deux

 

 
 

Affichage par année

2335 affiches :

 


    [Musiques tordues pour gens tordus, ou pas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Musiques tordues pour gens tordus, ou pas]. — Mens Menç : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (loups noirs ?, enfants avec ballons gonflables, tête de femme avec inscription JiJi [Dalida ?] sur corps d’« Alice derrière le miroir » ?, chauve-souris) ]

    texte :

    Rencontres tænia solium

    Mens (38) Bessaire

    Musiques tordues pour gens tordus

    ou pas

    ateliers & concerts

    20 mai à partir de 14 h

    Les Monstres, slam poétique pour musique de film /// Strasbourg
    Dure-mère, tango mélodieusement noisy /// Montpellier
    Lili Refrain, guitare héroie & solo de voix /// Rome
    Motto, chaos massif & destruction final /// Marseille

    21 mai à partir de 14 h

    concert pour les gosses à 17 h
    Krekekekexkoaxkoax, musique bruyante pour enfants bruyants /// (tais-toi et) Creuse

    Les Profsdeskids, Elvis Presley • Beach Boys • Dead Kennedys • [AERO ?] /// Grenoble
    Fast Arbeit Babies, disco compulsive à deux [cris ?] /// Strasbourg
    Pizza O.D., ils jouent vite, ils chantent faux, et c’est rock’and roll /// Lyon
    Scarb, la couleur du métal, le goût du punk-hardcore /// Valence

    22 mai à partir de 14 h

    Le Fond de l’Air Effraie, harcordéon fou et tambour du [bronx ?] /// Strasbourg
    Rodriguo y Rodriguo, le meilleur de la musique en acoustique /// Marseille
    Not’ pain quotidien, pour une défunte veuve et cinq [belles ?] marionnettes-spectacle /// [… ?]
    Jo et Slam, slam de [pouchev’ ?], musique de taulard /// Grenoble

    les 3 jours

    Las Vegan, le meilleur restaurant du monde midi et soir /// Grenoble
    salon de thé, avec muffies, jeux et vue sur le Vercors
    stands, distros DIY de disques et de zines
    atelier “fais ton disque toi-même”, enregistrement artisanal & fabrication artisanale de pochettes artisanales, tous les après-midis

    Où c’est ? Ça se passe au lieu-dit “Bessaire”, à Mens, 80 km au sud de Grenoble.
    Le paln sur www.taenia-solium.net ou en demandant aux gens.
    Camping ? C’est possible, avec des moustiques en option.
    Parking ? Venez en covoiturage ou en mobylette, il n’y a pas beaucoup de place pour se garer.
    Contactez-nous si vous cherchez des gens pour covoiturer.
    Autogestion ! Ces rencontres ne sont pas un évènement commercial.
    Une adhésion à l’association à prix libre (mais nécessaire) vous sera demandée.
    Qui fait ça ! Taenia Solium est une association qui organise des concerts, édite des disques et publie un fanzine. Taenia Solium privilégie les pratiques non-marchandes, fonctionne sans subventions ou salarié. Pour l’amour de la musique, on fait les choses nous-mêmes, et du mieux qu’on peut DIY !
    La SACEM ? Qu’elle crève. Vive le copyleft.

    mp3, informations, programme, covoiturage www.taenia-solium.net
    06.28.19.69.37
    [xx ?].38.[49 ?].99

    Les propos et comportements racistes, sexistes, h[aineux ?] ne sont pas les bienvenus.


    sources :
     






    [Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Quelle liberté ? Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; insurrectionnalisme  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Algérie  ; Égypte  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Cette semaine (ca2000-....)  ; Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (personnes jugées sur des vélos pour regarder par-dessus une palissade) début 20e siècle ]

    texte :

    Quelle liberté ?

    Ces dernières semaines en Algérie, en Tunisie ou en Égypte, des milliers et des milliers d’individus sont sortis dans la rue pour manifester leur rage et leur révolte contre des conditions de vie insupportables.

