répression
465 affiches :
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[ texte ; photo (militants, avec masques à gaz, s’enchainant à des rails) ]
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Apéro-musique contre le nucléaire et en soutien aux inculpés de Valognes
CAC 40-9 (Collectif Anti-Castor 31)
Vendredi 27 janvier, 19 h 30 à l’estanquet "La Portièra" - 42, rue des Blanchers, Toulouse
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texte
photo (manifestants dépavant une protection d’arbre urbain)
- texte :
ANTI-AUSTÉRITÉ SIGNIFIE ANTI-ÉTAT
« Sous les pavés, la plage. » – graffiti à Paris, mai ‘68
aus·té·ri·té
Les politiques gouvernementales qui coupent systématiquement l’aide sociale, la santé, les prêts étudiants et autres services sociaux.
Il est évident pourquoi nous devrions être contre les mesures d’austérité. Certain.es d’entre nous sont des étudiant.es, certain.es d’entre nous sont sur l’aide sociale et beaucoup d’entre nous dépendent du système de santé provincial. D’une manière ou d’une autre, la plupart d’entre nous dépendent de l’État-providence ; sa destruction menace notre survie. Mais c’est seulement parce que le capitalisme et le colonialisme ont arraché nos connaissances collectives de comment nous nourrir et prendre soin de nos connexions à la terre sur laquelle nous vivons, nos liens les un.es aux autres. L’État-providence a été créé à une époque où le mode capitaliste de production avait besoin de travailleur(se)s obéissant.es et fidèles pour produire des biens, construire des bâtiments, mourir dans des guerres et fournir du travail intellectuel. Mais dans un monde de raréfaction des ressources, de croissance démographique et de machines toujours plus efficaces, nous devenons chaque jour moins nécessaire à l’entretien de ce système. Nous sommes, en fait, une menace pour lui – au moins potentiellement.
La situation est trop dangereuse pour nous permettre d’être dirigé.es par des valets bureaucrates qui négocient avec l’État que nous devrions chercher à détruire. Nos ennemi.es ont la pleine intention de protéger les privilèges que leur offre le capitalisme et maintenant la survie du capitalisme dépend d’une exploitation plus profonde et plus efficace. Les gens vont résister, bien sûr, et en conséquence le gouvernement fédéral élargit le système carcéral (il y aura cinq expansions fédérales et sept provinciales au Québec seulement) et renforce l’appareil de contrôle social avec des patrouilles de police et la surveillance routinière dans les rues de chaque ville. Bien sûr, ce malgré la chute des taux de criminalité déclarée par la police et une diminution de la gravité de ces crimes à travers le pays.
Déjà beaucoup d’entre nous ne pouvons pas payer la nourriture ou le loyer, d’autres arrivent à peine à s’en sortir. Déjà beaucoup d’entre nous sommes structurellement empêché.es d’améliorer nos vies de manière significative. Ceci est la vie sous le capitalisme. Et pour que le capitalisme puisse survivre à la présente crise, le cercle des personnes qui en bénéficient doit être réduit. L’âge du New Deal, de l’État-providence et de la classe moyenne est terminée.
Nous n’allons pas mendier pour aucune réforme de l’État qui fasse de nous de bons travailleur(se)s, de bons citoyen.nes et de bons producteur(rice)s pour le capital. Nous allons libérer toute la fureur et la peur qui se sont construites à l’intérieur de nous au cours des jours et des années que nous avons perdus dans nos rôles de servitude passive. Lorsque nous attaquons les structures qui quotidiennement nous rendent misérables et nous humilient, nous trouvons une force unique qui brise notre solitude et détruise l’identité de travailleur(se) ou d’étudiant.e, de bon.ne ou mauvais.e citoyen.ne. Nous avons choisi de lutter contre l’infrastructure d’aujourd’hui plutôt que d’exiger sa maintenance.
C’est la guerre contre le capital et l’État, l’austérité et l’autoritarisme – qu’ils soient explicites ou médiés par la démocratie. Lorsque les rebelles de Paris en 1968 ont inventé leur fameux slogan de jeter les pavés, ils impliquaient que le monde de leurs rêves était enterré sous les générations de défaites qui composent l’histoire du capitalisme – mais que tout ce qu’il faut pour commencer à dévoiler ce monde est de résister.
mtlcounter-info.org — sabotage.anarkhia.org
https://mtlcontreinfo.org/austerite/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/aust%C3%A9rit%C3%A9.pdf
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texte
photo (manifestants dépavant une protection d’arbre urbain)
- texte :
ANTI-AUSTERITY MEANS ANTI-STATE
“Beneath the paving stones, the beach”. – graffiti from Paris, May ‘68
aus·ter·ity
Government policies that systematically cut welfare, healthcare, student loans, and other social services.
It’s obvious why we should be against austerity measures. Some of us are students, some of us are on welfare, and a lot of us are dependent on the provincial healthcare system. In one way or another, most of us are dependent upon the welfare state ; its destruction threatens our survival. But that is only because capitalism and colonialism have ripped away our collective knowledge of how to feed and care for ourselves, our connections to the land we live on, our connections to each other. The welfare state was created at a time when the capitalist mode of production needed obedient and loyal workers to produce goods, construct buildings, die in wars, and provide intellectual labour. But in a world of dwindling resources, growing populations, and increasingly efficient machines, we become less necessary to the maintenance of this system every day. We are, in fact, a threat to it – at least potentially.
The situation is too dangerous to allow ourselves to be led by bureaucratic hacks who negotiate with the state that we should be seeking to destroy. Our enemies have every intention of protecting the privileges that capitalism affords them, and now the survival of capitalism depends on an even deeper and more efficient exploitation. People will resist, of course, and to that end the federal government is expanding the prison system (there will be five federal and seven provincial expansions in Québec alone) and strengthening the apparatus of social control, with police patrols and routine surveillance on the streets of every city. Of course, this is despite falling police-reported crime rates and a decrease in severity of these crimes across the country.
Already many of us can’t afford food or rent ; others barely get by. Already many of us are structurally prevented from improving our lives in any meaningful way. This is life under capitalism. And for capitalism to survive the current crisis, the circle of people who benefit from it must be reduced in size. The age of the New Deal, the welfare state, and the middle class is over.
We will not beg for any reform from the state that trains us to be good workers, good citizens, and good producers for capital. We will unleash all of the fury and fear that has built up inside of us over the days and years that we have wasted in our roles of passive servitude. When we attack the structures that daily make us miserable and humiliated, we find a unique strength that breaks our loneliness and removes the label of worker or student, good or bad citizen. In our collective conflict with this system, we become uncontrollable. We choose to fight against the infrastructure of today rather than to demand its maintenance.
This is war against capital and the state, austerity and authoritarianism – whether explicit or mediated as democracy. When the rebels of Paris 1968 coined their famous slogan about throwing paving stones, they were implying that the world of their dreams lay buried beneath the generations of defeat that comprise capitalist history – but that all it takes to begin to uncover that world is to resist.
mtlcounter-info.org — sabotage.anarkhia.org
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[ texte ; dessin (grillage déchiré) ]
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21-23 septembre
autoclave
diy festival de tatouage, de piercing et de modifications corporelles en solidarité avec les prisonnière.e.s et les victimes de la répression
projections, expos, ateliers, débats,
concert vendredi soir, placard musical
à partir de vendredi 19 h jusqu’à dimanche
espace enfants, café, bar…ouverture tous les jours à midi,
jusqu’à 00 h le vendredi et le samedi
et jusqu’à 22 h le dimancheà Dijon, aux tanneries, bd chicago et ailleurs, les chiens ne sont pas bienvenus
autoclave.poivron.org
Existe des variantes de couleurs de cette affiche.
