répression

 

 

Affichage par année

447 affiches :

 

    [Stop kriminalisering van linkse groeperingen]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Stop kriminalisering van linkse groeperingen] / Johannes Van De Weert. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles), (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , magenta ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : répression  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Danemark
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : A koepel nieuwsbrief  ; Alternative libertaire (Belgique : 1976-2005)
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :

    [ texte (corps [fr] et titre [nl]) ; photo (perquisition/expulsion de logement/squatt) ; dessin (« Kijk! een terrorist!!! »/« Regardez, un terroriste ! » un policier surarmé montre du doigt un minuscule manifestant isolé avec « A cerclé » et drapeau noir) ]

    texte :

    Stop kriminalisering van linkse groeperingen

    [dessin]

    Le 27 octobre 1993, la gendarmerie organisait huit perquisitions dans les milieux libertaires de Gand.

    Le prétexte. La publication dans A koepel nieuwsbrief (La lettre du couple anarchiste) de deux revendications d’actions (des tags sur la façade et le blocage de la serrure avec de la colle forte) et d’un article de presse relatant le jet de cocktail molotov contre le consulat du Danemark à Gand. Toutes actions en solidarité avec les manifestants qui, en mai dernier, avaient essuyé le tir des policiers à l’occasion du deuxième référendum sur le Traité de Maastricht.

    En bref, ce 27 octobre à Gand. Quatre perquisitions le matin. Dans deux cafés qui vendaient le bulletin… avec saisies de machines à écrire. Une perquisition, avec garde à vue de 7 personnes et, l’occasion faisant le larron, le vidage (par les fenêtres, le mobilier et le reste…) du squatt de la Slinkemolenstraat 40/47.
    Une à l’ancienne adresse du Centre de Documentation Libertaire qui, par chance, venait de déménager. Et encore quatre perquisitions l’après-midi.
    Une, toujours à la recherche du Centre de documentation (introuvable !!!) et trois autres aux domiciles de personnes suspectées de « connexions anarchistes ».
    Le 25 novembre les libertaires organisaient une manifestation pour protester contre la criminalisation des groupes de gauche. Contact : BP 244, 9000 Gand.

    Une affiche éditée en solidarité par le journal Alternative libertaire
    Abonnez-vous - 2, rue de l’Inquisition, 1040 Bruxelles ★ Un numéro gratuit sur demande au 02/736.27.76


    traduction :

    Stop à la criminalisation des groupes de gauche


    sources :

    L’affiche parait également insérée dans Alternative libertaire n° 158 (décembre 1993).







    [Joyeuses fêtes… avec la police pour votre sécurité… toute l’année]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Joyeuses fêtes… avec la police pour votre sécurité… toute l’année]. — Lausanne : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : luttes urbaines  ; répression  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Rézô
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (dénonciation contre les abus policiers et appel au soutien pour la sauvegarde de l’Espace) ; photo (évacuation de l’Espace par la police) ]

    texte :

    Rézô

    Joyeuses fêtes…

    avec la police pour votre sécurité…

    Nous occupons depuis plus d’une année une ancienne carrosserie au ch. de la Colline 2. Nous y organisons des concerts, des bouffes populaires, des débats, etc. Le mardi 13 décembre parce que nous nous opposions pacifiquement à la destruction abusive de l’ensemble des halles de notre Espace Autogéré, la Municipalité rose-verte nous a envoyé des dizaines de flics en tenue anti émeute, armés de boucliers, de matraques, sans compter les flics en civil.

    Le municipal des Travaux Schilt et le chef de la police Hagenlocher assistaient au "spectacle". Cette agression policière a été accompagnée de coups et de vexations. Les femmes ont eu droit en prime à des remarques sexistes du genre "elle s’excite la petite chatte" et à des attouchements. Comment se fait-il que des milliers de francs soient disponibles pour la répression alors que les caisses sont vides lorsqu’il s’agit de la sauvegarde de notre lieu culturel ?

