une

 

 
 

Affichage par année

1603 affiches :

 







    [J’aime le cinéma, je vais au TPFA]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    J’aime le cinéma, je vais au TPFA]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 45 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (caricature de la justice militaire, marchant au pas) ]

    texte :

    J’aime le cinéma, je vais au TPFA

    Entrée libre et gratuite

    Adresses des tribunaux permanents des forces armées

    Paris : […]
    Lyon : […]
    Lille : […]
    Metz : […]
    Rennes : […]
    Bordeaux : […]
    Marseille : […]
    Papeete : […]
    Landau : […]

    [cadre vide :] Jour des séances
    [cadre vide :] Adresse du collectif anti-TPFA le plus proche

    Imp. spéc.


    sources :
     


    [Kam naar de laatste taptoe !!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Kam naar de laatste taptoe !!]. — Den Bosch Bois-le-Duc : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce , papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; armée  ; pacifisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photos : la garde qui défile ; manifestants avec banderole "Militarisering stop taptoe donder op" ; logo pacifiste ]

    texte :

    Kom naar de laatste taptoe !!

    Breda, aksietien daagse, 21-30 aug.

    Taptoe
    — geldverspilling[…]
    — reklame […]
    — sluipende […]

    geen mens, geen cent, geen feest voor leger !

    onkruit, postbus 1281 Den Bosch


    sources :
     





    [La papillonne : pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La papillonne : pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance]. — Marseille : Acratie (Marseille), [ca ] (Encre noire (Marseille)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier violet ) ; 45 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation  ; enfants et enfance
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (tête d’enfant) ]

    texte :

    Acratie

    Association culturelle régionale d’anthropologie théorique et d’intervention expérimentale

    La Papillonne

    Pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance

    Comme notre temps est à la recherche du nom qui pourrait le mieux en exprimer l’esprit, bien des termes ont été proposés, qui tous prétendent être le bon. De quelque côté qu’on se tourne, l’époque actuelle présente le spectacle le plus chaotique des tumultes partisans et les grands hommes du temps se rassemblent, tels des vautours, autour de l’héritage caduc du passé. Partout abondent les dépouilles politiques, sociales, ecclésiastiques, artistiques, morales et autres, et tant qu’elles ne seront pas consumées, l’air ne sera pas pur et les êtres vivants resteront oppressés.

    Sans notre intervention, notre temps ne donnera pas naissance au terme adéquat ; nous devons tous y travailler ensemble. Pourtant, si cette œuvre dépend de nous, il est bon que nous nous demandions ce que l’on a fait de nous et ce que l’on se pro-pose de faire de nous ; quelle est donc cette éducation grâce à laquelle on tente de faire de noua les créateurs de ce terme ?

    Si notre époque, après avoir conquis la liberté de pensée, désire la parfaire en liberté de volonté pour faire de celle-ci le principe , d’une ère nouvelle, l’objectif final de l’éducation ne peut plus être le Savoir, mais le Vouloir né du Savoir et, pour exprimer de façon frappante le but des efforts de l’éducation, nous dirons qu’il est l’homme personnel ou libre. La vérité même de l’homme n’est rien d’autre que la révélation de sa nature propre et pour cela il lui faut se découvrir lui-même, se libérer de tout ce qui lui est étranger, s’abstraire à l’extrême ou se débarrasser de toute autorité, reconquérir sa naïveté. L’école ne forme pas d’hommes aussi foncièrement trais ; s’il y en a cependant, c’est bien malgré l’école.

    En pédagogie, comme dans d’autres domaines, la liberté n’a pas droit de cité, notre faculté d’opposition ne peut pas s’exprimer ; on ne veut que de la soumission. Le but est seulement de dresser à comprendre la forme et la matière : des ménageries des humanistes ne sortent que des lettrés, de celles des réalistes que des citoyens utilisables et, dans les deux cas, rien que des individus soumis. On étouffe par la force notre saine tendance à l’indiscipline et l’on empêche en même temps le Savoir de se développer en Volonté libre.

