rouge

 

 
 

Affichage par année

2273 affiches :

 










    [No ai lager militari]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    No ai lager militari]. — [S.l.] : FAI_ (Federazione anarchica italiana), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 84 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; Libreria Anomalia (Roma)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; armée  ; justice  ; prison  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Franceschi, Roberto (1952-1973)  ; Mondo, Bruno Igor  ; Santi, Lorenzo  ; Scanagatta, Roberto
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (juge-militaire serrant un étau sur une homme nu et rasé qui lève le poing) ]

    texte :

    No ai lager militari

    Decine,di compagni anarchici, libertari, antimilitaristi, sono detenuti nelle galere militari. Essi non vogliono servire la patria dei padroni e dei burocrati : con la diserzione, la renitenza, l’obiezione totale, esprimono il loro rifiuto.

    Centinaio di proletari sono sequestrati nelle carceri militari per essersi difesi dai soprusi dei gerarchi. Vengono condannati dalla giustizia grigioverde per “insubordinazione”, un pretesto legale che soffoco la loro volontà di libertà.

    Solidarietà con tutti i detenuti antimilitaristi !
    Aboliamo la criminale violenza degli eserciti !

    Scrivete ai compagni detenuti :
    Roberto Francesconi, Carcere Militare di Perschiera del Garda (Verona)
    Lorenzo Santi, Roberto Scanagatta, Bruno Igor Mondo, Carcere Militare di Forte Boccea Roma.
    Sottoscrivete al CAD : Gianni Costanza, CP 12, Palermo, CCP 7/762, specificando “pro detenuti militari”

    Comitato Anarchico di Difesa della FAI - Federazione Anarchica Italiana

    […]


    sources :
     







    [Service national]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Service national] / Granger. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (quatre ou plus  : rouge , noir , bleu , jaune , papier blanc ) ; 89 × 63 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    (env. 1977-1979) sérigraphie couleurs

    [ soldat avec masque qui reçoit, d’un officier une injection avec une seringue contenant le drapeau français, et texte ]

    texte :

    Service national

    Dessin d’après Granger

    Atelier des Clots


    sources :
     

    [ca  1978]
    Affiche liée

















    [Aux prolétaires]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aux prolétaires]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Aux prolétaires

    Oh ! Ce sont là de grands coupables et entre tous les plus coupables, ceux en qui le peuple trompé par des phrases de tribun, voyait son épée et son bouclier ; ceux qu’il proclamait avec enthousiasme, arbitres de son avenir.

    Malheur à nous, si, au jour du prochain triomphe, l’indulgence oublieuse des masses laissait monter au pouvoir un de ces hommes qui ont forfait à leur mandat ! Une seconde fois, c’en serait fait de la Révolution.

    Que les travailleurs aient sans cesse devant les yeux, cette liste de noms maudits ! et si un seul apparaissait jamais dans un gouvernement sorti de l’insurrection, qu’ils crient tous, d’une voix : Trahison !

    Discours, sermons, programmes ne seraient encore que piperie et mensonge ; les mêmes jongleurs ne reviendraient que pour exécuter le même tour, avec la même gibecière ; ils formeraient le premier anneau d’une chaîne nouvelle de réaction plus furieuse !

    Sur eux, anathème, s’ils osaient jamais reparaître !

    Honte et pitié sur la foule imbécile qui retomberait encore dans leurs filets.

    Ce n’est pas assez que les escamoteurs de février [1848] soient à jamais repoussés de l’Hôtel-de-Ville, il faut se prémunir contre de nouveaux traîtres.

    Traîtres seraient les gouvernements qui, élevés sur les pavois prolétaires, ne feraient pas opérer à l’instant même :
    1° Le désarmement des gardes bourgeoises ;
    2° L’armement et l’organisation en milice nationale de tous les ouvriers.

    Sans doute, il est bien d’autres mesures indispensables, mais elles sortiraient naturellement de ce premier acte qui est la garantie préalable, l’unique gage de sécurité pour le Peuple.

    Il ne doit pas rester un fusil aux mains de la Bourgeoisie. Hors de là, point de salut.

    Les doctrines diverses qui se disputent aujourd’hui les sympathies des masses, pourront un jour réaliser leurs promesses d’amélioration et de bien-être, mais à la condition de ne pas abandonner la proie pour l’ombre.

