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Affichage par année

1602 affiches :

 

    [Irlanda : due compagni anarchici condannati alla forca !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Irlanda : due compagni anarchici condannati alla forca !]. — [S.l.] : FAI_ (Federazione anarchica italiana) : Umanità nova, [ca ] (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 83 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)  ; CDA (FA, Paris)  ; Libreria Anomalia (Roma)
    • Liste des thèmes  : justice  ; mort
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Irlande du Nord  ; Peine de mort
    • Noms cités (± liste positive)  : Mc Phillips, Marie  ; Murray, Noel
    • Presse citée  : Umanità Nova (1920-…)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ Sur la condamnation à mort de deux anarchistes accusés d’avoir tué un policier. Dessin d’une corde ]

    texte :

    Irlanda : due compagni anarchici

    condannati alla forca !

    Il capitalismo sta vivendo un periodo di profonda crisi economica e politica dovuta alle sue difficoltà interne ed allo sviluppo delle lotte proletarie in tutte il mondo.

    L’applicazione di nuove leggi (in Italia la legge Reale) e il rafforzamento degli apparati repressivi dello Stato (magistratura, polizia, esercito) in Europa rientro nel progetto di costruzione di un sistema sempre più perfezionato di repressione e di controllo ideologica che freni le spinte delle masse sfruttate.

    In particolare nella Repubblica d’Irlanda, per opera di un governo a composizione socialdemocratica, la lotta aperta antiproletaria raggiunge punte assai elevate coll’impiego sistematico della tortura, l’uso della provocazione e l’estenzione dei poteri polizieschi. Non è quindi un caso che proprio in questo paese due anarchici, Noel Murray di 25 anni e la sua compagna, Marie Mc Phillips di 27 anni, siano stati condannati alla pena di morte mediante impiccagione perchè sospettati di aver participato, nel settembre scorso, ad una rapina in banca conclusati con la morte di un poliziotto. Il barbaro omicidio di stato verrà eseguito a Dublino il 27 luglio.

    Contro i compagni non c’è l’ombra di una prova, ma solo la volontà del governo in carica di presentarsi alle prossime elezioni come garante dell’ordine e dell’autorità : la loro condanna è una condanna politica comme Sacco e Vanzetti ed altri nella storia.

    Contro l’internationale della repressione rispondiamo con una vasta mobilitazione internazionale per salvare i due compagni irlandesi dalle mani del boia !

    Mobilitiamoci per dimostrare che, nonostante la censura dei giornali e dei mezzi d’informazione, gli occhi dei proletari sono puntati sui carnefici di Dublino !

    FAI-Federazione Anarchica Italiana — Umanità nova , settimanale anarchico

    Supplemento al n. 29 du Umanità Nova - Giornale murale iscritto sul Registro Stampa al n. 4891 (Trib. di Roma) - Stampa : Tipographia "Il Seme" - Carrara


    sources :
     

    [ca  1976]
    Affiche liée






    [Le Dos au mur, journal mural, numéro 1, décembre 1976]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Dos au mur, journal mural, numéro 1, décembre 1976]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : brun ) ; 44 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : presse  ; travail, emploi  ; vie_ quotidienne
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Dos_au mur_, le
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    [ texte tapuscrit ]

    texte :

    Le Dos au mur

    journal mural — numéro 1 — décembre 1976

    Dire la vie courante, la parler couramment, c’est la vivre. Ce n’est pas simple : la confusion généralisée, celle dans laquelle on trempe quotidiennement, nous en empêche. Cette organisation du quotidien, ,fui en majeure partie nous est imposée, s’étend à fatiguer notre vie.

    Plus que le travail c’est le quotidien, organisé en taches séparées, distinctes, confusément amalgamées dans la journée, qui nous épuise. C’est la voiture, le supermarché, le journal, la télé, la famille, la bouffe pré-mâchée.

    On ne se retrouve dans rien, on consomme de tout. Le travail se consomme comme des petits pois : seule la marque change, nous pas. Un étrange glissement s’est opéré : le travail a pris notre place et noue, nous ne sommes plus qu’un engrenage de la machine sociale.

