répression

 

 

Affichage par année

447 affiches :

 

    [Flics, porcs, assassins]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Flics, porcs, assassins]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; police  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos (scènes d’émeutes)

    texte :

    Flics, porcs, assassins

    La police dit que son but est de « servir et protéger », mais les 60 personnes que le SPVM a tuées depuis 1987 nous rappellent que ce n’est pas nous que la police sert et protège. On nous dit que nous avons besoin de la police, que leurs actions sont excusables et nécessaires à notre protection, que sans eux nous allons toutes/tous nous entretuer. La vérité est que nous n’avons pas besoin d’eux. Nous savons trop bien qui sont les assassins.

    La police existe pour maintenir l’ordre social au service du capitalisme et de l’État ; elle n’est pas intéressée à réduire le crime, mais plutôt à augmenter le contrôle social. Ils sont ceux qui lancent des gaz lacrymogènes et qui tirent des balles de plastique à toutes les fois qu’une manifestation échappe à leur contrôle, qui attaquent les travailleur(euse)s et les étudiant.es en grève. Ils sont ceux qui séparent les affamé.es des étagères pleines de bouffe des marchés, les sans-abri.es des immeubles vacants, les immigrant.es de leurs familles de l’autre côté de la frontière. La police est celle qui met les gens en cage. Ils sont ceux qui en convainquent plusieurs de vivre en cage selon leurs propres volontés, mû.es par la peur. Ils sont ceux qui protègent les riches, les patrons, leurs propriétés – pas nous.

    Le capitalisme est un système qui nous est imposé. Aussi longtemps que des gens pourront défier la hiérarchie de l’élite gouvernante, la police sera nécessaire pour réguler, discipliner, contrôler. La violence policière n’est pas un accident – c’est notre quotidien. Elle ne peut pas être séparée d’un contexte plus large où les mesures d’austérité s’accroissent et où le contrôle social s’intensifie avec les nouvelles prisons, des lois plus sévères, avec l’omniprésence des technologies de surveillance. Le problème n’est pas juste la violence de la police, mais la police elle-même tout comme les tribunaux, les lois et les prisons, qui maintiennent la misère que le capitalisme nous impose.

    La police ne peut nous dominer que si nous demeurons isolé.es. Si tous ceux/toutes celles qui l’haïssent se soulèvent ensemble, ils seront impuissants à nous arrêter. En Égypte, cela n’a pris qu’une semaine pour faire brûler tous les postes de police et pour obliger les départements de police à s’évaporer. C’est pourquoi notre colère doit se transformer en action comme quand les gens ont pris la rue pour y vivre l’émeute après le meurtre de Freddy Villanueva par les cochons à Montréal-Nord, quand les Mohawks ont érigé des barricades armées à Kanehsatake et à Kahnawake en 1990 ou encore plus récemment durant les manifs confrontationnelles qui ont fleuri du terrain de la grève étudiante, où les gens attaquent régulièrement la police avec tout ce qu’ils/elles peuvent, des roches aux cocktails molotov, brisent leurs chars ainsi que leurs équipements et détruisent leurs postes.

    La police est un des plus importants obstacles à la réalisation de l’anarchie – une situation qui requiert des gens qui vivent selon leurs propres initiatives, seulement mettant en application ce qu’elles/ils sentent comme étant dans le meilleur intérêt. Les conflits devront être résolus dans un but de satisfaction mutuelle pour toutes les parties impliquées, pas supprimés par un gang qui s’est approprié le monopole de la force.

    Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de polices patrouillant les rues, arrêtant celles/ceux que nous aimons et nous harcelant à tous les coins de rue, la police sera attaquée tout comme leurs cages et les systèmes de domination qu’ils essaient de protéger.

    sabotagemedia.anarkhia.org — mtlcounter-info.org


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/police/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/police.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/la-police/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/flics.pdf


    2012
    Affiche liée


    Turkiye’de ki baskıya son!">[Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Turquie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (capitales) ; photos (répressions de manifestant·e·s, prison) ]

    texte :

    Libération des prisonnier-e-s anarchistes en grève de la faim depuis le 11/06/2012 et de tou-te-s les prisonnier-e-s politiques !

    Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!

