2011

 

 

246 affiches :

 


    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 27 mars 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 27 mars 2011]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 27 mars 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…

    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…

    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement :
    cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Non à la politique d’exclusion et de répression !

    Nous voulons :
    de la bouffe, pas des bombes,
    des maisons, pas des prisons…

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/03/alors-que-la-treve-dhiver-est-terminee.html


    2009

    2009

    2009
    Affiches liées


    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 27 novembre 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 27 novembre 2011]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; animal
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (animaux de ferme broyés dans un entonnoir alimentant un personnage assis à table) par ? ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 27 nov. 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…

    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…

    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement :
    cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Alerte ! : manger des animaux devient une obligations !

    Un décret du ministère de l’Agriculture et un arrêté du 30 septembre 2011 réglementent la restauration scolaire.

    Sous couvert de santé publique, ces textes :

    • constituent une intox nutritionnelle,
    • interdisent aux personnes qui refusent de manger de la viande, du poisson et/ou tout produit d’origine animale de bénéficier de repas alternatifs,
    • pérennisent un modèle alimentaire basé sur l’hyper consommation de produits d’origine animale.

    Un recours en annulation contre ces textes auprès du Conseil d’État a été déposé, info à suivre sur : www.icdv.info/

    Je veux choisir ce que je mange !

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/11/resto-trottoir-dimanche-27-novembre.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 août 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 août 2011]. — Besançon : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Afrique
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; montage photo (avec foule Playmobil devant un magasin Appel : « — Tu sais ce que c’est l’objectif du millénaire ? — Euh… l’iPad 3 pour tous ») ; photo (distribution de repas en Afrique : « — Tu sais ce que c’est l’objectif du millénaire ? — Une chimère si on ne s’en donne pas les moyens ») ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food Not Bombs Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    dim 28 août 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes

    Dès 12 h 30, place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations
    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
    - infokiosque : tracts et brochures…, discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    l’objectif du millénaire est un programme de l’ONU établi en 2000 visant à réduire de moitié l’extrême pauvreté d’ici 2015.

    Afrique : famine climatique ou politique ?

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/08/resto-trottoir-dimanche-28-aout.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 mai 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 29 mai 2011]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (cantine collective « Food not Bombs » en ville avec le logo « poing levé avec carotte ») par ? ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon — blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 29 mai 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien
    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures…
    - discussions et échanges…

    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut : cherchez-nous quai Vauban

    de la bouffe, pas des bombes
    des soins pas des potions
    des biens communs pas des profits
    des maisons, pas des prisons…

    Food not Bombs

    Tant qu’il y aura de l’argent il n’y en aura pas pour tout le monde

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/05/mai-2011-anniversaire-du-resto-trottoir.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 janvier 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 janvier 2011]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; logement, habitat  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; montage photo (vieux pulvérisateur Fly-Tox marqué « LOPPSI 2 » ; président Sarkozy avec bulle « On les a encore enfumés ») ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 30 jan. 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures…
    + infokiosque : infos, tracts et brochures…

    + concert de soutien au Resto Trottoir
    à 18 h au Maquis, rue Claude-Pouillet
    avec Astarojna, les ex R’Lopeurs, jazz manouch
    + Manu et Momo and guets

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    pas vu à la TV !

    Nouveau liberticide !

    Désinfecte les Roms !
    Mate les cyber-rebels !
    Dépoussière les cabanes !
    Dégraisse les SDF !
    Désincruste les squatters, et même les locataires et proprios !

    Agit en moins de 48 ! : plus besoin des trêves hivernales !

    Nouvelle loi LOPPSI 2 : “tous les pauvres en tôle, les mécontents aussi !”

    Expulsion, décidée par le préfet, de toute personne vivant dans un logement susceptible de « comporter de graves risques pour la salubrité, la sécurité ou la tranquillité publiques », dans un délai de quarante-huit heures et sans l’avis d’un juge.

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/01/le-repas-de-janvier-2011.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 octobre 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 octobre 2011]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; fascisme et antifascisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (manifestation antifasciste d’entre-deux-guerres avec banderole « Fascism means war » = Le Fascisme amène la guerre) ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 30 oct. 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Quand la misère s’installe…
    Quand la corruption règne…
    Quand être étranger est un délit…

    Soyons vigilants !

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/10/resto-trottoir-dimanche-30-octobre.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 31 juillet 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 31 juillet 2011]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (“Leguman”, personnage vert et orange formé de légumes : petits pois, artichauts, citrouille, etc. de écu avec radis) par ? ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 31 juillet 2011

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Leguman !

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2011/07/resto-trottoir-de-juillet.html








    [Salon du livre anarchiste de Montréal 2011]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Salon du livre anarchiste de Montréal 2011] / Benjamin Mege. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition  ; mouvement anarchiste : rencontres internationales
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :

    [ texte (en partie en défonce dans le dessin) ; dessin n&b maniériste de Benjamin Mege avec motifs d’oiseaux, livres, poings levés, chats noirs, a cerclés, flèches cerclées, triples flèches, etc. ]

    texte :

    Salon du livre anarchiste de Montréal 2011

    21 et 22 mai, 10 h-17 h, 2515 rue Delisle ; métro Lionel-Groulx

    Pour les anarchistes et ceux/celles qui s’intéressent à l’anarchisme

    Avec des kiosques, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !

    Gratuit. Bienvenue à toutes et tous.

    Service de garde pour les enfants, disponible sur place.

    Rez-de-chaussée accessible aux fauteuils roulants.

    Contactez-nous pour tout besoin d’accessibilité supplémentaire.

    Ni dieu, ni maître ; ni patron, ni frontière ! — http://www/salonanarchiste.ca — 514-679-5800


    traduction :

    Montreal Anarchist Bookfair 2011

    May 21 and 22, 10am-5pm, 2515 rue Delisle ; subway Lionel-Groulx

    For anarchists and for peaple who are curious about anarchism

    Booksellers, workshops, films, discussions, kids activities, art exhibits and more !

    Free. Welcome to all

    Childcare on site.

    Bring youy kids.

    Main floor is wheelchair accessible.

    Contact us for further accessibility needs.

    No gods, no masters ; no bosses, no borders ! — http://www/anarchistbookfair.ca — 514-679-5800


    sources :
     

    2011
    Affiche liée





    [Sidi bouzidista Bab-­el-ouediin : valtiota, valtaa ja rahaa vastaan]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sidi bouzidista Bab-­el-ouediin : valtiota, valtaa ja rahaa vastaan]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : Finlande
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Afrique du Nord *  ; Algérie  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond (filigrane rayonnant) ; photos (enfant regardant policier ; émeutes) ]

    texte :

    Sidi bouzidista Bab-­el-ouediin : valtiota, valtaa ja rahaa vastaan

    Köyhyys on ollut kasvussa Pohjois­Afrikassa vuoden alusta lähtien. Perusruokien hinta nousee, työtä on koko ajan vähemmän, mikä kutistaa entisestään kaikkien ankeita selviytymiskeinoja. Taas nostetaan esiin vanha temppu "kriisistä", jolla meidät yritetään saada uskomaan, että kurjuus ja kapinointi ovat uusi kriisin tuottama ilmiö, kun ne ovat yhtä vanhoja kuin raha ja esivalta. Vaadittiin vain muutama kipinä Tunisiassa sytyttämään valmiiksi räjähtävän tilanteen ruutitynnyri Algeriassa.

    Poliisej a, hallituksen rakennuksia, kouluja, tullia, varastoja, poliisiasemia, autokauppoja, pankkeja ja liikeyrityksiä vastaan hyökättiin, ja tiesulkuja pystytettiin. Toisin kuin valta ja journalistikytät sanovat, nämä mellakat eivät rajoitu muutamaan kuvitteelliseen kategoriaan ("nuoret", "korkeakoulutetut", "työttömät", "ääriainekset"), vaan ne ovat levinneet laaj alti, ja niiden kohteet ovat selkeitä.

    Toisella puolella myös valtion vastaus on yhtä selvä : Tunisiassa kytät vastasivat tarkka­ampujilla, kymmeniä kuoli. Myös Algeriassa on nähty tuhansia pidätyksiä, kidutusta, vangitsemista ja tappoja, kun tuomioiden julistaminen on jo alkanut ja tulee jatkumaan. Ja kuten aina kaikkialla, sosiaalinen sota on valloillaan, ja kehoittaa jokaista valitsemaan puolensa.

    Demokraattiset tai uskonolliset haaskalinnut ovat jo valmiina ryntäämään rekuperoimaan nämä kapinat poliittista päämäärää varten, ja kutsuvat uudistuksia tai hallituksen vaihtoa, suunnatakseen uudestaan tämä raivon, joka teoissa ilmentää kaikkien hallitusten vastustamista. Ne valmistelevat jo nyt jälkipeliä, haluten diktatuurin tilalle demokraattisen kontrollin, toisin sanoen, kehittää valtaa tehdäkseen siitä hyväksyttävän.

