quadri

 

 
 

Affichage par année

954 affiches :

 

    [Le capitalisme, c’est la crise !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le capitalisme, c’est la crise !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    photos (manifestations : Montréal, Égypte, Grèce)

    A cerclé

    fond noir et rouge

    texte :

    Partout dans le monde,

    les politiciens et les capitalistes nous ont mis dans une situation économique et environnementale précaire.

    À l’échelle globale, des gens résistent et luttent pour leur liberté – de l’Égypte à la Grèce, ainsi qu’en Amérique du Nord – par des grèves, des occupations, des émeutes et des révolutions.

    Ici à Montréal, la hausse des frais de scolarité n’est qu’une illustration de comment les politiciens et les capitalistes nous font payer leur crise. Il y a aussi les augmentations du prix de la nourriture, les tarifs des transports en commun et les coupures dans les services sociaux. Ils discutent même de nous faire travailler deux ans de plus en augmentant l’âge de la retraite.

    Refusez de porter ce fardeau. Ces mesures ne sont là que pour protéger les intérêts des patrons.

    [photo :] Montréal : manifestation du 1er mai

    [photo :] En Égypte : les manifestant.es attaquent une van de flics anti-émeutes

    [photo :] En Grèce : une manif durant la grève contre l’austérité

    Le capitalisme, c’est la crise !

    Luttons pour la vie et la liberté,
    pas seulement pour la survie !


    sources :

    https://mtlcontreinfo.org/le-capitalisme-cest-la-crise/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/austerity11x17.cleaned.pdf


    2012
    Affiches liées



    [Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]. — Poitiers : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Pavillon noir (Poitiers), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : texte en défonce ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Savvanidis, Kleomenis (Κλεομένης Σαββανιδη)  ; Syrianos, Rami (Ραμί Συριανό)
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (silhouette avec chaines brisées aux bras) ]

    texte :

    Le travail libère-t-il ?

    Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre…

    La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».

    Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.

    L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.

    Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout.

    Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.

    Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.

    Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.

    Pour la libération individuelle et collective…

    Libérons-nous du travail

    Affiche du 17 janvier 2012
    En solidarité avec les compagnons Rami Syrianos et Kleomenis Savanidis
    Traduit du grec vers l’anglais par Angry news from around the world, puis de l’anglais vers le français par Non Fides


    sources :

    https://fa86.noblogs.org/?page_id=40
    https://fa86.noblogs.org/files/2012/05/travail.cleaned.pdf


    2012
    Affiche liée



    [Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire] / Quentin Sirvin. — Paris : Éditions libertaires, (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 56 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Chomsky, Noam (1928-....)  ; Youlountas, Yannis
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; couverture de livre ; photo (« Cheval de Troie contemporain » couvert d’affiches anarchistes) par Quentin Sirvin ]

    texte :

    Φοβού τους Δαναούς
    Laocoon à Priam, roi de Troie,
    cité par Homère dans l’Iliade (-800)

    Timeo Danaos
    Virgile dans l’Énéide (-26)

    Yunan dikkat
    Seyyid Ali Pasha
    Grand Vizir de l’Empire Ottoman à son sultan Mamhud II (1821)

    « Les empires ne retiennent pas les leçons de l’histoire » Noam Chomsky

    Hüte dich vor Griechen
    Hitler à Mussolini (1940)

    Beware greeks
    Churchill à Truman (1946)

    Méfie-toi des Grecs
    Merkel à Sarkozy (2011)

    [couverture de livre]
    Paroles de murs athéniens Yannis Youlountas
    125×220 mm, 64 pages en quadrichromie sur papier glacé recyclé 170 g
    Yannis Youlountas, Les Éditions libertaires, Collection Paroles, 13 euros

    [photo]
    Conception du « Cheval de Troie contemporain »
    d’après les photos de Yannis Youlountas : Quentin Sirvin

    2008-2012 : la Grèce vue (pour une fois) du côté de ceux qui luttent

    Imprimé par la Société Coopérative Ouvrière de Production Imprimerie 34 à Toulouse


    sources :
     






    [Non à l’éducation biométrique]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à l’éducation biométrique] / Peter Welleman. — Montpellier : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CNT_F (France : ≥1993) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; éducation  ; manifeste
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (élève ou enseignant ou citoyen entouré d’une constellation d’appareils électroniques, surveillé par un policier devant son ordinateur) par Peter Welleman (cc)

    texte :

    Non à l’éducation biométrique

    Nous, citoyens, parents d’élèves, organisations signataires de ce texte, dénonçons la mise en place de bornes biométriques dans certains établissements scolaires de l’Hérault où, dès cette rentrée, des machines destinées à reconnaitre le contour de la main conditionnent l’accès des enfants aux cantines scolaires.