    Contre l’incarcération de plus de 900 étudiant-e-s
    Contre la politique de répression à l’égard des minorités kurdes
    Contre les atteintes au droit d’avorter
    Contre l’incarcération de 15 militant-e-s anarchistes, dont 12 sont en grève de la faim depuis le 11 juin

    Vive la solidarité internationale !

    Manifestation mardi 26 juin à 18 h 30 au Trocadéro, Paris

    Eylem 26 Haziran Salı, saat: 18.30, Trocadero, Paris


    sources :
     






    [Le Chat déchaîné #11 : armée lutte de classes et beaux discours]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Chat déchaîné #11 : armée lutte de classes et beaux discours] / Julien Zeppo. — La Chaux-de-Fonds : FLM_ (Fédération libertaire des Montagnes : 1978-....) : OSL_ (Organisation socialiste libertaire), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; armée  ; contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Suisse : histoire : 1900-1947
    • Noms cités (± liste positive)  : Hellmo  ; Zeppo, Julien
    • Presse citée  : Chat déchaîné, le
    • Vie des mouvements  : journal mural  ; anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte (signé Hellmo)

    dessin (rue citadine dont l’axe central divise les manifestant·e·s et les militaires qui les mettent en joue) signé Julien Zeppo

    texte :

    Le Chat déchaîné

    Feuille d’agitation de la Fédération Libertaire des Montagnes #9

    Armée lutte de classes et beaux discours

    80 ans après les faits, on a beaucoup parlé de la fusillade de Genève. D’une part, par bête goût de la commémoration. D’autre part, parce qu’est paru un livre (1), qui revient en détail sur ce sujet. Rappelons très brièvement les faits : le soir du 9 novembre 1932, l’année ouvre le feu, au pistolet et au fusil mitrailleur, sur une manifestation antifasciste, faisant treize morts et des dizaines de blessés. Puis on félicite les assassins et l’on condamne des dirigeants du PS genevois, qui avaient appelé à manifester, pour trouble à l’ordre public…

    Cet évènement a fait couler bien de l’encre et de la salive au point d’occulter, sans doute, d’autres drames similaires. Revenons en 1875, par exemple : les ouvriers du Saint Gotthard se mettent en grève ; on fait donner la troupe ; bilan : quatre morts. Jusqu’au milieu du XXe siècle, l’armée a fréquemment été appelée à « contenir » le mouvement ouvrier, avec des résultats plus ou moins dramatiques (2). Ce rôle joué alors par l’année de milice en dit long sur son caractère d’institution de classe.

    L’ouvrage de Jean Batou a des défauts, c’est entendu (3), mais aussi des qualités. Par exemple, il décrit bien l’état quasi psychotique des élites genevoises : confrontées à « quelques centaines de personnes armées de sifflets et de sachets de poivre » (4), elles se persuadent d’assister à un remake de la révolution d’octobre. La collusion est totale entre pouvoirs politique, financier, judiciaire et militaire. Grandes familles patriciennes, banquiers privés, politiciens conservateurs, cadres de l’armée, intellectuels d’extrême-droite : tout ce petit monde s’invite à dîner, défend ses privilèges et cultive jusqu’au délire la « peur du Rouge ».

    Où en sommes-nous aujourd’hui ?

    En 1932, on vivait les soubresauts de la crise de 29. La place financière genevoise connais-sait des difficultés dues à des affaires de fraude fiscale. Il y a donc des similitudes entre cette époque et la nôtre, et aussi d’immenses différences : ainsi, l’obligation de servir est aujourd’hui remise en cause, ne serait-ce que parce qu’elle n’arrange pas les patrons. De même, le mouvement ouvrier était certes divisé, mais plus actif et radical qu’aujourd’hui. Sans doute toutes les conditions ne sont-elles pas réunies pour que, demain, l’armée suisse fasse feu sur des civils. Mais il faut malheureusement constater qu’en théorie, tout est prêt.