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texte
photo (manifestation) ; dessins (émeute)
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BLACK BLOC
attaquer l’autorité, le capital et l’État dans les rues pour que toutes et tous nous joignent
depuis 1981*
C’est vrai que l’État n’est pas une vitrine, mais ce n’est pas non plus qu’un concept abstrait. Briser des vitrines n’est pas une action révolutionnaire. En fait, aucune action prise hors contexte et présentée en tant qu’abstraction n’est révolutionnaire. Nous ne pouvons ignorer les intentions et la stratégie de ceux et celles qui brisent des vitrines. L’État et le capital ne peuvent être attaqués en tant qu’abstractions. Ils peuvent être attaqués seulement dans leurs manifestations matérielles, leur existence sociale et leurs institutions. Il est impossible d’attaquer toutes les manifestations matérielles du pouvoir en même temps, elles doivent donc être attaquées une pièce à la fois.
Lorsque l’intention d’être dans les rues est simplement de revendiquer poliment plus de liberté à nos dirigeant.es, les manifestations deviennent des événements contrôlables et ultimement symboliques. Passivité et obéissance sont de règle du début à la fin lors de ces marches qui ne posent aucune menace à la continuité des systèmes de pouvoir. Nous devons nous débarrasser du rôle du dissident et de la dissidente démocratique qui demande la réforme du système qui doit être détruit. Le but n’est pas de demander à nos ennemi.es d’arrêter, mais de les forcer à arrêter.
Les personnes reconnaissant l’État et le capital en tant qu’ennemis jurés de la liberté – et qui veulent les détruire plutôt que de faire des compromis ou de dialoguer avec eux – utilisent parfois la tactique du « black bloc » dans les rues. Les « black blocs » sont des groupes de personnes portant des hoodies, pantalons, souliers et masques de la même couleur pour préserver leur anonymat et empêcher la police d’identifier et d’isoler qui commet une action particulière. Tout ce que vous avez besoin pour participer est un esprit de combat, des ami.es en qui vous avez confiance et divers vêtements pour se changer. Un « black bloc » n’est pas une gang – à moins qu’une gang soit un groupe partageant un désir d’agir ensemble pour la liberté. Ce n’est pas une organisation, mais une tactique pouvant être utilisée par toutes et tous voulant attaquer ce monde de misère, de travail, de dévastation écologique et de domination dans lequel ils et elles doivent vivre. Un bloc est uni par des intention communes de se révolter et non par adhésion à un groupe ou allégeance à un.e dirigeant.e ; parce que les anarchistes s’organisent eux- et elles-mêmes et n’ont pas de dirigeant.es.
Depuis leur popularisation en Allemagne dans les années 1980*, les black blocs ont été utilisés par des anarchistes pour réaliser leurs désirs d’attaque tout en minimisant les risques de répression des prisons et des tribunaux qui utilisent leurs lois pour protéger la propriété et les système du pouvoir. Cet ordre social qui nous emprisonne, nous exploite et nous domine peut être déstabilisé par des attaques et les black blocs permettent d’attaquer et de développer des forces communes. C’est pendant ces moments, où le pouvoir perd le contrôle que des points de références sont créés pour les révoltes qui viennent, que nous pouvons mettre le cap sur les insurrections.
C’est la police qui est la première ligne de défense de cet ordre social et le mythe de leur invincibilité est promulgué partout. Il y a un effort constant pour nous convaincre que les attaquer est tout simplement du voyoutisme. Nous savons mieux. Nous pouvons réclamer nos vies ensemble et nous rapprocher de la liberté en agissant contre les ennemi.es de notre liberté : la police et leur société-prison, les banques et autres institutions du capital ainsi que les bon.nes citoyen.nes délateurs.
Ceux et celles qui se révoltent sont souvent presenté.es en tant que voyous. Les autorités disent que nous sommes violent.es parce que nous sommes ceux et celles qui veulent vivre en liberté, qui refusent de reproduire les rôles oppressifs, qui veulent l’abolition des propriétés, du capital et de l’autorité pour un monde de liberté totale et de solidarité. Tout cela est pour nous distraire de l’immense et constante violence systématique par laquelle les pouvoir du capitalisme et de l’État maintiennent leur contrôle. En luttant pour mettre fin à cet ordre social, qui nous décrira toujours en tant que « violent.e », nous pouvons récupérer nos vies et notre dignité.
Dans une société qui priorise la propriété à la place de la vie, la propriété doit être détruite pour que nous puissions vivre.
mtlcounter-info.org // sabotage.anarkhia.org // grevemontreal.noblogs.org
https://mtlcontreinfo.org/black-bloc/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/blackblocfr.pdf
https://mtlcounterinfo.org/black-blocs/
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texte
photo (manifestation) ; dessins (émeute)
- texte :
BLACK BLOC
Black bloc : attacking authority, capital, and the state openly in the streets for all to join
since 1981*
“It is true that the state is not a window, but neither is it just an abstract concept. Breaking windows is not a revolutionary act and neither is any other act if taken out of context and presented as an abstraction, ignoring the intentions and strategy of those who break the windows. The state or capital or colonialism cannot be attacked as abstractions. They can only be attacked in their material forms, their social relations, and their institutions. It is not possible to attack all forms and material components of power at once, so they must be attacked in pieces at different times and locations.”
When the intention of being in the streets is merely to politely ask something of our rulers, demonstrations become reproduced as controllable and purely symbolic events. Enforced passivity and obediance characterize these marches from point a to point b which then pose no threat to the continuation of power. The role of the democratic dissident, who pleads for power to reform the system that should be destroyed, is something to be shed. The point is not to ask for our enemies to stop, but to make them stop.
People who recognize the state and capital as total enemies of freedom – and who want to destroy them rather than engage in compromise or dialogue with them – sometimes use the black bloc tactic in the streets. Black blocs are when people wear hoodies, pants, shoes, gloves, and masks of the same colour in order to conceal their identity, preventing the police from identifying and isolating which actions are commited by whom. Participating is as easy as bringing a fighting spirit, trusted friends, and certain clothing to change into and out of. A black bloc is not a gang – unless a gang can mean a group that shares the desire to act for freedom together. It is not an organization but a tactic open to anybody who wants to participate in attacking this world of misery, work, ecological devastation, and domination imposed upon them. A bloc is united by shared intentions to revolt, not by membership or allegiance to leaders, because anarchists self-organize and have no leaders.
Since the 1980s* when it became popular in Germany, black blocs have been used by anarchists so that people can act as they desire while minimizing the threat of repression from the prisons and courts, which use their laws to protect power and property. This social order which imprisons, exploits, and dominates us can be subverted by attacks, and black blocs allow people to attack and develop their strength with others. These moments, during which power loses control to enforce itself, create social points of reference for rebellions to come, pushing towards insurrection.
It is the police who are the front line of defense for this social order, and everywhere is propagated the myth that they are invincible. There is a constant effort to convince us that attacking them is senseless hooliganism. We know otherwise. Our lives can be reclaimed together in an empowering way and brought closer to freedom by acting against the enemies of our freedom : the police and their prison society, the banks and other institutions of capital, the good citizen snitches.
Those who revolt are presented as “thugs”. The authorities tell us that we are violent, because we are those who want to live our lives freely on our own terms, who refuse to reproduce the roles forced down our throats, who seek the abolition of property, capital, and authority for a world of total freedom and solidarity. This is all to distract us from the immense and systematic violence with which the power of capitalism and the state maintains its control. By struggling to put an end to this social order, which will always condemn us as “violent”, we can steal back our lives and dignity.
In a society that values property over life, property must be destroyed for us to live.