    Aujourd’hui on tente, par la diminution du nombre d’heures de travail, de revaloriser notre boulot. Mais c’est trop tard. Nous ne sommes plus. On a déjà donné. On a tout donné. Notre force de travail, y a cent ans qu’on nous l’a volée. Notre vie, y a cinquante ans qu’on l’a rachetée sous forme de gadgets. Ça nous aide à survivre.

    Alors, le travail, on s’en fout pas mal. Faut simplement tuer le temps au boulot. Faut savoir s’économiser si on veut pas crever jeune. Mais quarante heures à donner à cette racaille, c’est déjà trop.

    C’est davantage savoir ce qu’on fait de notre temps qui importe. 4 à 5 heures de moins au boulot pour 4 à 5 heures de plus à la télé. On perd encore au change. La bagarre est ailleurs. C’est notre vie qu’on veut, c’est pas l’aménagement de notre survie.

    La gauche, les syndicats, le patronat, les bourgeois, la droite sont identiques pour nous. Ils veulent posséder notre vie. Ils sont unanimes dans un discours confus, imprécis et mensonger. Il y a toujours une catastrophe qui va nous tomber sur le coin de la gueule si on ne fait pas ci, si on ne fait pas ça, qu’ils disent. On leur fait plaisir, et la catastrophe se produit quand même. Ils nous ont tout piqué, en échange on peut jouer avec leur Marchandise.

    Les 40 heures, la droite est plutôt contre, la gauche plutôt pour, mais c’est pas clair. Car les 40 heures, ça pourrait être une mesure de relance économique (diminution du chômage, amélioration de la productivité, baisse de l’indice du coût de la vie comme en 1920-1922 augmentation de la consommation, enfin relance de la production).

    Mais les politiciens ont ceci de commun (qu’ils soient de gauche ou de droite) : leur bêtise et leur manque d’audace.

    La décadence de la bourgeoisie ne vaut que par le spectacle qu’elle nous donne.


    sources :
     


    [Le Dos au mur, journal mural, numéro 2, décembre 1976]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Dos au mur, journal mural, numéro 2, décembre 1976]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : brun ) ; 44 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; presse  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Dos_au mur_, le
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    [ texte tapuscrit ; filigrane (bateau de Robur le Conquérant) ]

    texte :

    Le Dos au mur

    journal mural — numéro 2 — décembre 1976

    La vie s’écoule, la vie s’enfuit,
    Les jours défilent au pas de l’ennui
    Parti des rouges, parti des gris,
    Nos révolutions sont trahies.
     
    Le travail tue, le travail paie,
    Le temps s’achève au supermarché,
    Le temps payé ne revient plus,
    La jeunesse meurt de temps perdu.
     
    Les yeux fait pour l’amour d’aimer
    Sont le reflet d’un monde d’objets
    Sans rêve et sans réalité,
    Aux images nous sommes condamnés.
     
    Les fusillés, les affamés,
    Viennet vers nous du foud du passé
    Rien n’a changé, mais tout commence,
    Et va mûrir dans la violence.
     
    Brûlez, repaires de curés,
    Nids de marchands, de policiers !
    Au vent qui sème la tempête
    Se récoltent les jours de fête.
     
    Les fusils sur nous dirigés
    Contre les chefs vont se retourner.
    Plus de dirigeants, plus d’État,
    Pour profiter de nos combats.

    sources :
     











    [Ponia réalise le rêve d’Henri IV : un poulet pour chaque Français]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ponia réalise le rêve d’Henri IV : un poulet pour chaque Français]. — Paris : OCL_ (Organisation communiste libertaire : 1976-....), (Édit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 63 × 46 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; police  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Front libertaire des luttes de classes (1970-1979)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    bande dessinée (cabinet du ministre : le ministre de l’intérieur Michel Poniatowski et un conseiller)

    texte :

    Ponia réalise le rêve d’Henri IV :

