soutien à militants …
506 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo : chat cerclé (rouge sur noir) au dos d’un militant ]
- texte :
La CNT face à la répression antisyndicale
samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille
15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).
18h : Apéro,
21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)
La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :RÉPRESSION PATRONALE
À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..RÉPRESSION POLICIÈRE
Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !
AGRESSIONS FASCISTES
Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.
Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.
UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62
Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).
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[ texte ; photo (chat cerclé au dos d’un militant) ]
- texte :
La CNT face à la répression antisyndicale
samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille
15h : Projection + débat sur la répression antisyndicale, organisés par le STIS59, à la Maison des Syndicats, CNT de Lille (32 rue d’Arras).
18h : Apéro,
21h : Concert au Centre Culturel Libertaire (4 rue de Colmar, Lille) avec : Mr Marcaille (Noise), Chuche Ma Gaillette (Oi !), Miss America (Punk hardcore), 3Bones (Gabber)
La CNT est une organisation syndicale qui monte. La combativité déployée par nos militant-es et le gain de crédibilité syndicale que connaissent nos pratiques de luttes, d’autogestion et d’action directe font peur aux patron-nes, aux capitalistes et à leurs allié-es. Pour nous faire taire, ils font tout leur possible !
La CNT, organe de solidarité entre travailleur-ses, outil de lutte et de résistance aux exploiteur-ses qui nous affament et nous narguent, est de plus en plus efficace et donc de plus en plus prise pour cible :RÉPRESSION PATRONALE
À Lille comme ailleurs, les directions voient d’un mauvais œil l’implantation de sections syndicales CNT dans les boîtes. Un syndicat combatif qui refuse la collaboration de classe (travailleur-ses et capitalistes ont des intérêts divergents et seuls nos oppresseur-ses ont intérêt à ce que nos deux classes s’entendent pour conserver leurs privilèges) et qui, directement contrôlé par sa base, n’est pas aussi prompt que certaines centrales corrompues à signer des accords défavorables aux employé-es ne peut pas plaire à ceux qui ne vivent que grâce à l’argent qu’ils nous volent. Les patron-nes utilisent tout l’arsenal juridique à leur disposition pour tenter d’interdire l’implantation de sections syndicales CNT dans les entreprises qu’ils contrôlent. Rien qu’à Sevelnord (Valenciennes, groupe PSA), la direction a
intenté deux procès en vue d’interdire la section CNT de l’usine et multiplie les intimidations envers nos camarades qui l’animent. Après d’âpres batailles et de nombreux frais, la section existe officiellement et a été jugée légale..RÉPRESSION POLICIÈRE
Comme la plupart des acteur-ices des différents mouvements sociaux récents et particulièrement au cours de celui pour la sauvegarde du régime des retraites qui a secoué la France cet automne, les militant-es de la CNT sont victimes de l’acharnement de la police et de la justice bourgeoise (bras armés par l’État à la solde des capitalistes) qui tentent tout pour intimider les grévistes et casser les contestations à grand coup de tonfa, d’amendes et de prison. Les procès s’enchainent et les peines tout aussi exorbitantes que disproportionnées tombent. Difficile pour notre organisation et ses militants de trouver les ressources financières nécessaires. Face à la répression, la solidarité est l’arme que nous devons déployer !
AGRESSIONS FASCISTES
Notre syndicat à toujours combattu le fascisme, le racisme et la xénophobie. Opposé-es aux idées et aux lois nauséabondes promues par les gouvernements successifs (chasse aux sans-papiers, aux Roms, débats sur « l’identité nationale »,…) ainsi qu’aux partis et groupuscules d’extrême droite qui se développent sur ce terreau (Front National et Identitaires), les militant-es de la CNT et ses locaux sont la cible récurrente d’attaques perpétrées par les nervis fascistes. Nous devons tout faire pour éviter que Lille ne devienne à l’image de Lyon, où des éléments fascistes ultra-violents n’hésitent plus à tenter d’assassiner des militant-es de notre organisation.
Toutes ces luttes coûtent beaucoup d’argent. Le patronat, l’État et leurs allié-es attaquent les militant-es et leurs organisations aux portefeuilles de manière délibérée : ils savent que c’est un moyen très efficace de les plomber et de les rendre inaudibles.
UL CNT, 32 rue d’Arras, 59000 Lille - www.cnt-f.org/59-62
Vu sur : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-affiche-journee-repression.pdf (10/06/2011) ; accompagné du tract : http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/18juin2011-tract-journee-repression.pdf (10/06/2011).
Au moins deux versions parues (couleurs, N&B). Ce tirage sur papier fort a une autre affiche au dos : « Assemblée générale de lutte, ouverte à tout-e-s ».
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texte
dessin (engrenages « Police, État, Prison, Capital, Justice » rendant les manifestantes en citoyen·ne·s modèles)
- texte :
À Toulouse depuis le 15 novembre, des personnes sont toujours en prison, soupçonnées d’avoir participé à une action politique contre les prisons pour mineurs.
La machine répressive tourne à plein pour maintenir l’ordre capitalisme, en enfermant les pauvres et les révoltéEs.
L’État ne fait pas d’économie quand il s’agit de protéger les privilèges.« Police, État, Prison, Capital, Justice »Leurs matraques ne nous feront pas taire ni marcher d’un seul pas !
info : http://pourlaliberte.noblogs.org
Libération immédiate
Levée des poursuites
Imprimerie spéciale
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- descriptif :
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[ texte ; photo (personnes jugées sur des vélos pour regarder par-dessus une palissade) début 20e siècle ]
- texte :
Quelle liberté ?
Ces dernières semaines en Algérie, en Tunisie ou en Égypte, des milliers et des milliers d’individus sont sortis dans la rue pour manifester leur rage et leur révolte contre des conditions de vie insupportables.
En plein hiver, ces blocages de routes, ces pillages massifs de supermarchés et d’entrepôts, ces incendies de sièges de partis politiques, ces saccages de villas de riches et de lycées, ces attaques de commissariats, ces mutineries et autres assauts victorieux contre des prisons nous ont réchauffé le cœur...
Aujourd’hui, malgré des dizaines de morts, la soif de liberté des insurgés ne semble pas prêt de s’éteindre. Mieux encore, elle pourrait se diffuser un peu partout. Car partout, c’est un peu la même poudre qui s’accumule, celle de la misère et de l’écrasement quotidien. Car partout, et ici aussi, c’est un même monde qui voudrait nous soumettre : un monde de fric et de pouvoir pour quelques-uns, d’enfermements et de coups assassins pour tous les autres. Un monde au service des patrons et des États, quelle que soit leur couleur, et quelle que soit la manière dont ils entendent nous exploiter et nous contrôler. A présent que de nouveaux maîtres plus démocrates se précipitent pour se partager le gâteau en Tunisie, est-ce vraiment pour cela que des milliers de révoltés se sont battus au cri de « Liberté » ?
Depuis le 14 janvier à Paris, Olivier et Dan ont été jetés en prison après avoir tagué « Algérie, Tunisie, vive l’insurrection » et « Vive l’anarchie » sur les murs de Belleville. Le 21 janvier à Bagnolet, c’est François qui a été incarcéré avant de sortir sous contrôle judiciaire une semaine plus tard.
Tous sont accusés par les larbins de la section anti-terroriste de Paris et par une charogne en toge — la juge d’instruction Patricia Simon — d’avoir apporté leur solidarité avec les dix sans-papiers inculpés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes en juin 2008. Au cri de « Liberté pour tous, avec ou sans-papiers », ils ont manifestement touché une corde sensible. Celle d’un système avide de chair humaine facile à exploiter et broyer sur les chantiers ou derrière une machine à coudre, avant de la rafler puis de l’expulser dans le premier avion venu.