    Voilà en bref ce qui se passe lorsqu’on ne se soumet pas aux décisions arbitraires du pouvoir. Mais que l’on soit étranger, jeune, chômeur, squatter, cycliste ou plus simplement si l’on nourri encore quelque espoir quant à la possibilité de changer cette société d’exploitation, l’ordinaire policier n’est guère plus ragoûtant. Nous en avons assez de subir les sempiternels fouilles et contrôles d’identité, de voir pénétrer les flics dans nos appartements sans mandat, de nous faire photographier et filmer sous toutes les coutures. Le mardi 13 décembre ces derniers ont même tenter de nous empêcher d’assister au Conseil Communal où une interpellation concernant les événements de l’après-midi avait été déposée, prétextant que la séance n’était pas publique ! ? Il a fallu l’intervention de conseillers communaux pour que nous puissions finalement entrer.

    Dénonçons l’arbitraire policier
    Soutenons la lutte pour la sauvegarde de l’Espace Autogéré

    …Toute l’année


    sources :
     









    [Violence, qui sont les irresponsables ? Manifestation de soutien]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Violence, qui sont les irresponsables ? Manifestation de soutien]. — Genève : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 62 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; répression  ; solidarité  ; violence
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (répression ayant suivi les protestations contre le défilé militaire) dans un cadre, du Mouvement pour la levée des inculpations ]

    texte :

    Violence, qui sont les irresponsables ?

    Manifestation de soutien

    Mardi dernier, le 21 novembre 1995, des affrontements violents ont opposés policiers et manifestants protestant contre le défilé militaire. Les autorités accusent des « provocateurs 7 et « casseurs professionnels ». Pourtant, des centaines de personnes ont participé à ces évènements pendant cinq heures et sept des neuf inculpés sont des mineurs.

    Les provocateurs sont les colonels Duchosal et Ramseyer et le reste du Conseil d’État qui ont voulu imposer une démonstration de force militaire dans une ville qui a voté l’abolition de l’armée, qui se souvient encore des massacres de 1932, une ville où l’on a pu récolter en deux semaines 10.000 signatures pour l’interdiction de ce défilé. Les heurts étaient prévisibles et même prévus par la police, qui s’est exercée avec ses hélicoptères, qui a réservé toute une section des urgences de l’hôpital pour les blessés et qui a mobilisé la totalité de ses effectifs. Parallèlement, on annonce la mise sur pied d’une police militaire habilitée à intervenir contre des civils !

    Pendant la manifestation, la police est intervenue avec une violence gratuite dont on a pu savourer quelques exemples à la télévision. Volonté délibérée de la hiérarchie ou émeute policière ? L’un et l’autre sont graves. Dans ces circonstances, comment s’étonner que des jeunes réagissent violemment à une telle violence institutionnelle ?

    Par conséquent, nous demandons la libération des détenus et la levée des inculpations.

    La provocation, c’était le défilé.

    Mouvement pour la levée des inculpations

    Les casseurs sont au Conseil d’État.
    Solidarité contre la violence d’État.

    Samedi 25 novembre - zone piétonne du Mt-Blanc - 14 h 30


    sources :
     



    [Drogues, légalisons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Drogues, légalisons]. — Nantes ; Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Nantes, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 72 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : censure  ; criminalité et délinquance  ; drogue  ; répression  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (personnage derrière une prote barreautée de prison) ]

    texte :

    Drogues

    Nous condamnons la prohibition car :

    • elle entretien une mafia étatique et privée qui dynamise la marché ;
    • elle marginalise les usagers (délinquance, prison, …) ;
    • elle introduit des produits coupés encore plus toxiques ;
    • elle empêche, par le mensonge, toute politique sérieuse d’information et de prévention.

    Nous voulons :

    • un système coopératif afin que les drogues ne puissent pas devenir officiellement, comme l’alcool et le tabac, un marché juteux empêchant toute prévention ;
    • des produits purs et des produits de substitution avec une politique d’accompagnement et de soutien ;
    • un changement de société car le système capitaliste engendre une société de « consommation », une société toxicomaniaque et inégalitaire.

