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    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
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    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

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    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro franc, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    […]


    sources :

    Affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.


    [ 2013 & ante]
    Affiche liée












    [La dernière babillarde]

    notice :
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    [
    La dernière babillarde]. — Lille : la (Lille) Brèche, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

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    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (mains au travers de barreaux de prison) ]

    texte :

    jeudi 24 avril 2003 - 20 h

    “La dernière balillarde”

    par la Cie « La Barbillarde » de Hem

    d’après des textes de détenu-e-s

    Théâtre

    Pièce suivie d’un débat sur les lois sécuritaires et la construction de nouvelles prisons
    par le collectif « La Brèche »

    salle des fêtes Wazemmes
    rue de l’abbé Arts • M° Wazemmes


    sources :

    Les textes sont tirés de deux ouvrages : Paroles de détenus (éd. Librio) et Pour en finir avec toutes les prisons (éd. L’insomniaque).
    https://lille.cybertaria.org/spip.php?article157




















    [Rébellion contre toutes les prisons, contre tous les matons, liberté pour toutes et tous]

    notice :
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    [
    Rébellion contre toutes les prisons, contre tous les matons, liberté pour toutes et tous]. — Antwerpen Anvers  ; Gent Gand : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (enfants jouant dans la rue) ]

    texte :

    Rébellion

    contre toutes les prisons
    contre tous les matons
    liberté pour toutes et tous

    Les prisons mises en émoi…

    Ittre, 7 mars 2006
    Les prisonniers occupent le préau et se défendent contre l’intervention de la police.

    Mons, 28 avril 2008
    Les prisonniers occupent la prison et incendient la porte d’entrée. Armés avec des barres de fer et des pierres ils se battent pendant des heures contre la police.

    Nivelles, 16 mai 2008 Comme réponse à une nouvelle gréve des matons, les prisonniers incendient une aile de la prison. L’aile part presque complètement en flammes.

    Bruges, 21 juin 2006
    Des cocktails molotovs sont jetés contre la maison d’un maton de la prison de Bruges et contre la maison d’un maton du centre rare, de Bruges.

    Bruxelles, 2 juillet 2006
    Une 150-taine de gens descendent dans les rues de Bruxelles en solidarité avec tous les prisonniers en lutte.

    Termonde, 19 aout 2006
    Quelques prisonniers forcent la porte de leur cellule et obligent les matons à ouvrir toutes les portes des cellules. 28 détenus s ’évadent. 15 sont encore toujours en cavale.

    Tournai, 8 septembre 2008 Pendant la promenade du matin, les prisonniers attaquent un maton, ce qui est suivi par une petite émeute.

    Forest, 24 septembre 2008
    Dans la cellule d’isolement Fayçal est assassiné avec trois injections anti-psychotiques d’Haldol.

    Bruxelles, 25 septembre 2006
    Après le meurtre de Fayçal, ça part en émeute dans le quartier des Marolles et ailleurs. Pendant plusieurs jours il y a des affrontements avec la police. On peu partout des vitres des magasins sont cassées. Quelques voitures et bâtiments des autorités partent en flammes.

    Forest, 5 octobre 2006
    La police intervient pour obliger des dizaines de détenus, armé s avec des barres de fer, qui occupent le préau de retourner à leurs cellules.

    Lantin, 18 octobre 2006
    Quelques dizaines de prisonniers de l’aile d’haute sécurité occupent le préau. Ils s’arment avec des barres de fer et détruisent une aile complète. Ce n’est qu’après plusieurs heures que la police sait rétablir l’ordre.

    Ittre, 29 octobre 2006
    Le soir, plus d’une centaine de prisonniers se révoltent. Ils incendient plusieurs cellules, des matelas, des poubelles et un local des matons. La police et les matons sont attaqués avec des barres de fer et des projectiles. Les bâtiments de la prison sont gravement endommagés. Cinq matons sont blessés. Ce n’est qu’après minuit que les prisonniers décident de retourner à leurs cellules.


    sources :

    Vignette parue dans La Cavale : correspondance de la lutte contre la prison n° 5 (novembre-décembre 2006) : « Affiche trouvée sur Bruxelles début novembre ».









