presse
434 affiches :
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Élection au Conseil général du 28 juillet 1889.
Le Père Peinard
Au populo
Les amis, je me fous candidat. Mais je ne vous prends pas en traître ; ne votez pas pour moi ; élu je serais aussi salop que te premier venu. Ce que j’en fais c’est pour engueuler un brin toute la bande des légumeux et jaspiner quelques vérités aux bons bougres.
Nous ne sommes pas heureux ; nous avions compté sur le suffrage universel pour changer un peu notre sort, il faut en rabattre, nom de dieu ! Plus on fait d’élections, moins ça change.
Les richards et les gouvernants se servent du truc électoral pour nous rouler ; à notre honte, mille bombes, faut avouer que jusqu’ici, ils ont bougrement réussi : ils nous appellent Peuple souverain, — cochonne de souveraineté que la nôtre ! Trimer comme des forçats, bouffer de la vache enragée, et en fin de compte crever à l’hôpital, — c’est notre vie !
Faut mettre ordre à ça, nom de dieu ! Mais ne croyez vas qu’en nommant un copain on arriverait à quelque chose : une fois élu c’est plus un , copain, c est un supérieur. Je l’ai déjà dit : à batelier, le camaro qui passe contremaître devient mufle ; à la caserne le griffeton qui monte en grade devient rosse.
Qu’ils soient bourgeois ou ouvriers, socialistes ou réacs, nue fois élus, les types se foutent de nous. Autant ils sont peloteurs avant, autant ils sont arrogants après. Dam, y a rien de drôle, ils sont nos maîtres. C’est pourquoi, nom de dieu, torchons-nous le cul des bulletins de vote !
Envoyons dinguer tous ces chameaux. ! Ceux qui aujourd’hui veulent être conseillers généraux, et ceux qui voudront être députés demain.
À quoi servent les conseillers généraux ? À nous faire cracher la belle galette pour engraisser les budgétivores. — De ça nous avons soupé !
Ce que nous voulons, nom de dieu, c’est qu’il n’y ait plus de feignants qui vivent de notre travail ; de gros richards qui gaspillent la boustifaille de cent familles. Ce que nous voulons c’est foutre dehors cette racaille d’employés et de gouvernants que nous gobergeons bêtement.
Nous sommes assez grands pour faire nos affaires nous-mêmes : à bas les Patrons et les gouvernants !
Mais ça ne viendra pas tout seul. Foutons les pieds dans le plat ! Ce n’est qu’un chambardement complet qui donnera au populo les trois choses indispensables à l’existence : le logement, le vêtement et la boustifaille.
Pour ça, tonnerre, ne votons plus ! Foutons les richards en l’air, et que les paysans prennent la terre, les ouvriers l’usine, les mineurs la mine !
Vive la Sociale, nom de dieu !
Vu : Peinard, candidat (pour la fôoorme).
Pour plus d’explications, les bons bougres n’ont qu’à se payer chaque dimanche le « Père Peinard », réflecs d’un gniaff. Pour deux ronds, chez un chaud de journaux, Ils en verront la farce
Paris. — Imp. des Arts et Manufactures, rue Saint-Jacques, 207.
Archives Nationales, Fond IFHS, côte : 14AS 122/ 4
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Élection législative du 27 janvier.
Le Père Peinard
au populo
L’occasion est chouette pour placarder des affiches sans timbres et. parler des Jean-foutres de la politique. J’en profite !
Soupé de la politique ! Les gouvernants se foutent de nous ; ils nous appellent peuple souverain en vérité nous sommes esclaves. — S’esquinter à turbiner, battre la dèche, crever la faim : c’est notre vie ! Et pendant que les gosses et la compagne se serrent le ventre et ont froid, les riches la mènent joyeuse.
Faut que ça change, nom de dieu ! Ouvrons les quinquets.
Élire un député, e est de la foutaise. C’est un maître qu’on se donne. — À l’armée, un simple soldat qui monte en grade devient rosse ; de même à l’atelier un bon copain qui passe contre-maître devient mufle : c’est dans la nature humaine, le commandement étouffe les bonnes qualités.
Pour un député, c’est kif-kif ! Moi-même, qui me crois un bon zigue, si des gourdes me nommaient, je me gât[…]
de pourritures, mauvais truc pour la conserver !Au lieu de donner nos voix à cette clique, vaudrait mieux leur donner ce qui leur revient réellement : des coups de pied dans le cul.
Car enfin à quoi passent leur teilles les députés et toute la séquelle de l’État ? À fabriquer des lois au bénef des riches et à rouler les pauvres bougres.
Les abrutis répètent en perroquets : « faut un gouvernement, faut des patrons, on peut pas vivre sans ça. »
De la farce ! Si nous cessions de turbiner pour les patrons et si nous refusions l’impôt au gouvernement : Mince de gueule qu’ils feraient ! — Ils crèveraient, car c’est de la vermine qui se nourrit de notre chair, de notre sang.
Au lieu d’aller voter pour un salopiaud quelconque, vaut mieux, mille bombes, apprendre à vivre sans gouvernement et sans singes, faire ses affaires soi-même ! Pour y arriver, il n’y a à compter que sur notre poigne et sur un chambardement général.
