Paris

 

 
 

Affichage par année

1941 affiches :

 



    [Misère du féminisme]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Misère du féminisme]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

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    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre bicolore (bleu, blanc, bleu)

    texte :

    Misère du féminisme

    Le rapport le plus naturel de la femme à la femme, c’est le rapport de la femme à l’homme.
    Jenny von Westphalen.

    En opposant à la barbarie sordide du viol la barbarie froide et civilisée de la justice et de la prison, les féministes ne font que dévoiler leur collusion avec l’Etat et la société qu’elles prétendent dénoncer.

    Quant aux avocats, journalistes, politiciens — qui vivent et se nourrissent de l’abomination organisée en la rejetant sur quelques pauvres types — ils ne pensent qu’à enrichir le Code pénal quand il s’agit en fait de le supprimer.

    Morbides et hargneuses, les féministes prétendent représenter les femmes en les opposant fondamentalement aux hommes, en réprimant le besoin de l’autre sexe. Elles reprochent aux hommes d’être des hommes alors que cette qualité leur est déniée par la société.

    C’est là qu’apparaissent leur crispation sur leur propre misère, leur incapacité d’affronter et d’aimer les hommes, leur inaptitude à transformer leurs rapports avec les autres et à s’attaquer aux causes de l’insatisfaction et de l’atomisation sociales.

    Le monde du capital produit toutes sortes d’oppositions fausses pour masquer l’opposition centrale du prolétariat aux rapports marchands et au mode de vie qu’ils ont engendré. Après l’opposition entre jeunes et vieux, le fameux "conflit des générations", mis au rencart par la renaissance des mouvements sociaux depuis les années 60, les féministes nous remettent ça avec l’opposition hommes/ femmes : avoir quasiment réussi à créer un racisme de plus, voilà bien leur plus grande victoire.

    Le mensonge de leur revendication de l’autogestion de la personne humaine — qui veut conserver la société actuelle mais sans les tensions et les heurts qu’elle produit — voudrait faire croire que la femme peut disposer librement de son corps quand il lui faut, pour survivre, et comme les hommes, aliéner toute sa personne dans le travail salarié.

    Merde aux féministes, et chapeau les bombeuses !

    Les amis de la Guerre sociale, juin 1978.

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Affiche anti-féministe d’un groupe d’ultra-gauche qui — sous l’intitulé « les bombeuses à chapeau » — a déjà saccagé la Librairie des femmes le 12 mai 1978 et qui soutiendra aussi le négationnisme du génocide anti-juif (2e Guerre mondiale).
    Voir aussi : https://incendo.noblogs.org/genresetclasses/sur-le-mlf-des-anees-1970/











    [Trans musiques]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Trans musiques]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (saxophoniste aevc chapeau, image de son contour en tête-bêche) ]

    texte :

    Trans musiques

    Vendredi 6 octobre, 19 h et samedi 7 octobre, 14 h

    sous chapiteau, Porte de Pantin, Paris

    Oriental Wind - Compagnie Lubat - Jacques Thollot sextet - Jacques Berrocal Music Ensemble - Michel Portal Unit - Latif Khan - Raymond Boni, Gérard Marais - Herbe Rouge - Daunik Lazro quartet - François Faton Cahon, Didier Lockwood - Zazou Racaille - Pierre Rigaud, Denis Levaillant - Philippe Mate, Dominique Regef - Samy Agostini, Jean-Pierre Arnoux, Jean-François Pauvros

    Places 40 F pour les 2 jours - 20 F par jour - Billets en vente aux 3 FNAC

    […]


    sources :

    Voir aussi : http://www.discogs.com/Various-Trans-Musiques-Concert-Paris/release/1491307






    [Attention, voici le nouveau responsable de la lutte contre l’ennemi antimilitariste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Attention, voici le nouveau responsable de la lutte contre l’ennemi antimilitariste]. — Paris : GRIT (groupe révolutionnaire insoumission totale), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 44 cm.