    À la demande de l’inénarrable Ueli Maurer, la Milizkommission C a rendu en août dernier un rapport intitulé L’importance de l’armée pour la Suisse (5). Comme l’ont fait remarquer plusieurs observateurs, bon nombre des membres de cette commission sont, dans le civil, de hauts dirigeants de la banque ou de l’industrie. Leur prose est édifiante, surtout le paragraphe Utilité de l’armée dans des circonstances exceptionnelles. Par « circonstances exceptionnelles » on entend les catastrophes naturelles, les attaques militaires (un point sur lequel les auteurs eux-mêmes semblent fort peu convaincus) et l’extrémisme violent : on se demande bien de quel type d’ « extrémisme » il s’agit…

    Au mois de septembre, l’exercice d’état-major Stabilo due avait pour thème Désordres en Suisse et autour de la Suisse : il s’agissait de préparer 2000 officiers à la « gestion » de flux migratoires massifs et de mouvements sociaux à l’intérieur du pays. Ce jeu de rôle d’un goût douteux fait écho au projet de créer quatre bataillons de police militaire, sans prendre le risque d’une votation populaire (6). « La situation (due à la crise économique dans PUE et en Suisse) pourrait échapper à tout contrôle. Je n’exclus pas que nous utilisions l’armée dans ces prochaines années, » déclarait Ueli Maurer début octobre : l’heure n’est donc pas à la rigolade. Et la porte-parole du Département Militaire Fédéral, Sonia Margelist, d’ajouter : « L’armée doit être prête dans le cas où la police demanderait de l’aide. Il n’est pas exclu que les conséquences de la crise économique puissent conduire en Suisse à des protestations et à des violences. » On notera l’emploi du terme « protestations », suffisamment vague pour désigner tout et n’importe quoi…

    Il est donc encore parmi les missions de l’armée suisse que de s’attaquer à des civils, qu’il s’agisse de « gérer » les flux migratoires ou de réprimer les mobilisations sociales. Mais le discours a changé. Pendant l’entre-deux-guerres puis pendant la guerre froide, on présentait le peuple suisse comme fondamentalement bon et brave mais sujet à l’influence pernicieuse d’agents subversifs étrangers. Dans les années 30, les adversaires d’un parti socialiste genevois alors très re-muant soulignaient constamment les origines de ses dirigeants. On reprochait à Jacques Dicker d’être Juif et Russe (ça faisait beaucoup) et à Léon Nicole d’être… Vaudois : « deux microbes importés (…), deux vilains parasites qui par leurs émanations pestilentielles risquent d’infecter tout l’organisme genevois », écrivait ainsi le leader d’extrême-droite Roger Steinmetz.

    Aujourd’hui, plus besoin de métaphores médicales. Même Ueli Maurer, qui n’est pas vraiment une lumière, se rend compte que la colère sociale, de même qu’une bonne partie en tous cas des flux migratoires, sont les conséquences logiques des dé-confitures du capitalisme. Les pontes du DMF admettent sans peine que dans un contexte de crise globale, le peuple suisse, si placide soit-il, pourrait bien se révolter sans même que des agents étrangers lui en injectent l’idée. Or l’armée se doit de défendre les intérêts de l’économie - aussi foireux et injuste le système économique soit-il.

    Que l’armée suisse est une institution de classe, ce n’est pas un scoop. Mais, au pays de la paix du travail, du tir obligatoire et du couteau à douze lames, on ne s’en rend pas assez compte. Tant les élucubrations de la Milizkommission C que les travaux d’historiens doivent donner lieu à des prises de conscience et à des refus : refus de servir, refus de payer la taxe militaire, refus de cette solution foireuse que serait l’instauration d’une armée de métier ; refus du système tel qu’il fonctionne, et tel que l’armée cherche à le maintenir. À 80 ans de distance, il ne coûte rien de prononcer des discours commémoratifs ni d’exiger, comme Jean Batou, la réhabilitation posthume de leaders socialistes à qui ça fera une belle jambe. Mieux vaut nous réapproprier le bon vieux slogan : Pas un homme, pas un sou pour le militarisme !