    Aussitôt que l’homme met son point d’honneur à se sentir, à se connaître, à se réaliser — ainsi donc dans le sentiment et la conscience de soi et dans la liberté — il s’efforce alors de mettre fin à son ignorance, car celle-ci fait de l’objet étranger et pour lui incompréhensible une barrière, un obstacle à la connaissance de soi. Si l’idée de liberté s’éveille chez l’homme, une fois libre il ne cesse de continuer de se libérer ; mais s’il n’est que cultivé, il s’adaptera aux circonstances en personne hautement cultivée et raffinée et ne sera plus qu’un serviteur à l’âme soumise. Que sont donc, pour la plupart, nos personnages riches d’esprit et de culture ? Des marchands d’esclaves es au sourire hautain, des esclaves eux-mêmes.

    55, rue Berlioz - 13006 Marseille - Tél. (91) 47.33.39

    Imprimerie Encre noire


    sources :
     



    [Laat de kak hun kroning]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Laat de kak hun kroning]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte inscrit dans un dessin (toit de maison et fumée par la cheminée) ]

    texte :

    Laat de kak hun kroning

    Havens de meer dan 500.000 woningzoekenden

    wij willen eindelijk een woning !

    affiche bestellen [… Tel 073-724423 ?]


    sources :
     


    [lavoratori della scuola]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    lavoratori della scuola]. — Firenze Florence : CNLS coordinamento nazionale lavoratori scuola, [ca ] ([…] in proprio). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : éducation  ; grève
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    testo

    texte :

    Lavoratori della scuola

    L’assalto statale ai nostri livelli salariali, occupazionali e normativi procede a ritmi sempre più incalzanti.

    L’inesistente opposizione del sindacalismo ufficiale si traduce in complicità con il processo di liquidazione delle esigenze fondamentali della categoria e della stessa scuola pubblica.

    La possibilità di arrestare e capovolgere questa tendenza risiede solo nell’impegno diretto di ognuno di noi e in livelli di lotta adeguati all’attacco che ci viene portato :
    — per classi di non più di 20 alunni ;
    — per l’abrogazione dello straordinario obbligatorio ;
    — contro il concorso e i licenziamenti e per immissioni in ruolo basate sull’anzianità di servizio ;
    — per il pagamento puntuale dei supplenti ;
    — contro l’infame decreto Falcucci ;
    — contro le decurtazioni della contingenza e della busta paga.

    blocco degli scrutini

    del 1° quadrimestre

    sciopero a tempo indeterminato dei primi
    o ultimi 25 minuti dell’orario di lezione

    CNLS - Coordinamento Nazionale Lavoratori Scuola

    Per organizzare la mobilitazione e contattare il CNLS : tutti i lunedì e giovedì ore 18-20 in via Palazzuolo134/R (Firenze), tel (055) 282561

    [stampa …]


    sources :
     








    [Lutti nostri Giovanni Zava]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lutti nostri Giovanni Zava]. — Carrara Carrare : Gruppo Bruno Filippi, [ca ] (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une  : noir , papier brun ) ; 84 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Filippi, Bruno (1900-1919)  ; Zava, Giovanni (....-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : nécrologie
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    Lutti nostri

    Nel dare la ferale notizia della scomparsa dell’amato e stimato compagno di fede e di lotte

    Giovanni Zava

    di anni 81 avvenuta il 14 c.m.

    Gli anarchici del Gruppo Bruno Filippi si associano al dolore dei suoi famigliari e di tutti coloro che lo conobbero per lo spirito di cosciente uomo di fede, battagliero per la giustizia e la libertà, altruista e disinteressato. Il suo calvario, il suo curriculum vitae non si può esprimere in un semplice manifesto funebre ; i compagni di questo gruppo non ammutoliranno la eco del suo disprezzo verso i suoi inquisitori, che lo ebbero nel mirino esecrabile anche dell’ultimo blitz.
    Continuino pure l’opera del loro sciacallaggio : per ogni compagno che muore, c’è chi raccoglie la sua bandiera.