    Me, jotka elämme demokratiassa, voimme sanoa, että vaikka päivittäiset elinolot eivät ole niin ankaria kuin diktatuurissa, demokraattiset vapaudet eivät koskaan ole tehneet meistä vapaita. Haluamamme vapaus on täydellistä j a ehdotonta. Näin ollen tämä kapinallinen tuulenvire lämmittää sydämiämme kuten Kreikka joulukuussa 2008 tai Ranska marraskuussa 2005.

    Tästä syystä haluamme p uhaltaa hiiliäj a levittää kap inaa

    Täällä, kaikkialla, nyt, kaiken aikaa.

    Vallankumouksen täytyy tulla slummeista, sillä yläp uolelta tulee vain luotej aj a iskuj a.


    traduction :

    De Sidi Bouzid à Bab-el-Oued : contre le règne de l’État, du pouvoir et du fric

    Depuis le début de l’année, au Maghreb, la misère gagne du terrain. Le prix des denrées alimentaires de première nécessité flambe, il y a de moins en moins de travail, réduisant encore plus le pitoyable spectre des moyens de survie de tout un chacun. On nous ressort le bon vieux coup de « la crise », nous faisant croire que misère et révolte sont des phénomènes nouveaux qu’elle seule produit, alors qu’ils sont aussi vieux que l’argent et l’autorité. Il a suffit de quelques étincelles en Tunisie pour mettre le feu aux poudres d’une situation déjà explosive, jusqu’en Algérie.

    Flics attaqués, bâtiments administratifs, lycées, douanes, entrepôts de marchandises, commissariats, concessionnaires automobiles, banques et commerces pris pour cible, barrages de route coordonnés. Contrairement à ce que le pouvoir et les journaflics racontent, ces émeutes ne se limitent pas à quelques catégories imaginaires (« jeunes », « diplômés », « chômeurs », « extrémistes ») mais s’expriment de façon diffuse, et leurs cibles sont claires.
    En face, la réponse de l’État est tout aussi claire : en Tunisie, les flics répondent aux pavés par des tirs de sniper, faisant des dizaines de morts. En Algérie aussi, arrestations par milliers, torture, détentions et meurtres, tandis que les premières condamnations tombent et tomberont encore. Comme toujours, comme partout, la guerre sociale fait rage, appelant chacun à choisir son camp.

    Déjà les charognards démocrates ou religieux s’empressent de récupérer ces révoltes à des fins politiques, réclamant des réformes ou un changement de régime, pour détourner cette colère qui s’exprime de fait contre toute forme de régime ou de pouvoir. Ils préparent déjà l’après, voulant remplacer le contrôle de la dictature par un contrôle démocratique ; en d’autres termes, aménager la domination pour la rendre acceptable.
    Nous qui vivons en démocratie, nous pouvons affirmer que même si au quotidien, les conditions de vie y sont moins dures qu’en dictature, les libertés démocratiques ne nous ont jamais rendus libres. La liberté que nous désirons, elle, est totale et inconditionnelle. C’est pourquoi ce fond de l’air insurrectionnel, comme en Grèce depuis décembre 2008, ou en novembre 2005 en France, nous réchauffe le cœur.

    C’est pourquoi nous voulons souffler sur les braises, et propager cette révolte
    Ici, partout, maintenant, tout le temps

    Il faut bien que la révolution monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que les balles et les coups.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?De-Sidi-Bouzid-a-Bab-el-Oued : « Affiche anonyme de solidarité avec les révoltes actuelles en Tunisie et en Algérie. L’affiche est aux formats A3/A2, elle a également été tirée sous forme de tract A5. Il est bien sûr possible de se la réapproprier où que l’on soit et de la diffuser/afficher prés de chez soi. » (11 janvier 2011).


    2011

    2011

    2011

    2011

    2011
    Affiches liées








    [Solidarität mit Sonja und Christian]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarität mit Sonja und Christian]. — Berlin : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , bleu , texte en défonce ) ; [84 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne : histoire : 1945-1989 (Est )
    • Noms cités (± liste positive)  : Feiling, Hermann  ; Gauger, Christian (ca1941-....)  ; Suder, Sonja (ca1932-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte (blanc) ; photo (enfants franchissant une clôture) ]

    texte :

    Solidarität mit Sonja und Christian

    Am Mittwoch, den 14. September 2011 wurden Sonja Suder und Christian Gauger von Frankreich an den deutschen Staat ausgeliefert. Ihnen wird die Mitgliedschaft in den Revolutionären Zellen (RZ) und die Beteiligung an mehreren Aktionen vorgeworfen. Momentan befindet sich beide im Knast in Frankfurt.

    Im Jahr 978 bemerkten die beiden, dass sie observiert wurden, daraufhin entschieden sie sich unterzutauchen. Seitdem lebten sie mit einer anderen Identität in Frankreich. Aufgeflogen sind sie im Jahr 2000, wurden festgenommen und saßen für mehrere Monate in französischen Knästen, aber die Gerichte entschieden, dass die ihnen vorgeworfenen Aktionen verjährt sind. Seitdem lebten sie geduldet in Paris. 2007 stellt die Staatsanwaltschaft Frankfurt einen europäischen Haftbefehl gegen die beiden aus, 2009 entscheidet ein französischen Gericht, dass die beiden ausgeliefert werden.

    Vorgeworfen wird ihnen die Beteiligung an zwei Anschlägen im August 1977 auf MAN in Nürnberg und Klein, Schanzlin & Becker AG in Frankenthal. Beide Konzerne sind verstrickt im “imperialistischen Atomgeschäft”, die einen in der “Herstellung südafrikanischer Atombomben”, die anderen spielen “eine wesentliche Rolle des Zulieferns für Kernkraftwerke in aller Welt”. Außerdem sollen sie an einen Brandanschlag auf das Heidelberger Schloss am 18. Mai 1978 beteiligt gewesen sein. Diese Aktion richtete sich gegen den Stadtumbau und die Kaputtsanierung von Heidelberg.

    Die Vorwürfe der Beteiligung an den Aktionen rührt von unter Folter erpressten Aussagen her. 1978 explodierte im Schoss von Hermann Feiling eine Bombe, die für das argentinische Konsulat in München bestimmt war. Hermann verlor seine Beine und das Augenlicht, im Krankenhaus wurde er wochenlang unter dem Einfluss von Schmerzmitteln und Psychopharmaka von den gewissenlosen Bütteln des Staates ausgefragt. Durch eine Aussage des Kronzeugen Hans-Joachim Klein wird Sonja außerdem der Beteiligung an den Vorbereitungen für den Überfall auf die OPEC-Konferenz in Wien im Dezember 1975 beschuldigt.

    Eine immer wiederkehrende Geschichte, die deutschen Strafverfolgungsbehörden versuchen selbst nach über 30 Jahren Schuldige für notwendige direkte, militante Interventionen zu finden. Dazu lehnten Sonja und Christian das Angebot eines Deals mit der Staatsanwaltschaft ab und zeigten damit, dass für sie eine Kooperation mit dem Staat und seinen willigen HelferInnen nicht zur Debatte steht. Bewusst haben sie sich entschieden sich nicht dem deutschen Staat zu stellen und über ihre Geschichte und die Vergangenheit auszupacken, lieber haben sie das unsichere und unruhige Leben mit einer anderen Identität gewählt.

    Auf dass unsere Leidenschaft für die Freiheit die Mauern zum Einsturz bringt !

    Anarchistische Gruppen

    Solidarität ist ein Waffe !
    Schriebt den Gefangenen

    Christian Gauger
    JVA Frankfurt I
    Obere Kreuzäckerstr. 6-8
    60435 Frankfurt/Main

    Sonja Suder
    JVA Frankfurt III
    Obere Kreuzäckerstr. 6-8
    60435 Frankfurt/Main

    www.verdammtlangquer.org


    traduction :

    Solidarité avec Sonja et Christian

    Mercredi 14 septembre 2011, Sonja Suder et Chritian Gauger étaient livrés depuis la France à l’État allemand. Il leur est reproché l’affiliation aux Cellules Révolutionnaires (RZ : Revolutionären Zellen) et la participation à plusieurs actions. En ce moment, les deux se trouvent encore dans la taule de Francfort [Ndt. Christian a été libéré pour raisons médicales depuis].

    En 1978, ils ont remarqué qu’ils étaient observés, et ont décidé après ça de se cacher. Depuis ce moment-là ils vivaient en France sous une autre identité. Ils ont été découverts en 2000, ont été arrêtés et sont restés plusieurs mois dans des taules françaises, mais les juges ont décidé que les actions qui leur étaient reprochées étaient prescrites. Depuis ce temps-là, ils vivaient tolérés à Paris. En 2007, le ministère public de Francfort dépose un mandat d’arrêt européen contre eux, en 2009 un juge français décide qu’ils seront livrés.

