luttes. C’est pourquoi nous avons créé cette association afin d’unir nos forces, nos compétences et nos capacités créatrices dans le but de créer des entreprises dans un esprit coopératif et social.
Création de coopératives dans la région
Les économistes ont condamné les régions périphériques au dépérissement. Si nous ne réagissons pas, leur souhait risque fort de se réaliser. En nous unissant, nous pouvons créer un capital social suffisant pour lancer des projets utiles à la société et fournissant des emplois dans la région.
Les régions progressistes subissent la pression des capitalistes pour qu’elles relaient la culture dominante de démantèlement social. Avec l’arme de la délocalisation de la fuite des capitaux et de la concurrence fiscale, le libéralisme issu de la « révolution » néo-conservatrice a réussi à donner l’illusion que son modèle était le seul crédible. Cette stratégie leur a permis de sanctionner les avancées sociales en passant par-dessus les États et à désarmer les mouvements sociaux encore trop divisés et inorganisés internationalement. Cette mise au pas des États a permis aux puissances économiques de gagner une complicité inconditionnelle de la social-démocratie qui n’a pas été la dernière à organiser ce retour au capitalisme sauvage du XIXème siècle, là, où elle était au pouvoir.
Les coopératives sont, après les luttes sociales et les usines récupérées, un bon moyen de résister à cette pression en préservant un tissu socio-économique et une certaine autonomie. Elles permettent notamment :
• De récupérer du pouvoir sur son quotidien.
• D’orienter l’économie dans un sens plus environnementale, équitable et social.
• De créer des lieux de résistances face au libéralisme et ses conséquences sur l’emploi, les conditions de vie, l’environne ment et la distribution géographique de l’économie.
• De fournir des emplois aux personnes n’en trouvant plus à cause de leur combativité.
• D’expérimenter et de créer de nouveaux rapports de travail, de gestion et de production.
• De créer des emplois et de les protéger des spéculateurs.Par contre, les coopératives on leurs limites
La pression du système social et économique sur les expériences alternatives les pousse à rentrer dans le rang et à devenir des entreprises comme les autres. On l’a vu avec les coopératives de consommation (la Coop) dans le passé. Pour éviter la récupération et l’abandon progressif de ses valeurs, le lien avec les mouvements sociaux doit impérativement être maintenu. La pratique de l’autogestion est aussi une bonne protection contre les dérives capitalistes, malgré les difficultés liées à ce mode de fonctionnement dans une culture et un environnement de marché et de hiérarchie. Toutefois, l’économie alternative, même autogérée, en dehors des luttes sociales, ne peut contribuer à un changement du système social à cause de sa dépendance vis-à-vis des réalités économiques, politiques et sociales de son environnement. À l’inverse, sans cette pratique, les luttes sociales se privent d’un point d’appui essentiel en termes de résistance, de d’innovation, de visibilité, de socialisation, d’exemplarité et d’infrastructures. C’est pourquoi nous pensons que les limites que nous citons ne doivent pas nous retenir à emprunter cette voie, mais à faire comprendre la complémentarité et l’imbrication de ses différents modes d’actions sociales.
La Ruche Coopérative
L’Association « La Ruche Coopérative » a pour ambition de récolter des fonds et de rassembler des personnes pour créer un réseau de coopératives. Pour se donner les moyens de ses objectifs, elle envisage de mettre au point un système de crédit et de financement populaire. Elle réunira des informations et organisera des appuis et des formations dans les domaines qu’elle décide développer. Durant nos séances de préparation, nous avons déjà envisagé de nous investir dans les secteurs de l’audiovisuel, des énergies renouvelables et de l’informatique. Il a été aussi évoqué la volonté de mettre sur pied des coopératives de consommation visant à favoriser les petits producteurs, les productions alternatives, les produits locaux ou équitable, tout en défendant l’intérêt des consommateurs.
Comme l’indiquent nos statuts notre but général est de soutenir la création de coopératives à but social et solidaire. Et, plus particulièrement, de soutenir par ce moyen les régions périphériques ou menacées de dépeuplement ou subissant des dégradations sociales ou économiques, afin de préserver les tissus industriels, commerciaux, immobiliers, sociaux, culturels et de préserver les emplois. Elle s’emploiera à améliorer la situation de ces régions par différents moyens. Elle veillera à garder des centres de décisions de proximité. Pour ce faire, elle peut, entre autres, créer ou participer à la création de nouvelles entreprises. Elle favorisera les concepts éthiques, démocratiques, sociaux, autogestionnaires, écologiques, de développement durable et d’amélioration des conditions travail et du cadre de vie.
Si son rayon d’action est prioritairement l’arc jurassien, elle peut déroger à cette limitation géographique dans certains cas exceptionnels définis par l’Assemblée Générale, notamment, pour aider à la création d’un réseau de sociétés partageant des buts similaires.
Il nous faut désormais arriver à faire prendre conscience à une large partie de la population de l’intérêt collectif et personnel qu’elle peut trouver dans l’instrument que nous voulons mettre sur pied. Ainsi, nous pourrions réunir les moyens nécessaires à la création de ces coopératives. Ils ont la puissance de l’argent, nous avons le nombre, si nous sommes unis. Si les salariés, petits artisans, chômeurs, étudiants donnent, ne serait-ce que 100.— Fr. pour former un capital suffisant, nous pourrons commencer à nous donner les moyens pour résister à la crise actuelle et contribuer à construire un autre monde.
Nous appelons toutes les personnes intéressées par nos buts à souscrire à adhérer à notre association ou à nous contacter pour en créer d’autres dans différentes régions où, si elles existent déjà, à se fédérer avec nous.
Pour nous contacter :
Association « La Ruche Coopérative », case postale 2382, 2302 La Chaux-de-Fonds. Ruche.coop@espacenoir.ch 032/ 941.35.35 (Espace Noir, le matin, demander Michel) 078/ 829.07.22. Ccp : 10-238515-9.Fédération Libertaire des Montagnes (FLM)
CP 569 / 2301 La Chaux-de-Fonds / flm.osl@espacenoir.ch
Les personnes qui désirent afficher ce texte sont priées de le faire aux endroits autorisés- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (présentation spectacle) ; dessins (oiseaux et d’une danseuse, sigle Espace noir) ]
- texte :
[logo] Espace noir
Rue Francillon 29, 2610 St-Imier — 032/ 941.35.35 — www.espacenoir.ch
Samedi 7 mars 2009 à 20 h 30
[logo]Compagnie
Les Oiseaux de passage
Danièle Golan — Martine Meyer — Jean-Roger Laforge
Piments noirs
Sur le mode poético-burlesque, les trois auteurs-interprètes peignent la condition humaine en combinant chanson, texte, musique et jeu théâtral.
Décapsulant ![dessin]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (scène d’AG en amphi, avec quelques visages floutés) ]
- texte :
Libérons-nous de tout ce que l’État et la capitalisme nous imposent !