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[ texte ; dessins (hirondelles) ]
- texte :
Borstal Breakout!
Solidarité avec les inculpé-es !
Le 5 juillet dernier, une dizaine de personnes ont pénétré dans les locaux de la Protection judiciaire de la jeunesse(PJJ), à Labège dans la banlieue de Toulouse, pour manifester contre l’incarcération des mineurs. Selon La Dépéche du Midi du 6 juillet, qui s’appuie sur les déclarations faites aussitôt à la presse par le procureur de la République, ces personnes étaient « “armées” de bouteilles dont elles ont déversé le contenu sur les bureaux et les ordinateurs. Un liquide marron au relent d’ammoniaque et qui pourrait contenir de l’urine et des excréments humains ». Elles sont reparties « après avoir lance des tracts qui contiendraient des propos injurieux sur l’action éducative menée par la PJJ ».
Quatre mois plus tard, le mardi 15 novembre à Toulouse, 7 domiciles sont perquisitionnés par une centaine de gendarmes. 4 sont placées en détention provisoire sur demande du juge d’instruction. Une cinquième est placée sous contrôle judiciaire, une sixième doit rester à disposition du juge pour le reste de l’instruction en tan que « témoin assisté ».
Qu’ils soient innocents ou coupables est le dernier de nos soucis, il est évident que le pouvoir a voulu frapper des personnes déjà connues pour avoir manifesté leur hostilité à ce système de mort. Ce qui importe, c’est de continuer la lutte, celle des mineurs enfermés comme celle de ceux qui tentent de la propager à l’extérieur. Ce qui importe, c’est de détruire cette société qui a besoin d’enfermer.
* Samedi 14 janvier 2012 : concert de soutien
Centre Culturel Libertaire 4, rue de Colmar - Lille (M° Porte des Postes)Bulgarian Yoghurt (punk rock’n’ roll - Paris)
Larcin (Oï ! ’n roll - Lille)
+ Dj’s all styles
21 h - Prix libre (tous les bénéfices iront aux inculpés)* Mardi 17 janvier : projection Vidéo
[logo squat féministe] Le Mangematin 23, rue St Bernard - Lille (M° Montebello)Projection de Scum d’Alan Clarke - 1979
21 h - Entrée libre
Chaque soir, tables de presse avec de la documentations autour de l’enfermement
Voir sur : http://lille.cybertaria.org/article1955.html
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- notes :
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[ texte ; photo (fans des Beatles [?]) ]
- texte :
à l’occasion de la sortie de Mauvaises intentions 3
Concert de solidarité
avec les 5 personnes comparaissant pour “affaire antiterroriste” (accusée de tentative d’incendie d’un véhicule de police, transport de fumigènes artisanaux…)
Parole errante
9, rue François Debergue
M° Croix de ChavauxVend. 11/5
18 h 30 point info & présentation
20 h concertLouise Mitchels, communarde qui fait du punk barré
Tweez, punk garage
Pierre & Bastien, punk rock
Gommard, blues rockbouffe et entrée à prix libre
plus d’infos : http://infokiosques.net/mauvaisesintentions
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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texte
photos (scènes d’émeutes)
- texte :
Cops, pigs, murderers
The police claim their purpose is to “serve and protect”, but the 60 people who the SPVM have murdered since 1987 remindus that it is not us who the police serve and protect. We are told that we need the police, that their actions are excusable and necessary for our protection, that without them we’d all be killing each other. The truth is that we don’t need them at all. We know well enough who the killers are.
The police exist to maintain social order in the service of capitalism and the state ; they’re not interested in reducing crime, but increasing social control. They are the ones firing tear gas and rubber bullets whenever a demonstration escapes their control, who attack striking workers or students. They’re the ones who stand between every hungry person and the grocery shelves stocked with food, between every homeless person and the buildings standing empty, between immigrants and their families on the other side of the border. The police literally put people in cages. They also convince many to live in cages of their own, made out of fear. They protect the rich, the bosses, and their property – not us.
Capitalism is a system that has been forced upon us. As long as anyone might defy the hierarchy of a ruling elite, the police are necessary to regulate, to discipline, to control. Police violence is not an accident – it’s business as usual. It cannot be separated from the larger context of increasing austerity measures, strengthening social control, new prisons, tougher laws, and omnipresent surveillance technologies. The problem is not just the violence of the police, but the police themselves, along with the courts, laws, and prisons which exist to maintain the misery of capitalism.
The police can only dominate us while we remain isolated. If everyone who hates them rose up at once, they would be powerless to stop us. In Egypt, it only took a week to burn down every police station and set every police department to flight. This is why our anger must be turned into action, such as when people rioted after the pigs murdered Fredy Villanueva in Montréal-Nord, when the Mohawks of Kanehsatake and Kahnawake erected armed barricades in 1990, or more recently during the combative demonstrations which have blossomed out of the student strike, where people regularly attack the police with anything from rocks to Molotov cocktails, smash their cars and equipment, and trash their stations.
The police are one of the most significant obstacles to the realization of anarchy – a situation which would require people to direct their lives according to their own initiatives, only implementing decisions they felt to be in their best interests. Conflicts would have to be resolved to the mutual satisfaction of all parties involved, not suppressed by a gang with a monopoly on force.
Until there are no police patrolling the streets, arresting our loved ones, and hassling us at every turn, the police will be attacked, along with their cages, and the systems of domination they seek to protect.
sabotagemedia.anarkhia.org — mtlcounter-info.org
https://mtlcounterinfo.org/police/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/police.pdf
https://mtlcontreinfo.org/la-police/
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (silhouette de manifestation) ]
- texte :
Face aux licenciements, à l’austérité, à la précarité, aux bas salaires, à la casse du service public, à la répression des luttes
[logo : chat noir cerclé] Confédération Nationale du Travail
Mardi 9 octobre
Public, privé : solidarité !
Manif devant le MEDEF à Metz, 15 h, place Mazelle
En grève !!!
www.cnt-forg/ud57 — ud57@cnt-f.org
http://www.cnt-f.org/conf/IMG/jpg/affiche_9.jpg
2012 ou 2007 ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (porte de cellule de prison, barbelés)
- texte :
Feu aux prisons et au monde qui en a besoin
La prison n’est rien de plus qu’un reflet de la société dans laquelle nous vivons. Notre société ressemble à une grande prison à ciel ouvert ; avec la menace de mourir de faim si vous ne dépensez pas votre énergie pour le capitalisme dans un travail dépourvu de sens, avec des caméras à chaque coin de rue, avec la police intimidant et assassinant dans la rue comme les screws font pour ceux et celles enfermé.es dans des cages et avec des frontières tracées en tant que murs par nos dirigeant.es. L’intérieur et l’extérieur de la prison ne diffèrent que par leur degré d’intensité, mais les deux sont basés sur la domination, l’aliénation et le contrôle.
L’État n’est pas intéressé à réduire le crime, mais à augmenter le contrôle social. L’emprisonnement décent, comme un capitalisme humain, n’existe pas. L’emprisonnement – être pris en otage par l’État – est une raison en soi pour se rebeller contre les screws et leurs barbelés. Tout comme dans la rue, il y a des gens dans les prisons, les établissements psychiatriques et les centres de détention qui ne sont pas en paix avec leurs conditions, qui n’ont pas enterré un certain goût pour la liberté simplement parce qu’un.e juge a décidé qu’ils vivraient dans une cage. Au sein de ces murs, il y a celles qui refusent le quotidien d’humiliation d’obéir aux gardes, dont les murs et les barbelés ne sont pas encore gravées dans leur cerveau, et qui plutôt les observent comme des obstacles qui doivent encore être surmontés. Le châtiment que le juge leur impose est une conséquence d’un monde qui est basé sur l’exploitation et l’obéissance, un monde qui ne pourrait pas fonctionner sans la menace constante de prison pour ceux qui choisissent de ne pas se soumettre à la misère qui les entourent.