C’est par la force, la Révolution violente, que nous exproprierons les richards et que nous foutrons la vieille société par terre. — Le mot d’ordre doit être :
La terre aux paysans !! L’usine aux ouvriers !!
Le logement, le vêtement et la boustifaille pour tous !
Aussi au lieu de m’emballer pour Jacquot, Boulange ou Boulé, je gueule :
Vive la sociale ! vive l’anarchie !
Vu : Peinard, candidat (pour la forme).
Imp. du « Ça ira », rue du Buisson-St-Loup, 29.
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Éditions législatives du 22 septembre 1889
Le Père Peinard
au populo
Ouf ! nom de dieu ! les voici venir ces fameuses élections législatives ! Qu’en sortira-t-il ? Du vent ! Malheureux nous sommes, malheureux nous resterons. Volés par les patrons, écorchés par les gouvernants, c’est notre sort.
D’où sortent-ils ces jeanfoutres qui veulent faire notre bonheur, et poussent comme des champignons dans la saison des élections ? Faut être fourneau, pour gober qu’un député va s’occuper des affaires du Populo : Élu, il se fout de nous comme de l’an 40 : en fait de bonheur, il fait le sien.
Ouvrons l’œil, nom de dieu, ne nous laissons pas pincer aux blagues des candidats ; aucun de ces salops ne vaut la corde pour le pendre :
Royalistes, badingueusards, boulangistes, opportunards, radicaux ou socialistes ambitieux, nous la font à l’oseille ! Choisir dans cette fripouillerie multicolore ? Oh ! là là, non ! C’est tout du même tonneau !
Soupé de tout ça ! Des gouvernants nous avons plein le cul. Y a des types qui disent : Par quoi remplacer le gouvernement ? — Pauvres amis ! C’est comme s ils disaient : Quoi foutre à la place des loups que des gas solides ont assommés ?
Toutes les lois sont faites contre nous : elles nous tondent par l’impôt, nous saignent, par la conscription. C’est demander la lune que d’exiger des lois utiles au populo. Toutes n’ont qu’un but : protéger les curés, les fonctionnaires, les proprios, les patrons : tous ces cochons sont gras de notre misère !
Assez des fumisteries politiques ! Ce qu’il nous faut, c’est la boustifaille, le logement, le vêtement, — pour les petits comme pour les grands ! Voilà qui est plus sérieux que la couillonnade du Vote.
Ce qu’il faut aux Paysans, c’est la Terre ! Il est temps de foutre la fourche aux fesses des rentiers et des richards des villes, qui mangent le blé que les bons bougres ont semé.
Aux Ouvriers, il faut l’Usine ! Nous sommes assez marioles pour turbiner sans singes.
Ce n’est foutre pas le vote qui nous donnera ça : voter c’est une blague infecte. C’est par la force que nous ferons dégorger les richards : la Révolution s’avance dare dare, soyons à l’œil pour ne pas la laisser escamoter comme les précédentes par les tripoteurs de la politique.
Vive la Sociale ! Vive l’Anarchie !
Grâce à la vache de loi contre les candidatures multiples, il me faut truquer pour placarder mes affiches sans timbre. Un copain se fout candidat pour la circonstance, — c’est un bon type, — malgré ça ne votez pas pour lui, élu il roulerait le Populo comme le premier Bourgeois venu. De même qu’une bath fille saine se pourrit en entrant dans une maison de tolérance, — de même un bon Bougre se pourrit en entrant à la Chambre des Députés.
Le Père Peinard
Pour plus d’explications, les bons bougres n’ont qu’à ce payer chaque dimanche Le Père Peinard, réflecs d’un gniaff. Pour deux ronds, chez un chand de journaux, ils en verront la farce. — Bureaux : 16, rue du 4-Septembre, Paris.
Vu le candidat pour la fôorme :
Paris. — Imp. […]
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Scrutin de ballotage du 6 octobre 1889.
Le Père Peinard
au populo
Ils vont bien les gouvernants, nom de dieu ! Mince de chie qu’ils ont pour s’asseoir sur les décisions du suffrage universel. Pour le coup, les lecteurs de Montmartre doivent en faire une gueule.
Hein, j’avais t’y raison de dire que le vote est une couillonnade infecte ?
Enfin, cette farce finit dimanche. Si on m’écoutait, ça serait vite réglé : le populo planterait là les candidats et les laisserait se ballotter à leur guise.
Mais non ! Il a déjà expédié pas Mal de jean-foutres à la Chambre il viendra à compléter la collection.
C’est pas tout que de votailler, faut songer au lendemain, nom de dieu ! Aurons-nous un peu plus de bien-être à la clé ? Les patrons seront-ils moins [?]sses, les proprios moins rapins, les gouvernants moins filous ?
Cet hiver chacun aura-t-il le turbin et le boulottage assurés ?
On ne pense pas à tout ça. En revanche on blague beaucoup de la révision. Réviser quoi ? La Constitution de 1875 ? Je parie que nous ne sonmes pas un sur mille qui la connaissons, cette constitution de malheur.
Et puis voyons les Constitutions, nous en crevons, nous n’en vivons pas. Une miche de pain et un bifteack me bottent bougrement mieux que toutes les Constitutions possibles.