    Hellmo

    1) Jean Batou : Quand l’esprit de Genève s’embrase. Au-delà de la fusillade du 9 novembre 1932, Lausanne, éditions d’En Bas, 2012.
    2) Entre 1918 et 1945, l’armée a assuré 22 fois un « service d’ordre » contre le mouvement ouvrier. Cf Bernard Degen dans l’ouvrage collectif Mourir en manifestant, Lausanne, En Bas, 2008, p. 44.
    3) Lire une critique acerbe mais pertinente sur www.lereveil.ch
    4) Manchester Guardian du 28 novembre 1932, cité in Batou, p. 108.
    5) www.vbs.acImin.ch/internet/vbs/fr/home/clepartementiorganisation/miliz-komm.html
    6) En 1978, la création d’une police fédérale de sécurité avait été refusée par 56 % des votants.
    7) Cité par Jean-François Fayet et Michel Caillat in Mourir en manifestant, p. 77.

    Hellmo

    Fédération Libertaire des Montagnes (FLM)
    CP 569 / 2301 La Chaux-de-Fonds / flm.osl@espacenoir.ch

    Les personnes qui désirent afficher ce texte sont priées de le faire aux endroits autorisés


    sources :

    2012 ou 2013 ?







    [Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bande Organisée
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]

    texte :

    Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages

    Avenue Jean Dagnaux, M° Canal du Midi

    "Nous sommes contre la prison parce que le bruit de la clé dans la serrure d’une cellule est une torture quotidienne, l’isolement une abomination, la fin du parloir une souffrance et le temps enfermé un sablier qui tue à petit feu…"

    Alors samedi 14 janvier, le Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège (et des autres) s’installe aux Pavillons Sauvages, le temps de faire connaitre un certain nombre d’outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) voués à briser le silence et l’isolement sur lesquels s’appuie la logique carcérale.

    À partir de 14 h :

    • Tables d’infos
    • Atelier d’écriture de courrier aux détenu-es (fabrication de cartes postales qui détruisent la solitude)
    • Initiation à la langue des signes (pour apprendre à communiquer sans bruit)
    • Écoutes et intervention de Bande Organisée (super travail qui donne la parole aux jeunes enfermé-es)

    http://www.bandeorganisee.org — http://pourlaliberte.noblogs.org


    sources :
     

    2012
    Affiche liée






    [Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Foundas, Lambros  ; Gournas, Kosta  ; Maziotis, Nikos  ; Roupa, Pola
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :

    texte

    photo (« À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009 »)

    fond (noir et jaune)

    texte :

    Dans les jours d’avril 2010, quand le gouvernement grec a finalement accepté un prêt du Fonds monétaire international qui a débuté la reprise de force du pays par les financiers internationaux, les services de sécurité avaient préparé un spectacle médiatique pour célébrer l’occasion : la capture de 6 combattantEs anarchistes afin de soumettre la lutte sociale.

    Les combattantEs anarchistes, qui avaient en eux-mêmes/elles-mêmes été une source d’irritation, étaient maintenant des otages. Des otages qui humilièrent les services d’intelligence démoralisés et brutaux, les divisions anti-terroristes ainsi que l’équivalent de l’occupant américain, la CIA, qui recherchaient Lutte révolutionnaire (‘Epanastatikos Agwnas’ –EA – en langue grecque) pour une attaque au lance-roquettes contre l’ambassade des États-Unis à Athènes. Cette action chérie et symbolique a eu lieu dans le contexte d’une série d’attaques qui durèrent pendant des années avec un fort impact destructeur contre les institutions du capitalisme et du gouvernement, accompagnées de tonnes de pages critiques, brillantes et articulées d’analyse anarchiste des structures institutionnelles qui pillent (ou parasitent) la richesse sociale produite par le travail ainsi que par l’auto-organisation mise de l’avant comme une alternative égalitaire anti-État et anti-capitaliste. Lutte révolutionnaire, c’est Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kosta Gournas et le défunt Lambros Foundas, qui a été tué dans une bataille contre la police. Ensemble, elles/ils formèrent un groupe d’anarchistes sociaux basé dans la capitale occupée, Athènes, qui ont dirigé leurs activités armées dans l’intérêt de leur classe de travailleuses/travailleurs exploitéEs de Grèce dans le cours et au sein de l’important mouvement anarchiste/anti-autoritaire des années 2003 à 2010.

