anniversaire, commémoration

 

 
 

Affichage par année

335 affiches :

 

    [The Paris Commune… the defence of Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The Paris Commune… the defence of Louise Michel]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 44 × 62 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (portrait de Louise Michel) ]

    texte :

    The Paris Commune… the defence of Louise Michel

    I do not wish to defend myself, I do not wish to he defended. I belong completely to the social revolution, and I declare that I accept complete responsibility t.r all my actions. I accept it completely and without reservations.

    You accuse me of having taken part in the ’corder of the generals ? To that I would reply Yes, if I had been in Montmartre when they wished to have the people fired on. I would not have hesitated to fire myself on those who gave such orders. But I do not understand why they were shot when they were prisoners. and I look on this action as arrant cowardice.

    As for the burning of Paris, yes, I took part in it. I wished to oppose the invader from Versailles with a barrier of flames. I had no accomplices in this action. I acted on my own initiative.

    I am told that I am an accomplice of the Commune. Certainly, yes, since the Commune wanted more than anything else the social revolution, and since the social revolution is the dearest of my desires. More than that, I have the honour of being one of the instigators of the Commune, which by the way had nothing—nothing, as is well known—to do with murders and arson.

    I who was present at all the sittings at the Town Hall, I declare that there was never any question of murder or arson. Do you want to know who are really guilty ? It is the politicians. And perhaps later light will be brought on to all these events wich today it is found quite natural to blame on all partisans of the social revolution. . . .

    But why should I defend myself ? I have already declared that I refuse to do so. ’ton are men who are going to judge me. You sit before me unmasked. You are men and I am only a woman, and yet I look you in the eye. I know quite well that everything I could say will not make the least difference to your sentence. So a single last word before I sit down. We never wanted anything but the triumph of the great principles of the revolution. I swear it my our martyrs who fell at Satory, by our martyrs whom I acclaim loudly, and who will one day have their revenge.

    Once more I belong to you. Do with me what you please. Take my life if you wish. I am not the woman to argue with you for a moment. . . .

    What I claim from you, you who call yourselves a Council of War, who sit as my judges. who do not disguise yourselves as a Commission of Pardons, you who are military men and deliver your judgement in the sight of all, is Satory where our brothers have already fallen.

    I must be cut off from society. You have been told to do so. Well, the Commissioner of the Republic is right. Since it seems that any heart which beats for freedom has the right only to a lump of lead. I too claim my share. If you let me live, I shall never stop crying for revenge, and I shall avenge ms brother, by denouncing the murderers in the Commission for Pardons. . . .

    I have finished. If you are not cowards, kill me !


    sources :

    Publié entre 1970 et 1978.

    Deux formats : 44 × 62 cm et 30 × 46 cm.


    [ 1977 ?]

    [ca  1987]

    1980

    1980

    1983
    Affiches liées













    [Solidarność : appel aux travailleurs du monde entier]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarność : appel aux travailleurs du monde entier]. — Paris : [s.n.], [ ?] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 90 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Pologne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (attaque de miliciens anti-émeute)

    texte :

    Solidarność

    Appel aux travailleurs du monde entier

    À tous les travailleurs !
    À tous ceux que le destin du peuple opprimé de Pologne ne laisse pas indifférents !
    À tous ceux qui, opprimés par leurs propres régimes totalitaires, ne peuvent exprimer librement leur soutien à notre lutte mais qui en parlent entre eux !

    Pour nous, chaque voix est importante. Chaque voix affermit notre moral, nous donne du courage et nous renforce dans la conviction que la voie suivie est une voie juste.

    Par un vote imbécile, la Diète de la République populaire de Pologne a mis notre syndicat hors la loi. Mais personne ne nous empêchera de manifester notre solidarité ouvrière dans la lutte que nous menons pour les droits élémentaires de tout être humain.

    Le 13 décembre a représenté le premier anniversaire de la déclaration de guerre de la junte à la société polonaise. Mais nous ne renonçons pas à la lutte. Les ouvriers ne peuvent être vaincus, ils ne font que subir des défaites et c’est ce qui fonde notre foi dans la victoire finale.

    La classe ouvrière polonaise n’a aucune illusion dans la « bienveillance » du pouvoir sous prétexte qu’il « lève » ou qu’il « suspend » l’état de guerre en Pologne. Car les ouvriers savent qui est responsable de la misère et de la cri-se profonde.

    Armés par l’expérience de la lutte, nous nous lèverons à nouveau. Mais cette fois-ci, on ne pourra pas nous duper. Car il ne peut plus y avoir d’entente avec le pouvoir totalitaire.