    [Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving]. — Antwerpen Anvers  ; Gent Gand : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (enfant au pied d’un mur frontière couvert de barbelés) ]

    texte :

    Donderdag 22 februari breekt er een opstand in het deportatiekamp van Vottem (Luik). De infrastructuur van de eet- en “ontspanning” ruimte wordt vernield. De politie valt het centrum binnen om de orde te herstellen. Achteraf worden enkele personen in isolatie geplaatst en in elkaar geslagen door cipiers. Twee nachten later worden zij overgeplaatst naar het deportatiekamp van Merksplas. Tot en niet dinsdag bevonden zij zich in een isolatieregime.

    In de deportatiekampen worden mensen opgesloten die niet wenselijk in de blanke westerse maatschappij. Europa heeft maar een beperkt aantal mensen zonder papieren nodig om de vuile klusjes aan een slavenloon op te knappen. De anderen worden opgespoord met razzia’s, opgesloten in kampen en gedeporteerd naar hun “eigen land”. De racistische samenleving aanvaardt dit en zorgt et zo voor dat dit systeem standhoudt.

    Deportatiekampen en andere gevangenissen worden gebouwd om mensen te isoleren en ze kapot te maken, zowel fysisch als mentaal. Hoge muren, prikkeldraad en tralies houden mensen gevangen en leveren hen over aan de constante controle van camera’s en bewakers met matrak. De directie en cipiers bepalen alles wat je doet, je kan er geen moment aan ontsnappen.

    Wij zijn solidair met diegenen die weigeren hun waardigheid te verliezen en in opstand komen tegen hun vrijheidsberoving.

    Voor een vrije wereld zonder grenzen en gevangenissen, tegen deze staat zijn we allemaal schuldig, zijn we allemaal illegaal.


    traduction :

    Jeudi 22 février, un soulèvement éclate dans le camp de déportation de Vottem (Liège). L’infrastructure de l’espace de restauration et de « détente » est en train d’être détruite. La police fait une descente dans le centre pour rétablir l’ordre. Par la suite, certaines personnes sont placées en isolement et battues par des gardiens. Deux nuits plus tard, ils sont transférés au camp d’expulsion de Merksplas. Jusqu’à mardi, ils étaient dans un régime d’isolement.

    Dans les camps de déportation, des personnes sont enfermées, ce qui n’est pas souhaitable dans la société occidentale blanche. L’Europe n’a besoin que d’un nombre limité de migrants sans papiers pour faire les sales boulots avec un salaire d’esclave. Les autres sont traqués par des raids, enfermés dans des camps et déportés dans leur « propre pays ». La société raciste l’accepte et s’assure ainsi que ce système est maintenu.

    Les camps de déportation et autres prisons sont construits pour isoler et détruire les gens, à la fois physiquement et mentalement. De hauts murs, des barbelés et des barreaux emprisonnent les gens et les soumettent au contrôle constant des caméras et des gardes avec matraque. La direction et les gardiens déterminent tout ce que vous faites, vous ne pouvez pas y échapper un instant.

    Nous sommes solidaires de ceux qui refusent de perdre leur dignité et se rebellent contre leur privation de liberté.

    Pour un monde libre sans frontières et sans prisons, nous sommes tous coupables contre cet état, nous sommes tous illégaux.


    sources :

    Vignette parue dans La Cavale : correspondance de la lutte contre la prison n° 7 (avril-mai 2007) : « Affiche de solidarité avec le mutinerie dans le centre fermé de Vottem ».










    [In de ban van het subversieve boek]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    In de ban van het subversieve boek]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 48 × 36 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : édition  ; lutte armée  ; lutte des classes  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Chili  ; Espagne : histoire : 1939-1975  ; Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Alberola Suriñach, Octavio (1928-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (main avec cutter) ]

    texte :

    In de ban van het subversieve boek

    24-25 mei 2008

    Pianofabriek — Fortstraat 35, Brussel (Sint-Gillis)

    Vrije toegang

    zaterdag 24 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Furieuse dagen, woedende nachten
    Een blik op de recente sociale explosies in Chili.