    En plein hiver, ces blocages de routes, ces pillages massifs de supermarchés et d’entrepôts, ces incendies de sièges de partis politiques, ces saccages de villas de riches et de lycées, ces attaques de commissariats, ces mutineries et autres assauts victorieux contre des prisons nous ont réchauffé le cœur...

    Aujourd’hui, malgré des dizaines de morts, la soif de liberté des insurgés ne semble pas prêt de s’éteindre. Mieux encore, elle pourrait se diffuser un peu partout. Car partout, c’est un peu la même poudre qui s’accumule, celle de la misère et de l’écrasement quotidien. Car partout, et ici aussi, c’est un même monde qui voudrait nous soumettre : un monde de fric et de pouvoir pour quelques-uns, d’enfermements et de coups assassins pour tous les autres. Un monde au service des patrons et des États, quelle que soit leur couleur, et quelle que soit la manière dont ils entendent nous exploiter et nous contrôler. A présent que de nouveaux maîtres plus démocrates se précipitent pour se partager le gâteau en Tunisie, est-ce vraiment pour cela que des milliers de révoltés se sont battus au cri de « Liberté » ?

    Depuis le 14 janvier à Paris, Olivier et Dan ont été jetés en prison après avoir tagué « Algérie, Tunisie, vive l’insurrection » et « Vive l’anarchie » sur les murs de Belleville. Le 21 janvier à Bagnolet, c’est François qui a été incarcéré avant de sortir sous contrôle judiciaire une semaine plus tard.

    Tous sont accusés par les larbins de la section anti-terroriste de Paris et par une charogne en toge — la juge d’instruction Patricia Simon — d’avoir apporté leur solidarité avec les dix sans-papiers inculpés de l’incendie du centre de rétention de Vincennes en juin 2008. Au cri de « Liberté pour tous, avec ou sans-papiers », ils ont manifestement touché une corde sensible. Celle d’un système avide de chair humaine facile à exploiter et broyer sur les chantiers ou derrière une machine à coudre, avant de la rafler puis de l’expulser dans le premier avion venu.

    Mais cette histoire de révolte et de solidarités ne s’arrête pas là : juste avant Noël, les chiens en uniforme avaient ainsi déjà enlevé Bruno dans le métro parisien avant de l’envoyer en préventive.

    Lui est accusé de faire partie d’une« association de malfaiteurs à finalité terroriste », parce qu’il avait eu l’impudence de se rendre en janvier 2008 à une manifestation devant ce même centre de rétention de Vincennes avec… des fumigènes. Ici aussi, dans le paradis de la démocratie marchande, il semble bien que la lutte antiautoritaire pour la liberté, la lutte pour un monde sans patrie ni frontières, conduise rapidement derrière les barreaux.

    Si la liberté est le crime qui contient tous les crimes, nous nous affirmons sans vergogne complices des actes de ces compagnons et camarades. De même que nous laissons volontiers les catégories de « coupable » et « innocent » aux barbelés du code pénal et à ses souteneurs.

    Dans cette guerre sociale qui se déroule au travail comme dans la rue, de jour comme de nuit, continuons de briser nos chaînes, ici comme partout : contre une société dans laquelle on devrait se tuer au turbin ou crever au chômage, être dressé à l’école et enfermé en prison, étouffer dans des tours de béton et subir l’occupation policière sans broncher.

    Des deux côtés de la Méditerranée, en lutte contre tous les pouvoirs, démocratiques ou pas.

