orange

 

 
 

Affichage par année

120 affiches :

 

    [1938 Gründe gegen Haider]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    1938 Gründe gegen Haider]. — Wien Vienne : RAW_ (Rosa Antifa Wien) : RBH_ (Revolutionsbräuhof) ; [et al.], [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 59 cm.

    • Affiches par pays  : Autriche
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : extrême-droite
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (anti-Jörg Haider, avec une citation de Jörg Haider pour le Troisième Reich) ]

    texte :

    1938 Gründe gegen Haider :

    „747 : Im Dritten Reich haben sie eine anständige Beschäftigungspolitik gemacht, was nicht einmal ihre Regierung in Wien zusammenbringt“
    (Jörg Haider am 13. Juni 1991 im Kärntner Landtag)

    Keine FPÖ in der Regierung — für eine Ausgrenzung der FPÖ !

    Eine Initiative von : Fachschaft Informatik • Grün-Alternative Jugend • Grün-Alternative Studentinnen Graz • Infoladen 10 • Infoladen Wels • Lotta Dura • KPÖ-Grundorganisation Sparbersbachgasse • Kulturverein Sägefisch • Ökologische Linke • Revolutionsbräuhof (RBH) • Rosa Antifa Wien (RAW) • Sozialistische Offensive Vorwärts (SOV)

    Medieninhaber, Herausgeber und Hersteller : Revolutionsbräuhof ; Hahngasse 15, 1090 Wien • Verlags- und Herstellungsort : Wien


    sources :

    ca 1999 (ou ca 2004 ?)


    [ca  2004]
    Affiche liée


    [Café-Musiques Le Loup Noir]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Café-Musiques Le Loup Noir]. — Merlieux-et-Fouquerolles : Nwèr Leu - Le Loup Noir, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : orange , vert , violet ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Utgé Royo, Serge (1947-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ programme de déc. 1999 à févr. 2000 des concerts du Loup Noir ]

    affiche et bandeau couleurs (14x40 cm).

    texte :

    Café-Musiques Le Loup Noir

    décembre

    Samedi 11 - 20 h 30
    Kent - chanson

    Samedi 18 - 20 h 30
    Sonido - jazz des Caraïbes

    Samedi 31 - 21 h
    Soirée africaine - repas concert

    janvier

    Samedi 8 - 17 h - Débat : « La Chanson engagée et militante depuis le XIXe siècle »
    20 h 30 - Utgé Royo - chanson

    Samedi 18 - 20 h 30
    Fils de Teupu / Les Frères Laburne - fanfare - chanson française

    Samedi 29 - 20 h 30
    Boost / Tribe Area - métal

    février

    Samedi 12 - 20 h 30
    El Sikamaya - andalou algérien

    Samedi 26 - 20 h 30
    Ezekiel / Wild Open Cage - techno

    [logos] Le conseil régional de Picardie - L’Aisne - Ministère de la Culture. DRAC Picardie - Fondation Vivendi

    30, rue de Fouquerolles - 03 23 80 17 94

    Merlieux

    Imprimerie Recto-Verso Laon


    sources :
     




    [Wie stemt, stemt toe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Wie stemt, stemt toe]. — Leuven Louvain : Collectief Zonder Stembiljet (Leuven), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 34 × 34 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; fond de « A cerclés » organiques ]

    texte :

    Wie stemt, stemt toe

    Na vier jaar klinkt het beleid het valst.

    Temmen verkiezen de verkozenen dan ?

    Om het volk te bestemmen moeten we dan gaan stemmen, om hun onderdrukkend beleid te kunnen blijven belijden.

    Zo laten ze ons in de waan van inspraak te hebben in het beleid !

    Stem niet toe maar laat je stem blijken.

    Inspraak in je leefomgeving : (werk, school, buurt, thuis) brengt je het verst.

    Zo wordt je pas mens als je je mening kan laten gelden om te overleggen.

    Dat is democratie, startend van de basis.

    Ver is het anarchisme dan niet, ver van de verkiezingen !

    Stem niet, denk en handel zelf !

    Voor meer informatie : Collectief Zonder Stembiljet, Janseniusstraat 27, 3000 Leven.

    Voor meer actie : Betoging op 5 juni in Aalst 14.00 u station : KArNavAL oP 13 jUNi ?!


    sources :

    Série de 5 affiches carrées.


    1999

    1999

    1999

    1999

    [s.d.]
    Affiches liées








    [Solidarité avec les prisonniers en lutte]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec les prisonniers en lutte]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte avec reproduction de graffitis et photo des mutins de Clairvaux ]

    texte :

    Solidarité avec les prisonniers en lutte

    La politique du gouvernement c’est :

    1-Des condamnations toujours plus lourdes et plus nombreuses

    2-La dégradation systématique des conditions de détention : cration des ERIS (matons cagoulés), harcèlement, torture par isolement ou entassement, raréfaction des aménagements de peine, etc.

    Les prisonniers ont raison de se révolter

    Le 16 avril 2003, des prisonniers de la centrale de Clairvaux se sont révoltés contre ses conditions de survie. Une partie des ateliers a été incendiée.

