répression
465 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photos (deux politiciens souriants — Christoph Blocher et Jean-Claude Mermoud qui tient en main un avion et une matraque — « Faites les taire ! ») ]
- texte :
Stop aux renvois
Faîtes les taire !
Concerts de soutien aux requérant-e-s débouté-e-s, expo, film, infos
Malgré le soutien d’élu-e-s de tous bords, des syndicats, des églises, des artistes, des milieux associatifs et une forte mobilisation populaire, le Conseil d’État Vaudois persiste à vouloir renvoyer de force des réfugié-e-s qui vivent en Suisse depuis de nombreuses années. Ce n’est pas tolérable !
Vendredi 8 octobre, 21 h
à Kabak, pl. du Château 3, Lausanne
2010 ou 2004 ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photomontage (œil reflétant un manifestant arrêté par deux policiers anti-émeute) ]
- texte :
VI jornadas anarquistas en Cornellá
Diciembre 2004
Contra la criminalización del movimiento libertario
Viernes 3
Presentación e inauguración de las jornadas
20.00 Charla, Renta Básica
después… Música entre compañer@s…Sábado 4
Por la dignidad de l@s trabajadores/as, l@s excluid@s, l@s parad@s…
12:00 Charla, Proyectos de autogestión de la salud
Ponentes : Proyecto libertario Flores Magón (ISO Italia)
14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
16:30 Charla, Astilleros. Un ejemplo de lucha obrera.
Ponentes : Sección sindical de CNT de Astilleros de Puerto RealDomingo 5
Nuevas estrategias de lucha social y obrera
12/00 Charla, Autonomía Obrera. Capitalismo y movimientos de resistencia global
14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
16/30 Charla : Lucha en la Red. Activismo digital y telemático, poder y contrapoder en el ciberespacio.
Ponentes : Kernel PanicLunes 6
Anarcofeminismo y sexualidad libre
12:00 Taler, Sexualidad pública. Subvirtiendo la normalidad existente
Ponentes : Femattack
14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
16:30 Pase de vídeo : Fucking Amal
18:00 : Charla : Teoria queer : Nuevos espacios para la sexualidad creativaMartes 7
contra la represión de las ideas, las cárceles, los centros de internamiento…
12:00 Charla, Sistema penal y represión carcelaria
Ponente : Observatori del sistema penal i el drets humans (UB)
14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
16/30 Pase de vídeo : Justicia social, el camino para la seguridad (documental sobre la reforma del código penal).Sábado
Concierto 22:00 4 euros
Puach (Valladolid) — Escuela de odio (Asturias) — Rabia Positiva (bcn) — 7 Grillos (Viladecans)Domingo
Concierto 22:00 gratix
Insurgentes (Toledo) — Gracia a Dios (Knlla- — Kuarto de Kilo (bcn)Fiesta con DJ’s 23:00 gratix
reaggae, flamenco, ska…Martes
Concierto 22:00 6 euros
Javi Chispes. Canciones y componentes de maniática, banda Jachis y la furia.
Terrorismo Sonoro (Hospi)
Pandilla Basuro (Mataro)Los montajes policiales y la represión de las ideas…
Todos los actos se realizaran :
Colegio publico Torres i Bages c/ Juan Fernández s/n
Metro - L5 Cornellà/Tranvia - El Padró
RENFE - Cornellà/Bus - 67 68 57 N14 N13Venta de libros - CD’s - Camisetas
distribuidora El Grillo libertario
www.nodo50.org/elgrillolibertario
Apdo. 287-08840
elgrillolibertario@nodo50.org[logo : drapeau taillé touge et noir] CNT-AIT
Organiza CNT Cornellá
C/ Llinars 44 - Apdo : 287, 08940 Cornellà
Tel/Fax : 933755853
www.cnt.es/cornella - cntcornella@cnt.es- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : étoile (noire …) ★ — chat noir — fond soleil rayonnant — squelette humain / crâne — tête de mort ☠ — panneau de signalisation routière /B_tout>
[ texte ; photos (policiers anti-émeutes face à manifestants dans les herbes hautes) ; logos (étoiles noire, rouge et noir, rouge, chat noir cerclé, panneau routier d’interdiction "G8") ]
- texte :
Antirep-Solikonzi
Für die AngeklagtInnen der Proteste gegen den G8 in Schottland, Juli 2005
[logo] Brigada Flores-Magón - Streetpunk, Paris
Im Anschluss DJ’s
Sous le Pont, Reitschule Bern, Samstag 03.12.2005, Türöffnung 21.00 h
★★★ Eintritt : Kollekte, Richtpreis 10.-/Soli 15.- ★★★
[logo : Chat noir cerclé] — [logo : panneauG8barré]- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte sur fond de silhouette de policier casqué avec un bâton dans la main ]
- texte :
Concerts de solidarité contre la répression policière dans le canton de Neuchâtel
René Binamé, post punk / B
Zeppo, ecoanarcore
Léonello, chants de lutte
Émincé de poulet, hip-hop françaisLes P’tits chanteurs à la gueule de bois, chanson festive
Sam 11 mars — Ancienne Poste / Le Locle
Programme complet de la journée : www.espacenoir.ch. Entrée : 15.- / portes : 17 h / 3 h
Les bénéfices seront utilisés pour payer les frais de justice des manifestant-e-s qui se sont opposé-e-s à l’amende qu’ils ont reçue pour avoir participé à la manif contre le congrès de l’UDC à La Chaux-de-Fonds le 08.01.05
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; logo cerclé (main arrêtant un policier avec matraque et logo Shell sur la casquette) ; photo (police bloquant des manifestant·e·s) ]
- texte :
End the Garda occupation of Rossport !