    Pour un monde sans maîtres ni esclaves

    Contre tous les pouvoirs, que vive l’insurrection !


    sources :
     

    2011
    Affiche liée






    [Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de L’Anomalie ou les mémoires du silence]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de L’Anomalie ou les mémoires du silence]. — Lyon : CNT_F (France : ≥1993) : SUB_ - CNT_ (Syndicat unique du bâtiment), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Caboud, Gilbert Vincent
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (poing levé avec crayon, au dessus de la photo de la couverture du livre) ]

    texte :

    Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de L’Anomalie ou les mémoires du silence

    Samedi 26 novembre 2011 à 16 h

    au local CNT, 44 rue Burdeau, 69001 Lyon, suivi d’un pot de l’amitié

    Parce que notre classe a une culture, notre syndicat entend bien l’entretenir et la propager. La littérature prolétarienne est un pan de notre culture de classe. Nous avons souhaité organiser cette rencontre avec Gilbert Vincent Caboud autour du livre « L’anomalie ou les mémoires du silence » pour aborder ce thème de la culture de classe mais aussi ceux de son livre :

    Eric, l’homme que l’on suit tout au long de l’histoire, se réveille un jour et se découvre en tant qu’individu au milieu de cette masse de gens (dont il faisait partie) absorbés par le train-train quotidien et la société de consommation. Il réalise la futilité de sa vie et de cette société.

    Ce n’est pas un cheminement philosophique mais un enchaînement d’événements qui l’amène là. On y retrouve le lien à la nature, à la construction (réalisation de soi à travers une production), au travail mais aussi au père, à la famille et à l’amitié. Eric est habité par une force qui va lui faire remettre en cause tout ce qu’il est. Il veut devenir un homme libre ! La transformation totale aboutira avec la prise de position politique au sens large, quand il prendra sa carte syndicale dit-il. Ainsi l’homme libre qu’il aspire à devenir ne sera vraiment libre que lorsqu’il trouvera sa place dans la société des hommes libres, dans le collectif, dans la démocratie. Lorsqu’il s’engagera pour les autres !

    Retour à la Terre. Eric retrouve aussi sa place d’être humain sur terre. Il cherche à retrouver des racines et à s’ancrer dans l’histoire des hommes, du Monde et de la nature.

    Quand il approche le syndicat la crise de 2008 arrive et avec elle la peur du lendemain mais son remède se dessine : la solidarité ouvrière et la force collective. Ses camarades et lui vont réinventer le syndicalisme révolutionnaire en construisant les outils de lutte syndicale dont ils ont besoin pour s’opposer aux ravages de la crise financière et à l’oppression des patrons. Ces syndicalistes vont créer un lieu de vie retranché, assurant l’autarcie alimentaire et permettant de créer une base arrière à toutes les luttes du coin ; Ils vivront une expérience de vie collective basée sur d’autres valeurs que celle de notre société absurde.

    [logo SUB] Syndicat Unique du Bâtiment / CNT - SUB 69
    44, rue Burdeau - 69001 Lyon

    Tél. : 04 78 85 69 21 - mél : sub69@cnt-f.org - www.cnt-f.org/sub69

    [logo caisse à outils avec chat noir cerclé CNT] CNT

    CNT Construction

    […]


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/Affiche_Caboud_r_blog.jpg
    http://rebellyon.info/Rencontre-avec-Gilbert-Vincent.html











    [Αφίσα ομάδων αντιπληροφόρησης ενάντια σε θιασώτες της πατρίδας και απολογητές της εθνικής ενότητας]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Αφίσα ομάδων αντιπληροφόρησης ενάντια σε θιασώτες της πατρίδας και απολογητές της εθνικής ενότητας]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nationalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (n&b) ]

    texte :

    Επειδή δε γεννηθήκαμε χθες, αλλά έχουμε μνήμη, επειδή φτύνουμε κατάμουτρα την προπαγάνδα των καθεστωτικών media…
    Επειδή κι εμείς, είτε γεννηθήκαμε εδώ είτε όχι, ζούμε και περπατάμε σ’ αυτούς εδώ τους δρόμους, γνωρίζουμε πάρα πολύ καλά πως :

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΔΟΛΟΦΟΝΟΥΝ
    –μαζικά κιόλας– στο Αφγανιστάν, στη Σομαλία και όπου αλλού πατάει η μπότα του ελληνικού στρατού, όπως δολοφονούσε χθες στη Σρεμπρένιτσα και θα συνεχίσει να δολοφονεί όπου υπάρχει ανάγκη να προστατευτούν τα « εθνικά οικονομικά συμφέροντα ».

