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195 affiches :

 

    [Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    notes :
    descriptif :


    texte

    illustration (sorte de “Big Brother”) par ?

    texte :

    Lille 21 & 22 janvier 2014

    Contre la société de contrôle

    Refusons le forum de la cybersécurité

    Les polices en rêvaient, la technologie l’a fait : la surveillance est totale

    Six mois après les “révélations” sur la NSA, policiers, militaires et industriels de l’armement organisent un Forum internationale de la cybersécurité. Même la Stasi n’aurait pas imaginé un tel rassemblement pour exposer ses dernières trouvailles en matière de contrôle des populations : géolocalisation, écoutes, fichage, quand la vie privée n’existe plus, le pouvoir est sans faille.

    Face à l’œil inquisiteur de l’État, nous agissons. Nous refusons que les professionnels de la contention sociale se réunissent. Nous refusons leurs guerres économiques et militaires, intérieurs et extérieures ?

    Nous voulons vivent libres


    sources :
     


    [Crise : l’État et les entreprises se serrent les coudes ; nous, on se serre la ceinture]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Crise : l’État et les entreprises se serrent les coudes ; nous, on se serre la ceinture]. — [S.l.] : Alès : Exploités énervés, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , gris , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.

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    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (rouge et noir sur fond gris) ; dessins (personnage broyé par des engrenages avec : en entre : « Salaires, Conditions de travail, Aides sociales, Retraite » et en sortie : « Factures, Prix, Impôts, Chômage » ; dessin montage d’une foule, poings levés et drapeaux, vue de dos : manifestation ou concert) ]

    texte :

    Crise

    L’État et les entreprises se serrent les coudes

    Nous, on se serre la ceinture

    La crise, c’est quoi ? La crise est une réalité pour nous et pour les capitalistes. Plus encore, il ne peut y avoir de capitalisme sans crise, tant ce système est traversé de contradictions : les capitalistes ont besoin de faire toujours plus de profits, de produire toujours plus, sans quoi leurs entreprises disparaîtraient dans la concurrence effrénée qu’elles se mènent. L’essentiel des profits provient de la vente de la production. Et, en bout de chaîne, qui achète ? L’ensemble de la population, les travailleurs, les chômeurs... Nous, dont on baisse en permanence les revenus ! Avec la hausse des prix, la baisse des salaires et des allocations est l’un des levier du capital pour maintenir ses profits dans la crise. Ces politiques d’austérité sont nécessaires aux capitalistes mais dans le même temps, elles induisent une baisse de la consommation, alors qu’on produit toujours plus. C’est une des contradictions du capitalisme qui mène à la crise de surproduction. Les profits n’augmentent plus suffisamment et, pour y pallier, les capitaux sont massivement investis dans les marchés financiers. Crise de la finance, des sub-primes, de la dette... ne sont que des facettes de cette crise du système.

    Si la part de la finance a augmenté, au fond, les profits boursiers ou non, proviennent du travail humain. Certains possèdent les moyens de production (usines, entreprises...) et la très grande majorité vend ses mains ou son cerveau pour un salaire. Un capitalisme plus ou moins financiarisé n’enlève rien à l’exploitation que l’on subit.

    La régulation du capitalisme est impossible tant la crise est un temps de son fonctionnement. Les entreprises les moins compétitives coulent, le capital se concentre, le coût du travail doit baisser. Quand cela ne suffit pas, les guerres, les destructions massives de moyens de production, sont l’aboutissement de la crise et relancent l’économie. La crise actuelle créé les mêmes tensions que celle de 1929 : renfermement national, identitaire, populisme, guerre contre les pauvres et de tous contre tous…

    Et l’État dans tout ça ? Depuis son apparition, sa fonction, qu’il soit de gauche, de droite, d’extrême gauche ou d’extrême droite, est de garantir la survie du système. Dans les périodes fastes, cela passe par une relative redistribution qui soutient la consommation et garantit la paix sociale. Dans la crise, l’État tente différentes politiques économiques : keynésienne, libérale ou protectionniste sous différentes formes : totalitaire ou démocratique. Actuellement, il abandonne le social pour un soutien direct aux entreprises. C’est l’austérité ! L’État baisse le coût du travail : nos salaires et nos aides sociales. Il empêche les révoltes et devra mettre au pas le prolétariat. L’État ne remet jamais en cause les fondements du système capitaliste : l’exploitation de l’Homme par l’Homme.