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    • Vie des mouvements  : Wanted !
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre noir

    photo (portrait d’un haut-fontionnaire)

    texte :

    Attention

    voici le nouveau responsable de la lutte contre l’ennemi antimilitariste

    NOM : BARBEAU
    PRENOM : Charles
    SURNOM : "Barbouze"
    NÉ LE : 23 décembre 1932 à Valence — Age : 46 ans
    PROFESSION : Directeur de la gendarmerie et de la justice militaire depuis le 27 février 1979
    SIGNES PARTICULIERS : Spécialiste des coups fourrés
    REFERENCES :
    — 1958 — E.NA
    — 1960 — Délégation. Générale en Algèrie
    — 1967 — Conseil d’Etat
    — 1974 — Préfet de la Corrèze
    — 1977 — Détaché au ministère de l’Intérieur
    TACHES IMMEDIATES
    — Arrêter et emprisonner les quelques 16000 insoumis en cavale
    — Arrêter et incarcérer les déserteurs passés à l’ennemi intérieur
    — Réduite les demandes de statut d’objecteur
    — Infiltrer et neutraliser les réseaux clandestins d’insoumis totaux
    — Dissoudre les croupes antimilitaristes publiques et les réseaux d’entraide
    — Bayonner la presse antimilitariste
    — Neutraliser les comités de soldats

    Le Groupe Révolutionnaire Insoumission Totale vous souhaite bon courage, Monsieur le Directeur…

    Ici ou ailleurs , à bientôt…

    GRIT


    sources :
     



    [Aux prolétaires]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aux prolétaires]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

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    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Aux prolétaires

    Oh ! Ce sont là de grands coupables et entre tous les plus coupables, ceux en qui le peuple trompé par des phrases de tribun, voyait son épée et son bouclier ; ceux qu’il proclamait avec enthousiasme, arbitres de son avenir.

    Malheur à nous, si, au jour du prochain triomphe, l’indulgence oublieuse des masses laissait monter au pouvoir un de ces hommes qui ont forfait à leur mandat ! Une seconde fois, c’en serait fait de la Révolution.

    Que les travailleurs aient sans cesse devant les yeux, cette liste de noms maudits ! et si un seul apparaissait jamais dans un gouvernement sorti de l’insurrection, qu’ils crient tous, d’une voix : Trahison !

    Discours, sermons, programmes ne seraient encore que piperie et mensonge ; les mêmes jongleurs ne reviendraient que pour exécuter le même tour, avec la même gibecière ; ils formeraient le premier anneau d’une chaîne nouvelle de réaction plus furieuse !

    Sur eux, anathème, s’ils osaient jamais reparaître !

    Honte et pitié sur la foule imbécile qui retomberait encore dans leurs filets.

    Ce n’est pas assez que les escamoteurs de février [1848] soient à jamais repoussés de l’Hôtel-de-Ville, il faut se prémunir contre de nouveaux traîtres.

    Traîtres seraient les gouvernements qui, élevés sur les pavois prolétaires, ne feraient pas opérer à l’instant même :
    1° Le désarmement des gardes bourgeoises ;
    2° L’armement et l’organisation en milice nationale de tous les ouvriers.

    Sans doute, il est bien d’autres mesures indispensables, mais elles sortiraient naturellement de ce premier acte qui est la garantie préalable, l’unique gage de sécurité pour le Peuple.

    Il ne doit pas rester un fusil aux mains de la Bourgeoisie. Hors de là, point de salut.

    Les doctrines diverses qui se disputent aujourd’hui les sympathies des masses, pourront un jour réaliser leurs promesses d’amélioration et de bien-être, mais à la condition de ne pas abandonner la proie pour l’ombre.

    Les armes et l’organisation, voilà l’élément décisif du progrès, le moyen sérieux d’en finir avec la misère.

    Qui a du fer, a du pain.

    On se prosterne devant les baïonnettes, on balaye les cohues désarmées. La France, hérissée de travailleurs en armes, c’est l’avènement du socialisme. En présence des prolétaires armés, obstacles, résistances, impossibilités, tout disparaîtra.

    Mais, pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par des plantations d’arbres de liberté, par des phrases sonores d’avocat, il y aura de l’eau bénite d’abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours. Que le peuple choisisse !

