[aaaa ?] date incertaine

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Affichage par année

571 affiches :

 


    [Fermare la guerra, fermare il massacro]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fermare la guerra, fermare il massacro]. — [S.l.] : USI_ (Unione sindacale italiana), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : armée
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : guerres : Guerre du Golfe , 2 (1990-1991) *  ; Irak  ; Israël  ; Koweït *  ; Kurdistan  ; Liban  ; Palestine  ; Proche et Moyen-Orient
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (massacre d’Halabja ?, Kurdistan)

    texte :

    Fermare la guerra

    fermare il massacro

    Ogni giorno di più la guerra del Golfo mostra il suo volto : non « operazione di polizia internazionale » ma strage di civil inermi ed innocenti.

    Non ripristino del diritto internazionale violato ma guerra da parte del nord del mondo per il controlo delli fonti energetiche e dell’assetto futuro della regione mediorentale. Tutto questo a prezzo di decine di migliale di vite umane e un’enorme catastrofe ambientale.

    [photo]

    La guerra deve cessare immediatamente ed il diritto internazionale deve essere ristabilito con un’urgente azione diplomatica
    — Per garantire libertà, sicurezza e autodeterminazione del popolo del Kuwait, al popolo curdo, al popolo palestinese, al popolo libanese ed a quello israeliano.
    — Per costruire in Medio Oriente un assetto pacifico e giusto nella solidarietà e nel dialogo. Contro ogni sopraffazione, dominio e distruzione.
    — Per il ritiro di tutte le forze militari dal Golfo Per una informazione non deformata e mutilata dalla censura dei signori della guerra.

    Presidio ogni sabato

    Piazza Mentana — Dalle ore 16.00

    […]


    sources :
     




    [Il CSA Kronstadt vive !!!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il CSA Kronstadt vive !!!]. — La Spezia : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; police  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (immeuble en flammes) ; sigle squatt (flèche cerclée) ]

    texte :

    Il CSA Kronstadt vive !!!

    Il 26 gennaio l’assessore socialista al patrimonio Quber annuncia con un articolo su La Nazione che ha intenzione di vendere a privati l’ex scuola del Vignale, sede del Centro Sociale Autogestito Kronstadt (?!?).

    Dalle settimane successive iniziano raid di teppisti per danneggiare il centro.

    28 marzo, ignoti con metodo tipicamente fascista appiccano fuoco al CSA distruggendo il tetto e parte del salone.

    2 aprile, nonostante le feste di pasqua e pasquetta, superando ogni lungaggine burocratica, l’amministrazione comunale spezzina, famosa per i tempi secolari con cui si appresta a riparare le strade, ordina lo sgombero del CSA, perizia di inagibilità alla mano per il tetto, muri e pavimenti (?!?).

    Noi rivendichiamo il diritto nostro e di tutti di avere spazi sociali autogestiti, dove i soggetti sono protagonisti nella loro realtà, in una città dove i giovani sono costretti alla disoccupazione, alla noia e all’eroina, dove mancano strutture per iniziative culturali e dove vengono invece spesi 54 miliardi per il nuovo inutile palazzo di giustizia e 13 per la questura.

    Non sarà certo il fuoco dei fascisti e lo sfratto del comune ad interrompere l’esperienza di questi 5 anni di occupazioni.

    Invitiamo tutti ad un dibattito aperto su questi problemi.
    Sabato 20/4, al pomeriggio, al Palco della Musica, Giardini Pubblici SP


    sources :

    1985 ou 1991 ?



    [Inga fascister på våra gator]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Inga fascister på våra gator] / André Franquin. — [S.l.] : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quatre ou plus ) ; 70 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : Suède
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : fascisme et antifascisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ photo (défilé fasciste agressé par une « vieille »femme) ; dessin (Marsupilami antifasciste qui brise une croix gammée) ; texte ]

    texte :

    Inga fascister på våra gator

    Blockera fascisternas marsch den 30:e nov.

    By any means necessary

    Sparka uppåt !

    kämpa tillsammans
    Mot rasism, sexism, kapitalism och homofobi


    sources :
     

    1991
    Affiche liée


























    [Manifeste ... nous affirmons qu’il est temps de poser sérieusement la question de la dissolution de la Suisse]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manifeste ... nous affirmons qu’il est temps de poser sérieusement la question de la dissolution de la Suisse]. — Delémont : D’autre part : Groupe à rebours, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 51 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : manifeste  ; politique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Suisse
    • Noms cités (± liste positive)  : Born, Maurice (1943-2020)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Manifeste

    L’essayiste Denis de Rougemont voyait dans la Suisse fédéraliste une préfiguration possible de l’Europe en devenir.

    À ce jour. nous devons à la vérité de lui donner tragiquement raison. Il avait pourtant négligé de nous préciser que son augure était catastrophique...