    Maintenant, elles/ils continuent leur lutte dans les cours et dans les prisons du régime grec, leur lutte est encore plus intense contre la légitimité du système capitaliste. Le procès-spectacle contre les camarades a commencé en octobre 2011 et fût accompagné d’une campagne de répression contre le mouvement anarchiste/anti-autoritaire en général et spécialement contre plusieurs anarchistes qui nient toute responsabilité. Ce que les services de sécurité grecs et leurs collègues étrangers veulent prévenir par l’intimidation, la surveillance et l’emprisonnement, c’est la contagion. La contagion des tactiques qui ridiculisent leur système et démontrent facilement comment n’importe qui peut les attaquer. La contagion des idées qui maintenant se répandent au-delà du mouvement anarchiste/anti-autoritaire dans les grèves de masses des gens en colère contre tout, qui veulent mettre ce système à terre et voir quelque chose de plus humainE commencer.

    Liberté pour les prisonnier.ères ! – Honorons la mémoire de Lambros Foundas !

    [photo :] À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009

    Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire et celles ainsi que ceux accuséEs pour des raisons similaires

    Session d’information / souper / écriture de lettres
    revolutionarystrugglecase.blogspot.com // fr.contrainfo.espiv.net

    Mercredi 28 mars à 19 h
    La Belle Époque
    Espace sociale anarchiste
    1984 rue Wellington, metro Charlevoix
    epoquemtl.org
    en anglais avec traduction chuchotée vers le français


    sources :

    https://mtlcontreinfo.org/soiree-de-solidarite-avec-les-prisonnier-eres-du-groupe-lutte-revolutionnaire/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18fr.cleaned.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées


    [Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Foundas, Lambros  ; Gournas, Kosta  ; Maziotis, Nikos  ; Roupa, Pola
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :

    text

    photo (“Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009”)

    background (black and yellow)

    texte :

    In the days of April 2010, when the Greek government finally agreed to accept a loan from the International Monetary Fund to begin the take-over of the country into the hands of the international financiers, the security services had prepared a media spectacle to mark the occasion : the capture of 6 anarchist fighters for the purpose of the submission of the social struggle.

    Anarchist fighters who had been a thorn in their side for some time, were now hostages. Hostages who had humiliated the demoralised and brutal Greek intelligence services, anti-terrorist divisions and their American occupier counterparts, the CIA, who had sought out the Revolutionary Struggle (‘Epanastatikos Agwnas’ – EA – in Greek language) for a Rocket Propelled Grenade attack against the US Embassy in Athens. This daring and symbolic action came amongst scores of other targeted attacks which struck for years with symbolically definitive high-impact blows against the institutions of capitalism and government, accompanied by dozens and dozens of pages of critical, thoughtful and articulate anarchist analysis of the institutional structures that parasite on the social wealth produced by labour, with social and economic self-organisation put forward as an anti-capitalist and anti-state egalitarian alternative. Revolutionary Struggle are Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kostas Gournas and the fllen Lambros Foundas, who was killed in a battle with the police. Together they formed a group of social-libertarian anarchists based in the busy capital, Athens, who directed their armed activities in the class interests of the exploited workers of Greece and within/alongside the specific mass anarchist/anti-authoritarian movement from 2003-2010.

    And now, they continue their fight in the court rooms and prisons of the Greek regime, where they push an even harder fight to the legitimacy of the capitalist enemy. The show-piece trial against the comrades began in October 2011 and is partnered by a campaign of repression against the anarchist/anti-authoritarian movement in general and specifically to several anarchists who deny responsibility. What the Greek security services and their foreign colleagues wish to prevent through intimidation, surveillance and imprisonment is contagion. Contagion of tactics which made a mockery of their system and showed how easily it could be struck by anyone. Contagion of ideas which have now spread far beyond the world-wide anarchist/anti-authoritarian movement into the general masses of people who are angry with everything, wishing to see it all come down and something much more humane begin.

    Freedom for the prisoners – honour to Lambros Foundas

    [photo ;] Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009

    Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle and those accused in the same case.

