1981

 

 

164 affiches :

 


























    [Protestation devant les libertaires du présent et du futur sur les capitulations de 1980]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Protestation devant les libertaires du présent et du futur sur les capitulations de 1980]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 65 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Axa_, Zo d’ (1864-1930)  ; Lutanie, Jean-Claude (1951-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte (de Jean-Claude Lutanie « un incontrôlé ») avec citations de Zo d’Axa et de Shakespeare ]

    texte :

    Protestation devant les libertaires du présent et du futur sur les capitulations de 1980

    « La solidarité de certains groupes révolutionnaires a l’ostentation de la charité ; elle demeure l’affligeant spectacle. Et de plus toutes les suspicions glissent, hargneuses, douchant le primesaut des élans. Les accusations se croisent. La dispute et l’invective l’emportent sur la discussion. La méfiance règne. »
    Zo d’Axa.

    1

    Un petit ressort s’est cassé dans la boîte à musique. L’air est toujours le même ; mais la musique a changé.

    2

    C’est l’hiver des idées. Ce qu’il restait de critique est désormais gelé.

    3

    Il ne reste plus que quelques gouttes de sang dans les artères des théories phtisiques. Depuis les pleurnicheries odieuses et spéciales, brevetées avec garantie d’un point de repère radical : Qui est le Juif ? Faurisson. Qui sont les terroristes ? Les seuls États polissons. Atmosphère douce !

    4

    Ce qui n’a pas été dépassé a pourri ; et les poubelles s’entassent, à côté des promesses de jeunesse non tenues.

    5

    C’est à ce bilan peu honorable qu’on doit, autant qu’à son offensive propre, le renforcement de l’ennemi.

    6

    Il y en a toutefois quelques-uns à qui leur propre poltronnerie et leur avarice fournit des arguments pour soutenir le contraire, et ils voudraient bien faire croire aux autres que d’être vil et lâche, c’est être fin et prudent, et ce qui est véritablement une crainte servile, ils l’attribuent généreusement à une sorte de patience prolétarienne.

    7

    Dans un tel climat, on constate inévitablement l’élargissement d’une couche périphérique de petit tapinage intellectuel.

    8

    It’s all in pieces, ail coherence gone.

    9

    Il est désormais dépourvu de sens de se demander dans quelle mesure l’enseignement des situationnistes est, à notre époque, théoriquement recevable et pratiquement applicable.

    10

    Toutes les tentatives pour rétablir la doctrine situationniste comme un tout et dans sa fonction originelle de théorie de la révolution sociale est aujourd’hui une utopie réactionnaire.

    11

    Toutefois, pour le bien comme pour le mal, des éléments fondamentaux de cet enseignement conservent leur efficacité après avoir changé de fonction et de théâtre.

    12

    Le premier pas à faire, pour remettre debout une critique révolutionnaire, consiste à rompre avec ce situationnisme qui prétend monopoliser l’initiative révolutionnaire et la direction théorique et pratique.

    13

    La révolte contre les conditions existantes est partout présente. Elle n’a pas encore de projet explicite et d’organisation parce que la place est prise encore en ce moment par l’ancienne politique révolutionnaire mystifiée, mensongère. Cette politique a échoué — et s’est renversée en son contraire répressif — parce que sa pratique échouait et se transformait en mensonge. Le projet révolutionnaire ne peut se refaire qu’avec excès ; il lui faut un nouveau maximalisme qui exige tout de la transformation de la société.

    « Si les arguments font couler la sueur, les preuves feront couler le sang. » Shakespeare.

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Affiche réalisée par Jean-Claude Lutanie (source correspondance Manon Lutanie) sur « papier volé ».

    Texte réédité en mars 2001 (300 ex.) : http://editionslutanie.fr/project/jean-claude-lutanie/










    [Rondel schule für Lebensnotwendige alternativen]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rondel schule für Lebensnotwendige alternativen]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ dessin (scènes de vie, de nuages, étoiles, arbres…) ; au recto bulletin de l’école avec texte explicatif ]

    texte :

    Rondel

    e.v.