    Il leur est reproché la participation à deux attaques en août 1977 sur MAN à Nuremberg, et sur Klein, Schanzlin & Becker AG à Frankenthal. Les deux consortiums sont mêlés au « marché nucléaire impérialiste », qui se traduit pour l’un dans « la fabrication de bombes atomiques sud-africaines » et pour l’autre dans le fait de jouer « un rôle majeur dans la sous-traitance pour les centrales nucléaires dans le monde entier ».

    De plus, ils sont associés à un attentat incendiaire sur le château d’Heidelberg le 18 mai 1978. Cette action était dirigée contre la reconstruction de la ville et l’assainissement d’Heidelberg.

    Les accusations de participation à ces actions proviennent de dénonciations extorquées sous la torture. En 1978 explosait dans le giron d’Hermann Feiling une bombe qui était destinée au consulat argentin à Munich. Hermann perdait ses jambes et la vue, à l’hôpital il était questionné pendant des semaines entières sous l’influence de la torture et de substances psychotropes des assistantes obéissantes de l’État. Sonja est accusée, de plus, sur dénonciation du principal témoin Hans-Joachim Klein, de participation aux préparatifs de l’attaque contre la conférence de l’OPEP à Vienne en décembre 1975.

    Une histoire qui se répète toujours, les tribunaux allemands essaient de trouver, même plus de 30 ans après, les coupables de ces interventions directes et militantes.
    De plus Sonja et Christian refusaient l’offre d’un accord avec le ministère public et indiquaient que pour eux, une coopération avec l’État et ses aides de bonne volonté ne pouvait être débattue. Ils ont décidé consciemment de ne pas se donner à l’État allemand et de ne pas déballer leur histoire et le passé, mais ont préféré une vie dangereuse et angoissante sous une autre identité.

    Que notre passion pour la liberté détruise les murs !

    Des groupes anarchistes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Solidarite-avec-Sonja-et-Christian « Affiche trouvée sur les murs de Berlin, octobre 2011, traduite de l’allemand par nos soins depuis ABC-Berlin » (4 novembre 2011) ; et sur http://www.abc-berlin.net/poster-solidaritaet-mit-sonja-und-christian (23 octobre 2011)


    2012
    Affiche liée





    [Strijd tegen alle grenzen en elke vorm van opsluiting]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Strijd tegen alle grenzen en elke vorm van opsluiting]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; émigration et immigration  ; prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte ; photo (porte ouverte, en pleine nature) ]

    texte :

    Strijd tegen alle grenzen en elke vorm van opsluiting

    Meer hekken, meer tralies, meer bewakers. Dat is het antwoord van de staat op de zoektocht van mensen naar een eigen leven over de grenzen heen, over de gevangenismuren heen. Jarenlang zijn er politieke spelletjes gespeeld met als inzet enkele schamele vodjes papier. Individuen moesten zich nederige burgers tonen of moesten zich uithongeren terwijl de specialisten over de juiste criteria discussieerden om in aanmerking te komen voor een regularisatie. De laatste maanden konden zelfs allerhande progressieve vertegenwoordigers of toegenomen dodelijke risico’s de machine niet in gang zetten om enkele verblijfsvergunningen te produceren. De strijd voor regularisatie met haar smeekbedes (’eisen’) aan de politiek en haar democratisch discours heeft nooit het perverse mechanisme van papieren en nationalismes doorbroken. Integendeel, de beslissing over leven en dood werd altijd elders genomen en de eigen onderdanige rol werd enkel versterkt.

    Maar al die jaren waren er ook individuen die weigerden om telkens weer op hun knieën te gaan. De opstanden in de gesloten centra, de ontsnappingen uit diezelfde centra, het verzet tijdens controles op trein, tram en bus, alle daden van sabotage en woede tegen de deportatiemachine. Ze werpen enkele zandkorrels in het radarwerk van opsluiting en deportatie, wijzen haar zwakke plekken aan, tonen aan dat het mogelijk is om het heft in eigen handen te nemen.

    Deze democratie heeft nu beslist dat ze de immigratie anders gaat beheren. Gedaan met het regulariseren op basis van politieke spelletjes of mediaspektakels. Gedaan ook met de opstandigen die stokken in de wielen van de deportatiemachine steken. Als haar wensen realiteit worden zal de immigratie nu worden georganiseerd aan de hand van de economische noden. Vanaf nu beslissen de bazen en bureaucraten wie er in komt. De anderen zullen zo snel mogelijk terug buiten gezet worden. Daarom dat de overheid nu een nieuw gesloten centrum bouwt (in Steenokkerzeel naast het al bestaande 127bis en naast de luchthaven van Zaventem), een centrum dat meer lijkt op de andere gevangenissen (met individuele cellen en verhoogde beveiliging). Daarom dat ze de razzia’s tegen personen zonder papieren de laatste tijd weer opvoert op de markten, in en rond de treinstations.

    Papieren maken het mogelijk voor de flikken, de politiekers, de machthebbers om ons te controleren, tegen elkaar op te zetten en te beheersen. Gevangenissen maken het mogelijk voor de beheerders van de democratie om opstandige en ongewenste individuen te isoleren en te breken, om de anderen die achter blijven angst aan te jagen en te laten kruipen.

    Maar we weten dat de staat niet boven de mensen staat, ze is opgemaakt uit sociale verhoudingen, uit persoonlijke beslissingen. Rondom ons zien we de structuren van verantwoordelijkheid en collaboratie en haar zwakke plekken. We weten dat we haar kunnen aanvallen, haar kunnen raken. We weten omdat we al gevoeld en geproefd hebben dat de wil om voluit te leven, het verlangen naar vrijheid hekken kan doorbreken, tralies kan ombuigen, banden kan smeden en grenzen kan vernietigen.

    Voor een strijd tegen het nieuwe gesloten centrum en de razzia’s, tegen de deportatiemachine en elke vorm van opsluiting.

    Laten we hier en nu beginnen.


    sources :
     






    [Van Sidi Bouzid tot Bab-el-Oued : tegen de Staat, het geld en de macht]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Van Sidi Bouzid tot Bab-el-Oued : tegen de Staat, het geld en de macht]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Afrique du Nord *  ; Algérie  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond (filigrane rayonnant) ; photos (enfant regardant policier ; émeutes) ]

    texte :

    Van Sidi Bouzid tot Bab-el-Oued : tegen de Staat, het geld en de macht

    Sinds het begin van dit jaar wint de ellende aan terrein in de Magreb. De voedselprijzen schieten de hoogte in. Er is alsmaar minder werk, waardoor het reeds armzalige spectrum aan manieren om te overleven nog meer gereduceerd wordt. Het magische woord ‘crisis’ wordt weer bovengehaald om ons te doen geloven dat ellende en revolte nieuwe fenomenen zijn die alleen door crises teweeggebracht worden, terwijl ze even oud zijn als het geld en de autoriteit. In Tunesië waren enkele vonken genoeg om het vuur aan de lont te leggen in een reeds erg explosieve situatie… tot in Algerije.

    De flikken worden aangevallen ; administratieve gebouwen, scholen, douaneposten, opslagplaatsen voor koopwaar, commissariaten, autodealers, banken en winkels komen in het vizier van de opstandelingen ; gecoördineerde blokkades van de wegen proberen het land plat te leggen. In tegenstelling tot wat de macht en de journalisten ons vertellen, beperken deze rellen zich niet tot een aantal denkbeeldige categorieën (‘jongeren’, ‘studenten’, ‘werklozen’, ‘extremisten’), maar uiten ze zich op een diffuse manier. En de doelwitten zijn duidelijk.

    Het antwoord van de Staat is al even duidelijk : in Tunesië antwoorden de flikken op de stenenregens met sluipschuttergeweren. Reeds tientallen mensen werden vermoord. Ook in Algerije is de repressie bijzonder brutaal : duizenden arrestaties, folter, opsluiting in concentratiekampen en moorden. Zoals altijd, zoals overal, probeert de sociale oorlog zich een weg te banen en roept iedereen op om kant te kiezen.

    Nu al haasten de democratische en religieuze aasgieren zich om deze revoltes te recupereren met politieke doeleinden. Ze eisen hervormingen of een verandering van het regime en proberen zo de woede die zich richt tegen elke vorm van regime of macht te kanaliseren. Ze bereiden reeds het erna voor, met het oog op de vervanging van de dictatoriale controle door een democratische controle – met andere woorden, ze willen de overheersing wat bijschaven om haar weer aanvaardbaar te maken.

    Wij die hier leven onder een democratisch regime, wij kunnen zonder blikken of blozen zeggen dat de democratische vrijheden ons nooit vrijgemaakt hebben, ook al zijn de levensomstandigheden hier minder hard dan onder een dictatuur. De vrijheid waarnaar wij verlangen, die vrijheid is totaal en onvoorwaardelijk. Daarom verwarmt deze insurrectionele wind in Tunesië en Algerije, net zoals die van Griekenland in december 2008 of die van november 2005 in Frankrijk, onze harten.

