répression

 

 

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465 affiches :

 




    [Liberté pour Chiara, Claudio, Mattia, Niccolò : le terrorisme, c’est l’État]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Liberté pour Chiara, Claudio, Mattia, Niccolò : le terrorisme, c’est l’État]. — [S.l.] : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : économie : transports  ; insurrectionnalisme  ; luttes rurales et paysannes  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (incendie devant un tunnel) ]

    texte :

    La lutte continue contre la construction de la ligne TGV Lyon Turin et la dévastation de la montagne en creusant le plus grand tunnel d’Europe.

    Dans la nuit du 13 au 14 mai 2013, une trentaine d’individus ont réussi à entrer dans le chantier militarisé en Val Susa et à incendier du matériel.

    Parcourir les sentiers, ouvrir les grilles et entrer dans le chantier pour incendier des machines. Cette nuit fut une des plus belles, comme toutes celles passées ensemble sur les barricades.

    Peu nous importe qui y a participé, aujourd’hui quatre compagnons.nes sont en prison depuis le 9 décembre 2013 accusé.es de terrorisme.

    Nous ne les laisserons pas seul.es.

    Si maintenant nous n’avons pas la force de détruire les murs de la prison pour reprendre ceux et celles qu’ils nous ont enlevé, nous avons pourtant l’occasion de réchauffer leurs cœurs par la chaleur de notre rêve commun et par la lutte, ici, dehors.

    Si aujourd’hui nous tenons le coup, les occasions viendront. L’occasion de descendre en Clarea, en Val Susa, d’abattre les clôtures et de détruire ce maudit chantier viendra.

    Liberté pour toutes et tous.

    A sarà düra

    No TAV

    Liberté pour Chiara, Claudio, Mattia, Niccolò

    Le terrorisme, c’est l’État


    sources :
     


















    [Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; répression  ; squatt  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (immeuble-poing levé face à des policiers anti-émeute accompagné de grues de chantier) par ?

    texte :

    Pas de toit, pas de pitié

    Il fait froid, on est chaud !

    Ces derniers jours, Lille s’est de nouveau illustrée par sa politique d’expulsions de squats en plein hiver. Le 4 janvier, c’est l’espace autonome L’Insoumise qui a été muré, rue d’Arras. Depuis septembre 2012, ce lieu, sans clients ni marchands, était à la fois une bibliothèque autogérée, un lieu de débats et une cantine populaire. Un lieu où s’élaborait une critique sociale face au rouleau compresseur capitaliste. Au-dessus c’était aussi une habitation collective. Quinze jours avant, à deux pas de là, c’est un squat qui abritait des mineurs isolés du parc des Olieux qui a été évacué par le RAID.

    Le propriétaire des lieux, le CHR, et la préfecture préfèrent voir ces mineurs dans la rue plutôt que sous un toit. Au passage, tout le matériel de cours, de cuisine et de vie quotidienne, rassemblé depuis des mois par le collectif des Olieux a été confisqué, histoire de leur pourrir encore plus la vie. En plus d’être des lieux de vie ces espaces étaient des lieux de rencontres, des lieux ouverts pour s’organiser, pour lutter, pour respirer ensemble hors du cadre marchand et institutionnel. S’organiser, lutter, voilà ce qui déplaît.

    Deux expulsions de lieux collectifs à Moulins, à quelques jours d’intervalle, le message est clair : le quartier n’est pas à ceux qui l’habitent mais aux gestionnaires de la mairie, aux spéculateurs et promoteurs immobiliers.

    Chasser la plèbe, aseptiser le quartier, contrôler chaque espace pour engranger un maximum de bénefs. Quitte à mettre des gens à la rue en plein hiver et à laisser des maisons vides le temps que monte le prix de l’immobilier. Le 10 rue d’Arras et le 32 rue de Fontenoy sont désormais vides, comme des centaines de maisons et d’immeubles à Lille qu’on laisse vacants pour les intérêts du marché. Il y en aurait bien assez pour loger toutes celles et ceux qu’on dit sans domicile fixe pour ne pas dire sans domicile tout court, à la rue.

    Ces jours de solde et de glorification du commerce ne nous font pas oublier les effets désastreux de la logique marchande.

    Pas de pitié pour le capitalisme, pas de pitié pour les expulseurs.

    Reprenons la rue pour crier notre colère !