    En dépossédant les enfants de l’usage de leur nom patronymique, cette technique réduit dangereusement l’identité de chacun à un simple code basé sur l’enregistrement d’une particularité physique.

    Par ailleurs, nous nous interrogeons sur l’utilité de ces bornes pour le bien-être des élèves et sur leur place dans le projet pédagogique.

    De plus, l’annonce récente du fichage des enfants de plus de 13 ans via le fichier Edvige 2ème version montre bien qu’une politique globale de fichage de la population est en cours, dans la continuité du fichier de police STIC dans lequel 25 millions de Français sent enregistrés.

    Pour nous, l’éducation doit permettre l’épanouissement des enfants, dans le respect de leur intégrité physique et morale. L’école a pour mission d’éduquer à l’exercice de la liberté et non pas d’habituer les enfants a un contrôle social permanent.

    Nous invitons toutes les personnes préoccupées par ces questions à prendre contact avec le collectif qui apporte son soutien aux diverses initiatives de refus déjà en cours.

    contact : nonaleducationbiometrique@gmail.com

    Citoyens, parents, organisations membres du collectif : Alternative libertaire, Attac Cœur d’Hérault, CGA (Coordination des groupes anarchistes), CGT-SGPEN, CNT Éducation Santé-Social 34, CUAL Montpellier, FCPE 34, FSU, Groupe Décroissance de Montpellier, LCR, LDH (Ligue des Droits de l’Homme et du citoyen), le MAI, SAF (Syndicat des avocats de France), SM (Syndicat de la magistrature), SUD-Éducation 34, UD CGT 34


    sources :
     







    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 décembre 2012]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 décembre 2012]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; économie : transports
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouette d’avion de ligne au dessus de terres et constructions agricoles) ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 30 déc. 2012

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Non à l’aéroport prévu à Notre-Dame-des-Landes

    Comme le Grand canal prévu pour l’Est*, des élus et des entreprises du grand Ouest obligent la population à accepter un aéroport !
    Pour cela, l’État les expulse à coup de tirs tendus de grenades lacrymogènes !

    Franc-Comtois ! Soyons solidaires !

    Soutenons les zadistes !

    *1961-1997 le projet canal Rhin-Rhône sur le Doubs.

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz. Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2012/12/decembre-2012.html










    [Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Foundas, Lambros  ; Gournas, Kosta  ; Maziotis, Nikos = Μαζιωτη, Νικο (1971-....)  ; Roupa, Pola
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :

    texte

    photo (« À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009 »)

    fond (noir et jaune)

    texte :

    Dans les jours d’avril 2010, quand le gouvernement grec a finalement accepté un prêt du Fonds monétaire international qui a débuté la reprise de force du pays par les financiers internationaux, les services de sécurité avaient préparé un spectacle médiatique pour célébrer l’occasion : la capture de 6 combattantEs anarchistes afin de soumettre la lutte sociale.

    Les combattantEs anarchistes, qui avaient en eux-mêmes/elles-mêmes été une source d’irritation, étaient maintenant des otages. Des otages qui humilièrent les services d’intelligence démoralisés et brutaux, les divisions anti-terroristes ainsi que l’équivalent de l’occupant américain, la CIA, qui recherchaient Lutte révolutionnaire (‘Epanastatikos Agwnas’ –EA – en langue grecque) pour une attaque au lance-roquettes contre l’ambassade des États-Unis à Athènes. Cette action chérie et symbolique a eu lieu dans le contexte d’une série d’attaques qui durèrent pendant des années avec un fort impact destructeur contre les institutions du capitalisme et du gouvernement, accompagnées de tonnes de pages critiques, brillantes et articulées d’analyse anarchiste des structures institutionnelles qui pillent (ou parasitent) la richesse sociale produite par le travail ainsi que par l’auto-organisation mise de l’avant comme une alternative égalitaire anti-État et anti-capitaliste. Lutte révolutionnaire, c’est Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kosta Gournas et le défunt Lambros Foundas, qui a été tué dans une bataille contre la police. Ensemble, elles/ils formèrent un groupe d’anarchistes sociaux basé dans la capitale occupée, Athènes, qui ont dirigé leurs activités armées dans l’intérêt de leur classe de travailleuses/travailleurs exploitéEs de Grèce dans le cours et au sein de l’important mouvement anarchiste/anti-autoritaire des années 2003 à 2010.