Mais cette histoire de révolte et de solidarités ne s’arrête pas là : juste avant Noël, les chiens en uniforme avaient ainsi déjà enlevé Bruno dans le métro parisien avant de l’envoyer en préventive.
Lui est accusé de faire partie d’une« association de malfaiteurs à finalité terroriste », parce qu’il avait eu l’impudence de se rendre en janvier 2008 à une manifestation devant ce même centre de rétention de Vincennes avec… des fumigènes. Ici aussi, dans le paradis de la démocratie marchande, il semble bien que la lutte antiautoritaire pour la liberté, la lutte pour un monde sans patrie ni frontières, conduise rapidement derrière les barreaux.
Si la liberté est le crime qui contient tous les crimes, nous nous affirmons sans vergogne complices des actes de ces compagnons et camarades. De même que nous laissons volontiers les catégories de « coupable » et « innocent » aux barbelés du code pénal et à ses souteneurs.
Dans cette guerre sociale qui se déroule au travail comme dans la rue, de jour comme de nuit, continuons de briser nos chaînes, ici comme partout : contre une société dans laquelle on devrait se tuer au turbin ou crever au chômage, être dressé à l’école et enfermé en prison, étouffer dans des tours de béton et subir l’occupation policière sans broncher.
Des deux côtés de la Méditerranée, en lutte contre tous les pouvoirs, démocratiques ou pas.
Pour un monde sans maîtres ni esclaves
Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !
« Affiche sortie ces jours-ci et trouvée notamment collée sur les murs de Paris lors de la balade à Belleville du 25 janvier dernier […] en A4, pour des tracts ou à agrandir en A3 » diffusée sur http://cettesemaine.free.fr/spip/article.php3?id_article=3907 (1er février 2011) et sur http://www.non-fides.fr/?Quelle-liberte-Contre-tous-les (5 février 2011).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; photo (personnes jugées sur des vélos pour regarder par-dessus une palissade) début 20e siècle ]
- texte :
Quelle liberté ?
Ces dernières semaines en Algérie, en Tunisie ou en Égypte, des milliers et des milliers d’individus sont sortis dans la rue pour manifester leur rage et leur révolte contre des conditions de vie insupportables.
En plein hiver, ces blocages de routes, ces pillages massifs de supermarchés et d’entrepôts, ces incendies de sièges de partis politiques, ces saccages de villas de riches et de lycées, ces attaques de commissariats, ces mutineries et autres assauts victorieux contre des prisons nous ont réchauffé le cœur...
Aujourd’hui, malgré des dizaines de morts, la soif de liberté des insurgés ne semble pas prêt de s’éteindre. Mieux encore, elle pourrait se diffuser un peu partout. Car partout, c’est un peu la même poudre qui s’accumule, celle de la misère et de l’écrasement quotidien. Car partout, et ici aussi, c’est un même monde qui voudrait nous soumettre : un monde de fric et de pouvoir pour quelques-uns, d’enfermements et de coups assassins pour tous les autres. Un monde au service des patrons et des États, quelle que soit leur couleur, et quelle que soit la manière dont ils entendent nous exploiter et nous contrôler. A présent que de nouveaux maîtres plus démocrates se précipitent pour se partager le gâteau en Tunisie, est-ce vraiment pour cela que des milliers de révoltés se sont battus au cri de « Liberté » ?
Depuis le 14 janvier à Paris, Olivier et Dan ont été jetés en prison après avoir tagué « Algérie, Tunisie, vive l’insurrection » et « Vive l’anarchie » sur les murs de Belleville. Le 21 janvier à Bagnolet, c’est François qui a été incarcéré avant de sortir sous contrôle judiciaire une semaine plus tard.
Tous sont accusés par les larbins de la section anti-terroriste de Paris et par une charogne en toge — la juge d’instruction Patricia Simon — d’avoir apporté leur solidarité avec les dix sans-papiers inculpés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes en juin 2008. Au cri de « Liberté pour tous, avec ou sans-papiers », ils ont manifestement touché une corde sensible. Celle d’un système avide de chair humaine facile à exploiter et broyer sur les chantiers ou derrière une machine à coudre, avant de la rafler puis de l’expulser dans le premier avion venu.
Mais cette histoire de révolte et de solidarités ne s’arrête pas là : juste avant Noël, les chiens en uniforme avaient ainsi déjà enlevé Bruno dans le métro parisien avant de l’envoyer en préventive.
Lui est accusé de faire partie d’une« association de malfaiteurs à finalité terroriste », parce qu’il avait eu l’impudence de se rendre en janvier 2008 à une manifestation devant ce même centre de rétention de Vincennes avec… des fumigènes. Ici aussi, dans le paradis de la démocratie marchande, il semble bien que la lutte antiautoritaire pour la liberté, la lutte pour un monde sans patrie ni frontières, conduise rapidement derrière les barreaux.
Si la liberté est le crime qui contient tous les crimes, nous nous affirmons sans vergogne complices des actes de ces compagnons et camarades. De même que nous laissons volontiers les catégories de « coupable » et « innocent » aux barbelés du code pénal et à ses souteneurs.
Dans cette guerre sociale qui se déroule au travail comme dans la rue, de jour comme de nuit, continuons de briser nos chaînes, ici comme partout : contre une société dans laquelle on devrait se tuer au turbin ou crever au chômage, être dressé à l’école et enfermé en prison, étouffer dans des tours de béton et subir l’occupation policière sans broncher.
Des deux côtés de la Méditerranée, en lutte contre tous les pouvoirs, démocratiques ou pas.
Pour un monde sans maîtres ni esclaves
Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !
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[ texte ; dessin (guitariste ailé à tête de mort) ; vignettes (antenne radio, caméra de cinéma) ]
- texte :
week-end de soutien à L’Envolée, journal anti carcéral
Rock in Gats
se déchaîne à Glandage (26)
vendredi 29 juillet ; concert à partir de 19 h
Harcelor, poésie noise tropicale
Vialka, turbo-folk
Superfedor, big beat krautrock
Feromil, post indus populaire
Binaire, punk indusrepas & entrée à prix libre
Samedi 30 juillet 2011 contre la prison et son monde…
à partir de 10 h, Radio pirate, docus sonores
contre-info Tables de presse
14 h, émission radio en direct Ouistiti glace
15 h-18 h
ateliers-discussions autour de L’Envolée & du livre À ceux qui se croient libres18 h Charon, exécutions publiques, théâtre forain
19 h Navasté repas concert happy-folk
20 h 30
Projections en plein air de films documentairesapporte une radio FM portative, une lampe, une doudoune et campe dans le pré sans ton chien
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- notes :
- descriptif :
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[ texte (blanc) ; photo (enfants franchissant une clôture) ]
- texte :
Solidarität mit Sonja und Christian
Am Mittwoch, den 14. September 2011 wurden Sonja Suder und Christian Gauger von Frankreich an den deutschen Staat ausgeliefert. Ihnen wird die Mitgliedschaft in den Revolutionären Zellen (RZ) und die Beteiligung an mehreren Aktionen vorgeworfen. Momentan befindet sich beide im Knast in Frankfurt.