    À ce jour, nous n’avons plus d’excuses. Suivant l’évolution de nos voisins, nous savons maintenant ce que le passé nous réserve... La Suisse s’avère être le modèle du monde que prépare la technocratie européenne. Elle préfigure, avec le quart de siècle d’avance que lui a valu l’évitement des conflits. l’ennui monstrueux d’un avenir planifié pour les États européens qui l’encerclent.

    À ce jour, nous comprenons qu’un siècle et demi passé dans la sainte forteresse d’un laboratoire, à fuir le microbe des remises en cause, à éviter les ferments qui induisent la tolérance, à conforter dans la durée l’excellence de nos maux, aboutit à une définitive solidification. Les leurres d’une possible ascension sociale et des lendemains qui chantent ont eux-mêmes regagné le magasin des accessoires. Utiles tant que l’homme était force de travail, tant aussi que lui restait le choix d’être ou non consommateur. ils ne sont plus bons qu’à exporter vers les pays de misère dont nous vivons. Ici, plus rien d’aérien ne se meut, plus rien de liquide ne s’agite, tout s’est définitivement pétrifié. la Suisse est de marbre.

    À ce jour, rejoignant le grand rêve totalitaire qui voulait que les hommes occupent dans l’organisation du monde la place définitive à laquelle les destinait la qualité « de leurs tissus et de leur âme », nos maîtres sanctionnent l’évolution, la dominent de la perfection de leur organisation sans faille. Maintenir la situation à un stade qui fut mythiquement celui du profit maximal de la classe marchande reste la seule utopie helvétique. Mortelle utopie ! Depuis longtemps, rien n’est plus à décider, tout est accompli, tout est déjà connu. Et voilà pourquoi Peter Bichsel s’évertue en vain à rechercher les lieux d’une discussion, à trouver une Suisse qui soit celle du citoyen suisse. La persistance de l’esprit du Réduit national. en empêchant toute connexion avec le grand large, a favorisé la mise en place d’une pensée étriquée tout en fomentant la construction du plus grand décor jamais conçu par l’homme. grandeur nature. grandeur culture. Des millions de figurants habitent et font vivre cet artefact si conforme au rêve immobile des maîtres de l’économie, dans un respect religieux de leur rôle infiniment répété. La Suisse est bien devenue ce Disneyland sans âme, la Suisse ne ment pas, la Suisse est un mensonge.

    À ce jour, nous saisissons comment nos pouvoirs, usant tantôt du visage de la tradition, tantôt de celui des prétendues exigences de la modernité, ont perverti le réel de nos existences. Ils ont conservé, contre la vie, ce qui fut normal auparavant et qui devait s’effacer, le transformant en accessoire factice ; ils ont comblé de reconstitutions artificielles le vide créé par la destruction volontaire des versions authentiques qui les gênaient. Ainsi s’est installé le bric-à-brac qui constitue le matériel de la pensée helvétique.

    À ce jour, le mensonge triomphant, ayant gagné en conscience satisfaite ce qu’il perdait en désir d’inventer, a fait de nous ses complices et ses otages Confondant l’être et le rôle assigné, voici qu’au risque de nous détruire, nous prolongeons à notre tour le mensonge dont nous mourons lentement. Nous recouvrons tristement — avec une tristesse qui nous est devenue nature — la médiocrité ambiante du voile d’un prétendu réalisme. Dans ce théâtre où nous répétons notre rôle sans conscience de l’avoir jamais appris, notre veulerie se réfléchit dans la couardise européenne face à la Yougoslavie dépecée ; notre égoïsme trouve son écho dans les lâches mesures contre les réfugiés, dans le pillage du pauvre monde ; notre impuissance s’avère aussi totale que celle des États devant les cohortes de travailleurs jetés à la rue par la sainte économie de marché.

    À ce jour, réduits à assumer une Suisse mythique, à la porter à bout de bras, les intellectuels ont dans leur majorité opté pour le rôle de « gardiens de la prison », oubliant que leur place n’est pas au côté du pouvoir, mais bien dans l’affirmation et la défense de valeurs intemporelles et extérieures au réalisme de cet État qui. leur donnant le droit de penser librement, leur en ôte la faculté Pour reprendre la formulation de Julien Benda : « Le pouvoir temporel gouverne selon l’injustice ; le pouvoir spirituel condamne cette injustice, et la subit à son tour. » Les « clercs » ont oublié : le désir de gloire, l’appât du gain sécuritaire les ont conduits à épouser toutes les querelles partisanes, toutes les idées pratiques de ce monde de l’utilité, et à prétendre pourtant s’étonner de l’accusation de trahison ou d’outrage dont on les accable dès qu’ils osent relever encore la tête. La confusion de la pensée est telle que la plupart renoncent, préférant s’adonner à l’écrit verbe, à la culture désincarnée, nombrilisme clos au monde.