    Légalisons

    FA — Fédération anarchiste - 145, rue Amelot - 75011 Paris — FA


    sources :

    Affiche annoncée dans Le Monde libertaire n° 1042 (9-15 mai 1996).


    1998
    Affiche liée





    [Día internacional contra la brutalidad policíaca 1998]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Día internacional contra la brutalidad policíaca 1998]. — México Mexico : Acción Libertaria (Mx) : Cambio radical (Mx) : Juventudes libertarias Ricardo Flores Magón : Mujeres libertarias (Mx) : Pensamientos unidos, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 55 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : Mexique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; gravures (manifestants et policiers) ]

    texte :

    Militar o policía.... la misma porquería

    Sábado 14 de marzo

    Día internacional contra la brutalidad policíaca 1998

    La policía fue y sigue siendo cada día mas un instrumento que los estados utilizan de manera represiva contra los que no son parte de los privilegiados. La policía pública y la policía privada, son los verdaderos guardianes de la propriedad privada del kkkapital.

    La policía monta su poder y su fuerza en su impunidad.
    ¿Cual ciudadano puede permitirse ofender sin ser molestado ?
    ¿Cual funcionario puede permitirse tortura sin piedad ?
    ¿Quien puede permitirse matar por error o accidente ?
    La policía

    Toma parta en el
    día internacional contra la brutalidad policíaca
    Asiste a la marcha este sábado 14 de marzo
    La cita es en el Tianguis Cultural del Chopo (a un costado de la estación de tren Buena Vista) a las 16:00 hrs, para luego tomar la Av. Insurgentes y culminar frente a la Secretaria de Protección y Vialidad del DF. (Glorieta del metro Insurgente

    UPL : colectivos : Acción Libertaria, Cocina popular, Juventudes libertarias Ricardo Flores Magón, Mujeres libertarias, Pensamientos unidos, Sociedad en decadencia, Cambio radical, y colaboradores independientes.


    sources :
     








    [Contre le monde de l’argent et des lois]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre le monde de l’argent et des lois]. — Paris : Sans patrie, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 65 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  : Passamani, Massimo
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin style BD (femme brisant une vitre) ]

    texte :

    Contre le monde de l’argent et des lois

    Il y a de plus en plus d’indésirables dans le monde. Il y a trop de femmes et d’hommes pour qui cette société n’a prévu qu’un rôle : celui de crever.
    Isolés, ils servent à faire croire aux citoyens se prétendant tels qu’ils ont une réelle vie commune (entre les paperasses de l’autorité et les rayonnages des marchandises).
    Immigrés, ils servent à alimenter l’illusion d’avoir des racines chez les pauvres seuls avec leur néant, au bureau, dans le métro ou devant la télévision.
    Clandestins, ils servent à rappeler que la soumission salariale, ce n’est pas le pire — il existe aussi le travail forcé et la peur qui serre le ventre à chaque contrôle de routine.
    Expulsés, ils servent à renforcer sur tous les réfugiés économiques du génocide capitaliste, le chantage du bannissement vers une misère sans retour.
    Prisonniers, ils servent à menacer avec le spectre de la punition ceux qui ne veulent plus de cette minable existence.
    Extradés, en tant qu’ennemis de l’État, ils servent à faire comprendre que dans l’internationale de la domination et de l’exploitation, il n’ y a aucun espace pour le mauvais exemple de la révolte.
    Pauvres, isolés, étrangers partout, incarcérés, hors-la-loi, bannis : les conditions de ces indésirables sont de plus en plus communes.
    Citoyens ou étrangers, innocents ou coupables, clandestins ou réguliers : ces distinctions de codes étatiques ne nous appartiennent pas. Pourquoi la solidarité devrait-elle respecter ces frontières sociales, alors que les pauvres sont continuellement trimballés de l’une à l’autre ?