    (Blanqui, Toast de Londres, 1851)

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?










    [Contre les défenseurs de la condition prolétarienne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre les défenseurs de la condition prolétarienne]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Contre les défenseurs de la condition prolétarienne

    Si les auteurs socialistes attribuent au prolétariat ce rôle historique, ce n’est pas du tout, comme la Critique critique affecte de le croire, parce qu’ils considèrent les prolétaires comme des dieux. C’est plutôt l’inverse. Dans le prolétariat pleinement développé se trouve pratiquement achevée l’abstraction de toute humanité, même de l’apparence d’humanité ; dans les conditions de vie du prolétariat se trouvent condensées toutes les conditions de vie de la société actuelle dans ce qu’elles peuvent avoir de plus inhumain. Dans le prolétariat, l’homme s’est en effet perdu lui-même, mais il a acquis en même temps la conscience théorique de cette perte ; de plus, la misère qu’il ne peut plus éviter ni farder, la misère qui s’impose à lui inéluctablement — expression pratique de la nécessité —, le contraint directement à se révolter contre pareille inhumanité ; c’est pourquoi le prolétariat peut, et doit nécessairement, se libérer lui-même. Or il ne peut se libérer lui-même sans abolir ses propres conditions de vie. Il ne peut abolir ses propres conditions de vie sans abolir toutes les conditions de vie inhumaines de la société actuelle, que résume sa propre situation. Ce n’est pas en vain qu’il passe par la rude, mais fortifiante école du travail. Il ne s’agit pas de savoir quel but tel ou tel prolétaire, ou même le prolétariat tout entier, se représente momentanément. Il s’agit de savoir ce que le prolétariat est et ce qu’il sera obligé historiquement de faire, conformément à cet être. Son but et son action historique lui sont tracés, de manière tangible et irrévocable, dans sa propre situation, comme dans toute l’organisation de la société bourgeoise actuelle.

    (Marx, La Sainte Famille, 1845 )

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?







    [Harangue des Ciompi à Florence]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Harangue des Ciompi à Florence]. — Paris ; Toulouse : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier de couleur ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : luttes ouvrières  ; situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Lutanie, Jean-Claude (1951-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Harangue des Ciompi à Florence

    Rééditée à l’usage des prolétaires de Longwy

    Si nous avions à trancher maintenant s’il faut ou non prendre les armes, brûler et piller les maisons, dépouiller les églises, je serais de ceux qui jugeraient bon d’y regarder à deux fois, et peut-être bien que j’approuverais ceux qui préfèrent une misère tranquille à des profits périlleux. Mais du moment qu’on a déjà pris les armes et commis pas mal de méfaits, je crois que la seule chose à considérer, c’est si on ne doit pas les garder, er comment nous pouvons échapper aux conséquences des méfaits commis. Or, c’est la nécessité, j’en suis convaincu, qui nous le conseille. Vous le voyez : la ville entière retentit de plaintes haineuses contre nous, les citoyens se groupent, la Seigneurie se met toujours du côté des magistrats. Vous pouvez croire qu’on tresse de la corde pour nous, qu’on fait de nouveaux préparatifs contre nos têtes. Donc, pour nous, deux objets à nos décisions, deux buts : l’un, échapper au châtiment de nos méfaits de ces jours derniers ; l’autre, nous assurer pour les jours à venir une existence plus libre et plus contente. Il nous faut donc, à mon avis, si nous voulons qu’on nous pardonne les vieux péchés, en commettre de tout neufs, en redoublant de forfaits, en multipliant incendies et déprédations. Il faut nous assurer le plus grand nombre possible de compères, car là où l’on est nombreux à mal faire, personne n’est puni ; car ce sont les peccadilles que l’on châtie ; les grands forfaits, on les récompense ; car l où tout le monde est frappé, personne ne pense à se venger ; car le tort qui est fait à tous, on le rend en patience, plus que celui qui vous est fait à vous. Par conséquent, multiplier les méfaits nous vaudra plus facilement l’impunité, et, de plus, les moyens d’obtenir ce qu’il nous faut pour être libres.