    12 prisonniers ont été inculpés, beaucoup d’autres transférés et/ou placés en Quartiers d’isolement. Un premier procès en mars 2004 leur a valu de lourdes peines supplémentaires, enterrés dans des Centrales de Haute Sécurité. Ils font appel afin que le procès soit celui du système carcéral et de la politique sécuritaire. La date de l’audience n’est pas encore fixée, pour la connaître : http://vivelesmutins.freeservers.com

    [photo avec banderole :] « Ils veulent nous tuer »

    Solidarité avec les mutins de Clairvaux, soyons présents à leur procès en appel à Reims

    Avec les prisonniers, nous exigeons :
    — obtention automatique des conditionnelles
    — suppression des ERIS (matons cagoulés)
    — fin des quartiers d’isolement et mitards
    — rapprochement familial et affinitaire
    — stop à la construction de nouvelles prisons

    N’attendons pas d’être en taule


    sources :
     










    [Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Brisons la routine macabre de la machine à expulser !]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 59 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce) ; photo (une fillette blanche et un garçonnet noir jouent dans la rue) ]

    texte :

    Brisons la routine macabre de la machine à expulser !

    Dans le monde entier, la guerre et la misère sont utilisées pour renforcer la domination et maintenir le règne de la marchandise. Des millions d’hommes et de femmes tentent alors de fuir leur condition et atterrissent dans les métropoles occidentales… quand elles ne meurent pas devant les fils barbelés des frontières, noyées en méditerranée, asphyxiées dans des avions, ou encore abandonnées dans le désert par des trafiquants d’êtres humains ou par la police.

    Ceux qui parviennent jusqu’ici sont alors accueillis par la terreur quotidienne des rafles et des contrôles dans la rue, par des conditions de vie qui rappellent souvent celles qu’ils ont fuies, par des centres fermés et le racisme qui fait d’eux un ennemi social. Ces indésirables ne servent pas seulement à alimenter la machinerie capitaliste à la recherche d’une exploitation sans frontières, mais aussi à faire figure d’étranger pour canaliser le mécontentement des prolétaires vers leurs semblables.

    L’intégration dans des communautés autoritaires fondées principalement sur la religion et le nationalisme empêche qu’ils ne s’attaquent à ce qui les opprime. Alors que désormais, il n’y a que dans la révolte que les indésirables, d’ici et d’ailleurs, pourront se reconnaître et forger des complicités pour affronter ce monde.

    En effet, la machine n’est pas si bien huilée que ça. Dans les aéroports, chaque jour, des sans-papiers résistent contre leur expulsion. Dans les centres fermés, comme dans les prisons, les enfermés se mutinent, s’évadent et brisent ainsi la routine macabre de la ma-chine à expulser. Dans les rues, où règnent la police et le racisme, des contrôles tournent parfois au vinaigre, peu à peu les indésirables sortent de l’ombre et rompent la cadence de la résignation.

    Les gérants et les collaborateurs de la machine à expulser ne sont pas anonymes : l’Office des Étrangers, Fedasil, la police, les contrôleurs dans les transports en commun, tous les partis politiques, les entreprises comme Sodexho, la Banque de la Poste, ISS Cleaning, Horeservi, SN Brussels Airlines, et des institutions comme Caritas et la Croix Rouge participent à la gestion de ces véritables camps de déportation.

    Diffusons la révolte...

    Détruisons les centres fermés et les prisons


    sources :
     


    [Repas gratuit pour toutes et tous : Resto trottoir, rendez-vous le dernier dimanche de chaque mois]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour toutes et tous : Resto trottoir, rendez-vous le dernier dimanche de chaque mois]. — Besançon : Autodidacte (librairie L’) : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (quadri  : noir , bleu , orange , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; économie : agriculture  ; luttes rurales et paysannes  ; luttes urbaines  ; manifeste
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (citrouille, brandissant des légumes, au dessus d’une foule ; divers phylactères : « des biens communs pas des profits », « de la bouffe pas des bombes », « des écoles pas des casernes », « des maisons pas des prisons », « des soins pas des potions », « des légumes pas du bitume », « des frites pas des flics ») ]

    texte :

    Resto Trottoir - collectif Food Not Bombs Besançon

    Repas gratuit pour toutes et tous

    dès 12 h 30, place Marulaz
    Rendez-vous le dernier dimanche de chaque mois

    • La rue est devenue un espace marchand
    Les centres villes sont dédiés au commerce au détriment des autres activités sociales. Pour imposer cet ordre marchand, les autorités repoussent les populations indésirables à la périphérie de la ville. interdire de différentes manières tout un tas de petits regroupements, réprimer des manifestations, contrôler les bars, cloisonner l’espace urbain, c’est priver la rue de toute vie. C’est pour cette raison que le Resto trottoir juge légitime de se réapproprier la rue.

    La rue est à nous ! Nous avons les moyens d’agir. par exemple :

    • La rue comme espace démocratique et de discussion
    La démocratie directe se construit collectivement sur les places publiques par des échanges et débats entre les habitant.e.s et non dans les urnes qui confisquent le pouvoir politique au profit d’une minorité.