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΒΙΑΖΟΥΝ
    κορίτσια και αγόρια από την Αφρική, την ανατολική Ευρώπη και από παντού, χρόνια τώρα στα μπουρδέλα της πρωτεύουσας και στα κωλόμπαρα της επαρχίας, στα αστυνομικά τμήματα των γειτονιών μας. Άλλη μια απτή απόδειξη της παραδοσιακής τους λεβεντιάς-παλικαριάς, ενισχυμένης απ’ τη –δανεική– συνθήκη του οικονομικά « ισχυρού Έλληνα ».

    ΚΑΙ ΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΛΗΣΤΕΥΟΥΝ
    Έλληνες τραπεζίτες, εφοπλιστές, αφεντικάνοι, επιχειρηματίες μεσαίου και μεγάλου βεληνεκούς, αρχιμανδρίτες και πολιτικοί, τίμιοι δικαστές και αδιάφθοροι αστυνομικοί. Στην Ελλάδα, στα Βαλκάνια και όπου αλλού επεκτείνουν τις βρόμικες μπίζνες τους…

    Η ΕΘΝΙΚΗ ΕΝΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ ΜΙΑ ΑΠΑΤΗ
    που θέλει να δίνει την ψευδαίσθηση σ’ εμάς τους « από τα κάτω » ότι έχουμε κοινά συμφέροντα μ’ αυτούς που ληστεύουν τις τσέπες μας, βιάζουν την προσωπικότητά μας, μ’ αυτούς που θέλουν να μας ξεζουμίσουν πριν μας δολοφονήσουν σ’ ένα κάτεργο, μια φυλακή, ένα τρελάδικο.

    Η ΑΝΤΙΣΤΑΣΗ ΜΑΣ ΟΧΙ ΑΠΛΑ ΔΕΝ ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΟΡΓΑΝΩΝΕΤΑΙ ΠΑΝΩ ΣΤΗ ΒΑΣΗ ΤΗΣ ΕΘΝΙΚΗΣ ΕΝΟΤΗΤΑΣ

    ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΤΗΝ ΤΣΑΚΙΣΕΙ

    ΟΜΑΔΕΣ ΑΝΤΙΠΛΗΡΟΦΟΡΗΣΗΣ ΕΝΑΝΤΙΑ ΣΕ ΘΙΑΣΩΤΕΣ ΤΗΣ ΠΑΤΡΙΔΑΣ ΚΑΙ ΑΠΟΛΟΓΗΤΕΣ ΤΗΣ ΕΘΝΙΚΗΣ ΕΝΟΤΗΤΑΣ


    traduction :

    « Briser l’unité nationale... »

    Puisque nous ne sommes pas né(e)s hier mais que nous gardons la mémoire du passé, puisque nous crachons sur la propagande des médias corporatifs...

    Né(e)s ici ou pas, nous vivons et marchons aussi dans ces rues, nous savons donc très bien que :

    LES GRECS AUSSI, ASSASSINENT
    (massivement) en Afghanistan, en Somalie et partout ailleurs où les bottes de l’armée grecque pénètrent, comme elle a massacré à Srebrenica dans le passé récent, et comme elle continuera à tuer des gens partout où la protection des « intérêts économiques nationaux » le demande.

    LES GRECS AUSSI, VIOLENT
    Les filles et des garçons d’Afrique, d’Europe de l’Est et de partout, depuis des années, dans les bordels de la capitale et dans les bars louches en province, à l’intérieur des postes de police de notre voisinage. Une autre preuve tangible de leur imposture corpulente traditionnelle, accrue par leur condition (empruntée) de « Grec économiquement puissant ».