Im Jahr 978 bemerkten die beiden, dass sie observiert wurden, daraufhin entschieden sie sich unterzutauchen. Seitdem lebten sie mit einer anderen Identität in Frankreich. Aufgeflogen sind sie im Jahr 2000, wurden festgenommen und saßen für mehrere Monate in französischen Knästen, aber die Gerichte entschieden, dass die ihnen vorgeworfenen Aktionen verjährt sind. Seitdem lebten sie geduldet in Paris. 2007 stellt die Staatsanwaltschaft Frankfurt einen europäischen Haftbefehl gegen die beiden aus, 2009 entscheidet ein französischen Gericht, dass die beiden ausgeliefert werden.
Vorgeworfen wird ihnen die Beteiligung an zwei Anschlägen im August 1977 auf MAN in Nürnberg und Klein, Schanzlin & Becker AG in Frankenthal. Beide Konzerne sind verstrickt im “imperialistischen Atomgeschäft”, die einen in der “Herstellung südafrikanischer Atombomben”, die anderen spielen “eine wesentliche Rolle des Zulieferns für Kernkraftwerke in aller Welt”. Außerdem sollen sie an einen Brandanschlag auf das Heidelberger Schloss am 18. Mai 1978 beteiligt gewesen sein. Diese Aktion richtete sich gegen den Stadtumbau und die Kaputtsanierung von Heidelberg.
Die Vorwürfe der Beteiligung an den Aktionen rührt von unter Folter erpressten Aussagen her. 1978 explodierte im Schoss von Hermann Feiling eine Bombe, die für das argentinische Konsulat in München bestimmt war. Hermann verlor seine Beine und das Augenlicht, im Krankenhaus wurde er wochenlang unter dem Einfluss von Schmerzmitteln und Psychopharmaka von den gewissenlosen Bütteln des Staates ausgefragt. Durch eine Aussage des Kronzeugen Hans-Joachim Klein wird Sonja außerdem der Beteiligung an den Vorbereitungen für den Überfall auf die OPEC-Konferenz in Wien im Dezember 1975 beschuldigt.
Eine immer wiederkehrende Geschichte, die deutschen Strafverfolgungsbehörden versuchen selbst nach über 30 Jahren Schuldige für notwendige direkte, militante Interventionen zu finden. Dazu lehnten Sonja und Christian das Angebot eines Deals mit der Staatsanwaltschaft ab und zeigten damit, dass für sie eine Kooperation mit dem Staat und seinen willigen HelferInnen nicht zur Debatte steht. Bewusst haben sie sich entschieden sich nicht dem deutschen Staat zu stellen und über ihre Geschichte und die Vergangenheit auszupacken, lieber haben sie das unsichere und unruhige Leben mit einer anderen Identität gewählt.
Auf dass unsere Leidenschaft für die Freiheit die Mauern zum Einsturz bringt !
Anarchistische Gruppen
Solidarität ist ein Waffe !
Schriebt den GefangenenChristian Gauger
JVA Frankfurt I
Obere Kreuzäckerstr. 6-8
60435 Frankfurt/MainSonja Suder
JVA Frankfurt III
Obere Kreuzäckerstr. 6-8
60435 Frankfurt/Mainwww.verdammtlangquer.org
traduction :Solidarité avec Sonja et Christian
Mercredi 14 septembre 2011, Sonja Suder et Chritian Gauger étaient livrés depuis la France à l’État allemand. Il leur est reproché l’affiliation aux Cellules Révolutionnaires (RZ : Revolutionären Zellen) et la participation à plusieurs actions. En ce moment, les deux se trouvent encore dans la taule de Francfort [Ndt. Christian a été libéré pour raisons médicales depuis].
En 1978, ils ont remarqué qu’ils étaient observés, et ont décidé après ça de se cacher. Depuis ce moment-là ils vivaient en France sous une autre identité. Ils ont été découverts en 2000, ont été arrêtés et sont restés plusieurs mois dans des taules françaises, mais les juges ont décidé que les actions qui leur étaient reprochées étaient prescrites. Depuis ce temps-là, ils vivaient tolérés à Paris. En 2007, le ministère public de Francfort dépose un mandat d’arrêt européen contre eux, en 2009 un juge français décide qu’ils seront livrés.
Il leur est reproché la participation à deux attaques en août 1977 sur MAN à Nuremberg, et sur Klein, Schanzlin & Becker AG à Frankenthal. Les deux consortiums sont mêlés au « marché nucléaire impérialiste », qui se traduit pour l’un dans « la fabrication de bombes atomiques sud-africaines » et pour l’autre dans le fait de jouer « un rôle majeur dans la sous-traitance pour les centrales nucléaires dans le monde entier ».
De plus, ils sont associés à un attentat incendiaire sur le château d’Heidelberg le 18 mai 1978. Cette action était dirigée contre la reconstruction de la ville et l’assainissement d’Heidelberg.
Les accusations de participation à ces actions proviennent de dénonciations extorquées sous la torture. En 1978 explosait dans le giron d’Hermann Feiling une bombe qui était destinée au consulat argentin à Munich. Hermann perdait ses jambes et la vue, à l’hôpital il était questionné pendant des semaines entières sous l’influence de la torture et de substances psychotropes des assistantes obéissantes de l’État. Sonja est accusée, de plus, sur dénonciation du principal témoin Hans-Joachim Klein, de participation aux préparatifs de l’attaque contre la conférence de l’OPEP à Vienne en décembre 1975.
Une histoire qui se répète toujours, les tribunaux allemands essaient de trouver, même plus de 30 ans après, les coupables de ces interventions directes et militantes.
De plus Sonja et Christian refusaient l’offre d’un accord avec le ministère public et indiquaient que pour eux, une coopération avec l’État et ses aides de bonne volonté ne pouvait être débattue. Ils ont décidé consciemment de ne pas se donner à l’État allemand et de ne pas déballer leur histoire et le passé, mais ont préféré une vie dangereuse et angoissante sous une autre identité.Que notre passion pour la liberté détruise les murs !
Des groupes anarchistes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Solidarite-avec-Sonja-et-Christian « Affiche trouvée sur les murs de Berlin, octobre 2011, traduite de l’allemand par nos soins depuis ABC-Berlin » (4 novembre 2011) ; et sur http://www.abc-berlin.net/poster-solidaritaet-mit-sonja-und-christian (23 octobre 2011)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (scène de procès) par Steinlen ? ]
- texte :
Στις 17 Σεπτεμβρίου 2010, σε τυχαίο έλεγχο στην περιοχή του Πανοράματος Ευβοίας, εξακριβώνονται τα στοιχεία των αναρχικών Μιχάλη Τράïκάηη, Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Οι μπάτσοι τους προσάγουν και λίγο αργότερα τους γνωστοποιούν ότι κατηγορούνται για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζας Ψαχνών, δίχως να υπάρχει κανένα επιβαρυντικό στοιχείο που να τους συνδέει. Στις 31 Ιουλιου 2011 μια ακόμα μεθόδευση ενεργείται ει βάρος των αναρχικών συντρόφων Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Βρίσκονται κατηγορούμενοι βάσει της κα-τάθεσηs ενός ιμευδομάρτυρα για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζα στις 29 Μάρτη 2010 στο Σχηματάρι.
Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι
Στην ιστορική συγκυρία που τα αφεντικά έχουν κηρύξει μια πρωτοφανή σε ένταση επίθεση στα φτωχότερα κομμάτια της κοινωνίας, αθώοι για το σύστημα είναι μόνο όσοι αποδέχονται παθητικά την εκμετάλλευση, όσοι κερδοφορούν από τι πλατιές μάζες των ανά τον κόσμο προλετάριων, τα τάγματα ασφαλείας που με το δάχτυλο στη σκανδάλη είναι έτοιμα να δολοφονήσουν απεργούς, διαδηλωτές, εξεγερμένους...