    Un poulet pour chaque Français

    Chez le ministre
    -- Les travailleurs acceptent de moins en moins leur situation. Il faut augmenter les effectifs de la police, au cas où…
    -- Mais c’est impopulaire ça
    -- Asseyez-vous, je vais vous exposer ma petite idée …
    -- Il faut que ce soit les travailleurs eux-mêmes qui le demande. Il faut donc créer un climat d’insécurité, et pour cela nous comptons sur les mas-media …
    -- … Carlos, les anarchistes, tout ça, c’est qu’un début. Les opérations « coup de poing » donnent l’habitude de voir les flics partout.
    -- Oui, mais c’est insuffisant
    -- Exact ! Et c’est là que la presse intervient : il, s’agit pour elle de monter en épingle chaque rapt, agression, … Ainsi chacun se sentira personnellement en danger permanent
    -- ?
    -- Et il demandera une meilleure protection, donc davantage de flics. Mais… et l’opposition ?
    -- Elle protestera bien sûr. Mais elle dénoncera comme provocateurs ceux qui voudront s’opposer à la police

    Organisation Communiste Libertaire

    supplément à Front libertaire 56
    33, rue des Vignoles, Paris 20

    imprimerie Edit 71 - 9, rue Métivier, Paris 20


    sources :

    Supplément à Front libertaire des luttes de classes nº 56 (octobre 1976).






    [Solidarietà rivoluzionaria con la Spagna libertaria]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarietà rivoluzionaria con la Spagna libertaria]. — Carrara Carrare : Umanità nova, (Tipografia "il Seme" (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une  : noir ) ; 61 × 41 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : histoire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1931-1936  ; Espagne : histoire : 1936-1939
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Umanità Nova (1920-…)
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    foto e testo

    texte :

    19 luglio

    40 anni fa il proletariato spagnolo organizzato nella CNT (sindacato anarcosindacalista) e nella FAI (Federazione Anarchica Iberica) insorgeva contro il colpo di stato del fascista Franco e dava inizio alla rivoluzione sociale. Tre anni durissimi durava la sua lotta contro il fascismo internazionale, la borghesia repubblicana e lo stalinismo, tutti, anche se in forme diverse, nemici irriducibili dell’instaurazione del comunismo libertario. Militarmente sconfitto il proletariato libertario doveva sopportare 40 anni di fucilazioni di massa, di campi di concentramento, di intensificazione dello sfruttamento. Ma tutto questo non è bastato a sconfiggere la sua volontà egualitaria di emancipazione. Ne è dimostrazione il fatto che dopo 40 anni con la radicalizzazione della lotta anticapitalistica ed antistatale, con l’uso costante della solidarietà operaia, con la violenza sociale e collettiva e tutte le forme di azione diretta, la CNT e il movimento libertario si stanno ricostruendo al di fuori di ogni compromesso e tendono ad influenzare sempre di più la maggioranza del proletariato cosciente nella sua lotta per l’emancipazione.

    Solidarietà rivoluzionaria alla Spagna libertaria

    Umanità Nova settimanale anarchico

    19 luglio 1970


    sources :
     













    [Federalismo, acción directa, autogestión. 1 mayo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Federalismo, acción directa, autogestión. 1 mayo] / Savario [?]. — [S.l.] : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier orange ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : Premier Mai
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ bande dessinée (ouvrier parlant, en marchant, devant usine et compangons) par Savario ? ]

    texte :

    CNT - AIT

    Federalismo, acción directa, autogestión

    1 mayo

    [Dessins :]
    « Mi emancipación comienza luchando en la vida cotidiana, pues es en esta que aparecen la explotación salarial la alienación, el autoritarismo. »
    No he de esperar de nadie a que me liberen. Solo yo, consciente, soy capaz de liberarme a mi mismo.
    « Pero no conseguiré nada si no me uno con mis compañeros, pues padecemos todos la misma explotación, y solo, unidos en la base sin que nadie sobrepase a los demás podremos emanciparnos a nosotros mismos. »

    Confederación nacional del trabajo


    sources :
     












    [L’appel du 18 joint]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’appel du 18 joint]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : vert , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 43 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; drogue  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Alternative libertaire (Belgique : 1976-2005)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins ; pétition ]

    texte :

    Libération — Alternative

    L’appel du 18 joint

    Cigarettes, pastis, aspirine, gros rouge, calmants, font partie de notre vie quotidienne. En revanche, un simple « joint » de cannabis (sous ses différentes formes : marijuana, haschich, kif, huile) peut vous conduire en prison ou chez un psychiatre.