    Riposa in pace Giovanni.

    Sempre presenti al W dell’Anarchia

    I funerali avranno luogo oggi, sabato 15, partendo alle ore 17 dalla sede del gruppo Bruno Filippi, Ponte Baroncino

    [stampa…]


    sources :
     








    [Ni dieu, ni maître]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ni dieu, ni maître] / Guido Crepax. — Genève : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier brun ) ; 43 × 61 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : révolution
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ dessins (détournement de la bande dessinée Valentina de Crepax) ]

    texte :

    Il faut en finir avec les dictatures révolutionnaires, les tribunaux révolutionnaires, les chefs révolutionnaires, les guides révolutionnaires, les armées révolutionnaires, les prisons révolutionnaires…

    La révolution ne saurait avoir ni dictatures, ni tribunaux, ni chefs, ni guides, ni armées, ni prisons, ni État, ni gouvernements

    ni dieu, ni maître


    sources :
     


    [No alla tortura]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    No alla tortura]. — La Spezia : Comitato di controinformazione, [ & post] ([…] in proprio). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une  : rouge ) ; 84 × 61 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : prison  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Brigate Rosse
    • Noms cités (± liste positive)  : Fornoli  ; Petrella  ; Rognoni, Virginio
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural  ; soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    No alla tortura

    "... il governo ha condotto, conduce, condurrà la lotta al terrorismo nell’ambito della legalità repubblicana e con tutte le garanzie democratiche..." Questa è la risposta che il D.C. Rognoni, ministro dell’Interno, ha saputo dare alle interrogazioni parlamentari sulle torture praticate nei confronti dei presunti brigatisti o tali.

    In contrapposizione a questa dichiarazione ci sono delle denunce presentate dagli avvocati di Petrella e di Rocco e quella di G. Fornoni.
    Esse dimostrano in maniera inequivocabile come anche in Italia la pratica della tortura nei confronti dei prigionieri politici, sia diventata la norma che, anche se non legalizzata, è praticamente ufficializzata. Come si legge nelle denunce, le tecniche di tortura adottate dalla polizia, hanno raggiunto livelli di annientamento psicofisico che vanno ben oltre i classici pestaggi "tradizionali" : si parla infatti di sevizie, pestaggi, spilli sotto le unghie, bruciature da sigarette, ingerimento continuo di acqua salata, e di misteriose iniezioni che fanno perdere il senso della realtà.

    Per quanto riguarda specificamente Flavio, un compagno che ha sempre diviso con noi l’esperienza politica di questi anni (dalla radio, al centro sociale, alla lotta antinucleare), ci risulta, anche se per via ufficiosa, che sia stato torturato. Sappiamo che al momento dell’arresto gli è stato impedito violentemente di avvertire l’avvocato, e che durante il suo fermo a Firenze ha subito un trattamento "speciale" : sembra che sia stato incappucciato, seviziato e sottoposto ad ogni sorta di minaccia.

    Intendiamo denunciare all’opinione pubblica l’ipocrisia di un governo che pretende di farsi paladino dei diritti umani prima in Polonia e ora in Salvador, ma in casa propria avalla dei metodi tanto cari ai regimi fascisti.

    Pensiamo che per impedire questo stato di cose servano a ben poco le interrogazioni parlamentari, (la risposta di Rognoni tra l’altro lo conferma), ma occorre che si crei nel paese una mobilitazione di massa, per difendere quei diritti e quelle libertà che anche la costituzione italiana garantisce ai detenuti.

    Comitato di Controinformazione (c/o R.P.A)

    Serig. in proprio. SP


    sources :
     






    [Plogoff 1980]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plogoff 1980]. — Nancy : Comité anti Cattenom (Nancy), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : rouge , papier blanc ) ; 57 × 39 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (CRS avec grenade et matraque, sur fond de carte de Bretagne ; logo nucléaire et flèche indiquant l’emplacement de la commune de Plogoff)

    texte :

    Giscard : « Les centrales nucléaires ne seront pas imposées aux populations qui les refusent »

    1980

    Plogoff

    Comité Anti Cattenom de Nancy


    sources :

    Giscard : Valery Giscard d’Estaing, président de la France de 1974 à 1981.