    Rassemblement samedi 14 janvier, 18 h, Rihour


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article30574
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article3517


    2018
    Affiche liée





    [Hier Zyed et Bouna, aujourd’hui Selom et Matisse : manifestation place Degeyter]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Hier Zyed et Bouna, aujourd’hui Selom et Matisse : manifestation place Degeyter]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 37 × 55 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo de fond (aiguillages ferroviaires) ]

    texte :

    Hier Zyed et Bouna, aujourd’hui Selom et Matisse

    Le vendredi 15 décembre 2017, aux alentours de 21 h, Selom, Matisse, Ashraf et Aurélien se font renverser par un train. Selom et Matisse en meurent. Ashraf et Autrélien sont blessés.

    La soir même, La Voix du Nord parle d’un raccourci que les jeunes « inconscients » auraient voulu prendre. Le lendemain à Caulier, des voitures brûlent. Une rumeur tourne dans le quartier : ils fuyaient la police. Pendant trois jours, presse, police, justice et préfecture ont nié la présence de la police sur les lieux.

    Le lundi, lors du rassemblement de solidarité avec les familles et les victimes sur la place de Fives, Aurélien explique que lui et ses amis cherchaient à échapper à l’intervention de policiers particulièrement agressifs qui leur fonçaient dessus, matraques à la main. Depuis, des plaintes ont été déposées par les familles et les autorités ont dû admettre une possible responsabilité policière dans le « tragique accident ».

    À Fives, comme dans d’autres quartiers, la police met la pression, elle frappe, elle ment, elle humilie. Voilà pourquoi certains les fuient…
    Comme en 2005 avec Zyed et Bouna, les conséquences sont mortelles.

    Pour dénoncer les violences policières et le mépris des pouvoirs publics

    Pour soutenir les victimes, leurs familles et leurs proches

    Manifestation samedi 13 janvier 2018 - 15 h - place Degeyter - Lille Fives


    sources :
     














    [Solidarité avec Libre Flot : crève la taule et l’isolement !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec Libre Flot : crève la taule et l’isolement !]. — Rennes : Soutien aux inculpé·e·s du 8 décembre, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : lutte armée  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Kurdistan
    • Noms cités (± liste positive)  : Libre Flot
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Solidarité avec Libre Flot

    Crève la taule et l’isolement !

    Arrêté avec 8 autres personnes (aujourd’hui libérées) le 8 décembre 2020, Libre Flot est toujours en détention provisoire et à l’isolement depuis maintenant 15 mois.

    Les 8 sont accusés d’association de malfaiteur à visée terroriste.

    Libre Flot a fait une demande de mise en liberté qui vient d’être rejetée. C’est pourquoi il s’est déclaré en grève de la faim. Voici des extraits de la lettre qui a été rendue publique et qui explique sa situation :
    “je me déclare en grève de la faim depuis le dimanche 27 février 2022 à 18 heures, je ne réclame à l’heure actuelle que ma mise en liberté en attendant de démontrer le côté calomnieux de cette honteuse accusation.”

    Concernant le refus de le remettre en liberté en attendant le jugement :
    “Pour ce faire, ils reprennent presque en copier / coller le rapport de la DGSI (*) du 7 février 2020, base de toute cette affaire dont nous ne savons pas d’où viennent les informations et dont la véracité n’a pas été démontrée.”

    “Cela fait plus de 14 mois que je comprends que ce sont mes opinions politiques et ma participation aux forces kurdes des YPG (**) dans la lutte contre Daech qu’on essaie de criminaliser.”

    ”Cela fait plus de 14 mois que sans jugement on m’impose la détention dite provisoire que je subis dans les plus terribles conditions possibles : le régime d’isolement considéré comme de la « torture blanche » et un traitement inhumain ou dégradant par plusieurs instances des droits humains.
    Cela fait plus de 14 mois que je suis enterré vivant dans une solitude infernale et permanente sans avoir personne à qui parler, à juste pouvoir contempler le délabrement de mes capacités intellectuelles et la dégradation de mon état physique et ce, sans avoir accès à un suivi psychologique.”

    “Cela fait plus de 14 mois que (…) je croupis dans les geôles de la République”

    “J’ai récemment appris de la bouche même du directeur des détentions de la maison d’arrêt des Yvelines (Bois d’Arcy), (…) que mon placement et mon maintien à l’isolement étaient décidés depuis le premier jour par des personnes très haut placées et que quoi je dise ou que lui-même dise ou fasse, rien n’y ferait, que cela le dépasse, le dossier ne sera même pas lu et je resterai au quartier d’isolement et que de toute façon rien ne pourrait changer avant les élections présidentielles.”