    Maintenant, elles/ils continuent leur lutte dans les cours et dans les prisons du régime grec, leur lutte est encore plus intense contre la légitimité du système capitaliste. Le procès-spectacle contre les camarades a commencé en octobre 2011 et fût accompagné d’une campagne de répression contre le mouvement anarchiste/anti-autoritaire en général et spécialement contre plusieurs anarchistes qui nient toute responsabilité. Ce que les services de sécurité grecs et leurs collègues étrangers veulent prévenir par l’intimidation, la surveillance et l’emprisonnement, c’est la contagion. La contagion des tactiques qui ridiculisent leur système et démontrent facilement comment n’importe qui peut les attaquer. La contagion des idées qui maintenant se répandent au-delà du mouvement anarchiste/anti-autoritaire dans les grèves de masses des gens en colère contre tout, qui veulent mettre ce système à terre et voir quelque chose de plus humainE commencer.

    Liberté pour les prisonnier.ères ! – Honorons la mémoire de Lambros Foundas !

    [photo :] À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009

    Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire et celles ainsi que ceux accuséEs pour des raisons similaires

    Session d’information / souper / écriture de lettres
    revolutionarystrugglecase.blogspot.com // fr.contrainfo.espiv.net

    Mercredi 28 mars à 19 h
    La Belle Époque
    Espace sociale anarchiste
    1984 rue Wellington, metro Charlevoix
    epoquemtl.org
    en anglais avec traduction chuchotée vers le français


    sources :

    https://mtlcontreinfo.org/soiree-de-solidarite-avec-les-prisonnier-eres-du-groupe-lutte-revolutionnaire/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18fr.cleaned.pdf


    2012
    Affiches liées



    [Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Allemagne  ; Allemagne : histoire : 1945-1989 (Est )
    • Noms cités (± liste positive)  : Gauger, Christian (ca1941-....)  ; Suder, Sonja (ca1932-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos (banderoles)

    texte :

    Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger

    Le 14 septembre 2011, Sonja Suder et Christian Gauger, dont l’extradition avait été refusée par la France en 2001, ont pourtant été extradés vers l’Allemagne. Cette véritable forfaiture a été permise par la signature de nouveaux accords franco allemands… à effet rétroactif !

    Accusés d’avoir appartenu, il y a 35 ans, aux RZ (Cellules Révolutionnaires), ils ont été emprisonnés dès leur arrivée à Francfort, dans l’attente d’un procès. L’accusation tente d’établir leur participation à des actions contre l’armement nucléaire de l’Afrique du Sud de l’apartheid, la gentrification des quartiers populaires et le mondial de foot dans l’Argentine de la dictature militaire.

    Christian a été libéré, son état de santé ayant été reconnu incompatible avec une détention, mais Sonja reste emprisonnée, sa mise en liberté provisoire ayant été refusée par deux fois.

    Après ce deuxième refus, Sonja avait engagé contre ses juges une requête en récusation.

    Dans leur argumentaire pour refuser sa mise en liberté provisoire, ses juges manifestaient en effet un manquement évident à leur « devoir d’impartialité », pourtant la plus importante des règles formelles d’un « procès équitable », règles qui sont censées être les leurs ...

    Au centre des accusations qu’ils font peser sur Sonja, celle d’une implication dans la logistique de la prise d’otages dite « des ministres de l’OPEP » à Vienne, en 1975. Pour étayer leur « conviction », ils s’appuient exclusivement sur le témoignage de Hans Joachim Klein, qu’ils évaluent, avant même le procès, comme vrais !

    Pourtant sa parole a déjà été reconnue non probante par le tribunal de Francfort : en 2001, à son procès, il a mis en cause un autre militant par le même témoignage qui concerne aussi Sonja, et ce dernier a été acquitté, les juges reconnaissant la "non fiabilité" de la mémoire de celui qu’ils qualifient de « témoin de bonne volonté » Klein bénéficiera, à l’issue de son procès, allègement et d’aménagements de peine, suivis d’une grâce officielle.

    La requête en récusation de ses juges par Sonja a été repoussée par une décision du 29 février.