Παραμένουμε συνειδητά ένοχοι, ενισχύοντας την εμπροσθοφυλακή της αντίστασης, προωθώντας την κοινωνική ανταρσία
Απαιτούμε την άμεση απελευθέρωση των αναρχικών
Μιχάλη Τράïκάηη και Αλέξανδρου ΚόσσυβαΚαμία δίωξη στους αναρχικούς : Μαρία Οικονόμου και Βένο Πολυκρέτη
Συγκέντρωση :
δικαστήρια Χαλκίδας 18 Οκτώβρη 2011, 9.00 π.μ.Αναρχικοί σύντροφοι-ισσες
octobre 2011.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (militants, avec masques à gaz, s’enchainant à des rails) ]
- texte :
Apéro-musique contre le nucléaire et en soutien aux inculpés de Valognes
CAC 40-9 (Collectif Anti-Castor 31)
Vendredi 27 janvier, 19 h 30 à l’estanquet "La Portièra" - 42, rue des Blanchers, Toulouse
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte bilingue (français et turc) ; photos (arrestations musclées de militant•e•s ; cour de prison) ]
- texte :
Libération des prisonnier-e-s anarchistes en grève de la faim depuis le 11/06/2012 et de tout-te-s les prisonnier-e-s politiques !
Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!
Contre l’incarcération de plus de 900 étudiant-e-s
Contre la politique de répression à l’égard des minorités kurdes
Contre les atteintes au droit d’avorter
Contre l’incarcération de 15 militant-e-s anarchistes, dont 12 sont en grève de la faim depuis le 11 juinVive la solidarité internationale !
Manifestation mardi 26 juin, à 18 h 30, au Trocadéro, Paris
Eylem 26 Haziran Sali, saat: 18.30, Trocadéero, Paris
« Mobilisation unitaire d’organisations et d’individu-e-s libertaires
— Coordination des Groupes Anarchistes (CGA) - Région parisienne : www.c-g-a.org
— Offensive Libertaire et Sociale (OLS) - Paris : offensive.samizdat.net
— Fédération Anarchiste (FA) : www.federation-anarchiste.org
— AL BNO et AL PNE : www.alternativelibertaire.orghttp://c-g-a.org/content/halte-la-repression-en-turquie-turkiyede-ki-baskiya-son
http://c-g-a.org/sites/default/files/affiche_turquie.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (en défonce) ; fond (noir ou brun) ; dessin (personnes assises autour d’un feu) type gravure ]
- texte :
La fin des illusions
Les fins de mois sont déjà difficiles à boucler, et voilà qu’on nous promet de tous côtés une nouvelle cure d’austérité à ingurgiter en se pinçant le nez, et surtout sans broncher. En somme, un mal nécessaire pour sauver de la tempête cette foutue galère dans laquelle nous ramons depuis trop longtemps.
Dans ce monde à l’envers, le problème ne serait pas qu’un petit nombre s’enrichisse sur le dos des autres, mais de ne pas se résigner aux miettes qu’on nous octroie. Ce ne serait pas la marchandisation de tout et de tous, mais que certains passent à la caisse sans payer. Ce ne serait pas le règne de la politique, mais que des révoltés luttent pour une société sans gouvernants ni gouvernés, sans maîtres ni esclaves.
Dans ce monde à l’envers, l’inacceptable ne serait pas de saturer la terre de poisons industriels et nucléaires, de bombarder très démocratiquement des populations entières, de tuer et mutiler des milliards d’êtres humains au turbin. Ce serait de vouloir briser la routine de l’exploitation et de la domination, pour enfin commencer à expérimenter un monde fait de liberté et de réciprocité.
Car face à nous, chaque fois qu’on ne courbe pas assez la tête, il y a la matraque et ses souteneurs pour tenter de nous faire rentrer dans le rang. Face à nous, les uniformes occupent militairement les quartiers, mènent la traque avec fichiers et caméras de surveillance, multiplient contrôles et tabassages.
Alors, qui n’a jamais pensé à leur rendre coup pour coup, qui n’a jamais caressé le désir d’en finir avec les chiens qui gardent l’ordre et les privilèges des puissants ?Face à nous, quand on refuse de crever bien sagement à petit feu, l’État brandit sans cesse la menace de la prison. Incarcérés parce qu’on a pas respecté la sacro-sainte propriété, enfermés parce que dépourvus du petit bout de papier adéquat, embastillés pour avoir craché notre rage à la gueule de l’autorité.
Alors, qui n’a jamais rêvé que les taules soient rasées ? L’attaque de comicos ou de prisons ne fait-elle pas partie des réjouissances lorsqu’éclatent des soulèvements, ici ou ailleurs, comme l’an dernier en Tunisie ?Du 14 au 22 mai 2012, six camarades passeront en procès à Paris sous l’accusation d’association de malfaiteurs à finalité terroriste. Les faits concernent la tentative d’incendie d’un véhicule de keufs en 2007 pendant la dernière mascarade présidentielle, et un sabotage de la circulation d es trains lors du mouvement anti-CPE en 2006. Ils sont également accusés de fabrication de fumigènes artisanaux et crève-pneus destinés à une manifestation devant la prison pour étrangers de Vincennes en 2008, ou encore d’avoir eu entre leurs mains des manuels de sabotage, du chlorate et des plans originaux de la prison pour mineurs de Porcheville (Yvelines).
Un abîme sépare ceux qui s’insurgent pour se libérer, et ceux qui frappent dans le tas pour défendre, consolider ou conquérir le pouvoir, c’est-à-dire l’État, les patrons et leurs concurrents.
Alors, parce que la liberté est le crime qui contient tous les autres, que chacun exprime sa solidarité de la manière la plus adéquate.
Des mutiné-e-s de la prison sociale
Contre le terrorisme d’État, que crève le meilleur des mondes !
Affiche diffusée sur Indymedia Nantes : http://nantes.indymedia.org/article/25429 (4 avril 2012).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin ou photo) ]
- texte :
Le Travail libère-t-il ?
Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre… La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».
Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.
L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.
Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout. Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.
Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.
Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.
Pour la libération individuelle et collective…
Libérons-nous du travail
Liberté pour l’anarchiste Rami Syrianos
Solidarité avec le compagnon Kleomenis SavvanidisCollaboration solidaire Athènes/Thessalonique, 17/01/2012.
Affiche en grec diffusé sur http://www.non-fides.fr/?Le-Travail-libere-t-il : « Affiche traduite par nos soins de l’anglais de Angry news from around the world
Note de Non Fides : L’anarchiste Rami Syrianos (Ραμί Συριανό) est actuellement emprisonné en attente de son procès pour l’expropriation de l’argent d’une entreprise étatique de vente aux enchères, ainsi que le compagnon Kleomenis Savvanidis (Κλεομένης Σαββανιδη), accusé dans la même affaire. Date du procès : 18 janvier 2012, Thessalonique » (18 janvier 2012).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; photo (silhouette avec chaines brisées aux bras) ]
- texte :
Le travail libère-t-il ?
Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre…
La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».
Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.
L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.
Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout.
Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.
Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.
Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.
Pour la libération individuelle et collective…
Libérons-nous du travail
Affiche du 17 janvier 2012
En solidarité avec les compagnons Rami Syrianos et Kleomenis Savanidis
Traduit du grec vers l’anglais par Angry news from around the world, puis de l’anglais vers le français par Non Fideshttps://fa86.noblogs.org/?page_id=40
https://fa86.noblogs.org/files/2012/05/travail.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (poings liés par des barbelés) ]
- texte :
Liberté pour notre frère Peppe Sghigno.