    (1378, cité dans Histoires florentines de Machiavel)

    Imprimerie très spéciale


    sources :

    Affiche réalisée par Jean-Claude Lutanie (source correspondance Manon Lutanie).
    Texte d’après Machiavel, Histoires florentines (1378). Allusion aux luttes des sidérurgistes de Longwy en 1979.

    Ou publié par les Amis de la Guerre sociale ?














    [Proclamation au peuple français]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Proclamation au peuple français]. — Paris : La (1977-1985) Guerre sociale, [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 63 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : égalité et inégalité
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1789-1848
    • Noms cités (± liste positive)  : Maréchal, Sylvain (1750-1803)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte dans un cadre tricolore (noir, blanc, rouge)

    texte :

    Proclamation au peuple français

    La révolution française n’est que l’avant-courrière d’une autre révolution bien plus grande, bien plus solennelle, et qui sera la dernière.

    Le peuple a marché sur le corps aux rois et aux prêtres coalisés contre lui : il en fera de même aux nouveaux tyrans, aux nouveaux tartuffes politiques assis à la place des anciens.

    Ce qu’il nous faut de plus que l’égalité des droits ?

    Il nous faut non pas seulement cette égalité transcrite dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, nous la voulons au milieu de nous, sous le toit de nos maisons. Nous consentons à tout pour elle, à faire table rase pour nous en tenir à elle seule. Périssent, s’il le faut, tous les arts, pourvu qu’il nous reste l’égalité réelle !

    Législateurs et gouvernants qui n’avez pas plus de génie que de bonne foi, propriétaires riches et sans entrailles, en vain essayez-vous de neutraliser notre sainte entreprise en disant : Ils ne font que reproduire cette loi agraire demandée plus d’une fois déjà avant eux.

    Calomniateurs, taisez-vous à votre tour, et dans le silence de la confusion, écoutez nos prétentions dictées par la nature et basées sur la justice.

    La loi agraire ou le partage des campagnes fut le vœu instantané de quelques soldats sans principes, de quelques peuplades mues par leur instinct plutôt que par la raison. Nous tendons à quelque chose de plus sublime et de plus équitable : Le bien commun ou la communauté des biens ! Plus de propriété individuelle des terres, la terre n’est à personne ! Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre : Les fruits sont à tout le monde.

    Nous déclarons ne pouvoir souffrir d’avantage que la très grande majorité des hommes travaille et sue au service et pour le bon plaisir de l’extrême minorité.

    Assez et trop longtemps moins d’un million d’individus dispose de ce qui appartient à plus de vingt millions de leurs semblables, de leurs égaux.

    Qu’il cesse enfin, ce grand scandale que nos neveux ne voudront pas croire ! Disparaissez enfin, révoltantes distinctions de riches et de pauvres, de grands et de petits, de maîtres et de valets, de gouvernants et de gouvernés.

    (Sylvain Maréchal, Manifeste des égaux, 1796)

    Imprimerie spéciale


    sources :

    Publié par les Amis de la Guerre sociale ?



    [Salut fraternel aux prolétaires iraniens et kurdes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Salut fraternel aux prolétaires iraniens et kurdes]. — Paris : [s.n.], (Édit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , vert , papier vert ) ; 63 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)  ; situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Iran
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (français et farsi) ; photo (mur avec graffitis) ]

    texte :

    Salut fraternel aux prolétaires iraniens et kurdes

    [légende en français] La grande mosquée de Paris, lors de la cérémonie pour la mort de l’ayatollah Taleghani, le 12.09.1979
    [photo]
    [légende en farsi] 12.09.1979 […]

    [الكرخ امنيتي سعلو قرونا

    اصل مستاوفتا عطل البي الها

    ولي عهد الظاا جاء وقت الفرح

    تا فیقوا الحیاة و هلموا ا نرخ

    حسین أخوباة الی ک یال

    با پسرای وکس دستان
     ?]

    […]


    sources :

    Affiche présenté comme une dénonciation de la révolution religieuse iranienne par l’« extrême gauche radicale » par une librairie spécialisée.