Tout de même, si on veut y aller carrément, j’en suis pour la Révision. Mais foutre, une révision fadée, aux petits oignons.
Révisons les Fortunes ! C’est pas juste qu’un salop comme Rothschild, ait des millions, tandis que le Populo trime dur et crève de faim.
Révisons les Propriétés ! Que celui qui sème, récolte. Les paysans ont soupé de payer la rente aux feignasses.
Révisons le Gouvernement ! Foutons le cul-par-dessus tète, et [tsoy]ons à l’œil pour empêcher qu’on en rebâtisse un nouveau.
Une fois sur le tas, allons-y carrément. Révisons un brin les richards eux-mêmes. Ils nous en ont fait assez voir de toutes les couleurs : chacun son tour, nom de dieu !
Voilà la Révision que je gobe. Mais une Révision pondue par les [bou]ffe-galette de la Chambre : une Révision sur le papier, c’est bon pour torcher le cul.
C’est pourquoi je dis aux bons bougres : si vous êtes marioles ne votez soyez à l’œil pour le grand chambardement et gueulez :
Vive la Sociale ! Vive l’Anarchie !
Grâce à la vache de loi contre les candidatures multiples, il me faut truquer pour placarder mes affiches sans timbre. Un copain se fout candidat pour la circonstance, — c’est un bon type, — malgré ça ne votez pas pour lui, élu il roulerait le Populo comme le premier Bourgeois venu. De même qu’une bath fille saine se pourrit en entrant dans une maison de tolérance, — de même un bon Bougre se pourrit en entrant à la Chambre des Députés.
Le Père Peinard
Pour plus d’explications, les bons bougres n’ont qu’à ce payer chaque dimanche Le Père Peinard, réflecs d’un gniaff. Pour deux ronds, chez un chand de journaux, ils en verront la farce. — Bureaux : 16, rue du 4-Septembre, Paris.
Vu le candidat pour la fôorme : Rossignol P. […]
Paris. — Imp. […]
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- texte :
Groupes anarchistes de Roubaix
Citoyens,
Nous accusons le journal Le Cri du travailleur, organe soi-disant socialiste, d’être l’instrument de la préfecture de police et de remplir le rôle de mouchard, en dénonçant les révolutionnaires en fuite pour avoir combattu les infamies des bourgeois.
Nous offrons de donner publiquement des preuves de ce que nous avançons ; et nous invitons les chefs de ce canard, particulièrement le lâche calomniateur qui, dans le numéro du 24 août, a dénoncé notre ami Lorion sans avoir le courage de signer son article, à venir se disculper des preuves que nous aurons, d’une façon palpable, à la grande réunion publique organisée à cet effet pour le samedi 6 septembre, à 8 heures 1/2 du soir.
Les travailleurs devant être témoins de la lâcheté des uns et de la loyauté des autres, l’entrée sera libre et gratuite.
Texte de l’affiche rapportée (avec son contexte) dans Le Père Peinard n° 78 (15 septembre 1890).
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
Supplément au n° 59 du 27 avril 1890
Le Père Peinard
au populo
Ah ! on a voulu me bouclier la gueule Y a rien de fait, nom de dieu !
La Cour d’Assises de la Seine a foutu au copain Weil, gérant du « Père Peinard », 15 mois de prison et 2000 francs d’amende. C’est salé tonnerre !
Et pourquoi ? Parce que j’avais mis les pieds dans le plat, au sujet de la Manifestance du premier Mai. Je n’en rabattrai pas mille bombes !
Je dirai quand même que le populo est volé, pillé, assassiné, et que quand une occase comme celle du premier Mai, se présente, faudrait être fourneau pour n’en pas profiter.
Dans tout ça, ce qui emmerde surtout les types de la haute, c’est quand on gueule après leur Rothschild. C’est leur dieu, cet animal. Bast ! il n’est pas immortel : on a bien coupé le cou à Louis XVI.
Ce qu’ils n’aiment pas non plus, c’est qu’on dise leur fait aux copains les troubades : Dam, y a qu’eux pour nous maintenir, et mater le populo quand y se rebiffe. En effet, s’ils levaient la crosse en l’air, ça serait la fin des fins !
Foutre, il y a trop longtemps que ça dure, la misère humaine ; il y a trop longtemps que le turbin ne marche pas, que même des gas solides crèvent la faim, Il serait temps, nom de dieu, de se foutre dans la caboche qu’il est idiot d’aller nu-pattes et le cul au vent, quand il y a des grimpants et des ripatons en quantité.
Tout ça, c’est des vérités, mais des vérités qui troublent la digestion des richards et des gouvernants. Ces chameaux là nous tapent dessus ; eh bien, tant mieux, nom de dieu, ils font leur métier. On verra bien, un de ces quatre matins qui aura le dernier mot.
Car c’est la guerre, entre eux et nous ; la Guerre des maigres contre les gras. Et foutre, Weil a eu bougrement raison de dire aux enjuponnés de la Cour d’Assises :
« Vous défendez les voleurs ; je suis avec le Peuple qui crève la faim. Adversaire résolu de la loi, je ne reconnais aucun juge, et quelle que soit votre sentence, je me considérerai comme frappé, mais pas comme jugé. »
Allons, y a pas de pet, c’est pas encore cette fois qu’on fera taire le Père Peinard : car nom de dieu, c’est pas commode de boucher la gueule aux types de sa trempe.