No more brutality againts the people of Mayo, send Shell to sea !
www.wsm.ie
http://www.wsm.ie/c/solidarity-poster-rossport-shell
http://www.struggle.ws/elsewhere/rossport2.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (silhouette de policier avec logo Shell sur la casquette) ]
- texte :
Free Rossport !
Send Shell to sea !
End the deployment of over 200 gardai in Mayo !
Stop the construction of Shell’s dangerous pipeline !
Stop the giveaway of Irelands Natural Resources !
www.wsm.ie
http://www.wsm.ie/c/solidarity-poster-rossport-shell
http://www.struggle.ws/elsewhere/rossport1.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (silhouette de flics anti-émeutes) ]
- texte :
Espace débat
Luttes et répressions en France
Débat avec des libertaires français (AL, CNT).
La Commune présente une soirée du Chat Noir
Manifs anti-CPE et contre la loi sur l’égalité des chances, émeutes en banlieue, fauchages de champs d’OGM…
Qu’est-ce qui unit ces luttes a priori disparates ?
Quelles convergences de luttes peut-on envisager ?Samedi 18 novembre 2006
ouverture des protes 18 h 00, discussion à 18 h 30
Espace autogéré, César-Roux, 30, Lausanne
www.squat.net/ea
Conférence avec des militants d’Alternative libertaire (France) et de la CNT (France).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (manifestation à Oaxaca : une femme, micro en main, menacée par les policiers anti-émeute qui l’entourent) ]
- texte :
Depuis mai, la population de l’État mexicain de Oaxaca s’est soulevé. Ces dernières semaines, la répression policière s’est intensifiée. Le 21/12 est une journée mondiale en solidarité aux insurgé-e-s.
Plus d’info sur ce mouvement sur lille.indymedia.orgOaxaca, Lille… la lutte continue-ra !
21/12 18 h rassemblement place de la République
22/12 20 h projection et discussion sur des films de l’Assemblée populaire des peuples de Oaxaca
au CCL 4, rue de Colmar - Mº Porte des Postes
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (avec lettrines reprenant le mot « RAFLES ») ]
- texte :
Rafles dans nos quartiers
Rafles de sans papiers qui passent inaperçues tant nous sommes habitués à l’occupation policière permanente de nos rues
— Repérer ce type de contrôle d’identité pour s’y opposerArrestations massives opérées à l’improviste dans des quartiers ciblés Magenta, Stalingrad, Barbés, Quai de la gare, Belleville…
— Appeler des amis, constituer des réseaux téléphoniquesFlics en petits groupes en uniformes et en civil, qui contrôlent dans la rue, dans les cafés, les couloirs et les sorties de métro
— Faire rebrousser chemin discrètement aux gens menacésLongueur de l’opération : de 30 minutes à 3 heures les cars stationnés non loin sont remplis jusqu’à ce que le quota du jour soit atteint
— Limiter ainsi le nombre d’arrêtés donc d’expulsionsEnfermement en centre de rétention puis expulsion des personnes arrêtées une cinquantaine environ
— Expliquer ces rafles et les rendre visibles aux veux de tousSabotons la machine à expulser !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Rafles-dans-nos-quartiers : « Trouvé sous forme de tract, auto-collants et affiches dans plusieurs villes depuis 2007/2008 » (16 novembre 2007).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]
- texte :
Beau comme des centres de rétention qui flambent
Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.
En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.
Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.
La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.
Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.
Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.
Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.
Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.
Sabotons la machine à expulser !
Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]
- texte :
Beau comme des centres de rétention qui flambent
Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.
En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.
Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.
La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.
Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.
Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.
Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.
Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.
Sabotons la machine à expulser !
Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (en défonce) ; photo (une fillette blanche et un garçonnet noir jouent dans la rue) ]
- texte :
Brisons la routine macabre de la machine à expulser !
Dans le monde entier, la guerre et la misère sont utilisées pour renforcer la domination et maintenir le règne de la marchandise. Des millions d’hommes et de femmes tentent alors de fuir leur condition et atterrissent dans les métropoles occidentales… quand elles ne meurent pas devant les fils barbelés des frontières, noyées en méditerranée, asphyxiées dans des avions, ou encore abandonnées dans le désert par des trafiquants d’êtres humains ou par la police.
Ceux qui parviennent jusqu’ici sont alors accueillis par la terreur quotidienne des rafles et des contrôles dans la rue, par des conditions de vie qui rappellent souvent celles qu’ils ont fuies, par des centres fermés et le racisme qui fait d’eux un ennemi social. Ces indésirables ne servent pas seulement à alimenter la machinerie capitaliste à la recherche d’une exploitation sans frontières, mais aussi à faire figure d’étranger pour canaliser le mécontentement des prolétaires vers leurs semblables.
L’intégration dans des communautés autoritaires fondées principalement sur la religion et le nationalisme empêche qu’ils ne s’attaquent à ce qui les opprime. Alors que désormais, il n’y a que dans la révolte que les indésirables, d’ici et d’ailleurs, pourront se reconnaître et forger des complicités pour affronter ce monde.
En effet, la machine n’est pas si bien huilée que ça. Dans les aéroports, chaque jour, des sans-papiers résistent contre leur expulsion. Dans les centres fermés, comme dans les prisons, les enfermés se mutinent, s’évadent et brisent ainsi la routine macabre de la ma-chine à expulser. Dans les rues, où règnent la police et le racisme, des contrôles tournent parfois au vinaigre, peu à peu les indésirables sortent de l’ombre et rompent la cadence de la résignation.
Les gérants et les collaborateurs de la machine à expulser ne sont pas anonymes : l’Office des Étrangers, Fedasil, la police, les contrôleurs dans les transports en commun, tous les partis politiques, les entreprises comme Sodexho, la Banque de la Poste, ISS Cleaning, Horeservi, SN Brussels Airlines, et des institutions comme Caritas et la Croix Rouge participent à la gestion de ces véritables camps de déportation.