    LES GRECS AUSSI, VOLENT
    Les banquiers, propriétaires de bateau, patrons, hommes d’affaires, archimandrites de l’église, politiciens, juges honnêtes et policiers incorruptibles de Grèce ; en Grèce, dans les Balkans et partout où ils étendent leurs affaires répugnantes...

    L’UNITÉ NATIONALE, C’EST UNE ARNAQUE
    dont l’objectif est de créer l’illusion pour nous « d’en bas » que nous aurions des intérêts communs avec ceux qui nous volent, violent notre personnalité, avec ceux qui veulent tout presser hors de nous avant de nous exterminer dans une galère, une prison, une maison de fous.

    NOUS NE DEVRIONS PAS SEULEMENT REFUSER D’ORGANISER NOTRE RÉSISTANCE SUR LA BASE DE L’UNITÉ NATIONALE

    NOUS DEVRIONS LA DÉTRUIRE

    Groupes de contre-information contre les adeptes de la patrie et les apologistes de l’unité nationale


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Ελλάδα-Αφίσα (5 septembre 2011).



    [Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι] / Théophile Alexandre Steinlen. — Athí̱na = Αθήνα Athenes : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 68 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Economou [Μαρίας Οικονόμου], Maria  ; Kossiva [Αλέξανδρου Κόσσυβα], Alexander  ; Polikreti [Βένο Πολυκρέτη], Vénus  ; Traikaii [Μιχάλη Τράïκάηη], Michael
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (scène de procès) par Steinlen ? ]

    texte :

    Στις 17 Σεπτεμβρίου 2010, σε τυχαίο έλεγχο στην περιοχή του Πανοράματος Ευβοίας, εξακριβώνονται τα στοιχεία των αναρχικών Μιχάλη Τράïκάηη, Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Οι μπάτσοι τους προσάγουν και λίγο αργότερα τους γνωστοποιούν ότι κατηγορούνται για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζας Ψαχνών, δίχως να υπάρχει κανένα επιβαρυντικό στοιχείο που να τους συνδέει. Στις 31 Ιουλιου 2011 μια ακόμα μεθόδευση ενεργείται ει βάρος των αναρχικών συντρόφων Μαρίας Οικονόμου και Αλέξανδρου Κόσσυβα. Βρίσκονται κατηγορούμενοι βάσει της κα-τάθεσηs ενός ιμευδομάρτυρα για τη ληστεία της Εθνικής Τράπεζα στις 29 Μάρτη 2010 στο Σχηματάρι.

    Οι σύντροφοί μας είναι ένοχοι

    Στην ιστορική συγκυρία που τα αφεντικά έχουν κηρύξει μια πρωτοφανή σε ένταση επίθεση στα φτωχότερα κομμάτια της κοινωνίας, αθώοι για το σύστημα είναι μόνο όσοι αποδέχονται παθητικά την εκμετάλλευση, όσοι κερδοφορούν από τι πλατιές μάζες των ανά τον κόσμο προλετάριων, τα τάγματα ασφαλείας που με το δάχτυλο στη σκανδάλη είναι έτοιμα να δολοφονήσουν απεργούς, διαδηλωτές, εξεγερμένους...

    Παραμένουμε συνειδητά ένοχοι, ενισχύοντας την εμπροσθοφυλακή της αντίστασης, προωθώντας την κοινωνική ανταρσία

    Απαιτούμε την άμεση απελευθέρωση των αναρχικών
    Μιχάλη Τράïκάηη και Αλέξανδρου Κόσσυβα

    Καμία δίωξη στους αναρχικούς : Μαρία Οικονόμου και Βένο Πολυκρέτη

    Συγκέντρωση :
    δικαστήρια Χαλκίδας 18 Οκτώβρη 2011, 9.00 π.μ.