Le Père Peinard
[J. Bedin ?], imprimeur-gérant du Père Peinard, [314 ?], rue de Charenton, Paris.
Archives Nationales, Fond IFHS, côte : 14AS 122/ 4
Supplément à Le Père Peinard n° 59 du 27 avril 1890 : « Le présent numéro est accompagné d’une affiche-supplément, la réclamer au vendeur. Turellement elle ne peut être collés sur les murs. La placarder nature, sans timbre, créerait au Père Peinard plus d’emmerdements que ça ne vaut. Au cas où un copain voudrait quand même la coller, qu’il se paie un timbre d’affiche de six centimes et l’oblitère, de cette manière il n’y aura pas de pétard et tout se passera en douceur. »
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
Le Père Peinard au populo [?]
spécial 14 juillet
Une affiche est annoncée comme accompagnant le numéro 69 (2e année) du dimanche 13 juillet 1890 :
Avec le numéro, réclamer l’Affiche-SupplémentPour le 14 juillet, le Père Peinard s’en fendu d’une affiche.Ça serait chouette de pouvoir la placarder partout, mais les grosses légumes y ont mis bon ordre : comme ils savent que l’affiche, c’est les idées mises à la portée de tous, même des pauvres bougres qui n’ont ni porte-braise, ni poches, ils veulent qu’on foute sur chaque affiche un timbre de 6 centimes. Or, nom de dieu, n’étant pas très argenté j’en puis pas coller autant que je voudrais.Si les bons fieux veulent s’en payer : c’est 8 francs le cent, vingt sous les dix, timbres et frais d’envoi compris.Ceux qui voudraient se passer la fantaisie de coller l’affiche qui est donnée en supplément, qu’ils achètent un timbre et l’oblitèrent ; pour six centimes ils en verront la farce.La placarder sans timbre créerait plus d’emmerdements que ça ne vaut, vu que c’est le Père Peinard qui en supporterait la responsabilité et non le copain qui l’aurait collé.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ]
- texte :
Les libertaires parisiens
Le samedi 6 août 1892, à 8 heures et demie du soir
Salle du Commerce, 94, Faubourg du Temple
Grande conférence publique
Ordre du jour :
- L’Inquisition appliquée à Ravachol ;
- L’ignoble délateur Chaumentin ;
- La propagande par le fait ;
- Le droit à l’existence avec sa conséquence (le droit au vol et à l’assassinat) :
- La Prostitution de la Presse.
Orateurs : Henry Fortuné, Jacques Prolo, M. Zévaco, Poulain, L. Vivier, Couturier, etc., etc. ; la citoyenne Noël Berthier et une Anonyme.
Entrés : 20 centimes pour frais d’organisation
N.B. Une quête sera faite à la sortie pour les femmes et les enfants des compagnons détenus.
Paris. — Imp. A. Lombardin, 140, boulevard Voltaire.
« Archives anarchistes » (14 octobre 2017) :
https://anarchiv.wordpress.com/2017/10/14/les-anarchistes-et-leur-organisation-en-region-parisienne-en-1892/- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
Ballottage du 3 septembre 1893 - Supplément au n° 233 du Père Peinard
Le Père Peinard au populo
Hourrah, nom de dieu ! Bibi n’est pas le seul bon bougre ayant soupé des fumisteries électorales.
La grande tournée votarde du 20 août en est une riche preuve : dans les tinettes, des bottes de torche-culs ont manqué à l’appel.
Rien qu’à Paris, y a eu pour le moins un bon tiers d’abstention : quéque chose comme 160,000 bons bougres se sont torchés avec leurs bulletins de vote.
Et en province, la proportion des anti-votards est la même, — sinon plus forte !
Dam, on en a plein le cul de la politique ! C’est qu’aussi on est payé pour ça : de tous temps, les dépotés ont sifflé des pots-de-vin à tire-larigot. Entrés pauvres à l’Aquarium, ils en sont tous sortis riches comme Job, le marchand de papiers à cigarettes. Les chèques ne sont pas d’invention nouvelle !
Le Suffrage Universel, tant vanté par les jean-foutre, n’est qu’une muselière à bons bougres, — comme qui dirait
Le muselage universel
Ce coup-ci, comme primeurs, il nous a fourré de la belle pourriture : Wilson, Reinach, Rouvier et toute la séquelle des panamitards… Et à la deuxième resucée la collection se complètera.
Les ambitieux jubilent du truc. Cré pétard, qu’ils ne fassent pas trop les crâneurs : pour l’instant ils ne font que balloter, — un temps viendra…, et il n’est pas loin, foutre ! — où, ne se contentant pas de les ballotter, le populo les balancera carrément dans cent mille pieds de mouscaille.
D’ici là, par la grève générale, les bons bougres prouveront aux saltimbanques de la politique qu’ils ne veulent plus rien savoir de cracher les impôts, de payer la rente aux proprios, d’êtres exploités par les patrons et abrutis par les curés.