    Recherché dans le cadre d’un procès contre plusieurs dizaines d’anarchistes en Italie — bâti sur une « bande armée » inexistante et avec l’appui d’une fausse « repentie » — Massimo Passamani a été arrêté et incarcéré à Paris. Une fois celui-ci relâché, l’État français a décidé de signer un décret d’extradition à son encontre.

    La menace de ce décret est une épée de Damoclès suspendue une fois de plus, au dessus de la tête d’un irrégulier. Elle nous confirme l’alternative qui nous attend partout en Europe sous l’ombre du contrôle unifié : la domestication ou la matraque policière.

    Mais les codes et les fichiers de tous les pouvoirs ont un défaut : c’est de la masse anonyme que sortent les mutinés de l’esprit et de l’action.

    Aucun contrôle ne peut nous empêcher de franchir les frontières qui séparent la résignation de la révolte.

    Contre toutes les expulsions, contre l’extradition de l’anarchiste italien Massimo Passamani

    Pour plus d’informations : Sans Patrie - c/o TCP - 21 ter rue Voltaire 75011 Paris / passemuraille@free.fr


    sources :
     





    [Otoño 2001 libertario : noviembre, diciembre, enero]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Otoño 2001 libertario : noviembre, diciembre, enero] / Frantisek Kupka. — Madrid : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; autogestion  ; culture  ; émigration et immigration  ; répression  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Ayala, Angel  ; Bechis, Marco  ; Embid, Alfredo  ; García, Eduardo  ; González, Pascual  ; Revuelta, Manolo  ; Reyero, Julio  ; Sigüenza, Ana  ; Torres, Javier
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (tiré de L’Homme et la terre : couple soulevant ses enfants vers l’horizon [avec un « A cerclé »]) de Kupka ]

    texte :

    Otoño 2001 libertario

    Noviembre

    16 — Guerra y terrorismo
    ponentes : Manuel Revuelta (periodista experto en asuntos internacionales) y Alfredo Embid (coalición para la abolición de las armas radioactivas)

    23 — Anarcosindicalismo y anarquismo hoy
    ponentes : Ana Sigüenza (secretaria general de la CNT) y Pascual González (FAI)

    Diciembre

    5 — Represión a los movimientos ecologistas
    ponentes : Solidarios con Itoiz de Madrid y Asamblea de casas okupadas de la Punta

    14 — Inmigración de los barrios, inmigración en el tajo
    ponentes : escuela de adultos “La Prospe” y grupo de inmigración de CNT de Madrid

    21 — Presentación de “Gladio, la espada de la contrainsurgencia”
    ponente : Julio Reyero (Colectivo libertario Amor y Rabia)

    Enero

    4 — Proyectos de autogestión urbana
    ponentes : Queimada ediciones, distribuidosra La Idea (sin dios) y potencial hardcore

    11 — Eduardo García, un año de reclusión
    ponentes : Eduardo Gracía y Cruz negra anarquista

    18 — Sintel, la historia
    ponente : Angel Ayala (ex-trabajador de Sintel)

    25 — Terrorismo de estado
    proyección de la película “Garaje Olimpo” (Marco Bechis, 1999) debate posterior

    febrero

    1 — Mimo-teatro : “Mimus, especie en peligro de extinción”
    actuación del mimo Javier Torres a las 20 horas

    durante todas las jornadas se podrá ver una exposición de fotografías de la lucha mantenida por los trabajadores de Sintel

    todas las charlas tendrán lugar a las 19:30 horas en los locales de CNT en la pza. Tirso de Molina 5, 2° izq. 28012 Madrid

    CNT AIT


    sources :
     


    image indisponible

    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; économie : transports  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro franc, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    […]


    sources :

    Affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.