    18u Defense Interior, één mei-groep en GARI
    Discussie over de internationale revolutionaire actie in 1961-1975 met Octavio Alberola.

    zondag 25 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Tegen de THT en hun wereld.
    Discussie met kameraden betrokken bij de strijd tegen de hoogspanningslijnen in Normandië en Catalonië.

    15u Rock’n roll and class struggle.
    Discussie over de stakingen, rellen en agitatie in het Verenigd Koninkrijk in de jaren 80.

    18u Discussie met Griekse kameraden over sociale strijden, staatsdepressie en solidariteit met opgesloten kameraden en gevangenen in strijd.

    voor meer informatie : thesubversivebook@gmail.com


    sources :
     





    [Rassemblement contre la machine à expulser]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rassemblement contre la machine à expulser] / Eric Drooker. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; émigration et immigration  ; logement, habitat
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (long) ; gravure (ville enclose d’une haute clôture avec personnes [pauvres ?] expulsées par un coup de pied géant) par Eric Drooker ]

    texte :

    Rassemblement contre la machine à expulser

    métro La Chapelle — dimanche 15 juin à 16 h

    Les contrôles et arrestations massifs de sans-papiers s’intensifient dans les quartiers et les gares. Au métro La Chapelle (ligne 2) et sur les boulevards qui l’entourent, ils sont devenus presque quotidiens : policiers et contrôleurs RATP traquent, tôt le matin, à l’heure d’aller au travail (à partir de 6 heures) et le soir, les sans papiers et les fraudeurs.

    Plutôt que de faire des grosses rafles visibles, les flics préfèrent opérer en petites unités de civils. Les détenus du centre de rétention de Vincennes expliquent qu’ils se sont fait arrêter par des policiers déguisés en jeunes couples ou passants du quartier, puis emmener au commissariat dans des voitures banalisées. En discutant entre eux, les retenus ont remarqué qu’à chaque jour correspondrait un faciès : par exemple, au mois de mai, les jeudi et vendredi les flics n’auraient contrôlé que des maghrébins.

    Le choix de ce quartier n’est pas anodin : entre Barbès et Stalingrad, la police sait qu’elle va attraper des travailleurs sans papiers. Et les autorités — de la préfecture à la municipalité — y trouvent leur compte, ça « nettoie » le quartier pour laisser place à la « mixité sociale » avec l’installation des bobos sur les Quais de Seine et à la Goutte d’Or. Cela fait plusieurs années que ces quartiers sont en « restructuration » : augmentation des loyers, expulsions des pauvres aux portes de Paris, contrôle e des places et des rues. La Chapelle, comme beaucoup d’autres quartiers, est un secteur d’application de la politique d’immigration de la France et de l’Europe : expulser un maximum de clandestins tout en mettant en place « immigration choisie et dévouée ». C’est le meilleur moyen pour optimiser le contrôle sur tous les travailleurs et sur tous les migrants.

    Face à ces arrestations des gens s’organisent. En témoignent les réseaux d’alerte téléphoniques mis en place dans certains quartiers de la région parisienne pour se prévenir des contrôles, se rendre sur place et opposer une résistance à la police. Dans les centres de rétentions les personnes arrêtées se révoltent (grèves de la faim, émeutes, refus du contrôle et de rentrer dans les cellules…) et devant ces prisons, des manifestations et des parloirs sauvages se multiplient.

    Sabotons la machine à expulser !

    Ce rassemblement s’inscrit dans le cadre de la « semaine de solidarité sans frontières » (du 9 au 16 juin 2008).
    Liberté pour tous les prisonniers, avec ou sans papiers !
    Liberté pour toutes et tous !
    Solidarité avec les deux de Vierzon. avec Bruno. Ivan, Damien et les autres !

    Toute contribution pratique à la semaine de solidarité sans frontières pourra être envoyée à : solidarite_sans_frontieres@riseup.net


    sources :

    Affiche annoncée dans Mauvaises intentions n° 2 (janv. 2009) : « Affiche trouvée sur les murs du 18e arrondissement, à Paris, début juin 2008. »