    Info-session // dinner // letter writing
    For case updates : revolutionarystrugglecase.blogspot.com // actforfree.nostate.net

    7 PM ,Wednesday March 28 th
    La Belle Époque
    Anarchist social space
    1984 rue Wellington, metro Charlevoix
    epoquemtl.org
    whisper-translation to french available


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/solidarity-evening-with-the-anarchist-prisoners-of-the-group-revolutionary-struggle/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18.cleaned.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées



    [The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    photos (demonstrations + slogan « Loi 78=guerre ! »)

    texte :

    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt

    Solidarity with those facing repression for participation in the struggle !

    Since the strike began, the state has tried through its courts and the clubs of its cops to stifle the wave of revolt that has swept across Québec and found solidarity internationally. What started as a student strike has transformed into a massive social movement that the state is trying to crush with its “special law”. This law reveals the true nature of Democracy in a time of crisis where we have effectively confronted the state in a struggle to better our lives in conflict with the interests of capital.

    Throughout this struggle, many comrades have faced the repression of the state through mass detentions now numbering in the thousands, preventative detentions, house raids, and severe conditions (ranging from non-association to exile from the island of Montréal).

    Comrades are also being prosecuted under post-9/11 terrorism charges for minor acts of sabotage in the metro system. There are also all those who, in the course of resisting in the streets, the police have sent to the hospital with broken arms, lost eyes, or in comas. In this society, the position of the cops is clear : they are the guard dogs of the rich, the ones who protect their property and who enforce the social peace which allows the inequalities of society to continue.

    We must hold our heads high and never back down in the face of this repression. Strength to those who continue the struggle in the streets through active resistance and self-defense against the cops ! We express solidarity to all those beaten, jailed, and repressed through the courts. Nothing is forgiven. Nothing is forgotten.

    No to the prosecutions !

    No justice in the courts of the rich !


    traduction :

    Les lois de l’État et les matraques de la police n’arrêteront pas notre révolte

    Solidarité avec celles et ceux qui font face à la répression pour leur participation à la lutte !

    Depuis que la grève est commencée, l’État essaie à travers ses tribunaux et par les matraques de ses flics d’arrêter dans son élan même la vague de révolte qui souffle dans tout le Québec et fait l’objet d’une solidarité internationale. Ce qui a commencé comme une grève étudiante s’est transformé en un mouvement social de masse que l’État essaie de détruire avec sa « loi spéciale ». Cette loi révèle la vraie nature de la « démocratie » dans un temps de crise où les gens confrontent efficacement la paix sociale imposée en s’engageant dans une lutte pour améliorer leurs vies en conflit avec les intérêts du capital.

    À travers cette lutte, plusieurs camarades ont fait face à la répression de l’État : par les détentions de masse qui se chiffrent maintenant à des milliers, les détentions préventives, les descentes dans les domiciles et les conditions sévères (allant de la non-association à l’exil de l’île de Montréal). Des camarades ont aussi été poursuiviEs sous des accusations de terrorisme post-9/11 pour des offenses mineures de sabotage dans le métro. Il y a aussi ceux/celles qui, résistant dans la rue, ont été envoyé par la police à l’hôpital avec des bras cassés, des yeux perdus ou dans le coma. Dans cette société, la position des policiers est claire : ils sont les chiens de garde des riches, ceux qui protègent leur propriété et qui imposent la paix sociale qui permet aux inégalités sociales de se reproduire.

    Nous devons nous tenir la tête haute et ne pas nous écraser devant la répression. Force à ceux/celles qui continuent la lutte dans les rues à travers la résistance active et l’auto-défense contre les policiers ! Nous exprimons notre solidarité à toutes celles/tous ceux qui ont été battuEs, ont été emprisonnéEs et ont été répriméEs dans les tribunaux. Rien n’est pardonné. Rien n’est oublié.

    Pas de poursuites judiciaires !

    Pas de justice dans les tribunaux des riches !