    Des dizaines de documents officiels (notamment les rapports La Guardia aux États-Unis, Wootton en Grande-Bretagne, Le Dain au Canada) ont démontré que le cannabis n’engendre aucune dépendance physique, contrairement aux drogues dites « dures », telles que l’héroïne, mais aussi au tabac ou à l’alcool, et n’a aucun effet nocif comparable (« Pas même une bronchite, sauf chez les grands fumeurs », a écrit aux États-Unis le directeur de l’Institut national contre l’abus des drogues). Le contenu de ces documents n’a jamais été porté à la connaissance du public français, on a préféré laisser la grande presse mener des campagnes d’intoxication fondées sur des mensonges ineptes.

    Dans de nombreux pays déjà — États-Unis (Californie, Oregon, Alaska), Pays-Bas, Canada…, la législation sur le cannabis a été considérablement adoucie. En France, on continue d’entretenir la confusion entre drogues dures et drogues douces, gros trafiquants, petits intermédiaires et simples usagers. Cela permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde : depuis 1969, la police peut perquisitionner chez n’importe qui, sans mandat, à toute heure du jour ou de la nuit, sous prétexte de drogue. Cela permet des arrestations massives de jeunes et des quadrillages policiers. Cela sert à justifier la détention de centaines de personnes, petits revendeurs ou fumeurs de cannabis, quand tout le monde sait que des gros bonnets de l’héroïne sont en liberté. Ces emprisonnements, bien sûr, sont sélectifs et frappent en priorité la jeunesse, surtout la jeunesse ouvrière et les immigrés, particulièrement dans les régions.

    Or, des milliers et des milliers de personnes fument du cannabis aujourd’hui en France, dans les journaux, les lycées, les facultés, les bureaux, les usines, les ministères, les casernes, les concerts, les congrès politiques, chez elles, dans la rue. Tout le monde le sait. C’est pour lever ce silence hypocrite que nous déclarons publiquement avoir déjà fumé du cannabis en diverses occasions et avoir éventuellement, l’intention de récidiver. Nous considérons comme inadmissible toute forme de répression individuelle, soumise à l’arbitraire policier et entendons soutenir activement tout ceux qui en seraient les victimes. Nous demandons que soient prises les mesures suivantes :
    — dépénalisation totale du cannabis, de son usage, sa possession, sa culture (autoproduction) ou son introduction sur le territoire français en quantités de consommation courante.
    — ouverture de centres d’information sur les substances psychotropes, en ordre alphabétique : alcool, cannabis, cocaïne, héroïne, LSD, médicaments, tabac, etc.

    Nous n’avons que faire de la légalisation de la marijuana, ni de sa commercialisation. Si des trusts à joints s’en emparent, c’est une question de société. Ce texte n’est pas un appel à la consommation. Il vise seulement à mettre fin à une situation absurde.

    Affichez-moi !