Diffusons la révolte...
Détruisons les centres fermés et les prisons
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (diable dansant) ]
- texte :
Du sabotage considéré comme un des Beaux Arts
Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir dans le sabotage une arme classique des exploités. Il faut vraiment avoir la mémoire courte pour oublier que, dans toute guerre sociale, nombre de révoltés n’attendent pas nécessairement que tout le monde se bouge pour exprimer leur colère.
Des émeutes de novembre 2005 à celles du CPE au printemps 2006, des occupations d’usines et séquestrations de dirigeants aux nombreux sabotages lors du mouvement cheminot de novembre 2007, il semble clair pour beaucoup que ce n’est pas en mendiant qu’on peut en finir avec une situation de misère et d’exploitation.
Dans cette société carcérale, on voudrait nous faire croire à coups de Tazers ou de bulletins de vote que nous vivons dans le meilleur des mondes : la démocratie marchande. Les guerres ou l’empoisonnement de la planète au nom du fric viennent pourtant nous rappeler que le capitalisme est un système mortifère et que l’État est un ennemi.
Alors il faut se battre, pour détruire ce qui nous détruit. Lutter individuellement et collectivement là où l’on est, pour un monde libéré de l’exploitation et de la domination. Et ce n’est ni à leur code pénal ni à leur morale de nous dicter ce que nous avons à faire, mais à la rage et à l’éthique de chacun.
Le 11 novembre, dix personnes ont été arrêtées lors d’une nouvelle opération du Ministère de la Terreur, accusées des sabotages de caténaires de la SNCF du week-end précédent. Les journaflics et les politicards, chacals de tous bords, se sont aussitôt empressés de dénoncer un imaginaire mouvement « anarcho-autonome », la « MAAF ». Sous ce même prétexte d’ “association de malfaiteurs à but terroriste”, trois camarades sont déjà incarcérés, parfois depuis plus de 9 mois, accusés d’une tentative d’incendie de véhicule de police à Paris (18e) en mai 2007, lors des explosions de colère venues saluer la dernière élection présidentielle.
En un temps « de crise » où l’État arrose les capitalistes à coups de milliards, il tente une fois de plus d’isoler de « mauvais révoltés » pour mieux les éliminer. Mais peu importe qu’ils soient coupables ou innocents, laissons ces catégories aux charognes en toge et à leurs souteneurs.
Car de même que la passion pour la liberté ne s’enferme pas dans des sigles, ce que redoute la domination c’est la multiplication diffuse et anonyme de ces attaques. Solidarité contre le terrorisme d’État, avec les moyens que chacun jugera adéquats...
Brisons le train-train quotidien, 12 novembre 2008
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Du-sabotage-considere-comme-un-des : « Pour télécharger (imprimer, diffuser...) le tract (ou affiche) en PDF », « lu sur Indymedia Nantes (15 novembre 2008).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (portrait de Nicolas Sarkozy) ; frise (militant·e·s en manifestation avec un drapeau noir) ]
- texte :
Face à l’ordre moral
Face aux politiques sécuritaires
Face aux politiques racistes
Sarko dégage
Le 11 janvier, il sera à Lille
Mobilisons-nous !!!
Radicalement anti-Sarko
https://lille.indymedia.org/spip.php?article21166 & https://lille.indymedia.org/spip.php?article11646 & [page disparue ?]. Affiche d’un groupe anti-fa de Lille.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (deux policiers bras croisés (têtes et épaules invisibles) devant des sans-papiers africains assis) ]
- texte :
Pour que cessent ces politiques racistes…
Ni patries ! Ni États ! Ni frontières !
Solidarité avec les sans-papiers !
Groupe D’Anarchistes de Lille et Environs [logo]
L’image est un fichier de travail : plusieurs coquilles ont été corrigées avant l’impression.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo de fond (manifestation) ]
- texte :
Après le 19 mars
On continue la lutte !
Manif le 21 mars à Lyon, 14 h 30
Place Guichard (métro B)
Confédération nationale du Travail. Union des syndicats de Rhône-Alpes — ur-ra@cnt-f.org — www.cnt69.org [logo chat cerclé] CNT
http://www.cnt-f.org/lyon-le-samedi-21-mars-2009-on-continue-la-lutte.html
http://www.cnt-f.org/IMG/pdf/affiche_regionale_2.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (policier anti-émeute sur fond de bâtiment en flammes derrière un grillage barbelé) ]
- texte :
Bloc contre la violence d’État
Samedi 23 mai à 14 h 30
Lille - Porte de Paris
Manifestation nationale contre la répression d’État
http://blockdu23.over-blog.org
Un militant sera poursuivi à la suite de cette manifestation qui connaitra une vingtaine d’interpellations : http://blockdu23.over-blog.org/article-32636270.html ; http://lille.indymedia.org/?article16708 ; http://lille.cybertaria.org/?article1557
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (2 couleurs) bilingue ; fond (papier et/ou carte de couleur parfois dessiné) ]
- texte :
23-29 juin / 23-29 June
discussions / actions
rencontres / meetings
manifs / demogrande manif / big demo
Calais, camp No border / Calais No border camp
Liberté de circulation pour tous et toutes, fin des frontières et des contrôles migratoires
Freedom of movement for all end to borders and all migration controls
http://calaisnoborder.eu.org / contact@calaisnoborder.eu.org
L’affiche est sérigraphiée sur plusieurs qualités et couleurs de carte.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (3 hommes encapuchonnés dont deux jettent des livres comme des pavés) signé A/F ]
- texte :
Contre le terrorisme d’État, organisons-nous !