    Cet acharnement judiciaire, même pas dissimulé, montre bien une volonté d’Etat de punir Sonja pour le fait d’avoir, il y a 35 ans, choisi la liberté et de ne pas vouloir, aujourd’hui, participer à un simulacre de rite processuel : Sonja et Christian ont décidé de répondre aux inquisitions des juges par leur silence. Ils s’opposent ainsi à la volonté d’intimidation et de criminalisation des derniers « témoins » des mouvements des années 70.

    Sonja est emprisonnée depuis 6 mois, durée maximale "normale" de l’incarcération préventive en Allemagne. Une troisième demande de mise en liberté provisoire a été faite.

    En cas de refus, Sonja, risque une longue incarcération : le procès est prévu en Juin et la longueur traditionnelle des jugements en Allemagne, les conditions particulières liées à l’état de santé de Christian, le calendrier de l’année judiciaire, se conjuguent pour rendre possible cette punition préventive aberrante et intolérable.

    Samedi prochain 21 Avril à 16 h 30
    à l’Espace Louise Michel, 42 ter rue des Cascades Paris 20e Projection de films témoignages
    Débat en présence de l’avocat de Sonja suivis d’une soirée amicale à la maison ouverte,
    67 rue de la Mare Paris 20e


    sources :

    www.stopextraditions.org


    2011
    Affiche liée


    [Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Foundas, Lambros  ; Gournas, Kosta  ; Maziotis, Nikos = Μαζιωτη, Νικο (1971-....)  ; Roupa, Pola
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :

    text

    photo (“Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009”)

    background (black and yellow)

    texte :

    In the days of April 2010, when the Greek government finally agreed to accept a loan from the International Monetary Fund to begin the take-over of the country into the hands of the international financiers, the security services had prepared a media spectacle to mark the occasion : the capture of 6 anarchist fighters for the purpose of the submission of the social struggle.

    Anarchist fighters who had been a thorn in their side for some time, were now hostages. Hostages who had humiliated the demoralised and brutal Greek intelligence services, anti-terrorist divisions and their American occupier counterparts, the CIA, who had sought out the Revolutionary Struggle (‘Epanastatikos Agwnas’ – EA – in Greek language) for a Rocket Propelled Grenade attack against the US Embassy in Athens. This daring and symbolic action came amongst scores of other targeted attacks which struck for years with symbolically definitive high-impact blows against the institutions of capitalism and government, accompanied by dozens and dozens of pages of critical, thoughtful and articulate anarchist analysis of the institutional structures that parasite on the social wealth produced by labour, with social and economic self-organisation put forward as an anti-capitalist and anti-state egalitarian alternative. Revolutionary Struggle are Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kostas Gournas and the fllen Lambros Foundas, who was killed in a battle with the police. Together they formed a group of social-libertarian anarchists based in the busy capital, Athens, who directed their armed activities in the class interests of the exploited workers of Greece and within/alongside the specific mass anarchist/anti-authoritarian movement from 2003-2010.

    And now, they continue their fight in the court rooms and prisons of the Greek regime, where they push an even harder fight to the legitimacy of the capitalist enemy. The show-piece trial against the comrades began in October 2011 and is partnered by a campaign of repression against the anarchist/anti-authoritarian movement in general and specifically to several anarchists who deny responsibility. What the Greek security services and their foreign colleagues wish to prevent through intimidation, surveillance and imprisonment is contagion. Contagion of tactics which made a mockery of their system and showed how easily it could be struck by anyone. Contagion of ideas which have now spread far beyond the world-wide anarchist/anti-authoritarian movement into the general masses of people who are angry with everything, wishing to see it all come down and something much more humane begin.

    Freedom for the prisoners – honour to Lambros Foundas

    [photo ;] Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009

    Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle and those accused in the same case.

    Info-session // dinner // letter writing
    For case updates : revolutionarystrugglecase.blogspot.com // actforfree.nostate.net

    7 PM ,Wednesday March 28 th
    La Belle Époque
    Anarchist social space
    1984 rue Wellington, metro Charlevoix
    epoquemtl.org
    whisper-translation to french available


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/solidarity-evening-with-the-anarchist-prisoners-of-the-group-revolutionary-struggle/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18.cleaned.pdf


    2012
    Affiches liées



    [The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    photos (demonstrations + slogan « Loi 78=guerre ! »)

    texte :

    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt

    Solidarity with those facing repression for participation in the struggle !