    Notre foi repose notamment sur le fait que vous ne nous avez pas abandonnés dans la difficulté. Nous vous remercions de l’aide que vous nous avez apportée jus-qu’ici. Au nom des travailleurs assassinés, condamnés, internés, arrêtés, contraints à la clandestinité, au nom de tous les opprimés, nous vous appelons à maintenir votre aide et votre soutien.

    Notre victoire sera aussi la vôtre dans la lutte pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

    M.K.O.
    Commission interrégionale de défense du syndicat Solidarnosc

    Affiche éditée par le Comité de coordination du syndicat Solidarnosc en France. 120, rue de Crimée, 75019 Paris. Tél. 208 36 12

    Photo Collectif presse


    sources :

    L’adresse (rue de Crimée) est aussi l’une des adresse du « Café des occupants rénovateurs du XIXe ».



    [Un Noël pour les Polonais]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Un Noël pour les Polonais]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , texte en défonce , papier blanc ) ; 65 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; révolte  ; situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)  ; Pologne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Un Noël pour les polonais

    Noël approche

    Au moment où la Pologne n’a d’autre alternative que la victoire du mouvement social ou son écrasement, Paris doit se souvenir qu’il a cent fois dressé des barricades et qu’il a cent fois connu l’humiliation de la défaite. Paris doit contribuer à ce que le mouvement prolétarien en Pologne ne sombre pas dans l’oubli et l’isolement, en créant principalement son propre terrain du renversement du renversement et de l’insurrection.

    Dès à présent, il nous faut parvenir à l’acquisition de matériaux de première nécessité dont les Polonais ont un besoin élémentaire : canons, fusils d’assaut, grenades, mitrailleuses.

    Ainsi pourront-ils substituer aux larmes sans critique des innombrables crétins de tous poils, la critique des armes, la critique en acte.

    Ce qui est à l’ordre du jour, c’est la capacité permanente du mouvement prolétarien international à faire de l’ingérence dans les affaires du monde.

    À l’heure où le mouvement social polonais se préparé à en finir définitivement avec tous ces pouvoirs, le minimum de solidarité que nous pourrions exercer serait par exemple de lyncher, par représailles, un stalinien pour chaque prolétaire ouvrier assassiné, de pendre par sympathie, un bourgeois pour chaque bureaucrate éliminé par les insurgés, et de bruler, par pure humanité, une église pour chaque usine occupée militairement.

    Nous remercions les prolétaires parisiens qui auront manifesté leur amitié aux Polonais et marqué leur solidarité, alors que, là comme ailleurs sont jetées les bases de la suppression universelle des conditions existantes.

    Vive le Pari(s) des insurgés

    Conseil général de la Commune


    sources :
     




    [Errico Malatesta]

    notice :
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    [
    Errico Malatesta]. — Ancona Ancône : Movimento anarchico italiano, (Tipografia Artigiana (Ancona)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : bleu , papier rouge ) ; 101 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : mouvement anarchiste (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Malatesta, Errico (1853-1932)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    Movimento Anarchico Italiano
    Errico Malatesta

    Cinquant’anni orsono, il 22 luglio 1932, moriva a Roma, sorvegliato speciale del fascismo, Errico Malatesta.
    Il pensiero e l’azione di questo rivoluzionario ed anarchico fanno parte integrante della storia del movimento operaio, storia che ad Ancona ha avuto i suoi momenti migliori i cui insegnamenti servono ancor oggi per orientare gli uomini con coerenza e senza incertezze.

    Ad Ancona Malatesta ha dimostrato che l’anarchismo non è ribellismo acefalo e utopistico sogno fuori dalla realtà, ma costruzione costante e diretta di una società nuova, attraverso una lotta decisa contro ogni forma di oppressione che nello Stato, in ogni sua forma ed espressione, trova la sua naturale realizzazione.

    La drammatica realtà che i popoli di ogni parte della terra stanno vivendo, dimostra la lungimiranza del pensiero malatestiano, insieme alla necessità per la salvezza del genere umano, di superare l’attuale assetto sociale basato sulla soggezione dei popoli ai governanti, e sugli ormai assurdi e criminali antagonisti nazionalisti e razzisti che hanno giocato solo a favore dei ceti sfruttatori, e conomici e militari.

    E’ per questo che, oltre il momento commemorativo, noi vogliamo evidenziare la viva attualità di Malatesta e del suo insegnamento.

    Sarà questo il modo migliore di ricordarlo a cinquanta anni dalla sua scomparsa.