Des vagues de révoltes, d’émeutes et de rébellions sont très répandues dans le système pénitentiaire. En se soulevant, en brûlant les infrastructures de la prison, en attaquant les gardes et en s’échappant, certains prisonnier(ère)s ont redécouvert ce que le système a essayé de leur enlever : le courage, le désir de liberté et la volonté de mettre un terme à au moins une partie de cette société de domination par la rébellion contre elle.
Notre désir de vivre libre de l’exploitation est sans valeur si nous ne sommes pas disposés à agir. La machine de la prison n’est pas aussi bien huilée qu’elle le semble, et celles à l’extérieur peuvent retrouver ses engrenages à chaque coin de rue – des architectes de prisons aux banques qui financent les prisons. Notre passion pour la liberté est plus forte que leurs prisons !
« C’est la plus terrible institution de notre époque que cette justice, fatiguée de surenchérir sur le crime qu’elle prétend punir ; ne crucifiant plus, n’écartelant plus, de dépeçant plus, n’empalant plus, ne brûlant plus et, même, ne décapitant plus. Il n’y a plus ni fer, ni roue, ni gibet, ni bûcher, ni rien. Ce qui remplace tout, c’est le temps. La vie amputée du temps ! C’est ça la prison : du temps infligé dans sa nudité. On ne tue pas, on laisse mourir. »
– Serge Coutel« Même si les prisons étaient transformées d’entrepôts d’humain.es en hôtels de luxe, même si les prisonnier(ère)s de toutes les prisons recevaient des « réductions de peine », même si le passage à tabac à tous les jours des prisonnier(ère)s était remplacé par des accords sournois et assimilés par les politiques correctionnelles, conformément au modèle des « droits humains », même si les cellules blanches étaient peinturées en rose et que la méthadone remplaçait l’héroïne, nous resterions à jamais les ennemi.es de toute structure qui nous prive de notre liberté. Nous serons les rebelles à l’intérieur de vos hôtels de luxe et les incendiaires de la justice légale. Nous serons combattant.es éternel.les en amour avec la liberté. Des meilleures conditions de détention ne signifient rien de plus que l’amélioration des conditions de captivité. Pour nous, la question reste dans son essence, l’état de captivité en soi. »
– Yiannis Dimitrakis, anarchiste brigand de banques emprisonné en Grèce« La prison n’est pas simplement un endroit, c’est aussi une condition : l’antithèse de ce qu’est la liberté. Par la même, l’absence de liberté est la prison et c’est seulement lorsque cette dernière est perçue comme condition propre qu’il devient possible d’entrer dans la dimension destructrice, sans mesure. »
– Jean Weirsabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org
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https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/prison.pdf
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- descriptif :
text
photo (porte de cellule de prison, barbelés)
- texte :
Fire to the prisons and the world that needs them
Prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. Our society resembles a great open-air prison ; with the threat of starvation if you don’t spend your energy on meaningless work for capitalism, with cameras on every corner, with the police intimidating and murdering in the streets like the jailers do to those locked in cages, and with borders drawn by our rulers serving as walls. The inside and outside of prison only differ in their degree of intensity, but both are based on domination, alienation, and control.
The state is not interested in reducing crime, but in increasing social control. Decent imprisonment, like a humane capitalism, does not exist. Imprisonment – being held hostage by the state – is a reason in itself to rebel against jailers and their barbed wire. Just like on the street, there are people in the prisons, psychiatric institutions, and detention centres who do not come to peace with their conditions, who do not bury a certain taste for freedom just because a judge decides that they will live in a cage. Within these walls, there are those who refuse the daily humiliation of obeying the guards, for whom the walls and the barbed wire are not yet seared into their brains, and who rather observe them as obstacles that have yet to be overcome. The punishment that the judge imposes upon them is a consequence of a world that is based on exploitation and obedience, a world that would not function without the constant threat of prison for those who choose to not submit to the misery surrounding them.
Waves of revolts, riots, and rebellions are widespread within the prison system. By rising up, by burning the prison’s infrastructure, by attacking guards, and by escaping, some prisoners have rediscovered what the system has tried to take from them : courage, the desire for freedom, and the will to put an end to at least a part of this society of domination through rebellion against it.
Our desire to live free of exploitation is worthless if we are unwilling to act on it. The prison machine isn’t as well oiled as it seems, and those on the outside can find its gears on every street corner – from prison architects to banks that finance prisons. Our passion for freedom is stronger than their prisons !
“It’s the most terrible institution of our era, this justice, tired of outbidding the crime it pretends to punish ; it no longer crucifies, tears apart, skins, impales, brands, and even beheads. There is no longer the iron, the wheel, the gallows, the stake, or anything. What replaces them is time. Life amputated by time ! This is prison : time imposed in its nakedness. We no longer kill, we let die.”
– Serge Coutel“Even if prisons were transformed from human storerooms into luxury hotels, even if the prisoners of all prisons are satisfied with ‘reduced sentences’, even if the everyday beatings of prisoners are replaced by sly agreements and assimilated by correctional policies in accordance with the ‘human rights’ model, even if the ‘white cells’ turn ‘pink’ and heroin gives way to methadone we will remain forever enemies of any structure that denies us our freedom. We will be the rebels inside your luxury hotels and the arsonists of legal justice. We will be eternal fighters in love with freedom. Better prison conditions mean nothing more than improved conditions of captivity. For us the issue remains in its essence, the condition of captivity in itself.”
– Yiannis Dimitrakis, anarchist bank robber imprisoned in Greece“Prison is not simply a place, it is also a condition, the antithesis of which is freedom. By the same token, the absence of freedom is prison, and only when the latter is perceived as one’s own condition does it become possible to enter the destructive dimension without measure…Nothing less will do.”
– Jean Weirsabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org
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https://mtlcontreinfo.org/la-prison/
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texte
photos (scènes d’émeutes)
- texte :
Flics, porcs, assassins
La police dit que son but est de « servir et protéger », mais les 60 personnes que le SPVM a tuées depuis 1987 nous rappellent que ce n’est pas nous que la police sert et protège. On nous dit que nous avons besoin de la police, que leurs actions sont excusables et nécessaires à notre protection, que sans eux nous allons toutes/tous nous entretuer. La vérité est que nous n’avons pas besoin d’eux. Nous savons trop bien qui sont les assassins.
La police existe pour maintenir l’ordre social au service du capitalisme et de l’État ; elle n’est pas intéressée à réduire le crime, mais plutôt à augmenter le contrôle social. Ils sont ceux qui lancent des gaz lacrymogènes et qui tirent des balles de plastique à toutes les fois qu’une manifestation échappe à leur contrôle, qui attaquent les travailleur(euse)s et les étudiant.es en grève. Ils sont ceux qui séparent les affamé.es des étagères pleines de bouffe des marchés, les sans-abri.es des immeubles vacants, les immigrant.es de leurs familles de l’autre côté de la frontière. La police est celle qui met les gens en cage. Ils sont ceux qui en convainquent plusieurs de vivre en cage selon leurs propres volontés, mû.es par la peur. Ils sont ceux qui protègent les riches, les patrons, leurs propriétés – pas nous.