Au bureau, à l’usine, à la fac, dans la commune et ses quartiers
Pas de liberté sans égalité économique et sociale
- assemblées générales souveraines
- mandatements révocables
- entre-aide
- rotation des tâches et des postes clés
Coordination des groupes anarchistes
Secrétariat : c/o CES, BP 40233, 66002 Perpignan
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
Imprimerie SARL "Atelier 26" 26270 Loriol
Vu aussi sur : http://www.c-g-a.org/?q=materiel/d-mocratie-directe
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; 2 photos N&B (yacht de luxe, bateau chargé de réfugiés)
- texte :
Patrons, actionnaires, députés, sénateurs, présidents
Salariés, chômeurs, sans-papiers, RMIstes, sans-abris
On n’est pas tous sur le même bateau !
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
Pour l’égalité économique et sociale
Coordination des Groupes Anarchistes - Secrétariat : c/o CES, BP 40233, 66002 Perpignan Cedex, www.c-g-a.org
Imprimerie "Atelier 26" - 26270 Loriol
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte noir et rouge ; image noire et verte (personnes franchissant une clôture) ]
- texte :
Pour les droits des migrants, contre le délit de solidarité
À Calais, le 27 juin 2009, manifestation transnationale pour la liberté de circulation et d’installation
RDV 10 h, au phare de Calais
Premiers signataires : AC! région NPDC — AC! Métropole lilloise — Les Alternatifs — Alternative libertaire — Agir pour la citoyenneté au Maroc — Association pour la citoyenneté en Algérie — Association la Nouvelle génération du Nord — ATTAC Roubaix Tourcoing — ATTAC Valenciennes — Bürengruppe Paderborn (Allemagne) — Chiche! Lille — Comité des Sans Papiers 59 — Confédération Nationale du Travail — Coordination des Groupes Anarchistes — ELAF 81 — Fédération Anarchiste — Fédération nationale SUD Santé Sociaux — Fédération SUD Étudiant-e — Fédération SUD Éducation — Les Flamands rose — Groupe D’Anarchistes de Lille et Environs — La Fédération (Gauche alternative Lille) — Marée noire — Mémoire vive — MRAP Dunkerque — No-Racism.net — Nouveau Parti Anticapitaliste — Région 59/62 Métallurgie CGT — Réseau No Border UK — RESF/UCIJ 84 — SGAD Esterra — SUD Éducation Nord Pas-de-Calais — SNESUP-FSU-Littoral — Syndicat Unifié du Bâtiment/CNT 68 — Terre d’Errance Norrent-Fontes — Union locale CNT Lille — Unions Syndicale de la Psychiatrie — Union syndicale Solidaires Nord Pas-de-Calais
L’image a été décliné en plusieurs affiches et papillons/flyers.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (danseur et coq, symbole squat sexué) ]
- texte :
Übt Solidarität mit Squat Chéserex
samedi 28 février 2009 - espace autogéré
Ed Mudshi free punk, Marseille
The Raspoutine Smoked Band balkancore, local
RadicalConsensus.ch broken dancefloor, Lillechœur mixte libre intercommunal « Le Vent des Glottes »
20.00 repas - 22.00 concerts - Bar PMU, courses de chevaux en direct · César-Roux 30, LS
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte noir ; image noire et grise (personnes franchissant une clôture) ]
- texte :
Un camp No Border à Calais / Calais No Border Camp
Discussions ; Actions ; Rencontres/Meetings ; Manifestations/demonstrations
23-29 juin/June
http://calaisnoborder.eu.org
La liberté de circulation pour tous et toutes, la fin des frontières et des contrôles migratoires / Freedom of movement for all, an end to borders and to all migration controls
Même papier que Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison (2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (typo) ; dessin n/b (divers personnages monstrueux lisant — dont « Politcs for kids » — ou poussant des livres géants ; un A cerclé discret dans l’image) ]
- texte :
9ième foire internationale du livre alternatif & libertaire
Gand
Entrée libre
[ ill. Joris ]
Samedi 17 avril 2010 — 10-20 h
’De Centrale’ — Kraankindersstraat 2, 9000 Gent
Foire du livre — Festival des arts
conférences — exposition — performances
stands de Belgique, France, Pays-Bas, Angleterre & Allemagne
Informations : www.aboekenbeurs.be • aboekenbeurs@yahoo.com
Organisation : Ilia vzw en collaboration avec AK-Univ & Infomania
dès 21 h : La Femme Belge (swing, BE), Rotterdam Ska-Jazz Foundation (ska-jazz, NL) & DJ Government’s Kryptonite (5 €)
v.u. : Isabelle Berkman, Sint-Pietersnieuwstraat 45, 9000 Gent
Repéré sur : http://www.anarchy.be.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo de la couverture du livre(trois femmes en manifestation, jaune sur fond noir) plus petit encart photo couleur d’une manifestation) ]
Les couleurs principales sont des jaunes et du noir pour garder les tonalités de la couverture du livre.
- texte :
¿En Oaxaca, no pasa nada ?
de Émilienne Tempels
« Ce film nait du désir de comprendre ce qui anime une femme ou un ancien à sortir de sa maison et construire des barricades ». [encart photo couleur]
Le film sera projeté à l’occasion de la présentation du livre de
[couverture :]
Pauline Rosen-Cros
¡Duro compañer@s ! : Oaxaca 2006, récits d’in insurrection mexicaine
éditions Tahin party
Suivi d’une rencontre avec l’auteure et la réalisatrice, organisée par le collectif La Digne Rage et le Groupe D’Anarchistes de Lille et Environs avec le cinéma L’Univers.
À Oaxaca, il ne se passe rien ?
Année : 2009
Durée (min) : 44’
Sous-titres : français22 nov 19 h 00, Cinéma L’Univers ; 16, rue Georges-Danton, 59000 Lille-Moulins, bus C1 ou C2, métro Porte de Valenciennes, [logo parking vélo]
— Exposition photographique
— petite restauration et bar assocaitifSuivez les informations : vendredi 19 nov. à 19 h « Torre Latino » et 20 h « La Voix sans maître » sur Radio Campus 106.6 FM
Soirée de soutien au peuple déplacé de San Marcos Avilés, Chiapas, Mexique
info : 06 38 78 40 58, collectifdignerage59@gmail.com
Entrée à prix libre
Tirage à 50 exemplaires.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
A spectre is haunting us
Time and time again we read about people who attack buildings, cars or the infrastructure of certain institutions in different ways. In the chorus of the media, loyal to the state, they are often considered as „vandals" or „chaots" and if that is not sufficient, then the construct of the terrorist serves to suffocate in advance any possible reasoning behind. That is exactly what happened to the 3 anarchists, who were arrested on 15th of April in Langnau am Albis (Switzerland). Allegedly on the way to attack a research center of IBM. A place among many at which, far from our everyday lives, the deepening of control on the life on this planet is researched at : genetic engineering, surveillance, nanotechnologies…
Why should this be blown up ?
We have been drowned in an technological ’high gloss-nightmare’, in which dead matter weighs more than our lives. The new god that is ruling over everything is the economy. „Economy has to be well" goes the saying, „so that we can feel well also." But behind this basic attitude, that any type of progress would be anyway good, veils the fact, that only few are profiting from that progress. Those who let themselves be exploited day after day, will have noticed by now, that despite all the incredible ongoing research, we are not working less, but simply more efficient. And we are not living more qualitative, but we consume more. With each novelty we are promised a better and simpler life, whereas the following disappointment is compensated by the promising of even more novelties. We crave for fata morganas like someone dying of thirst in a desert.