Liberté pour tous les compagnons en prison !
Solidarité avec tout ceux qui dans le monde combattent par l’action directe l’oppression de l’État et du capital !!
Rassemblement devant le consulat italien, 164 rue des Frères, Bordeaux
Jeudi 15 novembre
16 hhttps://gabx.noblogs.org/post/2012/11/28/liberte-pour-notre-frere-peppe-sghigno/
https://gabx.noblogs.org/files/2012/11/Prison011.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; logo (NDDL : Aéroport Non ! ) ; logo (groupe La Mouette enragée) ]
- texte :
Ligne TGV, Hub-port, Nucléaire, Aéroport
[logo :] Notre-Dame-des-Landes : aéroport Non !
contre les grands projets inutiles du patronat soutenus par le PS et les Verts
Solidarité avec les expulsés de Notre-Dame-des-Landes
Plus d’infos : https://zad.nadir.org
La Mouette enragée, groupe communiste anarchiste de Boulogne-sur-Mer
Pour tout contact : La Mouette enragée BP 403 62206 Boulogne-sur-Mer
Mail : lamouette.enragée@wanadoo.fr
Blog : http://lamouetteenragee.over-blog.comIPNS
http://lamouetteenragee.over-blog.com/article-solidarite-avec-les-expulses-de-notre-dame-des-landes-111558772.html (22 octobre 2012)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; papier jaune (dos d’affiche récupéré) ]
- texte :
Procès antiterroriste pour 6 camarades, du 14 au 22 mai 2012 à Paris
Du 14 au 22 mai aura donc lieu le premier procès sous juridiction antiterroriste de militants désignés comme appartenant à la « mouvance anarcho-autonome ». Les six inculpés, comme des centaines de milliers d’autres personnes, ont pris part aux différentes luttes sociales de ces dernières années : mouvement "CPE", révoltes lors des élections présidentielles de 2007, luttes contre l’enfermement des sans-papiers et pour la liberté de circulation... De manifs sauvages en sabotages, la conflictualité qui s’exprimait dans ces luttes débordait souvent du cadre légal ou des habituelles médiations politiques et syndicales. Et quand ça remue, l’État cherche — à punir un petit nombre pour faire peur à tous : par la police et la justice, il tente toujours de séparer les "bons manifestants" des "vilains casseurs", d’isoler les actes du contexte dans lequel ils s’inscrivent, et de finalement divisier pour mieux régner. Et ce qui est attaqué là, c’est aussi un ensemble de mauvaises intentions et la tentative de les mettre en pratique de manière autonome.
Séparer. Il suffit d’assister à une comparution immédiate pour voir que les pauvres et les marginaux sont toujours présumés coupables et très souvent condamnés : la culpabilité et l’Innocence sont les deux grands concepts utilisés jour après jour, du bureau du procureur à la salle d’audience, pour maintenir l’ordre social. Ces notions ne peuvent pas être les nôtres. Et chercher à s’en sortir face à la Justice ne signifie pas renier ses idées et ses pratiques.
Isoler. La Justice nous contraint à rentrer dans une temporalité qui lui est propre : celle de l’instruction, de la prison, du contrôle judiciaire et du procès. Ce temps judiciaire permet non seulement d’isoler concrètement les inculpés en les enfermant, mais aussi de les maintenir sous pression par un contrôle judiciaire avec interdiction de se voir les uns les autres, par exemple. Enfin, l’instruction est chargée d’établir des profils qui participent à différencier les peines voire à faire de certaines d’entre elles des peines exemplaires.
Diviser. Des squatteurs des cages d’escaliers aux manifestants, se regrouper ou s’organiser collectivement représente une menace potentielle pour le pouvoir. Les accusations d’"association de malfaiteurs", "bande", "en réunion" sont de plus en plus utilisées comme des "circonstances aggravantes" : cela permet d’alourdir les peines et d’inciter les gens à rester atomisés. C’est dans cette même logique qu’opère la juridiction antiterroriste utilisée par l’État, au gré des intérêts politiques du moment, pour rejeter du "corps social" ce qui dérange, et neutraliser des pratiques et pensées qui sortent du cadre institutionnel.
Pour autant, les mécanismes de la Justice ne sont pas les seuls outils du pouvoir à devoir être critiqués et combattus. De multiples dispositifs et institutions participent tous les jours à maintenir l’ordre social et l’exploitation : du crédit aux antidépresseurs, du salariat aux contrôles CAF, de l’école à l’armée... Mais il n’y a pas qu’en Grèce que des milliers de personnes refusent l’horizon qu’imposent le capitalisme et l’État. Et ce qui se jouera au Tribunal n’est pas un rapport interpersonnel entre les inculpés et les juges, mais un moment de la lutte entre la classe des possédants et les exploités, un moment de la lutte entre l’autorité et les récalcitrants. Exprimer sa solidarité c’est s’inscrire dans cette lutte.
Solidarité avec les inculpés !
RDV le 14 mai à 13h30 à la 10e chambre du TGI de Paris
Imprimé au dos du programme de La Maison ouverte (Montreuil).
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]
- texte :
Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages
Avenue Jean Dagnaux, Mº Canal du Midi
"Nous sommes contre la prison parce que le bruit de la clé dans la serrure d’une cellule est une torture quotidienne, l’isolement une abomination, la fin du parloir une souffrance et le temps enfermé un sablier qui tue à petit feu…"
Alors samedi 14 janvier, le Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège (et des autres) s’installe aux Pavillons Sauvages, le temps de faire connaitre un certain nombre d’outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) voués à briser le silence et l’isolement sur lesquels s’appuie la logique carcérale.
À partir de 14 h :
- Tables d’infos
- Atelier d’écriture de courrier aux détenu-es (fabrication de cartes postales qui détruisent la solitude)
- Initiation à la langue des signes (pour apprendre à communiquer sans bruit)
- Écoutes et intervention de Bande Organisée (super travail qui donne la parole aux jeunes enfermé-es)
http://www.bandeorganisee.org — http://pourlaliberte.noblogs.org
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (jeune homme portant un "ghetto blaster", sur fond de mur industriel) ]
- texte :
Samedi 14 janvier
à partir de 14 h
aux Pavillons Sauvages
avenue Jean Dagnaux - Mº Canal du Midi
Tables d’infos ; présentation de différents outils (caisse de solidarité, radio, journaux…) pour briser l’isolement carcéral ; écoute de documents sonores sur l’enfermement ; atelier d’écriture de courrier aux détenu-es ; initiation à la langue des signes (pour se parler en silence) ; fabrication de cartes postales (pochoirs, sérigraphie) ; salon de thé (ramène ton gâteau)
Bouffe vegan
À 19 h concert avec :
Seasick 6 ; Dures & Gay ; Prince Ringard ; Grâce & Volupté Van Van
Prix libre de soutien aux inculpé-es de Labège et à la Caisse d’Autodéfense Juridique
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (« À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009 »)
fond (noir et jaune)
- texte :
Dans les jours d’avril 2010, quand le gouvernement grec a finalement accepté un prêt du Fonds monétaire international qui a débuté la reprise de force du pays par les financiers internationaux, les services de sécurité avaient préparé un spectacle médiatique pour célébrer l’occasion : la capture de 6 combattantEs anarchistes afin de soumettre la lutte sociale.