    Daarom willen wij olie op het vuur gooien en deze revolte verspreiden. Hier, overal, nu en altijd.

    De revolutie moet vanuit de achterbuurten komen, aangezien van bovenaf slechts kogels en matrakslagen komen.


    traduction :

    De Sidi Bouzid à Bab-el-Oued : contre le règne de l’État, du pouvoir et du fric

    Depuis le début de l’année, au Maghreb, la misère gagne du terrain. Le prix des denrées alimentaires de première nécessité flambe, il y a de moins en moins de travail, réduisant encore plus le pitoyable spectre des moyens de survie de tout un chacun. On nous ressort le bon vieux coup de « la crise », nous faisant croire que misère et révolte sont des phénomènes nouveaux qu’elle seule produit, alors qu’ils sont aussi vieux que l’argent et l’autorité. Il a suffit de quelques étincelles en Tunisie pour mettre le feu aux poudres d’une situation déjà explosive, jusqu’en Algérie.

    Flics attaqués, bâtiments administratifs, lycées, douanes, entrepôts de marchandises, commissariats, concessionnaires automobiles, banques et commerces pris pour cible, barrages de route coordonnés. Contrairement à ce que le pouvoir et les journaflics racontent, ces émeutes ne se limitent pas à quelques catégories imaginaires (« jeunes », « diplômés », « chômeurs », « extrémistes ») mais s’expriment de façon diffuse, et leurs cibles sont claires.
    En face, la réponse de l’État est tout aussi claire : en Tunisie, les flics répondent aux pavés par des tirs de sniper, faisant des dizaines de morts. En Algérie aussi, arrestations par milliers, torture, détentions et meurtres, tandis que les premières condamnations tombent et tomberont encore. Comme toujours, comme partout, la guerre sociale fait rage, appelant chacun à choisir son camp.

    Déjà les charognards démocrates ou religieux s’empressent de récupérer ces révoltes à des fins politiques, réclamant des réformes ou un changement de régime, pour détourner cette colère qui s’exprime de fait contre toute forme de régime ou de pouvoir. Ils préparent déjà l’après, voulant remplacer le contrôle de la dictature par un contrôle démocratique ; en d’autres termes, aménager la domination pour la rendre acceptable.
    Nous qui vivons en démocratie, nous pouvons affirmer que même si au quotidien, les conditions de vie y sont moins dures qu’en dictature, les libertés démocratiques ne nous ont jamais rendus libres. La liberté que nous désirons, elle, est totale et inconditionnelle. C’est pourquoi ce fond de l’air insurrectionnel, comme en Grèce depuis décembre 2008, ou en novembre 2005 en France, nous réchauffe le cœur.

    C’est pourquoi nous voulons souffler sur les braises, et propager cette révolte
    Ici, partout, maintenant, tout le temps

    Il faut bien que la révolution monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que les balles et les coups.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?De-Sidi-Bouzid-a-Bab-el-Oued : « Affiche anonyme de solidarité avec les révoltes actuelles en Tunisie et en Algérie. L’affiche est aux formats A3/A2, elle a également été tirée sous forme de tract A5. Il est bien sûr possible de se la réapproprier où que l’on soit et de la diffuser/afficher prés de chez soi. » (11 janvier 2011).


    2011

    2011

    2011

    2011

    2011
    Affiches liées



    [Vuur en vlammen voor alle gevangenissen !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vuur en vlammen voor alle gevangenissen !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin couleurs (visage de femme, rousse, style années 50) ]

    texte :

    Vuur en vlammen voor alle gevangenissen !

    De gevangenis... We hebben er allemaal wel een vaag idee van, een reportage op TV, een zoveelste moord door het gevangenisbestuur tussen de faits divers in de dagbladen, een kortdurende verontwaardiging hier en daar zonder gevolg. We vangen er allemaal iets over op, en we doen alsof het niet bestaat. Alsof niet elke dag tienduizenden onder ons de gijzelaars van de Staat zijn, alleen in hun gevangenisomzwervingen, geïsoleerd van iedereen en in stilte onderdrukt. Nochtans hebben velen onder ons een broer, een vriendin, een neef in de gevangenis, zijn we met velen om een gevangen bekende te zien in de bezoekruimte, om dat uiteindelijk allemaal triviaal te vinden. Een kort bezoek aan de gevangenis, niet weinig van ons hebben er al van geproefd, één keer, twee keer, drie keer of meer, van dichtbij of van ver, in eigen persoon of in gedachten.

    Menselijke wezens opsluiten in kooien van enkele vierkante meters gedurende maanden of jaren, elke wil in hen vernietigen, hun uitwringen als citroenen, hen breken, hen verhinderen lief te hebben, hen tergen, hen drogeren, hen slaan, hen beoordelen, hen doden, hen behandelen zoals niemand rotzooi durft te behandelen en hen onderwerpen aan dwangarbeid ; de gevangenis is de wreedheid in al zijn alledaagsheid, het is de totale heerschappij van een handvol sadisten en gehoorzaam voetvolk. Het is de laatste ademzucht van een kogel die zich recht in ons hoofd plant terwijl iedereen wegkijkt, te bekommerd om de eigen miserie. Het is de wijze waarop deze wereld zich wraakt op je abnormaliteit of tegen de concurrentie. Het is één van de wijzen waarop deze wereld de vrede oplegt.

    De gevangenis heeft op z’n minst één verdienste, met haar zijn de zaken duidelijk : geen blabla of bijna niet, een maatschappij die gevangenissen nodig heeft om zich recht te houden is een maatschappij die de oorlog heeft verklaard aan een deel van zichzelf. Een maatschappij die zich beroemt op zoveel geweld om haar doodsfabrieken te beheren is een maatschappij die haar hals aanbiedt aan de guillotine van de revolte, die de noodzakelijkheid van haar vernietiging rechtvaardigt. Ze kunnen hun gevangenissen hervormen in de breedte en lengte, de cellen behangen met goud, ze klimatiseren of de matrakken korter maken, de slagen zullen altijd even pijnlijk zijn en de gevangenis zal altijd het probleem blijven dat ze altijd is geweest. Het is de stoutmoedigheid van de vrijheid die er toe doet, niet de lafheid van het status-quo van de inrichting van de dwang.

    Alles is slechter dan buiten de gevangenis, en toch is alles zo gelijkaardig met buiten...

    Men praat al over een dertigtal doden in gevangenschap sinds het begin van het jaar. Ze duven nog praten van zelfmoorden en ongelukken... Ze durven te insinueren dat het onbeduidend is om zich op te hangen in de gevangenis, dat het onschuldig is “ongelukkig” te sterven onder de slagen van cipiers of andere gevangenen. Ze praten over “zelfmoorden” om ons te doen geloven dat het niet het gevangenisbestuur en de Staat zijn die doden. Maar wij zeggen dat elke dood in de gevangenis een moord is door het gevangenisbestuur en de Staat. Iets anders beweren is zeggen dat de levensomstandigheden buiten dezelfde zijn als binnen. Het is verklaren dat de gevangenis niet bestaat. En nochtans verschilt het buiten en het binnen enkel in de graad van intensiteit. De gevangenis is niets anders dan de uitvergrote weerspiegeling van deze maatschappij die zichzelf door een vergrootglas ziet.

    Alles is slechter dan buiten de gevangenis, en nochtans, alles is zo gelijkaardig met buiten... Dezelfde stront, dezelfde autoritaire mechanismes, dezelfde overheersing, hetzelfde geweld onafscheidelijk verbonden met de sociale vrede, dezelfde fichering, dezelfde gortige verhoudingen tussen mensen, zowel economisch als sociaal.

    Het is moeilijk om sereen te praten over de gevangenis. Het is moeilijk om niet ondergedompeld te worden in het vergiftigde klimaat die ze rond onze levens verspreidt. Maar het zijn geen tranen die opzwellen, integendeel, we kunnen enkel verdrinken in tranen. De verontwaardiging heeft nog nooit een muur doen neerkomen. En we zullen nooit het einde meemaken van de gevangenis dankzij het zichtpunt van het Recht en de Wet, want het is uit hun stenen dat ze is opgetrokken.

    In deze maatschappij die nood heeft aan opsluiten : gevangenissen, psychiatrie, gesloten centra, voorlopige hechtenis, internaten, scholen, humanitaire kampen, fabrieken, ziekenhuizen, gesloten educatieve centra, woonblokken, instellingen voor onderwijsreïntegratie etc. In deze maatschappij waar sommigen de keuze maken om cipiers, rechters of flikken te worden, is onze keuze duidelijk : Vuur voor alle gevangenissen. Vlammen voor de Staat.

    De gevangenissen moeten vernietigd worden één per één, steen per steen, cipier per cipier, rechter per rechter.

    Laten we de gevangenissen vernietigen door deze maatschappij te vernietigen

    Omdat een maatschappij die nood heeft aan opsluiting en vernedering zelf een gevangenis is

    Laten we de gevangenissen vernietigen met woede en vreugde


    traduction :

    Feu à toutes les prisons !