    150 personnes étaient présentes à Toulouse le 9 mars pour montrer leur solidarité, le rassemblement a pu se tenir, nous n’avons pas pu manifester, bloqués par la police, mais notre détermination reste intacte.

    Nous n’attendrons pas sans réactions, la fin des élections pour qu’enfin ils le libèrent !

    Nous appelions à ce que les actions en solidarité se multiplient

    RDV 16 mars 18 h Métro J.d’Arc

    et tous les mercredis qui suivent pendant sa grève de la faim

    Pour lire l’intégralité de la lettre et avoir plus d’informations : https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/

    * DGSI = service spécialisé de renseignement intérieur français. sa grève de la faim
    **YPG = Unités de protection du peuple, branche armée du Parti de l’union démocratique (PYD) kurde en Syrie. Elles sont formées en 2011 lors de la guerre civile syrienne.


    sources :

    https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/
    https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/files/2022/03/affiche-2.png





    [aff00026]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    aff00026]. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : répression  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (rue de ville) ]

    texte :
     

    traduction :

    Les inculpations et la criminalisation des squats font partie de la répression globale des luttes sociales

    Solidarité au squat de Avn Nikis 30 à Thessalonique

    Auto-organisation et action directe des SDF contre l’exploitation (du sujet) du logement

    Qu’on rentre dans les maisons vides

    signature : … de squat L. Karagianni 37, à Kipseli


    sources :
     








    [EG - den nya polisstaten - Slå tillbaka kapitalets EG]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    EG - den nya polisstaten - Slå tillbaka kapitalets EG]. — Stockholm : 18 maj initiativet, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier jaune ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Suède
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Union européenne (UE, CEE, ...)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    EG - den nya polisstaten

    TREVI (Terrorism, Radikalism, Extremism och Våld i Internationell skala) är en hemlig grupp inom EG. Den består av polis, inrikes-och justitieministrar från EG-länderna. Även SÄPO i Sverige deltar i samarbetet. Syftet är dels att skapa en gemensam polis och dels gemensamma flyktinglagar.

    TREVIs lagar skall krossa oppositionen i EGs Neuropa. Dit räknas facket, vänstern, miljö-organisationer och antifascistiska grupper.

    Under täckmanteln att ”bekämpa terrorism” ges polisen alla befogenheter. Den blir alltmer militariserad. Medborgarens rättssäkerhet sätts ur spel.

    Som ett led i EG-anpassningen fick Sverige en försmak av ”europol” 1990. Husockupanter i Malmö och Stockholm stormades med tårgas av ”antiterrorist” poliser.

    Namnet TREVI anger också vad EG är ute efter. Är en "radikal" människa samma sak som en "terrorist" ? Och vad har flyktingpolitik med terrorism och knarkhandel att göra ?

    EG:s fria rörlighet för människor är i själva verket friheten för företagen att ta arbetskraft där det bäst passar dem, samtidigt som oönskad invandring hindras med stora murar.

    Slå tillbaka kapitalets EG

    18 maj initiativet, Stockholm


    sources :
     

    [s.d.]
    Affiche liée


    [EG är rasism - Slå tillbaka kapitalets EG]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    EG är rasism - Slå tillbaka kapitalets EG]. — Stockholm : 18 maj initiativet, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier jaune ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Suède
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Union européenne (UE, CEE, ...)
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    EG är rasism

    När EG avskaffar gränserna mellan medlems-länderna stärker man samtidigt gränserna utåt. EG bygger fästning Europa mot tredje världen och östeuropa.

    I Neuropa ska det inte finnas fristad för flyktingar. De får endast tillträde som billig arbetskraft i hälsofarliga arbeten utan några rättigheter.

    EG anser sig inte ha råd med flyktingar, trots att endast en rännil söker sig dit. De flesta har ingen möjlighet att fly från sin fattigdom.

    För EG är flyktingar endast problem. Men det stämmer inte. Problemet är att EG och dess multinationella företag gör EG rikare på den tredje världens bekostnad :

    •EG dikterar villkoren för tull och frihandelsavtal så att de själva gynnas.

    •De multinationella företagen tvingar tredje världen att odla grödor som sedan säljs till EG för underpriser. Samtidigt svälter den inhemska befolkningen ihjäl.

    •Krig och länder med diktatur stöds genom vapenförsäljning.

    Det enda en flykting begär är en fristad undan svält och krig.

    Slå tillbaka kapitalets EG

    18 maj initiativet, Stockholm


    sources :
     

    [s.d.]
    Affiche liée