    Αναρχικοί σύντροφοι-ισσες


    sources :

    octobre 2011.










    [Avis de tempête]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Avis de tempête]. — Paris : No Border, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Égypte  ; Grande-Bretagne  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (enfant gravissant un mur surmonté d’un grillage) ]

    texte :

    Avis de tempête

    La vie n’est pas une croisière où tout le monde s’amuse : un emploi perdu, une allocation menacée par les mesures d’austérité, une centrale nucléaire qui pète, un-e proche arrêté-e par les flics, une survie toujours plus difficile. Et dans ce monde en perpétuelle transformation, on s’attend à une prochaine tempête.

    Beaucoup s’en remettent à la démocratie et font confiance à ses institutions, que ce soit les élections comme les syndicats, la police comme la justice, assurant au pouvoir la perpétuation dont il a besoin. Les sangsues nationalistes, religieuses et communautaires s’agitent, sentant que la situation peut leur être propice.

    De son côté l’État se prémunit, resserre son contrôle et construit de nouvelles prisons pour enfermer les indésirables, les récalcitrant-e-s, celles et ceux qui se révoltent, celles et ceux qui préfèrent voler dans les magasins et arnaquer les allocs plutôt que de crever la dalle.

    Mais le vent pourrait tourner.

    En Angleterre, des milliers de gens ont brisé les règles du jeu le temps de quelques nuits d’août enflammées.
    De Lampedusa à Christmas Island, des prisons pour étranger-e-s sont incendiées par les sans-papiers qui y sont enfermés.
    En Tunisie comme en Égypte, des révolté-e-s s’attaquent au pouvoir en place.
    Tout cela nous porte à croire que l’on peut changer radicalement l’existant.

    Nous ne voulons pas de leur religion, de leurs prisons, ni de leur nation et de leurs frontières. Parce que le pouvoir perpétuera toujours la domination et l’oppression, il n’y a rien à faire de leur démocratie, qu’elle soit de gauche ou de droite, représentative ou réelle.

    Comme celles et ceux gui désirent la liberté et refusent une existence réduite à la survie, au travail et à la consommation, me de pouvoir.


    sources :
     

    2010
    Affiche liée


    [Bibliothèque anarchiste Libertad]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bibliothèque anarchiste Libertad]. — Paris : Bibliothèque anarchiste Libertad, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier brun ) ; 65 × 32 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    logo (flamme s’échappant d’un livre ouvert)

    papier brun

    texte :

    Bibliothèque anarchiste Libertad

    19, rue Burnouf, 75019 Paris

    Permanences tous les mardis de 17 à 20 h

    À une époque où les livres comme les humains se voient de plus en plus réduits à la seule dimension marchande, la bibliothèque Libertad se veut un espace où les livres subversifs peuvent circuler sans que l’argent ne soit une barrière. C’est aussi un lieu où se rencontrer et débattre, pour en finir avec un monde mortifère fondé sur des logiques d’exploitation et de domination.

    Il y c des permanences les mardis pour emprunter et consulter sur place les livres et les archives de la bibliothèque, ou farfouiller dans l’infokiosque pour trouver tracts, brochures et publications anarchistes et anti-autoritaires. Il y a aussi les jeudis, pour des discussions, rencontres, présentations, débats autour d’une lutte ou d’une révolte, d’une période ou d’un bouquin… autant d’occasions de prendre du recul ou d’approfondir un thème, d’affiner les armes de la critique pour ici et maintenant.

    Aller à l’encontre d’un monde atomisant qui voudrait faire de nous des individus sans passé ni avenir, résignés dans des cages qui taisent leur nom, partager expériences et perspectives, sont quelques-uns des possibles lorsque les idées antagonistes peuvent se répondre et s’inscrire dans une certaine continuité.