Les combattantEs anarchistes, qui avaient en eux-mêmes/elles-mêmes été une source d’irritation, étaient maintenant des otages. Des otages qui humilièrent les services d’intelligence démoralisés et brutaux, les divisions anti-terroristes ainsi que l’équivalent de l’occupant américain, la CIA, qui recherchaient Lutte révolutionnaire (‘Epanastatikos Agwnas’ –EA – en langue grecque) pour une attaque au lance-roquettes contre l’ambassade des États-Unis à Athènes. Cette action chérie et symbolique a eu lieu dans le contexte d’une série d’attaques qui durèrent pendant des années avec un fort impact destructeur contre les institutions du capitalisme et du gouvernement, accompagnées de tonnes de pages critiques, brillantes et articulées d’analyse anarchiste des structures institutionnelles qui pillent (ou parasitent) la richesse sociale produite par le travail ainsi que par l’auto-organisation mise de l’avant comme une alternative égalitaire anti-État et anti-capitaliste. Lutte révolutionnaire, c’est Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kosta Gournas et le défunt Lambros Foundas, qui a été tué dans une bataille contre la police. Ensemble, elles/ils formèrent un groupe d’anarchistes sociaux basé dans la capitale occupée, Athènes, qui ont dirigé leurs activités armées dans l’intérêt de leur classe de travailleuses/travailleurs exploitéEs de Grèce dans le cours et au sein de l’important mouvement anarchiste/anti-autoritaire des années 2003 à 2010.
Maintenant, elles/ils continuent leur lutte dans les cours et dans les prisons du régime grec, leur lutte est encore plus intense contre la légitimité du système capitaliste. Le procès-spectacle contre les camarades a commencé en octobre 2011 et fût accompagné d’une campagne de répression contre le mouvement anarchiste/anti-autoritaire en général et spécialement contre plusieurs anarchistes qui nient toute responsabilité. Ce que les services de sécurité grecs et leurs collègues étrangers veulent prévenir par l’intimidation, la surveillance et l’emprisonnement, c’est la contagion. La contagion des tactiques qui ridiculisent leur système et démontrent facilement comment n’importe qui peut les attaquer. La contagion des idées qui maintenant se répandent au-delà du mouvement anarchiste/anti-autoritaire dans les grèves de masses des gens en colère contre tout, qui veulent mettre ce système à terre et voir quelque chose de plus humainE commencer.
Liberté pour les prisonnier.ères ! – Honorons la mémoire de Lambros Foundas !
[photo :] À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009
Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire et celles ainsi que ceux accuséEs pour des raisons similaires
Session d’information / souper / écriture de lettres
revolutionarystrugglecase.blogspot.com // fr.contrainfo.espiv.netMercredi 28 mars à 19 h
La Belle Époque
Espace sociale anarchiste
1984 rue Wellington, metro Charlevoix
epoquemtl.org
en anglais avec traduction chuchotée vers le françaishttps://mtlcontreinfo.org/soiree-de-solidarite-avec-les-prisonnier-eres-du-groupe-lutte-revolutionnaire/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18fr.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (avis de recherche du FBI sur Leonard Peltier) ]
- texte :
Dimanche 10 juin 2012 - 17 h
Soirée de soutien pour les prisonniers amérindiens
Dans le cadre de la campagne internationale pour sa libération. Léonard Peltier est incarcéré aux USA depuis 37 ans… Projection 17 h 30 : Comme un Indien de J.L. Nizon,
infos tables de presse et musiques avec :Cartouche (méli-mélodic - régions)
The Strumming Birds (country folk punk - Paris)
Warum Joe (punk veteran - Paris)
Centre International de Culture Populaire
21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris - Métro : Nation
17 h à 22 h précises ! PAF : 4 zéros - Pas de verre !!!- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photos (banderoles)
- texte :
Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger
Le 14 septembre 2011, Sonja Suder et Christian Gauger, dont l’extradition avait été refusée par la France en 2001, ont pourtant été extradés vers l’Allemagne. Cette véritable forfaiture a été permise par la signature de nouveaux accords franco allemands… à effet rétroactif !
Accusés d’avoir appartenu, il y a 35 ans, aux RZ (Cellules Révolutionnaires), ils ont été emprisonnés dès leur arrivée à Francfort, dans l’attente d’un procès. L’accusation tente d’établir leur participation à des actions contre l’armement nucléaire de l’Afrique du Sud de l’apartheid, la gentrification des quartiers populaires et le mondial de foot dans l’Argentine de la dictature militaire.
Christian a été libéré, son état de santé ayant été reconnu incompatible avec une détention, mais Sonja reste emprisonnée, sa mise en liberté provisoire ayant été refusée par deux fois.
Après ce deuxième refus, Sonja avait engagé contre ses juges une requête en récusation.
Dans leur argumentaire pour refuser sa mise en liberté provisoire, ses juges manifestaient en effet un manquement évident à leur « devoir d’impartialité », pourtant la plus importante des règles formelles d’un « procès équitable », règles qui sont censées être les leurs ...
Au centre des accusations qu’ils font peser sur Sonja, celle d’une implication dans la logistique de la prise d’otages dite « des ministres de l’OPEP » à Vienne, en 1975. Pour étayer leur « conviction », ils s’appuient exclusivement sur le témoignage de Hans Joachim Klein, qu’ils évaluent, avant même le procès, comme vrais !
Pourtant sa parole a déjà été reconnue non probante par le tribunal de Francfort : en 2001, à son procès, il a mis en cause un autre militant par le même témoignage qui concerne aussi Sonja, et ce dernier a été acquitté, les juges reconnaissant la "non fiabilité" de la mémoire de celui qu’ils qualifient de « témoin de bonne volonté » Klein bénéficiera, à l’issue de son procès, allègement et d’aménagements de peine, suivis d’une grâce officielle.
La requête en récusation de ses juges par Sonja a été repoussée par une décision du 29 février.
Cet acharnement judiciaire, même pas dissimulé, montre bien une volonté d’Etat de punir Sonja pour le fait d’avoir, il y a 35 ans, choisi la liberté et de ne pas vouloir, aujourd’hui, participer à un simulacre de rite processuel : Sonja et Christian ont décidé de répondre aux inquisitions des juges par leur silence. Ils s’opposent ainsi à la volonté d’intimidation et de criminalisation des derniers « témoins » des mouvements des années 70.
Sonja est emprisonnée depuis 6 mois, durée maximale "normale" de l’incarcération préventive en Allemagne. Une troisième demande de mise en liberté provisoire a été faite.
En cas de refus, Sonja, risque une longue incarcération : le procès est prévu en Juin et la longueur traditionnelle des jugements en Allemagne, les conditions particulières liées à l’état de santé de Christian, le calendrier de l’année judiciaire, se conjuguent pour rendre possible cette punition préventive aberrante et intolérable.
Samedi prochain 21 Avril à 16 h 30
à l’Espace Louise Michel, 42 ter rue des Cascades Paris 20e Projection de films témoignages
Débat en présence de l’avocat de Sonja suivis d’une soirée amicale à la maison ouverte,
67 rue de la Mare Paris 20e- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (caméra de surveillance visé par un lance-pierre)
dessin (barbelés, mirador fracassé)
- texte :
En juin 2010, la mobilisation contre le sommet du G20 à Toronto a eu pour conséquence la plus large arrestation de masse de l’histoire du Canada. Une opération sécuritaire ayant coûté 1.6 milliard de dollars a procuré l’infrastructure et le personnel nécessaires pour emprisonner plus de 1100 personnes dans le but de défendre une réunion de bureaucrates des économies capitalistes les plus riches. Pour avoir organisé contre le sommet, 17 personnes ont été préventivement arrêtées et accusées de « conspiration ». Parmi celles-ci, 6 personnes ont reçu des sentences d’emprisonnement. D’autres ont été emprisonnées après avoir été accusées d’avoir commis des actions dans les rues, qui incluent des attaques contre la police et contre la propriété corporative.