La grève générale, est à la portée du plus flemmard : y a qu’a se tenir à l’écart des goguenots électoraux… avec le même soin que si le choléra étant dedans.
Votailler ? N’est faut plus ! c’est se fiche la corde au cou. C’est autoriser richards, jugeurs et gouvernants à nous plumer vifs.
Au lieu de ça, s’agit de se graisser les biceps, afin d’être d’attaque pour exproprier les richards et foutre en l’air la vieille garce de Société.
Cela fait, n’ayant plus de gouvernants, ni d’exploiteurs à gaver, le populo se la coulera douce.
On sera en Anarchie, nom de dieu !
Le Père Peinard. — Vu le candidat pour la fôorme :
Grâce à la [ruche de loi ?] contre la liberté des candidatures. Il me faut truquer pour placarder mes affiches sans timbre. Un copain se fout candidat pour la circonstance, — c’est un bon fieu, — malgré ça, ne votez pas pour lui. Il roulerait le populo, kif-kif, le premier bourgeois venu.Pour plus d’explications, les bons bougres n’ont qu’à se payer chaque dimanche, Le Père Peinard, réflecs d’un gniaff. En vente partout pour deux ronds on en voit la farce.
A. Delalle, imp. spécial du Père Peinard, 4 bis, rue d’Orsel, Paris
Repéré à la Préfecture de Police (Paris).
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[ texte ; vignette (allégorie « Vive la Commune ») ]
- texte :
The Commonweal
A revolutionary journal of
Anarchist Communism.
One penny weeklyAmerica and Spain
Ravachol : his autobiography
We are all socialists now
by P. Kropotkine.
Morality and wealth getting.
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
Bon bougres ! Lisez tous les dimanches
La Sociale
hebdomadaire illustré
Indispensable pour se rincer les yeux et se décrasser les boyaux de la tête
Le numéro : deux ronds
Achetez l’Almanach du Père Peinard pour 1896
En vente partout : 25 centimesImp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris
Bandeau de vente pour l’Almanach du Père Peinard pour 1896
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- notes :
- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 2 — dix centimes — 19 mai 1895
Ribotages ! : les allumettiers vendus ! trahis !
Les oubliés de l’amnistie : les malfaiteurs d’Angers
Ruminades d’un cul-terreux
Le prix du pétrole
dessin : c’est pour payer les bains de mer à ces bouffis que nous crevons à la peine !
Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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- notes :
- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 3 — dix centimes — dimanche 26 mai 1895
L’anniversaire de la Semaine rouge
Les pièges à prolos
Les victimes de l’amour
L’impôt sur les larbins
dessin : Malheur aux vaincus ?… Pas toujours ! Trop de cadavres à la clé… T’as beau ajouter ton sabre, plus jamais la balance ne penchera du côté de l’Autorité.
Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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- notes :
- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 4 — dix centimes — dimanche 2 juin 1895
Vive Kiel !
Les oubliés de l’amnistie : les malfaiteurs dijonnais
Au Père Lachaise
Les gosses martyrs
dessin : À Montmartre : à défaut de bons bougres (pour se faire la main), la pestaille massacre les cabots !
Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 5 — dix centimes — dimanche 9 juin 1895
Brochette de chéquards ! : pots-ce-viniers, roupillez en paix !
Les oubliés de l’amnistie : Liard-Courtois
Ruminades d’un campluchard : sur la grève des Impôts
dessin : Fouille, vieux grigou ! C’est pas au fond de mes poches que tu trouveras de quoi équilibrer ton budget… Je suis plus qu’à sec !
Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 6 — dix centimes — dimanche 23 juin 1895
Les courses : abrutissoir populaire
Les oubliés de l’amnistie : les malfaiteurs de Laon
Le congrès des mineurs
Un singe fusilleur
dessin : La graisse du richard est faite de la sueur du populo
Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 7 — dix centimes — dimanche 30 juin 1895
L’esclavage des prolos de l’État
Les oubliés de l’amnistie : les malfaiteurs de Laon
Le pain gratuit
Inventeurs volés
dessin : Progrès républicain : cet esclave est un homme souverain et libre…
Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La Sociale
hebdomadaire illustré
numéro 8 — dix centimes — dimanche 7 juillet 1895
La grève générale et les allemanistes
Bakounine et la question du pain à l’œil
Les fils à Torquemada
dessin : Souvenir de Kiel :
Internationalisme gouvernemental : les capitalos sont frangins, et les gouvernants itou ! Guillaume et Marianne se sucent la poire… y aura donc plus que les travailleurs à se manger le nez ?Imp. E. Pouget, 120, rue Lafayette, Paris — Affiche d’intérieur
Affichette de vente.
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (allégorie) par Maximilien Luce]
- texte :
Les Temps nouveaux
journal hebdomadaire
140, rue Mouffetard
10cts le numéro
En vente ici
Affiche d’intérieur
Imp. Noizette & Cie, 8, rue Campagne-1er, Paris.
Affichette de vente.