    La prison... On en a tous vaguement une idée, un reportage à la TV, un énième assassinat de l’administration pénitentiaire à la rubrique faits divers des journaux du jour, de brèves indignations à peu de frais par-ci par-là. On en entend tous parler, et on fait comme si cela n’existait pas. Comme si chaque jour des dizaines de milliers d’entre-nous n’étaient pas les otages de l’État, seuls dans leurs périples carcéraux individuels, isolés de tous et réprimés en silence. Pourtant nous sommes tant à avoir un frère, une amie, un cousin en taule, à visiter un proche incarcéré au parloir, nous sommes tant à finir par trouver cela banal. Un petit séjour en taule, après tout, on est pas mal à y avoir gouté, une fois, deux fois, trois fois ou plus, de près ou de loin, dans les faits ou par procuration.

    Enfermer des êtres humains dans des cages de quelques mètres carrés pendant des mois ou des années, annihiler toute volonté en eux, les presser comme des citrons, les briser, les empêcher d’aimer, les harceler, les droguer, les frapper, les juger, les tuer, les traiter comme personne n’ose traiter de la merde et les soumettre à un travail de forçat ; la taule, c’est la barbarie dans toute sa banalité, c’est le règne total d’une poignée de sadiques et de petits exécutants obéissants. C’est le dernier souffle d’une balle qui vient se loger droit dans notre tête pendant que tout le monde regarde ailleurs, trop préoccupé par sa propre misère. C’est la manière par laquelle ce monde se venge contre ton anormalité ou contre la concurrence. C’est une des manières par lesquelles ce monde force la paix.

    La prison a au moins un mérite, avec elle les choses sont claires : pas de bla-bla ou presque, une société qui a besoin de prisons pour se maintenir est une société qui a déclaré la guerre à une partie d’elle-même. Une société qui s’enorgueillit de gérer avec tant de violence ces usines de mort est une société qui offre son cou à la guillotine de la révolte, qui justifie la nécessité de sa destruction. Ils auront beau réformer les prisons en long et en large, plaquer les cellules d’or, les climatiser ou raccourcir la taille des matraques, les coups feront toujours aussi mal et la prison restera le même problème qu’elle aura toujours été. C’est l’audace de la liberté qui importe, pas la lâcheté du statu quo de l’aménagement de la contrainte.

    Une prison acceptable est une prison qui brûle !

    On parle déjà d’une trentaine de morts en détention depuis le début de l’année. On ose encore nous parler de suicides et d’accidents... On ose insinuer qu’il est anodin de se pendre dans une prison, qu’il est anodin de mourir « accidentellement » sous les coups des matons ou d’autres détenus. On nous parle de « suicides » pour faire croire que ce n’est pas l’Administration Pénitentiaire et l’État qui tuent. Mais nous affirmons que chaque mort en prison est un assassinat de l’Administration Pénitentiaire et de l’État. Considérer les choses autrement, c’est affirmer que les conditions de vie du dehors et du dedans sont les mêmes. C’est affirmer que la prison n’existe pas. Et pourtant le dedans et le dehors ne se différencient que par leur degré d’intensité. La prison n’est rien d’autre que le reflet exagéré de cette société qui se regarde dans un miroir grossissant.

    Tout est pire que dehors en prison, et pourtant, tout est tellement pareil que dehors...

    La même merde, les mêmes mécanismes autoritaires, la même domination, la même violence inhérente à la paix sociale, le même fichage, les mêmes rapports dégueulasses entre les gens, qu’ils soient économiques ou sociaux.

    Il est si difficile de parler sereinement de la prison. Il est si difficile de ne pas se laisser plomber par l’atmosphère poisseuse qu’elle disperse autour de nos vies. Mais ce ne sont pas des larmes qui en viendront à bout, au contraire, on ne peut que se noyer avec des larmes. L’indignation, elle, n’a jamais fait tomber un seul mur, et l’on ne viendra jamais à bout de la prison par le biais du Droit ou de la Loi, puisque c’est de leurs pierres qu’elle est construite.

    Dans cette société qui a besoin d’enfermer : prisons, psychiatrie, centres de rétention, gardes-à-vue, internats, écoles, maisons de retraite, camps humanitaires, usines, hôpitaux, centres éducatifs fermés, barres d’immeubles, établissements de réinsertion scolaire etc. Dans cette société où certains font le choix de devenir mâtons, juges ou flics, notre choix est clair : Feu à toutes les prisons. Feu à l’État.

    Les prisons doivent être détruites une par une, pierre par pierre, maton par maton, juge par juge.

    Détruisons les prisons en détruisant la société, parce qu’une société qui a besoin d’enfermer et d’humilier est elle-même une prison.

    Détruisons les prisons avec rage et joie.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-Feu-a-toutes-les-prisons : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, juin 2011 » (10 juin 2011).


    2011
    Affiche liée


    [Wählt Van der Lubbe !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Wählt Van der Lubbe !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)  ; mouvement anarchiste : histoire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne : histoire : 1933-1945
    • Noms cités (± liste positive)  : Van der Lubbe, Marinus (1909-1934)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ photo (portrait de Marinus Van der Lubbe, condamné à mort pour avoir prétenduement mis le feu au Reichstag le 27 février 1933) ; texte ironique appelant à l’élection de ce dernier ]

    texte :

    Wählt Van der Lubbe !

    [Foto] Der Anarchist Marinus van der Lubbe steckte am ;27. Februar 1933 in Berlin den Reichstag in Brand.

    Bürger ! Die Wahlen rücken näher. Wisst ihr schon wen wählen ?
    Wenn ihr von den üblichen Politikern enttäuscht seit, die alles versprechen und nichts halten,
    Wenn ihr diese alberne, alte und langweilige politische Klasse satt habt,
    Wenn ihr denkt, dass der Ort, an dem die Macht ausgeübt wird, etwas Wärme nötig hat,
    Wenn ihr genug habt von den Hierarchien, Privilegien und Geschäftemachereien…
    Wählt Marinus van der Lubbe !

    Van der Lubbe : er ist jung, mutig, voller Feuer und Leidenschaft.
    Van der Lubbe : der einzige Mensch der mit ehrlichen Absichten ein Parlament betrat.
    Van der Lubbe : er ist der Kandidat, der all die Wirrungen der Politik auflösen wird.

    Wählt van der Lubbe ! schickt einen Brandstifter ins Parlament ! er ist die richtige Person an der richtigen stelle !


    sources :
     




    [¡Viva México ! : projection-rencontre avec le réalisateur]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    ¡Viva México ! : projection-rencontre avec le réalisateur]. — Lille : la Digne rage : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , gris ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : photographie  ; art : vidéo  ; luttes rurales et paysannes
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  : Défossé, Nicolas
    • Presse citée  : Radio Campus Lille
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ textes ; photos du film ]

    texte :

    ¡Viva México !

    Un film de Nicolas Défossé, www.vivamexicofilm.com

    Dans un voyage des montagnes du sud-est mexicain jusqu’à la frontière nord avec les États-Unis, le sous-commandant Marcos et le peuple du Mexique dessinent le visage oublié d’un pays. Une célébration de la lutte pour la terre et la dignité.

    Projection-rencontre avec le réalisateur

    Sam. 15/10/2011 — 18 h 00

    +

    Expo-diaporama La Otra mirada, images de la lutte mexicaine, petite restauration, café zapatiste et bas associatif

    [logo :] Cinéma L’Univers — 16 rue Georges Danton, 59000 Kikke-Moulins, bus C1 ou C2, arrêt Cambrai, métro Porte de Valenciennes

    Interview et édition spéciales de l’émossion « Torre latino », vend. 14/10/2011 à 19 h 00 sur Radio Campus, 106.6 FM et www.campus-lille.com

    [logo] TNF Terra Nostra Films [logo] La otra mirada — Soirée organisée par la Digne Rage de Lille avec le cinéma L’Univers et le soutien de GDALE

    info : 06.38.78.40.58 http://collectif-digne-rage.blogspot.com/

    Entrée à prix libre


    sources :

    Cette affiche ne fut finalement pas imprimée, faute d’argent et ne paru que sur Internet « à imprimer ».