Solidarité & complicité
avec les prisonnier.ères du G20
Prisonnier.ères dans la rue !
guelphabc.noblogs.org - conspiretoresist.wordpress.com - sabotagemedia.anarkhia.org
https://mtlcontreinfo.org/solidarite-et-complicite-avec-les-prisonnier-eres-du-g20/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/g20solidarityfr.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
photo (surveillance camera targeted by a slingshot)
drawing (barbed wire, shattered watchtower)
- texte :
In June 2010, the mobilization against the G20 summit in Toronto resulted in the largest mass arrest in Canadian history. A $1.6 billion security operation provided the infrastructure and personnel to cage over 1100 people in order to defend a meeting of the bureaucrats from the richest capitalist economies. As a result of organizing against the summit, 17 people were preventatively arrested on charges of ‘conspiracy’ for which six were sentenced to prison terms. Others have been locked up for actions in the streets, which included attacks on police and corporate property.
Solidarity & complicity with the G20 prisoners
Prisoners to the streets !
guelphabc.noblogs.org - conspiretoresist.wordpress.com - sabotagemedia.anarkhia.org
https://mtlcounterinfo.org/solidarity-and-complicity-with-the-g20-prisoners/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/g20solidarity.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
photo (“Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009”)
background (black and yellow)
- texte :
In the days of April 2010, when the Greek government finally agreed to accept a loan from the International Monetary Fund to begin the take-over of the country into the hands of the international financiers, the security services had prepared a media spectacle to mark the occasion : the capture of 6 anarchist fighters for the purpose of the submission of the social struggle.
Anarchist fighters who had been a thorn in their side for some time, were now hostages. Hostages who had humiliated the demoralised and brutal Greek intelligence services, anti-terrorist divisions and their American occupier counterparts, the CIA, who had sought out the Revolutionary Struggle (‘Epanastatikos Agwnas’ – EA – in Greek language) for a Rocket Propelled Grenade attack against the US Embassy in Athens. This daring and symbolic action came amongst scores of other targeted attacks which struck for years with symbolically definitive high-impact blows against the institutions of capitalism and government, accompanied by dozens and dozens of pages of critical, thoughtful and articulate anarchist analysis of the institutional structures that parasite on the social wealth produced by labour, with social and economic self-organisation put forward as an anti-capitalist and anti-state egalitarian alternative. Revolutionary Struggle are Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kostas Gournas and the fllen Lambros Foundas, who was killed in a battle with the police. Together they formed a group of social-libertarian anarchists based in the busy capital, Athens, who directed their armed activities in the class interests of the exploited workers of Greece and within/alongside the specific mass anarchist/anti-authoritarian movement from 2003-2010.
And now, they continue their fight in the court rooms and prisons of the Greek regime, where they push an even harder fight to the legitimacy of the capitalist enemy. The show-piece trial against the comrades began in October 2011 and is partnered by a campaign of repression against the anarchist/anti-authoritarian movement in general and specifically to several anarchists who deny responsibility. What the Greek security services and their foreign colleagues wish to prevent through intimidation, surveillance and imprisonment is contagion. Contagion of tactics which made a mockery of their system and showed how easily it could be struck by anyone. Contagion of ideas which have now spread far beyond the world-wide anarchist/anti-authoritarian movement into the general masses of people who are angry with everything, wishing to see it all come down and something much more humane begin.
Freedom for the prisoners – honour to Lambros Foundas
[photo ;] Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009
Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle and those accused in the same case.
Info-session // dinner // letter writing
For case updates : revolutionarystrugglecase.blogspot.com // actforfree.nostate.net7 PM ,Wednesday March 28 th
La Belle Époque
Anarchist social space
1984 rue Wellington, metro Charlevoix
epoquemtl.org
whisper-translation to french availablehttps://mtlcounterinfo.org/solidarity-evening-with-the-anarchist-prisoners-of-the-group-revolutionary-struggle/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (centrale nucléaire en éruption) ]
- texte :
Nous étions 800 à Valognes
Soyons 797 devant le tribunalTous au procès des trois inculpés de Valognes !
Tribunal de Cherbourg (50)
Mardi 9 octobre 2012 - 10 h
valognesstopcastor.noblogs.org
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (centrale nucléaire en éruption)
- texte :
Nous étions 800 à Valognes
Soyons 797 devant le tribunalTous au procès des trois inculpés de Valognes !
Tribunal de Cherbourg (50)
Mardi 9 octobre 2012 - 10 h
valognesstopcastor.noblogs.org
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[ texte ; vignette ; cadre végétal aux fleurs nucléaires) ]
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Un train vaut mieux que deux tu l’auras
Le 23 novembre dernier, aux alentours de Valognes dans la Manche, 800 personnes se mettaient en tête de retarder un train CASTOR de déchets radioactifs et y réussirent. Pour la première fois depuis longtemps en France, le mouvement anti-nucléaire reprenait le chemin de l’action directe de masse. Il faisait entendre une voix qui ne tremble pas. Il répondait aux dizaines de milliers d’allemands qui bloquent ce même train chaque année depuis vingt ans. Dans la région la plus nucléarisée du pays le plus nucléarisé du monde, ce n’était pas chose acceptable. Et puisqu’on a coutume de passer sous silence les incidents qui ponctuent l’existence des centrales et des installations dites de retraitement, on voudrait aussi faire taire les opposants.
Ainsi, sur le terrain et six mois plus tard, on a lâché toute bride à la police et le camp anti-THT de Montabot se terminait avec vingt-cinq blessés dont trois graves. Ensuite, c’est une véritable déferlante de procédures judiciaires qui s’abat sur tous ceux qui résistent au nucléaire dans la région : neuf inculpés pour Valognes ; le maire du Chefresne gardé à vue qui démissionnait en même temps que son conseil municipal ; plusieurs procès et condamnations, dont une de prison ferme, pour participation à la lutte contre la THT Cotentin-Maine pléthore de convocations intimidantes. Cet acharnement judiciaire n’est autre que le masque d’une attaque politique contre les ennemis du nucléaire.
Un nouveau procès aura lieu le 9 octobre 2012 à Cherbourg, contre trois des personnes qui ont pris sur elles d’expliquer aux médias le sens de l’initiative du camp de Valognes. Ce serait un précédent pour toutes les luttes politiques que le simple fait de répondre à des journalistes soit condamné sous de tels chefs d’inculpations : provocation directe suivie d’effet à un attroupement armé, organisation d’une manifestation interdite et complicité de destruction du bien d’autrui. Et quelles preuves pour étayer un tant soit peu de si lourdes accusations ? Deux ou trois interviews à BFM TV, Le Figaro ou France Soir, qui suffiraient à les désigner comme des sortes de leaders auto-proclamés ordonnant à une armée d’obéissants moutons.
L’opération est donc grossière. On voudrait faire en sorte que des événements comme celui de Valognes ne puissent pas être accompagnés dite discours assumé publiquement. On voudrait que ceux qui y participent soient des criminels sans phrase ou des fous irresponsables. On voudrait absolument qu’il y ait des chefs pour nier la possibilité qu’il existe des manières de s’organiser qui ne soient pas hiérarchiques. Ce qui est recherché, c’est d’empêcher toute formulation intelligible d’un engagement collectif et offensif. Ce que nous recherchons, c’est à rendre possible l’insolente coïncidence entre des gestes et des pensées.