    Dans la société de la norme et de la grande déprime…

    on a les plaisirs qu’on veut bien se donner …

    Les premiers signataires

    Abrahams Jean-Jacques, Annabel, Areski, Dr. Atlan H., Alessandrini Paul. Alessandrini Marjorie. Arietta Adolfo, Anquetil Gilles. Backman René, Bourgeade Pierre. Béranger François. Berger Claude. Bizot Jean-François, Baratier Jacques. Bastide Jean-Pierre. Bouteille Romain, Bardet Vincent. Bodevent Jean-Louis, Barouh Pierre, Bost Jacques-Laurent, Bok Philippe (médecin), Colombel Jeannette, Coste Patricia, Chesneaux Jean, Copi, Clémenti Pierre. Castagnet Paul, Copferman Émile, Carpentier Jean (médecin), Cahiers du Cinéma, Calvet Louis-Jean, Cullaz Maurice, Deleuze Gilles, Duits Charles, Dollé Jean-Paul, Dupré Jean-Louis, Dubois Bernard, Davezies René, Devy Michel, Dachy Mare, Dautin Yvan, Delessert Philippe, Dosse Roger, Druillet Philippe, Dietlin Éric, Dubenton Anne, Erlinguer Serge (médecin), Fromanger Gérard, Font Patrick, Ferré René, de Fréminville Bernard (médecin), Fluence, Fourastié Philippe, Glucksman André, Grasset Jean-Baptiste, Geismar Alain, Guattari Félix, Gotlib, Gébé, Gir Moebius, Haines Jim, Held Jean-Francis, Houdart Blandine, Huppert Isabelle, Isserman Dominique, Ithurriaque Jean (médecin), Jaubert Alain, Jacquot Benoît, Kalfon Jean-Pierre, Kouchner Bernard (médecin), Karsentv Serge, Kan Alain, Levy-Leblond Jean-Marc, Levy-Leblond Élisabeth (médecin), Le Forestier Maxime, Landau Maria (médecin), Letté Jean-Paul, Lyotard Jean-Francois, Lauten Élodie, Lacroix Hugo, Levaillant Yvan, Lagrange Valérie, Laperrousaz Jérôme, Laffont Bernadette, Leclerc Henri (avocat), Mandryka, Mallerin Daniel, Marc’0, Matricon, Mercadet Léon, Matzis Costa, Meunier Jean-Louis, Magny Colette, Muchnik Nicole, Morello Dominique, Maulineux Maud, Mercanton Isabelle, Morin Edgar, Manceaux Michèle, Mémmi Michael, Merleau-Ponty (avocate), Negroni François, Najman C., Nicoulaud Gilles, Oswald P.J., Oswald Hélène, Ogier Bulle, Orla, Pinhas Richard, Pleyney Marcellin, Pradalié Philippe, Pasquet Sylvaine, Rauch Alain, Revault d’Allonnes, Reed Will, Renault Philippe, Rouzaud Jean, Ribbes Jean-Paul, Rochefort Christiane, Roche Raguenés Jean, Righini Marielle, Rosso Serge-Bruno, Richard Jean-Vincent, Sollers Philippe, Saint-James Daniel, Sarduy Severo, Sery Patrick, Samuel Laurent, Savary Jérôme, Simmonet Dominique, Szejer Myriam (méd.), Tavernier B., Timsit (avocat), Topor, Tobias, Thérame Victoria, Verthomme Hugo, Vannoni Patrice, Varela José, Van Eersel, Patrice, Vasca Jean, Verdier Joan Pau, Val Philippe, Yelnik Jean-Benoît, Zouiou, France Léa, Sami Avari, François Chatelet.

    Nous ! et vous ?


    sources :

    Affiche en page centrale du journal Alternative libertaire nº 30 (1er décembre 1977), publié sans doute conjointement avec Libération.







    [Le Père Peinard au populo : élections législatives de mai 1898]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Père Peinard au populo : élections législatives de mai 1898] / Maximilien Luce. — Paris : le Réfractaire, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier vert ) ; 55 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Réfractaire (1974-1983), le
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (« avant l’élection », le candidat montre la lune ; « après l’élection », l’élu montre la lune de son postérieur en montant à l’« Aquarium »-Chambre des députés) par Maximilien Luce ]

    texte :

    Deux ronds — Élections législatives d’avril 1902

    Le Père Peinard au populo

    Avant l’élection

    Le candidat. — Je vous promets la lune. Je vous la donnerai ! Je le jure !
    Les votards. — Vive not’ candidat ! Vive Tartempion ! Vive la Lune !…

    Après l’élection

    Les votards. — Tartempion, ta promesse ! La Lune… il nous faut la Lûûne…
    L’élu. — La lune ? La voila, bougres d’empaillés : Si le cœur vous en dit… embrasser-la !

    vu : le candidat pour la frime :

    Lisez « Le Réfractaire » 320, rue St-Martin 75003 Paris

    Imprimerie « l’Aisne Nouvelle » 02100 St-Quentin


    sources :

    Reprise d’une affiche déjà parue en 1898.


    1898

    1910

    1902

    [s.d.]
    Affiches liées