    • La gratuité, une arme contre le système marchand
    La rue peut être un lieu d’échanges gratuits, de services entre voisin.e.s. Les zones de gratuité permettent à tous.tes, de pouvoir accéder aux objets et aux évènements. Le prix libre permet d’avoir des échanges sans profit basés sur l’appréciation de chacun e de ses propres moyens.

    • La réappropriation de la rue et des murs par l’expression populaire
    La propagande publicitaire envahit nos villes et nous impose la surconsommation, le gaspillage et des rapports sociaux stéréotypés. La rue doit redevenir un lieu d’expression populaire et non un espace contrôlé par le pouvoir politique et les marchands. Dans cette idée, nous pouvons peindre, graffer, tagger, signifier notre présence…

    • La réappropriation des espaces de vie et de circulation
    Pour des espaces verts intégrés à la ville Guérilla jardinière ! Semons, plantons, fleurs, arbres et légumes partout où c’est possible. Pour des transport non polluants ou collectifs qui ne monopolisent pas l’espace urbain. Pour une circulation lente et des espaces conviviaux qui favorisent le hasard des rencontres propices aux échanges.

    [dessin]

    Food not bombs

    Je ne bouffe pas des bombes

    Le Resto trottoir organise chaque mois un repas convivial dans la rue. Ce repas est gratuit, végétal, non exclusif et constitué à partir de nourriture donnée ou destinée à être jetée.

    Ces repas sont l’occasion d’échanges et de rencontres (par exemple autour de la table de presse) mais c’est aussi un espace alternatif au capitalisme, à sa logique de surproduction et de gaspillage, à son système de hiérarchisation et d’exclusion.

    Le collectif resto-trottoir se réunit chaque mercredi du mois à 19 h à la librairie l’Autodidacte pour
    organiser le repas suivant selon les principes de la démocratie directe et de l’horizontalité permettant ainsi à chacun.e de participer aux différentes étapes de ce processus pensé et réalisé collectivement. Une « zone de gratuité » se tient également ouverte à cette occasion afin d’échanger, en marge des rapports marchands, les objets (vêtements, livres, vaisselle, jouets…) devenus inutiles pour certains mais précieux pour d’autres.

    Des moments festifs et/ou revendicatifs peuvent avoir lieu en fonction d’initiatives.


    sources :
     


    [Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos (mutins ; barbelés) ]

    texte :

    Le centre de rétention administratif de Vincennes était la plus grande prison pour sains-papiers de France. Le 21 juin 2008, un détenu qui avait réclamé en vain des médicaments y est mort. Le lendemain, le 22 juin, au cours d’une révolte collective, le centre est parti en fumée. 10 personnes sont inculpées pour cette révolte. Être solidaire des inculpés de l’incendie de Vincennes, c’est être solidaire de toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, se révoltent contre un monde où des millions de vies sont suspendues à des bouts de papiers.

    Solidarité avec les inculpés de la révolte de Vincennes

    Procès

    du 25 au 27 janvier
    13 h 30 au TGI de Paris, Mº Cité

    Semaine de solidarité

    du 17 au 24 janvier


    sources :
     



    [Φτώχεια εκμετάλλευση κρατική τρομοκρατία εξαθλίωση-καταπίεση ]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Φτώχεια εκμετάλλευση κρατική τρομοκρατία εξαθλίωση-καταπίεση ]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (blanc ou noir) sur fond orange ]

    texte :

    Φτώχεια εκμετάλλευση κρατική τρομοκρατία εξαθλίωση-καταπίεση

    Φτώχεια-εξαθλίωση-καταπίεση-εκμετάλλευση : τέσσερις λέξεις που χαρακτηρίζουν το παρόν και το μέλλον που επιφυλάσσουν και επιβάλλουν με κάθε μέσο οι κυρίαρχοι στην κοινωνία. Ταυτόχρονα, προωθούν σαν μόνη λύση για την επιβίωσή μας τον αλληλοσπαραγμό των από τα κάτω, την εφαρμογή του νόμου της ζούγκλας, όπου επικρατεί ο πιο δυνατός. Μια συνθήκη ζωής στην οποία θα κυριαρχεί ο κοινωνικός κανιβαλισμός. Παράλληλα, όποιος δεν συμμορφώνεται, δεν συναινεί στους αντικοινωνικούς τους σχεδιασμούς και επιλέγει το δρόμο της αντίστασης έρχεται αντιμέτωπος με την κρατική καταστολή και τρομοκρατία.