Ce procès ne pourra jamais paraître vraisemblable ailleurs que dans le huis-clos ronronnant d’une salle de tribunal. C’est pourquoi nous appelions à le déborder par le I’ le plus large soutien des trois personnes inculpées et vous invitons à vous rendre devant le tribunal lors du procès :
Rendez-vous devant le tribunal de Cherbourg le 9 octobre a 10 h
Collectifs de soutien aux inculpés de Valognes
legalteamvalognes@riseup.net. Pour du soutien financier : chèque à l’ordre de APSAJ - 6 cours des Alliés - 35000 Rennes - France — IBAN : FR76 4255 9000 5541 0200 1473 207 Code BIC CCOPFRPPXXX
Soirée de soutien
Le 12 octobre au Centre Culturel Libertaire
4, rue de Colmar — métro Porte des Postes
19 h : cantine végétalienne irradiée
21 h : concerts en phase terminale avec
Edmond Lameute, poésie totale
Cheyenne 666, bordel bisou rock
The Washingtonians, grind punk hardcorePrix libre en soutien aux inculpés
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texte
vignettes (arrestations armées)
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Vengeances d’État
“Soirée de soutien aux prisonniers de Villiers-Le-Bel et aux victimes de crimes racistes et sécuritaires”
avec
ZEP (Zone d’expression populaire)
Première ligne (skalpel -e.one - akye)
+ guests
le 22 avril 2012
Au CICP dès 18 h
21 ter, rue des Boulets - 75011 Paris
Mº Rue des Boulets - Alexandre Dumashttps://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89meutes_de_2007_%C3%A0_Villiers-le-Bel
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- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — drapeau noir ⚑ — chat noir — barbelés — fond : drapeau rouge et noir ⚐/⚑ /B_tout>
[ texte ; logos (CNT, CGT Florange et environs Arcelor-Mittal, Confédération générale du travail-Collectif jeune ArcelorMittal Florange, FO-PAM, AL-Alternative libertaire, FA, NPA-Nouveau Parti anticapitalistela FASE-Fédération pour une alternative sociale et économique, PCF, Parti de Gauche, JC-Mouvement des jeunes communistes) ; photo (fond de barbelés) ]
- texte :
Amnistie
civile et pénale pour le mouvement social.
[logos de partis et mouvements]
http://www.cnt-f.org/IMG/pdf/affiche_amnistie_20130629_nb_a3_bas_v2.pdf
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- Symbole(s) utilisé(s) : drapeau noir ⚑ — chat noir — barbelés — fond : drapeau rouge et noir ⚐/⚑ /B_tout>
[ texte ; photo (barbelés sur fond rouge) ]
- texte :
Manifestation
Samedi 29 juin, place Mazelle, Metz, 15 h
contre la répression
Amnistie
civile et pénal pour le mouvement social.
[suite de logos d’organisations :] [chat noir cerclé] Confédération Nationale du Travail — NPA — La FASE, Fédération pour une alternative Sociale et Écologique — FO-PAM — [drapeau noir] FA — Confédération générale du travail-Collectif jeune ArcelorMittal Florange — PCF — La CGT — Alternative libertaire — Parti de Gauche — Jeunesses Communistes
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]
[La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 41 × 30 cm.
sources :
![]() 2011 |
[La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]
[La CNT face à la répression antisyndicale : samedi 18 juin, journée d’action et de soutient à l’union locale de Lille]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier jaune ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Libération immédiate ; levée des poursuites]
[Libération immédiate ; levée des poursuites]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.
sources :
[Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]
[Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]
[Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Rock in Gats se déchaîne à Glandage : week-end de soutien à L’Envolée]
[Rock in Gats se déchaîne à Glandage : week-end de soutien à L’Envolée]. — Glandage : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , vert , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Solidarität mit Sonja und Christian]
[Solidarität mit Sonja und Christian]. — Berlin : ABC_ (Anarchist Black Cross), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , bleu , texte en défonce ) ; [84 ?] × [30 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι]
[Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι] / Théophile Alexandre Steinlen. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.
sources :
[Apéro-musique contre le nucléaire et en soutien aux inculpés de Valognes]
[Apéro-musique contre le nucléaire et en soutien aux inculpés de Valognes]. — Toulouse : Collectif Anti-Castor 31, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
Turkiye’ deki Baskiya son!">[Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!]
[Halte à la répression en Turquie ! = Turkiye’ deki Baskiya son!]. — Paris ; Saint-Denis : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CGA_. Groupe Région parisienne : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : OLS_ (Offensive libertaire et sociale : 2003-2014), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; [30 ?] × [21 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[La fin des illusions]
[La fin des illusions]. — Nantes : Des mutiné-e-s de la prison sociale, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , brun , texte en défonce ) ; 62 × 43 cm.
sources :
[Le travail libère-t-il ?]
[Le travail libère-t-il ?]. — Athí̱na = Αθήνα Athenes ; Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , vert , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2012 |
[Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]
[Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]. — Poitiers : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Pavillon noir (Poitiers), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Liberté pour notre frère Peppe Sghigno]
[Liberté pour notre frère Peppe Sghigno]. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Ligne TGV, Hub-port, Nucléaire, Aéroport : contre les grands projets inutiles du patronat soutenus par le PS et les verts]
[Ligne TGV, Hub-port, Nucléaire, Aéroport : contre les grands projets inutiles du patronat soutenus par le PS et les verts]. — Boulogne-sur-Mer : Mouette enragée (la) : OCL_ (Organisation communiste libertaire : 1976-....), [ ?] (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Procès antiterroriste pour 6 camarades, du 14 au 22 mai 2012 à Paris : solidarité avec les inculpés !]
[Procès antiterroriste pour 6 camarades, du 14 au 22 mai 2012 à Paris : solidarité avec les inculpés !]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (une : noir , texte en défonce , papier jaune ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]
[Samedi 14 janvier aux Pavillons Sauvages]. — Toulouse : Caisse d’Autodéfense Juridique : Collectif pour la liberté des inculpé-es de Labège, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]
[Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Soirée de soutien pour les prisonniers amérindiens]
[Soirée de soutien pour les prisonniers amérindiens]. — Paris : Centre International de Culture Populaire (CICP), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]
[Solidarité avec Sonja Suder et Christian Gauger]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2011 |
[Solidarité et complicité avec les prisonnier.ères du G20]
[Solidarité et complicité avec les prisonnier.ères du G20]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Solidarity and complicity with the G20 prisoners]
[Solidarity and complicity with the G20 prisoners]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]
[Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Tous au procès des trois inculpés de Valognes !]
[Tous au procès des trois inculpés de Valognes !]. — [S.l.] : Valognes stop Castor, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Tous au procès des trois inculpés de Valognes !]
[Tous au procès des trois inculpés de Valognes !]. — [S.l.] : Valognes stop Castor, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 40 × 28 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Un train vaut mieux que deux tu l’auras]
[Un train vaut mieux que deux tu l’auras]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2012 |
[Vengeances d’État : soirée de soutien]
[Vengeances d’État : soirée de soutien]. — Paris : Centre International de Culture Populaire (CICP), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Amnistie civile et pénale pour le mouvement social]
[Amnistie civile et pénale pour le mouvement social]. — Paris : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France : ≥1993) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 28 × 40 cm.
sources :
![]() 2013 |
![]() 2013 |
[Amnistie civile et pénale pour le mouvement social]
[Amnistie civile et pénale pour le mouvement social]. — Metz : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France : ≥1993) : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
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[La Maison des syndicats CNT de Lille a besoin de votre soutien !]
[La Maison des syndicats CNT de Lille a besoin de votre soutien !]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France : ≥1993), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 30 × 21 cm.