    Qu’est-ce qu’on peut faire ? Seule la disparition de ce système nous sortira de ce retour permanent de crises et des tensions qui en résultent. Chaque lutte dans une entreprise en grève, chaque bagarre de chômeurs face aux administrations, chaque fois que des voisins s’entraident face à un huissier, chaque révolte contre un dictateur (Tunisie, Égypte) ou une politique d’austérité (Brésil, Espagne)... construit un rapport de force qui permet d’entrevoir la fin du système capitaliste. Ici comme ailleurs, lutter collectivement, c’est sortir de la résignation.

    Leurs profits, c’est nos galères
    Face à la crise, pas d’alternative

    Guerre sociale contre le capital et ses larbins


    sources :

    http://exploitesenerves.noblogs.org/serie-daffiches-a-commander/


    [ca  2010]

    [s.d.]

    2014

    [ 2014 & ante]

    2011

    2009

    [ 2007 & ante]

    [ 2014 & ante]

    2009

    [ 2014 & ante]

    [ 2007 ?]

    [ 2007 ?]

    [ca  2010]

    2015

    [ 2018 & ante]

    [ca  2008]
    Affiches liées



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 décembre 2014]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 décembre 2014]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : alimentation
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    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (repas en plein air avec maisons personnifiées et fantômes (?) couverts de slogans ; avion de guerre détruit en morceux) par ?]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 28 décembre 2014

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Nous rejoindre : place Marulaz : 11h30 participer à l’installation

    Venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    de la bouffe, pas des bombes
    des maisons pas des prisons
    des écoles pas des casernes
    des soins pas des potions

    food not bombs

    mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2014/12/resto-trottoir-de-decembre.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 septembre 2014]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 28 septembre 2014]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; économie : mondialisation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (personnage maladif criant « Vive le bœuf aux hormones !! …et les OGM ! …et le poulet au chlore ! …et les porcs à la Ractopamine ! », sur fond de pollutions nucléaire et autres) ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 28 sept. 2014

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
    + infokiosque : infos, tracts et brochures…

    Rentrée libertaire
    Projection le 28-09 « Ne vivions plus comme des esclaves »
    + ballade à vélo de Vélo-Campus
    départ après le repas du Resto Trottoir

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Le traité transatlantique

    Le 14 juin 2013, la Commission européenne a obtenu mandat de la part de tous les États membres pour négocier avec les États-Unis un grand marché transatlantique (TAFTA). Cet accord cherche à instaurer un vaste marché de libre-échange entre l’Union européenne et les États-Unis. Négocié en secret, ce projet ardemment soutenu par les multinationales leur permettrait d’attaquer en justice tout État qui ne se plierait pas aux normes du libéralisme, mettant en péril la sécurité alimentaire, la médecine, la culture, l’environnement…

    mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2014/09/chouette-cest-lautomne-et-vive-le-soleil.html



    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 novembre 2014]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 30 novembre 2014] / Titom ; Albert Uderzo. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; économie : agriculture  ; économie : transports  ; nucléaire  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin, reprise d’une affiche (carte géographique avec aigle romaine aux couleurs de l’argent, de Vinci, du CNDP, etc., et présentation des « ZAD - zones à défendre ») d’après le village gaulois résistant d’Astérix d’Uderzo ; diverses vignettes par Titom (carottes et avions pour Nantes) et al. (autruche nucléaire pour Bure ; écureuil et CRS de 1968 pour Sivens) ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 30 nov. 2014

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Nous rejoindre : place Marulaz : 11h30 participer à l’installation

    Venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    la ZAD est partout !

    À notre-Dame-des-Landes autour d’un projet d’aéroport au nord de Nantes se joue depuis 2007 la plus grande bataille écologique française. 200 ha de bocages en danger. Maître d’ouvrage : Vinci. Coût : 556 millions d’euros.