Le capitalisme est un système qui nous est imposé. Aussi longtemps que des gens pourront défier la hiérarchie de l’élite gouvernante, la police sera nécessaire pour réguler, discipliner, contrôler. La violence policière n’est pas un accident – c’est notre quotidien. Elle ne peut pas être séparée d’un contexte plus large où les mesures d’austérité s’accroissent et où le contrôle social s’intensifie avec les nouvelles prisons, des lois plus sévères, avec l’omniprésence des technologies de surveillance. Le problème n’est pas juste la violence de la police, mais la police elle-même tout comme les tribunaux, les lois et les prisons, qui maintiennent la misère que le capitalisme nous impose.
La police ne peut nous dominer que si nous demeurons isolé.es. Si tous ceux/toutes celles qui l’haïssent se soulèvent ensemble, ils seront impuissants à nous arrêter. En Égypte, cela n’a pris qu’une semaine pour faire brûler tous les postes de police et pour obliger les départements de police à s’évaporer. C’est pourquoi notre colère doit se transformer en action comme quand les gens ont pris la rue pour y vivre l’émeute après le meurtre de Freddy Villanueva par les cochons à Montréal-Nord, quand les Mohawks ont érigé des barricades armées à Kanehsatake et à Kahnawake en 1990 ou encore plus récemment durant les manifs confrontationnelles qui ont fleuri du terrain de la grève étudiante, où les gens attaquent régulièrement la police avec tout ce qu’ils/elles peuvent, des roches aux cocktails molotov, brisent leurs chars ainsi que leurs équipements et détruisent leurs postes.
La police est un des plus importants obstacles à la réalisation de l’anarchie – une situation qui requiert des gens qui vivent selon leurs propres initiatives, seulement mettant en application ce qu’elles/ils sentent comme étant dans le meilleur intérêt. Les conflits devront être résolus dans un but de satisfaction mutuelle pour toutes les parties impliquées, pas supprimés par un gang qui s’est approprié le monopole de la force.
Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de polices patrouillant les rues, arrêtant celles/ceux que nous aimons et nous harcelant à tous les coins de rue, la police sera attaquée tout comme leurs cages et les systèmes de domination qu’ils essaient de protéger.
sabotagemedia.anarkhia.org — mtlcounter-info.org
https://mtlcounterinfo.org/police/
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[ texte (capitales) ; photos (répressions de manifestant·e·s, prison) ]
- texte :
Libération des prisonnier-e-s anarchistes en grève de la faim depuis le 11/06/2012 et de tou-te-s les prisonnier-e-s politiques !
Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!
Contre l’incarcération de plus de 900 étudiant-e-s
Contre la politique de répression à l’égard des minorités kurdes
Contre les atteintes au droit d’avorter
Contre l’incarcération de 15 militant-e-s anarchistes, dont 12 sont en grève de la faim depuis le 11 juinVive la solidarité internationale !
Manifestation mardi 26 juin à 18 h 30 au Trocadéro, Paris
Eylem 26 Haziran Salı, saat: 18.30, Trocadero, Paris
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[ texte bilingue (français et turc) ; photos (arrestations musclées de militant•e•s ; cour de prison) ]
- texte :
Libération des prisonnier-e-s anarchistes en grève de la faim depuis le 11/06/2012 et de tout-te-s les prisonnier-e-s politiques !
Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!
Contre l’incarcération de plus de 900 étudiant-e-s
Contre la politique de répression à l’égard des minorités kurdes
Contre les atteintes au droit d’avorter
Contre l’incarcération de 15 militant-e-s anarchistes, dont 12 sont en grève de la faim depuis le 11 juinVive la solidarité internationale !
Manifestation mardi 26 juin, à 18 h 30, au Trocadéro, Paris
Eylem 26 Haziran Sali, saat: 18.30, Trocadéero, Paris
« Mobilisation unitaire d’organisations et d’individu-e-s libertaires
— Coordination des Groupes Anarchistes (CGA) - Région parisienne : www.c-g-a.org
— Offensive Libertaire et Sociale (OLS) - Paris : offensive.samizdat.net
— Fédération Anarchiste (FA) : www.federation-anarchiste.org
— AL BNO et AL PNE : www.alternativelibertaire.orghttp://c-g-a.org/content/halte-la-repression-en-turquie-turkiyede-ki-baskiya-son
http://c-g-a.org/sites/default/files/affiche_turquie.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte (invitation à conférence-débat) ; dessin (chaine brisée) ; logo librairie L’Insoumise ]
- texte :
ADN — garde à vue — violences policières — contrôle judiciaire
organisée par le CRIME - Contre la Répression des Individus et des Mouvements d’Émancipation -
Kit de survie face à la police, face à la justice !
- présentation de la brochure
- formation en présence d’un avocat
- discussions
Mercredi 28 novembre 2012 - 20 h -
L’Insoumise “Bouquinerie occupée” — 10, rue d’Arras — Lille Moulins
http://linsoumiselille.wordpress.com/2012/11/28/kit-de-survie-face-a-la-police-face-a-la-justice/
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[ texte ; photo (policiers grecs anti-émeute protégeant un local de Bank of Greece) ]
- texte :
[logo] La Plume noire, librairie, bibliothèque, salle de débats et projections
La Plume Noire - 8, rue Diderot, Lyon
La crise, c’est le capitalisme
Analyses et perspectives de changement social
débat avec des camarades français et grecs
CGA
Coordination des groupes anarchistes - LyonSamedi 7 avril 15 h
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[ texte ; dessin (montage — à différentes échelles — de fuite de manifestant·e·s devant l’ombre de policiers anti-émeute) ]
- texte :
Dans le cadre de la rentrée libertaire
Le Resto Trottoir présente dès 20 h 30 à L’Autodidacte, 5 rue Marulaz
Projection : « Les Insurgés de la terre »
+ vidéo sur des arrestations d’autres groupes de distribution de nourriture…
mercredi 26 sept. 2012
collectif Food not Bombs de Besançon
blog : restotrottoir.blogspot.fr« Quand agir pour le bien commun (militer contre les industries polluantes ou pour la démocratie et la solidarité) devient interdit pour protéger les intérêts et profits du Capital… »
Film + débat sur la répression envers les militant.e.s et sur les enjeux de la réappropriation de la rue…
Le Resto Trottoir propose un film documentaire pour illustrer un débat sur la répression croissante envers les militant.e.s manifestant contre le nucléaire ou les OGM, les déforestations intensives, l’oppression des individus (humains ou animaux), la propriété informatique ou du vivant, etc.
Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.
https://restotrottoir.blogspot.com/2012/09/invitation-une-projection.html
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texte (signé Hellmo)
dessin (rue citadine dont l’axe central divise les manifestant·e·s et les militaires qui les mettent en joue) signé Julien Zeppo
- texte :
Le Chat déchaîné
Feuille d’agitation de la Fédération Libertaire des Montagnes #9
Armée lutte de classes et beaux discours
80 ans après les faits, on a beaucoup parlé de la fusillade de Genève. D’une part, par bête goût de la commémoration. D’autre part, parce qu’est paru un livre (1), qui revient en détail sur ce sujet. Rappelons très brièvement les faits : le soir du 9 novembre 1932, l’année ouvre le feu, au pistolet et au fusil mitrailleur, sur une manifestation antifasciste, faisant treize morts et des dizaines de blessés. Puis on félicite les assassins et l’on condamne des dirigeants du PS genevois, qui avaient appelé à manifester, pour trouble à l’ordre public…
Cet évènement a fait couler bien de l’encre et de la salive au point d’occulter, sans doute, d’autres drames similaires. Revenons en 1875, par exemple : les ouvriers du Saint Gotthard se mettent en grève ; on fait donner la troupe ; bilan : quatre morts. Jusqu’au milieu du XXe siècle, l’armée a fréquemment été appelée à « contenir » le mouvement ouvrier, avec des résultats plus ou moins dramatiques (2). Ce rôle joué alors par l’année de milice en dit long sur son caractère d’institution de classe.