What is developed in the mentioned IBM center is advancing a level deeper. Because genetically manipulated organisms and nanoparticles, as well as radioactivity of nuclear waste, are incraving themselves irrevocably into this world which we inhabit. It doesn’t need much understanding to see that also these efforts are serving purely
the logic of progress of capitalism. Since the whole planet is under its domination, capitalism is now trying to deepen it - and that to the last detail.Since centuries industrial technology is the essential factor for the reformation of society, and therefore of the economy and the state. Again and again it is supposed to bring alleged solutions for social problems. Social problems that it helped creating. By now it managed to make itself indispensable. Without technology the immense accumulation of commodities and the therefore necessary generalized submission and control of the working mass would be impossible. It didn’t just make the people more alienated towards the world, but also towards themselves. The social order in which we live, functions only by the more and more absurd specialization of our occupations, the more and more extensive control over all living beings, the more and more efficient exploitation of our work capacity and a generalized impoverishment of human relations.
The apparently untouchable justification for that is purely the maintenance of the prevailing. The question for the living conditions is not raised. After all it could persuade us to the realization, that it is not us as individuals who are reason for our sorrow, but the social order and that there has to disappear quite a lot, in order for us to finally breathe freely. We think that social existence doesn’t gain value by technological progress, but by common ethical and social considerations. The development which we strive for, goes towards a life, that lies with us to decide about, without to serve and without to rule. And this development starts with the revolt against everything, which keeps us from doing so.
Therefore we recognize us in the three anarchists, who are now spread out in Swiss prisons. We feel solidarity for each attempt to cast off the shackles in order to stand up against the ongoing annihilation of life and the (self-)enslavement of the human kind. And one of the first shackles that we therefore cast off, is the one of our heads, which makes us believe, that we anyway cannot do anything and which keeps us trapped in lethargy.
Therefore for everyone who - for what reason whatsoever - is fed up with all the social constraints and control, fed up with all the lifeless products and senseless works, the hate that is sown, in order to fight among us, instead of together against the misery. To all those whos hearts is beting faster, when people attack what they think is the origin of their discontent : come out and make visible through the diversity of your forms o sabotage, that something completely different is possible.
Freedom for the three anarchists Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : Ein Schreckgespenst geht um (original German poster)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image (silhouette d’homme avançant contre le vent, parapluie retourné) ]
- texte :
Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison
Il arrive qu’une bourrasque réchauffe l’atmosphère glacée de la résignation quotidienne. Depuis des années, en Belgique comme ailleurs, le temps est à l’orage dans les prisons et les centres fermés pour migrants : mutineries, évasions, incendies…
De l’autre côté des murs, des luttes cherchent à se frayer des chemins dans la rue, des grains de sable tentent d’enrayer les rouages de la machine à expulser.
En mai dernier, des détenus du centre fermé 127bis mettent une nouvelle fois le feu à leurs cellules.Pour garder la température en dessous de zéro, l’État fait construire un nouveau centre fermé spécialement conçu pour les détenus trop chauds. Il viendra s’ajouter aux 6 centres déjà en fonctionnement en Belgique.
Dans le même temps, 10 nouvelles prisons sont en projet de construction, la présence policière augmente dans les rues, les dispositifs de prévention et de contrôle sont perfectionnés pour éviter tout pic de chaleur à l’intérieur comme à l’extérieur des murs.Nous, nous préférons la chaleur d’une révolte à celle d’une couette où nous cacher à jamais pour oublier la froideur du monde.
Nous nous reconnaissons dans l’embrasement d’un quartier quand la police assassine ; dans une grève des écoliers qui refusent d’être formatés ; dans un « Soyons ingouvernables » tagué sur un mur ; dans l’attaque d’un portillon de la STIB ; dans une auto-réduction d’un supermarché où le contenu des caisses est brûlé ; dans le sabotage d’un chantier d’une entreprise qui construit le nouveau centre fermé…
Autant d’actes issus d’histoires, de contextes différents qui peuvent prendre des formes diverses mais qui partagent des désirs en contradiction totale avec ce monde glacé.
Ce sont des coups de vent chauds qui dégagent l’espace pour reparler d’un vieux désir : la liberté. La liberté partagée, celle qui se construit en refusant d’écraser l’autre.
Pour qu’ici, là-bas ces actes de révolte se multiplient et se diffusent,
Pour qu’ici, là-bas, on reprenne l’espace d’expérimenter et de reprendre goût à cette liberté.Que souffle le vent de la révolte !
Paru vers le mois d’août 2010. Même papier que Un camp No Border à Calais (2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (femme et pistolet) ]
- texte :
Braquons l’existant
Nous n’attendons plus rien de cette société. Ce qu’elle nous impose nous dégoûte ; ce qu’elle nous offre ne nous intéresse pas. Nous ne voulons plus succomber à la routine du travail pour gagner quelques miettes en échange de notre obéissance ; nous ne voulons plus avoir comme seuls rêves ce que la télévision nous montre.
Ils nous ont déjà tués des milliers de fois. À l’école, où ils nous ont inculqué que suivre le troupeau est mieux que de créer obstinément son propre chemin. Au travail, où les rythmes de la production et les exigences de l’argent étouffent le battement de nos cœurs qui aspirent à la liberté. À la maison, où les antidépresseurs et la tradition familiale nous noient dans l’habitude de la résignation. En prison ou centre fermé, où la société nous confirme que nous sommes indésirables. À l’église, la mosquée ou la synagogue, où la promesse d’un paradis en échange d’une morale autoritaire fait oublier que c’est que dans le présent que nous vivons. Ce monde aime la mort et refoule la vie.
Cette société tient tout le monde en laisse ; la seule différence, c’est la longueur. Nous ne sommes pas de ceux qui se battent pour un collier moins serré, un salaire plus élevé, une police moins brutale, des politiciens et des patrons plus soucieux et honnêtes. Nous voulons simplement ce que tout être tenu en laisse devrait avoir à cœur : nous voulons la couper, foutre le feu à la cage, écraser tous ceux qui nous tiennent ou voudraient nous tenir en laisse.
Ce déchaînement de la passion pour la vie n’est pas un grand moment final à attendre patiemment ; il est quotidien et s’intensifie à mesure qu’il incite et se diffuse. Peut-être est-il parfois confus, ne sachant pas toujours où frapper pour briser les chaînes de l’esclavage et de l’adhésion, mais il est vivant. La révolte, ce cri de vie contre une société de morts, s’exprime des milliers de couleurs d’un arc-en-ciel : des attaques contre les polices qui quadrillent les rues aux atteintes à la sacro-sainte propriété, des sabotages de structures de la domination comme les banques, les intérims, les supermarchés, les institutions en tout genre aux refus clairs et nets de se laisser contrôler, humilier, enrégimenter.
La révolte ne relève pas du simple dégoût, mais parle aussi de joie. La joie d’affirmer que malgré tout, nous sommes vivants. Que malgré l’aliénation régnante, nos chemins de révolte se croisent encore et que les possibilités de tisser des liens de complicité ne sont jamais entièrement anéanties.