Soirée de soutien aux inculpés de l’antiterrorisme et contre la répression des mouvements sociaux
Projection-débat sur l’affaire de Tarnac et l’état d’exception
Lecture de textes et témoignages : venez partager un texte avec nous ou relater des exemples de répression ou d’impunité de la part des forces de l’ordre
Organisation de co-voiturage pour la manifestation du 31 janvier à Paris (15 h 00, RER Luxembourg) en soutien aux inculpés
Organisation d’ateliers de partage de savoirs et de lectures pour continuer à penser et à agir
Table de presse
Le 29-01 à 21 h 30 au CCL
4, rue de Colmar, M° Porte des PostesEntrée libre
Voir sur : http://lille.cybertaria.org/article1372.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (long) ; dessin (personnage masqué de BD, bras croisés) ]
- texte :
En lutte contre les élites
Depuis qu’ils nous ont annoncé leur crise, le capital, les patrons et toutes les machines à se faire du fric sur le dos des autres sont passés à une offensive encore plus sauvage, dévoilant sans trop de complexe leurs vrais visages.
Licenciement à gogo, chômage technique, travail le week-end, délocalisation… Voilà le quotidien de milliers de personnes utilisées comme de vulgaires pièces interchangeables qui devraient faire fonctionner la machine à fric sans jamais en voir le moindre sous.
On nous dit de nous serrer la ceinture, d’être responsables et que cela va passer, alors qu’au même moment la plupart des chiffres d’affaires des entreprises continuent à être conséquents. Ce genre de mépris ne peut rester sans réponse.
Loin de la résignation, des formes de lutte à la hauteur de l’exploitation et de l’affront subi réapparaissent : séquestration de patrons, occupation du lieu de travail, blocage, sabotage… Autant de moyen jugés adéquats par les personnes qui les mettent en place ; sans trop se préoccuper de la notion de légalité, mais parce que dans ce corps à corps qui les oppose à leurs patrons, c’est ce qui leur a semblé utile et nécessaire.
Évidemment, la justice — fidèle aux logiques de ce système — viendra vite sanctionner les personnes qui s’organisent, sonnant ainsi le rappel à l’ordre. Tout comme — à travers ses prisons, ses centres fermés pour étrangers et sa Constitution — elle rappelle à l’ordre chaque personne qui ne suit pas les règles du jeu imposées par le capitalisme. Mais cet ordre c’est celui de vies de restrictions au profit de quelques exploiteurs alors, franchement, cet ordre-là ils peuvent bien se le garder.
La pression sur les personnes qui se mettent en lutte est de plus en plus pesante. Les astreintes sont en passe de devenir monnaie courante pour toutes formes d’actions sortant de la fameuse “table des négociations”. La marge de manœuvre se restreint de plus en plus, dans l’idée d’affaiblir rapport de force qui se constitue.
En renvoyant chacun au “dialogue démocratique”, aux libertés individuelles ou en jouant des pressions financières, ils voudraient nous laisser manifester notre mécontentement tout en s’assurant que notre voix soit inoffensive.
Il est important de montrer notre solidarité avec les personnes qui tombent sous les différentes sanctions judiciaires. Non pas parce que ces sanctions porteraient atteintes aux quelques “droits” que le pouvoir à bien voulu nous laisser, mais pour que la lutte puisse continuer et s’étendre à toutes les sphères de nos vies.
Parce que l’État, le patronat et le capital veulent nous priver de nos vies, osons lutter sans entraves et de manière autonome.
Nous n’aurons que ce que nous prendrons
Affiche annoncée dans Tout doit partir n° 5 (juil. 2009) : « Affiche collée dans Bruxelles. »
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (extrait de l’image de la foule couteau dans les dents (source PC ?)) ]
- texte :
Comme il l’a montré ces derniers mois, l’État, sous couvert d’antiterrorisme notamment, cherche à criminaliser toute forme de contestation, qu’il s’agisse de modes de vie alternatifs ou de participation aux luttes sociales. Gardes à vue, perquisitions, détentions préventives, violences policières… Tous les moyens sont bons pour faire taire celles et ceux qui luttent et résistent… Il est temps de riposter.
Manif, sam. 31 janvier
RDV-départ 15 h au Luxembourg
ne nous laissons pas terroriser par l’État
Fédération anarchiste
www.federation-anarchiste.org
Affiche repérée sur : http://www.federation-anarchiste.org/spip.php?article708.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo : portrait de Jacob en chapeau-melon ]
- texte :
Soirée projection-débat
Vendredi 18 décembre 2009 à 20 h 30
Alexandre Marius Jacob
film documentaire de Thomas Turner et Laurent Termignon
Engagement, répression, enfermement
Anarchiste illégaliste, partisan de la « reprise individuelle », Alexandre Marius Jacob, membre des Travailleurs de la Nuit, devait payer cher plus de 150 cambriolages spectaculaires, reconnus. Riches et oppresseurs étaient la cible. Lui et ses compagnons avaient déclaré la guerre au monde capitaliste. Une partie des « recettes » était reversée à « La Cause ». 25 ans, 8 mois et 23 jours après son arrestation, la bagnard en Guyane, matricule 34 777, soutenu sans relâche par sa mère, recouvrait la liberté mais n’était toujours pas vaincu…
Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions
Collectif libertaire Marius Jacob
collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net
Imprimé par nos soins
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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- descriptif :
[ texte ; photos (mutins ; barbelés) ]
- texte :
Le centre de rétention administratif de Vincennes était la plus grande prison pour sains-papiers de France. Le 21 juin 2008, un détenu qui avait réclamé en vain des médicaments y est mort. Le lendemain, le 22 juin, au cours d’une révolte collective, le centre est parti en fumée. 10 personnes sont inculpées pour cette révolte. Être solidaire des inculpés de l’incendie de Vincennes, c’est être solidaire de toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, se révoltent contre un monde où des millions de vies sont suspendues à des bouts de papiers.
Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes
Procès
du 25 au 27 janvier
13 h 30 au TGI de Paris, Mº CitéSemaine de solidarité
du 17 au 24 janvier
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo () ]
- texte :
Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου
που επιζητά την ασφάλεια,την Τάξη και το σωφρονισμό
Στις 11 Οκτωβρίου μετά απο 10 μήνες προφυλάκισης αφήνεται προσωρινά ελεύθερος ο Βαγγέλης Μποτζατζής. Διώκεται με βάση τον τρομονόμο και το κατηγορητήριο στηρίζεται σε μια « ανυπόστατη, κατασκευασμένη και ανακληθείσα κατάθεση, προϊόν απειλών, εκβιασμών, ψυχολογικής βίας και πίεσης » και στον « πηγαίο καταδιωκτισμό » ενός σεκιουριτά.
Για την ίδια υπόθεση διώκονται τρεις ακόμα αναρχικοί που επέλεξαν τη φυγή ως μία σταση άρνησης στην επερχόμενη φυλάκισή τους που τα μμε τόσο καλά προετοίμασαν και η δικαστική εξουσία είχε δρομολογήσει. Εδώ και τόσο καιρό βρίσκονται σε ένα ιδιότυπο καθεστώς ομηρίας.Γίνεται πλέον φανερό πως οι εξουσιαστικοί μηχανισμοί επιδιώκουν την εδραίωσή τους μέσα από την παραδειγμάτική εξόντωση των αντιφρονούντων βαφτίζοντας τους τρομοκράτες.
Είναι, όμως, οι δεσμοί αλληλλεγγύης που μπορούν να μπλοκάρουν στην πράξη την απόπειρα να στείνονται έκτακα δικαστήρια σε βάρος αγωνιζόμενων ανθρώπων. είναι όλο αυτό το πολύμορφο σύμπαν των αντιστεκόμενων που μπορεί να ξεδιπλώσει έμπρακτα δεσμούς αλληλεγγύης και κοινωνικής δράσης ικανούς να υπονομεύσουν κάθε σχέδιο της εξουσίας να Θέσει στο περιθώριο τον αγώνα για την ελευθερία.αλληλεγγύη το Β. Μποτζατζή
καμία δίωξη τους Ν. Νικολάου, Δ. Συριανού, Κ. Χάλαζα.πορεία
ΠΑΡΑΣΚΕΥΗ 14.11 - 18.00 ΚΑΜΑΡΑ
κατάληψη φάμπρικα ★ υφανέτ
traduction :Na sampotároume tou koinonikó efisychasmó Na teleiónoume me to sýmplegma tou fóvou pou epizitá tin asfáleia,tin Táxi kai to sofronismó Stis 11 Oktovríou metá apo 10 mínes profylákisis afínetai prosoriná eléftheros o Vangélis Botzatzís. Dióketai me vási ton tromonómo kai to katigoritírio stirízetai se mia « anypóstati, kataskevasméni kai anaklitheísa katáthesi, proïón apeilón, ekviasmón, psychologikís vías kai píesis » kai ston « pigaío katadioktismó » enós sekiouritá. Gia tin ídia ypóthesi diókontai treis akóma anarchikoí pou epélexan ti fygí os mía stasi árnisis stin eperchómeni fylákisí tous pou ta mme tóso kalá proetoímasan kai i dikastikí exousía eíche dromologísei. Edó kai tóso kairó vrískontai se éna idiótypo kathestós omirías. Gínetai pléon faneró pos oi exousiastikoí michanismoí epidiókoun tin edraíosí tous mésa apó tin paradeigmátikí exóntosi ton antifronoúnton vaftízontas tous tromokrátes. Eínai, ómos, oi desmoí allillengýis pou boroún na blokároun stin práxi tin apópeira na steínontai éktaka dikastíria se város agonizómenon anthrópon. eínai ólo aftó to polýmorfo sýmpan ton antistekómenon pou boreí na xediplósei émprakta desmoús allilengýis kai koinonikís drásis ikanoús na yponoméfsoun káthe schédio tis exousías na Thései sto perithório ton agóna gia tin elefthería. allilengýi to V. Botzatzí kamía díoxi tous N. Nikoláou D. Syrianoú, K. Chálaza. poreía PARASKEVI 14.11 - 18.00 KAMARA katálipsi fámprika ★ yfanét
Pour saboter sa complaisance sociale
Terminons avec le complexe de la peurrecherche de sécurité, d’ordre et d’emprisonnement
Le 11 octobre, après 10 mois de détention provisoire, Vangelis Botzatzis a été temporairement libéré. Il est poursuivi pour terrorisme et l’acte d’accusation se fonde sur un « témoignage inexistant, fabriqué et révoqué, produit de menaces, de chantage, de violences et de pressions psychologiques » et de la « persécution à la source » d’un garde de sécurité.
Pour le même cas, trois autres anarchistes sont poursuivis qui ont choisi de fuir en refusant leur emprisonnement imminent, que les médias si bien préparés et la justice avaient lancé. Ils ont été dans un régime d’otage particulier pendant si longtemps.Il devient maintenant clair que les mécanismes autoritaires cherchent à se consolider par l’extermination exemplaire de dissidents en baptisant des terroristes.