    Schule für Lebensnotwendige alternativen

    Der moderne Mensch erfährt sich selbst nicht als Teil der Natur, sondern als eine von auBen kommende Kraft, die dazu bestimmt ist, die Natur zu beherrschen und zu überwinden. Er spricht sogar vom Kampf gegen die Nutur und vergißt dabei, daß er auf der Seite der Verlierer wäre, wenn er den Kampf gewänne.

    Zitat : E. F. Schumacher

    Pass Bloss AUE

    N. vmdenden vmschwenk

    U. Götz 81
    J. Schwarz 81


    sources :
     



    [scriviamo questo manifesto da san vittore !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    scriviamo questo manifesto da san vittore !]. — Milano Milan : Movimento dei detenuti di S.Vittore, ([…] in proprio). — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    testo

    texte :

    scriviamo questo manifesto da san vittore !

    perchè nella città di milano si sappia cosa dicono, fanno e vogliono i detenuti.

    questa è la voce dei detenuti !!!

    i giornali sono la voce del potere !
    i giornali dicono falsità : come sempre su tutte le lotte, i giornali su san vittore danno spazio solo alle guardie, aal direzione, ai carabinieri, alla magistratura, al governo.
    in realtà , a san vittore i detenuti stanno lottando da oltre un anno per conquistarsi una dimensione umana che gli è negata.
    è il carcere stesso che nega l’uomo !
    la violenza di cui si accusa i detenuti è soprattutto violenza subita dai detenuti, quotidianamente.
    perché il tenere uomini e donne in pochi metri quadrati per 20 ore al giorno è violenza. perché negargli identità, affetti, memoria, sesso, alberi, bambini, colori, significa negargli dignità umana, ed è quindi violenza !!!
    i detenuti, i "delinquenti" sono persone, come voi, che state leggendo ora !! hanno solo trasgredito la "regola", una regola fatta di sopprusi, violenza, poliziotti, disoccupazione, cassa integrazione, quartieri ghetto, case introvabili e schifose.
    i prigionieri, ciascuno a modo suo, non hanno accettato le regole imposte da altri uomini, questi sì veramente criminali, che detengono il potere, un potere profondamente anti-umano, che utilizza il sapere per trasformare l’intero pianeta in un immenso carcere, per distruggere la vita, prepararsi alla guerra atomica.
    oggi, invece, con la tecnologia di cui gli uomini dispongono è già possibile vivere la vita soddisfacendo i propri bisogni, realizzando i propri desideri, abolire lo sfruttamento dell’uomo sull’uomo.

    la lotta dei detenuti è lotta sociale, lotta di trasformazione, lotta di liberazione umana.

    per un mondo senza galere !!!
    il movimento dei detenuti di s. vittore
    6 settembre 1981

    non è vero quello che dicono la stampa e la televisione : a s vittore non c’è stato un semplice trasfrimento, ma un vero e proprio massacro ; i detenuti sono stati picchiati con estrema vilonza, tanto da mettere in pericola la loro vita (fratture, teste e denti rotti ; i detenuti rifiutati dai carceri dove erano stati trasferiti per le loro precarie condizioni fisiche ; detenuti messi in isolamento per non rendere pubblico l’effetto delle botte...).

    La maniera migliore per denunciare questo massacro è quello di pubblicizzare le loro idee e gli obiettivi della loro lotta.

    22/9/’81


    sources :
     



    [Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano]. — Carrara Carrare : Gruppi anarchici riuniti (Carrara), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , papier de couleur ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano e di tutti quelli che lottano per la casa

    Sembra che il problema della casa esploda d’un tratto, mentre è dall’introduzione della legge sull’equo canone che la situazione, già tutt’altra che rosea prima, si va deteriorando. Non è più possibile affittare case : l’unico modo per averne una è quello di comprarsela, per chi ha i soldi, o di occuparla per chi non li ha. Al di sotto delle esigenze che si sono venute a creare, le case popolari sono largamente insufficienti, mentre i contributi che i lavoratori si vedono trattenuti sulla busta paga sono puntuali, tutti i mesi. Questi giorni le occupazioni di case si succedono, tutte con motivazioni più che giustificate, che partono dalle precedenti condizioni abitative. Le recenti occupazioni di Codena e di Sorgnano assumono maggiore risonanza perchè ad essere occupate sono case che sarebbero state assegnate ad altri bisognosi.