Dans la fureur de l’action, nous forgeons, petit à petit, nos rêves d’un monde sans maîtres et sans esclaves. L’attaque est nécessaire car elle crée des fissures, mais ce sont les désirs qui sapent l’édifice social.
Ⓐ Que souffle le vent de la liberté, que se déchaîne la tempête de l’insurrection
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo couloir ou rue avec barbelés et policier ]
- texte :
Combattons le racisme d’État
Liberté de circulation et d’installation
Régularisation de tout-te-s les sans papiers, fermeture des centres de rétention
www.c-g-a.org - CGA, Coordination des groupes anarchistes
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte sur fond gris (avec coupe-boulons, barbelé et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur) ; 5 photos couleurs d’actions et manifestation ]
- texte :
Contre les centres fermés, contre toutes les prisons
Contre les frontières, contre l’État
1 octobre 2010, manifestation
19 h, gare du Midi, Bruxelles, Belgique
pendant le No Border Camp, 25 septembre-3 octobre
À Steenokkerzeel, en bout de piste de l’aéroport de Zaventem, l’État fait construire un nouveau centre fermé (prison pour sans-papiers). Bâti selon le modèle carcéral (avec cellules individuelles et moyens de contrôle avancés), il a pour but d’enfermer les plus récalcitrants et de se servir de moyen de pression afin de mater les révoltes dans les autres centres fermés.
Nous ne voulons pas de ce nouveau centre, ni d’aucune prison.
Paru vers aout 2010.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ long texte ; dessin (groupe de personnes rassemblées sous une machine à grandes pinces qui attrape les personnes s’éloignant du centre) ]
- texte :
Den Mut haben, zu rebellieren
Ich gehe durch die Strassen und mir fällt wieder einmal auf, wie. viel Polizei präsent ist. Es ist zum Alltag oder sogar zur Banalität geworden, dass sie Personen auf der Strasse anhalten, kontrollieren, schikanieren und abführen.
Die Polizei geht gezielt auf Menschen los, die in ihr Profil des Kriminellen passen. Kriminell ist, wer sich aus irgend einem Grund nicht in die Gesellschaft integrieren will oder die Möglichkeit dazu nicht hat. Integriert zu sein bedeutet, gültige Papiere zu besitzen und im Wirtschaftssystem zu funktionieren, sprich, sich täglich als Arbeitskraft ausbeuten zu lassen. Die Gesellschaft lehrt uns, für die Arbeit dankbar zu sein und im grauen Alltag das Konsumieren als Freiheit zu verstehen. Menschen, die sich dem nicht fügen, werden bestraft, denn in den Augen der Gesellschaft sind sie "böse". Sie sind "böse", weil sie das Funktionieren des Systems in Gefahr bringen könnten. Sie dienen jedoch auch als schlechtes Beispiel, um das zu ’"rechtfertigen, was als "gut" behauptet wird.
Die letzten November angenommene Ausschaffungsinitiative beruht genau auf diesem Prinzip : es wird in "gute" und "böse" Migranten unterteilt. "Gute" Migrantlnnen sind die, die versuchen sich in die Gesellschaft zu integrieren und der Wirtschaft des Landes nützlich sind. Viele glauben, Migrantlnnen müssten dankbar sein, in der Schweiz leben zu können. Migration ist jedoch in erster Linie eine Konsequenz des wirtschaftlichen und politischen Terrors der dortigen Regime in Absprache mit und zu Gunsten von reichen Ländern. Viele Flüchtlinge meinen, im Westen ihr Glück zu finden, doch müssen sie hier Ausbeutungsumstände ertragen, die jenen gleichen, vor denen sie geflüchtet sind. Als billige Arbeitskraft sind sie hier — in einem kontrollierten Masse — durchaus "von Nutzen". Ausserdem dienen sie als Sündenbock für gesellschaftliche Probleme und die Unzufriedenheit Anderer. Durch vereinfachte Feindbilder (der Sexualverbrecher, die Sozialhilfebetrügerin) wird das rassistische Klima zusätzlich angeheizt. Mit dem Bild des "bösen" Migranten wird überspielt, dass es, ob Migrant oder Schweizer, im Grunde dieselben Autoritäten und dieselben sozialen Verhältnisse sind, die unsere Unzufriedenheit auslösen. Es wird gesagt, dass sie ausgeschafft werden, um die allgemeine Sicherheit zu garantieren. In Wirklichkeit werden als "böse" Migranten diejenigen verfolgt, eingesperrt und ausgeschafft, welche die gegebenen wirtschaftlichen Anforderungen nicht erfüllen oder sich nicht integrieren und ausbeuten lassen wollen. Die Sicherheit ist also in erster Linie die Sicherheit von jenen, die von dieser Wirtschaft profitieren — die der Reichen und Machthabenden. Und an dieser haben wir gewiss nicht das geringste Interesse.
Wir fühlen uns verbunden und wollen gemeinsam mit allen Kämpfen, die im ausschaffungsgefängnis rebellieren. mit allen, die sich bei Kontrollen wehren und die Polizei nicht als Autorität akzeptieren. mit allen, die das Gesetz nicht anerkennen, weil es die Ausbeutung verteidigt. mit allen, die sich nicht ausbeuten lassen wollen.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (invitation à 2 concerts le 5 mai 2010 à l’Espace Noir de St-Imier (Suisse) : "Dollhouse" / "Monoski") ; photo (groupe Dollhouse) ]
- texte :
★★★ Electro Church Music Proudly presents ★★★
Dollhouse
Rock n Roll revival
Espace Noir & Burning sound présentent :
Dollhouse (rock and soul / Suède)
www.myspace.com/rockandsoulMonoski (duo R’n’R / New York-Suisse)
www.myspace.com/monoskimusicLive : 21h00 !!! 8.- mardi 5 mai
Espace Noir, Francillon 29, St-Imierwww.espacenoir.ch ; www.myspace.com/burningsoundsrecords
[logo] playground — New album out now ! — [logo] Wrangler
For more info : /rockandsoul www.electrochurch.com Contact info@electrochurch.com Design by Chris & ElectroArt
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ long texte (sur la manifestation du 6 février 2010 à Zurich) ; photo (voiture renversée devant foule, début 20e s.) ]
- texte :
Ein Fest der Revolte
Zweifellos, der vergangene Samstagabend [06.02.2010] war ein Fest. 500-800 Leute nahmen sich die Strassen Zürichs und kreierten einen Handlungsspielraum., der sich täglich zu verringern scheint.