    Les armes et l’organisation, voilà l’élément décisif du progrès, le moyen sérieux d’en finir avec la misère.

    Qui a du fer, a du pain.

    On se prosterne devant les baïonnettes, on balaye les cohues désarmées. La France, hérissée de travailleurs en armes, c’est l’avènement du socialisme. En présence des prolétaires armés, obstacles, résistances, impossibilités, tout disparaîtra.

    Mais, pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par des plantations d’arbres de liberté, par des phrases sonores d’avocat, il y aura de l’eau bénite d’abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours. Que le peuple choisisse !

    (Blanqui, Toast de Londres, 1851)

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?





    [CNT plataforma reivindicativa. Sindicato de metalurgia de la CNT]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    CNT plataforma reivindicativa. Sindicato de metalurgia de la CNT]. — [S.l.] : CNT_ (España), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 47 × 67 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Libreria Anomalia (Roma)  ; UAB (Universitat autònoma de Barcelona)
    • Liste des thèmes  : syndicalisme : anarchosyndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    CNT plataforma reivindicativa. Sindicato de metalurgia de la CNT

    texte :

    CNT

    Plataforma reivindicativa

    1o. — Amnistía laboral. Reconocimiento de los sindicatos en las empresas. Libertad de asociació, : de expresión u de asambleas en el centro de trabajo.
    2o. — Derecho a la huelga sin restricciones.
    3o. — Supresión del despido libre.
    4o. — Reducción de la jornada laboral a 35 horas semanales, con 48 horas de descanso continuo.
    5o. — Jubilación obligatoria a los 60 años con el 100 por ciento del salario real y voluntaria a los 55 años con el 80 por ciento del salario real. Revisión del mismo cada 4 meses.
    6o. — Supresión inmediata de las horas extras, destajos, prestamismo, pluriempleo, trabajo eventual y ritmos de producción. Cese inmediato de todos los que recibían pensiones de retirados.
    7o. — 30 días de vacaciones ininterrumpidos.
    8o. — Contra los expedientes de crisis, control obrero.
    9o. — 35.000 Ptas. netas de salario mensual y 3 pagas extras al 100 por ciento del salario real. Revisión salarial cada 4 meses. Aprendices : 16-17 años, 70 por ciento del salario sobre la categoría superior.
    10o. — En caso de enfermedad, accidente o viuedad, 100 por ciento salario real revisable según convenio.
    11o. — Ayuda escolar y lactancia : 12.000 Ptas. por hijo al año.
    12o. — Mujer : a igual trabajo, igual salario, e igual categoría.
    13o. — Servicio militar : 50 por ciento salario real durante el tiempo de servicio para los soldados y 100 por ciento del mismo para los casados, a cargo de la empresa.

    [photo de manifestation :]

    La lucha por nuestras reivindicaciones tienen una referencia

    El convenio provincial del metal

    Acude a CNT

    [?] tan solo te ofrece un lugar para luchar por tus reivindicaciones

    Sindicato de Metalurgia


    sources :
     

    [ 1979 ?]

    [ 1979 ?]
    Affiches liées



    [Contre les défenseurs de la condition prolétarienne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre les défenseurs de la condition prolétarienne]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Contre les défenseurs de la condition prolétarienne

    Si les auteurs socialistes attribuent au prolétariat ce rôle historique, ce n’est pas du tout, comme la Critique critique affecte de le croire, parce qu’ils considèrent les prolétaires comme des dieux. C’est plutôt l’inverse. Dans le prolétariat pleinement développé se trouve pratiquement achevée l’abstraction de toute humanité, même de l’apparence d’humanité ; dans les conditions de vie du prolétariat se trouvent condensées toutes les conditions de vie de la société actuelle dans ce qu’elles peuvent avoir de plus inhumain. Dans le prolétariat, l’homme s’est en effet perdu lui-même, mais il a acquis en même temps la conscience théorique de cette perte ; de plus, la misère qu’il ne peut plus éviter ni farder, la misère qui s’impose à lui inéluctablement — expression pratique de la nécessité —, le contraint directement à se révolter contre pareille inhumanité ; c’est pourquoi le prolétariat peut, et doit nécessairement, se libérer lui-même. Or il ne peut se libérer lui-même sans abolir ses propres conditions de vie. Il ne peut abolir ses propres conditions de vie sans abolir toutes les conditions de vie inhumaines de la société actuelle, que résume sa propre situation. Ce n’est pas en vain qu’il passe par la rude, mais fortifiante école du travail. Il ne s’agit pas de savoir quel but tel ou tel prolétaire, ou même le prolétariat tout entier, se représente momentanément. Il s’agit de savoir ce que le prolétariat est et ce qu’il sera obligé historiquement de faire, conformément à cet être. Son but et son action historique lui sont tracés, de manière tangible et irrévocable, dans sa propre situation, comme dans toute l’organisation de la société bourgeoise actuelle.