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[ texte ]
- texte :
Deuxième année. — n° 53 — dix centimes — du 13 au 19 novembre 1896
Le Libertaire
Journal hebdomadaire paraissant le samedi
abonnement pour la France […]
administration et rédaction : 8, rue Briquet (Montmartre) — Paris
abonnement pour l’étranger […]Grande fête familiale
organisée par le “Libertaire”
dans les salons du restaurant Vantier, 8, avenue de Clichyle dimanche 15 novembre 1896, à 2 heures après midi
programme
Première partie. — concert. — on entendra :
Mesdemoiselles Alphonsine et Jane dans leur répertoire ;
Le philosophe Paul Paillette dans ses œuvres ;
Mévisto aîné (du Tréteau de Tabarin) dans ses œuvres ;
Les chansonniers Xavier*Privas, Gaston Sécot, Yon Lug (du Cabaret des Quat’-z’-Arts) dans leurs œuvres ;
Le poète Jehan Rictus dans ses “Soliloques du Pauvre" ;
Le chansonnier anarchiste Le Père Lapurge dans ses œuvres ;
Le chanteur populaire Buffalo dans son répertoire.Deuxième Partie. Causerie sans façon par le camarade A. Tennevin.
Troisième Partie. — Bal avec orchestre
(Le piano d’accompagnement sera tenu par le compositeur Clément.)Entrée : un franc par personne
La date de cette fête coïncidant avec le premier anniversaire de la fondation du Libertaire, nous espérons que nos collaborateurs, nos abonnés, nos lecteurs et nos amis se feront un plaisir d’y assister.
Nota. — Cette page ne peut être affichée que revêtue d’uin timbre de 12 centimes.
L’Imprimeur-Gérant : E. Lemanceau.
Première page de : Le Libertaire n° 53 (du 13 au 19 novembre 1896).
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
La résurrection du Père Peinard
Bons bougres, vous l’aviez cru mort ? — Erreur ! Le vieux gniaff n’a pas avalé son tire-pied : ul est toujours debout, solide au poste !
À telle enseigne que, cette semaine, il se rebombarde journaleux : à partir de dimanche, 25 octobre, toutes les semaines vous pourrez vous rincer l’œil avec Le Père Peinard, un canard bath aux pommes qui, comme devant, coûtera juste deux ronds.
Tous les vendredis, jour de la mise en vente du caneton, réclamez-le à votre marchand de journaux ; s’il hésite à vous l’avoir, dites-lui qu’il est un mufle.
Le programme du Père Peinard n’est foutre pas emberlificotté. Il est court et bon : Liberté, pains de quatre livres à gogo, … avec des biftecks autour et un arrosage de picolo nature.
Voilà qui fait le poil à toutes les couillonnades des politicards !
Aussi, bons bougres, je pense bien que vous être comme bibi : que vous avez soupé de tous ces moineaux qui nous promettent la lune et ne réussissent qu’à chéquarder à tire-larigot.
C’est vous dire que Le Père Peinard ne se privera pas de leur tailler des croupières à tous ces bouffis qui, grâce au Suffrage universel, vivent en vermine sur notre dos.
Turellement, il ne perdra pas de vue l’engeance patronale. Que les capitalos se rassurent ! Ils passeront à l’astique kif-kif les gouvernants.
Chacun aura son compte. De la chameaucratie qui nous pille et nous affame nul ne sera oublié.
Le Père Peinard n’a qu’un dada : tout en dilatant la rate aux exploités, leur remonter le moral et leur ouvrir des horizons nouveaux, — leur donner l’envie de réaliser une Société échenillée de toute racaille dirigeant et où, par conséquent, la vie sera facile et le turbin agréable.
Sur ce, les bons bougres, je vous serre la louche et vous engage à vous payer mes flanches, — ils sont indispensables à votre santé intellectuelle !
Le Père Peinard
Dans les premiers jours de novembre sera mis en vente l’Almanach du Père Peinard pour 1897 ; il sera farci de riches tartines et de galbeuses images et coûtera cinq ronds.
Les bureaux du Père Peinard sont 14, rue Lavieuville, Paris (Montmartre).
Imprimerie Ch. Favier. 120, rue Lafayette, Paris.
Le journal Le Père Peinard reparait ici en 1896 après une interdiction en 1894. Pour l’almanach, voir : https://cgecaf.ficedl.info/?article1540
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- notes :
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[ texte ; dessin (jeune fille) par A. Webster ]
- texte :
The Labour Leader
Saturday, 25th July, 1896
Peace demonstration.
Enlarged number.
demonstration arrangements
Foll list of speakers and chairmen.
Articles by prince Kropotkin, professor Alfred Russell Wallace, Mr Grant Allen, Mrs Isa Fyvie Mayo (Edward Garrett).
Portraits and biographies of Louise Michel, Cipriani, Hamon, Lazare, Merlino, Reclus, Nieuwenhuis.
In prison Ho’ Clough. by The Pilgrim.
International congress notes
One penny.
Of all newsagents.
See also :
— https://en.wikipedia.org/wiki/Labour_Leader
— https://en.wikipedia.org/wiki/International_Socialist_Workers_and_Trade_Union_Congress,_London_1896
— International socialist workers and trade union congress 1896, anti parliamentary committee, welcome to delegates- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; dessins : ouvrier en 1788 (poches vides sur fond de Bastille), ouvrier en 1898 (poches vides, sous fond de la colonne de la place de la Bastille à Paris) ]
- texte :
Le Père Peinard au populo
kif-kif bourriquot !