    À ce jour, et devant cette survie amère et répétitive érigée en norme, devant cette volonté niveleuse n’offrant plus de droit à la différence que dans la grossièreté, la trivialité d’une consommation hiérarchisée, nous disons que la Suisse apparaît bien comme ce « Milieu du monde » autour duquel ce qui reste d’espoir de vie, de différences proclamées, d’odeurs incontrôlées, de désir affiché, de violence assumée se trouve entraîné dans l’orbite dont ce pays constitue le trou noir.

    À ce jour donc,
    - parce que nous refusons la sombre menace de Victor Hugo, prévoyant que « la Suisse, dans l’histoire, aura le dernier mot »
    - parce que le temps des rafistolages politiques, des nécessaires critiques dont on espère la prise en compte est bien révolu ;
    - parce que dans cette logique, les idées utiles ne peuvent qu’être contraintes à servir celles du pouvoir ;
    - parce que si cette démocratie refuse de mettre fin au scandale du déve-loppement cumulatif prétendument irréversible et à son cortège de chômeurs, il est probable que les chômeurs s’en saisiront et mettront fin à cette prétendue démocratie ;
    - parce que dans son désir de mort, ce monde tente aujourd’hui de réduire ce qui reste de nature à l’humaine culture ;
    - parce qu’enfin ce désir. à trop être comprimé, finira par exploser dans d’ignobles déviations qui pourraient faire le totalitarisme de demain ;

    nous affirmons qu’il est temps de poser sérieusement la question de la dissolution de la Suisse.

    Après sept cents ans d’hésitations et cent cinquante ans de parades ennuyeuses, après les derniers soubresauts de vie, apparus à la faveur de la conjoncture occidentale du demi-siècle — déchirures vite colmatées au pseudo-ciment social —, notre peep-show de la démocratie peut bien, profitant de l’anniversaire de sa Constitution, avouer qu’il n’a jamais été qu’un appât et relâcher enfin ses prisonniers-voyeurs. Le moment semble idéal pour dépasser les bornes avec quelques initiatives précises :
    - puisque les sujets qui y naissent, qui y vivent n’ont pas tous le droit de vote. désertons les bureaux de vote, encourageons activement l’abstention ;
    - puisque l’histoire est falsifiée du 4 août au 1er août, puisque seule est retenue la mythologie qui nous fossilise, désertons les commémorations, encourageons l’amnésie nationale ;
    - puisqu’il n’y a plus de place à l’intérieur, puisque les quotas de fait excluent les femmes, les étrangers et les frontaliers, désertons leurs salons, devenons frontaliers, encourageons la marginalité. Et que la marge gagne bientôt toute la page ;
    - puisque les moyens ne suffisent plus à la satisfaction des besoins élémentaires de tous, puisqu’on pleure sur le sort des prétendus exclus, prenons le terme pour la chose, excluons-nous, c’est là ce que nos maîtres craignent le plus :
    puisque les intérêts des possédants sont érigés en priorité nationale, que cet État est leur propriété, refusons de participer à leur défense, tournons le dos à leur armée ;
    - puisque l’Europe est le dernier jouet à la mode, refusons de rejoindre l’un des camps. Évitons aussi d’agiter le hochet d’une Europe des régions : elle sent par trop la logique surannée des empires. Contentons-nous d’organiser notre dissidence. Les maquis se fédéreront bien comme ils l’entendront !

    Puisque enfin la seule loi reste l’économie, refusons de faire celle de la réflexion.

    Groupe à rebours

    Le Groupe à rebours refuse toute médiatisation. toute personnalisation. Nous répondrons par écrit, et au nom du groupe, à toute demande, critique ou développement. Vous pouvez reproduire ce texte, le traduire ou l’adapter librement, même sans indication d’origine. Vous pouvez aussi nous communiquer vos actions et réactions à l’adresse suivante :
    Case postale N° 3294, 28(X) Delémont 1.


    sources :

    Écrit par Maurice Born ? Cette affiche accompagnait l’ouvrage : Dissolution de la Suisse : dix solutions !.




    [Stop de vliegende Papenkraam]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Stop de vliegende Papenkraam]. — Leuven Louvain : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; 61 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

     
    texte :

    het pausontvangstkomitee stelt voor

    Vreedzame protestbijeenkomst

    Stop de vliegende Papenkraam

    Zondag 15 mei, ’s namiddags

    St.-Maartensdal Leuven

    Paus Johannes-Paulus komt naar Leuven. Wij hebben bezwaren tegen zijn bezoek.

    Omdat de paus in zijn laatste encykliek de morele dogma’s die seksualiteit beperken tot het huwelijk en voortplanting obsessioneel herbevestigt.

    Omdat hij 15 miljoen seropositieven wereldwijd verbiet een kondoom te gebruiken.