    [ 2013 & ante]
    Affiche liée






    [Libertad para Carlos]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Libertad para Carlos]. — [S.l.] : CNT_ (España), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 28 × 62 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : économie : mondialisation  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Martin Martinez, Carlos
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (sur Carlos Martin Martinez emprisonné après le sommet de Salonique) ; dessin (homme enchainé) ]

    texte :

    Libertad para Carlos

    represión - montajes - mentiras - torturas - aislamiento - acosos

    Carlos Martín Martínez, militante anarquista de la CNT, se encuentra encarcelado tras las manifestaciones y las protestas en la ciudad Griega de Salónica, tras la Cumbre de los Jefes de Estado de la Unión Europea. Junto a el otros seis activistas anticapitalistas, los cuales deben hacer frente a un burdo montaje de la Fiscalía, el Gobierno y la Prensa, acusándoles de pertencer a una supuesta "red de terroristas internacionales". Carlos junto a l@s tresmil manifestantes son anarquistas que fueron a Grecia a protestar contra el capitalismo globalizado y el nuevo Orden Mundial, aprovechando la presencia de los responsables directos de las injusticias sociales y de la muerte de millones de personas. la Fiscalía a usado a Carlos y al resto de encarcelados para "dar ejemplo", y as ; intentar evitar que sigamos mostrándoles nuestro rechazo más enérgico y que hagamos frente como durante estos últimos años en todos los rincones del planeta. Mientras tanto y pese a la difícil situación represiva, no cejaremos un sólo instante en plantear la cosas tal y como son, por mucho que les duela. Animamos y llamamos a la solidaridad y al compromiso directo en el cambio integral de esta sociedad, hacia una sin gobernates ni gobernad@s, sin ricos ni pobres, sin explotadores ni explotad@s.

    [logo : drapeau taillé] CNT-AIT

    Solidaridad con los 7 compañeros encarcelados


    sources :
     




    [VI jornadas anarquistas en Cornellá : contra la criminalización del movimiento libertario]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    VI jornadas anarquistas en Cornellá : contra la criminalización del movimiento libertario]. — Cornellà de Llobregat ; Esplugues de Llobregat : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 61 × 85 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; culture  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; photomontage (œil reflétant un manifestant arrêté par deux policiers anti-émeute) ]

    texte :

    VI jornadas anarquistas en Cornellá

    Diciembre 2004

    Contra la criminalización del movimiento libertario

    Viernes 3
    Presentación e inauguración de las jornadas
    20.00 Charla, Renta Básica
    después… Música entre compañer@s…

    Sábado 4
    Por la dignidad de l@s trabajadores/as, l@s excluid@s, l@s parad@s…
    12:00 Charla, Proyectos de autogestión de la salud
    Ponentes : Proyecto libertario Flores Magón (ISO Italia)
    14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
    16:30 Charla, Astilleros. Un ejemplo de lucha obrera.
    Ponentes : Sección sindical de CNT de Astilleros de Puerto Real

    Domingo 5
    Nuevas estrategias de lucha social y obrera
    12/00 Charla, Autonomía Obrera. Capitalismo y movimientos de resistencia global
    14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
    16/30 Charla : Lucha en la Red. Activismo digital y telemático, poder y contrapoder en el ciberespacio.
    Ponentes : Kernel Panic

    Lunes 6
    Anarcofeminismo y sexualidad libre
    12:00 Taler, Sexualidad pública. Subvirtiendo la normalidad existente
    Ponentes : Femattack
    14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
    16:30 Pase de vídeo : Fucking Amal
    18:00 : Charla : Teoria queer : Nuevos espacios para la sexualidad creativa

    Martes 7
    contra la represión de las ideas, las cárceles, los centros de internamiento…
    12:00 Charla, Sistema penal y represión carcelaria
    Ponente : Observatori del sistema penal i el drets humans (UB)
    14:30 Ágape libertario. Habrá de todo para tod@s. 5 euros
    16/30 Pase de vídeo : Justicia social, el camino para la seguridad (documental sobre la reforma del código penal).