    Μέσα σε αυτήν τη συνθήκη επιστρατεύονται οι κάθε λογής παρακρατικές-φασιστικές συμμορίες, οι οποίες, μυρίζοντας το φόβο και το ανθρώπινο αίμα, βγαίνουν από τις τρύπες τους και με το δάκτυλο υποδεικνύουν ως εχθρό το διπλανό μας, τον πιο εξαθλιωμένο, το μετανάστη, τον άστεγο, τον πιο αδύναμο. Έτσι συνέβη και με αφορμή την αποτρόπαια δολοφονία του 44χρονου Μανώλη Καντάρη, για μια βιντεοκάμερα. Τις επόμενες ημέρες στην περιοχή γύρω από το σημείο της δολοφονίας και μέχρι την Ομόνοια εκτυλίσσονται σκηνές αγριότητας : ομάδες ακροδεξιών με μαχαίρια, κράνη, παλούκια μαχαιρώνουν και ξυλοκοπούν αδιακρίτως μετανάστες, σπάνε τα μαγαζιά και τα σπίτια τους. Οι διάφοροι παρακρατικοί φασίστες, χέρι χέρι με ένα συρφετό από υστερικούς πατριώτες και ρατσιστές, με την προστασία και επίβλεψη της αστυνομίας και υπό τα παραληρήματα και τις φονικές ιαχές των ΜΜΕ, εξαπέλυσαν για πέντε μέρες πογκρόμ εναντίον των από κάτω, των πιο αδύναμων, των πιο ευάλωτων, των μεταναστών. Οι τελευταίοι αποτέλεσαν τον εύκολο στόχο για τα αγελαία ένστικτα όσων δεν θέλουν να αντικρίσουν την πραγματικότητα και, καθοδηγούμενοι από τα διάφορα φασιστοειδή, επιλέγουν τη λύση που τους προσφέρει το κράτος – άλλωστε, τα πογκρόμ αποτέλεσαν και αποτελούν τη συμπύκνωση της μεταναστευτικής του πολιτικής. Ταυτόχρονα, οι φασίστες, καθοδηγούμενοι και επικουρούμενοι από τις δυνάμεις καταστολής, επιτέθηκαν στις καταλήψεις Σκαραμαγκά και Villa Amalias, οι οποίες βρίσκονταν κοντά στο χώρο της δολοφονίας του Μ. Καντάρη και στέκονταν εμπόδιο στα κανιβαλιστικά τους σχέδια, όπως αποτελούν τόσα χρόνια εμπόδιο στα αντικοινωνικά σχέδια του κράτους και ταυτόχρονα εφαλτήρια αγώνα. Φυσικά, ο κόσμος της ελευθερίας και της αλληλεγγύης περιφρούρησε τα απελευθερωμένα κοινωνικά εδάφη και έτρεψε σε φυγή τα παρακρατικά ανδρείκελα της « χρυσής αυγής ».

    Καταλαβαίνουμε λοιπόν πως, όσοι δεν δέχονται την καταπίεση, την εκμετάλλευση, τον κοινωνικό κανιβαλισμό και το φόβο ως όρους ζωής, έρχονται αντιμέτωποι είτε με τις παρακρατικές συμμορίες είτε με την κρατική καταστολή, όπως συνέβη στην πανεργατική απεργία της 11ης Μάη, όταν τα ΜΑΤ, εφαρμόζοντας το δόγμα μηδενικής ανοχής, λίγο μετά το Σύνταγμα επιτέθηκαν στην πορεία και ειδικά στα μπλοκ των συνελεύσεων γειτονιάς, των σωματείων βάσης, των εργατικών συλλογικοτήτων, της συνέλευσης αναρχικών για την κοινωνική αυτοδιεύθυνση και της εξωκοινοβουλευτικής αριστεράς. Ξύλο, δολοφονικά χτυπήματα, τόνοι χημικών, χειροβομβίδες κρότου λάμψης, συλλήψεις, δεκάδες αιμόφυρτοι και τραυματισμένοι διαδηλωτές συνέθεταν το σκηνικό. Από τη δολοφονική επίθεση ένας διαδηλωτής έχασε τη σπλήνα του, ενώ τραυματίστηκε πολύ σοβαρά στο κεφάλι ο συναγωνιστής Γιάννης Κ., ο οποίος μεταφέρθηκε σε οριακή κατάσταση για την ίδια του τη ζωή στο Γ.Ν. Νίκαιας με εσωτερική αιμορραγία στο κεφάλι, χειρουργήθηκε άμεσα και νοσηλεύτηκε για μέρες στην εντατική. Επίσης, ένας εκ των συλληφθέντων, ο Φώτης Δ., βρίσκεται προφυλακισμένος με στημένες κατηγορίες από τους μπάτσους, οι οποίοι του φόρτωσαν μια τσάντα με μολότοφ. Η επίθεση στα μπλοκ της αυτοοργάνωσης, της αντιιεραρχίας, των ταξικών και κοινωνικών αντιστάσεων και όσων δεν συναινούν είχε ως στόχο να τρομοκρατήσει, να καταστείλει, να παραδειγματίσει και να καταπνίξει κάθε ανεξέλεγκτη φωνή και χειρονομία η οποία κινείται συλλογικά, ακηδεμόνευτα, οργανωμένα και αδιαμεσολάβητα ενάντια στους αντικοινωνικούς σχεδιασμούς του κράτους και του Κεφαλαίου.