Zahlreiche Personen aus verschiedensten sozialen Hintergründen ergrifen gemeinsam die Gelegenheit, um das anzugreifen, was die alltägliche Unterdrückung und die Macht der Reichen repräsentiert ; oder schlicht, um dieser Stadt ihr heuchlerisches Antlitz zu nehmen. Freudig wurde mit Hämmern und Steinen zumindes für kurze Zeit das dicke Eis der sozialen Befriedung durchschlagen. Trotzdem glauben wir weniger, dass zerbrochene Scheiben die Welt verändern, sondern vielmehr die Idee der Revolte, die Verbreitung findet ; gestützt auf den Traum eines Zusammenlebens, das sich dadurch bereichert, dass sich jede und jeder frei und als Einzigartige/r verwirklichen kann. Wenn wir Steine nach Bullen werfen, dann weil wir in den Autoritäten jeglicher Art die Mörder dieses Traumes sehen. Wenn wir Banken und Verwaltungsgebäude verwüsten, dann um bereits jetzt die Idee einer Welt ohne Geld und ohne Bürokratie zu bekräftigen. Es sind nicht die Trümmer, die wir suchen, sondern die Wege, die durch sie hindurchführen. In Momenten der Revolte tritt die Möglichkeit ans Licht, die Normalität, die Unterwerfung und die Akzeptierung des Alltags zu durchbrechen, um Fragen zu stellen und mit Antworten zu experimentieren, die sich der Politik entziehen.
Nun, da man sich Raum geöffnet hat, was kann man damit tun ? Wie sich dem Staat entgegenstellen ? Wie den Bruch mit der Normalität ausbreiten und andauern lassen ? Wie gefährlich werden ? Gewiss nicht indem man sich eine Nische für Alternativkultur oder -ökonomie schafft, die schliesslich nur nach einer Existenzberechtigung sucht. Der Staat wird ohne generalisierten Aufstand der Ausgebeuteten nicht verschwinden, genausowenig wie die Reichen und Mächtigen widerstandslos ihre Privilegien aufgeben werden. Die Rebellion kann sich auf unterschiedlichste Arten ausdrücken, doch von dem Momentan, wo mit der kompromisslosen Idee, jegliche Form von Herrschaft zurückzuweisen, weder Forderungen gestellt, noch Verhandlungspartner akzeptiert werden, von diesem Moment an mag etwas beginnen, dass wieder an uns selbst liegt…Diese gewaltige Maschinerie, die uns jegliche Freiheit raubt, um sie dann in der verkehrten Welt der Waren wieder feilzubieten, uns in Knästen, Psychiatrien und Ausschaffungszentren einsperrt, um alle an das Strafgesetzbuch zu ketten, uns kontrolliert und erniedrigt, uns täglich in die Schule oder zur Arbeit zwingt, für die Zwecke einer Gesellschaftsordnung, die gewiss nicht die unsrige ist ; diese Maschinerie wird an konkreten Orten von reellen Personen erbaut, betrieben, repariert und beschützt. Es ist nicht nötig mit 500 Leuten zu sein, um anzugreifen. Eine kleine Gruppe vertrauter Freunde reicht aus. Die Nacht steht auf unserer Seite…
Nichts ist Vorbei !
Für eine herrschaftsfreie Welt !
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (détention de Costantino Ragusa, Silvia Guerini et Luca Bernasconi (Billy), trois anarchistes arrêtées le 15 avril 2010 et soupçonnées d’avoir voulu commettre une action de sabotage contre un centre de recherche sur les nanotechnologies de la multinationale IBM en construction près de Zurich) ; photo (personnes fuyant devant une usine en feu) ]
- texte :
Ein Schreckgespenst geht um
Immer wieder lesen wir von Menschen, die Gebäude, Autos oder Infrastrukturen bestimmter Institutionen auf unterschiedliche Weise angreifen. Im staatstreuen Chor der Medien werden sie oft als "Vandalen" oder "Chaoten" bezeichnet, und falls sie als solche nicht mehr durchgehen, dann greift man eben zum Konstrukt des "Terroristen", um jegliche Diskussion über mögliche Beweggründe im Voraus zu ersticken. Eben dies geschah mit den drei Anarchisten, die am 15. April in Langnau am Albis verhaftet wurden, da sie angeblich unterwegs waren, um ein Zürcher Forschungszentrum der IBM anzugreifen. Ein Ort unter vielen, an dem, fernab von unserem Alltag, an der Vertiefung der Kontrolle über das Leben auf diesem Planeten herumgeforscht wird : Gentechnik, Überwachungs-, Nanotechnologien…
Wieso soll das also in die Luft fliegen ?
Wir sind versunken in einem technologischen Hochglanzalbtraum,wo tote Materie höher gewichtet wird als unser Leben. Der neue, allesbeherrschende Gott ist die Wirtschaft. Ihr muss es gut gehen, heisst es, damit es uns überhaupt erst gut gehen kann. Doch hinter der Grundhaltung, dass jeglicher Fortschritt per se positiv ist, verhüllt sich die Tatsache, dass nur wenige von diesem profitieren. Denjenien, die sich Tag für Tag ausbeuten lassen, dürfte schon längst aufgefallen sein, dass wir trotz all der unglaublichen Forschungen heute nicht weniger, sondern schlicht effizienter arbeiten, und nicht qualitativer leben, sondern mehr konsumieren. Mit jeder Neuheit wird uns ein besseres und einfacheres Leben versprochen, während die anschliessende Enttäuschung mit dem Versprechen von immer weiteren Neuheiten kompensiert wird. Wir lechzen nach Fata-Morganas, wie Verdurstende in einer Wüste.
Das, woran im genannten IBM-Zentrum herumgetüftelt wird, geht noch eine Stufe tiefer. Denn gentechnisch manipulierte Organismen und Nanopartikel, ebenso wie die Strahlungen des Atommülls, schreiben sich fortan unwiderruflich in die Welt ein, die wir bewohnen. Es braucht nicht viel, um zu sehen, dass auch diese Bestrebungen einzig der Fortschrittslogik des Kapitalismus dienen. Nachdem schon längst der ganze Planet unter seiner Herrschaft steht, versucht er diese nun zu vertiefen — und zwar bis ins kleinste Detail.
Die industrielle Technologie ist schon seit Jahrhunderten der wesentliche Faktor der Umgestaltung der Gesellschaft, und somit der Wirtschaft und des Staates. Immer wieder soll sie angebliche Lösungen für soziale Probleme liefern, zu deren Entstehung sie selbst beitrug. Sie hat sich mittlerweile selbst unentbehrlich gemacht. Ohne die Technologie wäre die immense Anhäufung von Waren, und die dafür erforderliche allgemeine Unterordnung und Kontrolle der Arbeitenden unmöglich. Sie hat die Menschen nicht nur gegenüber der Welt sondern auch einander fremder gemacht.
Die soziale Ordnung, in der wir leben, funktioniert nur noch durch die immer absurdere Spezialisierung unserer Tätigkeiten, die immer umfänglichere Kontrolle über das Lebende, die immer effizientere Ausbeutung unserer Arbeitskraft und eine allgemeine Verarmung der menschlichen Beziehungen.
Die scheinbar unantastbare Rechtfertigung dafür ist die blosse Aufrechterhaltung des Bestehenden. Die Frage nach den Lebensbedingungen wird nicht gestellt. Schliesslich könnte sie zur Erkentnis verleiten, dass nicht wir, sondern die soziale Ordnung an unserer Betrübtheit schuld ist, und dass so einiges verschwinden muss, um endlich frei zu atmen. Wir denken, dass einem Zusammen-leben nicht durch technologischen Fort-schritt, sondern unter gemeinsamen ethischen und sozialen Überlegungen Wert zukommt. Die Entwicklung, die wir anstreben, geht einem Leben entgegen, das an uns selbst liegt, ohne zu dienen und ohne zu herrschen — und diese Entwicklung beginnt mit der Revolte gegen alles, was uns davon abhält.