    Sábado
    Concierto 22:00 4 euros
    Puach (Valladolid) — Escuela de odio (Asturias) — Rabia Positiva (bcn) — 7 Grillos (Viladecans)

    Domingo
    Concierto 22:00 gratix
    Insurgentes (Toledo) — Gracia a Dios (Knlla- — Kuarto de Kilo (bcn)

    Fiesta con DJ’s 23:00 gratix
    reaggae, flamenco, ska…

    Martes
    Concierto 22:00 6 euros
    Javi Chispes. Canciones y componentes de maniática, banda Jachis y la furia.
    Terrorismo Sonoro (Hospi)
    Pandilla Basuro (Mataro)

    Los montajes policiales y la represión de las ideas…

    Todos los actos se realizaran :
    Colegio publico Torres i Bages c/ Juan Fernández s/n
    Metro - L5 Cornellà/Tranvia - El Padró
    RENFE - Cornellà/Bus - 67 68 57 N14 N13

    Venta de libros - CD’s - Camisetas
    distribuidora El Grillo libertario
    www.nodo50.org/elgrillolibertario
    Apdo. 287-08840
    elgrillolibertario@nodo50.org

    [logo : drapeau taillé touge et noir] CNT-AIT
    Organiza CNT Cornellá
    C/ Llinars 44 - Apdo : 287, 08940 Cornellà
    Tel/Fax : 933755853
    www.cnt.es/cornella - cntcornella@cnt.es


    sources :
     








    [Rafles dans nos quartiers]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rafles dans nos quartiers]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (avec lettrines reprenant le mot « RAFLES ») ]

    texte :

    Rafles dans nos quartiers

    Rafles de sans papiers qui passent inaperçues tant nous sommes habitués à l’occupation policière permanente de nos rues
    — Repérer ce type de contrôle d’identité pour s’y opposer

    Arrestations massives opérées à l’improviste dans des quartiers ciblés Magenta, Stalingrad, Barbés, Quai de la gare, Belleville…
    — Appeler des amis, constituer des réseaux téléphoniques

    Flics en petits groupes en uniformes et en civil, qui contrôlent dans la rue, dans les cafés, les couloirs et les sorties de métro
    — Faire rebrousser chemin discrètement aux gens menacés

    Longueur de l’opération : de 30 minutes à 3 heures les cars stationnés non loin sont remplis jusqu’à ce que le quota du jour soit atteint
    — Limiter ainsi le nombre d’arrêtés donc d’expulsions

    Enfermement en centre de rétention puis expulsion des personnes arrêtées une cinquantaine environ
    — Expliquer ces rafles et les rendre visibles aux veux de tous

    Sabotons la machine à expulser !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Rafles-dans-nos-quartiers : « Trouvé sous forme de tract, auto-collants et affiches dans plusieurs villes depuis 2007/2008 » (16 novembre 2007).



    [Beau comme des centres de rétention qui flambent]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]

    texte :

    Beau comme des centres de rétention qui flambent

    Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.

    En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.

    Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.

    La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.

    Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.

    Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.

    Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.

    Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.

    Sabotons la machine à expulser !

    Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).


    2008
    Affiche liée


    [Beau comme des centres de rétention qui flambent]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Beau comme des centres de rétention qui flambent]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (incendie du centre de rétention administrative de Vincennes) ]

    texte :

    Beau comme des centres de rétention qui flambent

    Le 22 juin 2008, les deux bâtiments du centre de rétention de Vincennes (Paris) sont cramés. Après des mois de tension et d’affrontements, comme au Mesnil-Amelot et ailleurs, des sans-papiers y ont réalisé la seule réforme possible des prisons : leur réduction en cendres.

    En Espagne, comme en Italie ou en Belgique (incendie du centre 127bis de Bruxelles le 24 août 2008), des émeutes viennent aussi régulièrement troubler le bon ordre de ces camps de la démocratie marchande.

    Les centres de rétention ne sont qu’un des maillons de cette société carcérale. D’un système qui voudrait tous nous voir soumis ou résignés pour que les puissants continuent de s’enrichir sur la misère, les désastres écologiques ou la guerre.