L’ouvrage de Jean Batou a des défauts, c’est entendu (3), mais aussi des qualités. Par exemple, il décrit bien l’état quasi psychotique des élites genevoises : confrontées à « quelques centaines de personnes armées de sifflets et de sachets de poivre » (4), elles se persuadent d’assister à un remake de la révolution d’octobre. La collusion est totale entre pouvoirs politique, financier, judiciaire et militaire. Grandes familles patriciennes, banquiers privés, politiciens conservateurs, cadres de l’armée, intellectuels d’extrême-droite : tout ce petit monde s’invite à dîner, défend ses privilèges et cultive jusqu’au délire la « peur du Rouge ».
Où en sommes-nous aujourd’hui ?
En 1932, on vivait les soubresauts de la crise de 29. La place financière genevoise connais-sait des difficultés dues à des affaires de fraude fiscale. Il y a donc des similitudes entre cette époque et la nôtre, et aussi d’immenses différences : ainsi, l’obligation de servir est aujourd’hui remise en cause, ne serait-ce que parce qu’elle n’arrange pas les patrons. De même, le mouvement ouvrier était certes divisé, mais plus actif et radical qu’aujourd’hui. Sans doute toutes les conditions ne sont-elles pas réunies pour que, demain, l’armée suisse fasse feu sur des civils. Mais il faut malheureusement constater qu’en théorie, tout est prêt.
À la demande de l’inénarrable Ueli Maurer, la Milizkommission C a rendu en août dernier un rapport intitulé L’importance de l’armée pour la Suisse (5). Comme l’ont fait remarquer plusieurs observateurs, bon nombre des membres de cette commission sont, dans le civil, de hauts dirigeants de la banque ou de l’industrie. Leur prose est édifiante, surtout le paragraphe Utilité de l’armée dans des circonstances exceptionnelles. Par « circonstances exceptionnelles » on entend les catastrophes naturelles, les attaques militaires (un point sur lequel les auteurs eux-mêmes semblent fort peu convaincus) et l’extrémisme violent : on se demande bien de quel type d’ « extrémisme » il s’agit…
Au mois de septembre, l’exercice d’état-major Stabilo due avait pour thème Désordres en Suisse et autour de la Suisse : il s’agissait de préparer 2000 officiers à la « gestion » de flux migratoires massifs et de mouvements sociaux à l’intérieur du pays. Ce jeu de rôle d’un goût douteux fait écho au projet de créer quatre bataillons de police militaire, sans prendre le risque d’une votation populaire (6). « La situation (due à la crise économique dans PUE et en Suisse) pourrait échapper à tout contrôle. Je n’exclus pas que nous utilisions l’armée dans ces prochaines années, » déclarait Ueli Maurer début octobre : l’heure n’est donc pas à la rigolade. Et la porte-parole du Département Militaire Fédéral, Sonia Margelist, d’ajouter : « L’armée doit être prête dans le cas où la police demanderait de l’aide. Il n’est pas exclu que les conséquences de la crise économique puissent conduire en Suisse à des protestations et à des violences. » On notera l’emploi du terme « protestations », suffisamment vague pour désigner tout et n’importe quoi…
Il est donc encore parmi les missions de l’armée suisse que de s’attaquer à des civils, qu’il s’agisse de « gérer » les flux migratoires ou de réprimer les mobilisations sociales. Mais le discours a changé. Pendant l’entre-deux-guerres puis pendant la guerre froide, on présentait le peuple suisse comme fondamentalement bon et brave mais sujet à l’influence pernicieuse d’agents subversifs étrangers. Dans les années 30, les adversaires d’un parti socialiste genevois alors très re-muant soulignaient constamment les origines de ses dirigeants. On reprochait à Jacques Dicker d’être Juif et Russe (ça faisait beaucoup) et à Léon Nicole d’être… Vaudois : « deux microbes importés (…), deux vilains parasites qui par leurs émanations pestilentielles risquent d’infecter tout l’organisme genevois », écrivait ainsi le leader d’extrême-droite Roger Steinmetz.
Aujourd’hui, plus besoin de métaphores médicales. Même Ueli Maurer, qui n’est pas vraiment une lumière, se rend compte que la colère sociale, de même qu’une bonne partie en tous cas des flux migratoires, sont les conséquences logiques des dé-confitures du capitalisme. Les pontes du DMF admettent sans peine que dans un contexte de crise globale, le peuple suisse, si placide soit-il, pourrait bien se révolter sans même que des agents étrangers lui en injectent l’idée. Or l’armée se doit de défendre les intérêts de l’économie - aussi foireux et injuste le système économique soit-il.
Que l’armée suisse est une institution de classe, ce n’est pas un scoop. Mais, au pays de la paix du travail, du tir obligatoire et du couteau à douze lames, on ne s’en rend pas assez compte. Tant les élucubrations de la Milizkommission C que les travaux d’historiens doivent donner lieu à des prises de conscience et à des refus : refus de servir, refus de payer la taxe militaire, refus de cette solution foireuse que serait l’instauration d’une armée de métier ; refus du système tel qu’il fonctionne, et tel que l’armée cherche à le maintenir. À 80 ans de distance, il ne coûte rien de prononcer des discours commémoratifs ni d’exiger, comme Jean Batou, la réhabilitation posthume de leaders socialistes à qui ça fera une belle jambe. Mieux vaut nous réapproprier le bon vieux slogan : Pas un homme, pas un sou pour le militarisme !
Hellmo
1) Jean Batou : Quand l’esprit de Genève s’embrase. Au-delà de la fusillade du 9 novembre 1932, Lausanne, éditions d’En Bas, 2012.
2) Entre 1918 et 1945, l’armée a assuré 22 fois un « service d’ordre » contre le mouvement ouvrier. Cf Bernard Degen dans l’ouvrage collectif Mourir en manifestant, Lausanne, En Bas, 2008, p. 44.
3) Lire une critique acerbe mais pertinente sur www.lereveil.ch
4) Manchester Guardian du 28 novembre 1932, cité in Batou, p. 108.
5) www.vbs.acImin.ch/internet/vbs/fr/home/clepartementiorganisation/miliz-komm.html
6) En 1978, la création d’une police fédérale de sécurité avait été refusée par 56 % des votants.
7) Cité par Jean-François Fayet et Michel Caillat in Mourir en manifestant, p. 77.Hellmo
Fédération Libertaire des Montagnes (FLM)
CP 569 / 2301 La Chaux-de-Fonds / flm.osl@espacenoir.ch
Les personnes qui désirent afficher ce texte sont priées de le faire aux endroits autorisés2012 ou 2013 ?
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[ texte ; photo (poings liés par des barbelés) ]
- texte :
Liberté pour notre frère Peppe Sghigno.
Liberté pour tous les compagnons en prison !
Solidarité avec tout ceux qui dans le monde combattent par l’action directe l’oppression de l’État et du capital !!
Rassemblement devant le consulat italien, 164 rue des Frères, Bordeaux
Jeudi 15 novembre
16 hhttps://gabx.noblogs.org/post/2012/11/28/liberte-pour-notre-frere-peppe-sghigno/
https://gabx.noblogs.org/files/2012/11/Prison011.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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(texte ; dessin (avions au sillage formé de fil barbelé s’envolant de Cologne et Düsseldorf, coupes-boulons entourant 2012 et étoiles formées de coupes-boulons) rose et noir ; sérigraphie ? ]
- texte :
No Border Camp 2012
13. -22. 07. 2012 Köln / Düsseldorf
Workshops — Diskussionen — Vorträge — Action
[logo "ab cerclé"] alle bleiben ! — twitter.com/nobordercamp — noborder.antira.info
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[ texte ; dessin (bombinette) ]
- texte :
Dimanche 23 déc. 2012 — 15 h 30
Nuit scélérate
23-12-1992 : abrogation de la « dernière » loi scélérate
23-12-2012 : dé-fête d’anniversaire23, avenue Jean Jaurès à Liévin
Le LAC, le lieu autogéré15 h 30 Dé-fête !