Daher erkennen wir uns in den drei Anarchisten wieder, die nun verteilt in schweizer Knästen sitzen. Wir empfinden Solidarität für jeden Versuch, die eigenen Fesseln abzuwerfen, um der anhaltenden Vernichtung des Lebens und der (Selbst-)Versklavung der Menschen die Stirn zu bieten. Und eine der ersten Fesseln, die wir dazu abwerfen, ist diejenige in unseren Köpfen, die uns glauben macht, wir können ohne-hin nichts tun und uns in der Lethargie gefangen hält.
Darum an alle, die — aus welchen Gründen auch immer — die Schnauze voll haben von all den Zwängen und Kontrollen, von all den leblosen Produkten und sinnlosen Arbeiten, von dem Hass, der gestreut wird, damit wir untereinander kämpfen, anstatt gemeinsam gegen das Elend. An alle, deren Herz höher schlägt, wenn Leute das angreifen, worin sie die Ursache ihrer Unzufriedenheit erkennen : Zeigt euch und lasst an der Vielfalt der Sabotagen erkennen, dass etwas ganz anderes möglich ist.
Freiheit für dir drei anarchisten Billy, Silvia und Constantino !
Voir aussi : A spectre is haunting us (Englische Version)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte (invitation à un forum sur les droits des animaux les 16, 17 et 18 avril 2010 à Köniz, Bern) ; dessin (oiseau perché sur la branche d’un arbre sous le vent) ]
- texte :
Forum für Tierrechte
16./17./18. April 2010, Köniz (Bern)
Workshops, Vorträge, Podiumsdiskussionen, Vernetzung, Planung
www.tierrechtsforum.ch
[logo] www.al.allmarks.net
Animal liberation hallmarks
for human emancipation and animal liberation- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — étoile (noire …) ★ — drapeau noir et drapeau rouge ⚑ ⚐ /B_tout>
[ texte ; dessin (personnage bleu avec un arbre lui poussant sur le crâne) ]
- texte :
2e festival
Jours de mⒶi…
et après ?!
Maison de quartier des Pâquis
50, rue de Berne — 1201 - Genève3 jours et 3 nuits en anarchie
17 h-19 h - Espace enfants
Atelier brico-récup.18 h-21 h - Rencontres & dialogues★
Tables rondes
Films / Documentaires / Perfos
Stands librairies, médias libertaires21 h-04 h - Concerts - salle La Traverse & scène-libre★ salle Le Kado, ouverte à toustes
Such a Disaster
Intox Paradox (FR)
Faute de Frappa
SRHV
Eriah & Cenzino
Greta Gratos & DJ Radio Momie
dj Rude Boys Unity Soundsystem
Maniako Bwataritme
Glory Hole
Fiction Réelle
Les NRV
Hors Contrôle (FR)
★ + d’infos sur : www.joursdemai.chJeudi 29 avril — vendredi 30 avril — samedi 1er mai 2010
Entrée : prix libre - ¡please no dogs!
Avec la participation et/ou le soutien de :
[logos :] Le café libertaire, le cinar, la comète, Rude boys & girls unity, Voce libertaria, CIRA, Café Gervaise, La Traverse, le Zombie libéré, Espace noir, Farhenheit 451, Infokiosk, The Geneva Art Collective, Entremonde.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ long texte ; photo (rang de maisons) ; dessin (œil à la paupière mordu par un diablotin) ]
- texte :
Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?
Das Trugbild des sozialen Friedens befleckt sich mit Blut. Im Schatten des gewohnten Laufs der Dinge fordert die herrschende Ordnung ein Leben nach dem anderen. Die Gesetze und ihre Hüter zeigen zur Zeit besonders deutlich, was sie im Wesentlichen schon immer waren : Mörder im Namen des Staates.
Während Menschen apathisch durch die Einkaufsstrassen schlendern, wird in Zürich ein Mann bei einem Ausschaffungsversuch getötet. Inmitten der alltäglichen Belanglosigkeiten, mit denen uns die Medien vollstopfen, lassen Gefängniswärter in Bochuz (VD) einen aufsässigen Häftling in seiner brennenden Zelle ersticken. Doch der eintönige Rythmus der Arbeitswelt lässt kaum Zeit, darüber nachzudenken. Nur wenig später sterben zwei weitere Menschen, diesmal in einem Zürcher und einem Schaffhausener Knast.
Jeder Tod im Knast ist Mord, da er von einer äusseren Gewalt herbeigeführt wird, die sich über uns stellt. Wenn nicht durch den Knüppel eines Wärters, dann durch eine auf wenige Quadratmeter reduzierte Existenz. In Pfäffikon erhängt sich eine Person, die wegen Diebstahls in U-Haft sass. Wieder fällt ein Flüchtling aus dem Frachtraum eines Flugzeuges. Ein 18-jähriger angeblicher Autodieb wird bei Freiburg von den Bullen in einem Hinterhalt erschossen. Und all das ist nur, was hier in den letzten drei Monaten durch die Mauern und Medien sickerte…
Die politischen und juristischen Massnahmen, mit denen man vorgibt, solchen "Missgeschicken" nachzugehen, dienen bloss dazu, den sozialen Frieden zu bewahren. Wieso sollten wir uns noch auf solche Betrügereien einlassen, die uns bloss davon abhalten, die Wut in Revolte umzuwandeln ? In Revolte gegen diesen allzu gewohnten Lauf der Dinge... Das Gefängnis ist Folter, da besteht kein Zweifel, doch was ist mit der Gesellschaft, die es benötigt ? Jene, die solche Morde hinnimmt und rechtfertigt ?