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/the-states-laws-the-cops-clubs-wont-stop-the-revolt/
    2 formats : 11″x17″ 12″x18″ (Copies in print available at La Belle Époque and L’insoumise)
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity11x17.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity12x18.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/les-lois-de-letat-et-les-matraques-de-la-police-narreteront-pas-notre-revolte/



    [ΟΤΑΝ ΔEIXΝΕΙΣ ΠΟΙΟΣ ΕΙΣΑΙ ΕΙΝΑΙ ΕΝΟΧΛHΤΙΚΟ, ΟΤΑΝ ΤΟ ΚΑΝΕΙΣ ΣΥΝΕΧΩΣ ΓΙΝΕΣΑΙ ΕΠΙΚΙΝΔΥΝΟΣ ]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    ΟΤΑΝ ΔEIXΝΕΙΣ ΠΟΙΟΣ ΕΙΣΑΙ ΕΙΝΑΙ ΕΝΟΧΛHΤΙΚΟ, ΟΤΑΝ ΤΟ ΚΑΝΕΙΣ ΣΥΝΕΧΩΣ ΓΙΝΕΣΑΙ ΕΠΙΚΙΝΔΥΝΟΣ ]. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : répression  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (enfant de dos avec une fronde face à une rangée de policiers avec casques et boucliers) par ? ]

    texte :

    ΟΤΑΝ ΔEIXΝΕΙΣ ΠΟΙΟΣ ΕΙΣΑΙ ΕΙΝΑΙ ΕΝΟΧΛHΤΙΚΟ,
    ΟΤΑΝ ΤΟ ΚΑΝΕΙΣ ΣΥΝΕΧΩΣ ΓΙΝΕΣΑΙ ΕΠΙΚΙΝΔΥΝΟΣ

    Τους τελευταίους μήνες, γίνεται γνωστή η ύπαρξη μηχανισμών παρακολούθησης που αναλαμβάνουν από κοινού φασίστες και παρακράτος.
    Καταλήψεις, στέκια, κοινωνικοί, πολιτικοί και αυτοδιαχειριζόμενοι χώροι και μετανάστες, βρίσκονται στο στόχαστρο συνεχών επιθέσεων.
    Στις 2 Φλεβάρη, είδαμε live και έγχρωμα, φασίστες και μπάτσους να ακονίζουν παρέα τα μαχαίρια τους για πολλοστή φορά

    ΣΤΙΣ 18 ΚΑΙ 19 ΜAÏΟΥ H VILLA AMALIAS

    ΔΕΧΤΗΚΕ ΔΙΠΛΗ ΔΟΛΟΦΟΝΙΚH ΕMΠΡHΣΤΙΚH ΕΠIΘΕΣΗ

    ΑΠΟ ΤΑ ΠΑΡΑΚΡΑΤΙΚΑ ΑΥΤΑ ΚΑΘΑΡΜΑΤΑ

    ΛΟΓΑΡΙΑΣΝΕ ΛΑβΘΟΣ

    γιατί ξέχασαν...
    ΟΤΙ ΤΟ ΕΡΓΟΤΑΞΙΟ ΤΗΣ ΑΝΥΠΟΤΑΞΙΑΣ ΚΑΙ ΤΗΣ ΑΛΛ4ΛΕΓΓΥΗΕ ΕXΕΙ ΑΠΟΦΑΣΙΣΕΙ :

    Η VILLA ΑMΑLiΑS ΘΑ ΠΑΡΑΜΕΙΝΕΙ ΖΩΝΤΑΝΗ.
    ΜΕ ΠΕΙΣΜΑ ΚΑΙ ΟΡΓΗ.

    ΚΑΤΑΛΗΨΗ VILLA AMALIAS
    ΑΧΑΡΝΩΝ 80 & XΕΥΔΕΝ


    sources :

    Le squatt de la Vila Amalia a existé de 1990 à 2012.
    https://el.wikipedia.org/wiki/%CE%92%CE%AF%CE%BB%CE%BB%CE%B1_%CE%91%CE%BC%CE%B1%CE%BB%CE%AF%CE%B1
    https://en.wikipedia.org/wiki/Villa_Amalia_(Athens)

    OTAN DEIXNEIS POIOS EISAI EINAI ENOCHLHTIKO,
    OTAN TO KANEIS SYNECHOS GINESAI EPIKINDYNOS

    Tous teleftaíous mínes, gínetai gností i ýparxi michanismón parakoloúthisis pou analamvánoun apó koinoú fasístes kai parakrátos.
    Katalípseis, stékia, koinonikoí, politikoí kai aftodiacheirizómenoi chóroi kai metanástes, vrískontai sto stóchastro synechón epithéseon.
    Stis 2 Flevári, eídame live kai énchroma, fasístes kai bátsous na akonízoun paréa ta machaíria tous gia pollostí forá