    Gli anarchici
    Tip. Artigiana - Ancona


    sources :
     











    [13 octobre 1984 : en solidarité avec les luttes indiennes d’Amérique]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    13 octobre 1984 : en solidarité avec les luttes indiennes d’Amérique]. — Paris : Radio libertaire, (Gondoles, impr. des (Choisy-le-Roi : 1956-2006)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : colonialisme  ; populations autochtones
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Amérique
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin ; photo ]

    texte :

    12 octobre 1492 : avec la « découverte » des Amériques commencent l’impérialisme et la destruction de la culture et des peuples indiens…

    13 octobre 1984 :

    en solidarité avec les luttes indiennes d’Amérique

    à partir de 14h

    Des films
    — « La guerre de pacification en Amazonie », Yes Billon
    — « Le dernier des Miskitos », Yves Billon
    — « Les Miskitos, un défi pour les sandinistes », Yvan Patry
    — « La guerre des Mayas », Jean-Marie Simonet

    Des interventions
    Yves Bataillon, ethnologue, de retour du Nicaragua
    Mario Turpo Choquehanca, représentant en Europe du mouvement indien « Pedro Willxa Apaza »

    De la musique
    Daniel Kiwayo - Florindo Alvis (duo de charangos)

    Des débats

    Des diaporamas etc.

    3, rue des Vignoles Paris XX

    Entrée libre

    Radio libertaire 89,5 MHz

    « émission Uk’amau » (le samedi de 16 à 18 h) « Radio libertaria » (le lundi de 19 à 23 h)

    [logo] Imprimerie des Gondoles — 4 et 6, rue Chevreul — 94600 Choisy-le-Roi Tél. 48 90 94 07


    sources :

    Affiche possible, visuel paru dans Le Monde libertaire nº 544 (11 octobre 1984).






    [100 years of Sailors Union of the Pacific]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    100 years of Sailors Union of the Pacific]. — San Francisco : Sailors’ Union of the Pacific (SUP), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , beige , texte en défonce , papier blanc ) ; 64 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : États-Unis : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Furuseth, Andrew (1854-1938)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce) ; citation d’Andrew Furuseth ; dessin (marins, outils, documents du Sailor Union of the Pacific) ; logo (Brotherhood of the sea SUP) ]

    texte :

    [logo] Brotherhood of the sea SUP

    100 years

    Sailors Union of the Pacific

    “You can put in jail, but you cannot give me narrower quarters than as a seaman I have always had. You cannot give me coarser food than I have always eaten. You cannot make me lonelier than I have always been.”
    Andrew Furuseth

    Maguire Act, 1895
    . . . abolished the desertion law (imprisonment for leaving a ship) in the coastwide trade and outlawed the crimp’s right to obtain an allotment from the Captain

    White Act, 1898
    . . abolished the desertion law for seamen in offshore ships in US ports. Also, abolished the beating of seamen by officers and mates, and gave seamen the right to draw up to half their wages in any landing or discharging port.

    Seamen’s Act, 1915
    . . . extended complete freedom from the desertion law to US ships in foreign ports and to foreign vessels in American ports. Also, provided increased foc’sle space, better food, safety provisions, efficiency rating for able-bodied seamen, and that 65% of the crew must be able seamen.

    “Steady as the goes”


    sources :
     













    [Rue Jacques Mesrine]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rue Jacques Mesrine]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , texte en défonce , papier blanc ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; criminalité et délinquance
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en forme de plaque de rue) ]

    texte :

    Rue Jacques Mesrine

    assassiné par l’État le 2 novembre 1979


    sources :

    Collée sur les murs de Paris dans un secteur proche des Buttes Chaumont le 2 novembre 1985 pour le 6e anniversaire de la mort de Jacques Mesrine (ex ennemi public nº 1).









    [1936-1986, la rivoluzione in Spagna]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    1936-1986, la rivoluzione in Spagna]. — [S.l.] : FAI_ (Federazione anarchica italiana), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une  : noir , papier blanc ) ; 84 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)  ; CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1936-1939
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    grafica e testo

    texte :

    1936 1986

    La Rivoluzione in Spagna

    [foto]

    Cinquanta anni fa il proletariato spagnolo scrivera la più gloriosa pagina nel libro di storia dell’emancipazione : armi in pugno, gli operai e i contadini davano vita agli embrioni di una nuova società più giusta e più umana, quella comunista libertaria. Contro di essi fascimo e democrazie di tutto il mondo si unirono agli infami che, dall’interno, tramavano contro la rivoluzione sociale in marcia. Il sogno non più utopia ma realtà durò tre anni, lasciando alla fine un milione di morti e la 2a guerra mondiale.

    Cinquanta anni dopo, la lezione della rivoluzione spagnola indica ancora la strada da seguire : la liberazione degli sfruttati sarà opera di loro stessi o non sarà. L’azione diretta e l’auto-organizzazione al di fuori e contro le istituzioni del potere sono le uniche tattiche vincenti per una strategia tesa verso una società libera dallo sfruttamento e dallo stato.

    Federazione Anarchica Italiana


    sources :