    [Solidarité contre l’État : inculpations au journal Pour]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité contre l’État : inculpations au journal Pour]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : éditions du 22_Mars (Bruxelles) : Groupe autonome libertaire (Bruxelles), [ ?] (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir ) ; [60 ?] × [42 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : censure  ; contrôle social  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (tirée du « Kid » de Chaplin) ]

    texte :

    quand les minorités sont bâillonnée, la majorité reste silencieuse…

    inculpations au journal Pour

    Quand l’État a expulsé un immigré, je me suis dit :
    un immigré de plus ou de moins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
    Quand l’État a tabassé un jeune, je me suis dit :
    un jeune de plus ou de moins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
    Quand l’État a saisi une radio libre, je me suis dit :
    une radio libre de plus ou de moins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
    Quand l’État a arrêté un avocat, je me suis dit :
    un avocat de plus ou de moins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
    Quand l’État a fiché un anarchiste, je me suis dit :
    un anarchiste de plus ou de moins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
    Quand l’État a inculpé un journal d’expression, je me suis dit :
    un journal de plus ou de moins, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.

    Quand l’État est venu te chercher…
    il n’y avait plus personne pour s’inquiéter…

    Solidarité contre l’État

    Groupe autonome libertaires / asbl 22 mars
    2, rue de l’Inquisition - 1040 Bruxelles — Tél. : 02/736 27 76 — 82, rue de la Cible, 1030 Bruxelles


    sources :

    La citation est une déclinaison d’un texte issu d’un sermon du pasteur allemand Martin Niemöller (1892-1984).


    [ 1980 & post]

    [s.d.]

    1987

    1987

    [ca  1980]
    Affiches liées








    [6 heures pour El Salvador et l’Amérique centrale]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    6 heures pour El Salvador et l’Amérique centrale]. — Paris : UTCL (Union des travailleurs communistes libertaires : 1976-1991) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 61 × 43 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; art : cinéma  ; guérilla  ; littérature : poésie  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Amérique Latine  ; Salvador
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (femme aux mains liées par une chaine) ]

    texte :

    6 heures pour El Salvador et l’Amérique centrale

    Films, diapos, musique, chansons, poèmes, débats, exposés, témoignages de journalistes et de médecins de retour d’Amérique centrale

    avec la participation du Front démocratique révolutionnaire

    Participation aux frais : 20 F
    Étudiants, chômeurs : 10 F

    Vendredi 20 mars, de 18 h à 24 h, Mutualité

    4, rue Saint-Victor, 5e - Métro Maubert-Mutualité

    À l’appel
    du Comité de solidarité avec le peuple d’El Salvador du Collectif Guatamala ; du Comité de solidarité avec le Nicaragua et de 200 personnalités

    Avec le soutien de
    ASPAL, Association des chrétiens pour l’abolition de la torture ; CFDT ; Choisir ; Chrétiens pour le socialisme ; CIMADE ; CLA ; Club des droits socialistes de l’homme ; Comité jeunesse pour la paix ; Coordination des comités latino-américains ; France Amérique-latine ; FEN ; Frères des hommes ; Ligue internationale des droits de l’homme ; Ligue internationale des droits de l’homme ; Maison verte ; MLF ; Mouvement rural de la jeunesse chrétienne ; Service civil international : UNEF indépendante et démocratique ; Vie nouvelle ; JOC ; JOCF ; SGEN Paris ; CCA ; FER ; LCR ; OCI ; PCR ; PS ; PSU ; UTCL ; JCR ; UC JR

    Avec
    François Gèze [Guèze ?], Michel Griffon, Edmon Jouve, Laurent Schwartz, Philippe Texier, Pierre Toulat, A. Uribe

    et
    William Armijo, Daniel Gélin, Los Guaranis, Jacinta, Gilbert Lafaille, Francesca Solleville


    sources :
     

    1981
    Affiche liée