En 1788. — La Bastille bouchait le faubourd Antoine et le Populo bouffait des cailloux.
En 1898. — De la Bastille il ne reste que la cheminée… On est gavé de grands principes et sevré de bricheton et de biftecks.
Bons bougres, payez-vous chaque dimanche, le « Père Peinard » réflecs d’un gniaff, pour deux ronds, chez tous les libraires, on en voit la farce. — Ceux qui voudront s’offrir la présente affiche n’ont qu’à acheter le numéro du dimanche 17 mai 98.
Cette affiche ne peut être placardée sans un timbre de 18 centimes.
Imprimerie du Père Peinard 15 rue Lavieuville Paris.
Affiche parue dans Le Père Peinard (9e année, n° 91, du dimanche 17 au 24 juillet 1898).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; dessin (« Les Trimardeurs » ou « Les Sans-gîte » : famille sur la route) par Camille Pissarro ]
- texte :
C. Pissarro
Dessin de 1896, imprimé en lithographie pour l’Album des Temps nouveaux, n° 9 (2 avril 1898).
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[ texte ]
- texte :
[Le Libertaire]
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, É. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, É. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, H. Couthier, P. Comont, Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Tribunaux : Lucien Perrin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard et Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver. — Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.
Feuilletons écrits spécialement pour Le Journal du peuple :
La Prochaine, par Charles Malato ; Le Chevalier de La barre, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
Le Journal du Peuple écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, Le Journal du Peuple dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
Le Journal du Peuple fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
Le Journal du Peuple s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
Le Journal du Peuple combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
Le Journal du Peuple disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Dernière page de Le Libertairen° 167 (5-11 février 1899).
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[ texte ]
- texte :
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, É. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, É. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Jacques Prolo, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, M. Couthier, P. Comont, J.-B. Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Tribunaux : Lucien Perrin. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard & Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver.
Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.
Feuilletons écrits spécialement pour “Le Journal du peuple” :
“La Prochaine”, par Charles Malato ; “Le Chevalier de La Barre”, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
“Le Journal du Peuple” écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, “Le Journal du Peuple” dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
“Le Journal du Peuple” fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
“Le Journal du Peuple” s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
“Le Journal du Peuple” combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
“Le Journal du Peuple” disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Imprimerie Bonne-Nouvelle. — Valéry, 97, rue de Cléry et rue Beauregard, 60. — Spécialité d’affiches.
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[ texte ]
- texte :
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, E. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, E. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, H. Couthier, P. Comont, J.-B. Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard et Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver.
Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.Feuilletons écrits spécialement pour “Le Journal du peuple” :
“La Prochaine”, par Charles Malato ; “Le Chevalier de La Barre”, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
“Le Journal du Peuple” écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, “Le Journal du Peuple” dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
“Le Journal du Peuple” fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
“Le Journal du Peuple” s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
“Le Journal du Peuple” combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
“Le Journal du Peuple” disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Imp. Valéry, 97, rue de Cléry.
http://cediasbibli.org/opac/doc_num.php?explnum_id=571
affiche ou feuille volante.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
Voici qui est chouette !
Le Père Peinard
parait tous les dimanches à
cinq centimes
Il astique ferme le cuir des richards et des gouvernants et il est indispensable pour se décrasser les boyaux de la tête
Outre une tapée de tartines galbeuses
Le Père Peinard
publie chaque semaine un dessin d’actualité et
Conte de Noël
un chic feuilleton par
Louise Michel
Bons bougres, demandez Le Père Peinard à tous les marchands de journaux et cramponnez ceux qui ne l’ont pas !
Paris, impr. Grandidier, 15, rue Levieuville.
[Ne peux être affiché à… sans un timbre à …]
Affiche annoncée dans Le Père Peinard, 2e série n° 115 (1er-8 janvier 1899) :
« Le “Père Peinard” à Un rond. Ohé les bons bougres, c’est la semaine prochaine que le Père Peinard va être à un sou. […] Afin d’attirer l’attention du populo, une affiche annonçant la transformation du Père Peinard est en chantier ; elle va être prête ces jours-ci et dera expédiée illico. Les copains qui voudront payer les timbres de ces affiches (qui seront du format à 12 centimes) n’ont qu’à le faire savoir et on leur enverra le nombre des affiches qu’ils désireront, sans être timbrées. Autre chose : dans le prochain numéro, le Père Peinard commencera la publication d’un feuilleton rupinskoff et inédit de Louise Michel : Conte de Noël. […] ».
»- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texto ]
- texte :
La Huelga general
periódico libertario
•… Se publica el 5, 15 y 25 de cada mes …•
Colaboradores
Bonafulla - Claramunt (Teresa) - Domela Nieuwenhuis - Estévanes (Nicolé[…]) - Grave - Gustavo (Soledad) - Kropotkine - Lorenzo - Malatesta - Malato - Paraf-Javal - Reclus - Salvoches - Tarrida - UralesPrimer número el 15 de noviembre
Precio 10 centimos
[impr. …]
In Alfred Fromentin, La Vérité sur l’œuvre de Francisco Ferrer (Paris : groupe d’études scientifiques,1909)
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Ligue de la Régénération humaine
Salle du Bock Colossal, 6, rue de la Gaité
Le mardi 7 avril, à 8 h 1/2 du soirConférence publique et contradictoire
sous la présidence de
Mme Alexandra Myrial, rédactrice à La Fronde
Avec le concours de : Paul Robin, ancien directeur à Cempuis, Gustave Téry, rédacteur à La Petite République et à L’ActionSujet traité :
Surpopulation : guerre et misère
Camarades,
La surpopulation est la cause primordiale et naturelle de la guerre et de la misère. Elle engendre, par répercussion : le célibat, la prostitution.
Contre ces terribles fléaux, le Ligue de la Régénération humaine préconise la limitation raisonnée, volontaire, des naissances et affranchi du même coup la Femme de l’esclavage de la fécondité.Entrée : 30 centimes
Nota. — Les dames sont spécialement invitées.
Lire : Régénération (mensuel). Abonnement : 1 fr. 50 par an ; le N°, 10 cent. — Administration : 27, rue de la Duée, Paris (XXe)
Imprimerie économique (assoc. ouvrière). 21, passage Maurice, Paris. — Travail exécuté par des ouvriers syndiqués. — Téléphone 921-67
Le titre est imprimé « Conférecne » au lieu de « Conférence ». Date : 1908 ou 1903 ?
Repérée aux Archives de la Préfecture de police (Paris). Dossier Ligue de la Régénération humaine ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Le Père Peinard au populo]
[Le Père Peinard au populo]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo]
[Le Père Peinard au populo]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo]
[Le Père Peinard au populo]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo]
[Le Père Peinard au populo]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Groupes anarchistes de Roubaix]
[Groupes anarchistes de Roubaix]. — Roubaix : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo]
[Le Père Peinard au populo]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo [? spécial 14 juillet]]
[Le Père Peinard au populo [? spécial 14 juillet]]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Les libertaires parisiens : grand conférence publique]
[Les libertaires parisiens : grand conférence publique]. — Paris : les Libertaires parisiens, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo]
[Le Père Peinard au populo]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Ravachol : his autobiography]
[Ravachol : his autobiography]. — London Londres : Commonweal (London), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 51 × 39 cm.
sources :
[Bon bougres ! Lisez tous les dimanches La Sociale]
[Bon bougres ! Lisez tous les dimanches La Sociale]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 2, 19 mai 1895]
[La Sociale, numéro 2, 19 mai 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 3, 26 mai 1895]
[La Sociale, numéro 3, 26 mai 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 4, 2 juin 1895]
[La Sociale, numéro 4, 2 juin 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 5, 9 juin 1895]
[La Sociale, numéro 5, 9 juin 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 6, 23 juin 1895]
[La Sociale, numéro 6, 23 juin 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 7, 30 juin 1895]
[La Sociale, numéro 7, 30 juin 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Sociale, numéro 8, 7 juillet 1895]
[La Sociale, numéro 8, 7 juillet 1895]. — Paris : Sociale (1895-1896), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 43 × 31 cm.
sources :
[Les Temps nouveaux : en vente ici]
[Les Temps nouveaux : en vente ici] / Maximilien Luce. — Paris : les Temps Nouveaux, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; 59 × 41 cm.
sources :
[Grande fête familiale organisée par Le Libertaire]
[Grande fête familiale organisée par Le Libertaire]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[La résurrection du Père Peinard]
[La résurrection du Père Peinard]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 42 × 31 cm.
sources :
[The Labour Leader : peace demonstration]
[The Labour Leader : peace demonstration]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 58 × 45 cm.
sources :
[Le Père Peinard au populo : kif-kif bourriquot !]
[Le Père Peinard au populo : kif-kif bourriquot !]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 76 × 56 cm.
sources :
[Les Trimardeurs ou Les Sans-gîte]
[Les Trimardeurs ou Les Sans-gîte] / Camille Pissarro. — Paris : les Temps Nouveaux, . — 1 affiche (lithogr. ) : n. et b. ; 57 × 46 cm.
sources :
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
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[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
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1899 |
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [27 ?] × [21 ?] cm.
sources :
1899 |
1899 |
[Le Père Peinard parait tous les dimanches]
[Le Père Peinard parait tous les dimanches]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[La Huelga general]
[La Huelga general]. — Barcelona Barcelone : La Huelga (1901-1903), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 54 × 88 cm.
sources :
[Conférence publique et contradictoire sous la présidence de Mme Alexandra Myrial : surpopulation, guerre et misère]
[Conférence publique et contradictoire sous la présidence de Mme Alexandra Myrial : surpopulation, guerre et misère]. — Paris : Ligue de la régénération humaine, [ ?] (Imprimerie économique (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Conférence publique et contradictoire sous la présidence de Mme Nelly Roussel : le néo-malthusianisme et la révolution]
[Conférence publique et contradictoire sous la présidence de Mme Nelly Roussel : le néo-malthusianisme et la révolution]. — Paris : Ligue de la régénération humaine, [ ?] (Imprimerie économique (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 64 × 44 cm.