Ce sont cependant les liens de solidarité qui peuvent en pratique bloquer la tentative d’envoyer des tribunaux d’exception au détriment des populations en difficulté. c’est tout cet univers multiforme de résistance qui peut déployer dans la pratique des liens de solidarité et d’action sociale capables de saper tout plan de pouvoir pour marginaliser la lutte pour la liberté.solidarité avec V. Botzatzis
pas de persécution de N. Nikolaou
D. Syrianou, K. Halaza.Manifestation
VENDREDI 14.11 - 18.00 KAMARA
tissu accroupi ★ tissage
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[ photo : policiers gazant un clandestin ]
- texte :
Calais, le 09 juin 2010
Série de [deux ?] affiches (avec Calais, le 09 juin 2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ photo : policiers arrêtant des clandestins, devant un autre photographe ]
- texte :
Calais, le 09 juin 2010
Série de [deux ?] affiches (avec Calais, le 09 juin 2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ long texte ; dessin (groupe de personnes rassemblées sous une machine à grandes pinces qui attrape les personnes s’éloignant du centre) ]
- texte :
Den Mut haben, zu rebellieren
Ich gehe durch die Strassen und mir fällt wieder einmal auf, wie. viel Polizei präsent ist. Es ist zum Alltag oder sogar zur Banalität geworden, dass sie Personen auf der Strasse anhalten, kontrollieren, schikanieren und abführen.
Die Polizei geht gezielt auf Menschen los, die in ihr Profil des Kriminellen passen. Kriminell ist, wer sich aus irgend einem Grund nicht in die Gesellschaft integrieren will oder die Möglichkeit dazu nicht hat. Integriert zu sein bedeutet, gültige Papiere zu besitzen und im Wirtschaftssystem zu funktionieren, sprich, sich täglich als Arbeitskraft ausbeuten zu lassen. Die Gesellschaft lehrt uns, für die Arbeit dankbar zu sein und im grauen Alltag das Konsumieren als Freiheit zu verstehen. Menschen, die sich dem nicht fügen, werden bestraft, denn in den Augen der Gesellschaft sind sie "böse". Sie sind "böse", weil sie das Funktionieren des Systems in Gefahr bringen könnten. Sie dienen jedoch auch als schlechtes Beispiel, um das zu ’"rechtfertigen, was als "gut" behauptet wird.
Die letzten November angenommene Ausschaffungsinitiative beruht genau auf diesem Prinzip : es wird in "gute" und "böse" Migranten unterteilt. "Gute" Migrantlnnen sind die, die versuchen sich in die Gesellschaft zu integrieren und der Wirtschaft des Landes nützlich sind. Viele glauben, Migrantlnnen müssten dankbar sein, in der Schweiz leben zu können. Migration ist jedoch in erster Linie eine Konsequenz des wirtschaftlichen und politischen Terrors der dortigen Regime in Absprache mit und zu Gunsten von reichen Ländern. Viele Flüchtlinge meinen, im Westen ihr Glück zu finden, doch müssen sie hier Ausbeutungsumstände ertragen, die jenen gleichen, vor denen sie geflüchtet sind. Als billige Arbeitskraft sind sie hier — in einem kontrollierten Masse — durchaus "von Nutzen". Ausserdem dienen sie als Sündenbock für gesellschaftliche Probleme und die Unzufriedenheit Anderer. Durch vereinfachte Feindbilder (der Sexualverbrecher, die Sozialhilfebetrügerin) wird das rassistische Klima zusätzlich angeheizt. Mit dem Bild des "bösen" Migranten wird überspielt, dass es, ob Migrant oder Schweizer, im Grunde dieselben Autoritäten und dieselben sozialen Verhältnisse sind, die unsere Unzufriedenheit auslösen. Es wird gesagt, dass sie ausgeschafft werden, um die allgemeine Sicherheit zu garantieren. In Wirklichkeit werden als "böse" Migranten diejenigen verfolgt, eingesperrt und ausgeschafft, welche die gegebenen wirtschaftlichen Anforderungen nicht erfüllen oder sich nicht integrieren und ausbeuten lassen wollen. Die Sicherheit ist also in erster Linie die Sicherheit von jenen, die von dieser Wirtschaft profitieren — die der Reichen und Machthabenden. Und an dieser haben wir gewiss nicht das geringste Interesse.
Wir fühlen uns verbunden und wollen gemeinsam mit allen Kämpfen, die im ausschaffungsgefängnis rebellieren. mit allen, die sich bei Kontrollen wehren und die Polizei nicht als Autorität akzeptieren. mit allen, die das Gesetz nicht anerkennen, weil es die Ausbeutung verteidigt. mit allen, die sich nicht ausbeuten lassen wollen.
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- notes :
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[ texte sur 3 affiches ; dessins (ADN en forme de barreaux de prison ; menottes ADN, etc.) ]
- texte :
Droit dans l’mur !
À Bordeaux, trois personnes ont été inculpées pour refus de prélèvement ADN, suite à la réquisition d’un logement vide en 2009. Le procès s’est déroulé mercredi 8 septembre 2010.
Ce procès n’est que la face visible de l’iceberg puisque le fichage ADN est devenu quasi systématique lors des gardes à vues. À Bordeaux comma ailleurs, des militant.e.s et autres ont parfois mobilisé autour de leur refus du fichage et obtenu des relaxes ou de simples amendes. Mais la plupart du temps, les rares personnes qui osent refuser se font condamner sans soutien et dans le silence. La loi stipule que l’accord de la personne mise en cause est obligatoire pour le prélèvement (dans la plupart des cas). Mais ce « droit » laissé au refus représente aussi un délit permanent passible d’un an de prison ferme et de 15 000 euros d’amende.Le saviez-tu ?
L’ADN, ou acide […]Le prélèvement ADN
Le prélèvement ADN a été instauré à la fin des années 1990 par le gouvernement Jospin. […]Gixel is watching you !
Le GIXEL, un groupe de pression qui rassemble une cinquantaine d’industries de l’électronique dont EADS, Thalès, SAGEM, Oberthur ou 3M, s’exprime ainsi :
« La sécurité est très souvent vécue dans nos sociétés démocratiques comme une attaque aux libertés individuelles. Il faut donc faire accepter par la population les technologies utilisées et parmi celles-ci la biométrie, la vidéosurveillance et les contrôles. […]
[…] »
Source : www.gixel.frJustice nulle part
L’ADN, empreinte invisible du corps que nous dispersons en permanence un peu partout derrière nous, est considérée judiciairement comme « la preuve parfaire ». […]Prouve que tu existes !