    À Bure, l’ANDRA (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs) prépare le « Centre industriel de stockage des déchets radioactifs » (Cigéo).
    But : enfouir pour des milliers d’années, à Bure, dans la Meuse, des milliers de tonnes de déchets nucléaires. Mais le projet présente de nombreuses failles techniques sans solution à ce jour. 15 à 36 milliards d’euros.

    Au bord du Tescou, dans le Tarn, des citoyens se mobilisent pour sauver une zone humide boisée. Elle est menacée par un projet de barrage pour l’irrigation de quelques exploitations agricoles. Le 1er septembre 2014, les travaux de déboisement ont commencé sur le site malgré la présence de plusieurs centaines de militants. Le 26 octobre, la gendarmerie tue un jeune écologiste, Rémi Fraisse, avec une grenade offensive. Les travaux sont suspendus depuis le 31 octobre.
    Maître d’ouvrage : CACG. Coût : 8,4 millions + 300 mille/an.

    Mais il ne faudrait pas oublier non plus :

    • le grand contournement ouest de Strasbourg
    • les LGV Lyon-Turin et Hendaye-Bordeaux-Toulouse
    • les autoroutes inutiles de Lyon-St Étienne, Gap-Grenoble, est-ouest d’Avignon
    • des Center Parcs démesurés à Poligny (Jura) et Roybon (Isère)
    • les fermes industrielles des 1000 vaches et les 250 000 poules dans la Somme
    • une centrale à bois surdimensionnée à Gardanne-Meyreuil (Bouches-du-Rhône)
    • des « Écocités » de bétonnages de zones maraîchères à Dijon et à Nice
    • des centres commerciaux s’installant sur des champs cultivés et peu partout comme récemment à Champagnole…

    … et encore bien d’autres projets inutiles / coûteux / dangereux que la CNDP (Commission Nationale du Débat Public) nous fait avaliser à grand renfort d’atouts pour la compétitivité et l’emploi.

    mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2014/11/resto-trottoir-de-novembre-sous-le.html


    2013
    Affiche liée



























    [Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pas de toit, pas de pitié, Il fait froid, on est chaud !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; répression  ; squatt  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (immeuble-poing levé face à des policiers anti-émeute accompagné de grues de chantier) par ?

    texte :

    Pas de toit, pas de pitié

    Il fait froid, on est chaud !

    Ces derniers jours, Lille s’est de nouveau illustrée par sa politique d’expulsions de squats en plein hiver. Le 4 janvier, c’est l’espace autonome L’Insoumise qui a été muré, rue d’Arras. Depuis septembre 2012, ce lieu, sans clients ni marchands, était à la fois une bibliothèque autogérée, un lieu de débats et une cantine populaire. Un lieu où s’élaborait une critique sociale face au rouleau compresseur capitaliste. Au-dessus c’était aussi une habitation collective. Quinze jours avant, à deux pas de là, c’est un squat qui abritait des mineurs isolés du parc des Olieux qui a été évacué par le RAID.

    Le propriétaire des lieux, le CHR, et la préfecture préfèrent voir ces mineurs dans la rue plutôt que sous un toit. Au passage, tout le matériel de cours, de cuisine et de vie quotidienne, rassemblé depuis des mois par le collectif des Olieux a été confisqué, histoire de leur pourrir encore plus la vie. En plus d’être des lieux de vie ces espaces étaient des lieux de rencontres, des lieux ouverts pour s’organiser, pour lutter, pour respirer ensemble hors du cadre marchand et institutionnel. S’organiser, lutter, voilà ce qui déplaît.

    Deux expulsions de lieux collectifs à Moulins, à quelques jours d’intervalle, le message est clair : le quartier n’est pas à ceux qui l’habitent mais aux gestionnaires de la mairie, aux spéculateurs et promoteurs immobiliers.

    Chasser la plèbe, aseptiser le quartier, contrôler chaque espace pour engranger un maximum de bénefs. Quitte à mettre des gens à la rue en plein hiver et à laisser des maisons vides le temps que monte le prix de l’immobilier. Le 10 rue d’Arras et le 32 rue de Fontenoy sont désormais vides, comme des centaines de maisons et d’immeubles à Lille qu’on laisse vacants pour les intérêts du marché. Il y en aurait bien assez pour loger toutes celles et ceux qu’on dit sans domicile fixe pour ne pas dire sans domicile tout court, à la rue.