    [Από το Sidi Bouzid στο Bab-el-Oued : ενάντια στο βασίλειο του Κράτους, της εξουσίας και του χρήματος]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Από το Sidi Bouzid στο Bab-el-Oued : ενάντια στο βασίλειο του Κράτους, της εξουσίας και του χρήματος]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Afrique du Nord *  ; Algérie  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond (filigrane rayonnant) ; photos (enfant regardant policier ; émeutes) ]

    texte :

    Από το Sidi Bouzid ετο Bab-el-Oued : ενάντια στο βασίλειο του Κράτους, της εξουσίας και του χρήματος

    Από την αρχή της χρονιάς, στο Μαγκρέμπ, η δυστυχία κερδίζει έδαφος. Οι τιμές των διατροφικών προϊόντων πρώτης ανάγκης φτάνουν στα ύψη, υπάρχει όλο και λιγότερη δουλειά, κάτι που περιορίζει ακόμη περισσότερο το θλιβερό φάσμα των μέσων επιβίωσης για τον καθένα. Μας πουλούν το παλιό καλό παραμύθι της « κρίσης », για να μας κάνουν να πιστέψουμε ότι δυστυχία και εξέγερση είναι καινούρια φαινόμενα που μόνο η κρίση παράγει, ενώ είναι τόσο παλιά όσο το χρήμα και η εξουσία. Αρκούν κάποιες σπίθες στην Τυνησία για να βάλουν φωτιά στην πυριτιδαποθήκη μιας ήδη εκρηκτικής κατάστασης, που φτάνει μέχρι την Αλγερία.

    Μπάτσοι δέχονται επιθέσεις, διοικητικά κτήρια, λύκεια, τελωνεία, αποθήκες εμπορευμάτων, αστυνομικά τμήματα, αντιπροσωπείες αυτοκινήτων, τράπεζες και καταστήματα γίνονται στόχος, δρόμοι φράζονται από τους εξεγερμένους. Αντίθετα με όσα λέει η εξουσία και τα ρουφιανομέσα ενημέρωσης, αυτός ο ξεσηκωμός δεν αφορά μόνο μερικές φανταστικές κατηγορίες (« νέοι », « πτυχιούχοι », « άνεργοι », « εξτρεμιστές ») αλλά εκφράζεται με ένα διάχυτο τρόπο, και η στοχοθεσία του είναι ξεκάθαρη.

    Απ’την άλλη μεριά, η απάντηση του Κράτους είναι το ίδιο ξεκάθαρη : στην Τυνησία, η απάντηση στο πετροβόλημα στους μπάτσους, είναι τα πυρά ελεύθερων σκοπευτών που έχουν προκαλέσει δεκάδες θανάτους. Στην Αλγερία επίσης, η απάντηση είναι οι χιλιάδες συλλήψεις, οι βασανισμοί, οι φυλακίσεις και οι δολοφονίες, ενώ οι πρώτες καταδίκες άρχισαν να πέφτουν και θα συνεχίσουν. Όπως πάντα, όπως παντού, ο κοινωνικός πόλεμος λυσσομανάει, καλώντας τον καθένα να διαλέξει στρατόπεδο.

    Ήδη τα δημοκρατικά και θρησκευτικά όρνεα βιάζονται να οικειοποιηθούν αυτές τις εξεγέρσεις για πολιτικούς λόγους, απαιτώντας μεταρρυθμίσεις ή μια αλλαγή καθεστώτος για να εκτρέψουν τον θυμό που εκφράζεται στην ουσία ενάντια σε κάθε μορφή καθεστώτος και εξουσίας. Προετοιμάζουν ήδη το μετά θέλοντας να αντικαταστήσουν τον έλεγχο της δικτατορίας με έναν δημοκρατικό έλεγχο. Μ’άλλα λόγια, να σουλουπώσουν την κυριαρχία για να την κάνουν αποδεκτή.

    Εμείς που ζούμε σε δημοκρατία, μπορούμε να βεβαιώσουμε ότι ακόμα κι αν στην καθημερινότητα, οι συνθήκες ζωής μας είναι λιγότερο σκληρές απ’ ό,τι στη δικτατορία, οι δημοκρατικές ελευθερίες δεν ήταν ποτέ στην ουσία ελεύθερες. Η ελευθερία που επιθυμούμε εμείς, είναι ολική και ασυμβίβαστη. Γι’αυτό το λόγο, κι αυτή η εξεγερτική αύρα, όπως του Δεκέμβρη του 2008 στην Ελλάδα, ή του Νοέμβρη του 2005 στη Γαλλία, μας ζεσταίνει την καρδιά.

    Γι’αυτό θέλουμε να φυσήξουν άνεμοι που θα απλώσουν την εξεγερτική φλόγα.
    Εδώ, παντού, τώρα και για πάντα.

    Πρέπει η επανάσταση να χτίσει ψηλότερα τη φωλιά της,γιατί από πάνω έρχονται τώρα μόνο σφαίρες και χτυπήματα.

    παράφραση του : « Il faut bien que la vérité monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que des mensonges. », Louise Michel, 1890


    traduction :

    De Sidi Bouzid à Bab-el-Oued : contre le règne de l’État, du pouvoir et du fric

    Depuis le début de l’année, au Maghreb, la misère gagne du terrain. Le prix des denrées alimentaires de première nécessité flambe, il y a de moins en moins de travail, réduisant encore plus le pitoyable spectre des moyens de survie de tout un chacun. On nous ressort le bon vieux coup de « la crise », nous faisant croire que misère et révolte sont des phénomènes nouveaux qu’elle seule produit, alors qu’ils sont aussi vieux que l’argent et l’autorité. Il a suffit de quelques étincelles en Tunisie pour mettre le feu aux poudres d’une situation déjà explosive, jusqu’en Algérie.

    Flics attaqués, bâtiments administratifs, lycées, douanes, entrepôts de marchandises, commissariats, concessionnaires automobiles, banques et commerces pris pour cible, barrages de route coordonnés. Contrairement à ce que le pouvoir et les journaflics racontent, ces émeutes ne se limitent pas à quelques catégories imaginaires (« jeunes », « diplômés », « chômeurs », « extrémistes ») mais s’expriment de façon diffuse, et leurs cibles sont claires.
    En face, la réponse de l’État est tout aussi claire : en Tunisie, les flics répondent aux pavés par des tirs de sniper, faisant des dizaines de morts. En Algérie aussi, arrestations par milliers, torture, détentions et meurtres, tandis que les premières condamnations tombent et tomberont encore. Comme toujours, comme partout, la guerre sociale fait rage, appelant chacun à choisir son camp.

    Déjà les charognards démocrates ou religieux s’empressent de récupérer ces révoltes à des fins politiques, réclamant des réformes ou un changement de régime, pour détourner cette colère qui s’exprime de fait contre toute forme de régime ou de pouvoir. Ils préparent déjà l’après, voulant remplacer le contrôle de la dictature par un contrôle démocratique ; en d’autres termes, aménager la domination pour la rendre acceptable.
    Nous qui vivons en démocratie, nous pouvons affirmer que même si au quotidien, les conditions de vie y sont moins dures qu’en dictature, les libertés démocratiques ne nous ont jamais rendus libres. La liberté que nous désirons, elle, est totale et inconditionnelle. C’est pourquoi ce fond de l’air insurrectionnel, comme en Grèce depuis décembre 2008, ou en novembre 2005 en France, nous réchauffe le cœur.

    C’est pourquoi nous voulons souffler sur les braises, et propager cette révolte
    Ici, partout, maintenant, tout le temps

    Il faut bien que la révolution monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que les balles et les coups.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?De-Sidi-Bouzid-a-Bab-el-Oued : « Affiche anonyme de solidarité avec les révoltes actuelles en Tunisie et en Algérie. L’affiche est aux formats A3/A2, elle a également été tirée sous forme de tract A5. Il est bien sûr possible de se la réapproprier où que l’on soit et de la diffuser/afficher prés de chez soi. » (11 janvier 2011).


    2011

    2011

    2011

    2011

    2011
    Affiches liées


    [Αφίσα ομάδων αντιπληροφόρησης ενάντια σε θιασώτες της πατρίδας και απολογητές της εθνικής ενότητας]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Αφίσα ομάδων αντιπληροφόρησης ενάντια σε θιασώτες της πατρίδας και απολογητές της εθνικής ενότητας]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (n&b) ]

    texte :

    Επειδή δε γεννηθήκαμε χθες, αλλά έχουμε μνήμη, επειδή φτύνουμε κατάμουτρα την προπαγάνδα των καθεστωτικών media…
    Επειδή κι εμείς, είτε γεννηθήκαμε εδώ είτε όχι, ζούμε και περπατάμε σ’ αυτούς εδώ τους δρόμους, γνωρίζουμε πάρα πολύ καλά πως :

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΔΟΛΟΦΟΝΟΥΝ
    –μαζικά κιόλας– στο Αφγανιστάν, στη Σομαλία και όπου αλλού πατάει η μπότα του ελληνικού στρατού, όπως δολοφονούσε χθες στη Σρεμπρένιτσα και θα συνεχίσει να δολοφονεί όπου υπάρχει ανάγκη να προστατευτούν τα « εθνικά οικονομικά συμφέροντα ».

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΒΙΑΖΟΥΝ
    κορίτσια και αγόρια από την Αφρική, την ανατολική Ευρώπη και από παντού, χρόνια τώρα στα μπουρδέλα της πρωτεύουσας και στα κωλόμπαρα της επαρχίας, στα αστυνομικά τμήματα των γειτονιών μας. Άλλη μια απτή απόδειξη της παραδοσιακής τους λεβεντιάς-παλικαριάς, ενισχυμένης απ’ τη –δανεική– συνθήκη του οικονομικά « ισχυρού Έλληνα ».