    Γνωρίζουμε ότι η συσσώρευση φτωχών, καταπιεσμένων και εξαθλιωμένων σε συγκεκριμένα και περιορισμένα γεωγραφικά σημεία, όπως συμβαίνει σε διάφορες γειτονιές της Αθήνας, δημιουργεί μεγάλα προβλήματα συνύπαρξης, τα οποία επιτείνονται από τη δράση της μαφίας, η οποία, σε συνεργασία και με την πλάτη του κρατικού μηχανισμού, αποτελεί μια από τις πιο απάνθρωπες και ταυτόχρονα επικερδείς επιχειρήσεις του καπιταλισμού. Αυτό λοιπόν που προωθείται από τους από τα πάνω είναι να επιτεθούμε ο ένας στον άλλο, να στρεφόμαστε ενάντια σε όποιον μας « παίρνει », να μας φταίει ο πιο αδύναμος, να αφήσουμε το φόβο να κυριαρχήσει και να ορίσει την καθημερινότητά μας· να δεχτούμε ότι λύση είναι να θυσιαστούμε στο βωμό του εθνικού συμφέροντος και να μην κοιτάξουμε την πραγματικότητα κατάματα, γιατί θα καταλάβουμε ότι για τα δεινά μας δεν ευθύνεται ο πιο αδύναμος από εμάς ή ο διπλανός μας αλλά το κράτος, τα αφεντικά και οι υπερεθνικοί σχηματισμοί (ΕΕ-ΕΚΤ-ΔΝΤ).

    Όμως, η λύση δεν βρίσκεται στα κελεύσματα των ΜΜΕ για εθνική συστράτευση, στη συναίνεση στα σχέδια λεηλασίας της ζωής μας, στην υποταγή στους από τα πάνω και στον κοινωνικό κανιβαλισμό που θέλουν να μας επιβάλουν. Η λύση βρίσκεται στην αυτοοργάνωση, στη συλλογικότητα, στην αλληλεγγύη, στην αντιιεραρχική οργάνωση των καταπιεσμένων και των εκμεταλλευόμενων, στην ελεύθερη και κοινωνική συνύπαρξη όλων των από τα κάτω, με γνώμονα τον αλληλοσεβασμό, την ανεκτικότητα, την ανθρωπιά, την ισότητα· αναπτύσσοντας κοινωνικά εγχειρήματα και δομές μέσα από τις οποίες θα παίρνουμε τη ζωή στα χέρια μας. Μέσα από συνελεύσεις γειτονιάς, σωματεία βάσης, αυτοδιαχειριζόμενους χώρους αντίστασης, συλλογικές κουζίνες, κινήσεις αλληλοβοήθειας, ανάπτυξη γειτονικών και συντροφικών σχέσεων, σπάζοντας την αποξένωση και τους κοινωνικούς αποκλεισμούς, μακριά από και ενάντια στον καπιταλισμό, τις επιταγές των κυρίαρχων, τους θεσμούς και τις λογικές της διαμεσολάβησης. Μέσα από κοινούς ταξικούς και κοινωνικούς αγώνες ντόπιων και μεταναστών ενάντια στο κράτος και το Κεφάλαιο, για μια κοινωνία χωρίς καταπίεση και εκμετάλλευση, για την ανατροπή και την κοινωνική επανάσταση.

    Συνέλευση αναρχικών για την κοινωνική αυτοδιεύθυνση


    traduction :

    Contre la peur, le terrorisme d’État, l’appauvrissement et le cannibalisme social

    Pauvreté, Exploitation, Terrorisme Étatique, Misère-Cannibalisme

    Des mots qui caractérisent le présent et l’avenir qui nous sont imposés par les dominants avec tous les moyens. S’entretuer, c’est la solution proposée. C’est ainsi que toute sorte de bande fasciste de l’État profond est utilisée en indiquant comme ennemi celui qui est à côté de nous, le plus pauvre, l’immigré, le SDF, le plus faible. Comme par exemple le pogrom contre des dominés qui ont été organisés à l’occasion de l’assassinat brutal de Manolis Kantaris (44 ans) pour un caméscope. Des pogroms auxquels participent des fascistes de l’État profond et des racistes hystériques, sous l’œil et la protection de la police. Tous ceux qui n’acceptent pas l’oppression, l’exploitation, le cannibalisme social et la peur comme critères de vie, ont à faire avec la répression étatique ; par exemple, lors de la grève générale du 11 Mai, les cortèges de l’auto-organisation et de la résistance ont été attaqués et des dizaines des manifestants ont été blessés, parmi eux G. Kaukas qui a été hospitalisé aux urgences pendant des jours et qui a failli perdre sa vie, et Fotis D. emprisonné avec des faux chefs d’inculpation.

    Nous savons que l’accumulation des pauvres, des opprimés et des miséreux crée des grands problèmes au niveau de la vie en communauté. La solution des dominants consiste à s’attaquer l’un à l’autre, à attaquer des cibles faciles, à accuser le plus faible, à laisser dominer la peur, à ne pas regarder la réalité aux yeux parce qu’on comprendra que pour les maux que nous vivons, les responsables sont l’État, les Patrons et les structures supranationales (UE, BCE, FMI).

    Mais la solution n’est pas l’enrôlement national, ni le compromis, ni la soumission, ni le cannibalisme
    La solution se trouve à la solidarité entre les opprimés

    à l’auto-organisation des dominés

    à la collectivité

    à la vie commune libre et sociale

    aux luttes communes des locaux et des immigrés contre l’État et le Capital

    signature : Assemblée d’Anarchistes pour l’Autogestion Sociale

    sinelefsianarchikon@gmail.com


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Ενάντια-στο-φόβο (7 juin 2010).