Wir kannten all diese Personen nicht, aber wir kennen die sozialen Verhältnisse, in denen sie unerwünscht waren. Wir kennen die Gesellschaft, die Gefängnisse baut, um den auferlegten Gesetzen Achtung zu verschaffen, um die Störfaktoren im sauberen Funktionieren der Ökonomie zu isolieren und schliesslich, um die Reichen und Mächtigen vor denjenigen zu schützen, die sich entscheiden, das Leben zurückzuholen, das man uns täglich entreisst. Denn nicht nur eingesperrt in Knästen oder in der Konfrontation mit Bullen werden immer wieder Menschen getötet, auch diejenigen, die in dieser auswegslosen Gesellschaft festsitzen, werden konstant auf dem Lebensminimum gehalten. Die Knäste verdeutlichen bloss eine Bedingung, die sich uns überall zeigt, wenn wir ihr ins Gesicht zu blicken wagen : Seit unserer Geburt haben wir der herrschenden Ordnung unsere Pflichten abzubüssen. In der-Schule, bei der Arbeit, vor dem Warenregal… Und mit jedem Ausbruchsversuch laufen wir Gefahr, dass uns die Leine noch enger gezogen wird. Einer solchen, auf Zwang basierenden Ordnung gilt unsere Verachtung — und unsere Angriffslust ! Wir erwarten nichts von ihr. Wir schulden ihr nichts. Was sollte uns verbinden ? Ein Leben ohne Substanz ? Was uns diese Gesellschaft aufzwingt, widert uns an, und Was sie uns anbietet, interessiert uns nicht. Je mögliche Veränderung liegt an uns
selbst.Der Kampf für die Freiheit muss jenseits der Gesetzlichkeit gefochten werden. Dafür gilt es Komplizen zu finden. Dafür gilt es den Feind zu benennen. Die verantwortlichen Institutionen der Einsperrung und Unterdrückung haben einen Namen, ein Gesicht und eine Adresse…
Wir wollen die unzähligen Morde nicht vergessen, nicht bis das letzte Gefängnis und das letzte Verwaltungsgebäude fällt ; nicht bis zum Ende dieser Maschinerie, die täglich weniger durch Zustimmung als durch Gewohnheit aufrechterhalten wird. Die falschen Trennungen zwischen Legal und Illegal, Bürger und Migrant, Wohnblockbewohner und Häftling, Arbeiter und Dieb, Dir und Mir verhindern bloss, das wir uns als Individuen begegnen, die sich als Unterdrückte erkennen. Denn aus solchen Begegnungen kann die Entschlossenheit wachsen, dem entgegenzutreten, worin wir diese Unterdrückung sehen. Sie könnten uns dazu verleiten, das Träumen zu wagen, um auch das Kämpfen zu wagen. Sie könnten schliesslich der alten Idee wieder Kraft einhauchen, dass es zunächst die Revolte gegen jegliche Kontrolle über unser Leben ist, die uns erlaubt, mit der Freiheit zu experimentieren.
Von dem Moment an, wo wir uns ein Zusammenleben vorstellen können, das auf gegenseitiger Hilfe und einer anti-autoritären Sensibilität aufbaut, anstatt auf Leistungsdruck und Ausbeutung ; von dein Moment an, wo wir uns eine Welt ohne Knäste denken können, und somit ein Leben, das an uns selbst liegt — mit all seinen Konflikten und Leidenschaften — ; von dem Moment an haben wir auch die Möglichkeit, es wirklich zu realisieren !
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (castor grignotant le train nucléaire sur fond cartographique de son parcours, Bure - futur lieu de stockage de déchets — est aussi indiqué sur la carte) ; photo (bas du dos de militant·es assis·es sur des rails) ]
- texte :
Le train de déchets nucléaires CASTOR ne passera pas comme ça !
Amplifions la lutte et terrassons le nucléaire, ici comme dans tous les pays !
22-24 novembre, à Valognes, Cotentin (50)
Campement, discussions, actions…
24 nov., Rassemblement-manif à 11 h
Blog : valognesstopcastor.noblogs.org
imprimerie.ravinbleu.org
Manifestation contre le transport de déchets nucléaires retraités en France vers l’Allemagne.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (portrait d’homme avec chapeau) ]
- texte :
Le travail
Le travail est avant tout un compromis que nous acceptons pour pouvoir survivre financièrement. Parce que nous n’avons jamais choisi le fonctionnement de ce monde, et parce que nous avons été élevés avec le message qu’il nous fallait ou marcher ou crever.
Le travail nous vole notre temps et notre énergie ! Il essaye de déterminer une partie hallucinante de nos occupations et sollicite en permanence nos corps et nos esprits.
Le travail tend de plus en plus à se confondre avec notre identité. Lorsqu’on nous demande qui nous sommes, on veut en fait savoir ce qu’est notre boulot. Parce qu’en dehors du travail, il ne reste plus grand chose.
Notre statut social est aussi jaugé à la hauteur de notre travail. La société nous fait bien sentir que nous ne valons rien tant que nous ne travaillons pas, et que nous ferions mieux de rentrer dans le rang au plus vite, comme tout le monde.Le travail s’efforce continuellement à semer la confusion en nous faisant croire que les intérêts des patrons sont aussi nos propres intérêts ; que nous faisons partie prenante de l’entreprise, que nous devons nous réjouir quand les affaires vont bien (et que l’entreprise fait beaucoup de bénéfices), et que nous devons fournir des efforts supplémentaires quand ça va moins bien.
Le travail nous considérera pourtant toujours comme de la matière jetable. Lorsque les chiffres le demandent on nous jette à la poubelle et nous pouvons alors à nouveau mettre notre dignité de côté pour nous vendre à quelqu’un d’autre.
Le travail est cette chose pour laquelle nous restons à transpirer dans les salles d’attente d’Actiris ou dans les salles d’auditions de l’ONEM. Comme une armée de réserve, nous devons toujours nous montrer prêts à aller au casse-pipe de l’offre et de la demande. Et si nous ne le faisons pas, la menace financière revient vers nous au galop.
Le travail est cette chose sur laquelle les travailleurs crachent quand ils sabotent les machines pour pouvoir rester un jour à la maison.
Le travail est ce que les chômeurs essayent d’éviter par tous les moyens imaginables, que ce soit à l’aide de fausses sollicitations ou d’ingénieux mensonges.
Le travail est cette chose que les braqueurs rejettent quand ils vont chercher l’argent là où il est. Chez les banquiers ou les bijoutiers, chez ceux qui s’enrichissent sur le dos des autres.
Le travail est ce à quoi ils essayent, encore et encore, de nous contraindre. En tant que soldats à la rescousse de la sainte économie et de son déclin. Une économie de produits et services qui ne nous intéresse peut-être pas, mais qui nous fait quand même un odieux chantage et qui essaye de nous faire plier tous autant que nous sommes.
Refusons ce chantage. Fraudons, volons et sabotons ! Foutons en l’air l’économie et changeons le monde… Pour qu’à travers notre résistance nous puissions redécouvrir ce que respirer librement veut dire.
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-de-Belgique-contre-le (23 avril 2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo tirée du film (Les Temps modernes) : Charlot sur une roue dentée ]
- texte :
Le travail c’est pour nous, les profits c’est pour eux
Le salariat c’est l’exploitation )
Travaillons sans État ni patrons !
Pour l’égalité économique et sociale
Coordination des groupes anarchistes - www.c-g-a.org
Secrétariat : c/o CES BP 40233, 66002 Perpignan
[logo] CGA Coordination des groupes anarchistes
Imprimerie "Atelier 26" - 26270 Loriol
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : barbelés — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal /B_tout>
[ texte ; dessin (Deux bras se touchant. Sur celui de gauche personnage avec baluchon tenant la main d’une fillette. Sur celui de droite femme à capuche tenant une tenaille. En bas : barrière surmontée d’une caméra de vidéosurveillance protégée par deux flics et un hélicoptère. Ils éclairent et crient sur un chat à ressort) par Titom ]
- texte :
Manifestation
sa. 2 octobre - 13 h
no border
Parc Maximilien - chaussée d’Anvers 59
derrière l’Office des étrangers - BruxellesLiberté de circulation et d’installation pour tous !
Personne n’est illégal !