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΛΗΣΤΕΥΟΥΝ
    Έλληνες τραπεζίτες, εφοπλιστές, αφεντικάνοι, επιχειρηματίες μεσαίου και μεγάλου βεληνεκούς, αρχιμανδρίτες και πολιτικοί, τίμιοι δικαστές και αδιάφθοροι αστυνομικοί. Στην Ελλάδα, στα Βαλκάνια και όπου αλλού επεκτείνουν τις βρόμικες μπίζνες τους…

    Η ΕΘΝΙΚΗ ΕΝΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ ΜΙΑ ΑΠΑΤΗ
    που θέλει να δίνει την ψευδαίσθηση σ’ εμάς τους « από τα κάτω » ότι έχουμε κοινά συμφέροντα μ’ αυτούς που ληστεύουν τις τσέπες μας, βιάζουν την προσωπικότητά μας, μ’ αυτούς που θέλουν να μας ξεζουμίσουν πριν μας δολοφονήσουν σ’ ένα κάτεργο, μια φυλακή, ένα τρελάδικο.

    Η ΑΝΤΙΣΤΑΣΗ ΜΑΣ ΟΧΙ ΑΠΛΑ ΔΕΝ ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΟΡΓΑΝΩΝΕΤΑΙ ΠΑΝΩ ΣΤΗ ΒΑΣΗ ΤΗΣ ΕΘΝΙΚΗΣ ΕΝΟΤΗΤΑΣ

    ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΤΗΝ ΤΣΑΚΙΣΕΙ

    ΟΜΑΔΕΣ ΑΝΤΙΠΛΗΡΟΦΟΡΗΣΗΣ ΕΝΑΝΤΙΑ ΣΕ ΘΙΑΣΩΤΕΣ ΤΗΣ ΠΑΤΡΙΔΑΣ ΚΑΙ ΑΠΟΛΟΓΗΤΕΣ ΤΗΣ ΕΘΝΙΚΗΣ ΕΝΟΤΗΤΑΣ


    traduction :

    « Briser l’unité nationale... »

    Puisque nous ne sommes pas né(e)s hier mais que nous gardons la mémoire du passé, puisque nous crachons sur la propagande des médias corporatifs...

    Né(e)s ici ou pas, nous vivons et marchons aussi dans ces rues, nous savons donc très bien que :

    LES GRECS AUSSI, ASSASSINENT
    (massivement) en Afghanistan, en Somalie et partout ailleurs où les bottes de l’armée grecque pénètrent, comme elle a massacré à Srebrenica dans le passé récent, et comme elle continuera à tuer des gens partout où la protection des « intérêts économiques nationaux » le demande.

    LES GRECS AUSSI, VIOLENT
    Les filles et des garçons d’Afrique, d’Europe de l’Est et de partout, depuis des années, dans les bordels de la capitale et dans les bars louches en province, à l’intérieur des postes de police de notre voisinage. Une autre preuve tangible de leur imposture corpulente traditionnelle, accrue par leur condition (empruntée) de « Grec économiquement puissant ».

    LES GRECS AUSSI, VOLENT
    Les banquiers, propriétaires de bateau, patrons, hommes d’affaires, archimandrites de l’église, politiciens, juges honnêtes et policiers incorruptibles de Grèce ; en Grèce, dans les Balkans et partout où ils étendent leurs affaires répugnantes...

    L’UNITÉ NATIONALE, C’EST UNE ARNAQUE
    dont l’objectif est de créer l’illusion pour nous « d’en bas » que nous aurions des intérêts communs avec ceux qui nous volent, violent notre personnalité, avec ceux qui veulent tout presser hors de nous avant de nous exterminer dans une galère, une prison, une maison de fous.

    NOUS NE DEVRIONS PAS SEULEMENT REFUSER D’ORGANISER NOTRE RÉSISTANCE SUR LA BASE DE L’UNITÉ NATIONALE

    NOUS DEVRIONS LA DÉTRUIRE

    Groupes de contre-information contre les adeptes de la patrie et les apologistes de l’unité nationale


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Ελλάδα-Αφίσα (5 septembre 2011).



    [Έκτακτο Ανακοινωθέν :]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Έκτακτο Ανακοινωθέν :]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 67 × 48 cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; cadre de faire-part de deuil ]

    texte :

    ΕΚΤΑΚΤΟ ΑΝΑΚΟΙΝΩΘΕΝ :

    ΔΙΑ ΝΑ ΣΩΣΟΜΕΝ ΤΗΝ ΔΗΜΟΚΡΑΤΙΑΝ ΜΑΣ ΑΠΟ ΤΟΝ ΚΙΝΔΥΝΟ ΜΙΑΣ ΡΙΖΙΚΗΣΑΝΑΤΡΟΠΗΣ ΠΟΥΑΠΟΣΚΟΠΕΙ ΣΤΟΝ ΚΟΜΜΟΥΝΙΣΜΟΝ ΚΑΙ ΤΗΝ ΑΝΑΡΧΙΑΝ ΑΠΑΙΤΕΙΤΑΙ ΝΑ ΚΑΤΑΒΛΗΘΕΙ ΕΡΓΟ ΔΙΑ ΤΗΝ ΣΥΜΗΨΗΝ ΚΑΙ ΑΠΟΜΟΝΩΣΗΝ ΠΑΣΗΣ ΦΥΣΕΩΣ ΑΝΑΤΡΕΠΤΙΚΩΝ ΣΤΟΙΧΕΙΩΝ ΚΑΙ ΣΥΜΠΑΡΑΣΤΑΤΩΝ ΤΟΥΣ

    ΔΙΑ ΤΟΝ ΣΚΟΠΟΝ ΑΥΤΟΝ ΔΥΝΑΤΑΙ Η ΕΚΤΕΛΕΣΤΙΚΗΝ ΚΑΙ ΔΙΚΑΣΤΙΚΗΝ ΕΞΟΥΣΙΑΝ ΝΑ ΠΑΡΑΚΑΜΠΤΕΙ ΤΥΧΟΝ ΕΜΠΟΔΙΑ ΚΑΙ ΟΠΟΥ ΔΕΝ ΚΑΤΕΧΕΙ ΙΚΑΝΟΠΟΙΗΤΙΚΑΣ ΜΑΡΤΥΡΙΚΑΣ ΥΠΟΔΕΙΞΕΙΣ ΚΑΙ ΣΤΟΙΧΕΙΑ ΠΟΥ ΝΑ ΕΝΟΧΟΠΟΙΟΥΝ ΑΡΚΕΙ Η ΚΑΤΑΣΚΕΥΗ ΤΩΝ

    ΤΟ ΠΡΟΒΛΗΜΑΑΓΑΠΗΤΟΙ ΣΥΜΠΟΛΙΤΕΣ ΕΙΝΑΙ Η ΙΔΕΟΛΟ ΓΙΑΝ ΚΑΙ Η ΑΝΗΘΙΚΗΝ ΥΠΟΚΙΝΗΣΗ ΚΑΙ ΣΤΗΡΙΞΗ ΠΡΑΞΕΩΝ ΠΟΥ ΣΤΟΧΟΠΟΙΟΥΝ ΤΗΝ ΔΗΜΟΚΡΑΤΙΑΝ ΚΑΙ ΤΗΝ ΟΜΑΛΗΝ ΛΕΙΤΟΥΡΠΑΝ ΤΗΣ ΚΟΙΝΩΝΙΑΣ ΜΑΣ

    ΣΤΟ ΕΡΓΟ ΤΗΣ ΣΩΤΗΡΙΑΣ ΤΗΣ ΠΑΤΡΙΔΟΣ ΣΤΕΚΟΜΑΣΤΕ ΕΞΩ ΑΠΟ ΤΟ ΣΠΙΤΙ ΣΑΣ ΖΗΤΩ Η ΔΗΜΟΚΡΑΤΙΑ ΣΚΑΣΜΟΣ !

    0 αναρχικός Άpnς Σειρηνίδης συλλαμβάνεται στις 3 Μαϊου 2010 ως ύηοητος για ληστεία σε πολυκατάστημα. Αφού δεν βρίσκεται τίποτα που να τον συνδέει με το συγκεκριμένο γεγονός και λίγες ώρες πριν αποφυλακιστεί "ανακαλύπτεται" στα εργαστήρια της αστυνομίας ηως το DNA του "ταιριάζει" με αυτό που βρέθηκε πάνω σε χειρουργική μάσκα κοντά σε σημεία στα Εξάρχεια όπου τον Ιούλιο που 2009 άγνωστος πυροβόλησε εναντίον κλούβας των ματ. Παρά το πασιφανές της κατασκευής ενοχοποιητικών στοιχείων και παρότι η ταυτοποίηση DNA, μια επιστημονικά και νομικά αμφισβητούμενη μέθοδος, δεν μπορεί να στοιχειοθετεί από μόνη της κατηγορητήρια, ο Άpnς Σειρηνίδης παραμένει προφυλακισμένοι αηό τότε.