Rencontre-dialogue autour des lois scélérates et de l’anarchie avec de vrais morceaux d’anarchistes dedans
et
18 h 00 Re-fête !
scène live avec Vidaorda (ex Vortex, punk HXC, Belgique)
+ Straight from Hate (finest blackland hardcore melodies)
+ + Prophecy of Crows (anarcho crust punk)Prix libre
http://www.noirgazier.lautre.net/wp-content/uploads/THEAFFICHEokbd.jpg
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- Symbole(s) utilisé(s) : drapeau noir ⚑ — chat noir — poing levé — slogan : Ni dieu ni maitre /B_tout>
[ texte ; photos (patchwork visages de femmes en manifestation) ]
- texte :
22/09 — Place des Charrons, local CNT à Metz
Pendant que les patrons licencient, l’État réprime
16 h : Face à la répression, éléments de défense juridique avec maitre Blindaeur
18 h : Meeting anti-répression
20 h : Mos Cat’s, rock’n’roll — Major’n’Gowka Crew, reggae/ragga — L’Artillerie, rap/hip-hop
Il est temps de tous nous amnistier
[suite de logos d’organisations :] [chat noir cerclé] Confédération Nationale du Travail — NPA — La FASE, Fédération pour une alternative Sociale et Écologique — Ligue des Droits de l’Homme — Union Contre l’Immigration Jetable — SUD-PTT Moselle — [drapeau noir cerclé « Ni dieu, ni maitre »] Fédération Anarchiste
http://www.cnt-f.org/conf/IMG/jpg/Affiche_Metz22sept.jpg
L’une des photos de femmes est une photo de presse très connue (par Marc Riboud en Mai 1968 à Paris).
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texte
mini BD (mort et enterrement de Pierre Overney) par Jacques Tardi
- texte :
Rassemblement à la mémoire de Pierre Overney, 1972-2012
Samedi 25 février
11 h00 - Hommage
cimetière du Père Lachaise
rendez-vous au M° Père Lachaise, ligne 2 - sortie 115 h 30 - Rencontre
témoignages, discussion, chansons de Dominique Grange
CICP - 21 ter rue Voltaire - 75011PC maoïste de France — La Cause du peuple — FRAP
© Tardi/Casterman
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[ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]
- texte :
Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages
Avenue Jean Dagnaux, M° Canal du Midi
"Nous sommes contre la prison parce que le bruit de la clé dans la serrure d’une cellule est une torture quotidienne, l’isolement une abomination, la fin du parloir une souffrance et le temps enfermé un sablier qui tue à petit feu…"
Alors samedi 14 janvier, le Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège (et des autres) s’installe aux Pavillons Sauvages, le temps de faire connaitre un certain nombre d’outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) voués à briser le silence et l’isolement sur lesquels s’appuie la logique carcérale.
À partir de 14 h :
- Tables d’infos
- Atelier d’écriture de courrier aux détenu-es (fabrication de cartes postales qui détruisent la solitude)
- Initiation à la langue des signes (pour apprendre à communiquer sans bruit)
- Écoutes et intervention de Bande Organisée (super travail qui donne la parole aux jeunes enfermé-es)
http://www.bandeorganisee.org — http://pourlaliberte.noblogs.org
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]
- texte :
Samedi 14 janvier
à partir de 14 h
aux Pavillons Sauvages
avenue Jean Dagnaux - M° Canal du Midi
Tables d’infos ; présentation de différents outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) pour briser l’isolement carcéral ; écoute de documents sonores sur l’enfermement ; atelier d’écriture de courrier aux détenu-es ; initiation à la langue des signes (pour se parler en silence) ; fabrication de cartes postales (pochoirs, sérigraphie) ; salon de thé (ramène ton gâteau)
Bouffe vegan
À 19 h concert avec :
Seasick 6 ; Dures & Gay ; Prince Ringard ; Grâce & Volupté Van Van
Prix libre de soutien aux inculpé-es de Labège et à la Caisse d’Autodéfense Juridique
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- notes :
- descriptif :
[ texte (appel à manifestation) ; logo cerclé (main arrêtant un policier avec matraque) américain ? ; dessin (policier matraquant la justice en tenant un livre « Legal use of force ») ; fond gris ]
- texte :
Samedi 17 mars
Journée contre la répression policière
Nous resterons fiers et insoumis !
Place Martin Luther King à Lille Sud
10 h 30 — tables rondes
14 h — manifestation
Place Degeyter à Lille Fives
17 h 30 — assemblée populaire
19 h 30 — repas collectif
21 h 30 — projection plein air
http://crrimms.wordpress.com/2012/03/09/affiche-du-17-mars-2012/
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- notes :
- descriptif :
[ texte & typo ; dessin (carte de l’Union européenne dans un cercle de barbelés) ]
- texte :
Sangatte, 10 ans qu’ça se gâte
…faut qu’ça change !
Du 05 novembre au 8 décembre 2012
Calais — Dunkerque — Bailleul — Isbergues — Norrent-Fontes — Arras — Lille — Bruay — Merville — Tourcoing — Villeneuve-d’Ascq — Avion…
Concerts, projections, conférences, débats, tournoi de foot, expositions, animations…
sangatte10ans.wordpress.com
[|ogos :] Terre d’errance — Fraternité migrants Bassin minier — CNT [chat cerclé] — Médecins du Monde Mission migrants littoral Nord-Pas-de-Calais — Secours catholique — Terre d’errance Steenvorde — Ligue des droits de l’Homme — La Marmite aux idées — La Générale d’imaginaire — La Suite dans les images — Plateforme de services aux migrants — Amnesty international
Conception graphique : Grégoire Robillard http://graphentreacteurs.over-blog.com/
Paru en deux dimensions (84×59 et 42×30 cm)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte & typo ; dessin (carte de l’Union européenne dans un cercle de barbelés) ]
- texte :
Sangatte, 10 ans qu’ça se gâte
…faut qu’ça change !
Du 05 novembre au 8 décembre 2012
Calais — Dunkerque — Bailleul — Isbergues — Norrent-Fontes — Arras — Lille — Bruay — Merville — Tourcoing — Villeneuve-d’Ascq — Avion…
Concerts, projections, conférences, débats, tournoi de foot, expositions, animations…
sangatte10ans.wordpress.com
[|ogos :] Terre d’errance — Fraternité migrants Bassin minier — CNT [chat cerclé] — Médecins du Monde Mission migrants littoral Nord-Pas-de-Calais — Secours catholique — Terre d’errance Steenvorde — Ligue des droits de l’Homme — La Marmite aux idées — La Générale d’imaginaire — La Suite dans les images — Plateforme de services aux migrants — Amnesty international
Conception graphique : Grégoire Robillard http://graphentreacteurs.over-blog.com/
Paru en deux dimensions (84×59 et 42×30 cm)
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texte
photo (« À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009 »)
fond (noir et jaune)
- texte :
Dans les jours d’avril 2010, quand le gouvernement grec a finalement accepté un prêt du Fonds monétaire international qui a débuté la reprise de force du pays par les financiers internationaux, les services de sécurité avaient préparé un spectacle médiatique pour célébrer l’occasion : la capture de 6 combattantEs anarchistes afin de soumettre la lutte sociale.