    À chacun de faire vivre cette bibliothèque à l’aune de sa propre conflictualité, de se l’approprier comme un moyen parmi d’autres, loin des programmes à défendre et de la propagande à distiller. Vers une liberté démesurée sans fric ni flics, sans maîtres ni esclaves, parce que tout est toujours possible.

    Discussions les jeudis
    Programme disponible sur http://bibliothequelibertad.noblogs.org


    sources :
     


    [Bibliothèque anarchiste Libertad : programme]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bibliothèque anarchiste Libertad : programme]. — Paris : Bibliothèque anarchiste Libertad, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier brun ) ; 44 × 30 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (lecteurs mis en scène dans une bibliothèque en ruine, Holland House, 23 octobre 1940 (?) : “Blitz
    de Londres en 1940-1941)

    papier brun

    texte :

    Bibliothèque anarchiste Libertad

    19, rue Burnouf, 75019 Paris
    Métro Belleville ou Colonel Fabien

    Permanences tous les mardis de 17 à 20 heures

    Discussions les jeudis à 20 heures

    À une époque où les livres comme les humains se voient de plus en plus réduits à la seule dimension marchande, la bibliothèque Libertad se veut un espace où les livres subversifs peuvent circuler sans que l’argent ne soit une barrière. C’est aussi un lieu où se rencontrer et débattre, pour en finir avec un monde mortifère fondé sur des logiques d’exploitation et de domination.

    Il y c des permanences les mardis pour emprunter et consulter sur place les livres et les archives de la bibliothèque, ou farfouiller dans l’infokiosque pour trouver tracts, brochures et publications anarchistes et anti-autoritaires.
    Il y a aussi les jeudis, pour des discussions, rencontres, présentations, débats autour d’une lutte ou d’une révolte, d’une période ou d’un bouquin… autant d’occasions de prendre du recul ou d’approfondir un thème, d’affiner les armes de la critique pour ici et maintenant.

    Aller à l’encontre d’un monde atomisant qui voudrait faire de nous des individus sans passé ni avenir, résignés dans des cages qui taisent leur nom, partager expériences et perspectives, sont quelques-uns des possibles lorsque les idées antagonistes peuvent se répondre et s’inscrire dans une certaine continuité.

    À chacun de faire vivre cette bibliothèque à l’aune de sa propre conflictualité, de se l’approprier comme un moyen parmi d’autres, loin des programmes à défendre et de la propagande à distiller. Vers une liberté démesurée sans fric ni flics, sans maîtres ni esclaves, parce que tout est toujours possible.

    Programme disponible sur http://bibliothequelibertad.noblogs.org

    [encart à coller : programme du mois]

    [frise de texte :] infokiosque • discussions • journaux • affiches • livres • rencontres • distro • projections • brochures • tracts • revues •


    sources :
     












    [La Brique appelle à soutien !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Brique appelle à soutien !]. — Lille : la Brique, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  : benefiet - collecte de fonds
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (page tricolore — blanc, noir, rouge — de poings levés)

    texte :

    * La Brique *

    appelle à soutien !

    Pour 3000 dollars de plus…

    Depuis 2007, La Brique participe à faire vivre la critique sociale sur Lille, sa métropole et la région. Écrite, relue, mise en page et diffusée par sa bande d’artisans-bénévoles, elle ne vit que de ses ventes. Pas de pub ! Pas de pitié ! Aujourd’hui il est pourtant l’heure de payer notre imprimeur : nous avons besoin de 3 000 euros pour continuer l’aventure…

    Soutenez La Brique ! Abonnez vos ami-es ! Passez à la diffusion militante !
    Et surtout, envoyez vos dons :

    Par virement bancaire : IBAN : 76 4255 9000 6141 02200 0056 820 BIC : 42559 00061 4102000056 820
    Par chèque : à l’ordre des “Amis de La Brique”

    Plus d’infos : labrique.net / 14, rue des Tours, 59000 Lille / journal.labrique@gmail.com / 03.20.63.20.28


    sources :
     