    Since the strike began, the state has tried through its courts and the clubs of its cops to stifle the wave of revolt that has swept across Québec and found solidarity internationally. What started as a student strike has transformed into a massive social movement that the state is trying to crush with its “special law”. This law reveals the true nature of Democracy in a time of crisis where we have effectively confronted the state in a struggle to better our lives in conflict with the interests of capital.

    Throughout this struggle, many comrades have faced the repression of the state through mass detentions now numbering in the thousands, preventative detentions, house raids, and severe conditions (ranging from non-association to exile from the island of Montréal).

    Comrades are also being prosecuted under post-9/11 terrorism charges for minor acts of sabotage in the metro system. There are also all those who, in the course of resisting in the streets, the police have sent to the hospital with broken arms, lost eyes, or in comas. In this society, the position of the cops is clear : they are the guard dogs of the rich, the ones who protect their property and who enforce the social peace which allows the inequalities of society to continue.

    We must hold our heads high and never back down in the face of this repression. Strength to those who continue the struggle in the streets through active resistance and self-defense against the cops ! We express solidarity to all those beaten, jailed, and repressed through the courts. Nothing is forgiven. Nothing is forgotten.

    No to the prosecutions !

    No justice in the courts of the rich !


    traduction :

    Les lois de l’État et les matraques de la police n’arrêteront pas notre révolte

    Solidarité avec celles et ceux qui font face à la répression pour leur participation à la lutte !

    Depuis que la grève est commencée, l’État essaie à travers ses tribunaux et par les matraques de ses flics d’arrêter dans son élan même la vague de révolte qui souffle dans tout le Québec et fait l’objet d’une solidarité internationale. Ce qui a commencé comme une grève étudiante s’est transformé en un mouvement social de masse que l’État essaie de détruire avec sa « loi spéciale ». Cette loi révèle la vraie nature de la « démocratie » dans un temps de crise où les gens confrontent efficacement la paix sociale imposée en s’engageant dans une lutte pour améliorer leurs vies en conflit avec les intérêts du capital.

    À travers cette lutte, plusieurs camarades ont fait face à la répression de l’État : par les détentions de masse qui se chiffrent maintenant à des milliers, les détentions préventives, les descentes dans les domiciles et les conditions sévères (allant de la non-association à l’exil de l’île de Montréal). Des camarades ont aussi été poursuiviEs sous des accusations de terrorisme post-9/11 pour des offenses mineures de sabotage dans le métro. Il y a aussi ceux/celles qui, résistant dans la rue, ont été envoyé par la police à l’hôpital avec des bras cassés, des yeux perdus ou dans le coma. Dans cette société, la position des policiers est claire : ils sont les chiens de garde des riches, ceux qui protègent leur propriété et qui imposent la paix sociale qui permet aux inégalités sociales de se reproduire.

    Nous devons nous tenir la tête haute et ne pas nous écraser devant la répression. Force à ceux/celles qui continuent la lutte dans les rues à travers la résistance active et l’auto-défense contre les policiers ! Nous exprimons notre solidarité à toutes celles/tous ceux qui ont été battuEs, ont été emprisonnéEs et ont été répriméEs dans les tribunaux. Rien n’est pardonné. Rien n’est oublié.

    Pas de poursuites judiciaires !

    Pas de justice dans les tribunaux des riches !


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/the-states-laws-the-cops-clubs-wont-stop-the-revolt/
    2 formats : 11″x17″ 12″x18″ (Copies in print available at La Belle Époque and L’insoumise)
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity11x17.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity12x18.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/les-lois-de-letat-et-les-matraques-de-la-police-narreteront-pas-notre-revolte/






    [Week-end de résistance à la ligne THT]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Week-end de résistance à la ligne THT]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 59 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : économie : transports  ; nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (clef anglaise écrasant une automobile marquée « RTE » sur fond de centrale et de pylônes explosant ]

    texte :

    Le Cheffresne (Manche, Normandie) — 22, 23 et 24 juin 2012

    Week-end de résistance à la ligne THT

    Ateliers, animations, discussions, actions

    24 juin : journée d’actions contre la THT

    Blog : valognesstopcastor.noblogs.org — Contact : pylones@riseup.net

    Imprim’ Services 02 43 53 21 00 « [logo :] Imprim’vert® » imprimé sur du papier issu de forêts gérées durablement avec des encres végétales


    sources :
     














    [Cultures et luttes sociales… pimentez votre week-end !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Cultures et luttes sociales… pimentez votre week-end !]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : théâtre  ; édition  ; guerre (généralités)  ; lutte des classes  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Castel, Nicolas  ; Friot, Bernard (1946-....)  ; Gravagna, Sylvie
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos ]

    texte :

    [logo chat cerclé CNT] Plus d’infos sur : http://www.cnt-f.org/urp — CNT — RP - 33, rue des Vignoles - 75020 Paris - Téléphone : 01 43 72 95 34 - mail br.rp@cnt-f.org
    Confédération nationale du travail

    Cultures et luttes sociales… pimentez votre week-end !