Les combattantEs anarchistes, qui avaient en eux-mêmes/elles-mêmes été une source d’irritation, étaient maintenant des otages. Des otages qui humilièrent les services d’intelligence démoralisés et brutaux, les divisions anti-terroristes ainsi que l’équivalent de l’occupant américain, la CIA, qui recherchaient Lutte révolutionnaire (‘Epanastatikos Agwnas’ –EA – en langue grecque) pour une attaque au lance-roquettes contre l’ambassade des États-Unis à Athènes. Cette action chérie et symbolique a eu lieu dans le contexte d’une série d’attaques qui durèrent pendant des années avec un fort impact destructeur contre les institutions du capitalisme et du gouvernement, accompagnées de tonnes de pages critiques, brillantes et articulées d’analyse anarchiste des structures institutionnelles qui pillent (ou parasitent) la richesse sociale produite par le travail ainsi que par l’auto-organisation mise de l’avant comme une alternative égalitaire anti-État et anti-capitaliste. Lutte révolutionnaire, c’est Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kosta Gournas et le défunt Lambros Foundas, qui a été tué dans une bataille contre la police. Ensemble, elles/ils formèrent un groupe d’anarchistes sociaux basé dans la capitale occupée, Athènes, qui ont dirigé leurs activités armées dans l’intérêt de leur classe de travailleuses/travailleurs exploitéEs de Grèce dans le cours et au sein de l’important mouvement anarchiste/anti-autoritaire des années 2003 à 2010.
Maintenant, elles/ils continuent leur lutte dans les cours et dans les prisons du régime grec, leur lutte est encore plus intense contre la légitimité du système capitaliste. Le procès-spectacle contre les camarades a commencé en octobre 2011 et fût accompagné d’une campagne de répression contre le mouvement anarchiste/anti-autoritaire en général et spécialement contre plusieurs anarchistes qui nient toute responsabilité. Ce que les services de sécurité grecs et leurs collègues étrangers veulent prévenir par l’intimidation, la surveillance et l’emprisonnement, c’est la contagion. La contagion des tactiques qui ridiculisent leur système et démontrent facilement comment n’importe qui peut les attaquer. La contagion des idées qui maintenant se répandent au-delà du mouvement anarchiste/anti-autoritaire dans les grèves de masses des gens en colère contre tout, qui veulent mettre ce système à terre et voir quelque chose de plus humainE commencer.
Liberté pour les prisonnier.ères ! – Honorons la mémoire de Lambros Foundas !
[photo :] À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009
Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire et celles ainsi que ceux accuséEs pour des raisons similaires
Session d’information / souper / écriture de lettres
revolutionarystrugglecase.blogspot.com // fr.contrainfo.espiv.netMercredi 28 mars à 19 h
La Belle Époque
Espace sociale anarchiste
1984 rue Wellington, metro Charlevoix
epoquemtl.org
en anglais avec traduction chuchotée vers le françaishttps://mtlcontreinfo.org/soiree-de-solidarite-avec-les-prisonnier-eres-du-groupe-lutte-revolutionnaire/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18fr.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Apéro-musique contre le nucléaire et en soutien aux inculpés de Valognes]
[Apéro-musique contre le nucléaire et en soutien aux inculpés de Valognes]. — Toulouse : Collectif Anti-Castor 31, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Austérité]
[Austérité]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Austerity]
[Austerity]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Autoclave : DIY festival de tatouage, de piercing et de modifications corporelles en solidarité avec les prisonnière.e.s et les victimes de la répression]
[Autoclave : DIY festival de tatouage, de piercing et de modifications corporelles en solidarité avec les prisonnière.e.s et les victimes de la répression]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , bleu ) ; x × y cm.
sources :
[Black bloc]
[Black bloc]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
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[Black bloc]
[Black bloc]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
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[Borstal Breakout ! : solidarité avec les inculpé-es !]
[Borstal Breakout ! : solidarité avec les inculpé-es !]. — Lille : Turbulences sociales, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Concert de solidarité à l’occasion de la sortie de Mauvaises intentions 3]
[Concert de solidarité à l’occasion de la sortie de Mauvaises intentions 3]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : La Parole errante, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Cops, pigs, murderers]
[Cops, pigs, murderers]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
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[Face aux licenciements, à l’austérité, à la précarité… en grève !!!]
[Face aux licenciements, à l’austérité, à la précarité… en grève !!!]. — Metz : CNT_F (France), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]
[Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
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[Fire to the prisons and the world that needs them]
[Fire to the prisons and the world that needs them]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
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[Flics, porcs, assassins]
[Flics, porcs, assassins]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
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Turkiye’de ki baskıya son!">[Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!]
[Halte à la répression en Turquie ! Turkiye’de ki baskıya son!]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
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Turkiye’ deki Baskiya son!">[Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!]
[Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!]. — Paris ; Saint-Denis : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CGA_. Groupe Région parisienne : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : OLS_ (Offensive libertaire et sociale : 2003-2014), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; [30 ?] × [21 ?] cm.
sources :
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[Kit de survie face à la police, face à la justice !]
[Kit de survie face à la police, face à la justice !] / Hugh D’Andrade. — Lille : CRIME (Contre la Répression des Individus et des Mouvements d’Émancipation) : l’ Insoumise (La bouquinerie occupée. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[La crise, c’est le capitalisme]
[La crise, c’est le capitalisme]. — Lyon : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CGA_. Groupe de Lyon : la (Lyon) Plume Noire, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
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[La répression envers les militant.e.s : film et débat]
[La répression envers les militant.e.s : film et débat]. — Besançon : Autodidacte (librairie L’) : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Le Chat déchaîné #11 : armée lutte de classes et beaux discours]
[Le Chat déchaîné #11 : armée lutte de classes et beaux discours] / Julien Zeppo. — La Chaux-de-Fonds : FLM_ (Fédération libertaire des Montagnes : 1978-....) : OSL_ (Organisation socialiste libertaire), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Liberté pour notre frère Peppe Sghigno]
[Liberté pour notre frère Peppe Sghigno]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[No Border Camp 2012]
[No Border Camp 2012]. — Düsseldorf ; Köln Cologne : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : noir , rose ) ; 59 × 42 cm.
sources :
[Nuit scélérate]
[Nuit scélérate]. — Arras ; Béthune : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Béthune-Arras, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Pendant que les patrons licencient, l’État réprime : il est temps de tous nous amnistier]
[Pendant que les patrons licencient, l’État réprime : il est temps de tous nous amnistier]. — Metz ; Paris : CNT_F (France) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Rassemblement à la mémoire de Pierre Overney, 1972-2012]
[Rassemblement à la mémoire de Pierre Overney, 1972-2012] / Jacques (1946-....) Tardi. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 41 cm.
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![]() 1972 |
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
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[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Caisse d’Autodéfense Juridique : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
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[Samedi 17 mars : journée contre la répression policière]
[Samedi 17 mars : journée contre la répression policière]. — Lille : CRRIMMS (Collectif de Résistance à la Répression et à l’Intimidation des Militants et des Mouvements Sociaux), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
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[Sangatte, 10 ans qu’ça se gâte : …faut qu’ça change !]
[Sangatte, 10 ans qu’ça se gâte : …faut qu’ça change !] / Grégoire Robillard. — Calais ; Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 84 × 59 cm.
sources :
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[Sangatte, 10 ans qu’ça se gâte : …faut qu’ça change !]
[Sangatte, 10 ans qu’ça se gâte : …faut qu’ça change !] / Grégoire Robillard. — Calais ; Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
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[Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]
[Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.
sources :
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[Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]
[Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.