    Le texte de la notice ne correspond pas au texte de l’affiche.

    sinelefsianarchikon@gmail.com




    [Cineclube Terra Livre apresenta Anarquismo e sindicalismo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Cineclube Terra Livre apresenta Anarquismo e sindicalismo]. — São Paulo : Terra livre (biblioteca), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : noir , orange ) ; [42 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Brésil
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Terra Livre (São Paulo)
    • Liste des thèmes  : mouvement anarchiste : histoire  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Brésil : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Escorel Filho, Lauro (1950-....)  ; Puccini, Fernando  ; Ricardo, João
    • Presse citée  : Plebe, A
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos (N&B) ]

    texte :

    Cineclube Terra Livre
    apresenta

    Anarquismo e sindicalismo

    filmes :

    Libertários (26min, 1976) ★
    Deu n’A Plebe (17min, s/d) ★

    ★★★

    21/08*Dom
    18h * Grátis

    ★★★

    Mostra “Olhares sobre o Movimento Anarquista no Brasil”
    Centro Cineclubista de São Paulo
    Rua Augusta, 1239, c. 13 e 14
    Metrô Consolação ★ São Paulo


    sources :

    mail (11/08/2011) :

    CARTAZ:
    http://i1113.photobucket.com/albums/k519/bibliotecaterralivre/CARTAZCINECLUBELIBERTARIOSPLEBE.jpg

    O CINECLUBE TERRA LIVRE retoma suas atividades e tem o prazer de anunciar a primeira sessão da Mostra “Olhares sobre o Movimento Anarquista no Brasil”, em parceria com o Centro Cineclubista de São Paulo, local de exibição dos filmes.

    Nossa intenção é compreender e debater a relação entre anarquismo e sindicalismo e seu papel na formação da classe operária no Brasil.

    Para isso selecionamos dois filmes que tratam da presença anarquista no movimento operário em São Paulo e no Brasil no início do século XX.

    * Libertários, Lauro Escorel Filho, Brasil, 1976, 26min

    Libertários é o mais antigo documentário sobre o tema produzido no Brasil e foi exibido nos circuito de cineclubes em São Paulo durante a ditadura militar. Não podia haver melhor filme para estrearmos a nova mostra do Cineclube Terra Livre. A película retrata as primeiras organizações dos trabalhadores e suas mobilizações, fortemente influenciados pelos ideais anarquistas.

    * Deu N’A Plebe – A Greve Geral Anarchista de 1917, Fernando Puccini e João Ricardo, s/d, 17 min

    Já o curta Deu n’A Plebe foca a atenção na Greve Geral de 1917 e nas páginas do periódico libertário A Plebe. Contém entrevistas com pesquisadores e é baseado em documentos da época.

    DOMINGO, 21/08, 18 horas

    LOCAL: Centro Cineclubista de São Paulo
    Rua Augusta, 1239, sala 13 – São Paulo
    Próximo ao Metrô Consolação
    Entrada Gratuita

    * * *
    […]

    — 
    Biblioteca Terra Livre
    […]





    [Capitalism is the crisis !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Capitalism is the crisis !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    text

    photos (events : Montreal, Egypt, Greece)

    Ⓐ circled A

    black and red background

    texte :

    All across the world

    ...the politicians and capitalists have put us in a situation of economic and environmental precarity.

    Yet on a global level, people are resisting and fighting for their freedom – from Egypt to Greece, and even in North America – with strikes, occupations, riots, and revolutions.

    Here in Montréal, the tuition fee hikes are just one example of the politicians and capitalists making us pay for their crisis, along with the rising costs of food, transit fare hikes, and social service cuts. They even discuss sucking two more years of work from us by increasing the retirement age.

    Don’t be fooled into “shouldering the burden”. These measures only protect the interests of the bosses.

    [photo :] Montréal : May Day demonstration
    [photo :] Egypt : anti-government protesters attack a riot police van
    [photo :] Greece : strike demonstration against austerity

    Capitalism is the crisis !

    Let’s struggle for life and freedom,
    not for survival !


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/capitalism-is-the-crisis/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/austerityen11x17.cleaned.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées


    [Le capitalisme, c’est la crise !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le capitalisme, c’est la crise !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

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    • Liste des thèmes  : police  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    photos (manifestations : Montréal, Égypte, Grèce)

    A cerclé

    fond noir et rouge

    texte :

    Partout dans le monde,

    les politiciens et les capitalistes nous ont mis dans une situation économique et environnementale précaire.

    À l’échelle globale, des gens résistent et luttent pour leur liberté – de l’Égypte à la Grèce, ainsi qu’en Amérique du Nord – par des grèves, des occupations, des émeutes et des révolutions.

    Ici à Montréal, la hausse des frais de scolarité n’est qu’une illustration de comment les politiciens et les capitalistes nous font payer leur crise. Il y a aussi les augmentations du prix de la nourriture, les tarifs des transports en commun et les coupures dans les services sociaux. Ils discutent même de nous faire travailler deux ans de plus en augmentant l’âge de la retraite.

    Refusez de porter ce fardeau. Ces mesures ne sont là que pour protéger les intérêts des patrons.

    [photo :] Montréal : manifestation du 1er mai

    [photo :] En Égypte : les manifestant.es attaquent une van de flics anti-émeutes

    [photo :] En Grèce : une manif durant la grève contre l’austérité

    Le capitalisme, c’est la crise !