    Εν μέσω της κατάστασης εκτάκτου ανάγκης που έχει κηρυχθεί από τα αφεντικά λόγο της κρίσης γιο την αντιμετώπιση της αναμενόμενης κοινωνικής έκρηξης, είναι ξεκάθαρο, πωυ η αποθράσυνση του κρατικού μηχανισμού τείνει να γίνει σ κανόνας : Κατασταλτική αντιμετώπιση κάθε κοινωνικού αγώνα - Στοχοποίηση κοινωνικών ομάδων όπως οι μετανάστες Στημένες δικαστικές υποθέσεις και προφυλακίσεις χωρίς στοιχεία ως εργαλείο καθυπόταξης ανθρώπων που δεν κρύβουν την πολιτικά τους θέση και δράση

    Η κυριαρχική μέθοδος της κοινωνικής και δημοκρατικής συναίνεσης καθίσταται πλέον παρελθόν. Όσο εντείνεται το ενδεχόμενο κοινωνικής εξέγερσης τόσο θα ξεχειλίζει π βία από την μεριά του κράτους και τόσο Θα δυναμώνει και η δική μας αργή. Ο νους μας βρίσκεται στο πλάι όσων αγωνίζονται και η κραυγή μας στους δρόμους !

    ΛΕΥΤΕΡΙΑ ΣΤΟΝ ΑΝΑΡΧΙΚΟ

    ΑΡΗ ΣΕΙΡΗΝΙΔΗ

    ΕΠΑΝΕΝΑΡΞΗ ΔΙΚΗΣ 8 ΙΟΥΝΗ

    Η "αυτοδιάλυση" του πρώτου 6ικσστηρίου -9 Μάρτη- και η
    επανέναρξη της δίκης με νέο σύσταση μετά από 3 μήνες μόνο ως
    τεχνική ηαρότασης της προφυλάκισης του Άρη μπορεί να ειδωθεί

    ΦΑΜΠΡΙΚΑ ΥΦΑΝΕΤ
    […]


    sources :

    source



    [Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι] / Théophile Alexandre Steinlen. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Economou [Μαρίας Οικονόμου], Maria  ; Kossiva [Αλέξανδρου Κόσσυβα], Alexander  ; Polikreti [Βένο Πολυκρέτη], Vénus  ; Traikaii [Μιχάλη Τράïκάηη], Michael
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (scène de procès) par Steinlen ? ]

    texte :

    Στις 17 Σεπτεμβρίου 2010, σε τυχαίο έλεγχο στην περιοχή του Πανοράματος Ευβοίας, εξακριβώνονται τα στοιχεία των αναρχικών Μιχάλη Τράïκάηη, Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Οι μπάτσοι τους προσάγουν και λίγο αργότερα τους γνωστοποιούν ότι κατηγορούνται για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζας Ψαχνών, δίχως να υπάρχει κανένα επιβαρυντικό στοιχείο που να τους συνδέει. Στις 31 Ιουλιου 2011 μια ακόμα μεθόδευση ενεργείται ει βάρος των αναρχικών συντρόφων Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Βρίσκονται κατηγορούμενοι βάσει της κα-τάθεσηs ενός ιμευδομάρτυρα για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζα στις 29 Μάρτη 2010 στο Σχηματάρι.

    Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι

    Στην ιστορική συγκυρία που τα αφεντικά έχουν κηρύξει μια πρωτοφανή σε ένταση επίθεση στα φτωχότερα κομμάτια της κοινωνίας, αθώοι για το σύστημα είναι μόνο όσοι αποδέχονται παθητικά την εκμετάλλευση, όσοι κερδοφορούν από τι πλατιές μάζες των ανά τον κόσμο προλετάριων, τα τάγματα ασφαλείας που με το δάχτυλο στη σκανδάλη είναι έτοιμα να δολοφονήσουν απεργούς, διαδηλωτές, εξεγερμένους...

    Παραμένουμε συνειδητά ένοχοι, ενισχύοντας την εμπροσθοφυλακή της αντίστασης, προωθώντας την κοινωνική ανταρσία

    Απαιτούμε την άμεση απελευθέρωση των αναρχικών
    Μιχάλη Τράïκάηη και Αλέξανδρου Κόσσυβα

    Καμία δίωξη στους αναρχικούς : Μαρία Οικονόμου και Βένο Πολυκρέτη

    Συγκέντρωση :
    δικαστήρια Χαλκίδας 18 Οκτώβρη 2011, 9.00 π.μ.

    Αναρχικοί σύντροφοι-ισσες


    sources :

    octobre 2011.



    [Σταση πληρωμων τωρα !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Σταση πληρωμων τωρα !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge , texte en défonce , papier blanc ) ; 100 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    ΣΤΑΣΗ ΠΛΗΡΩΜΩΝ
    ΤΩΡΑ !

    ΔΕΗ, ΟΤΕ, ΕΥΔΑΠ, ΕΘΕΑ, ΗΣΑΠ, ΜΕΤΡΟ

    φόρων και τελών, δανείων και καρτών

    ΟΡΓΑΝΩΝΟΥΜΕ ΤΗ ΣΥΛΛΟΓΙΚΗ ΜΑΣ
    ΓΡΑΜΜΗ ΑΜΥΝΑΣ

    στην υποτίμηση του πραγματικού μισθού, των συντάξεων και των αποζημιώσεων,

    στην κατάργηση των συλλογικών συμβάσεων και τις μαζικές απολύσεις

    στη μεταφορά του κόστους ασφάλισης στους εργαζόμενους

    ΜΕΣΑ ΑΠΟ ΑΝΟΙΧΤΕΣ
    ΚΑΙ ΑΝΤΙ-ΙΕΡΑΡΧΙΚΕΣ ΔΙΑΔΙΚΑΣΙΕΣ
    σε γειτονιές, χώρους εργασίας, σχολεία, πανεπιστήμια, παντού

    ΚΑΙ ΠΕΡΝΑΜΕ ΣΤΗΝ ΑΝΤΕΠΙΘΕΣΗ

    ΧΡΕΟΚΟΠΗΜΕΝΟΙ
    (ΑΠΟ ΤΟ ΚΡΑΤΟΣ ΚΑΙ ΤΟ ΚΕΦΑΛΑΙΟ)

    ΟΛΩΝ ΤΩΝ ΕΙΔΩΝ
    ΕΝΩΘΕΙΤΕ

    είμαστε αδύναμοι όσο παραμένει ο καθένας μόνος του

    ΑΝΑΡΧΙΚΟΙ - ΑΝΤΙΕΞΟΥΣΙΑΣΤΕΣ


    traduction :

    Arrêtez de payer, maintenant !

    PPC, OTE, EYDAP, ASN, Metro, Metro

    impôts, prêts et cartes

    Organiser notre collectif
    LIGNE DE DÉFENSE

    la dépréciation des salaires réels, les pensions et allocations

    l’abolition des conventions collectives et les licenciements collectifs

    les frais d’assurance de transport aux employés

    PAR OUVERT
    Et procédures anti-IERARCHIKES
    Dans les quartiers, les lieux de travail, écoles, universités, partout dans le monde

    Et passe une contre-attaque

    En faillite
    (DE L’ÉTAT ET LE CHAPITRE)

    TOUTES LES ESPECES
    UNITE

    nous sommes faibles, mais encore, individuellement

    Anarchistes - ANTIEXOUSIASTES


    sources :

    STASI̱ PLI̱RO̱MO̱N
    TO̱RA !

    DEI̱, OTE, EV̱DAP, ETHEA, I̱SAP, METRO

    fóro̱n kai teló̱n, daneío̱n kai kartó̱n

    ORGANO̱NOUME TI̱ SYLLOGIKI̱ MAS
    GRAMMI̱ AMYNAS

    sti̱n ypotími̱si̱ tou pragmatikoú misthoú, to̱n syntáxeo̱n kai to̱n apozi̱mió̱seo̱n,

    sti̱n katárgi̱si̱ to̱n syllogikó̱n symváseo̱n kai tis mazikés apolýseis

    sti̱ metaforá tou kóstous asfálisi̱s stous ergazómenous

    MESA APO ANOICHTES
    KAI ANTI-IERARCHIKES DIADIKASIES
    se geitoniés, chó̱rous ergasías, scholeía, panepistí̱mia, pantoú

    KAI PERNAME STI̱N ANTEPITHESI̱

    CHREOKOPI̱MENOI
    (APO TO KRATOS KAI TO KEFALAIO)

    OLO̱N TO̱N EIDO̱N
    ENO̱THEITE

    eímaste adýnamoi óso paraménei o kathénas mónos tou

    ANARCHIKOI - ANTIEXOUSIASTES