    STIS 18 KAI 19 MAÏOU H VILLA AMALIAS

    DECHTIKE DIPLI DOLOFONIKH EMPRHSTIKH EPITHESI

    APO TA PARAKRATIKA AUTA KATHARMATA

    LOGARIASNE LAvTHOS

    giatí xéchasan...
    OTI TO ERGOTAXIO TIS ANYPOTAXIAS KAI TIS ALL4LENGYIE EXEI APOFASISEI :

    I VILLA AMALiAS THA PARAMEINEI ZONTANI.
    ME PEISMA KAI ORGI.

    KATALIPSI VILLA AMALIAS
    ACHARNÓN 80 & XEVDEN












    [Halte à la répression en Égypte ! Manifestation]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Halte à la répression en Égypte ! Manifestation]. — Paris : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Égypte
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin ]

    texte :

    Halte à la répression en Égypte !

    Solidarité avec le Mouvement socialiste libertaire et le peuple égyptien !

    [اش رة ضش ة ?]

    Manifestation

    Place du Trocadéro — Dimanche 24 février à 15 h 00

    Alternative libertaire — Fédération anarchiste — Coordination des groupes anarchistes


    sources :

    Extrait du communiqué des organisateurs (20 février 2013) : « Dimanche 21 janvier dernier, plusieurs militants politiques ont été arrêtés après les émeutes provoquées par la police devant le tribunal d’Alexandrie. Parmi eux, on trouve quatre membres du Mouvement Socialiste Libertaire, un militant membre de l’organisation Socialistes Révolutionnaires (trotskyste) et 16 autres sans affiliation. Tous sont des activistes qui se battent contre le régime réactionnaire issu des Frères musulmans. Après le 21 janvier les inculpés ont été emprisonnés abusivement pendant une vingtaine de jours. Aujourd’hui, ils sont libérés sous caution, sauf le militant trotskyste et ils attendent tous encore leur jugement. […] 
    Signataires : Alternative Libertaire, Fédération Anarchiste, Coordination des Groupes Anarchistes, Mouvement Désobéissance (Tunisie). ».







    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ & ante] (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; économie : transports  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro euro, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    Impr. Expressions2, Paris


    sources :

    Reprise de l’affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.

    Le visuel a été retrouvé sur une source de 2013.


    2001
    Affiche liée







    [Liberté pour Chiara, Claudio, Mattia, Niccolò : le terrorisme, c’est l’État]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Liberté pour Chiara, Claudio, Mattia, Niccolò : le terrorisme, c’est l’État]. — [S.l.] : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : économie : transports  ; insurrectionnalisme  ; luttes rurales et paysannes  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (incendie devant un tunnel) ]

    texte :

    La lutte continue contre la construction de la ligne TGV Lyon Turin et la dévastation de la montagne en creusant le plus grand tunnel d’Europe.

    Dans la nuit du 13 au 14 mai 2013, une trentaine d’individus ont réussi à entrer dans le chantier militarisé en Val Susa et à incendier du matériel.

    Parcourir les sentiers, ouvrir les grilles et entrer dans le chantier pour incendier des machines. Cette nuit fut une des plus belles, comme toutes celles passées ensemble sur les barricades.

    Peu nous importe qui y a participé, aujourd’hui quatre compagnons.nes sont en prison depuis le 9 décembre 2013 accusé.es de terrorisme.

    Nous ne les laisserons pas seul.es.

    Si maintenant nous n’avons pas la force de détruire les murs de la prison pour reprendre ceux et celles qu’ils nous ont enlevé, nous avons pourtant l’occasion de réchauffer leurs cœurs par la chaleur de notre rêve commun et par la lutte, ici, dehors.

    Si aujourd’hui nous tenons le coup, les occasions viendront. L’occasion de descendre en Clarea, en Val Susa, d’abattre les clôtures et de détruire ce maudit chantier viendra.

    Liberté pour toutes et tous.

    A sarà düra

    No TAV

    Liberté pour Chiara, Claudio, Mattia, Niccolò

    Le terrorisme, c’est l’État


    sources :