Soutien aux sans-papiers
contre les systèmes capitalistes et autoritaires qui entrainent exil forcé, guerres et misères !
www.noborderbxl.eu.orgTitom
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin de Titom (voyageur à baluchon avec pinces, devant des barbelés dont deux fils représente le sillage d’avions ; texte et dessin en dégradé ; logo (cadenas avec étoiles de l’Union européenne) ]
- texte :
No Border camp in Brussels
Seven days of action, information, movies, debates, … on migration & migration policy
sept. 25>>Oktober 3 2010
Bank account : 880-4955551-62 — nobordercamp@vluchteling.be — www.noborderbxl.eu.org
[logo]
Titom
Imprimée au verso d’une affiche pour une exposition Rodin. Le dessin a été décliné en plusieurs affiches. Il existe notamment des versions en format A4 catalane, anglaise, etc. (française, allemande, italiene, espagnole, néerlandaise).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; fond de l’affiche : couvertures de journaux anarchistes ]
- texte :
Qui a dit que les anarchistes n’avaient rien à proposer ?
Les anarchistes lillois-es occupent les ondes ! : écoutez « La Voix sans maître »
tous les vendredis, 20 h-21 h, sur Radio Campus (106.6 MHz) et sur http://www.campuslille.com/
Groupe D’Anarchistes de Lille et Environs - CGA
Contact : 1groupeanarlille@no-log.org / http://lille.cybertaria.org
Affiche destinée aux couloirs de Radio Campus et aux lieux militants de Lille (CCL, etc.). Tirages photocopiés en format A4 et A3.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (couleur avec effet rose et N&B) : petite fille avec jeux sexués féminin ]
- texte :
Ça commence tôt, et ça finit quand ?
[photo]
Refusons toutes les oppressions sexistes !
À la maison, au travail, dans la rue, à l’école…
www.c-g-a.org
Secrétariat CGA : c/o CES, BP 40 233, 66002 Perpignan Cedex, secretariat@c-g-a.org
[logo CGA] CGA, Coordination des groupes anarchistes
Vu aussi sur : http://www.c-g-a.org/?q=materiel/sexisme
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (personne cagoulée avec pince monseigneur et coupe-boulons)
- texte :
René Binamé, punk’n’roll legend
Idiot Talk, punk hardcore
Pertes Noires, punkaos dark sludge
Djs all styles
samedi 11 décembre au Chat Crevé
angles Bellevue / Parmentiers Fives
gratos
cequonveut.youm.org
Concert pour les 20 ans des squats à Lille ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Lalabolduc]
[Lalabolduc]. — Lausanne : Espace autogéré (Lausanne) : la Furie collective, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 14 × 42 cm.
sources :
[Le Chat déchaîné #4 : les coopératives, une solution pour la région !]
[Le Chat déchaîné #4 : les coopératives, une solution pour la région !]. — La Chaux-de-Fonds : FLM_ (Fédération libertaire des Montagnes : 1978-....) : OSL_ (Organisation socialiste libertaire), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Les Oiseaux de passage : Piments noirs]
[Les Oiseaux de passage : Piments noirs]. — Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Libérons-nous de tout ce que l’État et la capitalisme nous imposent !]
[Libérons-nous de tout ce que l’État et la capitalisme nous imposent !]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ca ] (Atelier 26 (Loriol)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 42 cm.
sources :
[On n’est pas tous sur le même bateau !]
[On n’est pas tous sur le même bateau !]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.
sources :
[Pour les droits des migrants, contre le délit de solidarité : à Calais, le 27 juin 2009, manifestation transnationale pour la liberté de circulation et d’installation]
[Pour les droits des migrants, contre le délit de solidarité : à Calais, le 27 juin 2009, manifestation transnationale pour la liberté de circulation et d’installation]. — [S.l.] : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CNT_F (France) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : les Flamands Roses : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013) : Marée noire (Nancy), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , vert , papier blanc ) ; 42 × 72 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2014 |
[Übt Solidarität mit Squat Chéserex]
[Übt Solidarität mit Squat Chéserex]. — Lausanne : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Un camp No Border à Calais]
[Un camp No Border à Calais]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 60 cm.
sources :
![]() 2009 |
![]() 2014 |
[9e foire internationale du livre alternatif et libertaire, Gand]
[9e foire internationale du livre alternatif et libertaire, Gand] / Erik Buelinckx ; Joris. — Gent Gand : Ak-Univ (Anarchistisch kollektief) : Ilia : Infomania, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 59 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
[À Oaxaca, il ne se passe rien ? = ¿En Oaxaca, no pasa nada ?]
[À Oaxaca, il ne se passe rien ? = ¿En Oaxaca, no pasa nada ?]. — Lille : la Digne rage : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 30 cm.
sources :
[A spectre is haunting us]
[A spectre is haunting us]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 60 cm.
sources :
![]() [ca 2012] |
[Braquons l’existant]
[Braquons l’existant]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Combattons le racisme d’État]
[Combattons le racisme d’État]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 40 × 60 cm.
sources :
[Contre les centres fermés, contre toutes les prisons ; contre les frontières, contre l’État : manifestation 1er octobre 2010]
[Contre les centres fermés, contre toutes les prisons ; contre les frontières, contre l’État : manifestation 1er octobre 2010]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 63 × 43 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Den Mut haben, zu rebellieren]
[Den Mut haben, zu rebellieren]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Dollhouse]
[Dollhouse]. — Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Ein Fest der Revolte]
[Ein Fest der Revolte]. — Zürich Zurich : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Ein Schreckgespenst geht um]
[Ein Schreckgespenst geht um]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Forum für Tierrechte]
[Forum für Tierrechte]. — Bern Berne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , bleu , beige , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Jours de mai, 2e festival : et après ?!]
[Jours de mai, 2e festival : et après ?!]. — Genève : CIRA Lausanne (Centre international de recherches sur l’anarchisme) : Entremonde : Espace noir : Zombie ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Le train de déchets nucléaires CASTOR ne passera pas comme ça !]
[Le train de déchets nucléaires CASTOR ne passera pas comme ça !]. — [S.l.] : Valognes stop Castor, (Ravin bleu). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Le travail]
[Le travail]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Le travail c’est pour nous, les profits c’est pour eux]
[Le travail c’est pour nous, les profits c’est pour eux]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ ?] (Atelier 26 (Loriol)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.
sources :
![]() [s.d.] |
![]() [s.d.] |
![]() [ca 1983] |
[Manifestation no border]
[Manifestation no border] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 42 cm.
sources :
[No Border camp in Brussels]
[No Border camp in Brussels] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 62 × 42 cm.
sources :
![]() [s.d.] |
[Qui a dit que les anarchistes n’avaient rien à proposer ? : écoutez la voix sans maître]
[Qui a dit que les anarchistes n’avaient rien à proposer ? : écoutez la voix sans maître] / Nito. — Lille : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Refusons toutes les oppressions sexistes !]
[Refusons toutes les oppressions sexistes !]. — Perpignan : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 57 × 40 cm.
sources :
[René Binamé, Idiot Talk, Pertes Noires, samedi 11 décembre au Chat Crevé]
[René Binamé, Idiot Talk, Pertes Noires, samedi 11 décembre au Chat Crevé]. — Lille : le Chat crevé, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Sans eux, sans elles, soyons tout !]
[Sans eux, sans elles, soyons tout !]. — Montpellier : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : Groupe Un autre futur (UAF_ : Montpellier), [ca ] (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 40 × 60 cm.