    A Codena gli ocuupanti sottolineano che dei 12 appartamenti NESSUNO sarebbe stato assegnato ad abitanti di Codena, Bergiola e Bedizzano, e non è che in queste frazioni manchino coloro che da anni e anni continuano a presentare domande su domande.

    A Sorgnano addirittura la casa che è stata occupata la si era cominciata a costruire per gli abitanti di Sorgnano nel ’61, e ora questi se la vedono assegnare ad altri !

    Mentre gli appartamenti IACP da assegnare sono qualche decina, a fare le domande, con tutte le carte in regola sono centinaia. E senza contare tutti quelli che pur con lo sfratto e che vivono in condizioni malsane o disagiate non hanno fatto domanda : il problema ha assunto una vastità di dimensioni tale da superare ampiamente le singole occupazioni di questa o quella casa popolare o privata che sia.

    Cosa fa l’amministrazione comunale in questo frangente ? Se esistesse la volontà politica da parte degli amministratori, si potrebbe ad esempio stanziare una parte dei proventi del pedaggio marmi per destinarli alla costruzione di case per i lavoratori del marmo, tanto più che con il passaggio alle USL dell’ex Ente Soccorso Lavoratori Cave il comune si trova a risparmiare oltre 250 milioni l’anno. Ma la volontà politica è ben altra, visto che si mandano consiglieri di circoscrizione e galoppini di partito ad intimidire e scoraggiare gli occupanti delle case di Sorgnano e di Codena. Una cosa comunque l’amministrazione comunale ha fatto a Carrara : ha fatto affiggere un manfesto ipocrita demagogico e qualunquista nel quale “invita” i proprietari a dare in affitto la casa “garantendo” che l’affitto sarà pagato secondo equo canone !...

    La popolazione deve sapere che in casi come questo l’amministrazione non può tentennare o corteggiare i padroni di casa. Requisire le case vuote, abbandonate e sfitte, cosa si aspetta a farlo ?

    Carrara, 10-11-’81

    Gruppi Anarchici Riuniti P.zza Matteotti 31 - Carrara (stampa...)


    sources :
     

    1981
    Affiche liée


    [Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano]. — Carrara Carrare : Gruppi anarchici riuniti (Carrara), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : bleu , orange ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    Solidarietà con gli occupanti di Codena e di Sorgnano e di tutti quelli che lottano per la casa

    Sembra che il problema della casa esploda d’un tratto, mentre è dall’introduzione della legge sull’equo canone che la situazione, già tutt’altra che rosea prima, si va deteriorando. Non è più possibile affittare case : l’unico modo per averne una è quello di comprarsela, per chi ha i soldi, o di occuparla per chi non li ha. Al di sotto delle esigenze che si sono venute a creare, le case popolari sono largamente insufficienti, mentre i contributi che i lavoratori si vedono trattenuti sulla busta paga sono puntuali, tutti i mesi. Questi giorni le occupazioni di case si succedono, tutte con motivazioni più che giustificate, che partono dalle precedenti condizioni abitative. Le recenti occupazioni di Codena e di Sorgnano assumono maggiore risonanza perchè ad essere occupate sono case che sarebbero state assegnate ad altri bisognosi.

    A Codena gli ocuupanti sottolineano che dei 12 appartamenti NESSUNO sarebbe stato assegnato ad abitanti di Codena, Bergiola e Bedizzano, e non è che in queste frazioni manchino coloro che da anni e anni continuano a presentare domande su domande.

    A Sorgnano addirittura la casa che è stata occupata la si era cominciata a costruire per gli abitanti di Sorgnano nel ’61, e ora questi se la vedono assegnare ad altri !