    Luttons pour la vie et la liberté,
    pas seulement pour la survie !


    sources :

    https://mtlcontreinfo.org/le-capitalisme-cest-la-crise/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/austerity11x17.cleaned.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées



    [The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    photos (demonstrations + slogan « Loi 78=guerre ! »)

    texte :

    The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt

    Solidarity with those facing repression for participation in the struggle !

    Since the strike began, the state has tried through its courts and the clubs of its cops to stifle the wave of revolt that has swept across Québec and found solidarity internationally. What started as a student strike has transformed into a massive social movement that the state is trying to crush with its “special law”. This law reveals the true nature of Democracy in a time of crisis where we have effectively confronted the state in a struggle to better our lives in conflict with the interests of capital.

    Throughout this struggle, many comrades have faced the repression of the state through mass detentions now numbering in the thousands, preventative detentions, house raids, and severe conditions (ranging from non-association to exile from the island of Montréal).

    Comrades are also being prosecuted under post-9/11 terrorism charges for minor acts of sabotage in the metro system. There are also all those who, in the course of resisting in the streets, the police have sent to the hospital with broken arms, lost eyes, or in comas. In this society, the position of the cops is clear : they are the guard dogs of the rich, the ones who protect their property and who enforce the social peace which allows the inequalities of society to continue.

    We must hold our heads high and never back down in the face of this repression. Strength to those who continue the struggle in the streets through active resistance and self-defense against the cops ! We express solidarity to all those beaten, jailed, and repressed through the courts. Nothing is forgiven. Nothing is forgotten.

    No to the prosecutions !

    No justice in the courts of the rich !


    traduction :

    Les lois de l’État et les matraques de la police n’arrêteront pas notre révolte

    Solidarité avec celles et ceux qui font face à la répression pour leur participation à la lutte !

    Depuis que la grève est commencée, l’État essaie à travers ses tribunaux et par les matraques de ses flics d’arrêter dans son élan même la vague de révolte qui souffle dans tout le Québec et fait l’objet d’une solidarité internationale. Ce qui a commencé comme une grève étudiante s’est transformé en un mouvement social de masse que l’État essaie de détruire avec sa « loi spéciale ». Cette loi révèle la vraie nature de la « démocratie » dans un temps de crise où les gens confrontent efficacement la paix sociale imposée en s’engageant dans une lutte pour améliorer leurs vies en conflit avec les intérêts du capital.

    À travers cette lutte, plusieurs camarades ont fait face à la répression de l’État : par les détentions de masse qui se chiffrent maintenant à des milliers, les détentions préventives, les descentes dans les domiciles et les conditions sévères (allant de la non-association à l’exil de l’île de Montréal). Des camarades ont aussi été poursuiviEs sous des accusations de terrorisme post-9/11 pour des offenses mineures de sabotage dans le métro. Il y a aussi ceux/celles qui, résistant dans la rue, ont été envoyé par la police à l’hôpital avec des bras cassés, des yeux perdus ou dans le coma. Dans cette société, la position des policiers est claire : ils sont les chiens de garde des riches, ceux qui protègent leur propriété et qui imposent la paix sociale qui permet aux inégalités sociales de se reproduire.

    Nous devons nous tenir la tête haute et ne pas nous écraser devant la répression. Force à ceux/celles qui continuent la lutte dans les rues à travers la résistance active et l’auto-défense contre les policiers ! Nous exprimons notre solidarité à toutes celles/tous ceux qui ont été battuEs, ont été emprisonnéEs et ont été répriméEs dans les tribunaux. Rien n’est pardonné. Rien n’est oublié.

    Pas de poursuites judiciaires !

    Pas de justice dans les tribunaux des riches !


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/the-states-laws-the-cops-clubs-wont-stop-the-revolt/
    2 formats : 11″x17″ 12″x18″ (Copies in print available at La Belle Époque and L’insoumise)
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity11x17.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity12x18.cleaned.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/les-lois-de-letat-et-les-matraques-de-la-police-narreteront-pas-notre-revolte/






    [Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]. — Marseille : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : culture  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte en noir

    filigrane orange (gravure de ville en flammes et inondée — avec humains et guitare dans le flux)

    cadre noir

    texte :

    depuis dix ans Euromed vous fait chantier…

    … avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…

    Depuis 1995, l’opération Euromed impose aux habitants de Marseille une réorganisation totale du centre-ville, aseptisé et sécurisé. Du sur mesure pour les cadres nouvellement installés à la Joliette et les touristes toujours plus abondants dans la capitale pressentie de la future Union euro-méditerranéenne (vaste entreprise de pompage d’énergie et de main d’œuvre des pays du Sud). Cela se traduit pour une grand nombre d’entre nous par la nécessité de partir se loger dans des zones périphériques, chassés pas l’augmentation des loyers et bien d’autres dispositifs de répression économique, quand il ne s’agit pas de rafles et de déportations pour les sans-papiers. Le but du jeu : canaliser encore mieux la circulation de la marchandise, évidemment.

    La nouvelle carte sortie du chapeau : « marseille2013capitaleeuropéennedelaculture », bond en avant dans la mortification de l’ambiance urbaine.