    [La fin des illusions]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La fin des illusions]. — Nantes : Des mutiné-e-s de la prison sociale, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , texte en défonce ) ; 62 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : procès  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce) ; fond (noir ou brun) ; dessin (personnes assises autour d’un feu) type gravure ]

    texte :

    La fin des illusions

    Les fins de mois sont déjà difficiles à boucler, et voilà qu’on nous promet de tous côtés une nouvelle cure d’austérité à ingurgiter en se pinçant le nez, et surtout sans broncher. En somme, un mal nécessaire pour sauver de la tempête cette foutue galère dans laquelle nous ramons depuis trop longtemps.

    Dans ce monde à l’envers, le problème ne serait pas qu’un petit nombre s’enrichisse sur le dos des autres, mais de ne pas se résigner aux miettes qu’on nous octroie. Ce ne serait pas la marchandisation de tout et de tous, mais que certains passent à la caisse sans payer. Ce ne serait pas le règne de la politique, mais que des révoltés luttent pour une société sans gouvernants ni gouvernés, sans maîtres ni esclaves.

    Dans ce monde à l’envers, l’inacceptable ne serait pas de saturer la terre de poisons industriels et nucléaires, de bombarder très démocratiquement des populations entières, de tuer et mutiler des milliards d’êtres humains au turbin. Ce serait de vouloir briser la routine de l’exploitation et de la domination, pour enfin commencer à expérimenter un monde fait de liberté et de réciprocité.

    Car face à nous, chaque fois qu’on ne courbe pas assez la tête, il y a la matraque et ses souteneurs pour tenter de nous faire rentrer dans le rang. Face à nous, les uniformes occupent militairement les quartiers, mènent la traque avec fichiers et caméras de surveillance, multiplient contrôles et tabassages.
    Alors, qui n’a jamais pensé à leur rendre coup pour coup, qui n’a jamais caressé le désir d’en finir avec les chiens qui gardent l’ordre et les privilèges des puissants ?

    Face à nous, quand on refuse de crever bien sagement à petit feu, l’État brandit sans cesse la menace de la prison. Incarcérés parce qu’on a pas respecté la sacro-sainte propriété, enfermés parce que dépourvus du petit bout de papier adéquat, embastillés pour avoir craché notre rage à la gueule de l’autorité.
    Alors, qui n’a jamais rêvé que les taules soient rasées ? L’attaque de comicos ou de prisons ne fait-elle pas partie des réjouissances lorsqu’éclatent des soulèvements, ici ou ailleurs, comme l’an dernier en Tunisie ?

    Du 14 au 22 mai 2012, six camarades passeront en procès à Paris sous l’accusation d’association de malfaiteurs à finalité terroriste. Les faits concernent la tentative d’incendie d’un véhicule de keufs en 2007 pendant la dernière mascarade présidentielle, et un sabotage de la circulation d es trains lors du mouvement anti-CPE en 2006. Ils sont également accusés de fabrication de fumigènes artisanaux et crève-pneus destinés à une manifestation devant la prison pour étrangers de Vincennes en 2008, ou encore d’avoir eu entre leurs mains des manuels de sabotage, du chlorate et des plans originaux de la prison pour mineurs de Porcheville (Yvelines).

    Un abîme sépare ceux qui s’insurgent pour se libérer, et ceux qui frappent dans le tas pour défendre, consolider ou conquérir le pouvoir, c’est-à-dire l’État, les patrons et leurs concurrents.

    Alors, parce que la liberté est le crime qui contient tous les autres, que chacun exprime sa solidarité de la manière la plus adéquate.

    Des mutiné-e-s de la prison sociale

    Contre le terrorisme d’État, que crève le meilleur des mondes !


    sources :

    Affiche diffusée sur Indymedia Nantes : http://nantes.indymedia.org/article/25429 (4 avril 2012).