Malgré cette propagande scientifico-policière omniprésente, des individus refusent de se soumettre à la loi de l’État. […]Soutenons les formes de vie et de révolte qui font chavirer la machine sécuritaire.
Pas de flicage, pas de fichage !
Plus d’infos : http://refusadn.free.fr ; http://infoquiosques.net
Le petit supplément connerie…
« Les citoyens seraient mieux protégés si leurs données ADN étaient recueillies dès leur naissance » (C. Estrosi, député maire UMP rapporteur du projet de loi de « sécurité intérieure » 2007)Journal mural Droit dans l’mur (Bordeaux, vers sept. 2010).
https://gabx.noblogs.org/post/2012/01/07/adn/
https://gabx.noblogs.org/files/2012/01/DDLMadn.jpg (p. 1/3)
https://gabx.noblogs.org/files/2012/01/DDLMadn21.jpg (p. 2/3)
https://gabx.noblogs.org/files/2012/01/DDLMadn32-723x1024.jpg (p. 3/3)- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ long texte ; photo (rang de maisons) ; dessin (œil à la paupière mordu par un diablotin) ]
- texte :
Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?
Das Trugbild des sozialen Friedens befleckt sich mit Blut. Im Schatten des gewohnten Laufs der Dinge fordert die herrschende Ordnung ein Leben nach dem anderen. Die Gesetze und ihre Hüter zeigen zur Zeit besonders deutlich, was sie im Wesentlichen schon immer waren : Mörder im Namen des Staates.
Während Menschen apathisch durch die Einkaufsstrassen schlendern, wird in Zürich ein Mann bei einem Ausschaffungsversuch getötet. Inmitten der alltäglichen Belanglosigkeiten, mit denen uns die Medien vollstopfen, lassen Gefängniswärter in Bochuz (VD) einen aufsässigen Häftling in seiner brennenden Zelle ersticken. Doch der eintönige Rythmus der Arbeitswelt lässt kaum Zeit, darüber nachzudenken. Nur wenig später sterben zwei weitere Menschen, diesmal in einem Zürcher und einem Schaffhausener Knast.
Jeder Tod im Knast ist Mord, da er von einer äusseren Gewalt herbeigeführt wird, die sich über uns stellt. Wenn nicht durch den Knüppel eines Wärters, dann durch eine auf wenige Quadratmeter reduzierte Existenz. In Pfäffikon erhängt sich eine Person, die wegen Diebstahls in U-Haft sass. Wieder fällt ein Flüchtling aus dem Frachtraum eines Flugzeuges. Ein 18-jähriger angeblicher Autodieb wird bei Freiburg von den Bullen in einem Hinterhalt erschossen. Und all das ist nur, was hier in den letzten drei Monaten durch die Mauern und Medien sickerte…
Die politischen und juristischen Massnahmen, mit denen man vorgibt, solchen "Missgeschicken" nachzugehen, dienen bloss dazu, den sozialen Frieden zu bewahren. Wieso sollten wir uns noch auf solche Betrügereien einlassen, die uns bloss davon abhalten, die Wut in Revolte umzuwandeln ? In Revolte gegen diesen allzu gewohnten Lauf der Dinge... Das Gefängnis ist Folter, da besteht kein Zweifel, doch was ist mit der Gesellschaft, die es benötigt ? Jene, die solche Morde hinnimmt und rechtfertigt ?
Wir kannten all diese Personen nicht, aber wir kennen die sozialen Verhältnisse, in denen sie unerwünscht waren. Wir kennen die Gesellschaft, die Gefängnisse baut, um den auferlegten Gesetzen Achtung zu verschaffen, um die Störfaktoren im sauberen Funktionieren der Ökonomie zu isolieren und schliesslich, um die Reichen und Mächtigen vor denjenigen zu schützen, die sich entscheiden, das Leben zurückzuholen, das man uns täglich entreisst. Denn nicht nur eingesperrt in Knästen oder in der Konfrontation mit Bullen werden immer wieder Menschen getötet, auch diejenigen, die in dieser auswegslosen Gesellschaft festsitzen, werden konstant auf dem Lebensminimum gehalten. Die Knäste verdeutlichen bloss eine Bedingung, die sich uns überall zeigt, wenn wir ihr ins Gesicht zu blicken wagen : Seit unserer Geburt haben wir der herrschenden Ordnung unsere Pflichten abzubüssen. In der-Schule, bei der Arbeit, vor dem Warenregal… Und mit jedem Ausbruchsversuch laufen wir Gefahr, dass uns die Leine noch enger gezogen wird. Einer solchen, auf Zwang basierenden Ordnung gilt unsere Verachtung — und unsere Angriffslust ! Wir erwarten nichts von ihr. Wir schulden ihr nichts. Was sollte uns verbinden ? Ein Leben ohne Substanz ? Was uns diese Gesellschaft aufzwingt, widert uns an, und Was sie uns anbietet, interessiert uns nicht. Je mögliche Veränderung liegt an uns
selbst.Der Kampf für die Freiheit muss jenseits der Gesetzlichkeit gefochten werden. Dafür gilt es Komplizen zu finden. Dafür gilt es den Feind zu benennen. Die verantwortlichen Institutionen der Einsperrung und Unterdrückung haben einen Namen, ein Gesicht und eine Adresse…
Wir wollen die unzähligen Morde nicht vergessen, nicht bis das letzte Gefängnis und das letzte Verwaltungsgebäude fällt ; nicht bis zum Ende dieser Maschinerie, die täglich weniger durch Zustimmung als durch Gewohnheit aufrechterhalten wird. Die falschen Trennungen zwischen Legal und Illegal, Bürger und Migrant, Wohnblockbewohner und Häftling, Arbeiter und Dieb, Dir und Mir verhindern bloss, das wir uns als Individuen begegnen, die sich als Unterdrückte erkennen. Denn aus solchen Begegnungen kann die Entschlossenheit wachsen, dem entgegenzutreten, worin wir diese Unterdrückung sehen. Sie könnten uns dazu verleiten, das Träumen zu wagen, um auch das Kämpfen zu wagen. Sie könnten schliesslich der alten Idee wieder Kraft einhauchen, dass es zunächst die Revolte gegen jegliche Kontrolle über unser Leben ist, die uns erlaubt, mit der Freiheit zu experimentieren.