    Avec « marseille2013 », il s’agit pour les gouvernants et les entrepreneurs non seulement d’étendre, vers la Belle-de-mai et Arenc, cette refonte de l’espace, mais aussi de créer un décor scintillant pour faire passer la pilule de la destruction des cultures de résistances et de solidarités (lutter, c’est vivre) : l’alibi culturel n’est qu’un masque jovial, nous divertissant du contrôle et de la collaboration toute citoyenne. Mais l’idée qu’ici le capital n’avance plus à un coup de canon mais précédé d’une milice dansante, bruissante, bigarrée, d’artistes en costumes et de branchés, ne nous est pas encore familière. Pourtant, les artistes (même les « scandaleux » ou les « rebelles ») ont trop souvent été l’avant-garde dévoyée à la pacification des quartiers les plus agités : il suffit de voir comment le Panier, envahi par les ateliers d’artistes et les boutiques d’artisanat subventionnés par la mairie, a été ravalé en « quartier typique et authentique ». Et cela nous rappelle la fonction des acteurs socioculturels, des salles de sport et de concert, après les grandes émeutes du début des années 1980. Avec leurs « armes culturelles de dialogue et de collaboration », ce projet est clairement une bataille de plus dans la guerre sociale en cours, à Marseille comme ailleurs.

    Alors face à cette nouvelle machine de guerre, dont le redéploiement des forces d’occupation du territoire est l’aspect le plus visible, il ne s’agit pas de ne pas collaborer ou d’en profiter pour grappiller quelques subventions, mais bien de passer dans les rangs ennemis, d’imaginer, organiser et diffuser tous les gestes mutins d’une résistance offensive.

    urbanistes, flics, artistes nous construisent ce monde de merde

    détruisons ce qui nous détruit


    sources :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Eurom%C3%A9diterran%C3%A9e
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marseille-Provence_2013







    [Du son contre la prison 2014]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Du son contre la prison 2014]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 46 × 35 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; communication : radio & audiovisuel*  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Radio Dio
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (chanteur en concert à travers un mur de brique percé) ; couleur plus ou moins différente selon les exemplaires ]

    texte :

    Du son contre la prison

    concert hip hop

    vendredi 9 mai 2014

    Retransmis en direct de 21 h à minuit sur Radio Dio 89.5 FM à Saint-Étienne, pour les prisonniers et prisonnières de la maison d’arrêt de la Talaudière

    Tornade — Billie Brelox — Dialctik Musik

    Ursa minor - 11 rue de l’Égalerie - Bellevue - Saint-Étienne

    5 euros + adhésion prix libre — [logo "usine"] PTX

    Retransmis sur les ondes FM de plusieurs autres ville : [logo] Radio Dio 89.5 www.radiodio.org
    + d’infos sur www.facebook.com/dusoncrtrelaprison


    sources :
    Soirées diffusées régulièrement sur d'autres radios comme {Radio Campus Lille}. Voir : [Du son contre la prison, le 9 mai sur ta radio locale]


    [easyCity.org]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    easyCity.org]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : vie_ quotidienne
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    icons

    texte :

    easyTerrorist
    choose from our pre-designed packages

    easyPoor
    no annual fee

    easyFat
    design to suit your needs

    easyHomeless
    combine benefits most important to you

    easyJunk
    puts you in control

    easyWheelchair
    in balance transfers

    easyCity.org


    sources :
     






    [Qu’est-ce que tu regardes ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Qu’est-ce que tu regardes ?]. — Lille : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (vignettes de femmes avec phylactères : « Je suis pas ta jolie », « J’ai pas envie de te eourire », « J’ai pas besoin qu’on me ramène », « Tes compliments ne me font pas plasie », « Laisse-moi tranquille ! », « Mes vêtements ne sont pas une invitation »)

    texte :

    j’en ai marre de regarder ailleurs. de faire semblant de ne pas entendre de changer de trottoir.

    j’en ai marre d’éviter les rues désertes. les wagons trop vides ou trop bondés.

    j’en ai marre de ne pas pouvoir rentrer seule le soir. de respecter le couvre-feu ou d’en assumer les conséquences.

    en rue, dans les transport. au boulot, chaque commentaire, chaque compliment participe au contrôle généralisé des corps et des individues.

    non seulement les femmes doivent correspondre à une norme (hétéro, féminine, mince, belle, souriante, sympa avec les mecs) et celles qui ne s’y soumettent pas sont sanctionnées ; mais même celles qui s’y plient sont condamnées au rappel constant de leur infériorité, leur soumission et leur disponibilité pour les hommes.

    l’espace public reste un des lieux du pouvoir masculin, où les femmes sont en minorité, des étrangères qui ne font que passer par nécessité.

    Qu’est-ce que tu regardes ?

    je ne me laisserai pas exclure par la peur.

    je ne me laisserai pas enfermer dans des endroits qui « me conviennent mieux ».

    si le risque de subir la violence sexiste est la condition de ma liberté,

    alors tous ceux qui l’entretiennent deviennent des ennemis …

    je veux voir des nanas dehors sans leur père leur mari ou leur frèe.

    je veux être traitée comme une personne pas comme un sexe.

    je veux être a l’aise partout et toute heure .


    sources :