    Mentre gli appartamenti IACP da assegnare sono qualche decina, a fare le domande, con tutte le carte in regola sono centinaia. E senza contare tutti quelli che pur con lo sfratto e che vivono in condizioni malsane o disagiate non hanno fatto domanda : il problema ha assunto una vastità di dimensioni tale da superare ampiamente le singole occupazioni di questa o quella casa popolare o privata che sia.

    Cosa fa l’amministrazione comunale in questo frangente ? Se esistesse la volontà politica da parte degli amministratori, si potrebbe ad esempio stanziare una parte dei proventi del pedaggio marmi per destinarli alla costruzione di case per i lavoratori del marmo, tanto più che con il passaggio alle USL dell’ex Ente Soccorso Lavoratori Cave il comune si trova a risparmiare oltre 250 milioni l’anno. Ma la volontà politica è ben altra, visto che si mandano consiglieri di circoscrizione e galoppini di partito ad intimidire e scoraggiare gli occupanti delle case di Sorgnano e di Codena. Una cosa comunque l’amministrazione comunale ha fatto a Carrara : ha fatto affiggere un manfesto ipocrita demagogico e qualunquista nel quale “invita” i proprietari a dare in affitto la casa “garantendo” che l’affitto sarà pagato secondo equo canone !...

    La popolazione deve sapere che in casi come questo l’amministrazione non può tentennare o corteggiare i padroni di casa. Requisire le case vuote, abbandonate e sfitte, cosa si aspetta a farlo ?

    Carrara, 10-11-’81

    Gruppi Anarchici Riuniti P.zza Matteotti 31 - Carrara (stampa...)


    sources :
     

    1981
    Affiche liée




    [Solidarność : appel aux travailleurs du monde entier]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarność : appel aux travailleurs du monde entier]. — Paris : [s.n.], [ ?] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 90 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Pologne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (attaque de miliciens anti-émeute)

    texte :

    Solidarność

    Appel aux travailleurs du monde entier

    À tous les travailleurs !
    À tous ceux que le destin du peuple opprimé de Pologne ne laisse pas indifférents !
    À tous ceux qui, opprimés par leurs propres régimes totalitaires, ne peuvent exprimer librement leur soutien à notre lutte mais qui en parlent entre eux !

    Pour nous, chaque voix est importante. Chaque voix affermit notre moral, nous donne du courage et nous renforce dans la conviction que la voie suivie est une voie juste.

    Par un vote imbécile, la Diète de la République populaire de Pologne a mis notre syndicat hors la loi. Mais personne ne nous empêchera de manifester notre solidarité ouvrière dans la lutte que nous menons pour les droits élémentaires de tout être humain.

    Le 13 décembre a représenté le premier anniversaire de la déclaration de guerre de la junte à la société polonaise. Mais nous ne renonçons pas à la lutte. Les ouvriers ne peuvent être vaincus, ils ne font que subir des défaites et c’est ce qui fonde notre foi dans la victoire finale.

    La classe ouvrière polonaise n’a aucune illusion dans la « bienveillance » du pouvoir sous prétexte qu’il « lève » ou qu’il « suspend » l’état de guerre en Pologne. Car les ouvriers savent qui est responsable de la misère et de la cri-se profonde.

    Armés par l’expérience de la lutte, nous nous lèverons à nouveau. Mais cette fois-ci, on ne pourra pas nous duper. Car il ne peut plus y avoir d’entente avec le pouvoir totalitaire.

    Notre foi repose notamment sur le fait que vous ne nous avez pas abandonnés dans la difficulté. Nous vous remercions de l’aide que vous nous avez apportée jus-qu’ici. Au nom des travailleurs assassinés, condamnés, internés, arrêtés, contraints à la clandestinité, au nom de tous les opprimés, nous vous appelons à maintenir votre aide et votre soutien.

    Notre victoire sera aussi la vôtre dans la lutte pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

    M.K.O.
    Commission interrégionale de défense du syndicat Solidarnosc

    Affiche éditée par le Comité de coordination du syndicat Solidarnosc en France. 120, rue de Crimée, 75019 Paris. Tél. 208 36 12

    Photo Collectif presse


    sources :

    L’adresse (rue de Crimée) est aussi l’une des adresse du « Café des occupants rénovateurs du XIXe ».