    Ces jours de solde et de glorification du commerce ne nous font pas oublier les effets désastreux de la logique marchande.

    Pas de pitié pour le capitalisme, pas de pitié pour les expulseurs.

    Reprenons la rue pour crier notre colère !

    Rassemblement samedi 14 janvier, 18 h, Rihour


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article30574
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article3517


    2018
    Affiche liée

















    [Que viva la libertad ! : initiative pour une bibliothèque anarchiste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Que viva la libertad ! : initiative pour une bibliothèque anarchiste]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) ; Paris : Bibliothèque anarchiste Libertad : La Parole errante, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    vignette d’affiche (avec peinture d’oiseaux hurlants)

    texte :

    Que viva la libertad!

    Initiative pour une bibliothèque anarchiste

    À une époque où les livres comme les humains se voient de plus en plus réduits à la seule dimension marchande, la BIBLIOTHÈQUE LIBERTAD est un endroit dans lequel les écrits s’empruntent sans que l’argent ne soit une barrière. C’est également un lieu où se rencontrer et débattre, où expériences et perspectives peuvent se répondre, afin d’en finir avec un monde mortifère fondé sur des logiques d’exploitation et de domination.

    Lors des permanences du mardi, on peut venir chercher des livres et consulter sur place les archives, ou farfouiller dans l’infokiosque pour trouver tracts, brochures et publications anarchistes et anti-autoritaires.

    Régulièrement se déroulent des discussions, rencontres, présentations, débats autour d’une lutte, d’une révolte, d’une période ou d’un bouquin… autant d’occasions de quitter les chemins aliénants de la résignation et d’affiner ses critiques pour ici et maintenant.

    C’est aussi une façon d’aller à l’encontre d’un monde atomisant qui voudrait faire de nous des individus sans passé ni avenir, écrasés dans des cages qui taisent leur nom, en disposant d’un espace où les idées subversives peuvent s’inscrire dans une certaine continuité.

    À chacun de faire vivre cette bibliothèque à l’aune de sa propre conflictualité, de se l’approprier comme un moyen parmi d’autres, loin des programmes à défendre et de la propagande à distiller. Vers une liberté démesurée sans fric ni flics, sans maîtres ni esclaves, parce que tout est toujours possible.

    La BIBLIOTHÈQUE ANARCHISTE LIBERTAD est ouverte depuis juin 2010 à Paris au 19 rue Burnouf (Mo Belleville ou Colonel Fabien). Permanence tous les mardis de 17 h à 20 h.

    17 h : causerie
    Briser les chaînes technologiques

    Des technologies de l’information à celles de la surveillance, causerie sur leurs nouvelles formes et sur(tout) les perspectives d’action pour s’y opposer !

    Alors que la technologie prend une part toujours plus importante dans nos existences, ajoutant une couche de dépossession supplémentaire, elle y est invitée par un mécanisme de soumission plus ou moins volontaire. L’identification par reconnaissance faciale, le traitement massif des données — de nos téléphones aux axes de circulation —, le remplacement du contact humain par celui de la machine, sont autant de changements qui aboutissent à un contrôle toujours plus prégnant et efficace de nos comportements. À Hong Kong, les mâts des lampadaires intelligents sont sciés, en France ce sont des antennes relais et des armoires électriques ou de fibre optique qui prennent feu, notamment autour des manifestations gilets jaunes. Et si, pour se donner de l’air, on donnait de l’oxygène au feux des révolté-es…

    20 h : concerts prix libre
    REWINDER garage trash grunge I TABULA RAZA punk I LA MARMITE électro punk à chansons (Bxl)

    SAMEDI 16 NOVEMBRE 2019
    à LA PAROLE ERRANTE
    9 rue François Debergue
    MONTREUIL
    (métro Croix de Chevaux)


    sources :

    https://paris-luttes.info/que-viva-la-libertad-samedi-16-12826


    2019
    Affiche liée