    (Marx, La Sainte Famille, 1845 )

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?












    [Harangue des Ciompi à Florence]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Harangue des Ciompi à Florence]. — Paris ; Toulouse : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier de couleur ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : luttes ouvrières  ; situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Lutanie, Jean-Claude (1951-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Harangue des Ciompi à Florence

    Rééditée à l’usage des prolétaires de Longwy

    Si nous avions à trancher maintenant s’il faut ou non prendre les armes, brûler et piller les maisons, dépouiller les églises, je serais de ceux qui jugeraient bon d’y regarder à deux fois, et peut-être bien que j’approuverais ceux qui préfèrent une misère tranquille à des profits périlleux. Mais du moment qu’on a déjà pris les armes et commis pas mal de méfaits, je crois que la seule chose à considérer, c’est si on ne doit pas les garder, er comment nous pouvons échapper aux conséquences des méfaits commis. Or, c’est la nécessité, j’en suis convaincu, qui nous le conseille. Vous le voyez : la ville entière retentit de plaintes haineuses contre nous, les citoyens se groupent, la Seigneurie se met toujours du côté des magistrats. Vous pouvez croire qu’on tresse de la corde pour nous, qu’on fait de nouveaux préparatifs contre nos têtes. Donc, pour nous, deux objets à nos décisions, deux buts : l’un, échapper au châtiment de nos méfaits de ces jours derniers ; l’autre, nous assurer pour les jours à venir une existence plus libre et plus contente. Il nous faut donc, à mon avis, si nous voulons qu’on nous pardonne les vieux péchés, en commettre de tout neufs, en redoublant de forfaits, en multipliant incendies et déprédations. Il faut nous assurer le plus grand nombre possible de compères, car là où l’on est nombreux à mal faire, personne n’est puni ; car ce sont les peccadilles que l’on châtie ; les grands forfaits, on les récompense ; car l où tout le monde est frappé, personne ne pense à se venger ; car le tort qui est fait à tous, on le rend en patience, plus que celui qui vous est fait à vous. Par conséquent, multiplier les méfaits nous vaudra plus facilement l’impunité, et, de plus, les moyens d’obtenir ce qu’il nous faut pour être libres.

    (1378, cité dans Histoires florentines de Machiavel)

    Imprimerie très spéciale


    sources :

    Affiche réalisée par Jean-Claude Lutanie (source correspondance Manon Lutanie).
    Texte d’après Machiavel, Histoires florentines (1378). Allusion aux luttes des sidérurgistes de Longwy en 1979.

    Ou publié par les Amis de la Guerre sociale ?




    [L’espoir pour les travailleurs]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’espoir pour les travailleurs]. — Lyon : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Union européenne (UE, CEE, ...)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (partie avec dessin sur moitié fond blanc, partie sur moitié à fond tranché noir et rouge) ; dessin (capitaliste-corbeau ? assommé par un poing géant, avec étoiles européennes ?) ]

    texte :

    L’espoir pour les travailleurs

    Fédération nationale des [anarcho-syndicalistes ?]
    […] rue Pierre-Blanc - Lyon […]

    [… impr. ?]


    UDF et PS disent « votez pour l’Europe »
    C’est voter pour les multinationales

    RPR et PCF disent « votez pour la France »
    C’est voter pour le capital national

    Non au capitalisme. Non au nationalisme

    Ne votons pas

    Luttons

    pour une alternative anarcho-syndicaliste


    sources :

    1979, 1984 ou 1989 ?