    La question des prisons est donc d’abord celle du monde qui les produit : il n’existe pas d’enfermement décent, comme il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Face aux contrôles et aux rafles de sans-papiers dans les rues et les transports, face au racket spéculatif des tauliers, contre l’exploitation qui nous tue à la tâche, il est temps que la peur change de camp.

    Cinq sans-papiers sont actuellement incarcérés, accusés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes. Peu importe qu’ils soient coupables ou innocents : ce sont des otages destinés à effrayer tous ceux qui décident de relever la tête et de renvoyer à la gueule de l’État un peu de la violence qu’il nous fait subir au quotidien.

    Ce qui est sûr, c’est que l’enfermement est une raison suffisante en soi pour se rebeller contre les geôliers et leurs murs barbelés. Ce qui est certain, c’est que tout individu qui a encore le goût de la liberté et la rage au cœur ne peut que se reconnaître dans ces révoltes dévastatrices.

    Et comme la machine à expulser n’est pas abstraite mais s’incarne dans des hommes et des structures, chacun pourra trouver matière à exprimer sa solidarité de la façon la plus adéquate.

    Des partis de gauche comme de droits aux compagnies aériennes qui déportent comme Air France, des constructeurs de camps comme Bouygues et Eiffage à leurs cogestionnaires comme la Croix-Rouge, des balances comme la BNP aux contrôleurs des sociétés de transport public, les rouages se trouvent à chaque coin de la rue.

    Sabotons la machine à expulser !

    Solidarité active avec les sans-papiers accusés de l’incendie de Vincennes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Beau-comme-des-centres-de,106 « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, fin 2008 » (25 février 2009).


    2008
    Affiche liée


    [Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 59 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce) ; photo (une fillette blanche et un garçonnet noir jouent dans la rue) ]

    texte :

    Brisons la routine macabre de la machine à expulser !

    Dans le monde entier, la guerre et la misère sont utilisées pour renforcer la domination et maintenir le règne de la marchandise. Des millions d’hommes et de femmes tentent alors de fuir leur condition et atterrissent dans les métropoles occidentales… quand elles ne meurent pas devant les fils barbelés des frontières, noyées en méditerranée, asphyxiées dans des avions, ou encore abandonnées dans le désert par des trafiquants d’êtres humains ou par la police.

    Ceux qui parviennent jusqu’ici sont alors accueillis par la terreur quotidienne des rafles et des contrôles dans la rue, par des conditions de vie qui rappellent souvent celles qu’ils ont fuies, par des centres fermés et le racisme qui fait d’eux un ennemi social. Ces indésirables ne servent pas seulement à alimenter la machinerie capitaliste à la recherche d’une exploitation sans frontières, mais aussi à faire figure d’étranger pour canaliser le mécontentement des prolétaires vers leurs semblables.

    L’intégration dans des communautés autoritaires fondées principalement sur la religion et le nationalisme empêche qu’ils ne s’attaquent à ce qui les opprime. Alors que désormais, il n’y a que dans la révolte que les indésirables, d’ici et d’ailleurs, pourront se reconnaître et forger des complicités pour affronter ce monde.

    En effet, la machine n’est pas si bien huilée que ça. Dans les aéroports, chaque jour, des sans-papiers résistent contre leur expulsion. Dans les centres fermés, comme dans les prisons, les enfermés se mutinent, s’évadent et brisent ainsi la routine macabre de la ma-chine à expulser. Dans les rues, où règnent la police et le racisme, des contrôles tournent parfois au vinaigre, peu à peu les indésirables sortent de l’ombre et rompent la cadence de la résignation.

    Les gérants et les collaborateurs de la machine à expulser ne sont pas anonymes : l’Office des Étrangers, Fedasil, la police, les contrôleurs dans les transports en commun, tous les partis politiques, les entreprises comme Sodexho, la Banque de la Poste, ISS Cleaning, Horeservi, SN Brussels Airlines, et des institutions comme Caritas et la Croix Rouge participent à la gestion de ces véritables camps de déportation.

    Diffusons la révolte...

    Détruisons les centres fermés et les prisons


    sources :