    Omdat een Europese resolutie die een eind maakt aan de juridische diskriminatie van homo’s en lesbiennes volgens de paus moreel niet is toegestaan.

    Omdat vrouwen in de ogen van de onfeilbare kerkleider nog steeds niet gelijkwaardig zijn aan mannen.

    Omdat OpusDei, de eksreem reaktionaire ultrakatholieke keurtroepen van het Vatikaan, niets meer zijn dan een heilige mafiabende, onder bescherming von de paus.

    Omdat progressieve bewegingen (zoals de bevrijdingstheologen) door het Vatikoon worden belemmerd, buitengewerkt vervangen door konservatieve pausgezinden.

    De paapse morele orde wordt opgelegd door talloze rooms-katholieke organisaties, aanwezig op alle niveaus van het maatschappelijk leven, gedirigeerd vanuit het Vatikaan. Zo bepalen ze het leven van miljoenen mensen. Penetratie in het politieke en sociale leven heeft rampzalige gevolgen voor ontwikkelingslanden, demokratie, vrouwen, anders-seksuelen,…

    breng je boterhammetjes mee

    v.u. : pausontvangstkomitee


    sources :

    Zondag 15 mai = 1988, 1994, 2005 ?


    1994

    1988

    [ 1993 ?]
    Affiches liées







    [I padroni sono indispensabili ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    I padroni sono indispensabili ?] / ATPOPLG (Atelier populaire de Liège). — Leuven Louvain  ; Nivelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 56 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Wirix, Ludo (1946-1983)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    testo

    disegno (fumetto sullo sfruttamento), firma : ATPOPLG

    texte :

    Les patrons sont-ils indispensables ?

    [BD]

    -- Cosa avete detto a questo uomo adesso ?
    -- Gli ho detto di lavorare più svelto…
    -- Quanto lo pagate ?
    -- 15 dollari al giorno !
    -- Dove prendete i soldi per pagarlo ?
    -- Vendo i prodotti !
    -- Chi fabbrica i prodotti ?
    -- Lui !
    -- Quanti prodotti fabbrica in un gionro ?
    -- Un valore di 50 dollari…
    -- Cosi non siete voi che lo pagate, è lui che vi paga 35 dollari al giorno per dirgli di lavorare più svelto
    -- Hum !
    -- …
    -- Ma io sono proprietario delle machine !
    -- Come avete avuto le macchine ?
    -- Ho venduto i prodotti e le ho comprate !
    -- E chi ha fabbricato quei prodotti ?
    -- Silenzio… egli poterebbe sentirvi !

    ATPOPLG

    Ed. resp. Ludo Wirix - 4, rue Chambille, Nivelles

    Impr ACCO 118a Brusselse straat - Leuven

    Grazie alla FIOM Milano


    sources :
     

    [ 1995 ?]

    2009

    [ 1995 ?]

    [ 1974 ?]

    [ 1995 ?]
    Affiches liées


    [Les patrons sont-ils indispensables ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les patrons sont-ils indispensables ?] / ATPOPLG (Atelier populaire de Liège). — Bruxelles = Brussels Bruxelles  ; Paris : CNT_F (France) : Initiative pour une CNT belge, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 61 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (BD sur l’exploitation des travailleurs) ]

    texte :

    Les patrons sont-ils indispensables ?

    [BD]

    -- Qu’est-ce que vous avez dit à cet homme ?
    -- Je lui ai dit de travailler plus vite…
    -- Combien le payez-vous ?
    -- 15 dollars par jour…
    -- Où prenez-vous l’argent pour le payer ?
    -- Je vends les produits !!
    -- Qui fabrique les produits ?
    -- Lui !
    -- Combien de produits fabrique-t-il en un jour ?
    -- Pour une valeur de 50 dollars !
    -- Ainsi ce n’est pas vous qui le payez. C’est lui qui vous paye 35 dollars par jour pour lui dire de travailler plus vite !
    -- Hum !
    -- …
    -- Mais c’est moi le propriétaire des machines !!
    -- Et comment avez-vous eu ces machines ?
    -- J’ai vendu les produits et je les ai achetées !!
    -- Et qui a fabriqué ces produits-là ?
    -- Silence ! Il pourrait vous entendre !

    Confédération nationale du travail - 33, rue des Vignoles, 75020 Paris

    Initiative pour une CNT belge - 65, rue du Midi, 1000 Bruxelles

    Association Internationale des Travailleurs

    ATPOPLG - Imprimerie asbl 22-mars 02/736.27.76


    sources :

    L’affiche parait également insérée dans Alternative libertaire n° 170 (janvier 1995).


    2009

    [ 1995 ?]

    [ 1995 ?]

    [ 1974 ?]

    [ 1995 ?]

    [ 1995 ?]
    Affiches liées