Von dem Moment an, wo wir uns ein Zusammenleben vorstellen können, das auf gegenseitiger Hilfe und einer anti-autoritären Sensibilität aufbaut, anstatt auf Leistungsdruck und Ausbeutung ; von dein Moment an, wo wir uns eine Welt ohne Knäste denken können, und somit ein Leben, das an uns selbst liegt — mit all seinen Konflikten und Leidenschaften — ; von dem Moment an haben wir auch die Möglichkeit, es wirklich zu realisieren !
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (lignes de texte aspirés dans un instrument de quête de la Croix Rouge, entouré de barbelés) ]
- texte :
camps, contrôle, expulsions, sans-papiers, roms, charters, rafles, rétention, déportation, prisons, maton
La Croix Rouge collabore aux expulsions :
pas de fric pour les collabos
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Quand-les-croises-voient-rouge-ils (“Quand les croisés voient rouge, ils balancent : de la Croix Rouge à la garde à vue”, 11 juin 2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Stop aux renvois. Concerts de soutien aux requérant-e-s débouté-e-s, expo, film, infos]
[Stop aux renvois. Concerts de soutien aux requérant-e-s débouté-e-s, expo, film, infos]. — Lausanne : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (une : noir , papier bleu ) ; 30 × 42 cm.
sources :
[VI jornadas anarquistas en Cornellá : contra la criminalización del movimiento libertario]
[VI jornadas anarquistas en Cornellá : contra la criminalización del movimiento libertario]. — Cornellà de Llobregat ; Esplugues de Llobregat : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 61 × 85 cm.
sources :
[Antirep-Solikonzi, für die AngeklagtInnen der Proteste gegen den G8 in Schottland, Juli 2005]
[Antirep-Solikonzi, für die AngeklagtInnen der Proteste gegen den G8 in Schottland, Juli 2005]. — Bern Berne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.
sources :
[Concerts de solidarité contre la répression policière dans le canton de Neuchâtel]
[Concerts de solidarité contre la répression policière dans le canton de Neuchâtel]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[End the Garda occupation of Rossport !]
[End the Garda occupation of Rossport !]. — Dublin : WSM_ (Workers solidarity movement), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [29 ?] × [20 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[Free Rossport !]
[Free Rossport !]. — Dublin : WSM_ (Workers solidarity movement), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [30 ?] × [20 ?] cm.
sources :
[Luttes et répressions en France, débat avec des libertaires français (AL, CNT)]
[Luttes et répressions en France, débat avec des libertaires français (AL, CNT)]. — Lausanne : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu , papier blanc ) ; 43 × 31 cm.
sources :
![]() 2006 |
[Oaxaca, Lille… la lutte continue-ra !]
[Oaxaca, Lille… la lutte continue-ra !]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.
sources :
[Rafles dans nos quartiers]
[Rafles dans nos quartiers]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 2008 |
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]
[Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2008 |
[Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]
[Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 59 cm.
sources :
[Du sabotage considéré comme un des Beaux Arts]
[Du sabotage considéré comme un des Beaux Arts]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
[Face à l’ordre moral, face aux politiques sécuritaires… mobilisons-nous !]
[Face à l’ordre moral, face aux politiques sécuritaires… mobilisons-nous !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2012 |
[Solidarité avec les sans-papiers !]
[Solidarité avec les sans-papiers !] / Mathieu M.. — Lille : GDALE (Groupe d’anarchistes de Lille et des environs : 2004-2013), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Après le 19 mars, on continue la lutte !]
[Après le 19 mars, on continue la lutte !]. — Lyon : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [21 ?] × [30 ?] cm.
sources :
![]() [ 2009 ?] |
[Bloc contre la violence d’État]
[Bloc contre la violence d’État]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[Calais, no border camp, 23-29 juin-June]
[Calais, no border camp, 23-29 juin-June]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : noir , magenta , papier de couleur ) ; 35 × 50 cm.
sources :
[Contre le terrorisme d’État, organisons-nous !]
[Contre le terrorisme d’État, organisons-nous !] / Albert Foolmoon. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[En lutte contre les élites]
[En lutte contre les élites]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Manif, ne nous laissons pas terroriser par l’État !]
[Manif, ne nous laissons pas terroriser par l’État !]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2013 |
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]
[Soirée projection-débat Alexandre Marius Jacob]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]
[Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]
[Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]. — Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , rose , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Calais, le 09 juin 2010]
[Calais, le 09 juin 2010]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Calais, le 09 juin 2010]
[Calais, le 09 juin 2010]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Den Mut haben, zu rebellieren]
[Den Mut haben, zu rebellieren]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Droit dans l’mur ! « ADN »]
[Droit dans l’mur ! « ADN »]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]
[Können wir uns wirklich noch etwas vormachen ?]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[La Croix Rouge collabore aux expulsions : pas de fric pour les collabos]
[La Croix Rouge collabore aux expulsions : pas de fric pour les collabos]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[La répression se durcit, notre détermination aussi !]
[La répression se durcit, notre détermination aussi !]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.