    11-12-13 octobre 2013

    au local de la CNT, 33 rue des Vignoles, Paris XXe, Mº Avron/Buzenval

    Vendredi 11 octobre à 19 h

    Débat avec Nicolas Castel autour du livre La Retraite des syndicats

    Nicolas Castel, sociologue, est chercheur à l’Université de Lorraine et à l’Institut européen du salariat (notamment avec Bernard Friot). Il étudie dans ce livre l’évolution et les limites du discours des grandes centrales syndicales sur le système de sécurité sociale et face aux différentes réformes des retraites.

    Samedi 12 octobre de 10 h à 19 h

    Salon du livre, neuf et occasion

    Dimanche 13 octobre à 15 h

    Théâtre avec Victoire, la fille du soldat inconnu de Sylvie Gravagna

    Victoire, la fille du soldat inconnu (Sylvie Gravagna/Un Pas de Côté) : à travers les aventures très ordinaires de Victoire Bayart, dite « Chourinette », Sylvie Gravagna redonne vie aux oublié(e)s de l’histoire. Les ficelles du théâtre et du cabaret crochètent un récit alerte traversé d’émouvantes figures féminines. Léger comme une comédie musicale, sérieux comme du théâtre historique, un spectacle à l’humour caustique, sensible et documenté.


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche-oct2013.jpg



    [De la lutte en milieu urbain]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De la lutte en milieu urbain]. — Paris : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [41 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : architecture  ; art : cinéma  ; contrôle social  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Clerval, Anne  ; Debry, Jean-Luc (1954-....)  ; Fibre, La  ; Garnier, Jean-Pierre (1940-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (barbelés) ; dessin (esquisse de ville moderne forteresse) ; empreinte de patte de chat avec griffes ]

    texte :

    De la lutte en milieu urbain

    Quelles stratégie pour la reconquête du « droit à la ville » ?

    Venez participer à cet après-midi d’échanges et de réflexions entre militant-es, étudiant-es, universitaires et habitant-es, sur les résistances et alternatives aux politiques urbaines fondées sur la marchandisation, la privatisation et la remise en cause des solidarités de classe. Quatre débats seront organisés autour des questions de gentrification, de contrôle sécuritaire, d’étalement urbain et de résistances. Chaque débat commencera par une courte intervention d’un-e militant-e ou d’un-e universitaire, suivie par un débat avec les personnes présentes.

    Après-midi de rencontre et de débat autour des questions urbaines

    samedi 16 novembre 2013 à partir de 14 h

    à la CNT-F au 33 rue des Vignoles - Paris 75020
    Contact : cnt.esa@gmail.com
    entrée : prix libre

    Introduction de la journée par les membres de la section syndicale CNT de l’école spéciale d’architecture

    14h-15h : Le sens politique de la gentrification
    Débat introduit par Anne Clerval, géographe

    15h-16h : La ville sous contrôle sécuritaire
    Débat introduit par Jean-Pierre Garnier, sociologue

    16h-17h : L’étalement urbain
    Débat introduit par Jean-Luc Debry

    17h30-18h15 : Projection du film Marseille, capitale de la rupture
    Réalisation et production LA RABIA DEL PUEBLO (20’13) ©

    18h15-18h30 : Le 33, au cœur du droit à la ville…

    19h-20h : Les stratégies de lutte pour le droit a la ville

    21h00 : Concert de soutien - La Fibre
    (Cegi, Dayer, Gangrène, Sticky Snake) - Rap Rouge & Noir – Aveyron
    http://lafibre.bandcamp.com/album/s-t

    Table de presse assurée par la librairie Quilombo
    23 rue voltaire, 75011 Paris - www.librairie-quilombo.org

    Cet après-midi d’échanges et de débats est proposé par la section syndicale cnt-ste75 de l’École spéciale d’architecture.

    la journée se terminera par une soirée-concert avec petite restauration et bar autogéré.

    CNT ESA


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/pdf/affiche_lutte_final_bd.pdf


    2014
    Affiche liée